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Diplomacy & Defense Think Tank News

Où faire du ski nautique en France ?

RMES - Mon, 25/03/2019 - 04:22

Le ski nautique est une activité sportive très répandue en France et attire de plus en plus de personnes. Il séduit par sa simplicité mais aussi par le mélange de sensations fortes qu’il procure. Si c’est l’activité que vous avez envie d’essayer pour vos prochaines vacances, et que vous voulez le faire dans un cadre adéquat et sous l’œil averti des professionnels, voici quelques adresses de clubs et centres de la ligue Ile-de-France ski nautique. Vous pourrez y découvrir et pratiquer la glisse.

Dans les départements du Nord, de l’Oise et de la Somme

Nous pouvons citer :

  • Le Club Nautique d’Aubigny au Bac situé dans le marais d’Aubigny, qui ouvre ses portes du 1er Avril au 31 Octobre.

  • Le Barefoot Wave situé sur la plage de Boran-Sur-Oise – 60820 BORAN-SUR-OISE ; ouvert du 1er Mai au 31 Octobre.

  • Le Waterski Park au 2981 étang des longues rayes – Route du Port – 60700 PONTPOINT ; ouvert du 15 Avril au 15 Octobre.

  • Le Barefoot Evolution – Slide Nautic au 1 route de rivecourt – 60470 VERBERIE ouvert du 15 mars au 01 décembre.

  • Le Ski Club de Picardie situé à Rue Ernest Delabie – 80220 BOUVAINCOURT SUR BRESLE ouvert du 01 mai au 31 octobre.

Pour un site spécialisé dans la vente : top-ski-nautique.com/

Dans les départements de Paris, du Val d’Oise, Du Haut de Seine et de Seine Saint Denis

On compte :

  • Le C.N. 19ème situé 28 avenue simon bolivar – 75019 Paris, ouvert du 01 avril au 30 novembre.

  • Le Ski Nautique Club de Paris (SNCP) au 1, allée du Bord de l’Eau – 75016 PARIS ouvert du 01 mai au 31 octobre.

  • Le Ski Nautique Club Herblay au Quai du génue “Les tilleuls” – 95 HERBLAY, ouvert du 01 mai au 31 octobre.

  • L’Association Sportive Thales Avionics au AS THALES section ski nautique 18 avenue du Marechal juin BP 49 – 92362 Meudon la foret Cedex, ouvert du 01 juin au 15 octobre.

  • Le 2DN SKI NAUTIQUE CLUB au 19, rue Cressent – 93160 Noisy le grand ; ouvert du 01 mai au 31 octobre.

Si vous habiter à coter de saint-maxime : ce site !

Dans les départements du Marne, d’Yvelines et d’Essonne

Ici il faut visiter :

  • Le Ski Nautique Club De Saint Maur au Quai de Bonneuil – 94100 Saint-Maur-des-Fossés ouvert du 01 mai au 30 septembre.

  • Le Barefoot Style au 19 bis avenue de Choisy – 94190 Villeneuve St. Georges ouvert du 01 mai au 01 octobre.

  • l’ASM – Ski Nautique au Sablière RN 13 – 78000 MANTES LA JOLIE entre Mantes et Rosny : portail à droite face au parc de la Butte Verte ouvert du 01 mai au 15 octobre.

  • Le Ski Nautique Club De Triel Sur Seine au Quai Aristide Briand – 78510 TRIEL-SUR-SEINE ouvert de mai à octobre.

  • L’Association Sportive Corbeil Essonne situé au Chemin des Bas Vignons, face n°70 – 1er ponton sur chemin de halage – 91100 CORBEIL ESSONNE ouverte du 16 juin au 15 octobre

  • Le MULTIGLISS au 27 Avenue Louise Michel – 91280 Saint Pierre du Perray ouvert du 16 juin au 31 octobre.

Il faut préciser que tous ces clubs possèdent des licences de la Fédération Française de Ski Nautique et de Wakeboard (FFSNW).

Lire l’article précédent : Comment choisir un probiotique ?

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La política de la UE contra el terrorismo (I): del Tratado de Maastricht a la Estrategia de Seguridad Interior

Real Instituto Elcano - Mon, 25/03/2019 - 02:09
Javier Albaladejo. DT 5/2019 - 25/03/2019

Se pretende analizar, de forma muy resumida, la política antiterrorista de la UE y sus Estados miembros en su período inicial, que abarca desde la entrada en vigor del Tratado de Maastricht (1993) hasta la adopción de la primera Estrategia de Seguridad Interior de la UE (2010). 

Vers une victoire des sociaux-démocrates en Finlande ?

Fondation Robert Schuman / Publication - Mon, 25/03/2019 - 01:00
Le 14 avril prochain, les Finlandais sont appelés aux urnes pour désigner les 200 membres de l'Eduskunta/Riksdag, chambre unique du Parlement. Pour la première fois, les Finlandais résidant à l'étranger, qui jusqu'alors ne pouvaient remplir leur devoir civique qu'en se rendant dans les ambassades ou...

Tribune de Gilles Finchelstein et Dominique Reynié : « Réforme des retraites, parlons-en! »

Fondapol / Général - Sun, 24/03/2019 - 16:00

Dans une tribune au Parisien-Aujourd’hui en France, Gilles Finchelstein et Dominique Reynié appellent à participer à des rencontres-débats organisées sur la réforme des retraites. Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation Jean-Jaurès, et Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique. « Les retraités n’ont jamais été aussi nombreux. Fin 2016, tous régimes confondus, […]

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France : d’où vient la violence ? / Ecologie : le début d’une conscience ?

Fondapol / Général - Sun, 24/03/2019 - 10:00

L’Esprit Public en public de l’Odéon avec l’ancienne Ministre de la Culture Aurélie Filippetti, la journaliste Christine Ockrent, le politologue Dominique Reynié et le directeur général de Terra Nova Thierry Pech. Première partie : France : d’où vient la violence Gilets jaunes épisode 19, et les policiers, gendarmes et CRS désormais rejoints par…l’armée ! Pour certains, l’emploi […]

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Machine à soda : quels sont les parfums qui existent ?

RMES - Sat, 23/03/2019 - 13:59

La machine à soda permet de faire des boissons chez soi sans grande difficulté et surtout, elle permet d’ajouter tous les ingrédients que l’on veut. Pour les personnes qui aimeraient prendre du soda, mais qui n’ont pas cette possibilité vu qu’il y a du sucre.

Puisqu’il est possible de faire du soda aisément, quels sont les parfums qui s’utilisent ?

Il existe différents types de parfums de soda. Certains d’entre eux peuvent être obtenus grâce à des huiles essentielles ou tout simplement par des concentrés de parfum pour machine à soda.

Pourquoi utiliser des concentrés pour une machine à soda ?

Ces concentrés sont conçus spécialement pour les machines à soda, pour permettre à la personne qui prépare la boisson de gagner du temps. En effet, il suffit juste d’avoir l’eau de votre choix et d’ajouter le concentré selon la quantité qu’il faut. Les concentrés, comme vous le savez concentrent les saveurs ce qui fait que le taux de sucre est moindre.

Il existe une quantité innombrable de parfums pour une machine à soda. Voici quelques-uns qui sont souvent appréciés.

Le parfum pamplemousse rose

Le pamplemousse est un fruit avec une forte odeur caractéristique. Elle est très rafraîchissante. Le pamplemousse rose est reconnaissable grâce à la couleur de sa chair. Il est très parfumé et sucré naturellement. Le pamplemousse est utilisé comme parfum pour les machines à soda.

Le parfum menthe

La menthe est une plante qui pousse facilement. Elle est utilisée pour ses propriétés antioxydant, antiallergiques, anti-inflammatoires et antibactériennes. Le parfum menthe pour la machine à soda est rafraîchissant.

Le parfum citron vert

Le citron vert est un fruit tonique qui possède de la vitamine C indispensable à l’organisme. Son goût très prononcé le fait distinguer des autres types de fruits. Il est très désaltérant quand il est pris comme parfum pour soda.

Lire aussi : Dans quelles situations faut-il opter pour une cuisson sous vide ?

Le parfum orange

L’orange est l’un des fruits les plus consommés. Il est apprécié pour son côté désaltérant. Il contient également de la vitamine C utile pour l’organisme. En parfum pour le soda, c’est un véritable régal.

Le parfum Cola

Le parfum cola est très apprécié par tous. Sa qualité et son côté rafraîchissant désaltère surtout lorsqu’il est sans sucre ajouté.

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Water in Armed Conflicts

European Peace Institute / News - Fri, 22/03/2019 - 20:00

On March 22nd, IPI together with the Geneva Water Hub (a global center of the University of Geneva), UNICEF, and the Permanent Mission of the Kingdom of the Netherlands to the UN cohosted a policy forum event on Water in Armed Conflicts.

Armed conflicts affect access to safe water in several ways: destruction of and damage to water facilities, attacks against power plants providing energy to water supply networks, and the collapse of water treatment plants and sewage systems are some of the examples. Water supply systems fail, supply lines are deliberately sabotaged, or water resources are poisoned to intimidate civilians. It takes months to repair and restore essential service infrastructure once it has been damaged. In the meantime, civilians are displaced, agricultural activities are brought to a halt, and epidemics can spread. Various organizations are increasingly bringing into the spotlight the severe consequences of armed conflicts on access to water for the civilian population.

At this policy forum, experts presented and discussed the Geneva List of Principles on the Protection of Water Infrastructure and the UNICEF Advocacy Alert to stimulate international cooperation to overcome the obstacles posed by armed conflicts to accessing water.

Opening remarks:
Hon. Kevin Rudd, Former Prime Minister, Australia, Chair of the IPI Board of Directors

Speakers:
H.E. Dr. Danilo Türk, Former President of the Republic of Slovenia, Chairman of the Global High-Level Panel on Water and Peace and Lead Political Advisor of the Geneva Water Hub
Prof. Laurence Boisson de Chazournes, Faculty of Law, University of Geneva, Full Professor, Geneva Water Hub and Member of the Global High-Level Panel on Water and Peace
Ms. Sandra Pellegrom, Head of Development, Humanitarian Affairs and Human Rights, Permanent Mission of the Kingdom of the Netherlands to the UN
Mr. Hamish Young, Chief, Humanitarian Action and Transitions Section, UNICEF

Moderator:
Dr. Adam Lupel, Vice President, International Peace Institute

Grand débat : Pour Dominique Reynié, il faut « renforcer nos frontières européennes »

Fondapol / Général - Fri, 22/03/2019 - 17:12

Lutter efficacement contre l’antisémitisme, s’inquiéter du fossé entre élites et le mouvement des Gilets jaunes, de l’avenir démocratie et surtout : réincarner l’autorité aux frontières européennes. C’est ce message qu’a porté Dominique Reynié, professeur à Sciences Po et chroniqueur à Dis-Leur ! à Emmanuel Macron, ce lundi, invité parmi les 60 intellectuels français invités à l’Élysée pour […]

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Comment la démocratie pourra-t-elle survivre au numérique ?

Fondapol / Général - Fri, 22/03/2019 - 17:07

Talk Sapiens-La Tribune #3 | Pour prendre le temps de comprendre le monde dans lequel nous vivons et d’anticiper celui qui vient, l’Institut Sapiens a développé en partenariat avec La Tribune, un programme original, qui réunit tous les mois 3 experts qui prennent le temps de décrypter un des grands enjeux du futur. Pour le […]

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Pays-Bas: qui est Thierry Baudet, vainqueur des élections provinciales deux jours après la tuerie d’Utrecht?

Fondapol / Général - Fri, 22/03/2019 - 17:05

FIGAROVOX/ENTRETIEN – La jeune formation anti-immigration et eurosceptique de Thierry Baudet, 36 ans, le Forum pour la démocratie (FvD), est entrée en force au Sénat aux Pays-Bas, quelques jours après les meurtres d’Utrecht, qualifiés de «terroriste» par le parquet. Christophe de Voogd, spécialiste des Pays-Bas, analyse les raisons du succès électoral de Thierry Baudet. Christophe […]

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Visite de Xi Jinping en Europe : la Chine cherche ses partenaires des nouvelles routes de la soie

IRIS - Fri, 22/03/2019 - 17:01

Le président chinois a entamé une tournée européenne cette semaine, visitant l’Italie et la France pour tenter d’ancrer ses partenariats stratégiques dans la région. Alors que le projet de Pékin autour des nouvelles routes de la soie (en anglais BRI ou Belt and Road Initiative) cherche à se concrétiser davantage, la crise commerciale avec Washington complique les relations avec l’Europe. Quels sont les enjeux de ce voyage diplomatique ? Éclairage avec Barthélémy Courmont, directeur de recherche à l’IRIS.

Le président chinois Xi Jinping se rend en Italie et en France du 21 au 26 mars. Pourquoi ces deux pays et quels sont les enjeux de cette « visite de courtoisie » ?

Cette visite de Xi Jinping n’est dans les faits en rien une visite de courtoisie, sinon dans son volet monégasque, puisqu’il sera le premier président chinois à effectuer une visite officielle en principauté, entre son passage en Italie et en France. Le contexte est particulièrement important pour comprendre le déplacement de Xi Jinping. D’abord le Brexit, qui interroge la Chine sur l’avenir de l’UE et par voie de conséquence de ses propres intérêts dans la région. Ensuite, en raison des tensions très nettes entre Rome et Paris, qui n’ont fait que croître au cours des dernières semaines, et symbolisent les dissonances très visibles au sein de l’UE, y compris des membres fondateurs. L’Italie, en se greffant à la BRI chinoise, devient le premier État du G7, mais aussi le premier partenaire européen « significatif », au sens politique, démographique et économique, à accompagner officiellement les nouvelles routes de la soie initiées par… Xi Jinping. De son côté, la France a été identifiée comme le principal partenaire de Pékin avec l’élection d’Emmanuel Macron, et la visite d’État du président français en Chine en janvier 2018 a suscité chez les Chinois l’espoir que non seulement la France adhèrerait à la BRI, mais qu’elle emmènerait en plus dans son sillage l’UE. Un an plus tard, il n’en est rien, et après son passage à Rome, Xi Jinping met la pression sur Paris. En clair, le président chinois a compris que les querelles actuelles entre Paris et Rome symbolisent les divergences au sein de l’UE, et il cherche à capitaliser dessus pour faire avancer son projet, soit en poussant l’UE à se mettre d’accord, soit en multipliant les accords bilatéraux, avec des États membres de plus en plus « importants », pour forcer la main aux derniers récalcitrants.

Le projet des nouvelles routes de la soie semble inquiéter et diviser les Européens, la puissance de la Chine se projetant potentiellement au sein de l’UE. Pékin peut-elle réussir à mettre en œuvre le corridor de transport souhaité dans ces conditions ?

La BRI n’inquiète pas tous les Européens. Le problème de l’UE est précisément son incapacité à se mettre d’accord sur la stratégie chinoise et sur la réponse à y apporter. Tout semble opposer les 27 : la Suède a récemment annoncé accepter des réfugiés ouïghours qui en feraient la demande, l’Allemagne se montre méfiante à l’égard des acquisitions chinoises dans des secteurs clefs, la France tergiverse et envoie des signaux contradictoires, l’Italie s’apprête à s’ouvrir aux investissements chinois, le Portugal cède le contrôle de son électricité… Et parallèlement, les pays d’Europe centrale et orientale ont déjà acté la BRI, à la fois en acceptant des projets d’investissement importants pour leurs économies respectives, mais aussi en engageant un dialogue stratégique. Dans cette cacophonie, la Chine avance dans ses projets bilatéraux, à défaut de voir se concrétiser un accord Chine-UE. Entre ceux qui s’inquiètent d’une présence grandissante de la Chine et, à l’inverse, ceux qui l’accueillent à bras ouverts, qui a raison ? Les deux justement, et c’est là tout le problème. S’il est nécessaire d’accroître les échanges avec Pékin et sain d’accepter ses investissements, il convient de rester prudent quant à la finalité de cette stratégie chinoise. Car que veut exactement la Chine en Europe ? Pas simplement développer de nouveaux corridors de transport, car les investissements portent sur des secteurs qui n’y sont parfois pas du tout associés. Mais veut-elle contrôler les économies européennes, les relancer, créer des synergies nouvelles à l’heure des guerres commerciales ? C’est le manque de transparence du projet chinois et de ses objectifs qui alimente les fantasmes.

En plein conflit commercial entre les États-Unis et la Chine, comment l’Europe peut-elle se positionner par rapport à Pékin ? 

Les dissensions sont, nous venons de le voir, au cœur même de l’incapacité des Européens à s’exprimer d’une seule voix. Et elles ne sont pas près de s’estomper, bien au contraire. Dès lors, la question est de savoir si la Chine ne cherche pas, en multipliant des accords bilatéraux, à atteindre une masse critique pour contraindre les derniers hésitants à se rallier à elle. C’est tout le défi posé par l’adhésion de l’Italie, troisième économie de l’UE une fois le Brexit concrétisé. Dans les guerres commerciales qui l’opposent aux États-Unis, la Chine ne se contente pas de répondre aux attaques par d’autres attaques, ni d’une négociation visant à apaiser les tensions : elle se tourne vers d’autres partenaires, dans les pays en développement bien sûr, mais aussi dans son voisinage et en direction de l’UE. Ne pas intégrer la question de la difficile relation avec Washington dans la stratégie que mène Pékin en Europe revient sans doute à passer à côté de l’essentiel.

 

Nigeria and South Africa: Regional Dynamics in a Changing World

European Peace Institute / News - Fri, 22/03/2019 - 16:39

On Friday, March 29th, IPI together with the University of Johannesburg are cohosting a policy forum on Nigeria and South Africa: Regional Dynamics in a Changing World. Professor Adekeye Adebajo will offer his analysis on regional challenges and opportunities following the presidential elections in Nigeria and ahead of the parliamentary elections in South Africa. Professor Sarah Lockwood will offer commentary following Professor Adebajo’s remarks.

Remarks will begin at 10:15am PST / 1:15pm EST

Nigeria and South Africa have led many conflict-management initiatives over the last twenty-five years. Both account for at least 60 percent of the economy of their respective sub-regions in West and Southern Africa. The success of political and economic integration in Africa thus rests heavily on the shoulders of these two regional powers.

Professor Adekeye Adebajo will also provide insights into the history of the two countries and the relations between them, as well as discuss further findings and reflections following the publication of his most recent book of essays entitled The Eagle and the Springbok: Essays on Nigeria and South Africa.

Dr. Adekeye Adebajo was the director of the Africa Program at the International Peace Institute in New York from 2000 to 2004 and served on UN missions in South Africa, Western Sahara, and Iraq. He was the Executive Director of the Centre for Conflict Resolution from 2004 to 2018. He is currently a Professor at the University of Johannesburg and Director of their Institute for Pan-African Thought and Conversation.

Professor Sarah Lockwood is a political scientist currently completing her PhD in African Studies and Government at Harvard University.

Speaker:
Prof. Adekeye Adebajo, Director, Institute for Pan-African Thought and Conversation, University of Johannesburg

Discussant:
Prof. Sarah J. Lockwood, Presidential Scholar, Harvard University, Senior Consultant, Menas Associates

Moderator:
Amb. John Hirsch, IPI Senior Adviser

The Jungle Grows Back: America and Our Imperiled World

European Peace Institute / News - Fri, 22/03/2019 - 16:12

On Thursday, March 28th, IPI is hosting a Distinguished Author Series event featuring Robert Kagan, author of The Jungle Grows Back: America and Our Imperiled World. The conversation will be moderated by IPI Senior Adviser for External Relations Warren Hoge.

Remarks will begin at 3:20pm PST / 6:20pm EST

Recent years have brought deeply disturbing developments around the globe, from declining democracy to growing geopolitical competition. American sentiment seems to be leaning increasingly toward going it alone or withdrawing in the face of such disarray. In The Jungle Grows Back, America and Our Imperiled World, Robert Kagan issues an urgent warning that such a unilateral retreat by America would be the worst possible response, one based on a fundamental misreading of the world. Contrary to those who believe that there is an “end of history”—that progress is inevitable and the relative freedom, prosperity, and general peace the world has known for the past seventy years will continue naturally—the historical norm has always been toward chaos. Should the United States continue to withdraw as a global power, Kagan argues, the anarchic international system will undermine and overwhelm the liberal world order as we know it. In short, the jungle will always grow back, if we let it.

Centrifugale kræfter trækker i det europæiske samarbejde

DIIS - Fri, 22/03/2019 - 15:50
Og det gør Europa-valget i maj til et af de mere afgørende

« France-Algérie ; 50 ans d’histoires secrètes » – 3 questions à Naoufel Brahimi El Mili

IRIS - Fri, 22/03/2019 - 12:41

 

Naoufel Brahimi El Mili est docteur en sciences politiques, enseignant à Sciences Po Paris. Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage « France-Algérie ; 50 ans d’histoires secrètes » aux éditions Fayard.  

Au-delà des querelles publiques, comment évaluez-vous la coopération stratégique entre la France et l’Algérie ?

Malgré le formidable sursaut du peuple algérien qui chaque vendredi manifeste par millions contre le cinquième mandat, et surtout en dépit de position ambigüe du pouvoir français accusé par les Algériens de neutralité complice au mieux et d’ingérence coupable au pire, la coopération stratégique ne doit pas connaitre de grands bouleversements. En premier, figure la coopération militaire et sécuritaire au Nord-Mali. Sans le soutien logistique déterminant de l’armée algérienne, l’opération Serval ne pouvait se mettre en  place en 2013. Encore moins l’opération Berkane. L’armée algérienne qui ne cherche pas d’affrontement avec le peuple algérien qui dénonce le cinquième mandat se consacre prioritairement à la gestion des énormes défis géopolitiques : Libye, Niger, Mali. Supposons cette armée sortie des casernes pour mater les manifestants, la France serait dans une position délicate, car son premier soutien dans la région deviendrait moins politiquement fréquentable. Mais ce n’est pas du tout le cas. Cette même armée qui se positionne de plus en plus du côté du peuple algérien ne peut faire débarquer le président algérien avant le terme officiel de son mandat prévu le 29 avril. Les militaires algériens ne veulent pas être considérés comme putschistes contre un président soutenu sournoisement par l’Élysée et autres monarchies golfiotes.  Mais la France ne doit pas trop tarder à réaliser que le statu quo qu’elle souhaite secrètement est porteur potentiel de chaos. Une prise de position plus franche en faveur des revendications démocratiques des Algériens, de la part de Paris, rendrait plus aisée la fin du mandat présidentiel à son terme constitutionnel, soit par l’armée soit par le peuple, et pourquoi pas les deux en même temps. Ainsi le président Macron serait dans le sens de l’histoire que veulent écrire les Algériens. Il préservera les intérêts du pays dont il a la charge.

Aussi, la France se fournit à hauteur de 10% du gaz algérien. L’Algérie même dans les moments les plus difficiles de son histoire a toujours respecté sa signature. Quand au commerce courant de 5 milliards de dollars par an il ne peut que se consolider notamment grâce à une plus forte implication des Algériens de France qui manifestent chaque dimanche en soutien à leurs frères et sœurs du pays. Il est à penser que les Franco-Algériens seront plus actifs dans la vie économique qui lie les deux pays.

Peut-on, et comment envisager des relations bilatérales apaisées ?

Le poids de la mémoire, le refus français de la repentance ne peuvent faire aboutir des relations très apaisées, mais c’est la marque de fabrique de ces relations bilatérales assez complexes. Cependant, l’après Bouteflika avec une position française courageuse peut faire rentrer ces relations dans un nouveau monde. L’Algérie aussi a un rôle à jouer notamment en annulant l’article 51 de la constitution qui interdit aux binationaux certains postes politiques. Apparaîtront dès lors de nouveaux acteurs biculturels forts de leurs racines algériennes et de leurs connaissances du système français, ils seront les artisans d’une nouvelle page dans les relations entre les deux rives de la Méditerranée. Une nouvelle Algérie ne peut devenir une menace migratoire pour la France quoiqu’en disent les tenants d’une extrême droite populiste. De son côté,  la France doit ouvrir plus généreusement ses guichets consulaires pour les visas. Cette même France qui ferme ses universités au nez des étrangers en exigeant des frais d’inscription exorbitants. Elle se prive de toute participation à la formation des élites algériennes du futur. Finalement, Paris qui accepte que le pétrole et le gaz traversent la mer doit aussi accepter que des Algériens en fassent autant. C’est le pont humain qui doit être la pierre angulaire de ces relations bilatérales que l’on souhaite apaiser.

Selon vous, que doit faire la France face aux évènements actuels ?

Face à cette situation inédite et compte tenu des particularismes des relations bilatérales, le rôle de la France dans l’immédiat est peu aisé. Déjà le président Macron, au sujet des gilets jaunes avait déclaré : « ce n’est pas la rue qui gouverne en démocratie », il s’est autopiégé. Il ne peut ni adouber ouvertement les rues d’Algérie ni dire que ce pays n’est pas une grande démocratie. Les Algériens lors des manifestations portent des pancartes peu élogieuses à l’égard du président français accusé à tort ou à raison de complicité avec le pouvoir algérien. Emmanuel Macron peut exercer son droit de réponse aux Algériens, non pas par un « je vous ai compris ». Et ce n’est pas la première déception. Un bref retour vers le passé est éclairant. Les Algériens ne peuvent oublier les propos tenus par le candidat Macron devant une chaîne privée algérienne : « La colonisation est un crime contre l’humanité. » Le calcul électoraliste sous-jacent est évident, les voix des Franco-Algériens comptent. Très vite, le nouveau président français est qualifié d’ami de l’Algérie tant par le pouvoir que par l’homme de la rue. Sa seule visite de travail à Alger était vite éclipsée par le décès de Johnny Hallyday. Les Algériens n’ont retenu que cet échange dans une des rues principales de la capitale avec un jeune algérois qui l’interpelle sur le principe de la repentance. Et la réponse présidentielle fuse : « Qu’est ce que vous venez m’embrouiller avec ça ? Votre génération doit regarder l’avenir, la jeunesse algérienne ne peut pas constamment regarder son passé ! » Première déception.

Il ne reste pour le président Macron que de se démarquer clairement de ce pouvoir agonisant en expliquant aux Algériens que leur combat est démocratique donc juste. Dans le cas de cette nouvelle Algérie qui se dessine, le « en même temps » ne fonctionne pas. Le Macron candidat aux présidentielles dernières en se rendant à Alger comme François Hollande, avant lui et tant d’autres, ne pouvait ignorer le poids électoral des Franco-Algériens détenant plus de deux millions de bulletins de vote. Il faut qu’il s’en souvienne surtout que son mi-mandat heurté se rapproche. Sans oublier les Européennes.

L'Europe face à la Chine : une révolution copernicienne

Institut Montaigne - Fri, 22/03/2019 - 12:13

La dernière communication de la Commission européenne (et du SEAE) sur la Chine ne laisse rien passer à cette dernière. "Ce n'est plus une économie en développement". Un "rival systémique" et, sur les questions économiques, un "concurrent stratégique". Un grand exportateur de centrales à charbon, qui entrave ainsi la lutte contre le changement climatique. Des politiques qui aggravent la situation des droits de l'Homme – la liste commence par la mention du…

La Thaïlande (enfin) de retour aux urnes, la panacée ?

IRIS - Fri, 22/03/2019 - 11:55

Le scrutin longtemps promis par les autorités aux sujets du royaume finit enfin, après moult détours et contretemps, par se matérialiser avec l’arrivée du printemps : dimanche 24 mars, la Thaïlande convie ses 51 millions d’électeurs aux urnes pour renouveler la chambre basse (Assemblée nationale, 500 sièges) et désigner un nouveau chef de gouvernement. Une première – repoussée ces dernières années à diverses reprises avec un argumentaire souvent ténu – depuis 2011 et le dernier scrutin démocratique organisé dans cette nation bouddhiste du sud-est asiatique, politiquement polarisée.

Arrivé au pouvoir un quinquennat plus tôt (printemps 2014) lors du dernier d’une longue série de coups d’État militaires[1], le Conseil national pour la paix et l’ordre (CNPO) du  Premier ministre (et ancien général) Prayut Chan-o-cha conçoit ce rendez-vous électoral comme un référendum validant ses cinq années à la tête du pays, espérant se maintenir en fonction à l’issue de ce scrutin en s’adossant au parti créé sur mesure dernièrement, le Palang Pracharat (PPRP) – soutenu par l’armée, le palais royal, les élites urbaines, les milieux d’affaires (establishment) – dans un cadre constitutionnel très favorable à ses intérêts[2] (Constitution de 2017). Nombreux sont ceux dans l’ancien Siam à manifester peu d’enthousiasme face à cette perspective, car sevrés depuis des années de démocratie au sens littéral du terme. Les détracteurs de l’ancien commandant en chef de l’Armée royale thaïlandaise dénoncent le risque de démocratie martiale associé à l’éventuel succès du PPRP et de ses alliés lors des élections de dimanche. À cette « Thaïlande d’en haut », réservée sur le bénéfice pour le royaume d’un gouvernement à l’agenda plus populiste (cf. « chemises rouges », sympathisants de l’ancien Premier ministre Thaksin Shinawatra), s’oppose un segment de la société aspirant au retrait de la junte de la vie politique nationale et au retour de la règle démocratique pour les 68 millions de Thaïlandais.

À quatre jours de l’événement, l’issue comptable de ce scrutin reste entourée d’incertitudes : si la formation politique du  Premier ministre Prayut dispose du confort d’une chambre haute (Sénat, 250 élus) désignée par la Royal Thai Military et non par l’électeur – donc rangée à ses intérêts -, le Democrat Party (DP) de l’ancien Premier ministre A. Vejjajiva, le Pheu Thai (PTP) du « clan Shinawatra », toujours présent dans les provinces du nord/nord-est, ou encore le plus atypique et récemment créé Future Forward Party (FFP) du quadragénaire et homme d’affaires T. Juangroongruangkit, populaire auprès des jeunes primo-votants, se posent en arbitres incontournables de ce rendez-vous. L’hypothèse d’un gouvernement de coalition associant le PPRP et le DP – réunissant ainsi à eux deux plus aisément les 376 sièges (en combinant les deux chambres) nécessaires à la composition d’une majorité absolue au Parlement et à la nomination du prochain Premier ministre – dispose d’un certain crédit, sans pour autant apparaître aujourd’hui comme l’issue garantie de cette consultation populaire. Ce, alors même que le Pheu Thai (la formation ayant remporté tous les scrutins nationaux depuis 2001) pourrait d’un point de vue comptable attirer le plus de voix[3] vers ses candidats et disposer à elle seule à l’Assemblée nationale d’une majorité relative. Une situation qui pourrait faire (re)naître un sentiment d’injustice et de déni de démocratie latents dans les rangs populistes, lassés du poids considérable de l’establishment et de l’armée dans la vie politique nationale et le quotidien des individus.

Nous n’en sommes pas encore là. Une estimation partielle des résultats devrait être communiquée dans les jours qui suivront ce premier scrutin organisé en huit ans, le 9 mai étant la date officiellement retenue par les autorités pour l’annonce des résultats définitifs. Entre ces deux dates, le royaume et ses 68 millions de sujets devraient – ainsi que l’espère ardemment le gouvernement – se dépassionner de la question politique pour se saisir du symbole, a priori plus consensuel et moins partisan, de la monarchie, les célébrations nationales du couronnement du souverain Maha Vajiralongkorn Bodindradebayavarangkun[4] (Rama X) s’étirant du 4 au 6 mai. Une fois passé cet événement national transcendant les clivages et les résultats du scrutin connus, en fonction de leur issue comptable, il pourrait alors en aller bien différemment, dans les rues de Bangkok notamment.

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[1] Le 12e depuis l’instauration en 1932 de la monarchie constitutionnelle.

[2] Le nouveau système de vote instauré par le CNPO s’emploie – à dessein – à réduire la possibilité pour un parti politique de briguer à lui seul la majorité absolue des sièges à l’Assemblée nationale, l’influente institution militaire semblant bien plus à son aise avec un hémicycle multicolore donc divisé, plus aisé à manipuler.

[3] Certaines projections créditent le parti de 125 à 200 sièges (sur les 500 de l’hémicycle) à la chambre basse, une volumétrie nettement supérieure aux estimations du DP (entre 75 et 120 sièges) et du PPRP (environ 70 élus).

[4] Suite au décès de son père, le vénéré roi Bhumibol Adulyadej (Rama IX) en oct. 2016 après un règne de 70 ans, Maha Vajiralongkorn (Rama X) est monté sur le trône en décembre 2016, dans un enthousiasme populaire relatif.

Ausnahmezustand Europa

Konrad Adenauer Stiftung - Fri, 22/03/2019 - 11:53
Stefan Stahlberg 2019-03-22T10:53:00Z

Sieben Tipps : Weniger (Plastik-) Müll im Alltag – Was kann ich tun?

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 22/03/2019 - 11:20
Geben wir es zu – wir sind uns längst bewusst, dass wir im Alltag zu viel Müll produzieren: Wir kaufen Wegwerfartikel, Produkte, die einzeln verpackt sind, Essen und Trinken „To go“. Wer aus den Gewohnheiten ausbrechen und etwas ändern will, kann bei den ganz kleinen Dingen anfangen, etwa eine Einkaufstasche mitnehmen. Wir haben sieben Tipps für Sie zusammengestellt.

Comment tester un thermostat de frigo ?

RMES - Fri, 22/03/2019 - 10:51

Le thermostat n’est pas fabriqué uniquement pour les appareils de chauffage. Les émetteurs de froid, tels que le frigo, sont équipés aussi d’un thermostat. Pourtant, la fonction du thermostat de chauffe-eau et celle du thermostat du réfrigérateur sont distinctes. Cela est lié au rôle de ces appareils. Le chauffe-eau est un producteur d’eau chaude tandis que le frigo est une source de froid. Mais, l’un et l’autre rendent l’installation d’un thermostat nécessaire. Cependant, nous n’allons plus aborder le sujet autour du thermostat de chauffe-eau. Ci-dessous, il s’agira de parler des techniques pour tester un thermostat de frigo.

La fonction du thermostat de frigo

Le réfrigérateur est un appareil indispensable à la conservation de la nourriture. Il préserve les aliments afin de ne pas être en état de pourriture. Pour se faire, il produit une température basse. Mais, cette fonction est impossible sans thermostat. L’utilisateur doit pourvoir à son frigo d’un thermostat pour contrôler la température du réfrigérateur. Une fois que la température définie est atteinte, le thermostat désactive automatiquement l’alimentation du moteur du frigo. Pour cela, le thermostat possède une sonde qui le permet de se lier à l’appareil pour capter la température interne. Cette sonde s’employer en guise d’un tuyau capillaire.

D’autre part, ce thermostat dispose d’un axe de commande sur lequel l’utilisateur peut réaliser le réglage de la température. Mais, s’il advient que votre réfrigérateur est en panne, car ça peut se produire, il y a quelques symptôme servant à identifier cela. Au cas où votre appareil ne produit plus la froideur ou cela n’est pas suffisant, c’est-à-dire il n’offre pas une température adéquate selon le réglage déterminé. Vous pouvez deviner la source de ce problème parce que c’est le thermostat qui doit remplir cette fonction. Comme vous constatez que le frigo fonctionne normalement, cet arrêt accidentel au niveau de l’émission de froid ne peut pas venir du frigo. De même, il se peut aussi que le moteur ne se met plus en marche. Alors que le thermostat est capable d’arrêter le fonctionnement de ce moteur au moment où la température optimale est produite.

Le procédé pour tester son thermostat

En fait, vous êtes décidé à tester le thermostat. Mais, celui-là ne peut pas se démonter d’une façon automatique à l’aide d’une simple pression. Ainsi, le démontage doit se faire manuellement. Avant de réaliser cette opération, il est obligatoire de débrancher l’alimentation de votre réfrigérateur en raison de la sécurité. Après, vous allez repérer la place de votre thermostat. En général, il se loge dans un boîtier à l’intérieur de votre frigo.

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Puis, vous pouvez le retirer de ce boîtier. Pour se faire, vous relâchez toutes les vis fixatrices du boîtier au moyen d’un tournevis. Aussitôt que le boîtier est enlevé, il ne vous reste plus qu’à vérifier si le thermostat est bien raccordé à sa sonde et si tous les branchements vont bien. Ensuite, vous allez poser cette sonde sur un morceau de glace pendant quelques minutes. Si votre thermostat émet un clic et déclic l’un après l’autre, ce qui signifie que votre thermostat n’est pas en défaut. Après cette vérification, vous allez remonter le thermostat et le remettre à l’intérieur de votre frigo.

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