La única democracia del mundo árabe continúa avanzando en su transición. Sin embargo, las cifras son suficientes para darse cuenta de que Túnez es prisionera de una suerte de hipoteca que no parece que vaya a dejar de reclamarle costosos pagos durante algún tiempo.
Nous savons tous qu’une barre de traction un appareil de musculation très efficace. Mais de quels muscles parle-t-on ? Nous espérons vous apporter les réponses nécessaires dans cet article en vous proposant quelques exercices de musculation à faire ce genre d’équipement.
La traction pronotionCe premier exercice cible les muscles du dos ainsi que les biceps. Pour vous aider, veillez à tenir votre corps bien droit et gainé afin que vous puissiez vous concentrer sur votre travail. Pour réaliser cet exercice convenablement, vous devez être suspendu à la barre et écarter vos mains jusqu’à ce qu’elles soient à une largeur supérieure de vos épaules. Orienter les paumes de vos mains vers l’avant pour travailler davantage les muscles du dos. Après cela, vous n’avez qu’à remonter votre corps vers le haut jusqu’à ce que votre menton dépasse la barre. Puis redescendez tranquillement vers votre position de départ. Ici, il est important de faire une inspiration durant la descente et expirer durant la remontée.
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Le toes to barSur cet exercice, vous mettrez en évidence le grand droit de votre abdomen. Et comme avec l’exercice précédent, écartez vos mains à une largeur supérieure à vos épaules tout en restant accrocher à la barre de traction. Sauf qu’après, vous devez soulever vos cuisses vers la poitrine et garder les jambes droites tant que vos chevilles ne touchent pas la barre de traction. Après, revenez vers la position initiale tout en limitant le mouvement de votre balancier dans le cadre du contrôle de votre descente. Avoir le corps bien droit est primordiale pour réussir cet exercice et n’oubliez pas de bien respirer durant l’activité.
Le dips vous sera aussi importantIci, il s’agit de vous muscler les triceps et les pectoraux en vous mettant à dos avec la barre de traction placée au sol et les bras tendus. Ensuite, vous devez fléchir les coudes et remontez après. Notez bien que vos fesses ne doivent pas toucher le sol quand vous faites une descente. Certes, cet exercice est facile à faire, par contre vous devez avoir le dos droit et les abdominaux bien serrés pour votre sécurité et contrôler la descente.
Quelques conditions sont nécessaires pour avoir des muscles impressionnantsPour vous aider à progresser efficacement, nous vous conseillons de faire ces exercices 2 fois par semaine. Vous pouvez être sûr d’avoir un résultat satisfaisant après 4 semaines seulement. Notez aussi que chaque exercice dispose de 4 phases à ne pas négliger qui sont la phase concentrique, la phase de transition, la phase excentrique et la deuxième phase de transition.
Mis à part cela, vous ne devez en aucun cas faire des exercices à grandes vitesses. Sinon vous risquerez de vous blesser et vous ne ferez aussi que perdre votre temps tout en perdant vos forces inutilement.
Enfin, vous avez maintenant 3 exercices de musculation à faire avec une barre de traction. Et comme nous l’avons vue, tous les muscles du haut de votre corps seront sollicités par ces activités. Dans ce cas, il ne nous reste qu’à vous souhaiter bon courage.
Pour continuer sur le sujet des barres de traction, venez ici.
Votre bout de chou commence à avoir d’autre envie au-dessus de ces 3 ans ? Dans ce cas, pourquoi ne pas lui acheter un tricycle afin qu’il puisse découvrir un autre horizon dans sa vie ? Si cela vous convient, alors nous vous invitons à lire cet article afin de vous aider à bien choisir le bon tricycle pour votre enfant.
Le tricycle que vous achèterez doit convenir parfaitement à votre enfantEffectivement, il est important de savoir si le modèle que vous allez acheter est adapté à votre enfant. Si cela n’est pas respecté, vous risquerez d’obtenir un équipement avec lequel il ne pourra même pas jouer. De plus, un jouet à sa taille lui offrira un véritable confort. Dans ce cas, veillez à ce que le tricycle que vous allez choisir aille bien à sa taille et sa capacité physique, ainsi qu’avec ses compétences et son âge. En effet, il doit être en mesure d’utiliser facilement, comme l’enjamber et pédaler aisément tout en pédalant. Mais ses pieds doivent aussi atteindre le sol quand il manœuvrera.
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Informez-vous sur les matériaux composant le cadreGénéralement, le cadre d’un tricycle est fait en métal ou en plastique. Le premier étant plus solide que le deuxième peut facilement résister aux traitements des enfants même durant des années. Par contre, il pèsera un peu plus qu’un modèle en plastique. Dans tous les cas, vous devez savoir qu’un tricycle trop léger serait moins stable tandis qu’un modèle trop lourd empêchera à votre enfant de se déplacer convenablement.
Avoir de bonnes roues est aussi importantNotez que vous aurez à choisir entre beaucoup de types de roues pour votre tricycle comme un bandage en plastique ou en caoutchouc et bien d’autres encore. Mais vous devez adapter votre choix en fonction du sol sur lequel l’enfant jouera du fait que chaque roue aura ses propres qualités. Par contre, sachez qu’une roue conçue avec du plastique dur fera toujours beaucoup de bruit, peu importe le type de votre sol.
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L’enfant doit pouvoir pédaler avec facilitéLe marché propose aujourd’hui des tricycles avec des pédales centrales ou fixées à la roue. Avec le premier modèle, les jambes de votre enfant suivront le prolongement de son corps. Alors qu’avec le second il doit mettre ses jambes en avant et sortir de son prolongement. Pour trouver les meilleurs tricycles, rendez-vous sur le site tricyclokad.fr. De ce fait, un pédalier central lui permettra de se préparer en avance à monter sur une bicyclette. En plus de cela, ce système est facile à débrayer surtout quand l’enfant sera à ses débuts.
Observez si le modèle qui vous est présenté a un caractère évolutifSachant que la morphologie d’un enfant évolue vite quand il grandit. Dans ce cas, nous vous conseillons de lui acheter un tricycle avec un guidon réglable tout comme la hauteur de son siège ainsi que le repose-pied. Cela doit être faisable jusqu’à ce que votre progéniture ait plus de 5 ans.
Choisissez la qualité tant que vous y êtesN’oubliez pas que vous aurez d’autres enfants à l’avenir. De ce fait, soyez assez futé en achetant un modèle pouvant durer longtemps afin que les autres puissent s’en servir quand viendront leurs tours.
Enfin, pour la sécurité de votre enfant, vous devez aussi acheter un casque ainsi que des coudières et des grenouillères.
On February 27th, IPI together with the Permanent Missions of Australia and Peru to the United Nations cohosted a policy forum event to discuss the recommendations of the Secretary-General’s Report on Peacebuilding and Sustaining Peace, and how it will further the implementation of the resolutions.
On April 27, 2016, the United Nations membership adopted by consensus the most comprehensive and far-reaching peacebuilding resolutions in the Organization’s history, introducing the concept of sustaining peace (A/RES/70/262 and S/RES/2282). The resolutions were Member States’ response to the Report of the Advisory Group of Experts (AGE) on the review of the UN’s Peacebuilding Architecture entitled “The Challenge of Sustaining Peace,” released on June 29, 2015 as the first stage of a comprehensive review of the UN’s peacebuilding efforts.
Led by former Guatemalan Foreign Minister, Ambassador Gert Rosenthal, the AGE Report underscored the global peace and security challenges faced, and the sustainability of UN peacebuilding efforts to date. The report and the resolutions urged the international community to fundamentally shift how the UN works to support Member States in sustaining peace. Pursuant to paragraph 30 of the resolutions, the Secretary-General is mandated to report on the implementation of the resolutions. This report will be released on February 23, 2018, 60 days prior to a High-Level Meeting on Peacebuilding and Sustaining Peace, convened by the President of the General Assembly on April 24-25, 2018.
The concept of sustaining peace calls for better linkages among the UN’s three foundational pillars of peace and security, development, and human rights, in addition to humanitarian action. It replaces what until now has been a sequential approach to conflict that often resulted in silos and fragmented responses and calls for better linkages and sharing of instruments across the system. It is intended to be holistic and inclusive, with a focus on the prevention of the outbreak, escalation, continuation and recurrence of conflict in all societies and at all stages of conflict.
Welcoming Remarks:
H. E. Mr. Gustavo Meza-Cuadra Velásquez, Permanent Representative of Peru to the United Nations
Speakers:
Mr. Oscar Fernandez-Taranco, Assistant Secretary General, United Nations Peacebuilding Support Office
Mr. Miroslav Jenca, Assistant Secretary General, United Nations Department of Political Affairs
Ms. Katy Thompson, Team Leader – Conflict Prevention, Governance and Peacebuilding, Bureau for Programme and Policy Support, United Nations Development Programme
H. E. Ms. Gillian Bird, Permanent Representative of Australia to the United Nations
Comments:
H.E. Mr. Masud Bin Momen, Permanent Representative of Bangladesh to the United Nations
Moderator:
Dr. Youssef Mahmoud, Senior Adviser, International Peace Institute
Related materials:
“Sustaining Peace in Practice: Building on What Works” (International Peace Institute, 2018)
Miguel Angel Moratinos, diplomate et homme politique, ancien ministre des Affaires étrangères et de la Coopération d’Espagne, répond à nos questions à l’occasion de sa participation aux 10e Entretiens européens d’Enghien organisés par l’IRIS et la Ville d’Enghien-les-Bains, le 10 février 2018 :
– La désaffection des citoyens envers l’Union européenne n’est-elle pas davantage une défiance envers ses institutions ?
– Quel défis les institutions doivent-elles relever pour renouer ce lien ?
– Avec la formation d’une coalition gouvernementale pro-UE en Allemagne, Emmanuel Macron bénéficie-t-il d’un soutien de poids sur les dossiers européens ?
La relación de los países occidentales con Irán es difícil porque se enfrentan a un país con dos caras: una reformista, próxima y blanda, y otra conservadora, distante y dura, muy dura.
Le VIIIème sommet des Amériques, se tient à Lima les 13 et 14 avril 2018. Plus que l’ordre du jour c’est la liste des chefs d’Etat invités qui pose problème. Le Venezuela et son premier magistrat, Nicolas Maduro, ont-ils leur place dans ce forum ? Les ministres des affaires étrangères concernés multiplient déplacements et appels téléphoniques. Les « cherpas » de différents pays participants sont en agitation diplomatique quasi quotidienne.
Rex Tillerson, Secrétaire d’État nord-américain, a visité début février cinq pays de la région. À tous il leur a dit tout le mal que Washington porte à Caracas. Cet ostracisme tardif permet de recomposer une relation avec les alliés de Washington, mise à mal par les propos inamicaux du président Trump. Mexique et Colombie ont très vite et publiquement signalé leurs réserves à l’égard du premier magistrat vénézuélien, Nicolas Maduro. Les 14 pays membres du groupe dit de « Lima » ont officialisé la démarche le 13 février 2018. Et donc le Pérou, hôte de la conférence a repris de la main gauche le 14 février l’invitation qui avait été envoyée précédemment de la droite. Bolivie, Cuba, Equateur, Nicaragua ont contesté cette décision.
Nicolas Maduro, fort de son bon droit, et s’appuyant sur l’absence de majorité hostile à sa présence, -l’ Organisation des États d’Amérique (OEA) compte 35 membres-, a confirmé qu’en dépit de la déclaration du groupe de Lima[1], et de l’attitude hostile du pays hôte, le Pérou, il avait la ferme intention d’assister au VIIIème sommet des Amériques. Les polémiques croisées en coups de menton se sont entremêlées entre gouvernants péruviens et vénézuéliens. Chacun faisant valoir son bon droit et ses raisons.
Cet imbroglio diplomatique interpelle la raison. Les Sommets dits des Amériques « inventés » par les Etats-Unis en 1994 ont été tantôt boudés, tantôt contestés par tout ou partie des latino-américains. Les « bolivariens » et assimilés, y allaient en trainant les pieds. Cuba en effet en était exclu par principe, par un oukase unilatéral des États-Unis. Mais forts de leur majorité ils ont pesé sur les VIème et VIIème sommets[2], pour obtenir la réintégration de Cuba. Celle-ci a été confortée par la normalisation ultérieure des relations Washington-La Havane. Les conservateurs et libéraux latino-américains requinqués par leur montée en puissance, et l’accès à la maison Blanche de Donald Trump renvoient aujourd’hui la balle au reliquat des bolivariens. Et donc proposent l’exclusion du Venezuela.
Les motifs avancés par les conservateurs-libéraux sont fondés sur la violation des règles démocratiques par les autorités vénézuéliennes. Ils méritent d’être pris en considération. Les opposants vénézuéliens, bien qu’ayant gagné les législatives de décembre 2015, ont été systématiquement empêchés d’exercer le rôle que leur reconnaît la Constitution. Les autorités ont arrêtés et interdits d’élections plusieurs responsables de l’opposition. Une Constituante a été élue selon des critères partiellement corporatistes garantissant une large majorité au parti gouvernemental. Cette Constituante a dès sa prise de fonction usurpé les compétences qui sont celles de l’Assemblée législative. Les élections législatives ont été avancées sur décision exécutive. Les juges du Tribunal suprême, instance d’équilibre démocratique et de recours, ont été renouvelés de façon unilatérale par l’Exécutif.
Le concert latino-américain reposant sur le respect du droit démocratique, le Venezuela d’évidence s’est placé hors des clous, hors de la Charte de l’OEA et de la déclaration adoptée au sommet de Québec en 2001. Le constat est incontestable. Et pourtant la décision d’exclusion prise par les États participants à la VIIIème conférence, par le Pérou, État invitant, n’est pas recevable, et ce pour plusieurs raisons.
La première et sans doute la plus importante est son caractère partiel et partial. Plusieurs des gouvernements latino-américains donneurs de leçons ont une légitimité démocratique incertaine. Michel Temer, chef d’État brésilien est un moraliste sans pudeur. Il est en effet arrivé au pouvoir en 2016, au prix d’une manipulation constitutionnelle démocratiquement condamnable. Sa présence à Lima pourtant ne pose pas problème. Le président en fonction du Honduras, Juan Orlando Hernandez, a été élu en novembre 2017 grâce au recours à « la main de Dieu » qui avait bien aidé l’Argentine à gagner la coupe du monde de football. Les voix nécessaires à sa victoire ont en effet selon bien des observateurs été poussées vers les urnes de façon subreptice. Le chef de la mission de l’OEA contre la corruption au Honduras a démissionné le 15 février, faute de soutien de la part de son secrétaire général. Les États-Unis, il est vrai, ont mis un terme aux critiques, déclarant que l’élu avait bien mérité sa victoire.
La seconde raison relève du bon sens diplomatique. Depuis plus d’un siècle, la société internationale s’efforce de construire des ponts institutionnalisés entre pays afin de réduire les risques de contentieux et de conflits. SDN, ONU, UA, UE, OSCE, OEA etc… ont été créées à cet effet. Il est vrai que parallèlement d’autres initiatives diplomatiques avaient pour objectif la construction de réseaux homogènes, opposables et mobilisables à d’autres posés comme antagonistes. Ce fut le cas de l’OTAN et Pacte de Varsovie pendant la guerre froide. L’OEA a depuis sa fondation en 1948 glissé de l’un à l’autre de ces modèles intergouvernementaux. Le VIIIème Sommet, à Lima, pourrait acter une régression, requalifiant l’organisation en cercle d’amis. L’entre soi idéologique primant alors sur la diplomatie, et le dialogue.
Il n’est pas dit que le projet arrive à terme et que le Venezuela soit de fait exclu de l’OEA, comme il l’est déjà du Mercosur. Pour des raisons arithmétiques. Certes le Pérou a repris sa lettre d’invitation. Certes le Pérou est pays hôte du Sommet. Mais la conférence est multilatérale et suppose un consensus majoritaire. Qui est loin d’être acquis. Il n’est pas dit non plus en cas d’exclusion ou de suspension que le Venezuela soit l’objet d’ingérences militarisées visant à le contraindre rejoindre le groupe libéral-conservateur. Tout simplement parce que la perpétuation d’un bouc-émissaire convient au président des Etats-Unis, comme à ses homologues d’Argentine, du Brésil, du Guatemala, du Pérou, ou du Mexique. Faute d’entente sur le commerce, le traitement des flux migratoires, le dossier des stupéfiants, et en raison d’un recours commode à Nicolas Maduro pour diaboliser les opposants internes progressistes, il est bien utile d’avoir sous la main un grand méchant loup.
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[1] Composé par l’Argentine, le Brésil, le Canada, le Chili, la Colombie, le Costa-Rica, le Guatemala, le Guyana, le Honduras, le Mexique, le Panama, le Paraguay , le Pérou, et Sainte-Lucie.
[2] A Carthagène (Colombie) en 2012 et à Panama en 2015
Le projet de création d’un service national universel ne cesse d’évoluer depuis qu’Emmanuel Macron en a fait l’une de ses promesses de campagne.
Lors de sa récente visite en Chine, la Première ministre Theresa May a rappelé très clairement qu’après avoir quitté l’Union européenne, “nous, le Royaume-Uni, serons libre de signer nos propres accords”.
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Addressing a Distinguished Author Series audience at IPI on February 26th, writer William Drozdiak listed three key elements of postwar governance that had brought peace and prosperity to Europe—a continent, he noted, once better known for producing world wars. The three were a common currency, the free passage across national borders of goods and people, and an embrace of democracy.
“Unfortunately,” he added, “these three projects have recently all gone off the rails, and Europe is now as fragmented as ever.”
In the analysis of Mr. Drozdiak, author of Fractured Continent: Europe’s Crises and the Fate of the West, the financial crisis of 2008 undermined the effectiveness of having one currency for countries with unequal economies, the abrupt arrival in Europe of hundreds of thousands of refugees from Middle East wars strained the notion of relaxing borders and diversifying populations, and disillusioned European voters are now empowering illiberal parties and political leaders who are turning their backs on democracy.
“Identity politics are an important factor with people saying, ‘I lost a sense of my own country,’” he said. “Whether it is for economic reasons or because there are too many refugees or Catalonian separatism, there is a powerful backlash against globalization, producing a ‘lost generation’ of people who cannot get steady work, cannot start families and can end up living with their parents even after they are 40 years old.”
And compounding the problem, he said, is a dangerous lapse in the transatlantic alliance due to President Trump’s policy decision to treat Europeans “not as strategic allies but as commercial enemies.” As a result, he said, there is a growing tendency among European politicians to reduce their dependence on the United States.
On the Continent itself, there is disunion caused by countries like Hungary and Poland that have severely curbed press freedom and compromised the political independence of their judiciaries as well as declaring their hostility, sometimes on racial and religious grounds, to immigration. Mr. Drozdiak cited a study that showed that Germany alone will need 400,000 immigrants a year for the next 25 years to account for demographic shrinking and maintain an adequate workforce. “So using these racist arguments is going to come back to hurt Europe economically,” he said.
With Britain scheduled to depart the European Union officially in 2019, Poland will soon become the fifth largest economy in Europe, but there is rising irritation with the country, which receives 5 billion euros a month from the EU and yet is resisting refugee quotas and failing to protect basic freedoms enshrined in the EU. There are suggestions in Brussels that the EU should take action against its recalcitrant members like Poland and Hungary. One proposal Mr. Drozdiak cited would take away their voting rights and another would divert funds from their national budgets to countries that agree to accept their allotted number of refugees.
On the positive side, Mr. Drozdiak noted that European economies are all growing again and that the new President of France, Emmanuel Macron, was emerging as a forceful leader at home and influential supporter of the EU, whose traditional champion, German Chancellor Angela Merkel, has been embattled by criticism over her having allowed more than a million Syrian refugees to settle in Germany in 2015.
This reappearance of French-German joint leadership, the original partnership behind the creation of the EU, is particularly welcome to EU supporters at a time when leaders like Ms. Merkel have declared that Europeans can no longer look to the United States for their security and must increasingly manage their own destiny.
“I came away from two years of reporting this book seeing that people have a profound desire to be governed by their own communities—and not by Brussels there or by Washington here,” he said.
Asked to speculate on Europe’s future, Mr. Drozdiak said, “The most optimistic view I have is to see European institutions deepen the most important and fundamental elements such as the customs union and trade, and forego, at least for the time being, some of the more grandiose ideas like a common European foreign policy or a common European army and get back to focusing on what is most important for their citizens.”
IPI Senior Adviser for External Relations Warren Hoge moderated the discussion.
Prevention is generally viewed as a crisis management tool to address the destructive dynamics of conflict. The sustaining peace agenda challenges this traditional understanding of preventive action by shifting the starting point of analysis to what is still working in society—the positive aspects of resilience—and building on these.
The goal of this volume is to build a shared understanding of what sustaining peace and prevention look like in practice at the national and international levels. Many of its chapters were previously published as issue briefs that fed into a series of monthly, high-level conversations convened at IPI in 2016 and 2017.
The volume is divided into four parts. The first part explores the concept of sustaining peace and what it means in practice. The second applies sustaining peace to five areas: the Sustainable Development Goal on gender equality, entrepreneurship, human rights, local governance, and preventing violent extremism. The third part looks at sustaining peace and the United Nations, specifically UN peace operations and regional political offices. The final part looks at a specific country—the Gambia—through the lens of sustaining peace.
Rony Brauman est médecin, ancien président de Médecins sans Frontières (MSF) de 1982 à 1994. Directeur de Recherche à la Fondation MSF et professeur à l’université de Manchester (HCRI), il répond à mes questions à l’occasion de la parution de l’ouvrage « Guerres humanitaires ? Mensonges et intox », aux éditions Textuel.
Comment expliquer que la première des guerres humanitaires (Somalie, 1992) est venue considérablement aggraver une situation qui n’était pas si désespérée ?
La situation était très dégradée, le conflit ayant provoqué des déplacements massifs de population, en proie à la famine, que les quelques organisations humanitaires présentes sur le terrain tentaient d’assister. Les images de cette catastrophe ont surgi sur les écrans durant l’été 1992, montrant des scènes de désolation qui, si elles n’étaient pas fabriquées, ne reflétaient pas la situation d’ensemble du pays. De même que n’étaient pas inventées les attaques de convois de vivres ni la violence des groupes armés qui se disputaient l’accès au pouvoir.
Pour autant, contrairement à ce qui était souvent dit, l’assistance n’était pas impossible. C’est ce que démontrait l’action des organismes d’aide à pied d’œuvre dans le pays, et qui réclamaient à cor et à cri une intensification de l’aide alimentaire. Nous estimions[1] qu’il fallait amplifier les apports d’aide alimentaire, quitte à en laisser une partie aux mains des groupes armés ; il fallait les organiser de manière régulière et prévisible de façon à en faire chuter la valeur et donc dépouiller ces vivres de leur intérêt marchand. Nous pensions, et je continue de le croire, qu’il s’agissait de la bonne réponse à l’insécurité et aux attaques de convois.
Mais ce pragmatisme n’avait, semble-t-il, pas droit de cité face au dispositif hésitant des Nations unies : leurs émissaires sur le terrain affirmaient, ignorant les opérations d’aide en cours, que les conditions de sécurité interdisaient le déploiement des aides. De même, les tentatives de négociations menées par le représentant spécial du Secrétaire général des Nations unies n’étaient pas soutenues par la hiérarchie et ont été disqualifiées afin de privilégier l’option sécuritaire. Au lieu d’envoyer de la nourriture rapidement, on a préparé le terrain à un déploiement militaire qui a eu lieu des mois plus tard, décalé par rapport à l’urgence, et qui a été lui-même happé dans le conflit.
Les guerres humanitaires ne sont-elles qu’une formidable affaire de communication ?
La communication en est une dimension primordiale, puisque leur intitulé même est une affaire de communication. Pour la Somalie par exemple, il s’agissait pour le Secrétariat général de l’ONU de promouvoir le projet et de se donner des moyens militaires de gestion de crises internationales. Ceux-ci étaient prévus par la charte, mais avaient jusqu’alors été neutralisés par la guerre froide et ses vétos automatiques. En imposant une vision sursimplificatrice de la crise en Somalie – des enfants affamés condamnés à mort par des miliciens barbares qu’il fallait mettre hors d’état de nuire, Boutros Boutros-Ghali pensait sans doute agir pour le renforcement du multilatéralisme. L’objectif n’était pas honteux, loin de là, mais sa mise en œuvre a considérablement retardé la marche des secours, sans même parler de la catastrophique dérive militariste qui a coûté de nombreuses vies.
Et que dire de notre dernière « guerre humanitaire » en Libye, sinon qu’elle fut le règne du mensonge ? Là encore, le bellicisme se travestissait en sauvetage, mais d’une manière plus caricaturale : je montre dans mon livre la succession de mensonges franco-qataris qui ont conduit à la guerre et qui ne le cèdent en rien à ceux proférés par les Américains pour justifier l’invasion de l’Irak en 2003. J’ajoute qu’aujourd’hui encore, je suis sidéré par la passivité, voire la docilité, avec laquelle les allégations de massacres ont été relayées, sans vérification, sans recoupement, par une grande partie de la presse et de la classe politique en France. À quand une commission d’enquête parlementaire sur cette guerre, comme l’ont fait les Britanniques ?
Vous dîtes refuser le pacifisme. Comment, dès lors, définir des guerres légitimes ?
Je ne suis pas pacifiste, en effet. Avant tout parce que je crois qu’il est légitime de recourir à la force pour se défendre en cas d’attaque, mais aussi parce je pense qu’il existe des situations qui appellent à l’usage de la violence pour prévenir de violences plus grandes encore. C’est ici que les critères de la « guerre juste » peuvent aider à y voir plus clair.[2] On voit qu’en Somalie, on peut considérer comme satisfaits les trois premiers critères, mais que les deux derniers, les plus importants à mes yeux, ne le sont pas. Rien de sérieux n’a en effet été tenté pour offrir une alternative à l’usage de la force ; et les objectifs de cette intervention armée sont rapidement devenus irréalistes et vagues, allant jusqu’à la « construction étatique » (state building), ce qui était un irrémédiable passeport pour l’échec.
Reste que prévenir ou enrayer un massacre peut demeurer une cause juste et que l’on a vu des situations où des forces extérieures ont joué un rôle positif : au Timor oriental (1999), en Sierra Leone (2002), et dans une moindre mesure, au Kosovo (1999). Dans ces diverses situations, on peut dire que la situation après intervention est préférable à celle d’avant. Bien que très différents, ces trois cas présentent des similarités éclairantes : il y a un gouvernement en place, ou prêt à s’installer, le territoire est exigu, les buts de l’intervention armée extérieure sont limités et précis. À défaut de pouvoir parler de guerres « justes », on peut tout de même les qualifier de « justifiables ». Ce n’est certainement pas le cas pour la Libye : la cause était fabriquée, toute tentative de médiation était immédiatement disqualifiée et les chances de succès étaient d’emblée nulles, si l’on veut bien se rappeler que l’on n’installe pas un État de droit avec des missiles.
[1] Je parle ici notamment du CICR, de World Vision et de MSF, trois organisations aux méthodes sensiblement différentes.
[2] Ils sont au nombre de cinq : une cause juste, une autorité légitime, une réponse proportionnée, la force comme ultime recours et des chances raisonnables de succès.
Alors qu’elles concernent 12 millions de Français, les maladies psychiques restent peu connues. La Fondation de France et l’Institut Montaigne se mobilisent sur le sujet et organisent une série d’ateliers, Parlons Psy, qui se tiendront dans six villes de France : Marseille, Lyon, Nantes, Lille, Strasbourg et Bordeaux. Ce cycle se clôturera à Paris en 2019 lors d’États généraux de la santé mentale.
Des rencontres pour imaginer et construire la santé mentale de demain avec les acteurs concernés !
Une première à MarseilleComment améliorer l’accompagnement des personnes souffrant de troubles psychiques en France ? Comment leur permettre de prendre toute leur place et leur responsabilité au sein de la société ? Comment favoriser leur bien-être ? Autant de questions qui seront soulevées lors du premier atelier Parlons Psy, qui aura lieu à Marseille le 12 mars.
Fondée sur une démarche inédite de réflexion participative, cette rencontre donnera la parole aux personnes concernées : patients, familles, soignants, chercheurs, élus et employeurs, avec pour objectif de partager les meilleures pratiques et trouver de nouvelles solutions.
L’atelier aura lieu le 12 mars de 18h à 20h30 à la Friche Belle de Mai – 41 rue Jobin, Marseille 3e en présence de Josef Schovanec, philosophe, écrivain et voyageur autiste.
Il sera suivi d’un cocktail.
Pour vous inscrire, c’est ici.
Friche Belle de Mai
41 rue Jobin, Marseille 3e
Très incertaines, dominées par le retour de Berlusconi, les élections italiennes se déroulent dans un contexte économique et social douloureux. Elles pourraient déboucher sur un nouveau point de fixation populiste en Europe.
Las recientes protestas en Túnez han agravado la preocupación por la sostenibilidad económica de la transición política.