Vous êtes ici

Diplomacy & Defense Think Tank News

Le grand débat national : vers un début de réconciliation ?

Institut Montaigne - jeu, 17/01/2019 - 11:07

Le président de la République a donné le coup d’envoi, ce mardi 15 janvier, du grand débat national. Lancée en réponse à la contestation du mouvement des Gilets jaunes, cette consultation regroupe quatre thèmes : la fiscalité et les dépenses publiques, l’organisation de l’Etat et des services publics, la transition écologique, la démocratie et la citoyenneté. Que peut-on en attendre ? Olivier Duhamel, président de la FNSP (SciencesPo) et contributeur sur les…

Brésil : quelles perspectives géopolitiques pour 2019 ?

IRIS - jeu, 17/01/2019 - 09:51

Christophe Ventura, directeur de recherche à l’IRIS, répond à nos questions :
– Que peut-on attendre du nouveau gouvernement brésilien ?
– Quelles devraient être les premières mesures du gouvernement brésilien ?
– Qu’attendre du Brésil de Jair Bolsonaro sur la scène géopolitique ?

Brexit : « La démission de Theresa May ne réglerait pas le problème »

IRIS - mer, 16/01/2019 - 16:40

Theresa May peut-elle se maintenir à la tête du gouvernement alors que le vote désavoue le travail qu’elle effectue depuis maintenant deux ans ?

La situation dans laquelle se trouve May est plus que délicate. À sa place, n’importe quel dirigeant britannique aurait démissionné après cette défaite, qui est la plus ample de l’histoire politique au Royaume-Uni.

Toutefois, il me semble que Theresa May ne va pas choisir cette sortie pour plusieurs raisons. Tout d’abord, elle est connue pour son tempérament têtu et obstiné. Deuxièmement, je ne pense pas qu’elle va céder aux parlementaires, car sa priorité est, comme elle répète, « l’intérêt national britannique ».

Enfin, sa démission ne réglerait pas le problème. Le pays demeurerait polarisé, car il n’y a pas de vraie majorité claire. Theresa May sait donc qu’elle est une sorte de plus petit dénominateur commun des différentes factions politiques.

La première ministre a-t-elle un plan de secours afin de sortir de cette impasse ?

Une chose est sûre, c’est que si Theresa May a une solution, elle ne se trouve pas au sein de sa propre formation. En effet, si elle va à droite du parti conservateur, vers les partisans d’un Brexit dur, elle sera bloquée par l’Union européenne, dont elle perdra tout soutien. Dans le cas échéant, si elle va à gauche du parti, elle sera contrée par les Brexiters les plus obstinés. Ainsi, elle n’a pas une grosse marge de manœuvre.

Sa seule porte de sortie, qui n’en est pas vraiment une, serait de prolonger les négociations sur la base de l’article 50. Toutefois, May ne va pas pouvoir repousser indéfiniment la sortie du Royaume-Uni, notamment parce que les élections européennes arrivent à grand pas. Il serait quand même étrange d’élire en mai prochain des députés britanniques au Parlement européen, alors qu’ils sont susceptibles de ne plus être concernés par les problématiques européennes dans les mois à venir.

L’Union européenne aurait-elle un intérêt à ce report de la sortie du Royaume-Uni ?

Afin de repousser la date du Brexit, il faudrait que l’Europe donne son accord. Or, il n’est pas sûr qu’elle accepterait, parce qu’il n’est pas certain qu’un report de la date de la sortie du Royaume-Uni réglerait les problèmes. Rien ne dit qu’une solution se dégagerait avec le temps ou que l’option d’un second référendum prendrait du poids, car les divisions en Grande-Bretagne sont profondément ancrées. Pour l’Union européenne, ce report aurait un intérêt seulement si la position du Royaume-Uni se clarifiait.

Comment qualifier la stratégie des conservateurs britanniques, qui contrent le texte sans pour autant pousser Theresa May vers la sortie ?

Les conservateurs sont tout aussi divisés que les travaillistes et les autres factions politiques britanniques. La frange la plus dure veut sortir de l’UE coûte que coûte, quitte à ce qu’il n’y ait pas d’accord, ce qui n’est pas le cas des conservateurs plus modérés. S’ils ne poussent pas May à la démission, c’est parce qu’ils savent qu’elle n’est pas la cause du problème mais juste l’un des symptômes des divisions dans lequel le pays est embourbé.

Que dit cette crise du système parlementaire sur lequel repose le Royaume-Uni ?

La crise dans laquelle se trouve actuellement le système parlementaire britannique résulte d’un problème, plus profond que le Brexit en lui-même, qui est la confrontation croissante entre deux modèles : la démocratie représentative, base du régime britannique, et la démocratie participative. Ce conflit est devenu évident à partir du moment où David Cameron, alors premier ministre, a soumis la question de la sortie de l’UE à un référendum binaire.

En faisant cela, il a envoyé un message sous-entendant qu’il n’avait pas confiance en la démocratie représentative pour gérer la question. Or, les institutions britanniques ne sont pas habituées à la logique politique participative. Par conséquent, elles ne savent pas gérer les problèmes complexes de cette manière. Avec le Brexit, une boîte de Pandore s’est ouverte et les problèmes rencontrés par le système parlementaire se sont multipliés.

Propos recueillis par Anouk Helft pour La Croix

CANCELLED! The situation for the Palestinian refugees

DIIS - mer, 16/01/2019 - 15:08
TODAY's EVENT CANCELED: Unfortunately, we have to cancel today's event with Pierre Krähenbühl due to a flight cancellation. We apologize for the inconvenience.

Taxe d’habitation : il n’y aura pas que des heureux

Institut Montaigne - mer, 16/01/2019 - 14:36

Le grand débat annoncé par Emmanuel Macron, et ponctué d’une lettre aux Français ce dimanche 13 janvier, en fait l’un des quatre thèmes majeurs : la fiscalité et les dépenses publiques seront au coeur du dialogue national. Comment rendre notre fiscalité plus juste et plus efficace ? Quels impôts baisser en priorité ? Quelles économies privilégier ? Autant de questions soulevées par l’exécutif, alors que l’une des promesses phares du candidat Macron est…

Die rumänische EU-Ratspräsidentschaft: Eine Europäische Agenda

Hanns-Seidel-Stiftung - mer, 16/01/2019 - 14:26
Für die kommenden sechs Monate hat sich Rumänien anspruchsvolle Ziele gesetzt. Das Land will Europa stärker zusammenführen, Wachstum und Wettbewerbsfähigkeit steigern, für mehr Sicherheit sorgen und die EU als handlungsfähigen globalen Akteur etablieren. Besonderen Wert legt Rumänien darauf, die gemeinsame Wertebasis zu stärken.

El Fondo Europeo de Defensa y el futuro de la industria española

Real Instituto Elcano - mer, 16/01/2019 - 07:32
Félix Arteaga y Luis Simón (eds.). Policy Paper 1/2019 - 17/1/2019

Este documento recoge las conclusiones alcanzadas tras una serie de seminarios en la oficina de Elcano en Bruselas organizada para ampliar la perspectiva de la situación, evaluar las medidas y analizar sus implicaciones para la base tecnológico-industrial de la defensa en España.

Un mundo, diferentes perspectivas: análisis de los resultados de la encuesta de ponderación 2018 del Índice Elcano de Presencia Global

Real Instituto Elcano - mer, 16/01/2019 - 05:06
Manuel Gracia, Iliana Olivié y Néstor Santana. ARI 7/2019 - 16/1/2019

Los resultados de la encuesta elaborada en 2018 confirman una tendencia de fortalecimiento de formas de proyección duras –dimensión económica y militar– en detrimento de formas de proyección blandas, que habían caracterizado décadas previas de globalización.

Prospects for peace in Afghanistan

DIIS - mar, 15/01/2019 - 14:27
Key developments in the Afghan Taliban and US policy

Elections en RDC : "Joseph Kabila a quitté la présidence mais conserve le pouvoir"

Institut Montaigne - mar, 15/01/2019 - 09:14

Initialement prévues le 23 décembre 2018, les élections présidentielles en République démocratique du Congo (RDC) se sont finalement tenues le 30 décembre dernier. Vivement contestés, les résultats publiés par la Commission électorale nationale indépendante (Ceni) proclament l’opposant Félix Tshisekidi vainqueur, avec 38,57 % des voix. Alors que…

Diese Folgen hat der Brexit für Entwicklungsländer

Bonn, 15.01.2019. Am 15. Januar soll das britische Parlament final über das von der Europäischen Union (EU) und Großbritannien ausgehandelte Austrittsabkommen abstimmen. Das Ergebnis der Abstimmung ist momentan nicht vorherzusehen. Durch die geringe Erfolgswahrscheinlichkeit hatte Premierministerin Teresa May die für Ende 2018 geplante Abstimmung ins neue Jahr verlegt. Das von der eigenen Partei initiierte Misstrauensvotum im vergangenen Dezember sowie dessen knappes Ergebnis verdeutlichen, wie stark das Parlament bei der Brexit-Frage gespalten ist.

Ob ein geordneter Austritt mit oder ein „harter Brexit“ ohne Austrittsabkommen – derzeit werden immer wieder die ökonomischen und politischen Folgen unterschiedlicher Szenarien für Großbritannien und Europa diskutiert. Doch wir müssen auch die globalen Effekte des Brexit in den Blick nehmen.

Zu selten wird diskutiert, dass auch Länder jenseits Großbritanniens und der EU vom Brexit und den sich dadurch wandelnden Handelsbeziehungen betroffen sein werden. Oft wird von Befürworten eines harten Brexits betont, dass Großbritannien im Fall eines Brexits ohne Austrittsabkommen einfach auf die Regeln der Welthandelsorganisation (WTO) zurückgreifen könne. Dies stimmt jedoch nicht vollständig mit der Realität überein. Die neuen Marktzugangsregeln zwischen Großbritannien und den WTO-Mitgliedern jenseits der EU müssen im Moment noch verhandelt werden, und zwar derzeit ohne Aussichten auf baldigen Erfolg. Somit müssten die Briten im Falle eines „No deal“ nach März 2019 mit dem Rest der Welt höchstwahrscheinlich nach den in der WTO vereinbarten EU-Bedingungen handeln. Und das, obwohl diese dann eigentlich nicht mehr für Großbritannien gelten.

Vor allem für ärmere Länder kann der Brexit drastische Folgen haben. Unabhängig von dem endgültigen Brexit-Abkommen zwischen der EU und Großbritannien, werden Entwicklungsländer vom EU-Austritt Großbritanniens negativ betroffen sein. Ein wichtiger Grund ist, dass sie ihren bevorzugten Zugang zum britischen Markt verlieren, den sie im Moment noch auf Grundlage unterschiedlicher EU-Abkommen genießen. Zum Beispiel durch das allgemeine Präferenzsystem (Generalised Scheme of Preferences), die "Alles außer Waffen" (EBA) Initiative, sowie die Wirtschaftspartnerschaftsabkommen (Economic Partnership Agreements).

Wenn Entwicklungsländer nach dem Brexit auf dem britischen Markt keine bevorzugten Zölle mehr erhalten, sinkt ihre Wettbewerbsfähigkeit in Großbritannien. Vor allem bei einem harten Brexit ohne Austrittsabkommen würden die am wenigsten entwickelten Länder unter höheren Zöllen und anderen nichttarifären Handelsbarrieren leiden. In diesem Fall würden die Exporte nach Großbritannien laut aktueller Simulationen beispielsweise in Äthiopien um 20 Prozent und in Malawi sogar um 60 Prozent einbrechen.

Insbesondere arme Länder wie Kambodscha und Malawi, die stark vom britischen Markt abhängig sind, weil sie viel in das Vereinigte Königreich exportieren, werden laut neuester Berechnungen Einbußen ihres Bruttoinlandprodukts hinnehmen müssen. In den am wenigsten entwickelten Ländern, die von den Handelspräferenzen der EU profitieren, ist darüber hinaus ein Anstieg der Armut zu befürchten. Neue Simulationen zeigen, dass die Anzahl der Menschen, die in extremer Armut leben, infolge des Brexits in diesen Ländern um bis zu 1,7 Millionen steigen könnte. Diese Zahlen sind konservative Schätzungen, die ausschließlich die Änderungen der Handelsregeln einbeziehen. Andere negative Faktoren wie die Abwertung des Britischen Pfunds, verringerte britische Direktinvestitionen und weniger Entwicklungshilfe sind dabei noch nicht berücksichtigt.

Da sich neue Handelsverträge zwischen Großbritannien und den Entwicklungsländern hinziehen werden, ist eine Übergangsregelung seitens der Briten notwendig, um die negativen Auswirkungen für arme Staaten zu verhindern. Handelsbezogene Entwicklungshilfe kann zusätzlich dazu beitragen, die Herausforderungen für arme Länder abzufedern. Zugleich birgt die zukünftige Neuaufstellung der britischen Handelspolitik die Chance, die Handelsbeziehungen mit armen Ländern entwicklungsfreundlicher zu gestalten. Das wäre beispielsweise durch großzügigere Präferenzen möglich, die mehr Wertschöpfung über mehrere Länder zulassen und so regionale Wertschöpfungsketten fördern.

Der Brexit stellt eine außerordentliche Herausforderung sowohl für Großbritannien, als auch für die EU dar. Selbst wenn das britische Parlament dem Austrittsabkommen zustimmt, ist das Risiko eines harten „No deal“ Brexits nicht ausgeschlossen. Denn es wird nicht einfach sein, sich bis zum Ende der vereinbarten Übergangszeit auf ein neues Handels- und Investitionsabkommen zwischen Großbritannien und der EU zu einigen. So oder so: Die langanhaltende Unsicherheit mit vielen offenen Fragen führt zu stetig wachsenden Kosten, die nicht nur den Unternehmen, sondern auch den Verbrauchern einen erheblichen Schaden zufügen. Beide Seiten sollten sich um eine bestmögliche Lösung bemühen und dabei auch die Verluste der ärmsten Entwicklungsländer berücksichtigen.

Authoritarianism in the Middle East

DIIS - lun, 14/01/2019 - 22:26
Contemporary perspectives from Egypt, Saudi Arabia and Iran

Der Kongo nach der Wahl: Vielleicht ein Neubeginn

Hanns-Seidel-Stiftung - lun, 14/01/2019 - 15:32
Die Demokratischen Republik Kongo hat gewählt und das Ergebnis ist schwer zu deuten. Zwar gewinnt überraschend ein Kandidat der Opposition, doch die Regierungspartei von Präsident Joseph Kabila bleibt stärkste Kraft im Parlament. Bleibt jetzt alles beim Alten?

CES 2019 : renforcer la confiance dans le numérique

Institut Montaigne - lun, 14/01/2019 - 14:47

Le CES 2019 a, comme usuellement, apporté son lot d’annonces de nouveaux produits des plus utiles aux plus loufoques. Mais une nouvelle tendance est apparue cette année autour de la confiance dans le numérique. Tendance mise en avant de gré ou de force suite aux multiples scandales et cyberattaques ayant touchés les acteurs du numériques, au premier rang desquels Facebook. Gérôme Billois, associé cybersécurité et confiance…

Entre Paris et Rome, un divorce à l'italienne

Institut Montaigne - lun, 14/01/2019 - 10:52

Les encouragements prodigués par Rome aux "gilets jaunes" sont une entorse historique à la solidarité entre membres de l'UE. Ils traduisent un ressentiment de plus en plus fort des Italiens à l'égard de Paris. Une animosité aux racines anciennes.

"Ne lâchez rien." Les  encouragements donnés par les dirigeants populistes italiens au mouvement des "gilets jaunes" en France constituent une triste première dans l'…

Pages