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Diplomacy & Defense Think Tank News

Die schiitische Internationale

SWP - mer, 31/10/2018 - 00:00

Schiitische militante Gruppen sind seit der Islamischen Revolution von 1979 für Tehe­ran das wichtigste Instrument, um seinen Einfluss in der arabischen Welt auszuweiten. Mit ihrer Hilfe gelingt es der iranischen Führung seit 2011, neben dem Libanon – wo die irantreue Hizbullah seit 1982 operiert – die militärische und politische Lage im Irak und in Syrien stark zu beeinflussen und auf die im Jemen zumindest einzuwir­ken. Im Libanon und im Irak haben die Milizen bereits »Staaten im Staate« aufgebaut, die die Politik beider Länder in Abstimmung mit Teheran maßgeblich mitbestimmen. In Syrien dürfte das Regime auch weiterhin auf die Milizen der Iraner angewiesen sein, da es ihm selbst an Soldaten mangelt. Im Jemen ist der Einfluss Teherans immer noch begrenzt. Doch er wächst, je länger der Krieg zwischen den Huthi-Rebellen und ihren Gegnern dort andauert.

Les différentes techniques pour se servir d’une souris ergonomique

RMES - mar, 30/10/2018 - 20:18

La souris est souvent l’une des principales sources de douleur ou de fatigue que l’on ressent à la fin d’une journée de travail. Cette douleur peut être localisée au niveau du poignet du dos de la main ou même du cou.

Ces symptômes sont souvent dus à une mauvaise utilisation de la souris. Nous vous proposons quelques techniques pour ne plus ressentir ces douleurs.

Eviter au maximum le supplice du clic

Nous voulons parler ici de ce tic que vous avez à cliquer tout le temps sur la souris. Si on regarde ce tic pris à part, on ne lui trouve rien de grave en soi, tout de même, la répétition de ce mouvement dans les mêmes conditions peut vous causer des blessures et une fatigue.

Pour donc éviter ces douleurs ou blessures, prenez le temps de reposer votre main pendant 5 mn environ.

Consolidez vos muscles

Pour prévenir ou soulager les douleurs, il faut que vous appreniez à muscler les muscles de vos épaules, de vos doigts, du poignet, et même ceux qui sont dans la zone de l’omoplate. Pour y arriver commencer par faire des pompes ou des push-up.

Apprendre à ralentir

En supposant que vous avez très mal, mais que vous ne pouvez pas arrêter d’utiliser la souris vu votre travail, il faudrait alors apprendre à ralentir vos mouvements. Faire des mouvements trop rapides peut endommager vos doigts.

Soutenir l’avant-bras

En plaçant un appui sous l’avant-bras, vous réduisez l’effort musculaire exercé par les doigts et la main. Cet appui peut aussi aider à réduire le mouvement des muscles, de l’épaule à 90 % environ. Pensez également à fléchir le coude à 90° et que votre avant-bras doit être horizontal.

Soutenir le bas du dos

Les douleurs ressenties dans les doigts et la main peuvent bien provenir de votre posture. De votre posture, vous pouvez aussi vous faire mal au bas du dos. Il vous faut donc y faire attention.

Penser à bouger le haut du corps

La souris, ce sont les doigts et la main qui la soutiennent. Toutefois, ce sont les muscles des épaules et du cou qui leur permettent de bouger. Pour donc détendre ces muscles, pensez de temps à autre à changer de position, à bouger votre tête, le haut de votre dos et les épaules.

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Les Nouvelles routes de la soie

IRIS - mar, 30/10/2018 - 16:52


Emmanuel Hache est professeur et directeur de recherche à l’IRIS. Il répond à nos questions à l’occasion de sa participation aux Géopolitiques de Nantes organisés par l’IRIS et le lieu unique avec le soutien de Nantes métropole, les 28 et 29 septembre 2018 :

– Pour la Chine, à quelles logiques internes et externes répondent les projets de routes de la soie ?

– Ces investissements suscitent-ils des craintes ? Si oui, lesquelles et sont-elles justifiées?

Quel hamac gonflable choisir ?

RMES - mar, 30/10/2018 - 15:15

Vous connaissez sans doute le hamac ? Cet instrument capable de vous mettre à l’aise et de vous faire profiter de bons moments, que ce soit à la plage ou alors dans votre jardin. Cependant, il existe d’autres types de hamac, qui eux ne sont pas du tout comme les hamacs traditionnels : il s’agit du hamac gonflable.

Le hamac gonflable est un outil qui est capable de vous accompagner un peu partout, vu son caractère gonflable. Cependant, il y en a une multitude de hamacs gonflable, ce qui fait que le choix en la matière n’est pas aussi évident qu’on le pense. Il n’est donc pas rare que l’on se demande quel hamac gonflable choisir. Découvrez donc quels sont les caractéristiques d’un bon hamac gonflable !

La taille de votre hamac gonflable

La taille de votre hamac est le critère le plus important à prendre en compte lorsque vous souhaitez en faire le choix. En réalité, c’est par cette dernière que vous pouvez savoir si le hamac sera le plus confortable et adapté à votre morphologie. Ainsi, plus la taille de votre hamac est grande, plus le hamac est confortable et adéquat.

Cependant, en raison du fait qu’il s’agit d’un hamac gonflable, vous devriez pouvoir avoir une idée de la taille du hamac gonflable sur son emballage. Ainsi, il est préférable d’opter pour un hamac dont la taille vous correspondrait le mieux, ou à celle de l’utilisateur.

Le matériau

Le matériau est également un élément indispensable si vous souhaitez faire le meilleur choix en matière de hamac gonflable. Bien entendu, lorsqu’on parle de hamac gonflable, cela suppose qu’il n’est pas conçu avec un matériau dur, tel que le bois. En réalité, pour pouvoir le gonfler, il faut nécessairement que le hamac soit fait dans une matière complètement malléable.

Le matériau utilisé pour la plupart du temps est le plastique. Cela va de soi, car le plastique est à la fois résistant, et très malléable. Ainsi, vous aurez à la fois la sécurité nécessaire, et vous bénéficierez également d’une résistance capable de supporter votre poids.

Venez voir : Montage d’un trampoline : guide explicatif

L’entretien

Lors du choix de votre hamac gonflable, il est préférable de se tourner vers un hamac qui ne vous posera pas trop de difficultés pour l’entretenir. En réalité, pour ce qui est de l’entretien, il est assez simple, si vous savez comment vous y prendre. Ainsi, il est tout d’abord important de le dégonfler.

Ce n’est qu’après cela que vous pourrez le rincer, ou le laver. Assurez-vous aussi qu’il soit entreposé dans un endroit sec, afin qu’il ne soit pas trop soumis aux intempéries. Quoiqu’il en soit, si vous remarquerez que son entretien risque de vous poser quelques difficultés, il vaudrait mieux se tourner vers un autre hamac.

Le prix

C’est également un critère très indispensable en ce qui concerne le choix d’un hamac. En vérité, les hamacs sont disponibles à certains degrés. Ainsi, il y a des hamacs haut de gamme, milieu de gamme et entrée de gamme. L’essentiel ici, pour bien faire son choix, c’est d’opter pour un hamac qui saura d’une qualité suffisante pour vous accompagner pendant un bon bout de temps.

Je vous conseille ce fatboy : https://gonle-ton-hamac.fr/le-hamac-gonflable-iregro-210-t-test-avis-conseils/

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La difficile naissance de la Macédoine du Nord

Institut Montaigne - mar, 30/10/2018 - 14:35

Vendredi 19 octobre dernier, le Parlement de Macédoine a validé le changement de nom du pays pour celui de "République de Macédoine du Nord". Cette décision fait suite à un accord historique trouvé en juin dernier entre le pays et la Grèce. Pierre Mirel, directeur à la Commission européenne de 2011 à 2013 (DG Elargissement), décrypte pour nous la situation géopolitique de ce pays et de la région.

« Une saison à l’ONU » – 3 questions à Karim Lebhour

IRIS - mar, 30/10/2018 - 14:08

Karim Lebhour est journaliste et écrivain, ancien reporter auprès des Nations-Unies pour RFI. Depuis 2018, il est responsable de la communication Amérique du Nord de l’International Crisis Group. Entre anecdotes personnelles et explications pédagogiques, il nous emmène en balade illustrée au sein de la « Maison de verre ».

Voulez-vous, par cet ouvrage, réhabiliter l’Organisation des Nations unies (ONU) aux yeux du public ?

L’ONU est une organisation mal comprise, souvent confondue avec une sorte de gouvernement mondial chargé des affaires internationales. Ce n’est pas du tout la réalité. L’ONU en tant qu’institution, navigue une voie étroite entre les intérêts stratégiques de ses États membres, à commencer par les plus puissants d’entre eux. La première chose qui frappe comme correspondant de presse à l’ONU c’est la prépondérance du Conseil de sécurité et la domination exercée par les cinq membres permanents (États-Unis, Russie, Chine, France, Royaume-Uni) qui dictent une grande partie de l’agenda et des résolutions.

Dire que l’ONU est impuissante ou inutile, comme on l’entend souvent, c’est d’abord dire que certains États membres bloquent toute action. La Syrie est un très bon exemple. Dire que l’ONU n’a rien fait est faux. Elle a tenté par tous les moyens d’agir sur la crise syrienne, mais a été, à chaque fois, déboutée par les vetos russe et chinois au Conseil de sécurité. Dix vetos depuis le début de la crise ! C’est énorme. L’ONU ne parvient pas à agir parce que certains États membres ne le veulent pas. C’est le cas de la Russie sur la Syrie ou l’Ukraine, des États-Unis sur Israël ou de la Chine sur le Tibet.

Bien sûr, l’ONU est handicapée par une bureaucratie ubuesque, une gestion des ressources humaines très critiquable et une aversion au risque, ce qui ne l’empêche pas d’être un espace de dialogue essentiel. Le Conseil de sécurité lui-même est un théâtre dans lequel des affrontements verbaux peuvent parfois devenir assez violents, mais cette mise en scène permet aussi d’évacuer des tensions, de faire resurgir certains problèmes qui, sans l’ONU, ne trouveraient aucun espace d’expression et pourrait mener à de dangereuses escalades.

Le format bande dessinée permet d’aborder toutes ces questions avec un peu de légèreté et d’humour et de faire revivre certaines scènes vécues pendant mes quatre ans de correspondance au siège de New York.

Pourquoi en arrivez-vous même à défendre le droit de veto ?

Le droit est veto est injuste, mais c’est aussi la clé de voûte du système onusien. Personne ne conteste qu’il date d’une époque dépassée, ce qui n’empêche pas de lui reconnaître qu’il est l’élément de contrôle qui a permis l’acceptation par les grandes puissances de la création de l’ONU. Il assure, en quelque sorte, la stabilité du système. Sans lui, les États-Unis ou la Russie préféreraient sans doute user de la contrainte plutôt que de la négociation. Par son existence, l’ONU oblige les puissants à composer avec le reste de la planète dans une enceinte internationale. En contrepartie, ces pays demandent la garantie que leurs intérêts stratégiques ne seront pas menacés. Cela veut dire que l’ONU doit se tenir à l’écart de certaines crises comme la Syrie ou le conflit israélo-palestinien, mais il existe des domaines de coopération possible sur bien d’autres dossiers : en Afrique, le climat, les armes légères, etc.

Plus largement se pose la question de la réforme du Conseil de sécurité. L’Allemagne, le Japon, l’Inde, le Brésil et l’Afrique du Sud peuvent légitimement prétendre à devenir membre permanent du Conseil de sécurité, avec ou sans veto. On peut aussi imaginer limiter l’usage du droit de veto, comme le propose la France. Pour l’heure, la Russie et les États-Unis n’ont aucune envie de réformer quoi que ce soit ; le statu quo leur convient parfaitement.

Vous décrivez une variété de situations, entre le ministre indien qui lit par erreur le discours de son collègue portugais et l’ambassadeur de la République centrafricaine qui tente désespérément d’attirer l’attention du monde sur le drame que vit son pays. N’est-ce pas aussi ce qui caractérise l’ONU ?

Ces deux anecdotes sont très révélatrices des différents visages de l’ONU. D’un côté, il y a une formalité très pesante : le quotidien est fait de discours souvent plus assommants les uns que les autres, à tel point que lors d’une séance à laquelle j’assistais, le ministre indien ne s’aperçut même pas qu’il était en train de lire un autre discours que le sien ! Il a fallu plusieurs minutes pour que ses conseillers se rendent compte de la bévue. C’était incroyable.

Mais l’ONU est aussi un forum d’expression irremplaçable. La rencontre avec l’ambassadeur de Centrafrique a été pour moi très éclairante. Voilà un homme coupé de sa capitale par un coup d’État et qui, sans ressource, prend sur lui de faire le tour des autres ambassadeurs pour les convaincre de soutenir l’envoi de Casques bleus en Centrafrique et qui, finalement, obtint gain de cause.

Pendant l’Assemblée générale de septembre, l’attention se limite généralement aux discours des présidents américains et français. Je m’étais efforcé d’écouter les discours de chefs d’État de petits pays, qui parlent en dernier, en fin de semaine, devant des travées désertées. J’ai été frappé par le cri d’alarme des îles Marshall sur le changement climatique, directement menacées par la montée des eaux ; Haïti parlait du poids de la dette ; Madagascar, des vols de bétails, etc. Dans quelle autre instance internationale, ces pays peuvent-ils exposer au monde les problèmes qui les préoccupent réellement si ce n’est l’ONU ?

« Une saison à l’ONU : au cœur de la diplomatie mondiale », illustré par Aude Massot et préfacé par Gérard Araud, éditions Steinkis.

Halbzeitwahlen in den USA - Die Amerikaner wählen ihr Repräsentantenhaus und ein Drittel des Senats neu : Amerika im Wahlkampfendspurt: Midterms werden zum Referendum über Donald Trump

Hanns-Seidel-Stiftung - mar, 30/10/2018 - 14:06
Am 6.11. ist Wahltag in Amerika, die Midterm-Elections stehen an. Alle 435 Abgeordnete des Abgeordnetenhauses, 33 Senatoren und drei Dutzend Gouverneure kämpfen um ihre Mandate.

Nouvelle ère dans les relations Chine-Japon ou politique d’équilibre ?

IRIS - mar, 30/10/2018 - 11:55

Les relations sino-japonaises ont été tendues ces dernières années avec notamment des contentieux territoriaux non résolus et un développement marqués des budgets militaires, surtout côté chinois.

Aussi, la visite de trois jours en Chine du Premier ministre japonais Shinzo Abe, achevée vendredi 26 octobre, était attendue et suivie avec intérêt.

« Je veux propulser les relations Chine-Japon dans une nouvelle ère, (passer) de la compétition à la collaboration » a déclaré le Premier ministre japonais à l’ouverture de ses discussions avec le Premier ministre chinois Li Keqiang.

Shinzo Abe a ensuite rencontré le président chinois Xi Jinping. La Chine et le Japon se sont engagés vendredi 26 octobre, à nouer des relations plus étroites alors que les deux pays ont évoqué un « tournant historique » en signant un large éventail d’accords, notamment un pacte d’échange (swap) de devises d’un montant de 30 milliards de dollars, face à la montée des tensions commerciales avec Washington.

Des accords s’élevant à 18 milliards de dollars ont également été conclus entre des entreprises chinoises et japonaises lors de la visite de M. Abe, indique le journal Asahi. Plus de 50 transactions et accords ont été signés.

Shinzo Abe et Li Keqiang ont également convenu que les deux pays travailleraient ensemble pour parvenir à la dénucléarisation de la péninsule coréenne, Tokyo étant particulièrement inquiet du programme nucléaire et balistique de Pyongyang.

Les deux pays voisins et partenaires ne deviendront pas une menace l’un pour l’autre, a déclaré Abe après sa rencontre avec le président Xi Jinping vendredi. A noter, ce sommet sino-japonais est le premier d’une telle importance depuis 2011.

La politique visant à renforcer les liens économiques entre les deuxième et troisième économies de la planète intervient alors que la Chine et les États-Unis se sont mutuellement opposés sur les tarifs douaniers au cours des derniers mois.

Les dirigeants chinois et japonais ont souligné l’importance du libre-échange. Abe et Li ont soutenu l’accélération des négociations sur un accord de libre-échange à trois avec la Corée du Sud, ainsi que sur le partenariat économique global régional (RCEP), observe The Diplomat.

Limites de l’exercice

Alors que le Japon, toujours très soucieux de la montée en puissance de la force navale chinoise, souhaite des liens économiques plus étroits avec la Chine qui est son principal partenaire commercial, il doit gérer ce rapprochement sans inquiéter son principal allié pour la sécurité, les États-Unis, avec lesquels il a ses propres problèmes commerciaux.

Par ailleurs, le porte-parole du gouvernement japonais a indiqué que M. Abe avait déclaré au Premier ministre Li lors de leur entretien, que les relations bilatérales ne seront « réellement améliorées » que si règne la « stabilité de la mer de Chine orientale ». Le différend principal porte sur les îles Senkaku (Diaoyus pour les Chinois). Comme le souligne le journal conservateur Yomiuri Shimbun, les intrusions régulières des navires chinois dans les eaux territoriales japonaises autour des îles Senkaku risquent de se transformer en une crise beaucoup plus grave si ces intrusions dégénéraient. Même lors de ce sommet, Abe et Xi n’ont pas réussi à ouvrir la voie à une résolution des affrontements à propos des Senkaku. S’agissant d’un mécanisme de liaisons aérienne et maritime visant à éviter les collisions accidentelles entre l’armée chinoise et les forces d’autodéfense japonaises, les dirigeants des deux pays se sont contentés de confirmer leur volonté d’établir rapidement un téléphone rouge.

De façon significative, la visite de M. Abe en Chine a été suivie samedi de la visite au Japon de son homologue indien Narendra Modi, montrant qu’Abe veut contrebalancer la puissance chinoise avec le troisième grand asiatique. « Lors des discussions entre Abe et Modi, des responsables indiens ont déclaré que les deux pays envisageaient de renforcer « l’alliance stratégique » entre la marine indienne et la force d’autodéfense maritime. » indique le Japan Times.

Le Japon et l’Inde, ainsi que les États-Unis, ont renforcé leur coopération en matière de défense afin de contrer l’influence croissante de la Chine dans la région, les trois pays organisant régulièrement des exercices navals dans l’océan Indien.

Il n’en reste pas moins que Shinzo Abe a invité le président Xi à se rendre au Japon en cette année qui marque le quarantième anniversaire du traité de paix et d’amitié entre le Japon et la Chine. Shinzo Abe veut donc profiter de l’éclaircie dans les relations sino-japonaises pour avancer vers une relation moins conflictuelle tout en protégeant ses arrières avec ses alliés traditionnels ou plus récents.

25 ans plus tard, pourquoi la Jordanie veut-elle reprendre ses terres prêtées à Israël ?

Institut Montaigne - mar, 30/10/2018 - 10:54

Dimanche 21 octobre, le roi Abdallah II de Jordanie a surpris le monde en annonçant que son pays ne renouvellerait pas certaines annexes du traité de paix signé entre Israël et la Jordanie en octobre 1994, après la signature des accords d’Oslo de 1993. Ces annexes stipulent qu’Israël peut disposer librement de ces deux territoires jordaniens - Baqoura-…

Book Launch: The Arabs at the Crossroad

European Peace Institute / News - lun, 29/10/2018 - 22:42

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An audience of ambassadors, government officials, dignitaries, religious leaders, young people and the media gathered at IPI’s regional office in Manama for the launch of a new book, The Arabs at the Crossroad. The book’s author, Special Envoy of the Royal Court, Samira Rajab engaged participants in a constructive debate on the most pressing issues in the MENA region, drawing on developments covered by the book.

Nejib Friji, Director of IPI-MENA, gave opening remarks. As the book provides insight into a number of the questions raised by members of the IPI Taskforce on Regional Integration in the Middle East, he said the launch was timely. The taskforce calls for critical assessment of where the region is heading, as well as, looks for ways to engage constructively with challenges.

Ms. Rajab elaborated on the “game of nations” described in the book, placing it in historical and political context. “In view of the formidable obstacles and knowledge barriers,” she said the book aimed to “shed some light” for Arabs and researchers alike.

She noted that in an environment of change, “cohesion and Arab integration as a single bloc force,” was important.

Mokhtar Ben Abdellawi, Professor of Philosophy and Arabic and Islamic Studies at Hassan II University in Morocco, stressed the need for integration and a multi-pronged approach to face the integration challenges in the MENA region.

Discussant Mahmood Sayed Daood, Professor of Politics and International Relations at the University of Bahrain, stated that “one of the singled out deficits in knowledge and education created generations with cultural shortfalls that affected the level of cultural, political and moral maturity.”

Reflecting on the recent wars in Iraq and Libya, which have thrown the MENA region into chaos, he lamented the absence of international law in those conflicts. He referred to the author’s calls for restoring the central role of the state, religion as a moderate creed, and regional order to achieve integration, cooperation and development.

The conversation continued with government officials and diplomats, including Hala Al Ansari, Secretary-General of the Supreme Council for Women. She called for a more thorough approach to solving the regional deficiencies, highlighting the pivotal roles of women and civil society in finding a way out of the multipronged crisis.

Abdullatif Al Mahmood, Head the Al-Fateh National Coalition, a main political party, said, “Arab thinkers and politicians should stop blaming the West and foreign forces for our failures. Our deficiencies are our own responsibility.”

Libyan Ambassador to Bahrain, Fawzi Taher Ahmed Abdelali, stressed that “looking for the roots of problems should be done within our political, cultural and intellectual circles, not abroad. Most of our problems are caused by our systems.”

Ahmed Rachid Khattabi, Moroccan Ambassador to Bahrain, emphasized that “the key role to finding solutions to our problems remains within the intellectual sphere.” Despite this, many intellectuals remain sidelined. He also stressed the need to reform educational programs that are not fit for purpose.

Egyptian Ambassador to Bahrain, Soha Ibrahim El Far, referred to the importance of regional integration. Such challenges should be met by all layers of society, she said, urging IPI to further analyze this through an inclusive process involving the private sector, youth and civil society.

Abdulla Al Moghabi, a representative of the Muslim Shia community and a member of IPI-MENA’s Interfaith Dialogue, criticized agenda-oriented religious figures who have “hijacked religion” to fan the flames of sectarianism and division.

Other discussants included Honorary Judge of the Constitutional Court, Noefel Ghorbel, and Fawzia Rasheed, a writer for Gulf Daily News (GDN).

The event was moderated by Nejib Friji.

Read the related coverage in Arabic and English here>>

Bolsonaro : quelle politique étrangère ?

IRIS - lun, 29/10/2018 - 17:34

L’éclairage de Pascal Boniface, directeur de l’RIS

Trump, l'homme qui risque de relancer la prolifération nucléaire

Institut Montaigne - lun, 29/10/2018 - 16:17

Depuis la fin de la guerre froide et la montée du terrorisme islamiste, la menace nucléaire est devenue abstraite. En menaçant de se retirer de l'accord de 1987 sur les missiles de courte et moyenne portée, Donald Trump lui redonne une sinistre réalité.


Dans son entreprise de détricotage systématique de l'ordre international Donald Trump vient de franchir un nouveau palier. En déclarant vouloir se…

Quelques recettes avec chalumeau de cuisine

RMES - lun, 29/10/2018 - 15:18

Le chalumeau de cuisine est un outil de cuisine très prisé des amoureux de la cuisine. Il facilite la réalisation de certaines tâches culinaires et permet de même de réaliser des recettes bien réussies. Il est plus utilisé pour réaliser des crèmes brûlées. Découvrez quelques recettes avec un chalumeau de cuisine.

Recette de tarte au citron meringuée au chalumeau

Pour réaliser une tarte au citron meringuée, il faut : après avoir préchauffé le four à 180 degrés, réaliser un mélange de beurre (150g), sucre glace (100g), un œuf, la farine (250g) et la poudre d’amande (100g). Faites de ce mélange une boule que vous laisserez reposer au frais pendant 15 mn dans un film alimentaire. Avec un rouleau à pâtisserie, étalez la pâte et réalisez des cercles de pâte. Laissez reposer pendant 30 mn. Disposez des feuilles de papier sulfurisé et des billes en céramiques et mettez au four pendant 20mn.

Pour réaliser la crème à citron, faites fondre à feu doux un mélange de deux jus de citrons et de beurre (125g). Blanchir 3 œufs avec du sucre (125g), puis y verser le mélange de jus de citrons et de beurre. Faire cuire le mélange pendant trois minutes jusqu’à épaississement. Versez la crème sur la pâte cuite et mettez au frais. Réalisez la meringue en montant en neige électriquement 2 blancs d’œufs avec du sucre (37,5g) et ajoutez une même quantité à la fin. Réalisez ensuite de petites meringues sur les tartes et les brûler avec un chalumeau.

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Recette de crème aux œufs et griottes

Pour une recette de six personnes, préchauffez le four. Mélangez 125 g de sucre et six œufs. Ensuite ajoutez un litre de lait et fouettez. Versez ensuite dans le fond des ramequins du caramel liquide. Remplir ensuite avec la préparation d’œufs, de sucre et de lait. Disposez par la suite des griottes dénoyautées dans chaque ramequin. Faites cuir au bain marie dans le four pendant 45 minutes. Vous pouvez vérifier si la crème est ferme à l’aide de la pointe d’un couteau. Une fois cuit, laissez refroidir et mettre au frigo pendant quelques heures. Avant de vous servir, saupoudrez de cassonade et passez au chalumeau. Voilà votre préparation est prête.

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Recette de tarte au citron déstructurée

La tarte au citron déstructurée est très facile à réaliser. Faites cuir au préalable un lemon curd pour qu’il refroidisse. Ensuite, mixer 100g de spéculoos, 20 g de beurre mou. Mixez le spéculoos assez fin et versez-y un blanc de neige monté avec deux œufs. Ajoutez du sucre tout en fouettant. Mettez dans des verrines, quelques cuillères à café de spéculoos puis ajoutez au-dessus du lemon-curd. Couvrir de blanc de neige et passez au chalumeau. Décorez au besoin d’une rondelle de citron.

Ces recettes réalisées au chalumeau sont très simples à faire. Il suffit de suivre minutieusement, le procédé de préparation. Le plus important pour réussir une recette, est de mettre les bons dosages d’ingrédients et de suivre la chronologie des actions au risque de réaliser une préparation pas du tout réussie.

Je vous conseille ce petit chalumeau.

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Pourquoi les emplois les plus menacés par la robotisation et l’automatisation ne sont pas ceux qu’on croit

IRIS - lun, 29/10/2018 - 15:12

Alors que les défis que représentent la robotisation et l’automatisation des tâches sont généralement perçus comme confinés aux emplois les moins qualifiés, plusieurs études (Brookings Institution Novembre 2017) ont pu mettre en évidence la vulnérabilité des emplois qualifiés. Notre perception de cette situation n’est-elle pas viciée en ce sens ?

L’effondrement des emplois industriels au cours des quatre dernières décennies dans les pays développés a eu tendance à être attribué au progrès technique plus qu’à la mondialisation des chaînes de production.

Sur la base de cette interprétation, qui est désormais remise en question par l’analyse sectorielle de la productivité, on a souvent pensé que l’automation menaçait essentiellement les emplois ouvriers et les emplois peu qualifiés plus généralement.

En réalité, il apparaît que, l’évolution, assez modeste, de la productivité industrielle dans le monde développé, hors secteur informatique, ne permet pas d’expliquer l’ampleur des pertes d’emplois manufacturiers, et indique donc un rôle limité du progrès technique dans ce phénomène.

Les métiers de service qualifiés ont pour leur part résisté à la mondialisation ; ce qui a conduit à une vision sociologiquecentrée sur l’opposition entre une élite urbaine et mobilequi serait durablement gagnante et les milieux populaires des zones périphériques.Cette vision est aujourd’hui dépassée.

En attribuant l’effondrement des emplois industriels au progrès technique, on en a déduit à tort que les emplois qualifiés dans les services n’étaient pas véritablement menacés par les bouleversements technologiques en cours. Les développements techniques et économiquesliés à l’intelligence artificielle vont remettre en cause la stabilité associée à ces emplois ainsi que les constructions sociales et politiques qui reposaient sur cette dichotomie.

Il n’existe certes pas de lien direct ni immédiat entre les développements technologiques et l’évolution du marché du travail, qui est le fruit d’une construction sociale complexe,dépassant souvent les règles simples de la théorie économique. Il faut parfoisune vingtaine d’années pour qu’une technologie, à partir de sacommercialisation, ne se traduise par un bouleversement dans l’organisation du travail, qui plus est dans les services, où la contribution individuelle à la création de valeur est moins directe et moins transparente que dans le secteur manufacturier. De nombreux emplois de service, qualifiés, sont néanmoins en première ligne en ce qui concerne les effets de la digitalisation et de l’intelligence artificielle.

L’intelligence artificielle, sous la forme du deeplearning centré sur une tâche, relève moins aujourd’hui de grandes avancées conceptuelles que de l’application de principes développés au cours des quatre dernières décennies, en profitant désormais d’une puissance de calcul adaptée, de données massives et d’un terreau scientifique/entrepreneurial qui appliquent méthodiquement ces techniques à un nombre croissant de tâches et de secteurs. L’heure est donc à une application assez méthodique de l’intelligence artificielle ; ce qui nécessite certes une expertise informatique poussée, mais moins que ce que suggère la vision abstraiteofferte parune partie des médias mondiaux. C’est cet aspect en réalité très incrémental qui fait que la Chine parvient à se positionner efficacement dans l’intelligence artificielle depuis deux ans, comme l’explique judicieusement Kai-Fu Lee dans son dernier ouvrage. Y contribue également une tendance à la collecte systématique des données personnelles qui, en comparaison, pourrait faire passer les GAFA pour des sociétés savantes désintéressées.

Cette application méthodique de l’intelligence artificielle dans le monde va, au cours des prochaines années, remettre en cause l’organisation sociale du travail, qui a eu tendance ces dernières décennies à mettre en avant des fonctions relevant de la comptabilité au sens le plus large et de la gestion administrative. Les tâches qui reposent sur des schémas répétitifs et prévisibles sont appelés à être remplacées en bonne partie, en ce qui concerne un segment important du travail comptable, juridique, notarial, des ressources humaines, etc, pour ne prendre que quelques exemples.

Et là où le remplacement du travail ouvrier nécessite des investissements robotiques certes de moins en moins chers mais tout de même lourds, on risque de s’apercevoir que le remplacement d’emplois administratifs qualifiés consacrés à des tâches répétitives n’aura qu’un coûtrelativement limité en termes d’implémentation de processus algorithmiques.

L’outil informatique a affecté la réalité des organisations au cours des trois dernières décennies. La simplification apportée par l’informatique est cependant encore loin d’avoir produit ses véritables effets de long terme sur le monde du travail. Internet et la révolution informatique des années 1990 plus généralement ne se sont traduits que par des gains de productivité limités dans les services, car dans le fond l’organisation du travail est restée ancrée dans sa forme héritée de la bureaucratisation des années 1950-60.

Dans le secteur financier par exemple, lorsque le volume de crédit s’est effondré pendant la crise mondiale de 2008, la productivité du secteur a chuté de façon durable car il semblait difficile, à l’époque, de réduire autant les postes, pour des raisons techniques et réglementaires notamment. Même dans ce secteur, on a tout de même observé un bouleversement de nombreuses activités, avec la chute, par exemple, du nombre de traders dans les grandes banques, où ceux-ci ont eu tendance à être remplacés par un nombre plus limité d’ingénieurs informatiques. La tendance ne connait aucune limite qualitative, des marchés les plus structurés et codifiés comme celui des actions jusqu’au marché des devises.L’intelligence artificielle apparaît désormais adaptée à de nombreux emplois du secteur financier qui avait été pourtant préservés en 2008, et notamment aux tâches qui relèvent de l’allocation de crédit.

Les barrières réglementaires restentun facteur de poids dans la préservation d’emplois administratifs et comptables qualifiés. Cependant, on peut penser que celles-ci seront progressivement levées au fur et à mesure que sera développée une offre commerciale concrète et éprouvée d’automation au moyen de l’intelligence artificielle, pour un nombre croissant de tâches et de secteurs économiques. Par-delà les constructions sociales complexes qui sous-tendent ces cadres réglementaires, l’évolution technologique fera inéluctablement sentir ces effets sur les emplois de service qualifiés, en dehors des tâches qui nécessitent une interaction humaine particulière.

Quelles sont les implications d’un tel défi concernant les emplois de demain ? Quels seront les moyens dont disposera la population active pour s’extraire d’une situation de vulnérabilité face à la robotisation et à l’automatisation ?

La technologie n’est que ce qu’on en fait, pour le meilleur comme pour le pire. On a vu, au cours des deux dernières décennies, l’organisation du travail évoluer de façon paradoxale avec le développement informatique. Le travail humain, au lieu d’évoluer dans un sens qualitatif et créatif, a plutôt eu tendance à s’orienter vers des tâches répétitives et prévisibles, notamment dans les métiers considérés comme intellectuels. En parallèle, une forme d’hyper-sociabilité, parfois acrimonieuse, s’est développée avec la multiplication de réunions ne remplissant pas nécessairement des objectifs productifs.

L’accompagnement du développement de l’outil numérique s’est traduit par une couche administrative supplémentaire qui aurait pourtant dû être rendue caduque par les moyens offerts par la technologie elle-même. Ces travers du travail humain, qui s’est bureaucratisé et a perdu en substance tout en devant très politique, rendent la structure actuelle du travail particulièrement vulnérable à l’automation.

Les emplois centrés sur l’implémentation de l’intelligence artificielle sont naturellement mis en valeur et nécessitent des compétences particulières, mais on constate également une certaine simplification de l’accès à la compréhension informatique. La prépondérance d’un langage comme Python, qui est d’une simplicité syntaxique sans précédent, en est un exemple. L’accès à l’informatique, en se simplifiant et en se prêtant à diverses strates de compréhension technique, pourrait permettre une réappropriation de l’automation par des milieux beaucoup plus larges.L’hyperactivité entrepreneuriale autour de ces outils, suivant des compétences très variées et qui échappent aux catégories bureaucratiques habituelles, en est une étape intéressante.

La maîtrise de l’intelligence artificielle relèvera notamment d’une capacité de conceptualisation algorithmique, qui peut à terme être accessible à une large partie de la population et prendre des formes variées. A l’opposé du schéma apocalyptique que semblent indiquer certains développements actuels, en particulier sur le marché des données, il serait possible d’adapter notre modèle économique et éducatif dans un sens qui permette de partager l’accès aux possibilités qu’ouvrent ces évolutions technologiques en termes de participation aux processus productifs et créatifs. La perspective d’une intelligence artificielle qui aurait un caractère général reste pour le moins lointaine, et l’intelligence humaine n’est pas la simple somme de compétences particulières. Combinée à l’évolution de la compréhension scientifique, qu’elle soit physique, médicale, ou autre,et aux autres innovations de la révolution industrielle en cours (dont la robotique et l’impression 3D notamment) la place de l’intelligence humaine reste à peu près illimitée pour orienter ce qui reste un outil informatique.

Quelles sont les implications et les conséquences politiques d’une telle situation de vulnérabilité des emplois qualifiés ?

On a vu monter, ces dernières années, en particulier depuis la crise mondiale, une prise de conscience de la fragilité des normes relatives au monde du travail, dans le contexte des évolutions technologiques, de l’instabilité du système financier et de la mondialisation. Une crise de croyance dans le monde du travail et le marché de l’emploi se développe et donne lieu à un certain nombre de prises de position et d’ouvrages intéressants sur ces sujets.

En parallèle, l’organisation politique des pays développés repose plus que jamais sur l’hypothèse d’une distinction durable entre des élites bénéficiant à la fois de la mondialisation et des évolutions technologiques d’un côté et les classes populaires reléguées de l’autre. Cette opposition, qui nourrit la rengaine du dépassement de la démocratie par une avant-garde administrative habitée par l’esprit de la gouvernance mondiale, est en réalité déjà caduque au vu de la relégation des jeunes générations éduquées dans un certain nombre de pays développés.L’idée selon laquelle les emplois administratifs qualifiés seraient pérennes sous-tend ce schéma binaire. Mais, plus en profondeur, le début de compréhension, semi-consciente, de la vulnérabilité de cette dichotomie existentielle par les couches concernées nourrit une angoisse qui accentue pour l’heure la crispationdu débat et les aspirations démiurgiques.

Sommet quadripartite à Istanbul - retour des Européens dans une éventuelle négociation sur la paix en Syrie ?

Institut Montaigne - lun, 29/10/2018 - 14:17

Étrange attelage que celui de Messieurs Erdogan, Macron, Poutine et de Mme Merkel à Istanbul ce samedi 27 octobre. Etrange d’abord parce que les Russes s’étaient bien gardés jusqu’ici d’associer en quoi que ce soit les puissances européennes à leurs démarches sur la Syrie. Ils préféraient la discussion directe avec Washington, et à défaut ils utilisaient le format dit d’ "Astana" réunissant Russes, Turcs et Iraniens. De ce point de vue, le sommet d’Istanbul…

Städte für eine nachhaltige globale Entwicklung

Bonn, 29.10.2018. Am 31. Oktober ist Weltstädtetag (WCD), dieses Jahr unter dem Motto „Nachhaltige und widerstandsfähige Städte“. Ziel des 2013 von den Vereinten Nationen ins Leben gerufenen Tages ist, das internationale Interesse am Thema Urbanisierung und die zwischenstaatliche Kooperation im Umgang mit Chancen und Herausforderungen städtischer Entwicklung zu fördern. Insbesondere beim zweiten Teilziel, der Zusammenarbeit im Bereich nachhaltiger Urbanisierung, besteht noch viel „Luft nach oben“. Die direkte Bezugnahme des WCD 2018 auf Ziel 11 der Agenda 2030 für Nachhaltige Entwicklung („Städte und Siedlungen inklusiv, sicher, widerstandsfähig und nachhaltig machen“) ist kein Zufall. Nicht nur sind Städte und Kommunen von den großen globalen Herausforderungen – Klimawandel, Armut, Gewaltkonflikte – unmittelbar betroffen, sie sind auch zentrale Akteure für ihre Bearbeitung. Die Mehrheit der globalen Migrations- und Fluchtbewegungen verläuft in Richtung urbaner Räume. 80 Prozent der Wirtschaftsleistung wird in Städten erbracht. Gleichzeitig werden in Städten über 70 Prozent der globalen Treibhausgase ausgestoßen und ein ebenso großer Anteil der globalen Energie verbraucht. Der Bedeutungsgewinn der Städte spiegelt sich mittlerweile in einem wachsenden Selbstbewusstsein der „urban community“ wider. So wurde die New Urban Agenda, Ergebnisdokument des dritten UN-Gipfels für Wohnen und nachhaltige Stadtentwicklung(Habitat III), mit dem Anspruch formuliert, „die zentrale Rolle der Städte und menschlicher Siedlungen als Treiber nachhaltiger Entwicklung in einer zunehmend urbanen Welt“ (NUA, §22) zu nutzen. Zivilgesellschaftlich stark mitgeprägte Initiativen wie der WCD oder der im Oktober ebenfalls jährlich begangene World Habitat Day (WHD) sowie Großveranstaltungen, wie das von UN-Habitat ausgerichtete, zweijährige World Urban Forum (WUF) gestalten diesen Anspruch mit. Allerdings besitzen Städte und Kommunen– im Gegensatz zu den nationalen Regierungen – kein Stimmrecht bei den einschlägigen globalen Verhandlungen. Zu diesen gehören neben den lediglich auf alle zwanzig Jahre terminierten Habitat-Konferenzen die jährlichen Klimakonferenzen (COPs) und das High Level Political Forum (HLPF), in dessen Rahmen die Zielerreichung der globalen Entwicklungsziele – nahezu alle mit Berührungspunkten zu Stadtentwicklungsthemen – jährlich überprüft wird. Ihre Möglichkeiten, nationale Politiken zu Themen globaler Nachhaltigkeit zu beeinflussen sind oftmals begrenzt. Das heißt allerdings nicht, dass Städte auf internationaler Ebene keine Rolle spielen. Besonders aktiv sind die rund 200 nationalen und internationalen Städtenetzwerke. Deren Lobbyarbeit und Wissensaustausch umfasst viele Bereiche, war aber in den letzten Jahren vor allem im Klimaschutz erfolgreich. Netzwerke wie die Cities Climate Leadership Group (C40) oder die Local Governments for Sustainability (ICLEI) haben beispielsweise den Klimaprozess von Paris entscheidend vorangetrieben. So wird – besonders von Seiten der Städte –betont, dass ohne ihre „Klimadiplomatie“  außerhalb der offiziellen Verhandlungsräume der Vertrag nicht in dieser Weise zustande gekommen wäre. Ein anderer Bereich ist der Umgang mit Flucht und Migration; Netzwerke wie die rund 300 US-amerikanischen „Zufluchtsstädte“ (sanctuary cities) widersetzen sich seit Jahrzehnten nationalen Abschiebepolitiken; einige europäische Metropolen (Barcelona, Danzig) sind ihrem Beispiel gefolgt.  Wären vor diesem Hintergrund Städte und Kommunen die besseren Kooperationspartner zur Umsetzung nachhaltiger globaler (Stadt-)Entwicklung? Manchmal, aber nicht immer. Denn sie vertreten nicht per se progressivere Positionen verglichen mit nationalen Regierungen. So entscheiden sich nicht wenige Stadtregierungen für einen restriktiven Umgang mit Geflüchteten und MigrantInnen. Sie haben dabei vor allem ihre lokale Wahlbevölkerung im Blick. In anderen Fällen werden Zugewanderte in der Stadt- und Entwicklungsplanung erst gar nicht wahrgenommen, etwa in Nairobi, wo die geschätzt 60.000 in der Stadt lebenden Flüchtlinge mit keinem Wort im lokalen Entwicklungsplan erwähnt werden. Wie kann vor diesem Hintergrund der Beitrag von Städten des globalen Südens und Nordens für nachhaltige globale Entwicklung gefördert werden? Es gilt erstens, ihre internationale Rolle zu unterstützen; Arenen wie WCD, WHD und WUF tragen durch Sichtbarmachung dazu bei. Zweitens ist es wichtig, dass sie auf nationaler Ebene über politischen und fiskalischen Spielraum verfügen, um ihrer globalen Verantwortung gerecht zu werden, beispielsweise durch den Aufbau einer emissionsfreien Verkehrsinfrastruktur oder die Anpassung sozialer Dienste an (etwa durch Zuwanderung) veränderte Bedarfe. Auf lokaler Ebene müssen Städte für potentielle eigene Beiträge zu den globalen Zielen sensibilisiert werden; Anreize wie sie die internationale Gemeinschaft derzeit im Rahmen des Globalen Flüchtlingspaktes für die lokale Integration von Flüchtlingen diskutiert, könnten hier ebenfalls eine Rolle spielen. In diesem Sinne mein Vorschlag für das Thema des WCD 2019: „Inklusive und sichere Städte“.

Eine Abkopplung von der bundespolitischen Großwetterlage scheint nicht möglich: Landtagswahl in Hessen - Bundespolitik schlägt auch hier durch

Hanns-Seidel-Stiftung - lun, 29/10/2018 - 08:16
Der Leiter unserer Abteilung für Grundsatzfragen der Politik, Parteien- und Wahlforschung, Dr. Gerhard Hirscher, analysiert kurz den Ausgang der gestrigen Hessen-Wahl. Die bundespolitische Großwetterlage spielte auch für diese Wahl, nach der bayerischen Landtagswahl viel beachtet, die wohl entscheidende Rolle bei der Wahlentscheidung der Bürger. Eine eigene Akzentsetzung in den Bundesländern erscheint schwierig. Zeichen für neue bürgerliche Mehrheiten?

Le président de la République sortant Michael D. Higgins est réélu à la tête de l'Irlande

Fondation Robert Schuman / Publication - lun, 29/10/2018 - 01:00
Le président de la République sortant, Michael D. Higgins, qui se présentait comme candidat indépendant, a été réélu à la tête de l'Irlande avec 55,81% des suffrages le 26 octobre. Il a largement devancé tous ses adversaires mais dans une moindre mesure que ce qui avait été prévu par les enquêtes d'...

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