Hay un importante debate sobre el reforzamiento democrático de la UE en torno a la elección del presidente de la Comisión, las listas transnacionales europeas y las convenciones ciudadanas.
China’s importance and presence in Georgia are growing. The Belt and Road Initiative, Beijing’s vision of a new Silk Road, has met with active approval here – in contrast to a number of West European capitals, where the project is instead increasingly viewed with reservations or scepticism. The government in Tbilisi is carefully positioning Georgia as an essential part of the south Eurasian corridor. In order to profit from future trade flow between China and Europe, it has implemented a series of measures. In 2017, it became the first country in Eurasia to conclude a free-trade agreement with China. Large infrastructure projects are being carried out to facilitate transit. Georgia is also using formats such as the Tbilisi Belt & Road Forum to promote its location. However, whether the new Silk Road will be a purely win-win situation for the country, still remains to be seen.
Am 18. März verkündete der türkische Staatspräsident Recep Tayyip Erdogan die Einnahme der syrisch-kurdischen Stadt Afrin. Fast genau acht Wochen davor waren türkische Truppen in die seit den 1920er Jahren kurdisch besiedelte Region eingerückt, die von Kämpfern der syrisch-kurdischen Partei der Demokratischen Union (PYD) kontrolliert wurde. Die PYD ist eng mit der türkischen Arbeiterpartei Kurdistans (PKK) verbunden, und die Invasion ist Teil des jüngsten Versuchs der Türkei, ihre interne Kurdenfrage militärisch zu lösen. Bereits zu Beginn des Feldzugs kündigte die Türkei in diesem Kontext weitere Militäroperationen an. Alle von Kurden gehaltenen Gebiete in Nordsyrien sollen »befreit« werden. Wenn die Parlamentswahlen im Irak im Mai dieses Jahres vorüber sind, will die türkische Regierung auch dort militärisch gegen die PKK vorgehen. Ankara nimmt sich offensichtlich ein Beispiel an Russland: Es will künftig vermehrt zu kriegerischen Mitteln greifen, um seine Ziele durchzusetzen.
On March 26th, IPI together with Inclusive Security and the Permanent Mission of Estonia to the United Nations, cohosted a policy forum on constitution making in the wake of conflict and unrest.
Even as fighting rages in Syria, constitution making has become part of the peace process. In Sri Lanka, constitutional reform could address a conflict’s root causes or deepen war’s old wounds.
Constitution making is a frequent feature of peace and transition processes: new research from Inclusive Security finds 75 countries undertook significant constitutional reform in the wake of conflict or unrest between 1990 and 2015. Yet the potential for constitution making to transform conflict depends, in part, on who gets to participate. Despite increasing emphasis on inclusive approaches, only one in five constitution drafters in these settings is a woman.
How does constitution making relate to peacebuilding? What are the challenges and opportunities for inclusive constitutional reform in practice? Where have women exerted influence on the process, and what impact did they have?
This event explored research and case studies on women’s roles in constitution making; personal experiences of facilitating participatory approaches in Tunisia and Nepal; and implications for peace and security in Syria, Sri Lanka, and beyond.
Welcoming Remarks:
H.E. Mr. Sven Jürgenson, Permanent Representative of Estonia to the UN
Speakers:
Ms. Mariam Jalabi, Founding Member, Syrian Women’s Political Movement; Representative, Syrian Opposition Coalition Office to the United Nations
Ms. Amira Yahyaoui, Founder, Al Bawsala
Mr. Rohan Edrisinha, Senior Political and Constitutional Advisor, UN Department of Political Affairs
Ms. Marie O’Reilly, Director of Research and Analysis, Inclusive Security
Moderator:
Dr. Sarah Taylor, Research Fellow, International Peace Institute
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Une tonalité désabusée, des analyses sombres, le sentiment d’une situation peut-être proche de l’impasse pour la Russie, tel était l’arrière-plan commun à plusieurs conversations sur l’état du monde dans des think tanks de Moscou à la fin de la semaine dernière
Le remboursement intégral de certains soins renvoie à la problématique de la gouvernance de ce dispositif. Faut-il limiter le reste à charge zéro aux secteurs de l’optique, du dentaire et de l’audition ? Faut-il l’étendre à d’autres soins et selon quels critères, selon quelles étapes ? Dans tous les cas, la maitrise du reste à […]
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Par Dominique Reynié, professeur des universités à Sciences Po, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique (fondapol.org) Tout un bout de France qui se sent abandonné et perdu ! La France des déserts médicaux : 192 territoires, presque toujours situés dans les zones rurales et périurbaines des grandes villes. Il y a bien de […]
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Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique, était l’invité de Emilie Aubry dans l’émission L’Esprit public sur France Culture. L’attaque terroriste à Trèbes (Aude) du vendredi 24 mars était fut abordée, ainsi que l’affaire Sarkozy-Khadafi relative au financement de sa campagne présidentielle en 2007. L’intégralité de l’émission est à retrouver ici.
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Le lundi 26 mars, l’Institut Montaigne recevait Yaël Braun-Pivet, députée, présidente de la Commission des Lois, Nicolas de Tavernost, président du directoire du Groupe M6 et Jean-Marie Delarue, ancien contrôleur général des lieux de privation de liberté pour un échange autour du rapport Travail en prison : préparer (vraiment) l’après, paru en février dernier. Les échanges étaient animés par Blanche Leridon, responsable des opérations à l’Institut Montaigne.
Retrouvez les quatre points à retenir de cette matinée.
1. La question carcérale connaît aujourd’hui un nouvel élanLe discours d’Emmanuel Macron à l’ENAP (école nationale d’administration pénitentiaire) et sa visite de la prison de Fresnes au début du mois de mars marquent un tournant dans l’appréhension de la question carcérale. Ce changement, qui intervient après la grève des surveillants pénitentiaires de janvier, concerne également les Parlementaires, qui, dès septembre 2017, s’étaient rendus en détention pour des visites surprises d’établissements. Il en est ressorti un élément fort, mis en évidence par la présidente de la Commission des Lois : la thématique carcérale a été abordée de manière profondément transpartisane, nourrissant l’espoir que les propositions à venir puissent faire consensus et représentent une avancée pour les prisons françaises.
2. L’objectif de réinsertion des détenus est encore insuffisamment considéréLes politiques pénale et carcérale françaises souffrent de plusieurs maux : l’absence d’indicateurs ou de données statistiques, pourtant nécessaires à leur évaluation ; la surpopulation carcérale, qui met l’accent sur la lutte contre les évasions ou les violences et non sur la prévention de la récidive ; l’architecture pénitentiaire (nos prisons sont souvent mal localisées, difficilement accessibles et matériellement peu adaptées au travail en prison). Enfin, la réalité actuelle du travail en prison ne permet pas encore de lever les barrières à la réinsertion (faible qualification des détenus, mauvaise maîtrise des rudiments nécessaires à l’employabilité - comme la rédaction d’un CV -, etc.).
3. Changer les modalités du travail pénitentiaire pour une prison qui réinsère réellementSeuls 29 % des détenus travaillent. En plus d’une rémunération faible, le travail en prison se caractérise par des tâches peu qualitatives. Il est temps de favoriser un travail qui soit bénéfique et formateur pour la personne détenue. A ce titre, les conclusions du rapport rendu le 21 mars par la Commission des Lois sur les conditions de détention rejoignent celles du rapport de l’Institut Montaigne. Une plus grande continuité entre le “dedans” et le “dehors”, l’introduction du numérique, le respect du salaire minimum de référence, le passage d’une rémunération à la pièce à une rémunération horaire ou une plus grande inscription des établissements pénitentiaires dans leur écosystème et les filières économiques locales sont autant de pistes susceptibles de valoriser et de développer le travail en prison.
4. Des réflexions doivent également être menées sur la perception de la question carcérale par l’opinion publiqueLa croyance selon laquelle plus il y a de gens en prison, plus la société est protégée, est encore vivace en France. Or le sujet n’est évidemment pas là. La prison doit, d’abord et avant tout, cesser de produire des récidivistes. Si les débats sur le rôle de la prison sont encore sensibles, la société française est de plus en plus consciente qu’il est dans l’intérêt de tous de s’emparer autrement de la question carcérale. C’est en fédérant toutes les forces et tous les acteurs (administration pénitentiaire, surveillants, entreprises, citoyens) que la France pourra espérer de sa prison qu’elle prépare (vraiment) l’après.
Blanc 26 mars 2018 Activé Travail en prison : préparer (vraiment) l'après La réinsertion des détenus par le travail et la formation est un levier structurant de la politique carcérale que doit mener notre pays. travail en prison carceral detention prisonnier detenu reinsertion Ouvert Non NonLas elecciones parlamentarias de Costa Rica y la primera vuelta de las presidenciales han dejado un escenario bastante abierto y con algunas novedades políticas.