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Diplomacy & Defense Think Tank News

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Institut Montaigne - mer, 26/09/2018 - 10:06

Les conditions de l'investissement en France ont été au cœur des échanges de l'événement organisé ce mardi 25 septembre autour de Patricia Barbizet, présidente de Témaris, Jean-Frédéric de Leusse, président du directoire d'UBS France, Nicolas Petrovic, président de Siemens et Nicolas Sekkaki, président d'IBM France. Les échanges ont permis de passer en revue les différents leviers permettant d'attirer des investissements en France.

Comment acheter les répulsifs animaux par ultrason en ligne ?

RMES - mer, 26/09/2018 - 09:50

Vous êtes dépassé par la colonie de rats qui se cache un peu partout dans votre maison et vous donne du fil à retordre ? Il existe un grand nombre de solutions parmi lesquels, nous avons les répulsifs animaux par ultrason. Ces appareils ont plusieurs fois fait leurs preuves en la matière ?

Si vous avez envie d’en prendre un, faire votre choix sur internet serait une idée géniale. Cependant, une question se pose : comment faire ce genre d’achat en ligne ? La réponse est ici.

Critères d’achat

Avant de faire le choix de votre appareil de répulsion, il y a certains détails à vérifier obligatoirement, afin de faire le meilleur choix.

Le type d’animal

C’est la première des choses à prendre en compte. En effet, il n’existe pas de répulsif universel. Si vous en trouvez, sachez que c’est juste pour vous tromper. Les fréquences émises par ses appareils ont une influence sur l’animal selon des degrés différents. Pour certains, il faut qu’elle soit plus haute, d’autres exigent le minimum. C’est en cela que vous verrez sur le marché un répulsif ultrason uniquement pour chat par exemple, et d’autres pour chien, souris, etc. Pour faire votre  choix plus facilement, vous pouvez toujours visiter les sites comme repulsif-animaux.com.

Le champ d’émission

Sur cet aspect, tout dépendra du champ que vous avez envie de couvrir avec l’appareil. Dès que vous aurez défini cela, il vous sera aisé de choisir la portée qui vous convient le mieux. Il faudrait tout de même savoir qu’une étendue plus grande nécessite un peu plus de dépenses.

Les sites de vente en ligne

Beaucoup de sites web naissent sur internet, en vue du e-commerce. Parmi eux, il y en a qui sortent facilement leur tête de l’eau. Nous avons entre autres :

Amazon.fr

Le géant de la vente en ligne ne loupe carrément rien. Vous y trouverez de très bons appareils avec leurs fiches, donnant assez d’informations sur chaque modèle. Des promotions et réductions y sont proposées de temps à autre. Méfiance tout de même pour certaines annonces trop aguichantes.

Cdiscount.com

Les propositions de répulsifs sont également nombreuses sur cette plateforme. Vous en trouverez surement en fonction de vos exigences.

Bref, il existe assez de sites web de vente en ligne qui fournissent ces appareils, mais tout dépendra d’abord de vous.

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Die Kontrolle Ausländischer Direktinvestitionen als Nichtverbreitungsinstrument

SWP - mer, 26/09/2018 - 00:00
Die Kontrolle von Massenvernichtungswaffen zwischen Wirtschafts- und Sicherheitsinteressen

Revenu universel d’activité : que faut-il en penser ?

Institut Montaigne - mar, 25/09/2018 - 18:06

Un revenu universel, vraiment ? Emmanuel Macron a présenté la stratégie nationale de prévention de lutte contre la pauvreté. Loin d’être un "virage social", selon le président, cette stratégie s’inscrit dans la lignée de son discours électoral ainsi que des réformes…

Faut-il acheter un tableau magnétique en ligne ou en magasin ?

RMES - mar, 25/09/2018 - 11:00

Les tableaux magnétiques sont des instruments qui se sont popularisés au fil du temps. En effet, nombreux sont les ménages qui en disposent et qui les utilisent de façon régulière. Dans de telles conditions, il faut admettre qui n’est pas très difficile de s’en procurer.

En réalité, pour ce faire, vous avez la possibilité de vous déplacer dans un magasin ou dans une grande surface afin de pouvoir en faire l’achat. Aussi, possibilité vous est offerte d’effectuer votre achat en ligne. Faut-il se tourner vers un magasin, ou alors tout simplement faire son achat sur internet ? Suivez donc !

L’achat en magasin

L’achat d’un produit en magasin est l’une des techniques les plus traditionnelles utilisées. En effet, depuis la nuit des temps, si vous avez l’intention d’acheter un article quel qu’il soit, il était indispensable de se déplacer vers un centre commercial afin de pouvoir s’en procurer.

En effet, cette option vous permet d’avoir une visibilité importante sur le produit que vous désirez acheter. En d’autres termes, cela signifie que se déplacer en magasin pour acheter un tableau magnétique vous permet d’avoir une vue d’ensemble sur ce dernier, afin que vous puissiez effectuer convenablement à votre choix, et éviter ainsi au maximum de vous procurer un tableau contenant des vices cachés. 

L’achat en ligne

Effectuer l’achat en ligne d’un tableau magnétique est également très bénéfique. En effet, il s’agit d’une méthode actuellement très utilisée, car elle vous permet d’effectuer votre achat sans fournir de gros efforts. En réalité, non seulement cela vous permettra d’économiser les frais de déplacement occasionnés pour vous déplacer en magasin, mais cela vous permettra tout autant d’avoir une certaine vue et une certaine connaissance sur les caractéristiques du tableau pour lequel vous souhaitez opter. Ce site est par exemple doté de comparatifs et de tests très fiables ; cela vous permettra de dégager quel tableau vous conviendra le mieux.

Quel est le meilleur choix ?

Entre acheter un tableau magnétique en magasin et le faire en ligne, il n’y a pas à proprement parler de meilleur choix. En réalité, si vous avez l’intention de vous procurer un tableau en faisant une sélection minutieuse, vous pouvez opter pour un achat en ligne. Cependant, si vous avez l’intention d’avoir une vue d’ensemble, et d’explorer toutes les caractéristiques de votre tableau, vous devriez vous rendre en magasin.

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Action for Peacekeeping: Will Political Consensus Lead to Change in Practice?

European Peace Institute / News - lun, 24/09/2018 - 19:14

Secretary-General António Guterres launched the Action for Peacekeeping initiative (A4P) in March 2018 to galvanize member states to commit to peacekeeping and to translate statements of high-level political support into concrete actions. Since then, member states have signed a “Declaration of Shared Commitments on UN Peacekeeping Operations” in which they agree to adapt peacekeeping operations to meet contemporary challenges. But will this political consensus lead to actual change?

This issue brief assesses the political declaration across seven themes: political solutions, protection, safety and security, performance, partnerships, sustaining peace, and conduct of personnel. It argues that while some of member states’ commitments break new ground, many only reaffirm past agreements—and all require more concrete follow-up mechanisms. Ultimately, the success of the Action for Peacekeeping initiative depends on whether member states and the Secretariat honor their commitments and whether these commitments enable peace operations to help end conflicts and deliver sustainable peace.

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Et si le rêve européen s'arrêtait à Rome ?

Institut Montaigne - lun, 24/09/2018 - 15:02

L'Italie, qui fut l'un des plus fervents partisans de la construction européenne, effectue une marche arrière qui la rapproche de la Hongrie de Viktor Orbán.

Tous les chemins mènent à Rome dit le proverbe d'origine latine. Le rêve européen risque-t-il, lui, de s'arrêter à Rome, comme "Le Christ s'est arrêté à Eboli", pour plagier le titre du livre de Carlo Levi ? La question n'est pas seulement…

Syrie : offensive sur Idlib suspendue, un avion russe abattu dans le ciel syrien

Institut Montaigne - lun, 24/09/2018 - 12:45

Le 17 septembre, à Sotchi, après quatre heures d’entretiens, le président Poutine et son homologue turc, M. Erdogan, annonçaient qu’ils s’étaient mis d’accord pour éviter l’ "offensive programmée" (russo-syrienne) contre Idlib. Le soir même, un Iliouchine II-20 était abattu au-dessus de Lattaquié, non loin de la base russe de Hmeimein, par des missiles S-200 (de fabrication russe) tirés – par erreur peut-on supposer - par la DCA syrienne.

IPI Hosts 13th Annual Middle East Dinner

European Peace Institute / News - lun, 24/09/2018 - 04:31
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On Sunday, September 23, 2018, IPI held its thirteenth Ministerial Dinner on the Middle East in its Trygve Lie Center for Peace, Security, and Development. The working dinner drew the participation of foreign ministers, United Nations officials, special representatives of the Secretary-General to countries in the region, heads of humanitarian agencies, and other high-level representatives from the Middle East and North Africa, Europe, and beyond.

The event was chaired by Terje Rød-Larsen, President of IPI, and co-hosted by the United Arab Emirates and Luxembourg, represented respectively by Anwar Mohammed Gargash, UAE Minister of State for Foreign Affairs, and Jean Asselborn, Luxembourg’s Minister of Foreign and European Affairs.

In a roundtable conversation, conducted under the Chatham House rule of non-attribution, participants exchanged views on the changing landscape in the Arab world, including Yemen, Syria, Libya, Iraq, Israel, and the Palestinian territories, and the large displacement of people in the region. Central to the discussion was the possibility of establishing a multilateral mechanism for regional cooperation for the Middle East and North Africa in coordination with European and international stakeholders.

Attendees included the foreign ministers of Belgium, Cyprus, Finland, France, Greece, Iraq, Jordan, Kazakhstan, Kuwait, Libya, Liechtenstein, Norway, and Spain; as well as Secretary-General of the League of Arab States, Ahmed Aboul-Gheit, and Secretary-General of the Gulf Cooperation Council, Abdul Latif bin Rashid Al Zayani.

Also present were Ferid Belhaj, Vice President of the World Bank; Børge Brende, President of the World Economic Forum; Alistair Burt, United Kingdom Minister of State for the Middle East; Staffan de Mistura, Special Envoy of the UN Secretary-General for Syria; Rosemary A. DiCarlo, UN Under-Secretary-General for Political Affairs; Ahmed Hussen, Minister of Immigration, Refugees and Citizenship of Canada; Thorbjørn Jagland, Secretary-General of the Council of Europe; Pierre Krahenbuhl, Commissioner-General of the UN Relief and Works Agency for Palestine Refugees in the Near East (UNRWA); Ján Kubiš, Special Representative of the Secretary-General for Iraq and Head of UNAMI; Robert Malley, President and CEO of the International Crisis Group; Peter Maurer, President of the International Red Cross; David Miliband, President and CEO of the International Rescue Committee; Nickolay Mladenov, Special Coordinator for the Middle East Peace Process and Personal Representative of the UN Secretary-General to the Palestine Liberation Organization and the Palestinian Authority; Federica Mogherini, High Representative of the European Union for Foreign Affairs and Security Policy; Amr Moussa, Former Secretary-General of the League of Arab States; and Kevin Rudd, Former Prime Minister of Australia and Chair of the IPI Board of Directors.

 

Kann die EU über den „Streit um Schiffe“ hinauskommen?

Bonn, 24.09.2018. In seiner jüngsten Rede zur Lage der Europäischen Union skizzierte Kommissionspräsident Jean-Claude Juncker seine Vision von der künftigen Migrationspolitik der EU. Die Rede stellte eine Reihe von Vorschlägen zur Stärkung der EU-Kompetenzen im Migrationsbereich vor. Die Vorschläge zielen darauf ab, die nationalen Spaltungen im Bereich der Migration zu überwinden, die von nationalistischen Politikern wie Orbán und Salvini gefördert werden. Doch scheinen die Vorschläge in erster Linie von politischer Schadensbegrenzung inspiriert zu sein und stellen keine längerfristige Antwort im Interesse der Entwicklung der EU und ihrer Beziehungen zu Afrika dar. Darüber hinaus werden die Bedürfnisse der europäischen und afrikanischen Bürger nicht angemessen berücksichtigt. Junckers Vorschläge versuchen, die Lücken zu schließen, die durch festgefahrene Verhandlungen zwischen den EU-Mitgliedstaaten entstanden sind, und umfassen die Einrichtung einer EU Asylagentur sowie einer EU-Grenz- und Küstenwache. Erstere soll die Staaten bei der Bearbeitung von Asylanträgen unterstützen. Letztere soll Exekutivbefugnisse haben, um Grenzkontroll- und Rückführungsaufgaben in EU- und Nicht-EU-Ländern durchzuführen. Ihre Einrichtung soll die Durchsetzung strengerer Rückkehrvorschriften ermöglichen. Als Gegenstück zu dieser strengeren Linie schlägt die Kommission vor, legale Wege für Fachkräftemigration und humanitäre Wiederansiedlung zu schaffen. Es wird erwartet, dass damit Anreize für Drittländer geschaffen werden, bei der Grenzkontrolle und Rückführung zu kooperieren. Seit dem kurzzeitigen Anstieg der Migrantenzahlen 2015 und trotz eines Rückgangs der Neuankünfte haben die europäischen Staaten Schwierigkeiten, gemeinsame und dauerhafte Lösungen zu finden. Derzeit sind kaum politische Fortschritte zu verzeichnen, wobei Juncker beklagt, dass „wir nicht bei der Ankunft jedes neuen Schiffes weiter über Ad-hoc-Lösungen für die Menschen an Bord streiten“ können. Die Herausforderungen sind nicht neu. Versuche, eine gemeinsame Migrationspolitik zu definieren, reichen mindestens zwei Jahrzehnte zurück. Die Tatsache, dass diese Versuche erfolglos waren, hat sicherlich zu den enormen politischen Auswirkungen der Migration beigetragen. Bürger haben sich dem Nationalismus zugewandt und ihr wachsendes Misstrauen gegenüber der EU zum Ausdruck gebracht. Die Wahrnehmung, dass die EU nicht bereit oder nicht in der Lage ist, sich der Herausforderung zu stellen, hat sich vor allem in Ländern verbreitet, in denen die Bürger weiterhin mit den Langzeitfolgen der Wirtschaftskrise kämpfen. Junckers Fokus auf Grenzkontrolle und Rückkehr spiegelt die Tatsache wider, dass nationale Spaltungen dazu geführt haben, Migration als Bedrohung der Grenzen und nicht als Chance wahrzunehmen. Junckers Vorschläge verstärken die Unterscheidung zwischen Flüchtlingen, die bleiben dürfen, und anderen Migranten, für die zunehmende Einschränkungen gelten. Dieser Ansatz verkennt, dass Migration sowohl für die wirtschaftliche Stabilität in Europa als auch für Resilienz und Entwicklung in Afrika wesentlich ist. In den Vorschlägen fehlen Maßnahmen, die den Beitrag der Migranten zur transnationalen Entwicklung unterstützen, etwa die Senkung der Kosten für Rücküberweisungen. Zudem bieten die Vorschläge keine Lösungen für die vielen gering qualifizierten Migranten, die illegal, etwa in der Landwirtschaft, arbeiten und deren Beschäftigung indirekte negative Folgen für gering qualifizierte europäische Arbeitnehmer hat. Die Vorschläge von Juncker können auch eine wirksame Zusammenarbeit zwischen der EU und Afrika behindern. Um eine afrikanische Zusammenarbeit bei der Grenzkontrolle und Rückführung zu erreichen, wird die EU die afrikanischen Staaten mit Hilfe anderer externer Politiken weiter unter Druck setzen müssen. Dies wird vor allem für die Entwicklungshilfe gelten. So wird die gegenwärtige Auseinandersetzung Europas mit dem Nationalismus langfristige Auswirkungen auf seine Beziehungen zu Afrika haben. Dies hat bisher zu kurzfristigen Ansätzen der Adressierung von nicht näher bestimmte „Fluchtursachen“ geführt. Die EU wird wahrscheinlich auch feststellen, dass die Bindung von Entwicklungsgeldern an Zusammenarbeit bei der Grenzkontrolle für andere diplomatische und wirtschaftliche Bereiche nachteilig sein kann. Anstelle des vorgeschlagenen Pakets, das wahrscheinlich umstritten sein wird, ist ein umfassenderer EU-Ansatz für die Zusammenarbeit mit Afrika im Migrationsbereich erforderlich. Die EU muss von restriktiven Ansätzen abrücken, die auf Grenzkontrollen und Kriminalisierung irregulärer Migranten basieren. Vielmehr muss sie mit Afrika eine ernsthafte Diskussion darüber führen, wie Migration Entwicklung und Wohlstand auf beiden Kontinenten fördern könnte. Die Afrikanische Union wäre dafür ein guter Partner. Eine solche Neuausrichtung wird jedoch nur möglich sein, wenn die EU ihre Fähigkeit wiedererlangt, international als einheitlicher und wertebasierter Akteur zu agieren. Die einseitige Verkündung einer gleichberechtigten Partnerschaft mit Afrika ist kein überzeugender Ausdruck dieses Potenzials. Eine nachhaltige Migrationspolitik gegenüber Afrika erfordert auf beiden Seiten einen gesamtgesellschaftlichen Ansatz, und die EU kann einen solchen Prozess nur dann realistisch einleiten, wenn er die internen Spaltungen und Bedrohungen für den gesellschaftlichen Zusammenhalt berücksichtigt.

Das Ende des IS?

SWP - lun, 24/09/2018 - 00:00

In den Jahren 2014 bis 2016 wurde der »Islamische Staat« (IS) zur gefährlichsten Terrororganisation der Gegenwart. Damals schien es so, als habe er sich im Konflikt mit al-Qaida durchgesetzt und schicke sich an, die jihadistische Szene weltweit zu dominieren. Ende 2017 jedoch erlitt der IS eine vernichtende Niederlage. Der »Staat« des IS in Syrien und im Irak brach unter den Angriffen seiner Gegner zusammen. Trotz aller Rückschläge deutet bisher alles darauf hin, dass der IS im Irak überleben und im Untergrund aktiv bleiben wird. Auch in Syrien könnte die Organisation stark bleiben und die seit 2014 entstandenen IS-Filialen in Libyen, Ägypten (Sinai), Jemen und Afghanistan dürften sich ebenfalls halten. Doch zu den zahlreichen Gegnern des IS gehören auch konkurrierende Jihadistengruppen aus dem al-Qaida-Netzwerk, die meist größer und schlagkräftiger sind als die irakische Organisation und ihre Ableger. Da IS und al-Qaida weiterhin in scharfer Konkurrenz zueinander stehen, dürfte die jihadistische Szene in den kommenden Jahren stark fragmentiert bleiben. Das wird es den Jihadisten erschweren, anspruchsvolle, große Anschläge zu organisieren, macht sie aber unberechenbarer als bisher.

Der Autor empfiehlt der Bundesregierung, ihre Aktivitäten zur Terrorismusbekämpfung auf die Türkei, Libyen und Ägypten zu konzentrieren. Deutschland sollte sich darauf vorbereiten, dass die USA von den Europäern mehr Engagement im Kampf gegen den Terrorismus fordern werden, und dieser Forderung nachkommen. Es sollte die Türkei ins Zentrum ihrer Antiterrormaßnahmen rücken, einen zweiten Schwerpunkt auf die Situation in Nordafrika legen, sich effektiv an der militärischen Bekämpfung von jihadistischen Gruppierungen beteiligen und künftig auf rein symbolische Gesten und Schritte verzichten.

Quel amplificateur TV choisir ?

RMES - dim, 23/09/2018 - 17:53

Il vous arrive bien souvent d’être confronté à des difficultés de réception de signal de votre antenne TV. Pour différentes raisons, le signal de peut être perturbé. Vous faites ainsi appel à un amplificateur d’antenne TV. Seulement, il faut bien mûrir son choix.

Il existe en effet diverses sortes d’amplificateurs. Pour choisir un amplificateur TV, non seulement il faut tenir compte de la complexité de vos difficultés, mais il faut également prendre en considération un certain nombre de critères.

Les différents types d’amplificateurs TV

Pour amplifier le niveau de signal de votre antenne de réception, vous disposez sur le marché de plusieurs modèles d’amplificateurs. Mais principalement, trois types sont disponibles en abondance et régulièrement utilisés. Ce sont l’amplificateur monocanal, l’amplificateur sélectif et l’amplificateur large bande.

L’amplificateur TV monocanal

Encore appelé amplificateur à gain fixe, ce modèle d’amplificateur intervient sur une seule fréquence, d’où d’ailleurs cette dénomination-ci, parce que son gain est réglé sur une unique fréquence. Ce type d’amplificateur ne peut donc amplifier que le niveau de signal du canal correspondant à la fréquence sur laquelle son gain a été réglé. En revanche, celle-ci peut être sur n’importe quelle bande, qu’elle soit de très haute fréquence (VHF, Very high fidelity) ou ultra haute fréquence (UHF).

Cet appareil a la particularité de favoriser la réception de signaux stables. Il dispose d’une sortie unique.

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L’amplificateur TV sélectif

Ce modèle est aussi dénommé amplificateur à gain ajustable (ou réglabe) ou à bande étroite. A l’opposé du précédent type, l’amplificateur sélectif opère, non pas sur une seule fréquence, mais sur une bande de fréquence déterminée. Il peut ainsi être utilisé pour amplifier le signal de plusieurs canaux de cette bande.

Ce type d’amplificateur est capable de faire ressortir tous les signaux disponibles sur la bande en les amplifiant consécutivement. Il permet ainsi au récepteur de percevoir l’intégralité du son qu’émet l’émetteur. Il est habituellement utilisé pour les cas d’interférences et de perturbations de tous genres du signal. Il est également en général en sortie mono.

L’amplificateur TV large bande

Ce type est carrément une sorte d’amplificateur universel. C’est le modèle d’amplificateur TV qui est capable de prendre en charge le spectre de signal entier. Il dispose en effet d’un gain suffisamment élevé pour amplifier l’ensemble des signaux terrestres.

L’amplificateur large bande retransmet le signal par une sortie mono à une prise unique ou à sorties multiples intégrées.

A présent que vous avez fait le tour des différents modèles disponibles, vous êtes mieux armé pour choisir l’amplificateur TV qu’il vous faut.

Amplificateur tv tnt

https://signal-amplificateur-tv.fr/test-de-lamplificateur-hd-line-kit4-1/

Lequel choisir ?

D’entrée, notez que choisir un amplificateur TV dépend fondamentalement du type de signal que vous souhaitez amplifier. Un amplificateur TNT amplifiera donc le signal reçu par une antenne de réception TNT, idem pour les amplificateurs VHF et UHF pour les signaux d’antenne correspondant. Autant donc l’amplificateur à gain élevé permet de régler les problèmes majeurs de réception du signal, autant il expose à des problèmes de dysfonctionnement lorsqu’il n’est pas très utile.

En clair, vous devriez opter pour un type d’amplificateur adapté à vos besoins disposant du juste niveau de gain et offrant la performance correspondant à vos attentes en termes de réception de signal.

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Différence entre poussette et landau

RMES - sam, 22/09/2018 - 15:30

Les accessoires pour bébé sont multiples, mais ont tous le même but. Vous permettre de prendre soin de votre enfant. Certains accessoires sont bien différents des autres, mais d’autres se ressemblent un peu plus. C’est le cas de la poussette et du landau. Mais bien qu’ils se ressemblent, ils ne sont pas les mêmes. Quelle est alors la différence entre ses deux accessoires ? Suivez !

Une différence étymologique

Le mot poussette est tiré du verbe français “pousser”. En d’autres termes, si l’on s’en tient uniquement à l’étymologie, la poussette servirait à pousser votre enfant. Quant au landau, il est plutôt tiré du nom d’une ville allemande appelée également Landau.

Une utilisation différente

La différence tient plus de l’utilisation qui est faite de ces deux accessoires. En effet, quand on prend la poussette, elle vous permet d’y placer l’enfant en position assise. Une fois installé et bien attaché, l’enfant, s’il en ressent le besoin peut s’endormir. Même si certaines positions de la poussette peuvent se modifier et donner plus de confort à l’enfant, il n’en demeure pas moins assis.

Mais tel n’est pas le cas du landau. En réalité, le landau, bien qu’il permette également à l’enfant de rester en position assise, lui permet aussi de rester couché tout en se déplaçant. Il va donc sans dire que la position du bébé est également un critère de distinction.

Une différence basée sur l’âge de l’enfant

L’âge de votre enfant est également un critère de distinction entre la poussette et le landau. Il n’est pas rare de constater qu’une poussette peut accueillir tout type d’enfant. En l’occurrence, la poussette peut accueillir un enfant dès sa naissance jusqu’à ses 3 ans.

Mais tel n’est pas le cas du landau. Ce dernier est uniquement capable d’accueillir les jeunes enfants. En d’autres termes, un landau est plus adapté pour les enfants qui ont de 0 à 12 mois. Il est donc impossible de voir un enfant de 3 ans installé dans un landau.

Une différence de rangement

Il s’agit là d’un bon critère de distinction. La poussette peut être rangée facilement, en raison de son caractère pliable. Tel n’est pas le cas du landau. En effet, il n’est pas possible de ranger un landau en le pliant. On peut donc dire sans se tromper, que le landau est moins pratique que la poussette.

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Où acheter un porte manteau ?

RMES - sam, 22/09/2018 - 11:06

Le porte-manteau est un accessoire indispensable pour garder nos vêtements en bon état et pour éviter qu’ils ne traînent pas un peu partout. Si vous souhaitez en acheter un mais si vous ne savez pas vers où se tourner alors vous êtes au bon endroit.

Les sites de vente en ligne : la solution facile

Les sites de vente en ligne sont devenus de véritables lieux d’échange d’articles non seulement entre particuliers mais aussi entre vendeurs (boutiques, magasins agréés, grandes surfaces…) et particuliers. Pratiquement tout les produits sont disponibles sur internet de nos jours. Les portes manteau n’échappent pas à ce nouveau mode de fonctionnement. Plus efficaces encore, les sites comparatifs comme celui-ci offrent la possibilité de choisir le meilleur porte-manteau le plus rapidement possible.

Quel que soit le type de porte-manteau recherché, nous vous conseillons de chercher d’abord sur la toile. En effet, l’offre de porte-manteau disponibles sur internet est très vaste et extrêmement variées. Que ce soit des porte-manteaux en bois ou en métal, tendance ou plutôt classique vous trouverez forcément de porte-manteau à votre goût. L’essentiel est de disposer d’une connexion internet et d’une carte de paiement bancaire.

Acheter un porte manteau en ligne vous permettra d’économiser du temps ainsi que de l’argent. Plus besoin de vous déplacer et fini les interminables queues dans les boutiques avant de régler la note. Avec un achat en ligne le paiement s’effectue en quelques secondes. En plus, les promotions pillulent sur le net. 

Si vous craignez les arnaques, nous vous conseillons d’utiliser des plate-formes de vente en ligne sécurisés comme priceminster, Amazon, Cdiscount ou bien d’autres. Ce sont des sites qui offrent toutes les garanties de sécurité.

Si vous souhaitez acheter un porte manteau d’occasion, certains sites de vente en ligne mettent également en contact les particuliers entre eux pour ces types d’opération.

Les magasins : la solution la plus sûre

Pour ceux qui ne sont pas convaincus par les sites de vente en ligne, il est toujours possible d’acheter ses porte-manteaux en boutique. Ici également, l’offre est vaste et vous pouvez obtenir des prix alléchants surtout lors des promotions. Le principal avantage de ce type d’achat est de pouvoir toucher du doigt le porte-manteau histoire de vérifier s’il n’y a pas de défauts de fabrication. Le problème, c’est que cela devient de plus en plus difficile, notamment en centre-ville.

Les porte-manteaux sont vendus dans la plupart des magasins de vêtements, les supermarchés ainsi que dans les centres commerciaux.

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Corée du Nord - Corée du Sud : un sommet pour la paix ? - Trois questions à Juliette Morillot

Institut Montaigne - ven, 21/09/2018 - 18:16

Du 18 au 20 septembre, les deux dirigeants coréens, Kim Jong-un et Moon Jae-in, se sont retrouvés à Pyongyang pour leur troisième sommet en cinq mois, afin de relancer le processus de pacification initié depuis leur première rencontre historique d’avril dernier. A ce titre, le sujet de la dénucléarisation de la péninsule a occupé une place centrale lors de ce sommet. Pourtant, la Corée du Nord a poursuivi sa course à l’arme nucléaire selon l’Agence…

<p class="text-align-justify">Le mardi

Institut Montaigne - ven, 21/09/2018 - 18:00

Le mardi 18 septembre a été organisé un événement autour de Gilles Babinet, entrepreneur et contributeur sur les questions numériques à l'Institut Montaigne, et Pierre Dubuc, co-Fondateur et CEO d'OpenClassrooms. Cet événement a permis d'aborder la question de l'évolution de l'enseignement online par le biais de MOOC, sa complémentarité avec l'enseignement traditionnel et la place importante qu'il sera potentiellement amené à jouer dans le futur a été au centre des…

<p class="text-align-justify">Le 6

Institut Montaigne - ven, 21/09/2018 - 17:58

Le 6 septembre, l'Institut Montaigne a reçu Laurent Berger, Secrétaire général de la CFDT. A cette occasion, ce dernier a présenté les principaux points de l'agenda social à venir : qualité de vie et santé au travail, assurance chômage et système des retraites.

Trump reinvents the limited sovereignty

IRIS - ven, 21/09/2018 - 16:50

Since the end of the Cold war, the United States has never been a fervent supporter of multilateralism. But Donald Trump is taking on a new dimension. Many among the American elites have believed, or still believe in the existence of a unipolar world.

Their exceptional power, their faith in their historic destiny and the widely shared feeling that their given mission is to spread “superior values” didn’t naturally led them to multilateralism. Of course, some nuances exist: Bill Clinton and Barack Obama have been quite multilateralist presidents (or less unilateralist) unlike George W. Bush. Thus, it was Bill Clinton, considered as a multilateralist, who did claim that the United States remained “the one indispensable Nation”. The American unilateralism didn’t start with 9/11, neither with the election of D.J. Trump. It is the foundation of the American foreign policy. It is also encoded in its strategic DNA, in the conception of a perfectly exceptional nation. B. Obama reduced this unilateralism without eliminated it.

But D. Trump brings it to fever pitch. His slogan “America first” hardly hides his will of “America only”. The problem isn’t his disagreement with the other nations or that he wants to act unilaterally. The problem is mainly that he seeks to set up penalties against those who disagree with him. According to him, only the Americans would have the right to fix international rules in terms of economy or security. Other countries would be wrong to disagree and would then take the risk to be punished. This is what happened with the Joint Comprehensive Plan of Action, signed in July 2015 in Vienna, which has patiently been negotiated during more than twelve years between the permanent members of the United Nations Security Council and Germany and approved by most of the other nations, and then one-sidedly broke by the United States. Besides, they consider themselves legitimate to punish those who want to keep trading with Iran. They also arrogate themselves the right to back out of the Paris agreement, signed in December 2015, denying the mostly universal consensus among political leaders and scientists for considering global warming as the greatest challenge for humanity. Finally, the United States treat its NATO allies as subordinates.

Every head of state and government supports its country when bidding for the organisation of sportive competition, such as the Olympic games or the Soccer World Cup. As for Donald Trump, he threatened of sanctions the countries which wouldn’t vote for the US application to organise the 2026 World Cup. This is a first in the history of great sporting events attribution. The United States decides, and other countries must follow without protesting.

Donald Trump’s national security advisor, John Bolton, made a speech that can be considered as a declaration of war to the International criminal court (ICC) and, by extension, to International law: “If the court comes after us, Israel or other US allies, we will not sit quietly. […] We will ban its judges and prosecutors from entering the United States. We will sanction their funds in the US financial system, and we will prosecute them in the US criminal system. We will do the same for any company or State that assists an ICC investigation of Americans. We will take note if any countries cooperate with ICC investigations of the United States and its allies…”. This is clearly the statement that the United States has every right when other countries don’t have any, such as a cowboy in a Native American reserve. The US isn’t subjected to any superior law and nobody can judge it. What give them the right? There is a real antagonism between the European vision, shared with many other countries, and the United States position. Thus, can this country speak on behalf of shared Western values? What would have we said if Russian or Chinese leaders would have made such a statement?

In 1968, when the Warsaw Pact troops entered in Czechoslovakia, Leonid Brejnev developed the concept of “limited sovereignty”, an oxymoron which aimed to conceal the reality. At the time, no country of the Warsaw Pact could exercise its sovereign rights because they were contrary to the Soviet policy. Today, Donald Trump is reinventing this concept, especially within the Western world.

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European Peace Institute / News - ven, 21/09/2018 - 16:49

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Thursday, July 12, 1:15pm EST
Bringing Words to Life: How Are the SDGs Supporting Peace, Justice, and Inclusion?
This event focuses on early successes of the 2030 Agenda for Sustainable Development—not only in regards to SDG 16 but across the agenda (SDG16+)—to foster peace, justice, and inclusion at the local and national level.

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Poussée des populismes en Europe : mouvement éphémère ou tendance structurelle ?

IRIS - ven, 21/09/2018 - 16:23

Visibilité accrue de groupuscules d’extrême droite, développement sans précédent des partis politiques populistes de droite en Europe, comment analyser les mécanismes et l’engouement de cette montée en puissance ? Quelles sont les différences et les similitudes propres aux différents mouvements de cette famille politique à travers l’Europe ? Quels enjeux sur les prochaines élections européennes de mai 2019 ? Le point de vue de Jean-Yves Camus, chercheur associé à l’IRIS.

Comment expliquer et comprendre la montée en puissance de nombreux partis politiques dits populistes en Europe ? Y a-t-il eu des faits marquants pouvant illustrer l’engouement de cette vague « populiste » ? Ne sont-ils que des symptômes de la mondialisation et du libéralisme tant économique que sociétal ?

Effectivement, les victoires électorales ou les percées électorales des mouvements populistes xénophobes de droite en Europe représentent une forme de réponse à l’angoisse qu’une partie des citoyens ressent face à une mondialisation dont ils sentent qu’elle est inéluctable, mais qui est allée trop vite.

Une sociologie du vote est donc possible, voire souhaitable, afin de mettre en évidence plusieurs critères et phénomènes socio-économiques. En effet, qu’il s’agisse du Rassemblement national (RN) (anciennement Front national) ou des électeurs du Brexit, nous pouvons retrouver plusieurs points communs.  Parmi la frange de la population la plus précaire, la moins éduquée, la moins favorisée en termes de revenus, il y a une tentation du vote pour les partis populistes de droite. Ces partis politiques semblent être les seuls, avec ceux de la gauche radicale, à prendre en compte le sort de tous ceux qui ont été laissés sur le bas-côté de la mondialisation. Ainsi, les électeurs des partis populistes de droite expriment par leurs votes une idée et un ressenti social et humain d’une part, mais également une forme d’insécurité face à des bouleversements qui ne concernent pas simplement leur situation économique, mais aussi leurs repères culturels.

Le concept d’« insécurité culturelle » est sans aucun doute un concept polémique. Il a été énoncé notamment par Laurent Bouvet. La notion décrit le sentiment d’insécurité potentiellement éprouvé par un groupe social autochtone confronté dans son espace culturel historique à une présence ou à une influence extérieure. Ce groupe social autochtone peut alors se sentir menacé dans la pérennité de sa culture, de ses valeurs, de ses normes et de son mode de vie. Je connais les critiques qui sont formulées contre ce concept, notamment celle de déplacer le débat des enjeux économiques vers une forme d’essentialisation culturelle. Mais il me semble indéniable, les baromètres de la Commission nationale consultative des droits de l’homme le montrent, que si l’indice de tolérance augmente en France, il existe des catégories de population, en particulier les musulmans ou perçus comme tels dont la culture est vue comme une menace. 47 % des personnes interrogées estiment désormais qu’«aujourd’hui en France, on ne se sent plus chez soi comme avant et 44% des sondés voient l’islam comme une menace pour l’identité de la France. Ces opinions négatives reposent peut-être sur des fantasmes, il n’empêche que les sympathisants du RN sont beaucoup plus perméables à ces idées que le reste de la population.»

Les électeurs qui votent pour le RN perçoivent donc véritablement une forme d’insécurité, dont le fait que des cultures qui n’existaient pas sur notre sol soient aujourd’hui présentes près d’eux. Il ne s’agit pas seulement d’une menace de l’étranger non européen sur leur travail ou sur leur revenu, mais également comme d’une menace sur leurs certitudes et sur leurs modes de vie.

Ainsi, plusieurs partis politiques français, évoquent et discutent de ces sujets, notamment afin de récupérer les votes de citoyens désabusés et désenchantés de cette situation politique, sociale et économique qui pourraient se diriger vers le RN. À l’exemple de Laurent Wauquiez du parti Les Républicains (LR), lors d’un discours récent, où il a dit : « les Français en ont assez de ne plus se sentir chez eux ». C’est donc une manière de récupérer le discours frontiste en se faisant le porte-voix de cette peur qu’ont bon nombre de citoyens parce qu’ils ont l’impression que leurs repères culturels leur échappent.

Est-ce que tous les partis politiques européens dits populistes sont identiques, que ce soit en Suède, en Italie, en Hongrie, en Autriche ou ailleurs en Europe ?

Évidemment que non, car nous sommes en face d’une famille politique où les valeurs qui prédominent sont le patriotisme, voire le nationalisme, le souverainisme, la volonté de mettre des frontières et du protectionnisme à la fois dans la circulation des hommes, mais aussi des marchandises. Il y a en effet une contradiction initiale entre le fait que ces partis soient nationalistes d’une part, et constitueraient un bloc homogène d’autre part.

Chaque parti politique est déterminé par l’histoire spécifique relative à son pays. Par exemple, nous ne pouvons comprendre le phénomène Victor Orbán que si nous regardons l’histoire spécifique de la Hongrie, dépecée par le Traité de Trianon voici juste un siècle. De même pour la Ligue du Nord en Italie, le FPÖ en Autriche, le SD en Suède ou le PiS en Pologne. Il y a par ailleurs, du côté des scientifiques, une grande difficulté à décrire précisément ce que serait la famille des partis dits d’extrême droite ou nationaux populistes. Mais, quel que soit le terme que nous employons, nous butons toujours sur le fait que ces partis n’ont au fond qu’un petit dénominateur commun, relativement faible, composé de trois concepts idéologiques.

Le premier dénominateur commun est la considération que le peuple a toujours raison contre les élites. Deuxièmement, qu’à l’intérieur d’un pays, il existe les nationaux et les étrangers et que les premiers, c’est-à-dire ceux qui sont détenteurs de la nationalité, doivent avoir des droits supérieurs à ceux qui ne la possèdent pas.  En outre, Marine Le Pen l’a redit à Fréjus le dimanche 16 septembre : elle veut réserver les aides sociales et le logement en priorité aux Français. Il s’agit donc de l’instauration d’un système de discrimination juridique entre ceux qui sont nationaux et ceux qui ne le sont pas. Le troisième point commun est le patriotisme, voire le nationalisme.

Voici donc le socle commun des partis politiques populistes de droite sur le continent européen. Toutefois, certaines différences existent, notamment en matière économique et sociale, avec des partis qui sont plus ou moins libéraux. Les populistes scandinaves de droite, par exemple, ont pour matrice originelle la droite mainstream conservatrice et libérale. Ce sont donc des libéraux, voire des ultra-libéraux, qui, à un moment donné, ont quitté la droite, car ils considéraient qu’elle ne donnait pas assez d’importance aux enjeux que sont l’immigration et l’identité.

Nous avons d’un autre côté des protectionnistes. Cependant, ce qui semble avoir le vent en poupe actuellement, est-ce qu’on appelle l’ordo-libéralisme. Il s’agit d’une doctrine économique qui consiste à considérer que le marché doit être libre à l’intérieur de frontières protégées. Autrement dit, il s’agit d’une économie concurrentielle, d’une économie de marché à l’intérieur de l’État, mais avec des barrières de protection contre le dumping social, et contre le dumping économique aux frontières. C’est donc un mélange de libéralisme orthodoxe et de protectionnisme.

Par ailleurs, la grande erreur de ceux qui assimilent la gauche radicale et la droite radicale est d’oublier deux critères cruciaux. Le premier est que la gauche radicale se revendique internationaliste, alors que la droite radicale se positionne en tant que nationaliste. Le second critère est que la gauche radicale est opposée au libéralisme économique (elle ne croit pas que le marché puisse permettre d’atteindre l’optimum individuel et collectif) tandis que les formations populistes de droite qui souhaitent instaurer l’ordo-libéralisme restent profondément attachées à l’État-minimum, à la dérégulation et au marché.

Ainsi, lorsque Marine Le Pen ou Marion Maréchal disent qu’il faut libérer les entreprises des formalités administratives excessives et des charges qui pèsent sur leur bon fonctionnement et leur chiffre d’affaires, elles tiennent bel et bien un discours libéral orthodoxe. Cependant, elles y ajoutent le protectionnisme, qui effectivement, ne fait pas partie du logiciel libéral classique. Nous retrouvons cela dans la plupart des partis populistes actuels. Ces derniers essaient de se distinguer des droites de gouvernement sur la question des frontières, à la fois sur les mouvements des hommes, mais aussi sur les mouvements des capitaux et des marchandises.

Comment vont évoluer, selon vous,  ces partis dits populistes à l’aube des élections européennes de mai 2019 ? S’agit-il seulement d’un mouvement éphémère ou d’une tendance plus structurelle de fond ?

Cela fait longtemps qu’il s’agit d’une tendance structurelle. En effet, les premiers succès électoraux de ces partis datent des années 1980. Le FN, désormais RN, a pour la première fois envoyé dix députés au Parlement européen en 1984. Premières élections lors desquelles il a dépassé la barre des 10%.

Je suis régulièrement interrogé sur les critères novateurs des manifestations de Chemnitz qui ont lieu en Allemagne depuis quelques semaines. Et je réponds : pas grand-chose ! En effet, déjà durant les premières années après la réunification de l’Allemagne, il y avait dans certaines parties du pays des attaques contre des foyers de demandeurs d’asile, et des homicides touchant des personnes qui étaient soit des immigrés, soit des réfugiés. Finalement, j’ai l’impression que nous redécouvrons le phénomène quasiment de jour en jour, ou à chaque fois qu’une élection vient nous le rappeler.

Mais le fait saillant est que cette famille des droites populistes et xénophobes s’est installée comme une composante structurelle de la vie politique dans la majorité des pays d’Europe occidentale depuis les années 1980, et quasiment depuis le passage à l’économie de marché et à la démocratie libérale pour les pays d’Europe de l’Est.

Il s’agit donc vraiment d’un phénomène inscrit dans la durée et qui va trouver dans les élections européennes le moyen, peut-être, de frapper un grand coup. En effet, nous allons être dans ces élections dans un combat binaire. Cela a d’ailleurs été posé ainsi par le président Macron, qui a dit : « Je veux incarner le camp des progressistes contre celui des populistes ». Marine Le Pen, de son côté, tout comme Mateo Salvini et Victor Orbán avant elle, a dit qu’elle allait relever le gant. Il y aurait donc, d’un côté, ceux qui veulent davantage d’Europe et d’intégration, et de l’autre, ceux qui veulent davantage de nation et d’identité. Les électeurs vont donc être amenés à se prononcer dans ce qui va être une sorte de referendum. Et les deux camps semblent favorables à ce que ce soit ainsi.

Les populistes réussiront-ils à gagner une majorité au Parlement européen ? J’en doute. Pourront-ils avoir une minorité de blocage ? C’est possible. Ce serait alors une crise majeure, sauf que nous y sommes déjà d’une certaine manière. Effectivement, deux pays de l’Union européenne (UE) ont vu se déclencher des procédures article 7 (la Pologne et désormais la Hongrie). De plus, un pays majeur, la Grande-Bretagne, a choisi de sortir de l’UE. Il y a par ailleurs, dans divers pays, des partis de cette famille politique au gouvernement, même s’ils n’ont pas toutes les manettes entre leurs mains.

Le constat provisoire est que de toute façon, ces partis politiques, même s’ils ne sont pas au pouvoir, notamment en France, ont tout de même durablement modifié le cours de la construction européenne. Lorsque nous faisons le bilan des trente années passées, incontestablement, les partis populistes de droite ont été des acteurs majeurs de cette crise de confiance dans le projet européen qui était en train de se manifester sous nos yeux.

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