You are here

Afrique

Covid-19 : le carton jaune de la Banque d’Algérie aux établissements publics

Jeune Afrique / Finance - Thu, 11/03/2021 - 12:54
Pénalités de retard, saisies-arrêts… Le régulateur algérien tente de mettre le holà aux « pratiques de recouvrement coercitives » appliquées par les établissements financiers aux entreprises en difficulté.
Categories: Afrique

Covid-19 : le carton jaune de la Banque d'Algérie aux établissements publics

Jeune Afrique / Finance - Thu, 11/03/2021 - 11:54
Pénalités de retard, saisies-arrêts... Le régulateur algérien tente de mettre le holà aux " pratiques de recouvrement coercitives " appliquées par les établissements financiers aux entreprises en difficulté.
Categories: Afrique

Hamed Bakayako: qui était le Premier ministre ivoirien?

BBC Afrique - Thu, 11/03/2021 - 09:14
Le président ivoirien Alassane Ouattara confirme le décès de son Premier ministre Hamed Bakayoko sur sa page Facebook. Voici le parcours du défunt.
Categories: Afrique

Meghan et Harry : pourquoi leur fils Archie n'est pas un prince?

BBC Afrique - Thu, 11/03/2021 - 09:00
La Duchesse de Sussex considère qu'un titre royal pour son fils est important. Quelles sont les règles en la matière ?
Categories: Afrique

Afrique Avenir : Luttes, engagements et parcours professionnels, des leçons de vie de femmes africaines

BBC Afrique - Wed, 10/03/2021 - 14:07
Afrique Avenir recoit Djamila Ferdjani, Médecin, entrepreneure et fondatrice de l’ONG Medcom et Olivia Nloga, directrice de la communication Afrique francophone de Facebook.
Categories: Afrique

Bola Adesola (Standard Chartered) : " Les lignes de fractures économiques sont favorables à l'Afrique "

Jeune Afrique / Finance - Wed, 10/03/2021 - 11:52
Pour Jeune Afrique, la banquière nigériane, vice-présidente senior pour l'Afrique, décrypte la stratégie et les priorités du colosse coté à Londres. Et assure qu'une banque centenaire peut encore innover.
Categories: Afrique

Obulbiga Lompo Tapoa Florence ou l'étoffe des héros

Lefaso.net (Burkina Faso) - Wed, 10/03/2021 - 10:34

13 100 pagnes Faso Dan Fani tissés par an, 16 tisserands et teinturiers à l'atelier, une boutique, un réseau national de plus de 150 indépendants et partenaires formés par ses soins, une école solidaire pour éduquer les petits et les initier à l'artisanat, Florence Obulbiga Lompo Tapoa propose une vision intégrée du développement. Cette enseignante de la fonction publique a préféré suivre sa propre voie pour construire un système d'entrepreneuriat social singulier qui œuvre à l'autonomisation des femmes.

« Nous produisons des pagnes Faso dan fani, un tissu 100% coton burkinabè. Ce coton est produit par les cotonculteurs nationaux. La filature ainsi que la transformation sont également faites au Burkina Faso. Pour notre part, nous faisons la teinture, le tissage et la transformation ».

Quand Florence Obulbiga Lompo Tapoa décrit initialement son activité, on aurait bien tort de n'y voir là qu'une simple tisserande. Le nom de son association, Hammiyé, issu du prénom de son défunt beau-père et qui signifie "Le bienfait n'est jamais perdu ", pourrait déjà nous mettre la puce à l'oreille.

Et c'est au fur et mesure de l'échange qu'on découvre toute la grandeur d'une femme engagée, simple, pragmatique et rieuse ; et l'étendu de tout ce qu'elle a pu accomplir.

"J'ai commencé à pratiquer la teinture avec une de mes tantes dès l'âge de 14 ans. Je faisais cette activité tout en fréquentant l'école ", explique-t-elle. “J'ai toujours aimé le travail manuel.”

"Après avoir obtenu le BEPC, j'ai poursuivi mes études secondaires jusqu'à la terminale. Mais je n'ai pas pu obtenir le diplôme de baccalauréat. Par la suite, j'ai été recrutée dans l'enseignement primaire”.

Une passion pour le travail manuel


Florence est institutrice mais elle fait un cruel constat. « Pour moi, le système éducatif classique était incomplet car il laissait peu de place aux activités manuelles, aux activités de production. Alors que pour moi le développement d'une personne commence par le développement des sens, par de la manipulation favorisant la libération du génie créateur de l'individu. »

Aussi s'efforce-t-elle d'introduire cette dimension dans sa pédagogie. « Il y a beaucoup d'activités qu'on peut mener telles que le jardinage, les activités culturelles, la filature traditionnelle, on peut initier dès le bas âge les enfants à tout cela ! »
« J'enseignais la composition des couleurs. Au lieu d'aller chercher la couleur importée, faite à base de produits chimiques, je voulais montrer comment on pouvait, nous-mêmes, créer des couleurs à base de plantes de notre propre flore végétale (tiges de sorgho, feuilles de manguier, feuilles de cactus, etc). »

Des techniques de teintures biologiques africaines qu'elle développe, en partie, dans son atelier.

C'est en 2009, qu'elle décide de mobiliser tous ses temps libres et périodes de congés administratifs pour se consacrer à l'artisanat et à la matérialisation de sa propre vision du développement.

« J'ai commencé l'activité avec une seule femme parce que je n'avais pas les moyens pour m'acheter les métiers à tisser. Mais une bienfaitrice, ayant compris ma vision, m'a offert deux métiers à tisser. Puis un autre m'a été donné par une personne de bonne volonté », explique-t-elle.

Mais comment permettre à ces femmes, avec enfants, de venir travailler sereinement ? C'est alors par nécessité tout autant que par conviction que Florence monte parallèlement une petite école. Initialement elle souhaitait l'ouvrir aux femmes en difficultés, aux filles-mère, aux orphelins, ou aux enfants nécessiteux.

« J'ai commencé avec 7 enfants. On a conduit l'année scolaire jusqu'au bout et l'année qui a suivi le voisinage est venu taper à notre porte pour nous demander d'inscrire leurs enfants chez nous !

Je me suis dit “pourquoi pas”. Après tout, mon état d'esprit était d'avoir une école inclusive. Alors j'ai instauré, pour les familles qui le pouvaient, une certaine somme afin de pouvoir supporter les charges et me permettre de scolariser gratuitement les enfants des familles démunies. »

Aujourd'hui l'école Hammiyé, de l'association éponyme, a une centaine d'enfants. « J'y applique ma vision de l'enseignement. En plus du programme officiel, j'introduis tout le travail manuel », explique Florence.
Une école, doublée d'un centre d'accueil périscolaire, qui va de pair avec l'atelier de tissage et de teinture.
Seize personnes, de 17 à 30 ans, y travaillent désormais, dont 7 salariés, les autres étant rémunérées à la tâche. « Seize personnes, dont un homme », tient à préciser Florence dans un éclat de rire. « Pour assurer les questions de genre ! ».

Des ramifications un peu partout dans le pays

Le système Oboulbiga comprend également un centre de formation des adultes (femmes et jeunes filles déscolarisées ) pour la production de ses teintures naturelles ou 100% bio.
Toutes les recrues sont formées sur place. Et depuis longtemps. Mieux, une fois formées, elles se mettent à leur compte et viennent grossir un réseau de partenaires et de sous-traitant(e)s.

« En tout nous avons formé 157 femmes, en tissage comme en teinture », témoigne Florence. « On a des ramifications un peu partout dans le pays. Quand nous avons une grosse commande, on fait appel à tout le réseau. On se partage la charge de production. ‘ Si tu peux tisser 50 pagnes en tant de jours, l'essentiel est que tu respectes le délai'. Après on centralise, on fait les vérifications et on procède ensuite à la livraison. »

Florence produit désormais quelque 13 100 pagnes par an. Et non des moindres. Des pagnes de nombreuses fois primés au Salon International de l'Artisanat de Ouagadougou ou encore au Dan Fani Fashion Week (pagne d'argent en 2017).

Se considère-t-elle pour autant comme une cheffe d'entreprise ? « Bon… Je suis une organisatrice, animatrice, conseillère, manager… donc cheffe d'entreprise ! » (rires)
Entreprise Sociale et Solidaire à l'africaine, elle a instauré un système de redevabilité des tisserandes qu'elle a formées. Chacune s'engage à former à leur tour 3 tisseuses minimum en 2 ans. « Il y a même des femmes qui forment leur mari », témoigne Florence.

Un nouvel élan entravé par la Covid 19

Par manque de place, Florence décide de délocaliser l'atelier en périphérie de Ouagadougou. Et c'est grâce à l'argent des différents prix qu'elle a remportés qu'elle a pu acheter son terrain. Sur un terrain désormais de 5 hectares.
« Nous n'avons malheureusement pas encore pu installer l'unité de teinture. Notamment à cause de la Covid 19 qui a fortement ralenti nos activités et diminué nos ressources. »

Cela dit, comme la teinture nécessite beaucoup d'eau, pour laver les fils, elle a installé un forage avec une pompe solaire et un château d'eau. Forte de ces nouvelles capacités hydriques, il ne lui en faut pas plus pour proposer aux femmes d'autres activités telles que le jardinage.
« Vous voyez, on peut faire beaucoup avec nos dix doigts et comme on a l'espace là-bas on initie les femmes à tout : le jardinage, l'élevage, la valorisation des produits forestiers non ligneux tels que les amendes de karité et les graines de néré. »

La vente des productions de maïs et de niébé lui permet d'acheter qui des poussins, qui des boeufs de trait, qui des bobines de fil. Car le tissage et la teinture demeurent tout de même le cœur de l'activité.
Reste que l'école était intrinsèquement liée à l'atelier.

« Nous sommes hors de Ouaga, l'école est là et l'atelier ailleurs. Mais cela fait partie de mes perspectives, il nous faut obligatoirement un cadre pour accueillir les enfants des tisserandes, il me faut une aire éducative là-bas », s'angoisse-t-elle. « Pour moi c'est impératif. »

Gageons qu'elle trouvera la voie, épaulée qu'elle est par toute sa famille. « Mes 4 enfants ont appris à tisser et à faire la teinture. Et même s'ils sont chacun leur métier ils viennent travailler avec moi quand ils ont le temps. Mon fils est même designer pour nous. »
Quant au mari ? « Il est mon conseiller principal avec un appui technique, financier et moral permanent », conclue-t-elle toujours dans un éclat de rire reconnaissant.

David Cadasse, Ifrikia Kengue et Anne Marie Sawadogo Zouré (AFD DR Sahel)

Categories: Afrique

Les rappeurs sénégalais se mobilisent et créent les hymnes des manifestations

RFI /Afrique - Wed, 10/03/2021 - 10:25
Alors que plusieurs jours de manifestations et violences ont fait au moins 5 morts officiels et 11 selon l’opposition au Sénégal, les artistes se sont mobilisés avec la composition de chansons et de clips engagés.
Categories: Afrique

Mali: la société civile de Mopti exprime ses inquiétudes au représentant de la Minusma

RFI /Afrique - Wed, 10/03/2021 - 10:16
Mahamat Saleh Annadif, représentant de la Mission de l’ONU au Mali (Minusma) a rencontré, mardi à Mopti (centre), des représentants de la société civile de la région. Si pour eux des efforts sont en cours pour que les communautés cohabitent pacifiquement, leurs préoccupations sont nombreuses.
Categories: Afrique

Lubero : en clandestinité, le chef de la localité de Munoli /Kasomero appelle l’armée à le sécuriser

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 10/03/2021 - 10:04



Le chef de la localité de Munoli/Kasomero, dans le territoire de Lubero, au Nord-Kivu, Kakule Silusawa Kayumbu, est menacé de mort par des miliciens Maï-Maï basés dans cette zone. Dans un entretien téléphonique mardi 9 mars depuis son lieu de rétraction, il affirme que ces miliciens lui ont intimé l’ordre de prendre en charge leur alimentation.  


En plus, ils l’accusent d'avoir envoyé les militaires pour leur traque. Cette autorité de base sollicite ainsi l’intervention de l’armée pour sa sécurité. 

Categories: Afrique

WhatsApp: comment l'application gagne de l'argent si son service est gratuit pour la plupart des utilisateurs ?

BBC Afrique - Wed, 10/03/2021 - 09:39
WhatsApp est gratuite à télécharger et vous ne dépenserez peut-être jamais un centime pour l'utiliser, mais cela ne veut pas dire qu'il n'y a pas un modèle économique de plusieurs milliards de dollars derrière l'application.
Categories: Afrique

Le Potentiel : « Composition du gouvernement, « Compétence et éthique » : deux exigences des confessions religieuses »

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 10/03/2021 - 08:39


Revue de presse du mercredi 10 mars 2021


Profil des personnes, taille et caractéristiques du gouvernement, c’est l’essentiel de l’entretien qu’a eu le Premier ministre Sama Lukonde, mardi 9 mars, avec les chefs des confessions religieuses, rapporte Le Potentiel.

Categories: Afrique

Le cinéaste Joël Karekezi: «Je crois à ce Mobile Film Festival Africa»

RFI /Afrique - Wed, 10/03/2021 - 08:34
« J’aime beaucoup le concept 1 Mobile – 1 Minute – 1 Film. » La première sélection panafricaine du Mobile Film Festival Africa nous invite jusqu’au 17 mars à découvrir gratuitement les films de 51 jeunes réalisateurs et réalisatrices de 23 pays africains, en lice pour le Grand Prix Africa, doté de 10 000 euros. Entretien avec le réalisateur rwandais Joël Karekezi, lauréat du très prestigieux Étalon d’or de Yennenga au Fespaco et membre du jury du Mobile Film Festival Africa 2021.
Categories: Afrique

Un jeu pour tester ses connaissances sur l’Afrique

RFI /Afrique - Wed, 10/03/2021 - 08:21
Quels ont été les grand Empires d'Afrique ? Quels sont les poètes du continent les plus célèbres ? Comment prépare-t-on telle ou telle spécialité culinaire ? Inspiré à la fois du Monopoly et du Trivial Pursuit, le jeu Wari Wari permet d'évaluer son niveau de connaissance sur l'Afrique. Une bonne réponse et vous récupérez la tontine. Une mauvaise et vous devez débourser quelques korys. Cissé Diambissy, la créatrice du jeu, est avec nous dans La Vie ici.
Categories: Afrique

Jean-Bernard Padaré (MPS): au Tchad, «personne ne pourra empêcher les élections de se tenir»

RFI /Afrique - Wed, 10/03/2021 - 07:39
Au Tchad, le secrétaire général adjoint et porte-parole du MPS -le parti du maréchal-président Idriss Déby-, a réagi aux accusations de l'opposant en fuite, Yaya Dillo Djerou.  Jean-Bernard Padaré s'inscrit en faux contre toutes les accusations et il met en garde une partie de l'opposition qui veut « rendre le Tchad ingouvernable » à l'occasion de la présidentielle du 11 avril 2021.
Categories: Afrique

Burkina Faso: la communauté peule reçue par le ministre de la Réconciliation nationale

RFI /Afrique - Wed, 10/03/2021 - 07:33
Au Burkina Faso, les chefs de la communauté peule et plusieurs responsables communautaires de la région de l’Est ont été reçus par le ministre de la Réconciliation nationale. La délégation est venue faire part de ses préoccupations face à la situation sécuritaire dans la région de l’Est et plaide pour une intervention du ministre de la Réconciliation auprès des forces de sécurité sur le terrain pour permettre à la communauté peule de vivre en paix avec les autres communautés. 
Categories: Afrique

Poursuite du procès sur le détournement présumé des fonds à l’EPST

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 10/03/2021 - 06:48


La deuxième audience publique du procès de détournement présumé des fonds au ministère de l’Enseignement primaire, secondaire et technique (EPST) devant la cour d’appel de Kinshasa-Gombe s’est tenue mardi 9 mars à la prison centrale de Makala.

Categories: Afrique

Elections en Côte d'Ivoire: à Yopougon, qui bascule dans l'opposition, paroles d'électeurs

RFI /Afrique - Wed, 10/03/2021 - 06:25
La Commission électorale indépendante a officiellement annoncé mardi après-midi tous les scores du scrutin de samedi dernier en Côte d'Ivoire. Au niveau national, la majorité revient au parti au pouvoir, le RHDP. La commune de Yopougon, considérée comme la base du FPI de l’ex-président Laurent Gbagbo, était entre les mains du parti présidentiel. Mais elle a basculé dans l'opposition. Reportage. 
Categories: Afrique

Uvira : 8 morts dans 52 accidents de circulation en 2020

Radio Okapi / RD Congo - Wed, 10/03/2021 - 05:32


Au total, 52 accidents ayant conduit à 8 morts ont été enregistrés au cours de l’année 2020 sur la route nationale numéro 5 (RN5) entre la plaine de Ruzizi, la ville d’Uvira et le territoire de Fizi, a indiqué la Commission nationale de prévention routière (CNPR)/Uvira. Ces statistiques ont été publiées lors d’un atelier organisé mardi 9 mars à l’intention de huit associations des transporteurs routiers locaux.

Categories: Afrique

Pages