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Diplomacy & Defense Think Tank News

Stühlerücken in Georgien

SWP - mer, 04/09/2019 - 00:00

Am 2. September reichte der georgische Premierminister Mamuka Bachtadse seinen Rücktritt ein. Einen Tag später nominierte die Regierungspartei »Georgischer Traum« den umstrittenen Innenminister Giorgi Gacharia als seinen Nachfolger. Damit kommt es nach nur 14 Monaten erneut zu einem Wechsel an der Spitze der georgischen Regierung; Gacharia wird der fünfte Premierminister seit der Regierungsübernahme durch den »Georgischen Traum« 2012. Georgische Medien hatten einen möglichen Kabinettsumbau bereits seit längerem diskutiert und Gacharia als potenziellen Nachfolger gehandelt; dabei wurden, wie bei früheren Wechseln auch, unterschiedliche Spekulationen über die Gründe für die Demission angestellt. Weitgehend einig war man sich hingegen darin, dass Bidsina Iwanischwili, Gründer und Vorsitzender des »Georgischen Traums« sowie reichster Mann des Landes, sowohl beim Rücktritt als auch bei der Nachbesetzung eine entscheidende Rolle gespielt haben muss. Giorgi Gacharia gilt als enger Vertrauter des Parteivorsitzenden und war von ihm in die Politik gebracht worden. Diese enge Verbindung teilt Gacharia mit seinen Vorgängern: Bachtadse galt als »von Iwanischwili eingesetzt«; von Beginn an wurde ihm mangelnde Autorität attestiert. Die ehemaligen Premiers Irakli Gharibaschwili und Giorgi Kwirikaschwili waren zudem zuvor für Unternehmen der Familie Iwanischwili tätig.

Dass Gacharia vor seinem Eintritt in die georgische Politik knapp 20 Jahre in Moskau lebte und arbeitete, wird insbesondere für die politische Opposition in Georgien ein gefundenes Fressen sein. Iwanischwili selbst war 2012 mit dem Versprechen angetreten, die Beziehungen mit Russland zu normalisieren, und sprach sich, in deutlicher Abkehr zur Politik seines Vorgängers Micheil Saakaschwili, für Pragmatismus gegenüber Russland aus. Das brachte ihm und seiner Partei von weiten Teilen der politischen Opposition sowie der Zivilgesellschaft immer wieder den Vorwurf ein, zu nachgiebig gegenüber Moskau zu agieren. Dass Gacharia von eben dort Gratulationen zur Nominierung erhielt, dürfte weiter Öl ins Feuer gießen.

Von der Rücktrittsforderung zur Beförderung

Es gibt allerdings auch handfestere Gründe dafür, warum die Besetzung des Premierministeramtes mit Giorgi Gacharia vermutlich eher zu weiterer innenpolitischer Konfrontation anstatt zu Befriedung führen wird: Ende Juni 2019 war es vor allem in der Hauptstadt Tbilisi zu Massenprotesten gekommen. Deren unmittelbarer Auslöser war ein Auftritt des russischen Abgeordneten Sergei Gawrilow im georgischen Parlament. Die Proteste richteten sich aber auch gegen die Regierung. Bei gewalttätigen Auseinandersetzungen zwischen der Polizei und Demonstrierenden wurden über 240 Personen verletzt. Die Protestierenden machten Innenminister Gacharia für die Polizeigewalt verantwortlich. Dass sich nun auch der »Georgische Traum« für Gewalt gegen Demonstranten und Demonstrantinnen zu verantworten hatte – ähnlich wie zuvor Saakaschwili und seine »Vereinte Nationale Bewegung« – werteten Beobachterinnen und Beobachter als bedeutenden Legitimitätsverlust. Der Rücktritt Gacharias ist seitdem eine der zentralen Forderungen der parlamentarischen Opposition und junger Aktivistinnen und Aktivisten. Der »Georgische Traum« und sein Vorsitzender allerdings hielten trotz wochenlangem Protest an dem umstrittenen Minister fest. Dass dieser nun nicht nur im Amt gehalten, sondern nach nur gut zwei Monaten auf das formal wichtigste Amt des Landes befördert werden soll, dürfte die innenpolitische Stimmung wieder und weiter aufheizen.

Polarisierung, Protest und Politikverdrossenheit

Georgien ist nicht erst seit der »Causa Gawrilow« stark innenpolitisch polarisiert. Da ist zum einen die Fehde zwischen der Regierungspartei »Georgischer Traum« und der vormaligen Saakaschwili-Partei »Vereinte Nationale Bewegung« bzw. deren Absplitterung »Europäisches Georgien«. Bis heute haben die Parteien keinen produktiven Modus parteipolitischen Wettbewerbs im parlamentarischen System Georgiens gefunden. Stattdessen werfen sie sich gegenseitig vor, ihre jeweilige Rolle für partikulare Machtinteressen zu missbrauchen. Zum anderen gibt es eine junge Generation von Aktivistinnen und Aktivisten, die immer wieder gegen die Politik der Regierung auf die Straße geht. Sie ist bemüht, sich und ihre Protestaktionen von keiner politischen Partei vereinnahmen zu lassen, was angesichts des äußerst umkämpften politischen Felds Georgiens mit einem oft eher schematischen »Freund-Feind«-Denken keine einfache Aufgabe ist. Der größte Teil der georgischen Gesellschaft allerdings hat sich von der Politik und ihren Querelen abgewandt. Vor den Wahlen der letzten Jahre war der Anteil derjenigen, die auch kurz vor dem Urnengang noch keine politische Präferenz äußern konnten, beständig hoch. Laut Daten einer Umfrage des National Democratic Institute vom April 2019 waren 81 Prozent der Befragten der Meinung, dass die Politiker die Polarisierung im Land beförderten. Gefragt, welche Partei sie wählen würden, sollten für den nächsten Tag Parlamentswahlen angesetzt sein, entschieden sich nur magere 17 Prozent für den »Georgischen Traum«, 14 Prozent für die »Vereinte Nationale Bewegung«.

Die Sommerferien bedeuteten eine Atempause für die politischen Auseinandersetzungen in Georgien. Das dürfte sich nun ändern. Die erste Sitzung des georgischen Parlaments nach der Sommerpause, bei der Gacharias Nominierung bekannt gegeben wurde, ist von lautstarken Protesten inner- und außerhalb des Parlamentsgebäudes begleitet worden.

Fauteuil relax : laquelle choisir pour une personne âgée

RMES - mar, 03/09/2019 - 15:02

Le fauteuil relax a la possibilité de réduire sensiblement les douleurs articulaires et les maux de dos. Il est important de savoir que le fauteuil relax est loin d’être un meuble superflu que doit avoir une personne âgée. Cette présentation vous permettra de choisir le bon fauteuil relax que pourra utiliser une personne âgée.

La taille à choisir pour votre fauteuil relax

Il est essentiel qu’une personne âgée se sente à l’aise dans son fauteuil relax. Pour cela, vous devez faire votre choix en tenant compte de la morphologie de la personne qui l’utilisera. Si le fauteuil devait être utilisé par une petite personne, il faudrait lui choisir un fauteuil étroit qui pourra bien l’envelopper. Si le fauteuil relax, devait, par contre, être utilisé par une personne corpulente, il faudrait choisir un dont le siège serait bien spacieux.

L’assise devrait être installée à la hauteur adaptée ni trop haut ni trop bas, pour vous permettre de vous asseoir et de vous relever sans aucune difficulté. Il faudrait aussi que le dossier soit à la bonne hauteur pour lui permettre de reposer sa tête et de bien se détendre. Au cas où la personne âgée serait en famille ou en couple, il est certain que tout le monde trouvera une place au sein du canapé relax.

Lire aussi : Que penser du destructeur d’insecte Electris KC349NW-5W ?

Fauteuil relax électrique ou manuel

Quel type de fauteuil relax devriez-vous choisir pour une personne âgée ? C’est la véritable question que vous devriez vous poser. Concernant le fauteuil relax manuel, il faut dire qu’il est facile à utiliser et très ergonomique. Il vous suffira de tirer la poignée afin d’ouvrir le repose-pied pour relever les jambes. Il faudra par la suite faire un mouvement avec le bassin pour vous mettre dans la bonne position.

C’est précisément pour cette raison qu’il est préférable d’opter pour un fauteuil relax électrique comme le Relaxation 1 place, surtout lorsque ce dernier sera utilisé par une personne âgée.

Et si cette dernière souffre de douleurs musculaires ou de maux de dos, il ne faudrait même pas penser au fauteuil relax manuel. Le fauteuil relax électrique est plus adapté au quotidien d’une personne âgée. En plus, son accoudoir et sa têtière sont ajustables.

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Comment fonctionne un diffuseur d’huile essentielle ?

RMES - mar, 03/09/2019 - 13:53

Pour connaître le fonctionnement d’un diffuseur d’huile essentielle donné, la première des choses est de définir de quel type de diffuseur il s’agit. Il en existe en effet plusieurs dont le fonctionnement diffère totalement. Le premier fonctionne par nébulisation, le second par chaleur douce et le troisième par ventilation.

Fonctionnement d’un diffuseur d’huile essentielle par nébulisation

Les diffuseurs d’huile essentielle par nébulisation sont les plus performants disponibles sur le marché. Ils sont parfaitement conçus pour que les particules de l’huile essentielle demeurent dans l’atmosphère de la pièce pendant autant de temps que possible. En effet, la diffusion est totalement froide, ce qui permet à ces particules de se subdiviser lors de l’usage de l’appareil.

L’utilisation de ce type de diffuseur d’huile essentielle est tout de même simple, il suffit d’y mettre quelques gouttes de l’huile essentielle qu’on aura choisie. Il ne faut pas omettre de brancher l’appareil, faute de quoi il ne pourrait fonctionner. Il est important d’avoir un œil sur le niveau de l’eau et de veiller à ce que l’huile essentielle aille directement et uniquement dans la verrine de l’appareil. Ceci est important pour préserver l’état de votre diffuseur d’huile essentielle par diffusion.

L’entretien est ensuite une étape nécessaire pour un bon fonctionnement de l’appareil et pour qu’on puisse en user pendant un bon moment.

Fonctionnement d’un diffuseur d’huile essentielle par chaleur douce

Les diffuseurs d’huile essentielle par chaleur douce ont cette particularité d’être très simples d’utilisation et de fonctionner sans émettre de bruit. Étant donné qu’il s’agit d’un appareil électrique, il suffit de le brancher et de presser le bouton installé à cet effet. Pour que leur fonctionnement cesse dans le cas où le réservoir ne contiendrait plus de liquide, il est équipé d’une minuterie. Pour remettre cette dernière en marche, il suffit de presser de nouveau l’interrupteur de l’appareil.

Par ailleurs, ces appareils sont équipés d’un système régulateur thermique qui permet de réguler la température afin qu’on ne ressente pas de chaleur. Il est efficace pour diffuser un délicieux arome dans l’espace dans lequel on le met en place.

Pour approfondir : Sinusite – Quelles huiles essentielles ?

Fonctionnement d’un diffuseur d’huile essentielle par ventilation

Parmi les trois principaux types de diffuseurs d’huile essentielle, nous avons ceux qui fonctionnent par ventilation. Ils sont très simples d’usage et ne font pas de bruit. Ils sont en conséquence idéals pour une installation dans une chambre à coucher ou dans un bureau. Ce sont des appareils qu’on peut facilement transporter. Il est équipé d’une cartouche filtrante qu’on peut retirer pour y mettre quelques gouttes d’huile essentielle. Il faut ensuite la remettre à sa place et la tourner.

Par la suite, il faudrait évidemment brancher le diffuseur d’huile essentielle par ventilation qui se chargera de la diffusion. La cartouche filtrante dont il est équipé est munie de plusieurs emplacements permettant l’usage de diverses huiles essentielles. C’est un appareil durable et d’une grande praticité. Il est très aisé de les garder dans un bon état afin d’optimiser au maximum son fonctionnement, et ce pendant une longue durée. Le fonctionnement d’un diffuseur d’huile essentielle dépend donc du type qu’on choisit d’utiliser.

À lire …

… Comment faire une lampe à lave ?

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After the S-400 Purchase: Where Are Turkish-Russian Relations Heading?

SWP - mar, 03/09/2019 - 00:00
Russia’s Syrian magnet

Cooperation in Syria has proved functionally and mutually beneficial for both Russia and Turkey sides, as illustrated by the tripartite Astana and Sochi processes (also including Iran). It is clear that neither process would have got off the ground without Russia. But it was Turkey that lent them international legitimacy and acceptance. Without Ankara, they would have been merely gatherings of the pro-regime powers in Syria. It is unlikely that Macron and Merkel would have joined the Astana trio’s meeting in Istanbul in October 2018, had it not been hosted by NATO member Turkey. The Syrian crisis has therefore been the glue in Turkish-Russian relations in recent years.

A modicum of caution is warranted here, because the Syrian crisis is also the most challenging test of the relationship, given Turkey and Russia’s different priorities and visions for the Syrian endgame. The recent Russian-Syrian assault on Idlib, including the targeting of Turkey’s military outposts, illustrates the shaky nature of Turkish-Russian cooperation in Syria. Syria has become leverage for Russia to shape Turkish-US relations, particularly within the context of Syria.

Cooperation in strategic industries

Cooperation between Turkey and Russia is increasingly shifting to industries and areas that create path dependencies. No longer do construction, tourism, textiles, and fruits or vegetables define Turkish-Russian economic ties. Instead, cooperation has shifted to strategic industries that create long-lasting mutual dependencies – from the TurkStream pipeline project to the construction of the Akkuyu Nuclear power plant and the purchase of the Russian S-400 air defence system. By the time the S-400 deal is completed, Russia is expected to have more than 13 percent supplier share in Turkey’s arms market. What is emerging, however, is an asymmetric dependency favouring Russia more than Turkey. So Turkey’s search for autonomy in foreign policy and security might in fact culminate in greater dependency on Russia.

The crisis of Turkish-Western relations

The health of Turkish-Western relations – currently crisis-ridden – is a key factor shaping the Turkish-Russian relationship. No longer content with its previously hierarchical relations, Turkey wants recognition from the West as a major regional power. Neither the Cold War framework of Turkish-American relations (Turkey joined NATO in 1952 and the Turkish-US alliance was a product of the Cold War) nor the EU accession framework will be capable of resolving Turkey’s status anxiety in its relations with the West. This aspect of the crisis also indicates the limits of personality-centric readings of the present state of Turkey’s relations with Russia and the West. It is obvious that the personal chemistry between Erdogan and Putin, similarities in their style of governance and grievances vis-à-vis the West helped to improve relations between Ankara and Moscow. But the crisis in Turkish-Western relations is structural. It predated Erdogan and will outlast him.

In spite of these factors, it is too early to assert that Turkey is joining Russian orbit. The Turkish elites – both Ottoman and republican – have always been alert to Russian geopolitical ambitions. Denying Russia a significant presence south of Turkey’s borders has been a consistent position since the Ottoman Empire.

Unlike Turkey’s ties to the West, which traditionally enjoyed strong backing among elites and institutions (especially the foreign policy and security establishment) and were underpinned by a certain world view (historically speaking, prioritizing secular modernization and progress), Turkey’s current relationship with Russia lacks such an overarching framework and arguably still has limited political and bureaucratic backing. Whether this remains the case will depend on how long Turkish-Russian relations continue in the current cooperative modes of engagement.

Turkey and Russia’s competing regional aspirations and different security concerns (see Syria) also put a ceiling to their relationship. On the other side of the equation, the meaning of Turkey’s membership in Western clubs is changing dramatically. No longer do these institutions provide the framework – or even a point of reference – for Turkey’s foreign and security policy choices. Yet despite the crisis in Turkish-Western relations, Turkey’s membership in major Western institutions, including NATO, is not going to end any time soon.

This is why Turkey does not believe it is giving up its place in the Western camp. Unlike many in the West, Turkey does not see itself making a choice between Russia and the West through its purchase of the Russian S-400. Instead Turkey is giving up the idea that its relations with the West in general and the United States in particular are indispensable, and therefore it has to approach all its other relations through these Western lenses. Turkey believes that its interests are better served through a balancing act between traditional ties to the West and recently improving relations with countries like Russia and China. This in turn means that instead of joining the Russian orbit, the next phase of Turkish foreign policy will be ad-hoc, transactional, issue-based and lacking any overarching framework or orientation.

Galip Dalay is IPC-Mercator Fellow at the Centre for Applied Turkey Studies at Stiftung Wissenschaft und Politik (SWP).

Comment fabriquer une console extensible ?

RMES - lun, 02/09/2019 - 17:48

Une console extensible est une sorte de meuble intégrant plusieurs fonctions. Très pratique, elle est disponible en plusieurs modèles sur le marché, et vous pouvez être certain que vous aurez l’embarras du choix.

Cependant, si vous êtes plutôt du genre bricoleur, vous serez très surpris de savoir que vous pouvez vous-même fabriquer votre console extensible. Suivez les étapes !

Plus d’informations sur, https://www.pinterest.fr/pin/185773553358690755/

Les matériaux

Tout commence par les matériaux. Sans eux, impossible d’aboutir à une console extensible. Plusieurs types de matériaux peuvent servir à fabriquer une console extensible, le tout dépend de la structure et du design que vous désirez.

Le métal

Une console extensible en métal sera très résistante et assez chic. Pour vous tourner vers le métal toutefois, choisissez un métal qui soit adapté à votre intérieur. Très malléable, vous pouvez choisir entre le bronze et l’acier. Faites tout de même attention à la rouille qui est le premier ennemi du métal.

Le bois

C’est le matériau le plus utilisé pour fabriquer des consoles extensibles. Le choix du type de bois doit se faire en fonction de l’endroit où vous poserez votre console et de la finition que vous voulez. Le bois, tout comme le métal est également très résistant, mais ne côtoie pas l’humidité.

Le verre

Il s’agit là des matériaux les plus fragiles, les plus sensibles et les plus délicats à manipuler. Le verre cependant rend votre intérieur plus glamour. Il est toutefois recommandé de faire le choix d’un verre de grande épaisseur. Vous avez aussi l’opportunité de choisir entre plusieurs couleurs de verre.

Hormis l’un ou l’autre de ces matériaux, vous aurez besoin :

  • De la colle.

  • Des clous.

  • D’une scie.

  • De la peinture.

  • D’un mètre ruban.

La surface de la console extensible

Puisque la plupart de ces consoles extensibles sont faites en bois, commencez par mesurer la longueur et la largeur désirées pour la surface de votre console extensible. Si vous désirez une surface rectangulaire, prenez les mêmes mesures pour la longueur, et des mesures un peu plus courtes pour la largeur.

A lire aussi, Qu’est-ce qu’une affleureuse ?

Les rallonges

Ce sont les rallonges qui soutiennent la structure de la console extensible. Elles sont également sous forme de rectangle et sont accolées par les extrémités à la surface de la console extensible. Découpez-les dans du bois ou dans le matériau choisi. Veillez à ce que la surface des rallonges soit beaucoup plus petite que celle de la console.

Une fois que vous aurez obtenu les deux principales rallonges qui vont soutenir la console extensible, fixez-les aux extrémités de la surface de la table. Servez-vous de la colle forte, puis des clous par la suite. Les clous devront être insérés dans les parties du bois de telle sorte qu’ils ne soient pas visibles. Cela va rehausser la beauté de votre console extensible.

Si vous désirez sortir du classique, il suffira de mettre sur pied une ou deux autres rallonges pour votre console extensible. Procédez de la même manière pour la découpe, puis collez-les ensuite à l’intérieur de la console. Terminez en passant de la peinture à huile ou de la peinture de couleur sur la console extensible.

A vôtre disposition, voici nôtre dossier comparatif complet à retrouver sur, https://la-petite-console-extensible.fr/

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¿Qué podemos esperar del segundo mandato de Jokowi al frente de Indonesia?

Real Instituto Elcano - lun, 02/09/2019 - 12:03
Javier Gil Pérez. ARI 90/2019 - 2/9/2019

Este análisis revisa los principales desafíos que tiene ante sí el presidente indonesio Joko Widodo durante su segundo mandato.

Boris Johnson auf Kurs No-Deal Brexit

SWP - lun, 02/09/2019 - 00:00

Boris Johnson geht auf Konfrontationskurs: Seit seiner Ernennung zum Premier­minister des Vereinigten Königreichs ordnet er die Agenda seiner Regierung dem Ziel unter, die EU um jeden Preis zum 31. Oktober 2019 zu verlassen – mit zunehmender Wahrscheinlichkeit ohne Abkommen. An seinen ersten Amtshandlungen wird deut­lich, dass der Wechsel mehr ist als eine Stabsübergabe, wie sie bei einem Führungswechsel inner­halb einer Partei üblich ist. Die Konservative Partei wandelt sich unter seiner Führung endgültig zur Partei des harten No-Deal Brexits, während die Opposition zerstritten bleibt. Ein Machtkampf mit dem Parlament ist in vollem Gange. Ange­sichts einer nur noch theoretisch denkbaren Parlamentsmehrheit sind vorgezogene Neu­wahlen unausweichlich. Entscheidend ist dabei ihr Zeitpunkt: ob vor oder nach dem EU-Austritt. In Anbetracht dessen muss auch die EU ihre Brexit-Strategie überdenken.

Keine Entwarnung in Mosambik

SWP - lun, 02/09/2019 - 00:00

Anfang August 2019 unterzeichneten der Präsident Mosambiks und der Chef der größ­ten Oppositionspartei einen neuen Friedensvertrag. Damit kommt wieder Bewegung in den Friedensprozess, in dem sich der Mosambikanische Nationale Widerstand (RENAMO) und die seit 1994 regierende Mosambikanische Befreiungsfront (FRELIMO) gegenüberstehen. Es bleiben große Herausforderungen wie die Entwaffnung und Reintegration der RENAMO-Kämpfer.

Zudem sind längst neue Unruheherde entstanden. Eine Welle der Gewalt hat seit Oktober 2017 in der Provinz Cabo Delgado weit mehr als 300 Todesopfer gefordert. Obwohl sich der »Islamische Staat« (IS) zu einigen Anschlägen bekannt hat, bleiben Motive und Strukturen der verantwortlichen Gruppierung unklar. Ihr Aufkommen deutet auf tiefgreifende gesellschaftliche Spannungen und eine Entfremdung zwischen Bevölkerung und politischer Elite hin. Gleichzeitig ist der Norden Mosambiks ein Dreh- und Angelpunkt der illegalen Ökonomie. Kriminelle Geschäfte sind vor allem Symptome staatlicher Vernachlässigung und weitgehender Straffreiheit. Wie die Erfahrung aus anderen Konfliktregionen lehrt, kann diese Gemengelage fatale Aus­wirkungen haben. Darum sollten internationale Akteure, auch die Bundesregierung, auf schnelle und weitreichende Maßnahmen dringen, die über den Friedensprozess hinausweisen.

Keine Ruhe in Kaschmir

SWP - mer, 28/08/2019 - 00:00

Die Entscheidung der indischen Regierung vom 5. August, den Bundesstaat Jammu und Kaschmir in zwei Unionsterritorien zu teilen, hat die internationale Aufmerksam­keit wieder einmal auf die Krisenregion im Himalaya gelenkt. Pakistan protestierte gegen diesen Schritt und erreichte mit Hilfe Chinas, dass sich der Sicherheitsrat der Vereinten Nationen am 16. August 2019 erstmals seit 1971 wieder mit der »indisch-pakistanischen Frage« befasste. Die informelle Konsultation endete ohne eine offiziel­le Erklärung, aber Indien und Pakistan sahen ihre Positionen bestätigt. Neben der erneuten Zunahme der Spannungen zwischen beiden Staaten wirft der Beschluss zu Kaschmir aber auch grundsätzliche Fragen zur künftigen Ausgestaltung des Föderalismus und des Säkularismus in Indien auf.

A New Budget for the EU

SWP - lun, 26/08/2019 - 00:00

Negotiations on the EU’s Multiannual Financial Framework (MFF) are al­ways lengthy, complex and conflictual. This applies to the MFF 2021–2027, which is expected to have a financial volume of around €1.3 trillion. As usual, the negotiations revolve around political priorities, the expenditures determined for each of them, and the distribution of the financial burden among mem­ber states. This ongoing process is hampered by the forthcoming Brexit, as the UK has so far contributed substantial amounts to the Union’s budget. Furthermore, there are new tasks for the EU which require additional resources, such as the establishment of a defence union, increased protec­tion of the EU’s external borders, and the stabilisation of the euro zone.

Since the European Commission presented its proposal for a pragmatic reform of the EU budget on 2 May 2018, the member states have been nego­tiating a comprehensive package. However, cohesion in the coalitions of net contributors and net recipients is dwindling. The delicate negotiation frame­­work makes the course and results of the search for consensus more difficult to foresee, and the actors less predictable. Due to the increasing uncertainty, all participants expect Germany to play a balancing role. Many countries hope that Germany, as the strongest economy and the largest net contributor, will provide additional resources to facilitate a successful conclusion of the negotiations on a new MFF. The German government therefore needs clear and firm ideas about the fields in which it wants to modernise EU pol­icies and to further Europeanise and communitise them.

 

Faut-il opter pour une veilleuse qui change de couleur pour un nourisson

RMES - sam, 24/08/2019 - 12:15

Le marché regorge de veilleuses multicolores. Mais leur utilisation est-elle adéquate pour les bébés de 6 mois? La réponse nous ait donné ici sur ce site spécialisé en veilleuse pour bébé. Pour les enfants en bas âges, l’utilisation d’une veilleuse requiert l’avis d’un expert. Les parents ont tendance à penser que pour rassurer leur bébé, il est convenable de lui acheter une veilleuse sans accorder une importance à son âge. D’autres, ne sont pas du même avis, et préfèrent s’en abstenir.

Habitudes d’un bébé de 6 mois

Généralement, les bébés de 6 mois n’ont pas encore la notion de la peur. Ils ne ressentent pas l’envie d’être accompagné par autre chose. Ils n’ont besoin que de la présence pour leur mère. À quoi bon sert une veilleuse dans ce cas ? Les nourrissons trouvent le sommeil facilement par rapport aux enfants de 2 ans. Ces derniers commencent à développer leur imagination. Tout ce qui préoccupe un bébé de 6 mois, c’est de manger et de dormir car ils sont encore petit en taille et en poids. Le fait d’utiliser des veilleuses peut mener les bébés à confondre le jour et la nuit. Ce qui peut créer un « risque de confusion temporelle » chez eux. A 6 mois, le sommeil fait encore partie des grandes habitudes des bébés. Ils dorment lorsque leurs parents ont satisfait leurs besoins. S’ils veulent se replonger dans un sommeil après s’être réveillés, ils dorment encore.

Nos conseils

Une veilleuse qui change de couleur est un modèle de lampe assez original. Mais, en la plaçant à côté du bébé, malgré sa faible intensité qui est la caractéristique commune de toutes les petites lampes, elle peut gêner le bébé. Il est possible que cela perturbe le sommeil du bébé. Évidemment, le but de la création de la veilleuse est d’offrir aux bébés les meilleures conditions afin qu’ils dorment confortablement dans leurs lits. Mais il est préférable qu’ils dorment dans le noir à cette tranche d’âge. L’idéal est qu’ils ne perçoivent aucune lumière, car le changement de couleur de la veilleuse peut nuire à leurs yeux. Dans ces conditions, le bébé peut dormir tranquillement. L’installation d’une veilleuse dans la chambre d’un bébé n’est d’aucune utilité. Il ne ressent ni de la peur ni de la frayeur. Acheter une veilleuse dans ce cas, n’est juste qu’une dépense d’argent inutile.

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Kasachstans autoritäre Partizipationspolitik

SWP - ven, 23/08/2019 - 00:00

∎ In Kasachstan fordern Teile einer neuartigen Protestbewegung die Demo­kratisierung des Landes. Dazu ist die Regierung nicht bereit. Be­antwortet hat sie die Proteste vielmehr mit einer Kombination aus Repres­sion und Dialogangeboten.

∎ Die Regierung Kasachstans setzt damit auf eine Fortsetzung ihrer autori­tären Partizipationspolitik. Deren Ziel ist es, gesellschaftliche Partizipa­tion an politischen Prozessen und öffentlichen Diskursen zu steuern, sie für eigene Zwecke zu nutzen und so die autoritäre Herrschaft zu sichern.

∎ Von der EU wird die administrierte Partizipation in Kasachstan gefördert. Dies ist ein ambivalentes Unterfangen. Einerseits kann diese Form der Partizipation den Dialog zwischen Regime und Bevölkerung verbessern und dazu beitragen, reale Probleme zu lösen. Andererseits stärkt sie den Autoritarismus.

∎ Trotz dieser Ambivalenz ist eine Förderung weiterhin sinnvoll. Allerdings sollten nur solche Formate unterstützt werden, die kollektive – und nicht individuelle – Partizipation vorsehen.

∎ Die EU und ihre Mitgliedstaaten sollten Menschenrechtsverletzungen in Kasachstan auch künftig kritisieren und den Dialog mit dessen Regierung über institutionelle Reformen fortsetzen.

Japan-South Korea Relations – A Downward Spiral

SWP - jeu, 22/08/2019 - 00:00

The latest dispute between Japan and South Korea over compensation for former Korean forced labourers appears to be following a familiar pattern. Historical spats between two most important democracies in Northeast Asia – especially over the phase of Japanese colonial rule – are nothing new. But the tensions run deeper this time, and mutual mistrust has hit unseen heights. Japanese frustration has grown markedly, with Tokyo feeling duped by Seoul. While there have always been tussles over diverging interpretations of history, current domestic and regional developments are an exacerbating factor. Now leaders in both capitals are publicly questioning whether the other side still shares similar core values and strategic goals. The growing rift could easily affect the regional balance of power, weakening America’s position as ally of both Japan and South Korea.

A Matter of Credibility

SWP - mer, 21/08/2019 - 00:00

US President Donald Trump has cast doubt on his country’s security commitments within NATO by his “America First” programme and his verbal attacks on the Alliance. This affects both conventional reassurance, i.e. pledges to allies backed by non-nuclear military means, and nuclear reassurance.

Beyond the “Trump factor”, the costs and risks associated with these security commitments have increased from Washington’s perspective. The reasons are the expansion of the Alliance territory through its eastern enlargement, the modernisation of the Russian military, and the end of the US’s undisputed military supremacy. Nevertheless, during the Trump administration, the US has not reduced but increased its financial and military contributions to the reassurance of its allies.

Uncertainties about the US’s role in NATO have led to deepening rifts in Europe. On one side are the European allies that are striving for a higher degree of “strategic autonomy” from Washington, and on the other those who want to lean even more on the US as a protecting power. From the perspective of many eastern NATO states, American security promises are more credible than potential European alternatives, even during the Trump administration.

The credibility of American security commitments is a multifaceted issue that cannot be reduced to statements by the US President. European NATO states consider and weight the underlying factors differently. Political decision-makers, not least in Germany, must be alert to these differences for the sake of political cohesion in the EU and NATO.

Cyber Deterrence is Overrated

SWP - mer, 21/08/2019 - 00:00

Proponents of active, offensive cyber operations argue that they could have a deter­rent effect on potential cyber attackers. The latter would think twice about attacking if a digital counter-attack might be the consequence. The idea that offensive cyber capabilities should have a deterrent effect was one reason why the new US cyber doctrine was adopted in 2018. The same assumption is implicit in the debate about cyber counterattacks (“hack backs”) in Germany. Yet these assessments are based on a superficial understanding of deterrence. Cyber deterrence by the threat of retaliation works differently than that of nuclear deterrence. Problems of attribution, displays of power, controllability and the credibility of digital capabilities increase the risk of deterrence failure. Thus, the German cyber security policy would be well advised to increase its “deterrence by denial”, cyber security and the resilience of its systems.

Russlands Streitkräfte – Entwicklungen und Zielsetzungen

SWP - lun, 19/08/2019 - 00:00
Eine Analyse vor dem Hintergrund der strategischen Kultur Russlands

Guide d’achat d’un plaid en 2019

RMES - sam, 17/08/2019 - 09:40

Vous avez envie de vous procurer un bon plaid cette année ? En plus, vous voulez qu’il soit meilleur en termes de rapport qualité/prix ? Pour ce faire, vous devez suivre quelques instructions pour ne pas vous retrouver avec un plaid qui ne vous enchantera pas.

Voici donc pour vous un petit guide d’achat pour vous permettre de faire un bon choix.

Choisir votre plaid en fonction de sa matière

Le premier objectif visé en choisissant d’acheter un plaid, c’est de trouver ce qui est bien. Trouver un bon plaid passe aussi par le type de matière avec lequel il est réalisé. Il faut savoir que tous les plaids ne sont pas conçus avec les mêmes matériaux et donc, ils ont chacun leurs spécificités.

C’est le cas par exemple du plaid en laine de cachemire ou en fausse fourrure qui ne peut pas être utilisé en plein été sous le soleil. Dans ces cas, vous pouvez vous rabattre sur les plaids conçus avec des matières assez légères et bien douces comme le lin ou le coton. Vous pouvez aussi vous rabattre sur les matières d’origine végétale ou animale ou même naturelle.

Vous pouvez aussi vous servir d’un plaid conçu en matière esthétique comme ceux en tissus polaires, en microfibres, en polyester ou en velours. L’avantage de vous procurer ce type de plaid est son prix. Ils coûtent beaucoup moins cher que les autres types de plaids.

Choisir votre plaid en fonction de sa taille

Le plaid se décline sur plusieurs tailles. Le choix de votre plaid en fonction de sa taille va beaucoup plus dépendre de ce que vous comptez en faire. Si vous avez l’intention de vous procurer un plaid qui pourrait vous être utile en cas de fraîcheur pendant l’hiver ou autre, vous devez choisir un plaid de grande taille.

Un modèle de 80 cm de long sur 250 cm de large pourrait vous être utile par exemple. Un plaid assez large vous couvrira de la tête jusqu’aux pieds sans que ces derniers dépassent. Si par contre vous avez l’intention de vous procurer un plaid pour en faire un look personnel, choisissez la taille qui vous va le mieux.

Toutefois, un plaid de taille moyenne pourrait aller sur un sofa ou un canapé ou tout simplement à vous couvrir et en faire un petit cocon ou une petite sieste.

Choisir votre plaid en fonction du design

Le design du plaid que vous allez choisir est aussi un atout majeur. En effet, le plaid est devenu actuellement un accessoire de mode et qui est aussi très tendance. Vous devez donc choisir votre plaid en fonction de sa couleur, des nuances de teintes également.

Tout ceci doit se faire en fonction de l’utilisation que vous comptez en faire. Si c’est pour relooker votre intérieur, vous devez tenir compte de la couleur des murs, de tout ce qui entoure le canapé ou le sofa. Une couleur trop en déphasage pourrait ne pas donner un style glamour.

Si par contre vous comptez en faire un accessoire de mode, pourquoi ne pas choisir les motifs selon vos propres goûts ?

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