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Diplomacy & Defense Think Tank News

Culture, Exposition Beckmann au musée Thyssen-Bornemisza de Madrid

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 22/10/2018 - 02:00
Le musée Thyssen-Bornemisza de Madrid consacre une exposition au peintre allemand de la première moitié du XXe siècle, Max Beckman du 25 octobre 2018 au 27 janvier 2019. Elle est l'occasion de se replonger dans l'histoire allemande de cette période à travers la vie et l'œuvre de l'artiste : de la Première guerre mondiale à l'exil face à la montée du Nazisme et de la censure.

Culture, "Voir, penser, rêver" à Karlsruhe

Fondation Robert Schuman / Actualités - lun, 22/10/2018 - 02:00
La Kunsthalle de Karlsruhe consacre une exposition au dessin français des XVIe au XXe siècles. Des oeuvre de Fragonard, Odilon Redon ou Degas, parmi d'autres, sont visibles jusqu'au 13 janvier 2019.

Engagement für globale Gesundheit

SWP - lun, 22/10/2018 - 00:00

2015 verabschiedeten die Vereinten Nationen die Agenda 2030 zur nachhaltigen Entwicklung. Darin ist auch ein Gesundheitsziel enthalten: Gesundheit und Wohl­befinden für alle Menschen in jedem Alter und an allen Orten. In einer Welt, in der Men­schen so mobil sind wie noch nie, in der Krankheitsrisiken und Gesundheitschancen ungleich verteilt sind und internationale Finanz- und Warenströme gesundheitliche Auswirkungen haben, können Gesundheit und Wohlbefinden nicht mehr nur auf nationaler Ebene und durch staatliche Akteure allein gesichert werden. Eine Reihe von Entwicklungen – nicht zuletzt die laufende Überarbeitung der deutschen Strategie zur globalen Gesundheit von 2013 – eröffnet Deutschland die Chance, sich strategisch neu auszurichten, die sich wandelnden Herausforderungen bei der Sicherung und Förderung nationaler wie globaler Gesundheit kohärent an­zugehen und international sichtbar neue Prioritäten zu setzen.

Brésil : l’autre enjeu majeur d’une victoire de Jair Bolsonaro, l’avenir de la forêt

IRIS - dim, 21/10/2018 - 18:30

Dans le programme de Jair Bolsonaro sont affirmées des positions très franchement pro-déforestation. Quels sont les rapports de force économique et politique sous-jacents à ces choix ?

Jair Bolsonaro a un programme très clair par rapport à la question de la déforestation et entretient une relation étroite avec le lobby de l’agro négoce très puissant au Brésil.

Lobby qui pèse de tout son poids dans l’économie puisqu’il s’agit du secteur de l’exportation des matières agricoles, en particulier de viandes et de soja qui sont l’enjeu spécifique de la question amazonienne en termes de déforestation.

En effet, Bolsonaro propose de relayer les exigences de ce lobby qui est d’ores et déjà fortement représenté au Congrès avec un groupe parlementaire transpartis qui ne défend pas des intérêts partisans mais directement les intérêts de l’industrie agroalimentaire. Or, Bolsonaro s’est fait leur porte-parole et leur promet plusieurs choses.

La première, c’est qu’il leur promet d’enlever toute entrave à l’exploitation des sols de l’Amazonie afin de les utiliser pour la culture de soja et aussi pour la viande. Il promet également de mettre de côté toutes les réglementations environnementales qui ont été durement acquises au cours de ces dernières années au Brésil. Il propose encore de supprimer le ministère de l’Environnement pour l’intégrer au ministère de l’Agriculture qui représente les intérêts du groupe ruraliste.

Si M. Bolsonaro mettait effectivement en acte ce qu’il promet, le Brésil, qui portait jusqu’à présent dans les cercles multilatéraux une grande attention à la question climatique, pourrait-il porter le coup fatal aux objectifs internationaux de réduction d’émissions fixés par les accords de Paris ?

La menace est réelle. Le Brésil est le sixième émetteur, au niveau mondial, de carbone, bien qu’il reste loin derrière la Chine ou les Etats-Unis en matière d’émissions. Il est clair que le projet de Bolsonaro de sortir de l’Accord de Paris a un objectif : permettre de déforester l’Amazonie pour augmenter les rendements et les profits du secteur de l’agro business. Bolsonaro va également chercher de nouvelles alliances géopolitiques pour complaire à Donald Trump.

Bolsonaro estime que les droits environnementaux et les droits humains qui ont été renforcés en faveur des populations indigènes sont une entrave au potentiel économique brésilien et donc selon lui au bien être de la population brésilienne.

En tant que tel, le programme environnemental de Bolsonaro n’est pas une véritable rupture. Il y a toujours eu un choix à faire pour les gouvernements : favoriser l’agroalimentaire pour relancer croissance économique en vue de créer des richesses ou s’y opposer totalement.

Sous le PT, il y a eu beaucoup de conflits mais également des compromis pour limiter l’avancée du lobby agroalimentaire sans le remettre en question. Bolsonaro, lui, veut aller bien plus loin en exploitant pleinement les ressources sans tenir comptes des protestations.

Au cœur de la question de la déforestation figurait jusqu’à présent une interrogation constante sur le sort réservé aux indigènes amazoniens. Peut-on imaginer que la brutalité que promet Bolsonaro à leur égard en vienne à faire de la protection et de l’accaparement de la forêt amazonienne un sujet explosif dans un pays déjà marqué par la violence ?

Il faudra voir ce que Bolsonaro fait s’il est élu, mais il aura face à lui une importante résistance émanant de la société civile, d’associations… Groupes qui ne se laisseront pas faire, il faudra donc voir qui prend le dessus dans cet « affrontement ».

Mais le risque c’est évidemment de voir l’Amazonie perdre toujours un peu plus vite ses capacités respiratoires et d’accélérer la machine du réchauffement climatique.

Großbrand in Voburg-Irsching: „Alle fahren von der Katastrophe weg und wir fahren hin“

Hanns-Seidel-Stiftung - dim, 21/10/2018 - 09:29
Der Großbrand einer Raffinerie in Vohburg-Irsching zeigte, wie gut der lokale Katastrophenschutz zusammenarbeitet. Genau das war Thema in einer HSS-Veranstaltung vor Ort.

#IKPK18: Die Manipulationsgewalt sozialer Medien

Konrad Adenauer Stiftung - sam, 20/10/2018 - 00:00
Die bevorstehende Europawahl 2019, das Superwahljahr in Brasilien und die internationale Wahlbeobachtung boten eine Menge Diskussionsstoff zum Auftakt.

A l’ère Trump, l’avenir de la lutte contre le changement climatique se joue-t-il hors des COP ?

IRIS - ven, 19/10/2018 - 17:25

François Gemenne est spécialiste des questions de géopolitique de l’environnement, chercheur à l’université de Liège et à Sciences-Po Paris. Il répond à nos questions à l’occasion de sa participation aux Géopolitiques de Nantes organisés par l’IRIS et le lieu unique avec le soutien de Nantes métropole, les 28 et 29 septembre 2018 :
– Quelles sont les implications de la dépolitisation de processus de lutte contre le changement climatique ?
– La lutte contre le changement climatique peut-elle se poser passer des Etats-Unis ?
– L’action des villes américaines permet-elle de dépasser le retrait décidé par l’administration ?

Interview: Mehr Frauen in die Politik!

Hanns-Seidel-Stiftung - ven, 19/10/2018 - 16:26

Der neue Landtag nach der Wahl am vergangenen Sonntag hat ein großes Defizit. Rund 13 Millionen Einwohner hat Bayern. Die Hälfte sind Frauen. Ausgerechnet in diesem Jahr, in dem wir zum 100. Mal das Frauenwahlrecht feiern, sinkt im neu zu konstituierenden Landtag die Quote der dortigen Frauen auf rund 27 Prozent. Das ist der niedrigste Stand seit 1998, also seit 20 Jahren. Woran liegt’s? Wir haben mit der Vorsitzenden der Hanns-Seidel-Stiftung, Ursula Männle, nach der Landtagswahl über mögliche Ursachen für den geschrumpften Frauenanteil und die Herausforderungen gesprochen, die sich daraus ergeben. Männle ist seit 1964 politisch aktiv, war Bundestags- und Landtagsabgeordnete sowie Staatsministerin und ist nach wie vor vielfältig gesellschaftlich engagiert. Eine homo politicus, könnte man sagen.

Nouveau système des données de santé : quelles ambitions pour le futur Health Data Hub ?

Institut Montaigne - ven, 19/10/2018 - 16:19

Suite à la remise du rapport sur la mission de préfiguration du Health Data Hub ce vendredi 12 octobre à la Ministre de la santé et des solidarités, David Gruson répond à nos trois questions sur l'avenir du traitement des données de santé en France, et la libéralisation de leur accès. 

Dans son rapport publié en septembre 2018 sur…

Comment brancher un gyrophare de portail

RMES - ven, 19/10/2018 - 14:58

La motorisation de portail nécessite l’utilisation d’un gyrophare orange. Votre portail automatique est livré généralement avec celui-là. Lorsque vous réalisez l’installation de votre portail, il faut brancher le gyrophare. C’est important alors de savoir comment brancher son gyrophare de portail.

L’emplacement idéal pour le feu clignotant de portail

L’installation d’un gyrophare n’est pas du tout compliquée. Parfois, celle-là est obligatoire pour certains usagers. Si vous disposez d’un portail battant ou coulissant, cette opération est indispensable pour votre portail motorisé. Pour cela, vous devez choisir entre le gyrophare jaune et orange. Celui-là garantit la sécurité du portail motorisé, et aussi il préserve les conducteurs. Comme il avertit l’usager de l’ouverture du portail automatique, celui-là le protège contre les accidents. Cela est nécessaire lorsque vous utilisez le portail la nuit. Le gyrophare envoie un avertissement avant l’enclenchement du portail motorisé. Cela permet d’éviter les incidents.

Il n’est pas difficile de trouver l’emplacement convenable pour votre gyrophare. Seulement, vous devez choisir l’endroit qui offre une excellente efficacité à votre gyrophare. Cela doit être en hauteur. En fait, il faut placer ce feu clignotant à un emplacement tout à fait visible. Il est simple de le fixer au sommet du portail motorisé. Aussi, vous pouvez l’installer sur le pilier. D’ailleurs, le gyrophare est d’une manière générale un outil mobile. De cela, il est facile de l’installer. Lorsque la fixation est faite, vous pouvez relier votre gyrophare à la motorisation du portail. Cela consiste à raccorder ses câbles avec celle-là.

Lisez aussi : CASIO WORLD TIME Avis et Test en vidéo

Le branchement et le raccordement du gyrophare

La plupart du temps, le gyrophare de portail doit disposer d’une même puissance électrique que le moteur du portail automatique. Alors, il vous faut deux fils pour réaliser le branchement. D’une manière générale, ce gyrophare est livré avec une antenne. De même, vous devez raccorder le câble de celle-là au boîtier de commande. Cette antenne permet à votre clignotant d’être plus efficace. Pour le branchement, il vous faut un disjoncteur ou un fusible 10 ampères. En général, le coffret de commande de la motorisation portail est fixé sur le pilier du portail. Et, il se place le plus souvent sur le pilier droit. Ainsi, vous devez brancher les deux fils du gyrophare aux deux bornes du boitier, aux bornes huit et neuf. Également, il faut brancher le câble de l’antenne au gyrophare et au boîtier de commande.

Concernant le boîtier ou le coffret de commande, celui-là possède trois fils d’alimentation. En effet, ces trois fils sont indispensables pour les moteurs en 24 volts. De cette manière, votre gyrophare doit être aussi en 24 volts. Pour l’alimentation de ces moteurs, trois fils sont suffisants. Cependant, si vous optez pour des moteurs en 230 volts, vous devez utiliser trois fils pour l’alimentation et un fils de terre. De même, il vous faut adopter un gyrophare de 230 volts.

En bref, le branchement d’un gyrophare de portail est simple si vous suivez bien ses étapes.

Venez voir ce modèle de gyrophare : https://legyrophare.fr/gyrophare-t-tocas-12-v-test-avis-conseils-achat/

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L’Afghanistan à l’épreuve des élections

IRIS - ven, 19/10/2018 - 12:44

Des élections législatives auront lieu le 20 octobre en Afghanistan avec trois ans de retard sur le calendrier initial. Les talibans refusent toujours de reconnaître le gouvernement afghan, qu’ils jugent « illégitime », et souhaitent s’entretenir directement avec Washington. Quels sont les enjeux de ces négociations ? Quel rôle exercent toujours les États-Unis dans la pacification du territoire afghan ? Que peut-on attendre de l’élection présidentielle prévue au printemps 2019 au vu des conditions délétères que connaît l’Afghanistan ? Le point de vue de Karim Pakzad, chercheur à l’IRIS.

Quels sont les principaux enjeux de ces élections législatives afghanes ?

Qu’on regarde du point de vue des Afghans ou de la communauté internationale, ces élections n’auront pas les mêmes portées et significations. Pour la communauté internationale, particulièrement l’Union européenne très engagée dans le financement du scrutin et dans sa surveillance, le principal enjeu des élections législatives afghanes est de légitimer les institutions afghanes en renouvelant les 250 députés de l’Assemblée nationale. Pour l’heure, le gouvernement afghan actuel n’est ni légal ni légitime. C’est la raison pour laquelle après trois ans d’attente, a été actée la nécessité de donner un caractère légal, conforme à la Constitution afghane, à la fois pour le gouvernement, mais également pour le Parlement. Cela peut se faire en organisant d’abord des élections législatives, suivies huit mois plus tard de l’élection présidentielle.

Le mandat des parlementaires afghans a pris fin en 2014. Or, depuis, il aurait dû y avoir de nouvelles élections et même de nouvelles lois électorales pour donner plus de garanties et de transparence, mais rien n’a été fait. L’actuel président de la République afghane, Ashraf Ghani, à la tête d’un gouvernement non fondé sur la loi, en l’occurrence la Constitution, a fait durer la vie du parlement actuel de trois ans en par décret présidentiel en toute illégalité.

La nomination d’Ashraf Ghani est en effet issue d’un compromis datant de fin 2014.  Après les élections présidentielles contestées et entachées de fraudes massives, deux candidats arrivés en tête au second tour revendiquaient chacun la victoire. Or la situation s’est vite dégradée et le risque que dans un pays déjà en guerre entre les talibans et les forces de l’OTAN encore engagées en Afghanistan, les deux camps présents à Kaboul s’affrontent dans une deuxième guerre. Le secrétaire d’État américain John Kerry était alors intervenu et avait fait signer aux deux candidats un accord pour la formation d’un gouvernement d’union nationale. Cependant les protagonistes savaient bien que cet accommodement n’avait ni légalité ni légitimité, car organisé par un gouvernement étranger, alors qu’il fallait avant tout lui donner des bases juridiques. Or, il était prévu que dans l’année qui suivrait la formation du gouvernement, la constitution serait modifiée, et de nouvelles élections législatives seraient organisées.

Selon l’accord patronné par John Kerry, Ashraf Ghani, le protégé des Américains devenait le Président de la République et son challenger Dr Abdullah, ex-lieutenant du commandant Ahmad Shah Massoud, prendrait la tête du Conseil exécutif. Le poste de président du Conseil exécutif n’existait alors pas dans la constitution afghane. Puisque cette dernière est de type présidentiel, il n’y a pas de second pouvoir exécutif à côté du président de la République. Toutefois, pour satisfaire le deuxième candidat, il a fallu inventer ce poste ex nihilo. Le poste de président du Conseil exécutif, qui est en quelque sorte l’équivalent du Premier ministre, devait être ajouté à la Constitution. À la place d’un système purement présidentiel, l’Afghanistan aurait pu se doter d’un gouvernement de type français mi-présidentiel, mi-parlementaire. Mais rien n’a été fait par la suite.

En effet, le président de la République afghane n’a rien fait de cela ensuite et a tout mis de côté. Il n’a pas convoqué de grandes assemblées pour modifier la constitution, pour créer le poste de Premier ministre ou pour mettre en place des élections législatives. Ashraf Ghani a par conséquent gouverné sans aucune légitimité ni légalité.

Il faut donc organiser des élections aussi transparentes que possible et sans trop de contestations, pour que cela devienne un régime politique légitime et légal, et ainsi stabiliser et pérenniser l’État afghan.

Quels sont les principaux défis et risques liés aux élections législatives afghanes ?

Concernant les risques liés aux élections législatives, il y a d’abord et avant tout le risque sécuritaire. En effet, les talibans refusent toujours de reconnaitre la légitimité de ce gouvernement. Il est donc très probable que les talibans perturbent les processus électoraux, et troublent voire empêchent les électeurs de voter. Neuf candidats ont déjà été assassinés, notamment lors d’attentats qui ont fait par ailleurs plusieurs dizaines de morts. À la veille du scrutin législatif, le risque est que les talibans multiplient la démonstration de force. Ils ont en effet les moyens de le faire, comme l’a montré l’attentat qui a coûté la vie au général Razaq, le puissant chef militaire anti-taliban, au moment même où il était en réunion avec le commandant en chef des forces de la coalition à Kandahar, survenu le jeudi 18 octobre.

Enfin, plusieurs défis persistent : d’abord pour la communauté internationale. Cette dernière, par la voix de ses représentants respectifs à Kaboul, s’est donnée pour objectif principal que ces élections se déroulent honnêtement, sans violence, en toute transparence. En effet, la communauté internationale a d’importantes responsabilités notamment au regard des moyens mis en place et investis, soit 115 millions de dollars. Par ailleurs, l’opposition légale afghane refusait de participer à ces élections si aucune garantie de transparence n’était mise en place. Elle exigeait même, pour atteindre cet objectif de transparence, le contrôle des électeurs par des moyens biométriques, requête finalement acceptée par le gouvernement afghan. L’Union européenne (UE) a ainsi accepté de financer plus de 22 000 appareils biométriques.

Les talibans refusent toujours de reconnaître le gouvernement afghan, qu’ils jugent « illégitime », et souhaitent s’entretenir directement avec Washington. L’émissaire américain pour la paix en Afghanistan a ainsi rencontré une délégation talibane vendredi 12 octobre au Qatar. Quels sont les enjeux de ces négociations ? Quel rôle exercent toujours les États-Unis dans la pacification du territoire afghan ?

Nous ne sommes plus dans la situation où les talibans exigeaient des rencontres directes avec les États-Unis. Les talibans disaient par le passé que le gouvernement de Kaboul n’était pas légitime. Ils ne reconnaissaient pas ce régime qui était un régime fantoche et considéraient que leur pays était occupé. Après avoir refusé dans un premier temps d’entamer toutes négociations avec les Américains tant que ces derniers avaient encore des soldats sur le sol afghan, les talibans ont finalement accepté de le faire.

Ainsi, depuis plus de trois ans, sous les présidences de Barack Obama et de Donald Trump, des négociations entre talibans et États-Unis ont commencé. Ces négociations se sont intensifiées sous Donald Trump qui cherche à retirer ses troupes.

D’après la déclaration faite à l’issue de la rencontre entre l’envoyé spécial du secrétaire d’État américain pour l’Afghanistan et les représentants des talibans, le 12 octobre à Doha au Qatar, deux sujets principaux ont été discutés : la fin de « l’occupation » et la paix. Les Américains ont ainsi reconnu d’une certaine manière que ce sont les talibans qui contrôlent la situation et qu’il faut traiter avec eux. Les deux réunions précédentes qui avaient aussi eu lieu au Qatar avaient pour objectif de trouver des éléments de confiance entre les deux parties, notamment la libération de prisonnier. La nomination de Zulmaï Khalilzad en tant qu’émissaire américain pour la paix en Afghanistan a également permis d’accélérer les négociations, celui-ci étant d’origine afghane et un fin connaisseur du pays et des talibans. Il avait par ailleurs été ambassadeur en Afghanistan de George Bush.

Depuis que l’OTAN a mis fin à sa présence en Afghanistan en décembre 2014, la présence militaire occidentale est toujours d’actualité. Aujourd’hui encore, 18 000 soldats américains, mais également européens sont toujours présents sur le sol afghan. Depuis début 2015, si la mission de l’armée américaine est en théorie d’aider et de former l’armée afghane, elle participe de plus en plus directement aux combats.

L’élection présidentielle est prévue au printemps 2019. Que peut-on en attendre au vu des conditions délétères que connaît l’Afghanistan ?

Les élections législatives du 20 octobre seront une répétition générale de grande envergure pour l’élection présidentielle de l’année prochaine. Puisque l’Afghanistan n’a pas d’institutions légales et légitimes, la formation d’un parlement répondant à ces critères est cruciale. En effet, dans un régime présidentiel où tous les pouvoirs sont aux mains du président de la République, avoir un président non issu des élections, qui n’a donc pas de légalité, est sérieusement problématique.

Dans un même temps, la communauté internationale essaye de donner une image positive de l’Afghanistan. Par ailleurs, il y a actuellement beaucoup de candidats hommes et femmes issus de la société civile. Si une partie importante de ces candidats entre au parlement, alors la situation politique afghane aura un nouveau visage.

Si nous partons de la situation actuelle, il n’y a que peu d’éléments permettant d’être optimiste pour les prochaines élections présidentielles. Le seul élément positif est que l’ensemble de la communauté internationale veut jouer un rôle plus fort et plus sérieux afin d’empêcher par exemple des fraudes massives, même si le pouvoir est toujours aux mains des anciens chefs de guerre, des personnes influentes et puissantes, que ce soit à Kaboul, ou dans les provinces que le gouvernement ne contrôle pas réellement. L’ensemble de ces éléments montre que la situation est délétère. Toutefois si les élections législatives se déroulent convenablement, il y aura l’espoir que cela se reproduise lors des élections présidentielles.

Enfin, il ne faut pas oublier que malgré tous les efforts consentis par la communauté internationale, il faudrait avant tout mettre fin à la guerre en Afghanistan, et cela passe par des négociations sérieuses sur l’avenir du pays avec les talibans.  Et c’est là où le bât blesse. Rien ne montre que les talibans ont changé. Dans les négociations engagées entre les talibans et les Américains, le gouvernement de Kaboul n’a pas sa place. Les élites afghanes de plus en plus hostiles aux talibans soupçonnent l’administration de Donald Trump de parvenir à un accord avec les talibans et de préserver leur influence avec un régime plus théocratique à l’image de l’Arabie saoudite, mais capable d’assurer une certaine sécurité dans le pays. L’Afghanistan est loin de voir le bout du tunnel.

Comment installer un récupérateur d’eau ?

RMES - ven, 19/10/2018 - 12:17

Une chose est de vouloir d’un récupérateur d’eau, une autre est de savoir comment l’installer. Au cas où vous auriez fabriqué vous-même votre récupérateur d’eau de pluie, il va bien falloir le mettre en fonction. Dans le cas où vous l’avez plutôt acheté et que l’installation n’est pas incluse, il va aussi falloir y procéder vous-même.

L’installation du récupérateur d’eau de pluie est simple, facile et ne nécessite pas de connaissances ou d’instruments particuliers. Il suffit de suivre quelques étapes importantes puis le tour est joué. Comment installer un récupérateur d’eau ?

Les préalables du récupérateur d’eau

Le récupérateur d’eau de pluie ne peut rien si la gouttière n’existe pas. C’est par ce premier canal que l’eau passe avant de se retrouver dans le récupérateur. Ceci est possible à l’aide d’un tuyau qui relie la cuve du dispositif à la gouttière. La descente de cette dernière doit d’ailleurs être installée dans la cuve, directement.

Les précautions

Posez un système filtrant en amont de votre récupérateur d’eau, il arrêtera les débris végétaux qui proviennent de votre toit. Pour éviter que les rayons du soleil ne se dirigent tout le temps sur votre cuve, exposez-la au Nord ; si vous avez le choix bien sûr. Aussi, votre cuve doit toujours être fermée pour que des larves n’y apparaissent jamais. En hiver, vous devez la vider pour empêcher le gel de l’eau.

Si vous voulez plus d’eau, il vous est bien possible d’établir une liaison entre deux cuves. La capacité en sera ainsi augmentée. La cuve doit par ailleurs être toujours posée sur une surface stable et plane.

à Consulter aussi : https://www.montremoicomment.com/jardinage/comment-installer-un-recuperateur-d-eau-de-pluie.html

L’installation

Elle débute par la préparation d’une dalle rigide et plate. C’est la surface sur laquelle le récupérateur va être posé. Une dalle en bois de teck peut par exemple permettre la stabilité du sol.

Il faut maintenant poser le tuyau de raccordement au niveau de la partie haute. Il faut avant cela déterminer sur la coque de la cuve l’endroit prévu pour le raccordement de sortie. Percez à présent le trou avec la scie cloche. Vissez-y le tuyau de sortie ainsi que son adaptateur.

La troisième étape nous conduira à poser en partie basse le robinet de notre récupérateur. De telle façon que l’on puisse bénéficier du maximum d’eau en hauteur. De telle façon aussi que nous puissions y approcher l’arrosoir. Il sera ensuite vissé avec l’écrou.

L’étape suivante est celle de l’installation du collecteur filtrant sur la gouttière. La gouttière doit être coupée pour qu’il puisse être inséré dans le tuyau de la descente. Pour y arriver, il suffit de bien poser le récupérateur d’eau de pluie. Il faudra ensuite repérer l’emplacement du collecteur filtrant sur la gouttière de descente.

à Consulter aussi : Quelle est la meilleure tablette tactile pas chère

Il est essentiel de prévoir une pente assez légère pour faciliter l’écoulement vers la cuve du récupérateur. Il est aussi important de desserrer les colliers pour emboîter notre collecteur en haut et en bas de la gouttière.

L’eau de pluie peut enfin être récupérée. Ne pas oublier d’adapter un morceau de tuyau d’arrosage au robinet.

Vous trouverez un comparatif de recuperateur eau de pluie sur ce portail web.

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The Perfect Weapon: War, Sabotage and Fear in the Cyber Age

European Peace Institute / News - ven, 19/10/2018 - 01:45

On October 18th, IPI together with the School of Diplomacy and International Relations at Seton Hall University cohosted a Distinguished Author Series event, featuring David E. Sanger, New York Times National Security Correspondent and author of The Perfect Weapon: War, Sabotage and Fear in the Cyber Age. The conversation was moderated by IPI Senior Adviser for External Relations Warren Hoge.

The Perfect Weapon is the startling inside story of how the rise of cyber weapons in all their forms – from attacks on electric grids to attacks on electoral systems – has transformed geopolitics like nothing since the invention of the atomic bomb. Cheap to acquire, easy to deny, usable for everything from crippling infrastructure to sowing discord and doubt, cyber is now the weapon of choice for American presidents, North Korean dictators, Iranian mullahs, and Kremlin officials. Even though the US has built up a powerful new Cyber Command, it has no doctrine for how to use it. When under attack—by Russia, China, or even Iran and North Korea—the government has often been paralyzed, unable to use cyber weapons because America’s voting system, its electrical system, and even routers in citizens’ homes have been infiltrated by foreign hackers. Deterring cyber attacks is far more complex than the Cold War effort to deter nuclear weapons, and in the end, a political solution, akin to the Geneva Conventions, may be needed if we are to avoid an era of constantly escalating cyber conflict.

Stipendienwoche : 400 Schülerinnen und Schüler beraten

Konrad Adenauer Stiftung - ven, 19/10/2018 - 00:00
Bereits zum dritten Mal hat das Bildungsforum in Bremen an zehn Schulen über die Studienförderung der Konrad-Adenauer-Stiftung informiert.

Welche Prioritäten soll die neue Globale Kommission für Anpassung setzen?

Bonn, 18.10.2018. Unter der Leitung des ehemaligen UN-Generalsekretärs Ban Ki-moon, des Microsoft-Gründers und Philanthropen Bill Gates und der Geschäftsführerin der Weltbank, Kristalina Georgieva, hat diese Woche die Globale Kommission für Anpassung an den Klimawandel ihre Arbeit aufgenommen. Die Kommission ist ein dringend notwendiger Schritt seitens der Politik, Antworten auf die zunehmenden negativen Folgen des Klimawandels zu finden. Jüngst diesen Monat verwies der Weltklimarat in seinem neusten Bericht auf die dramatischen Folgen einer Erderwärmung um 1,5 Grad Celsius. Der Appel der Wissenschaftler zeigt eindringlich, dass umfassendes und schnelles Handeln auf allen Ebenen notwendig ist. Die Globale Kommission für Anpassung hat sich zum Ziel gesetzt, die dafür notwendige Unterstützung zu generieren und dem Thema mehr Aufmerksamkeit zu verschaffen. Die Kommission wird hierfür einen Bericht zum Klimagipfel des UN Generalsekretärs im September 2019 vorlegen und Umsetzungsempfehlungen geben, die mit Partnern in Politik, Forschung, der Privatwirtschaft sowie Zivilgesellschaft umgesetzt werden sollen. Deutschland ist Gründungsmitglied des Gremiums und wird durch Bundesentwicklungsminister Gerd Müller vertreten. Die Auftaktveranstaltung in Den Haag am vergangen Dienstag hat gezeigt, dass die Vorstellungen über inhaltliche Prioritäten noch breit gestreut sind. Das Thema Anpassung an den Klimawandel ist so komplex wie das der nachhaltigen Entwicklung. Hier die richtigen Akzente und Schwerpunkte zu setzen ist schwierig, aber notwendig. Die Amtszeit der Kommission endet bereits 2020. Ein erster Gliederungsentwurf für den Kommissionsbericht legt den Fokus auf vier Schwerpunkte: Ernährungssicherung und ländliche Lebensgrundlagen; Industrie und Lieferketten sowie die Rolle natürlicher Lebensgrundlagen und Ökosysteme. Die Mobilisierung von Finanzen und klimaresilienten Investitionen, unter anderem durch die Einbeziehung der Privatwirtschaft, soll die Umsetzung vorantreiben und wird als weiteres Kernthema vorgeschlagen. Die Definition von Schwerpunkten und Handlungsempfehlungen bleibt Aufgabe der Kommission. Vier zentrale Kriterien, sollte die Kommission bei ihrer Wahl berücksichtigen. Erstens, die Kommission sollte sich den Bereichen widmen, die für den Erhalt der Lebensgrundlagen und menschliche Grundbedürfnisse essentiell sind. Die für den Bericht bisher vorgeschlagenen Schwerpunkte sind diesbezüglich gut gewählt und sind mit dem ländlichen Raum und Städten umfassend. Nicht genannt werden bisher allerdings die zentralen Bereiche Wasserverfügbarkeit und der Erhalt der Gesundheit. Zweitens, die Kommission sollte möglichst viele Akteure mobilisieren und in die Lage versetzen, selber aktiv zu werden. Der Vorschlag, hier die Bereitstellung von Finanzen und die Mobilisierung von Investitionen in den Mittelpunkt zu stellen ist richtig. Klimaanpassung ist bisher unterfinanziert und die Bedeutung von Klimarisiken für Investoren und Finanzmärkte wird noch nicht ausreichend thematisiert. Zwei wichtige Handlungsansätze fehlen hier allerdings. Zum einen muss der Zugang zu Finanzen für nichtstaatliche Akteure wie Städte oder Bauern sowie für kleine, nicht teure Maßnahmen verbessert werden. Hierfür Gelder über bestehende Systeme oder innovative Ansätze bereitzustellen ist Voraussetzung, um zentrale sub-nationale Akteure zu mobilisieren und zu unterstützen. Zum anderen fehlt es vielen Akteuren und Ländern an Wetter- und Klimadaten sowie Analysekapazitäten, Anpassungsprozesse zu definieren. Dies ist zentral für erfolgreiche Anpassungsprozesse und unterscheidet diese von herkömmlichen Entwicklungsprozessen. Müssten Wetter- und Klimadaten nicht als globales öffentliches Gut gelten und kostenlos zur Verfügung gestellt werden? Und wie können wir Analysekapazitäten effizient und gemeinsam fördern? Drittens, erfolgreiche Klimaanpassungspolitik zielt auf die Vermeidung zukünftiger und zusätzlicher Risiken. Dies darf aber nicht auf die Überprüfung von Klimarisiken bei zu tätigenden Investitionen beschränkt bleiben, sondern muss mögliche negative Folgen von Klimaschutzinvestition einschließen. Prominent sind hier Zielkonflikte beim Bau von Staudämmen. Umgekehrt ist der Anstieg von Klimaschutzinvestition aber auch eine Chance, Synergieeffekte für Anpassungskapazitäten zu erzielen. Unter der UN Klimarahmenkonvention sind sowohl die Förderung von Synergieeffekten wie auch das Risikomanagement bisher unzureichend. Viertens, die Kommission sollte nach dem Subsidiaritätsprinzip handeln und die Themen herausgreifen, die der globalen Kooperation bedürfen, wie zum Beispiel Versicherungen und Risikotransfersysteme. Das Bundesministerium für wirtschaftliche Zusammenarbeit und Entwicklung (BMZ) hat hier mit der InsuResilience Global Partnership und der jetzt bei der Weltbanktagung in Bali vorgestellten Global Risk Financing Initiative (GRIF) wichtige Initiativen mit angestoßen. Diese sind auch mit Blick auf die Absicherung globaler Lieferketten und Handelsströme wichtig. Mit zunehmenden Risiken durch den Klimawandel steigt auch deren Abhängigkeit von einer guten nationalen Anpassungsplanung der jeweils anderen Länder. Über die Prioritäten darf und soll gestritten werden! Die Liste drängender Aufgaben ließe sich schnell erweitern und deutet auf den Handlungsbedarf, der sich aufgestaut hat. Mit Blick auf die steigenden Risiken des Klimawandels kann man der Kommission nur viel Erfolg wünschen und hoffen, dass viele den Weckruf hören.

Kroatien : 20 Jahre Sommerschule für Jungdiplomaten

Hanns-Seidel-Stiftung - jeu, 18/10/2018 - 12:40
Seit 1998 treffen sich junge Diplomaten aus Mittel- und Südosteuropa in Dubrovnik, um über die Zukunft Europas zu diskutieren. Experten vermitteln rhetorische Fähigkeiten, diplomatisches Know-How, erklären EU-Institutionen und Entscheidungswege. Besonders wichtig ist aber: Hier werden neue Netzwerke und diplomatische Beziehungen geknüpft. Das stärkt die ganze Region.

Les avantages du sèche-linge condensation à pompe à chaleur

RMES - jeu, 18/10/2018 - 11:11

Dans la gamme des sèche-linges condensation, le modèle à pompe à chaleur s’illustre comme le plus récent et donc le plus performant du marché. Son mode de fonctionnement lui vaut plusieurs points forts qui en font un appareil tout à fait digne d’intérêt.

Un meilleur rendement avec le seche linge condensation pompe à chaleur

C’est à son mode de fonctionnement que le sèche-linge condensation à pompe à chaleur son taux de rendement supérieur à la moyenne. Le principe de la condensation est ici amélioré grâce à la présence d’une pompe à chaleur. Elle remplace la résistance de chauffage.

En effet, dans un système de condensation classique, le linge humide entre en contact avec de l’air chaud et sec qui se transforme en vapeur d’eau. Celle-ci est ensuite transformée en eau par le condensateur avant d’être évacuée dans le réservoir.

Dans le cas d’un sèche-linge condensation à pompe à chaleur, la vapeur d’eau est d’abord montée sous pression par un compresseur située dans la pompe à chaleur. C’est cette vapeur sous haute pression qui est envoyée dans le condensateur où une partie est transformée en chaleur. Au lieu d’être évacuée, cette chaleur permet de réchauffer l’air qui redevient à nouveau chaud et sec et retourne dans l’appareil où le cycle reprend.

Tout repose donc sur un système de récupération dû au circuit fermé qui optimise complètement le rendement de l’appareil.

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Un appareil énergétiquement économique

Grâce à l’amélioration du rendement du sèche-linge condensation à pompe à chaleur, l’appareil est capable de sécher plus de linges avec un cycle de séchage plus court. En réduisant le temps de séchage, vous réalisez une économie importante d’énergie par rapport à un sèche-linge classique.

D’autre part, ces appareils sont réputés pour être de catégorie A+ ou A+++. Cela signifie qu’ils ne consomment pas plus de 0,19 à 0,17 kWh par kilo de linge séché et que le nombre de kWh par cycle de séchage varie entre 1 et 2,5.

A côté, les appareils des autres catégories vont bien au-delà de ces chiffres. Par rapport à un sèche-linge de catégorie A par exemple, la consommation du sèche-linge condensation à pompe à chaleur est inférieure d’au moins 60%. Une valeur non négligeable au regard de tous les appareils électroménagers que vous faites fonctionner.

Le respect du linge

Le circuit de séchage du sèche-linge condensation à pompe à chaleur fonctionne de sorte à maintenir la température de l’air chaud à 60°C. Cela est possible en effet grâce à la récupération d’une partie de l’eau condensée. Grâce à cela, la texture des linges, quelle que soit la matière, est mieux respectée.

Ce qui n’est pas le cas des sèche-linges classiques qui font monter la température jusqu’à 80°C, dégradant par la même occasion la texture du linge qui a tendance à se détendre.

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Une praticité hors pair

Contrairement aux sèche-linges ordinaires, le modèle à condensation à pompe à chaleur intègre son propre système d’évacuation sous la forme d’un bac récupérateur. Tout ce que vous avez à faire, c’est de prévoir la vidange du bac consécutivement aux utilisateurs.

Le fait que l’appareil rejette très peu d’eau limite non seulement les séances de vidange, mais lui permet également d’être installé n’importe où et pas forcément dans une buanderie.

Vous trouverez de très bons modèle de sèche linge à condensation sur ce site.

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Institut Montaigne - jeu, 18/10/2018 - 10:33

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