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Afrique

La Côte d'Ivoire attend les résultats des législatives, victoire probable du parti au pouvoir

Slateafrique - Tue, 09/03/2021 - 15:50

La Côte d'Ivoire attend mardi l'annonce, repo

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Ouganda: le leader d'opposition Bobi Wine appelle

Slateafrique - Tue, 09/03/2021 - 15:50

L'ancien chanteur et leader de l'opposition en Ouganda, Bobi Wine, a appelé mardi la population à "se soulever pacifiquement" et à manifester contre le président Yoweri Museveni, qui dirige ce pays d'A

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Sénégal : Les prémices d'une nouvelle ère

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 09/03/2021 - 15:27

J'emprunte à Albert Camus ces mots : « Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu'elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde se défasse. » Cet impératif est plus que jamais d'actualité. C'est surtout une alerte qui sied parfaitement à la situation prévalant, ces derniers jours, au Sénégal.

Au moment où tout le pays était suspendu à la décision du doyen des juges concernant le sort du leader du parti Pastef - Les Patriotes, Ousmane Sonko, des milliers de jeunes militants, étudiants ou chômeurs étaient dans les rues, prêts à aller à l'assaut des pandores.

Au delà des péripéties qui ont abouti au retour à son domicile du désormais chef de file d'une opposition ragaillardie par la reculade forcée du pouvoir, il faudra décrypter les nombreux messages qui suintent des événements en cours. Il ne faut pas s'y tromper : il s'agit véritablement d'une rupture systémique dans le mode de gouvernance politique instauré par le président Macky Sall depuis son arrivée au pouvoir. Pour la première fois, en effet, le chef de l'État sénégalais n'a semblé aussi peu isolé dans un domaine où il a toujours excellé par le passé. Une communication auparavant juste et à propos, conduite par des experts en la matière, mais dépassée, depuis le déclenchement de l'affaire « Adji Sarr – Ousmane Sonko », par la sentence populaire décrétant, « preuves à l'appui », qu'un complot avait été ourdi pour neutraliser un opposant ambitieux.

Le mois de mars est toujours un cauchemar pour l'opposition au Sénégal. C'est le 15 mars 2013 que Karim Wade, accusé de détournements de deniers publics, de corruption et d'enrichissement illicite, fut mis en demeure, avant de passer sous les fourches caudines d'une justice implacable (la Crei). Le 23 mars 2015, il sera condamné à six ans de prison ferme et 138 milliards de francs CFA d'amende pour enrichissement illicite.

Le 30 mars 2018, au terme d'un procès qui aura duré près de deux mois et demi, Khalifa Ababacar Sall, député et maire de Dakar, a été condamné à 5 ans de prison ferme dans l'affaire de la caisse d'avance de la mairie de la capitale sénégalaise. L'ancien dissident du Parti socialiste et leader de Taxawu Senegaal était placé en détention, depuis le 7 mars 2017, avec cinq de ses collaborateurs pour détournement de fonds publics.

Ce 8 mars 2021 n'a pas été seulement la journée internationale des droits des femmes. Elle marque aussi le début d'une nouvelle ère dans les rapports entre le pouvoir et l'opposition au Sénégal. Elle marque surtout le retour au premier plan d'un peuple longtemps mis à l'écart des joutes politiques et de nouveau mis en selle par la tournure dramatique d'un feuilleton inutile et inopportun en ces temps de Covid-19, de sécheresse financière et de disette économique. Inculpé et placé sous contrôle judiciaire, Ousmane Sonko, contrairement à Karim Wade et Khalifa Sall, est retourné dans sa famille, se payant même le luxe d'imposer, dans une allocution qui a fait sauter l'audimat, un agenda sur mesure au président de la République. Un affront de plus face à un adversaire apparemment désemparé et surpris par l'ampleur de la mobilisation populaire !

Encore une fois, l'exception sénégalaise garde ses lettres de noblesse. Les régulateurs et facilitateurs de tous ordres, notamment les émissaires des familles maraboutiques, se sont activés. Avec des fortunes diverses. Il suffit d'interroger l'histoire récente de pays limitrophes pour se rendre compte que le Sénégal a frôlé le pire ! Les événements que le pays a traversés ces derniers jours auraient pu le précipiter dans le chaos ou abréger le règne d'un pouvoir très éloigné des préoccupations essentielles d'une population désabusée.

En octobre 2014, il a suffi de trois jours seulement pour que Blaise Compaoré soit démis par le peuple burkinabè. Le 22 octobre, plusieurs organisations de la société civile, dont le Balai citoyen, mouvement porté par une jeunesse qui n'a connu que Compaoré au pouvoir, avaient appelé à la désobéissance civile. Le 29 octobre, son projet de modification de la constitution (pour briguer un autre mandat) avorte. Deux jours plus tard, le 31 octobre, aux environs de 12h, Blaise Compaoré prend la route d'un exil forcé avec quelques proches.

Plus récemment, en août 2020, au Mali voisin, le pouvoir du président Ibrahim Boubacar Keita a été emporté par un soulèvement populaire conduit par le mouvement du 5 juin. Il aura juste fallu trois mois pour faire vaciller puis tomber le régime, mais la victoire finale sera récupérée par la junte militaire sur un plateau d'argent.

Le message à la nation du président Macky Sall était attendu. Fiévreusement. Certains supputant même qu'il en profiterait pour sonner le glas d'une éventuelle candidature à un 3e mandat. Que nenni ! Le discours est resté très aérien, survolant les grandes questions de l'heure, et privilégiant les acquis engrangés, selon lui, par le dialogue politique. Aucune allusion toutefois aux forces occultes et d'éventuels actes de terrorisme évoqués quelques jours auparavant par le ministre de l'Intérieur et d'autres relais du régime. Il faut se rendre à l'évidence ; si le président Macky Sall a, reconnaissons-le, initié un certain nombre d'initiatives qui ont permis au Sénégal de s'ouvrir davantage au monde, il est cependant passé à côté de l'essentiel : assurer aux Sénégalais de meilleures conditions d'existence, dans un contexte économique certes difficile, mais aussi accentué par la crise sanitaire avec la pandémie de coronavirus.

Dès lors, les récents évènements ne doivent pas remettre en cause l'impérieuse nécessité de voir tous les acteurs politiques, les forces vives et la société civile, œuvrer ensemble pour préserver le seul bien commun et cher à tous : le Sénégal, une nation qui doit rester debout, fière et digne d'assumer pleinement les responsabilités que lui confère sa souveraineté. Il appartient toutefois au président de la République, le seul maître du jeu politique, de donner des gages du respect scrupuleux de la Constitution et des engagements souscrits.

Il faut se réjouir du retour à un climat apaisé et au fléchissement des différentes positions. Les victimes, une dizaine, sont des morts de trop, des martyrs partis pour la plupart à la fleur de l'âge. Paix à leur âme ! Il faut veiller à ce que le combat, qui a entrainé leur perte cruelle, ne soit vain. Mieux, les uns et les autres doivent tirer toutes les leçons de cette séquence désormais inscrite au Panthéon de notre conscience nationale. « Rien ne sera plus comme avant ! » aimait dire le président Abdou Diouf.

Plus de vingt ans après son départ du pouvoir, ce slogan doit être réhabilité et revisité. Le Sénégal, ou plutôt la jeunesse sénégalaise, a beaucoup évolué. À l'ère des réseaux sociaux et d'un monde ouvert à toutes les influences, certaines pratiques n'ont plus droit de cité. Les jeunes ont pris leur destin en main et entendent exprimer leurs attentes. Ignorer cela serait suicidaire.

Bonne semaine à tous !

Karim DIAKHATÉ
Directeur de Publication du magazine LE PANAFRICAIN
Coordonnateur de la Rédaction du magazine AFRIQUE DÉMOCRATIE

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Burkina : Le fleuve Mouhoun "victime" des activités d'orpaillage

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 09/03/2021 - 14:48

Une rencontre d'échanges initiée par l'Agence de l'eau du Mouhoun les 4 et 5 mars 2021 dans la commune de Koudougou. Cette rencontre qui a vu la présence du gouverneur du Centre-Ouest ainsi que celui de la Boucle du Mouhoun avait pour objectif d'échanger sur l'impact des mauvaises pratiques d'orpaillage sur la ressource en eau du fleuve Mouhoun.

Après un constat du changement de la couleur de l'eau du fleuve Mouhoun dont l'origine serait liée aux activités d'orpaillage, les autorités régionales de la Boucle du Mouhoun ont interpelé l'Agence de l'eau du Mouhoun (AEM) dans le mois de janvier. Une mission conjointe avec les services techniques déconcentrés a été ainsi diligentée par l'AEM sur les différents sites d'orpaillage.

A cet effet, l'agence a transmis un rapport aux deux gouverneurs des régions concernées faisant l'état des lieux de la pollution du fleuve Mouhoun par les pratiques d'orpaillage. C'est au vu des dégâts et des menaces causés par ces mauvaises pratiques de l'orpaillage sur le fleuve Mouhoun que la rencontre de Koudougou a eu lieu afin de trouver urgemment des solutions idoines.

Les autorités sur le site de Zamo entrain de constater les dégâts dûs aux mauvaises pratiques de l'orpaillage

Sortie terrain dans la commune de Zamo (province du Sanguié), échange sur l'impact des mauvaises pratiques de l'orpaillage sur les ressources en eau du Mouhoun, formulation de recommandations et une feuille de route pour protéger le fleuve Mouhoun, sont entre autres les grands axes qui ont meublé cette activité.

« Sauvons le fleuve Mouhoun », c'est le motif qui a conduit la délégation conduite par le gouverneur de la région du Centre-Ouest, Irène Coulibaly, et celui de la Boucle du Mouhoun, Edgard Sié Sou, à Kalio dans la commune de Zamo, le mercredi 4 mars 2021. Cette délégation composée des autorités régionales des deux régions ainsi que des services techniques compétents ont, à travers cette sortie terrain, saisi l'occasion pour toucher du doigt et constater de visu les pratiques d'orpaillage qui sont à l'origine de la dégradation de la qualité de l'eau du fleuve Mouhoun.

Avertis de la visite, les orpailleurs ont visiblement fui les lieux laissant le site vierge

Cap a d'abord été mis sur le village de Kalio afin de prêter allégeance au chef de canton de la localité. Celui-ci a ainsi saisi l'occasion pour inviter les autorités à agir pour le salut de son village qui est confronté à une sécheresse due à l'exploitation abusive de la forêt classée. « Même pour avoir le bois de chauffe c'est compliqué. C'est pareil pour notre eau de boisson, c'est vraiment dur de trouver une eau de qualité pour boire. » a-t-il déclarer avec indignation.

Constat "alarmant"

Après cette étape, la délégation a pris le chemin du site. Après plusieurs heures de marche, les voici enfin sur le site. Avertis de leur visite, les orpailleurs ont visiblement fui les lieux laissant le site vierge. Le constat était alarmant, au vu des mauvaises pratiques de traitement de minerai par les orpailleurs. Ces derniers prélèvent l'eau du fleuve pour traiter et extraire l'or, et après les eaux et sédiments usés issus du traitement sont rejetés dans le fleuve entrainant ainsi le changement de la couleur de l'eau.

Le représentant des orpailleurs, Mahamoudou Sawadogo

Un constat qui n'a laissé personne indifférente. C'est du moins ce qui est ressorti dans le message du gouverneur de la région de Centre-Ouest. « J'avoue que c'est assez choquant ce que nous venons de voir, d'autant plus qu'au niveau de la région du Centre-Ouest, pour combattre ce phénomène nous avons de concert avec le ministère en charge de l'Environnement organisé une vaste opération au mois de juin 2020 pour déguerpir ces orpailleurs de cette forêt classée », confie-t-elle.

Elle reconnait du même coup que les efforts déployés ont été vains, car les mêmes orpailleurs sont revenus en force sur le terrain avec des mauvaises pratiques aux abords du fleuve Mouhoun, qui compromettent même la santé des populations. D'où, selon le gouverneur, il faut agir vite pour sauver le fleuve Mouhoun. « Cela veut dire qu'il va falloir engager d'autres solutions qui sont entre autres la sensibilisation mais au-delà réprimer si nous voulons protéger nos populations et nos ressources naturelles », insiste-t-elle.

Irène Coulibaly, gouverneur de la région du Centre-Ouest

Même constat chez le représentant des orpailleurs, Mahamoudou Sawadogo, qui affirme être lui-même surpris de l'existence de ce site. « En tant que responsable des orpailleurs, nous ne savons pas comment ils on fait pour se retrouver ici car nous mêmes c'est notre première fois de rentrer ici. Mais je me dis que lorsqu'on se met ensemble pour résoudre un problème je crois que l'on peut trouver la solution. Rappelez-vous que les orpailleurs également sont des Burkinabè et s'ils sont là aujourd'hui c'est parce que la plupart sont des déplacés internes. » justifie le représentant des orpailleurs M. Sawadogo. Il rassure cependant qu'ils sont tous conscients de leurs mauvaises pratiques et après un temps d'échanges avec eux, ils ont compris et promettent de quitter les lieux, confie-t-il.

Une menace réelle

La journée du 5 mars a été consacrée principalement aux échanges sur les réalités vécues la veille aux abords du fleuve Mouhoun. La rencontre a réuni plusieurs acteurs du domaine concerné, des deux régions tels Wendemi Siprien Pizamba, PCA de l'AEM, Ema Palm/Zoelengré représentant le secrétaire général du ministère en charge de l'Eau, et du directeur général des l'AEM, Dr Bouraïma Kouanda.

Elle a été ponctuée en plus de la cérémonie d'ouverture, de communication et d'échange. Les communications portaient essentiellement sur l'état des lieux de l'impact des pratiques d'orpaillage sur la qualité de l'eau du fleuve Mouhoun dans les provinces des Balé et du Sanguié, et des échanges sur la problématique afin de dégager des solutions pertinentes et consensuelles. Dans son mot de bienvenue, le gouverneur du Centre-Ouest, Irène Coulibaly, a d'abord rappelé que l'eau c'est la vie et reste indispensable à tout projet de développement socioéconomique.

Cependant cette eau est menacée aussi bien par le changement climatique que par l'homme. « Le fleuve Mouhoun est une source d'espoir pour notre nation, il est le plus important et long d'environ 1000 km sur le territoire burkinabè. Il soutient plusieurs activités socio-économiques et peut est considéré comme le poumon de l'économie de plusieurs régions notamment celle de la Boucle du Mouhoun. Il fait partie des principales ressources d'alimentation des villes de Koudougou et de Boromo en eau potable. Il est aujourd'hui menacé plus que jamais par les activités telles que les mauvaises pratiques d'orpaillages », a exposé le gouverneur Coulibaly.

Selon elle, l'un des plus grands défis qui se présentent, est celui de faire en sorte que les projets de développement durable mis en œuvre autour du fleuve Mouhoun pour le bonheur des populations ne soient pas hypothéqués par des pratiques malsaines, notamment l'ensablement et la pollution issus de l'exploitation artisanale de l'or. Pour ce faire, elle a souhaité que des propositions concrètes et réalistes soient formulées pour une protection durable des ressources naturelles et particulièrement celle de l'eau.

A l'issue des travaux, les participants de concert avec les deux gouverneurs ont formulé des propositions et tracé une feuille de route afin d'entreprendre des actions à même d'endiguer le phénomène. Au titre des solutions on peut retenir entre autres une série de communications prévues à l'endroit des orpailleurs par les autorités compétentes, leur interdisant toute activité d'orpaillage.

Sié Edgard Sou, gouverneur de la Boucle du Mouhoun

Pour le directeur général de l'Agence de l'Eau du Mouhoun, Dr Bouraïma Kouanda, les conclusions sont satisfaisantes, et selon lui, l'action urgente à mener sur le terrain c'est bien celle de la communication pour informer les orpailleurs qu'ils doivent quitter les lieux. « Vous l'avez constaté hier (4 mars), il y a des dépôts de terre le long du fleuve Mouhoun environs 3 à 4 km. Donc si nous n'enlevons pas ces dépôts de terre le long du fleuve avant la saison pluvieuse la situation va être dramatique... » conclut-il. Le gouverneur du Centre-Ouest, Irène Coulibaly, de rassurer qu'ils se feront porteurs de la préoccupation des orpailleurs concernant des mesures d'accompagnement afin de rendre compte au gouvernement.

P.O
LeFaso.net

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Côte d'Ivoire: le RHDP d'Alassane Ouattara conserve sa majorité à l'Assemblée nationale

RFI /Afrique - Tue, 09/03/2021 - 14:47
Les Ivoiriens connaissent désormais le visage de leur nouvelle Assemblée nationale, issue des législatives du samedi 6 mars auxquelles la quasi-totalité des forces politiques avaient participé dans le calme. Après deux jours à égrener les résultats, cette fois, le pays est fixé.
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Six vérités sur les vaccins Covid-19

BBC Afrique - Tue, 09/03/2021 - 14:46
L'un des plus grands obstacles à la lutte contre la pandémie n'est pas d'ordre médical ou logistique. Il s'agit d'une désinformation sur les vaccins contre le Covid-19.
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Procès Dr Mouzoko : 16 prévenus condamnés à des peines capitales

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 09/03/2021 - 14:27



La Cour militaire du Nord-Kivu a condamné, par défaut, seize prévenus à des peines capitales. Elle a rendu, lundi 8 mars à Butembo, son verdict, après deux semaines de procès, dans l’affaire de l’assassinat du médecin camerounais Richard Mouzoko.  


Parmi les condamnés, se trouve le Dr Mundama que le ministère public avait présenté dans son réquisitoire comme cerveau moteur de l’assassinat.  

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Nord-Kivu : le ministère public requiert 3 mois de servitude pénale contre l’artiste musicien Delcato

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 09/03/2021 - 14:26



Le ministère public a requis trois mois de servitude pénale principale contre l’artiste musicien Idengo Delcato, auteur de la chanson « Politiciens Escrocs ». La sentence a été rendu public lundi 8 mars dans la salle d’audience du tribunal de paix de Beni.  

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Ituri : 8 morts dans l’incursion des ADF à Apende

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 09/03/2021 - 14:09


Huit personnes ont été tuées lundi 8 mars la nuit, lors d’une nouvelle attaque des rebelles ougandais des ADF au village d’Apende dans la chefferie de Walese Vonkutu dans le territoire d’Irumu (Ituri). Des sources sécuritaires qui donnent cette information, déplorent également la destruction d’une dizaine d’habitations ainsi que le pillage de bêtes.  

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Dr Eteni Longondo : « Le vaccin est le meilleur moyen pour lutter contre la Covid-19 »

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 09/03/2021 - 13:54


« Le vaccin est le meilleur moyen pour lutter contre la pandémie de Coronavirus et d’autres épidémies », a affirmé ce mardi 9 mars le ministre de la Santé publique, Dr Eteni Longondo, dans une interview accordée à Radio Okapi. 

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Tshopo : des femmes vivant avec handicap plaident pour leur accessibilité à l’outil informatique

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 09/03/2021 - 13:34



Le Noyau de coordination des personnes vivant avec handicap, toutes catégories confondues, plaide pour l’accessibilité des femmes vivant avec handicap à l’outil informatique et à la formation en leadership féminin. Ce plaidoyer a été fait lundi 8 mars au centre Espoir des Sourds de Kisangani (Tshopo), lors d’une matinée de sensibilisation des femmes vivant avec handicap sur le rôle qu’elles doivent jouer en tant que personne humaine à part entière dans le développement de leurs milieux. 

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Lualaba : plusieurs incidents enregistrés, à la suite du décès d’un creuseur à Kisankala

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 09/03/2021 - 13:26



De graves incidents ont éclaté lundi 8 mars au village Kisanfu, situé à une cinquantaine des kilomètres de la ville de Kolwezi, dans le Lualaba. A la base : le meurtre d’un creuseur artisanal qui a été tué dans la nuit de dimanche, dans une carrière minière située au village Kisankala.   


Ces amis qui soupçonnaient un militaire d’en être l’auteur ont transporté son corps jusqu’en sa résidence au village Kisanfu, à quatre kilomètres du lieu du drame. 

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Kasaï-Oriental : plusieurs entreprises ne versent pas les redevances minières aux entités (Société civile)

Radio Okapi / RD Congo - Tue, 09/03/2021 - 12:55



Plusieurs entreprises œuvrant dans le secteur minier et de diamant ne versent pas les redevances, s’inquiète la société civile de Miabi, dans le Kasaï-Oriental. D’après son président, qui intervenait lundi 8 mars sur Radio Okapi, ces redevances minières devraient être reversées aux entités pour faciliter leur développement, tel que prévoit le code minier. 


Il cite entre autres la société Annhui d’investissement Minier (SACIM), parmi celles qui ne versent pas leurs redevances. 

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Obsession baskets: l'inventivité de la culture urbaine sud-africaine

Slateafrique - Tue, 09/03/2021 - 11:50

Un vrai défilé de mode: les jeunes gens qui font la queue devant cette boutique d'un quartier aisé de Johannesburg pour acheter en avant-pr

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Soudan: avec les derniers rebelles du Darfour

RFI /Afrique - Tue, 09/03/2021 - 11:00
Depuis presque 20 ans, l’Armée de Libération du Soudan combat le pouvoir central soudanais. L’ALS contrôle une grande partie du Darfour, dans l’ouest du pays. La région a été ensanglantée par la guerre civile avec plus de 300 000 morts selon les experts. À la différence des autres mouvements armés, l’ALS a refusé de signer l’accord de paix d’octobre. Il n’a pas du tout l’intention de déposer les armes. Sébastien Németh a pu passer plusieurs jours dans la chaîne de montagnes du Jebel Marra, le fief de l’ALS.
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Ouagadougou : Les résidents de la cité de Bassinko mobilisés autour de la citoyenneté et la cohésion sociale

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 09/03/2021 - 10:40

L'association des résidents de la cité de Bassinko (ARCIBA) est née de la volonté de faire un plaidoyer de la prise en compte des préoccupations des habitants de la cité au niveau national et communal de Bassinko. Elle a organisé du 6 au 7 mars 2021, la 3e édition des 48h de la cité. C'est le ministre de l'Urbanisme, de l'Habitat et de la Ville, Bénéwendé Stanislas Sankara, qui a présidé la cérémonie d'ouverture de cette 3e édition, le samedi 6 mars 2021.

La troisième édition de l'association des résidents de la cité de Bassinko s'est tenue du 6 au 7 mars 2021 à Ouagadougou. C'est autour du thème "citoyenneté et cohésion sociale, quelles contributions des résidents pour un bien vivre-ensemble de la cité de Bassinko" que les résidents ont mené des réflexions 48 heures durant. Les échanges se sont portés d'une part, selon le président de l'ARCIBA, Aboubakary Barro, sur des préoccupations urgentes de la cité, et d'autre part sur des comportements à adopter en vue de leur propre épanouissement.

Toujours selon Aboubakary Barro, pendant deux ans, les habitants de Bassinko se sont investis corps et âme pour rendre le cadre accessible et agréable à tous. Pour lui, des réalisations ont été faites sur le plan de l'infrastructure, sanitaire, éducatif, sécuritaire, assainissement, etc. Cependant, il reconnaît que beaucoup d'efforts restent à faire. C'est dans cette logique qu'il a demandé l'accompagnement du gouvernement et des partenaires pour faire de cette cité un "paradis sur terre".

Boubakary Barro, président de l'ARCIBA

Cette cité de Bassinko qui compte aujourd'hui plus de quinze mille résidents.
Prenant la parole, le président de la cérémonie, le ministre Bénéwendé Stanislas Sankara, a félicité et a encouragé l'association des résidents de la cité de Bassinko à aller au large dans sa quête de vivre-ensemble en fédérant toutes les couches sociales. Et face aux problèmes soulevés par les résidents (l'enclavement de la cité lié au manque de voies, d'éclairage, la question de l'insécurité et bien d'autres), le ministre de l'Urbanisme, de l'Habitat et de la Ville répond à travers un geste d'humour. << Inscrivez-moi désormais comme membre de l'association pour qu'ensemble nous relevions les défis qui sont les nôtres>>, a-t-il lancé. Mieux, le ministre est même disposé à porter sa toge d'avocat pour "défendre" Bassinko.

Bénéwendé Stanislas Sankara, président de la Cérémonie

<< C'est ensemble que nous allons défendre les dossiers de Bassinko. S'il faut voir les autres collègues pour qu'il y ait un commissariat, euh bien j'irai. S'il faut voir la santé pour que l'hôpital de référence soit construit, je porterai ma robe d'avocat pour le faire.>>

L'association des résidents de la cité de Bassinko c'est aussi un lieu de promotion de l'excellence en milieu scolaire. À cet effet, trois élèves en provenance des différentes écoles primaires de la localité ont été primés. Il s'agit de Yaan Kourikorgo de l'école primaire Bassinko "A", d'Élodie Compaoré et Abdoul Madjib Kaboré de Bassinko"B". Aussi, des attestations de reconnaissance ont été remises aux différents partenaires.

Dofinitta Augustin Khan
Lefaso.net

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Décès de Marie Pogbi COMPAROE née ZONGO : Faire-part

Lefaso.net (Burkina Faso) - Tue, 09/03/2021 - 10:01

Le Baloum Naaba et famille ;
Le Responsable coutumier de KALZI et de Maasré ;
La grande famille du feu Henri Goama COMPAORE à Ouagadougou, (Attécoubé) à Abidjan et à Bordeaux ;

La famille du Feu SAWADOGO Simon à Bobo-Dioulasso,
La famille Compaoré et Zongo à mogdin (saaba) ;
Les familles alliées NIKIEMA, KABORE, DEALBERT, BAYIRI, YELBI, GAMENE et SAWADOGO ;
Les enfants Eugène, Camille, Félicité, Anne et Emile

ont la profonde douleur de vous annoncer, le décès de leur épouse, grande mère, arrière grande mère, tante, Marie Pogbi COMPAROE née ZONGO née en 1929 et baptisée le 27 août 1933, résidante à Ouagadougou dans le quartier saint Léon.

Rappel à Dieu survenu le samedi 06 Mars 2021 à Ouagadougou dans sa quatre-vingt douzième année.

Le programme des obsèques est le suivant :

- Une veillée de prière sera organisée le mercredi 10 mars 2021 à partir de 20 heures 30 minutes au domicile familial à saint Léon,

la levée du corps le jeudi 11 mars 2012 au domicile familial à 08h00,

absoute à la cathédrale de l'immaculée conception à 09 heures

suivi de l'inhumation au cimetière route de saponé au environ de 11heures.

Paix à son âme.

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