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Diplomacy & Defense Think Tank News

Zunahme der Gewalt im Donbas: Blauhelmsoldaten für die Ostukraine?

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 13/12/2017 - 00:00
Jüngste Forderungen nach einem VN-Einsatz bringen den Konflikt wieder auf die Tagesordnung. Derweil gehen die Kämpfe ungeachtet der formalen Waffenruhe weiter.

Jan Dresel im Interview: Darum geht es der HSS in Russland

Hanns-Seidel-Stiftung - mar, 12/12/2017 - 13:23

Das Interview führte die Online-Redakteurin Eva Lennartz von ostexperte.de

Futur du mix énergétique : le débat vu d’Allemagne

Institut Montaigne - mar, 12/12/2017 - 10:58
Futur du mix énergétique : le débat vu d’Allemagne Institut Montaigne mar 12/12/2017 - 10:58

"La fin du charbon divise le futur gouvernement Merkel", ">

Comment constituer des modèles climato-responsables. Les explications d'Hélène Valade

Institut Montaigne - mar, 12/12/2017 - 10:01
Comment constituer des modèles climato-responsables. Les explications d'Hélène Valade Institut Montaigne mar 12/12/2017 - 10:01

Si la communauté internationale s’accorde sur la nécessité de lutter contre le réchauffement climatique, elle reconnaît également que notre modèle de croissance actuel est incompatible avec avec les équilibres naturels de notre environnement en ce qu’il ne respo

Frankreich: Laurent Wauquiez Vorsitzender der französischen Républicains

Konrad Adenauer Stiftung - mar, 12/12/2017 - 00:00
Die Républicains rücken mit der Wahl Wauquiez‘ und der Abspaltung des gemäßigten Flügels nach rechts.

EVP-Parteienbarometer

Konrad Adenauer Stiftung - mar, 12/12/2017 - 00:00
EVP-Parteienfamilie in der EU | Wahlergebnisse der größten EVP-Mitgliedspartei in den letzten nat. Parlamentswahlen | Stärkste politische Familie in Umfragen | Europawahlergebnisse der EVP-Parteien 2014 | Regierungsbeteiligung EVP-Parteien | Staats- oder Regierungschefs nach politischer Familie

Integration auf kommunaler Ebene

Konrad Adenauer Stiftung - mar, 12/12/2017 - 00:00
Integration, zumal die Integration der in den letzten Jahren nach Deutschland migrierten Flüchtlinge, ist eine Aufgabe, die zuvorderst in der Kommune – „vor Ort“ – bewältigt werden muss. Aufbauend auf den Ergebnissen der im Frühjahr 2017 erschienenen Studie der Konrad-Adenauer-Stiftung „Integration vor Ort“, wird im vorliegenden Papier der Frage nachgegangen, wie Integration in das Stadt- und Gemeindeleben gelingen kann. +++ ERSCHEINT AUSSCHLIESSLICH ONLINE

Où va l’Accord de Paris ? Décryptage d'Amy Dahan

Institut Montaigne - lun, 11/12/2017 - 18:29
Où va l’Accord de Paris ? Décryptage d'Amy Dahan Institut Montaigne lun 11/12/2017 - 18:29

Si l’Accord de Paris est considéré comme une avancée dans l’histoire des négociations climatiques, des inquiétudes subsistent quant à sa réalisation à terme.

Eine erste Bilanz der Trump-Administration: Realist? Opportunist? Strategielos?

Hanns-Seidel-Stiftung - lun, 11/12/2017 - 16:18
Ein Jahr ist seit der Wahl Donald Trumps zum 45. Präsidenten der USA vergangen. Im Rahmen der traditionellen Transatlantiktagung der Akademie für Politik und Zeitgeschehen diskutierten rund 30 Expertinnen und Experten die jüngsten Entwicklungen sowie den gegenwärtigen Stand der transatlantischen Sicherheitsbeziehungen an der Bundesakademie für Sicherheitspolitik in Berlin. Während die Diskussion im Rahmen der letztjährigen Tagung vor Trumps Amtsantritt eher spekulativ bleiben musste, konnte der Expertenkreis diesmal die Rolle der US-Administration in der europäisch-amerikanischen Zusammenarbeit in der Sicherheits- und Verteidigungspolitik konkret diskutieren.

Le multilatéralisme : point de clivage entre Américains et Européens

IRIS - lun, 11/12/2017 - 15:40

Les Occidentaux répètent régulièrement qu’ils sont unis par des valeurs communes : démocratie, respect des droits de l’homme, égalité hommes/femmes, respect des minorités, indépendance de la justice et liberté d’opinion, de la presse et de la religion.

Ils aiment s’en prévaloir tout en faisant la leçon aux nations qui ne les respecteraient pas, oubliant parfois que leurs indignations sont sélectives ou leurs principes à géométrie variable. Leur sévérité dépend de la nature des relations qu’ils entretiennent avec les prétendus coupables, plus que de la gravité des faits reprochés. Les États rivaux ont davantage de chance de se faire sermonner que les États alliés ou clients. Il leur arrive par ailleurs de déroger au respect de ces valeurs autoproclamées occidentales, affaiblissant la crédibilité de leurs discours.

Mais, au-delà de ces éventuelles contradictions, il existe bien un corpus de valeurs occidentales, identifiées et revendiquées, qui unit les pays des deux rives de l’Atlantique. Leur différence fondamentale réside en l’adhésion pour l’un, et le rejet pour l’autre, d’une vision, qui devrait, face aux grands défis internationaux, occuper une place de plus en plus centrale dans la vie internationale : le multilatéralisme.

Le multilatéralisme n’est pas rendu nécessaire par l’émergence d’un monde multipolaire, mais par celui d’un monde de plus en plus interdépendant. Aucun grand défi auquel est confrontée l’humanité ne peut être résolu par des moyens uniquement nationaux. Seule une coopération à grande échelle, donc une politique multilatérale, permet de faire face au réchauffement climatique, aux risques terroristes, aux défis démographiques, à un accès facilité aux biens publics mondiaux, ou à la mise en place d’un véritable système de sécurité internationale.

Mais, si l’Union européenne a inscrit le multilatéralisme dans son ADN, les États-Unis y sont réfractaires. Ce rejet a des racines anciennes et profondes. Se croyant – et étant à bien des égards – exceptionnels, les États-Unis ont du mal à concevoir une action basée sur la volonté collective, où ils ne seraient qu’un parmi d’autres. Persuadés, depuis longtemps, de leur « destinée manifeste », ils sont tout à fait à l’aise avec l’idée de guider un monde régi par l’unilatéralisme, qui ne saurait que conduire à des résultats positifs. Avant la Seconde Guerre mondiale, ils étaient isolationnistes. Ils en sont sortis plus puissants que tous les autres acteurs du conflit et ont pris « la tête du monde libre ». N’ayant jamais eu l’habitude de traiter avec des égaux, sauf peut-être durant la brève période Nixon-Kissinger, ils ne furent jamais confrontés à la nécessité d’une diplomatie entre puissances équivalentes. À la fin du monde bipolaire, ils préférèrent ainsi se considérer comme les vainqueurs de la guerre froide plutôt que comme les bâtisseurs d’un nouvel ordre mondial.

C’est un président considéré comme multilatéraliste, Bill Clinton, qui a pu déclarer que les États-Unis étaient la « seule nation indispensable ». L’unilatéralisme américain n’a pas démarré avec Georges W. Bush et l’après 11 septembre, pas plus qu’avec D. Trump. Il est le fondement de leur politique extérieure. Barack Obama l’avait réduit, mais ne l’a pas éliminé. Donald Trump le pousse à son paroxysme. Mais son successeur, quel qu’il soit, n’abandonnera pas cette posture ; il la modulera.

Ce comportement, enraciné dans les perceptions, les modes de pensées et les traditions de l’action, est l’un des défis majeurs posés aux Européens. Au moment où le multilatéralisme est plus nécessaire que jamais, comment traiter avec une nation qui s’en méfie, et le considère comme une contrainte inutile plutôt qu’un moyen d’action indispensable ? L’Europe doit s’affirmer comme une puissance, mais une puissance multilatéraliste.

Quel coût pour la transition énergétique ? Les réponses de Benjamin Fremaux

Institut Montaigne - lun, 11/12/2017 - 14:23
Quel coût pour la transition énergétique ? Les réponses de Benjamin Fremaux Institut Montaigne lun 11/12/2017 - 14:23

Deux ans après la tenue de la COP21 et suite au retrait des États-Unis de l’Accord de Paris, les inquiétudes grandissent.

Quelles dynamiques économiques aux nouvelles routes de la soie ?

IRIS - lun, 11/12/2017 - 11:28

Emmanuel Hache est économiste-prospectiviste à l’IFP énergies nouvelles et directeur de recherche à l’IRIS. Il répond à nos questions à l’occasion de son intervention dans le cadre de la première édition du Forum de Paris portant sur « Les nouvelles routes de la soie » organisée par l’IRIS et l’Ambassade de Chine en France, le 29 novembre 2017 :
– Du Forum de Davos aux nouvelles routes de la soie, comment interpréter cette promotion inédite de l’interdépendance économique par la Chine ?
– N’y a-t-il pas de risques à ce que des pays partenaires aient à gérer eux-mêmes les externalités négatives produites ?
– La Chine pourra-t-elle continuer à dissocier la géoéconomie de la géopolitique au vu des nombreux projets situés dans des zones à risques sécuritaires élevés ?

One Planet Summit : du "greenwashing" à la finance verte. L'analyse de Jean-Dominique Senard

Institut Montaigne - lun, 11/12/2017 - 11:24
One Planet Summit : du "greenwashing" à la finance verte. L'analyse de Jean-Dominique Senard Institut Montaigne lun 11/12/2017 - 11:24

Deux ans après le succès de la COP21, Paris réunit à nouveaux les leaders internationaux et des citoyens engagés venus du monde entier.

Parlamentsverwalter aus Lateinamerika : Verwaltungen von Bundestag und Bayerischem Landtag als Vorbild

Hanns-Seidel-Stiftung - lun, 11/12/2017 - 09:34
Die Hanns-Seidel-Stiftung (HSS) kooperiert in Lateinamerika mit verschiedenen nationalen Parlamenten. Im Rahmen von Demokratieförderung soll deren Ansehen und Funktionsfähigkeit gestärkt werden mit Bildungsmaßnahmen für Abgeordnete und Parlamentsverwalter, Simulationen von Plenarsitzungen oder Tagen der offenen Tür für Schüler und Studenten.

Die elfte Ministerkonferenz der WTO: Die Zukunft des Multilateralismus steht auf dem Spiel

Buenos Aires, 11.12. 2017. In dieser Woche treffen sich die 164 Mitglieder der Welthandelsorganisation (WTO) zu ihrer elften Ministerkonferenz im argentinischen Buenos Aires. Auf der offiziellen Agenda stehen Verhandlungen über den Abbau von Subventionen in Landwirtschaft und Fischerei, öffentliche Lagerhaltung von Nahrungsmitteln, Unterstützung von kleinen und mittleren Unternehmen sowie neue Regeln für digitalen Handel. Beobachter erwarten, dass die WTO-Mitglieder in einigen dieser Bereiche Fortschritte erzielen können. Allerdings brodelt unter der Oberfläche ein Konflikt, der ungeachtet der Ergebnisse des Treffens in Buenos Aires die WTO und mit ihr das multilaterale Handelssystem zu zerreißen droht. Gerade die USA, ohne deren Unterstützung der Aufbau des multilateralen Handelssystems nach dem Zweiten Weltkrieg und die Gründung der WTO vor 22 Jahren nicht möglich gewesen wäre, arbeiten unter Präsident Trump daran, die WTO zu diskreditieren und arbeitsunfähig zu machen. Während der US-Präsident auf dem G20-Gipfel in Hamburg im Juli dieses Jahres noch zusammen mit den anderen Staats- und Regierungschefs der G20 die „entscheidende Rolle des regelbasierten internationalen Handelssystems“ anerkannte, deuten die jüngsten Initiativen der USA daraufhin, dass dieses Bekenntnis zum multilateralen Handelssystem nur von geringer Haltbarkeit war. Auch ohne die aktuellen Attacken der USA glich die WTO in den letzten Jahren eher einem schwer taumelnden Boxer, der nach einigen Tiefschlägen nach und nach in den Kampf zurückfand. Die mit viel Pathos nach den Terroranschlägen von New York im Jahr 2001 in Doha ins Leben gerufene multilaterale Verhandlungsrunde geriet schon nach kurzer Zeit ins Stocken. Die Gründe hierfür sind vielfältig. Sie reichen von einer (zu) komplexen Verhandlungsagenda, über den Zwang zur Einstimmigkeit bis hin zu den nicht zuletzt mit China verbundenen fundamentalen Gewichtsverschiebungen im Welthandelssystem. Auch die zunehmende Globalisierungsskepsis in vielen Gesellschaften mag eine Rolle spielen. In der Folge verhandeln viele Länder in der WTO nur noch mit halber Kraft und versuchen stattdessen ihre Interessen im Rahmen von bilateralen oder regionalen Handelsabkommen durchzusetzen. Auch wenn der große Durchbruch in der Doha-Runde ausblieb, konnte die WTO auf ihren vorangegangenen Ministerkonferenzen in Bali (2013) und Nairobi (2015) einige Fortschritte bei Themen wie Handelserleichterung durch effizientere Zollabwicklung und dem Abbau landwirtschaftlicher Exportsubventionen verzeichnen. Diese Verhandlungserfolge waren wichtig, um die Relevanz der WTO und damit ihre Rolle als von allen Seiten anerkannter Schlichter von Handelsstreitigkeiten zu sichern. Gerade diese zentrale Rolle als Streitschlichter wird von den USA attackiert. Im Appellate Body, der zentralen Berufungsinstanz im Streitbeilegungssystem der WTO, sind aktuell zwei von sieben Richterposten unbesetzt. Ende Dezember wird ein weiterer frei. Der Appellate Body wäre somit nur noch bedingt handlungsfähig, wenn diese Posten nicht bald besetzt werden. Mit ihrer Blockade der Nachbesetzung der Richterposten streuen die USA Sand ins Getriebe des mit aktuell mehr als 200 Fällen bereits überforderten Streitbeilegungssystems der WTO. Insbesondere dieses multilaterale System der Streitbeilegung ist den handelspolitischen Falken in der derzeitigen US-Administration ein Dorn im Auge. Deren Kritik tritt aktuell mit Blick auf zwei laufende Verfahren gegen Washington und Brüssel über den Status Chinas als Marktwirtschaft offen zu Tage. Eigentlich hätte China 15 Jahre nach dem Beitritt zur WTO (2001) automatisch den Status als Marktwirtschaft erlangen müssen. Neben internationalem Prestige, geht es Peking hierbei auch darum, dass dieser Status es anderen Ländern erschweren würde, Anti-Dumping-Maßnahmen gegen chinesische Produkte zu verhängen und somit deren Import einzuschränken. Die USA, aber auch die Europäische Union, erkennen China nach wie vor nicht als Marktwirtschaft an und verweisen auf die vielfältigen Marktverzerrungen zugunsten chinesischer Exporteure. Während allerdings die EU einen zu erwartenden Schiedsspruch zugunsten Pekings akzeptieren dürfte, kann man dies von den USA unter Führung von Präsident Trump nicht erwarten. Nicht auszuschließen ist, dass er einen solchen Schiedsspruch zum Anlass nehmen würde um die WTO-Mitgliedschaft der USA aufzukündigen. Nach dem Austritt der USA aus dem Pariser Klimaabkommen würden sich die USA vollends aus dem multilateralen System verabschieden. Es ist nicht zu erwarten, dass diese fundamentalen Fragen über die Zukunft des Multilateralismus auf der mit einer komplexen, technischen Agenda befassten elften Ministerkonferenz in Buenos Aires im Kreis von 164 Nationen gelöst werden können. Die nächste Gelegenheit um diese systemischen Fragen auf der höchsten Ebene im Kreis der Staats- und Regierungschefs der wirtschaftlich wichtigsten Länder zu diskutieren bietet sich hingegen keine zwölf Monate später auf dem G20-Gipfel Ende November 2018, ebenfalls in Buenos Aires. Allerdings nur, wenn der wirtschaftsliberale argentinische Präsident Macri sich nicht scheut, angesichts des zu erwartenden Gegenwinds aus Washington, die Zukunft der WTO auf die Agenda zu setzen. Schließlich steht die Zukunft des Multilateralismus generell auf dem Spiel.

El declive petrolero de Venezuela se acelera

Real Instituto Elcano - lun, 11/12/2017 - 06:56
Comentario Elcano 51/2017 - 11/12/2017
Gonzalo Escribano

Sólo un giro de 180º en la política petrolera venezolana podría frenar primero, y revertir en el medio plazo, el declive acelerado de la producción. Dada la situación, el statu quo puede resultar ya más costoso políticamente que su reforma.

Steiniger Weg für Großbritannien und die EU

SWP - lun, 11/12/2017 - 00:00

Die Verständigung auf ein Übergangsregime ist der wichtigste mittelfristige Baustein in der zweiten Phase der Brexit-Verhandlungen. Im März 2019 soll Großbritanniens Austritt aus der EU vollzogen sein, doch bis dahin wird es kein ausgehandeltes Abkommen über die künftigen Beziehungen geben. An einem abrupten Ende ist indes keine der beiden Seiten interessiert. Daher hat Großbritannien um eine Übergangsregelung gebeten und auch die EU-27 ziehen eine solche Lösung in Betracht. Einfach wäre diese aber nicht. Aus Sicht der EU wäre nur eine vollständige Nachbildung des Status quo akzeptabel. Dafür müsste Großbritannien allerdings sämtliche Versprechen der Brexit-Befürworter brechen und mindestens zwei Jahre lang Regeln der EU anerkennen und umsetzen, ohne ein Mitspracherecht zu haben.

La droite a-t-elle trouvé sa voie/voix ?

Fondapol / Général - dim, 10/12/2017 - 10:31

Dominique Reynié était l’invité de Emilie Aubry sur la radio France Culture pour échanger sur le vote des militants du parti Les Républicains. Quel leadership alors pour une droite française qui a de surcroît perdu deux des siens cette semaine : Jean d’Ormesson, incarnation d’une droite orléaniste, et Johnny Hallyday, icône d’une droite plus populaire, les deux hommes ayant […]

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Niveau de lecture : bonnet d’âne pour la France. Entretien avec Laurent Cros

Institut Montaigne - ven, 08/12/2017 - 20:16
Niveau de lecture : bonnet d’âne pour la France. Entretien avec Laurent Cros Institut Montaigne ven 08/12/2017 - 20:16

L’étude PIRLS, publiée ce mardi 5 décembre, révèle le faible niveau de lecture en France des enfants  de CM1.

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