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Diplomacy & Defense Think Tank News

5 précieux conseils avant d’utiliser votre pompe d’arrosage

RMES - Thu, 11/04/2019 - 13:47

Les pompes d’arrosage sont des pompes destinées à l’arrosage de jardin de grande ou petite surface, automatiquement ou manuellement. Pour utiliser votre pompe d’arrosage, vous devez prendre en compte une multitude d’astuces importantes. Il s’agit autant de conseils de sécurité que de conseils d’efficacité pratique destinée à faire que votre utilisation soit la plus saine et la plus efficace possible.

L’installation de la pompe

Le premier conseil à ne pas négliger concernant l’utilisation de votre pompe d’arrosage est celui de son installation. Souvent négligée, l’installation de la pompe d’arrosage constitue pourtant l’un des points essentiels de fonctionnement efficient de la pompe. Pour bien fonctionner, votre pompe doit être bien installée. Il doit s’agir d’une surface plate assez solide et à priori pas trop éloignée de la source et du point de sortie.

La connexion des tuyaux

Précisément entre la source et le point de sortie il y a votre pompe d’arrosage et les tuyaux. Ce conseil est lié à l’installation de votre pompe, mais concerne surtout l’efficacité de la machine par rapport aux différents tuyaux. Plus les tuyaux sont courts et étroits, plus votre machine fonctionnera bien. Renseignez-vous sur des sites comme celui-ci avant d’acheter votre pompe vous fera donc économiser pas mal d’eau ! Vous pourrez alors rendre votre machine encore plus puissance en réduisant les distances.

Pour les économies

La résistance et l’efficacité ne sont pas les seuls points importants pour l’utilisation de la pompe. Il y a aussi les économies. Pour pouvoir dépenser le moins possible, vous devez opter pour des sources alternatives à l’eau claire. Il peut s’agir d’eau de pluie recueillie, d’eau de puits, une citerne ou toutes eaux usées. Pour cela, une simple installation de filtre suffira.

Les conseils de sécurité 

Les pompes sont des appareils capricieux. Pour cela, vous devez aussi faire attention au mode d’utilisation. Le conseil de sécurité général est de toujours prendre garde à éteindre la machine avant de la manipuler. Quel que soit le branchement à effectuer, elle doit être éteinte au préalable.

L’entretien des pompes

Le dernier conseil important avant l’utilisation de votre pompe est le conseil d’entretien. Votre fournisseur vous a sûrement indiqué que votre machine électrique n’a pas besoin d’entretien. Même si c’est vrai, vous devez changer le filtre de temps en temps et protéger votre machine du froid. Pour les pompes semi-automatiques, le surpresseur doit souvent être entretenu.

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DIIS - Thu, 11/04/2019 - 13:34
Heineken in Africa

Le triomphe de Netanyahou

IRIS - Thu, 11/04/2019 - 12:46

 

Les élections israéliennes ont eu lieu ce mardi 9 avril 2019. Elles ont rendu leur verdict : Benyamin Netanyahou en est le grand vainqueur.

Ces élections législatives ont en fait été un référendum pour ou contre Benyamin Netanyahou, et finalement les électeurs israéliens ont voté pour lui.

Le parti de Benny Gantz et celui de Netanyahou sont au coude à coude s’agissant des résultats, mais Benyamin Netanyahou est en mesure de former une large coalition autour de lui, grâce au soutien de l’extrême droite. Benny Gantz, lui, manque de réserves. C’est sur une coalition pouvant représenter 65 sièges sur 120 que Netanyahou peut compter pour former un gouvernement.

Il va devenir le Premier ministre qui aura été en poste le plus longtemps, battant même le record du fondateur du pays, David Ben Gourion. Ça sera son quatrième mandat successif, son cinquième au total. Le résultat de ces élections montre bien un enracinement, et même une poussée de l’extrême droite ainsi qu’un effondrement du parti travailliste, pourtant parti fondateur du pays, qui ne disposera que de six sièges dans cette nouvelle législature. C’est une défaite historique pour ce parti.

Benyamin Netanyahou avait fait le pari gagnant de la polarisation. Extrêmement clivant, il a mené une campagne très violente, accusant son adversaire de mettre en danger la sécurité d’Israël, alors même que celui-ci fut chef d’état-major des armées.

Comment expliquer que, malgré les différentes affaires de corruption, les enquêtes qui se multiplient, les mises en cause de l’intégrité personnelle de Benyamin Netanyahou, il ait quand même remporté les élections ?

Ce qui explique ce succès, c’est justement la stratégie de polarisation choisie par Benyamin Netanyahou. C’est aussi la conséquence d’une économie israélienne qui se porte bien – même si les inégalités sont de plus en plus fortes. Mais le pays n’a surtout jamais été aussi fort diplomatiquement : Benyamin Netanyahou bénéficie du soutien de leaders comme Donald Trump, Vladimir Poutine, ou encore le Premier ministre indien Modi. A cela on peut ajouter un autre succès historique, la visite du nouveau président brésilien Bolsonaro, qui est venu apporter un fervent soutien à Netanyahou. Mais surtout, le grand succès de Benyamin Netanyahou qui change la donne, c’est le soutien de l’Arabie Saoudite et de l’Égypte : il n’y a plus réellement de pays arabes qui s’opposent à lui. Il faut ajouter à ce tableau une percée israélienne dans le continent africain.

Jamais un Premier ministre israélien n’aura été aussi éloigné des critères de règlement du conflit israélo-palestinien, soutenu par la communauté internationale, mais jamais il n’aura eu le soutien aussi affirmé de dirigeants d’autres pays.

Aux précédentes élections, la question qui se posait était de savoir si les Israéliens étaient pour ou contre le processus de paix. Cette fois-ci, il s’agissait de savoir si les Israéliens étaient pour ou contre l’annexion, officiellement condamnée par la communauté internationale. Ce qui a peut-être fait pencher la balance en faveur de Netanyahou, c’est son engagement à annexer juridiquement les territoires occupés et donc à changer leur statut juridique.

Il ne s’est pas engagé sur l’ampleur de l’annexion ni sur le calendrier, mais c’est un geste très fort qui sera certainement le dernier clou planté dans le cercueil du processus de paix, déjà moribond depuis plusieurs années.

On peut d’ailleurs penser que cette annexion, comme celle du Golan, sera approuvée par Donald Trump. Celui-ci affirme depuis déjà plusieurs mois qu’il compte proposer un plan de paix « révolutionnaire ».

On en connaît les grandes lignes, c’est effectivement un plan de paix qui est inacceptable pour les Palestiniens, mais qui ravit Netanyahou et qui semble acceptable pour Mohammed Ben Salmane : annexion de Jérusalem reconnue, donc sans partage de la ville en capitale de deux États, palestinien et israélien, et puis surtout reconnaissance de l’annexion d’une partie de la Cisjordanie. Donc la perspective d’un État viable palestinien s’éloigne totalement et peut-être définitivement.

On pourra parler de paix, mais d’une paix par la force, une paix imposée, une paix qui n’est pas du tout acceptée. Le moins que l’on puisse dire c’est que la politique israélienne ne rencontre pas d’obstacles.

Certes, le mouvement palestinien n’est pas exempt de tout reproche. Il est en profonde déliquescence, avec un Hamas répressif, et un leader palestinien, Mahmoud Abbas, qui perd de plus en plus en légitimité. Ce dernier a été élu il y a maintenant 13 ans, et on peut dire qu’il est très contesté en interne. Mais Israël aurait tort de se réjouir de la déliquescence du mouvement palestinien. Cela peut lui servir à court terme, mais à long terme ce n’est pas rassurant.

Mais si la communauté internationale accepte bon gré mal gré la politique israélienne, il n’en est pas de même pour l’opinion publique internationale.

On est face au même antagonisme dans les pays arabes, les gouvernements, soit acceptent la politique israélienne, soit ne sont pas en mesure de lutter contre elle parce qu’ils ont trop de problèmes intérieurs, soit, enfin, parce qu’ils ont peur des États-Unis. Mais dans l’opinion publique arabe, la cause palestinienne reste encore un élément fédérateur et sacré. Elle constitue peut-être d’ailleurs un des rares éléments de l’unité arabe.

L’absence de perspective politique se traduit souvent par des violences incontrôlées. Depuis très longtemps, les Palestiniens font preuve de résilience, les Israéliens ont tort de penser que cette résilience est une résignation.

Reportage du 13h de France 2 sur le débat « Un système universel de retraite? Parlons-en ! » à Montpellier

Fondapol / Général - Thu, 11/04/2019 - 10:12

Découvrez le reportage du 13h de France 2 sur le débat « Un système universel de retraite? Parlons-en ! » à Montpellier, organisé par la Fondation pour l’innovation politique et la Fondation Jean Jaurès, en présence du Haut-commissaire Jean-Paul Delevoye. ➡ L’enquête de la Fondation pour l’innovation politique « Les Français jugent leur système de retraite »: bit.ly/2QDgEUI  

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L’INFO DU VRAI – L’OBSESSION DU REFERENDUM

Fondapol / Général - Wed, 10/04/2019 - 17:33

Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique était l’invité de Yves Calvi dans l’Info Du Vrai autour du thème : « L’obsession du référendum » Retrouvez l’émission dans son intégralité

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MONTPELLIER : UN COLLOQUE POUR PARLER DE LA FUTURE RETRAITE UNIVERSELLE

Fondapol / Général - Wed, 10/04/2019 - 17:14

Retour du journal local Midi Libre sur notre troisième rencontre-débat « Un système universel de retraite ? Parlons-en ! » à Montpellier, organisé conjointement avec la Fondation Jean-Jaurès et qui a réuni plus de 200 personnes. Retrouvez l’intégralité du débat ici et la vidéo « Montpellier : un débat sur la retraite universelle au Corum » sur midilibre.fr.

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Grand débat : l’intelligence artificielle au service de l’intelligence collective ?

Institut Montaigne - Wed, 10/04/2019 - 16:00

Le Premier ministre Edouard Philippe a présenté, lundi 8 avril, la synthèse du grand débat national. Au total, 1,5 million de Français auront participé à cet exercice, produisant une quantité colossale de données non structurées à analyser. Afin de les traiter, le gouvernement a fait appel à des entreprises d’intelligence artificielle spécialisées dans le traitement de texte. Dans ce billet, Anne Bouverot, Senior Advisor chez TowerBrook Capital…

Investment facilitation for development: a new route to global investment governance

While global investment needs are enormous in order to bolster the implementation of the 2030 Agenda for Sustainable Development, developing countries are often excluded from global foreign direct investment (FDI) flows. Beyond economic fundamentals like market size, infra¬structure and labour, the impediments to FDI in developing countries relate to the predictability, transparency and ease of the regulatory environment. In contrast, tax incentives and international investment agreements (IIAs) have been found to be less important (World Bank, 2018). To harness the advantages of FDI, it is critical that governments have policies and regulations in place that help to attract and retain FDI and enhance its contribution to sustainable development. The 2030 Agenda and the Addis Ababa Action Agenda, thus, call for appropriate international frameworks to support investments in developing countries.
In this context, the Joint Ministerial Statement on Investment Facilitation for Development adopted at the 11th Ministerial Conference of the World Trade Organization (WTO) in December 2017 called for the start of “structured discussions with the aim of developing a multilateral framework on investment facilitation”. Investment facilitation refers to a set of practical measures concerned with improving the transparency and predict¬ability of investment frameworks, streamlining procedures related to foreign investors, and enhancing coordination and cooperation between stakeholders, such as host and home country government, foreign investors and domestic corporations, as well as societal actors.
Despite the deadlock in the WTO’s 17-year-old Doha Round negotiations, the structured discussions on investment facilitation, which have been under way since March 2018, show that the members of the WTO take a strong interest in using the WTO as a platform to negotiate new international rules at the interface of trade and investment. In contrast to previous attempts by developed countries to establish multilateral rules for investment, the structured discussions are mainly driven by emerging and developing countries. Most of them have evolved over the past years into FDI host and home countries reflecting the changing geography of economic power in the world. Their increased role has led to a shift of policy agendas, focusing on practical measures to promote FDI in developing countries while excluding contentious issues such as investment liberali¬sation and protection, and investor–state dispute settlement (ISDS).
This policy brief provides an overview of the emerging policy debate about investment facilitation. We highlight that four key challenges need to be tackled in order to negotiate an investment facilitation framework (IFF) in the WTO that supports sustainable development:
  1. There is a need to properly conceptualise the scope of investment facilitation as a basis for empirical analyses of the potential impact of a multilateral IFF.
  2. Many less- and least-developed countries do not yet participate in the structured discussions. It is necessary to enhance their capacity to participate in the structured discussions and address their specific concerns.
  3. In order to enhance the contribution of FDI to sustainable development it is necessary to support the development of governance mechanisms at the domestic level.
  4. It is key to ensure transparency towards countries not yet participating in the discussions, the business sector and societal actors to support a successful policy process.


Nétanyahou : triomphe stratégique ?

IRIS - Wed, 10/04/2019 - 12:17

Pascal Boniface, directeur de l’IRIS, revient sur les élections législatives en Israël et leurs implications.

DÉBAT-RENCONTRE À MONTPELLIER « UN SYSTÈME UNIVERSEL DE RETRAITE? PARLONS-EN! » MARDI 9 AVRIL

Fondapol / Général - Wed, 10/04/2019 - 10:50

Depuis plusieurs mois, au travers de plusieurs débats et d’une grande enquête sur l’opinion des Français sur le système de retraite, la Fondation pour l’innovation politique a souhaité alimenter la réflexion sur la mise en place d’un système universel de retraite. L’initiative « Un système universel de retraite ? Parlons-en !», conjointe à la Fondation Jean-Jaurès et avec […]

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L’Inde à la conquête de l’espace

IRIS - Wed, 10/04/2019 - 10:20

C’est une entame printanière spatiale chargée et réussie que vient de vivre l’Inde ces derniers jours. Le 1er avril 2019, l’organisation indienne de recherche spatiale (ISRO) a procédé au tir réussi de son lanceur Polar Satellite Launch Vehicle (PSLV), lequel ne transportait rien de moins qu’une trentaine de satellites, occidentaux pour l’essentiel (24 américains, quatre européens), un satellite indien de dernière génération EMISAT[1] complétant le chargement. Ce lancer constitua une première à divers égards, l’ISRO plaçant notamment à cette occasion des satellites sur trois orbites au cours d’un même lancement, tandis que le 4e étage du PSLV se transformait pour la première fois en une plate-forme de recherche orbitale.

Trois jours plus tôt, le 29 mars, la voie de la performance technologique et spatiale avait été engagée par le tir réussi d’un missile antisatellite (A-Sat) abattant à 300 km d’altitude un satellite cible indien, une prouesse faisant entrer l’Inde dans le cercle très fermé des puissances détenant un tel savoir-faire, jusqu’alors composé des seuls États-Unis, de la Russie et de la Chine.

Des performances transparentes et maîtrisées

Lors de son tir opéré en janvier 2007[2], la Chine avait désigné une cible positionnée à une altitude élevée (800 km), ayant comme conséquence lors de sa destruction la production d’une multitude de débris qui, à une telle altitude, demeureront en orbite, selon les spécialistes, des décennies sinon des siècles, avec le lot de contraintes (sécuritaires notamment) générées par une telle présence sur une si longue durée. À la différence de ce précédent chinois, les ingénieurs du pays de Gandhi œuvrant sur la « mission Shakti (force) » ont retenu une cible située à une altitude inférieure (300 km), une option réduisant à quelques semaines ou mois la présence dans l’espace de ces débris de satellite. Prenant là encore le contre-pied de Pékin – qui en 2007 ne communiqua guère volontiers sur son entreprise antisatellite – New Delhi, par la voix de son Premier ministre Narendra Modi, communiqua sans tarder sur le sujet, insistant lors d’une intervention télévisée sur la transparence du programme spatial indien et l’attachement de la « plus grande démocratie du monde » à la nature pacifique[3] de son ambitieuse politique spatiale. Un mode opératoire plus transparent, plus responsable, salué par deux autres membres de ce club fermé des puissances spatiales, la Russie et les États-Unis, ces derniers confirmant à cette occasion leur « intérêt commun (avec l’Inde) pour l’espace et la coopération scientifique et technique en matière de sûreté et de sécurité dans l’espace extra-atmosphérique[4] ».

L’Inde, une puissance spatiale ambitieuse

Les succès technologiques enregistrés les 29 mars et 1er avril ont entre autres bénéfices permis de confirmer plus avant les capacités autochtones de l’Inde et la solidité d’un programme spatial bâti sur une série de réussites préalables : au printemps 2019, c’est en effet l’Union indienne qui, dans la région indo-pacifique, dispose de la plus importante constellation de satellites civils ; c’est encore l’Inde qui détient le record du nombre de satellites placés en orbite[5] lors d’un seul lancer (104). Enfin, c’est le savoir-faire des ingénieurs indiens qui permit en septembre 2014 à la sonde Mars Orbiter Mission de se placer (à sa première tentative et pour un coût financier très maîtrisé) en orbite autour de la Planète rouge.

Sans surprendre, ces compétences reconnues drainent aujourd’hui vers l’Inde des nations et des entreprises du monde entier lui confiant le lancement de leurs satellites. À ce titre, relevons l’étroite coopération entre l’Inde et la France (notamment entre l’ISRO et le CNES), lesquelles n’hésitent pas à parler de « vision commune de la coopération spatiale », à mettre en avant le fait que « la France et l’Inde sont liées par un partenariat ancien et sans équivalent dans le domaine des usages pacifiques de l’espace extra-atmosphérique. La coopération et la collaboration dans le domaine spatial ont profondément marqué les relations entre les deux pays qui se sont affirmés comme de grandes nations spatiales[6] ».

La présence de l’Inde sur cette niche technologique de pointe génère des dividendes économiques et comptables, mais également politiques, le cas échéant : au printemps 2017, l’Inde avait ainsi procédé – à titre gracieux – au lancement de satellites destinés à ses voisins du sous-continent et pays membres de la South Asian Association for Regional Cooperation (SAARC[7]). Enfin, dans ce registre valorisant, notons encore que le mois dernier, la NASA[8] faisait part de son intérêt à former, avec ses homologues indiens, un groupe de travail sur le programme de missions spatiales habitées, l’Inde projetant d’envoyer trois astronautes dans l’espace d’ici 2022 dans le cadre de la mission « Gaganyaan[9] », un ambitieux projet porté par le chef de gouvernement indien en personne depuis l’été 2018[10].

—————————

[1] Electro-Magnetic Intelligence Satellite, dédié notamment en renseignement militaire.

[2] ‘’Flexing Muscle, China Destroys Satellite in Test’’, The New York Times, 19 janvier 2007.

[3]  Un argument repris à l’identique par Moscou (‘’Russia highlights ‘non-directedness’ of India’s anti-satellite test against any country’’, The Business Standard, 29 mars 2019).

[4] Département d’État (américain), 3 avril 2019.

[5] Une prouesse réalisée en février 2017 ; lire à ce propos ‘’India Launches 104 Satellites From a Single Rocket, Ramping Up a Space Race’’, The New York Times, 15 février 2017.

[6] Le détail de cette coopération étroite peut être apprécié sur le site Internet de l’ambassade de France à New Delhi (https://in.ambafrance.org/Vision-commune-de-la-cooperation-spatiale-entre-la-France-et-l-Inde).

[7] L’organisation régionale de coopération réunissant les sept pays d’Asie méridionale + l’Afghanistan.

[8] ‘’Gaganyaan 2022: US interested in working with India for manned space mission’’, India Today, 9 mars 2019.

[9] ‘’ Gaganyaan 2022: What the mission is all about l 10 points’’, India Today, 28 décembre 2018.

[10] ‘’On Independence Day, Modi promises Indian manned space mission’’, CNN, 15 août 2018.

EU-landene må finde et fælles fodslag over for Tyrkiet

DIIS - Wed, 10/04/2019 - 09:22
Præsident Erdogan drager fordele af et splittet EU

Was wir aus der Forschung zu Transitional Justice in Postkonfliktgesellschaften wissen: wesentliche Erkenntnisse für die Praxis

Gesellschaften, die Gewaltkonflikte erfahren haben, stehen vor der großen Herausforderung nachhaltigen Frieden aufzubauen. Dabei ist eine entscheidende Frage, wie mit der gewaltsamen Vergangenheit umgegangen wird – sollen die Täter vor Gericht zur Verantwortung gezogen werden, oder der Schwerpunkt auf Wahrheitsfindung und Entschädigungen für Opfer liegen? Die verschiedenen Instrumente der Vergangenheitsarbeit und Versöhnung (Transitional Justice, TJ) wurden in den letzten Jahren von systematischen empirischen Analysen untersucht. Dieses Papier fasst die ersten, politikrelevanten Erkenntnisse zusammen, die sich daraus für die wichtigsten TJ-Instrumente ergeben: Gerichtsprozesse, Wahrheitskommissionen, Entschädigungen und Amnestien. Aus der akademischen Literatur zur Wirkung von Transitional Justice in Postkonfliktkontexten ergeben sich drei Kernbotschaften:
  • Transitional Justice kann einen wichtigen Beitrag zu Frieden leisten. Entgegen Bedenken, dass eine aktive Auseinandersetzung mit der Vergangenheit Gesellschaften noch stärker spalten und Konflikte erneut aufflammen lassen könnte, ergeben statistische Untersuchungen überwiegend, dass TJ sich entweder positiv oder gar nicht auf Frieden auswirkt.
  • Amnestien können helfen Frieden zu sichern. Entgegen Vorbehalten gegenüber Amnestien auf der internatio¬nalen Ebene (besonders aus normativen Gründen), kommen mehrere Studien zu dem Schluss, dass Amnestien das Risiko eines Wiederausbruchs statistisch signifikant verringern können. Jedoch zeigt die aktuellste Studie auch, dass die Wirkung kontext¬abhängig ist: Amnestien können einen Beitrag zum Frieden leisten, wenn sie Teil von Friedensabkommen sind, aber sie sind wirkungslos nach Episoden sehr schwerer Gewalt.
  • Um Frieden wirksam zu fördern, sollten Gerichtsprozesse Täter aller Konfliktparteien einbeziehen. Dieses Ergebnis einer aktuellen Studie lässt sich damit erklären, dass andernfalls Gerichtsprozesse von der siegreichen Partei genutzt werden können, um die unterlegene Seite zu bestrafen. Allgemein sollten Geber sich darüber im Klaren sein, dass ein TJ-Prozess durch ein politisches Regime instrumentalisiert werden kann und der Prozess dann selten friedensfördernd ist.
Aus der Literatur wird auch deutlich, dass wichtige Fragen nach wie vor offenbleiben:
  1. Kann Transitional Justice zu einer tiefergehenden Qualität von Frieden beitragen, die über die reine Abwesenheit von Gewalt hinausgeht? Da TJ darauf abzielt Aussöhnung zu fördern, sollte es gesellschaftliche Beziehungen stärken. Es muss jedoch besser verstanden werden, ob und wie TJ auf soziale Kohäsion in Postkonfliktgesellschaften wirken kann.
  2. Auf welche Weise müssen die verschiedenen Instrumente kombiniert werden? Sowohl die Literatur als auch politische Grundsatzdokumente weisen darauf hin, dass es wichtig ist, die richtige Mischung von Instrumenten zu finden; es fehlt jedoch noch an systematischen Analysen zu Kombinationen von TJ-Instrumenten.
  3. Welche Rolle spielt Geberunterstützung für Transitional-Justice-Prozesse? Geber begleiten TJ Prozesse häufig finanziell, aber auch inhaltlich. Über die Effektivität dieser Unterstützung ist jedoch noch zu wenig bekannt.


Der »Jahrhundert-Deal« zur Lösung des israelisch-palästinensischen Konflikts

SWP - Wed, 10/04/2019 - 00:00

Die US-Administration hat angekündigt, zu einem nicht näher bestimmten Zeitpunkt nach den Parlamentswahlen in Israel ihren »Jahrhundert-Deal« zur Regelung des israelisch-palästinensischen Konflikts vorzulegen. Auch wenn die Details des Plans bislang ein wohlgehütetes Geheimnis sind: Aufgrund bisheriger Signale der Trump-Regierung ist davon auszugehen, dass die Initiative keine Konfliktregelung auf Basis von zwei souveränen Staaten vorsieht, internationales Recht nicht als Richtschnur nimmt und palästinensische Rechte israelischen Interessen unterordnet. Eine Zu­stimmung der palästinensischen Führung ist nicht zu erwarten. Die nächste israelische Regierung dürfte dies als grünes Licht dafür sehen, jene Elemente des Plans umzusetzen, die dazu dienen, dauerhaft die Kontrolle über strategische Gebiete der West Bank und über Ost-Jerusalem aufrechtzuerhalten. Dies birgt auch das Risiko, dass die ohnehin schon prekäre israelisch-palästinensische Kooperation beim Kon­fliktmanagement zusammenbricht. Deutschland und seine Partner in der EU sollten die Veröffentlichung des amerikanischen Plans zum Anlass nehmen, die Prinzipien einer Konfliktregelung auszubuchstabieren, von denen ihre Unterstützung abhängt. Ebenso sollten sie klarstellen, welche Folgen eine Annexion von Teilen der West Bank für die europäische Politik hat.

Meaningful Inclusion of Young People as Drivers of Peace

European Peace Institute / News - Tue, 09/04/2019 - 21:00

On April 9th, IPI together with the Office of the President of the General Assembly, the United Nations Peacebuilding Support Office, the United Nations Population Fund, Peace Direct, and Interpeace, cohosted a policy forum to discuss the role of young people as drivers of peace and how international actors can advance meaningful participation and inclusion of young people.

Watch the broadcast in French

Meaningful political, social and economic inclusion is a complex and core issue at the heart of the Youth Peace and Security agenda. The challenge, however, is what constitutes meaningful political inclusion and participation of young people, and how can this be undertaken to prevent violence and sustain peace.

Contributing to sustaining peace, and preventing the outbreak, continuation, escalation and recurrence of violence requires expansion of young people’s roles and engagement in formal and informal political processes and institutions. It demands attention to improve young people’s roles in decision-making processes that directly impact their lives, and their relationships with their communities and the state.

The Youth, Peace and Security agenda, laid out in Security Council Resolution 2250, and the Independent Progress Study on Youth Peace and Security debunks negative assumptions about youth in peace and security, underlines the capacity youth have to participate in meaningful peacebuilding and nonviolent action in their communities and countries and highlights several recommendations on how to advance inclusion broadly. As member states and the United Nations move towards implementation of the youth agenda and recommendation, it is important to reflect what work is being done by young people on the ground, how they want to work with international actors as well as what meaningful inclusion means to them and what accountability looks like in this implementation.

Welcoming remarks:
Dr. Adam Lupel, Vice President, International Peace Institute

Opening remarks:
H.E. Ms. María Fernanda Espinosa Garcés, President, UN General Assembly
Mr. Dereje Wordofa, ASG and Deputy Executive Director, UNFPA

Speakers:
Mr. Moussa Tolo, President, Allô Gouvernance
Mr. Graeme Simpson, Principal US Representative and Senior Peacebuilding Advisor, Interpeace USA
Ms. Vanessa Wyeth, Senior Political and Public Affairs Officer (Peacebuilding), Permanent Mission of Canada to the United Nations
Mr. Adil Skalli, program manager, UN Association of Canada

Moderator:
Mr. Jake Sherman, Director of the Center for Peace Operations, International Peace Institute

Quelles recompositions après les élections européennes ?

IRIS - Tue, 09/04/2019 - 17:34

Alberto Toscano, journaliste, politologue et écrivain italien, répond à nos questions à l’occasion de sa participation aux Entretiens européens d’Enghien, organisés le 30 mars 2019 :
– En quoi la crise migratoire impacte-t-elle les dynamiques politiques nationales et par ricochet les futures élections européennes ?
– Comment sont perçues les élections européennes en Italie ? Comment s’y déroule la campagne ?
– À quoi devrait ressembler le Parlement européen après les élections ?

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