Vous êtes ici

Diplomacy & Defense Think Tank News

RDV le 14 juin 2015 de 9h à 13h : suivez en direct notre événement « Valeurs d’islam, république et citoyenneté »

Fondapol / Général - ven, 12/06/2015 - 13:34

La Fondation pour l’innovation politique vous invite à suivre la matinée exceptionnelle de débats qu'elle organise le dimanche 14 juin, de 9h à 13h, autour du thème : « Valeurs d’islam, république et citoyenneté ».

Cet article RDV le 14 juin 2015 de 9h à 13h : suivez en direct notre événement « Valeurs d’islam, république et citoyenneté » est apparu en premier sur Fondapol.

Raketenabwehrsystem Meads: »Hier geht es tatsächlich eher um Industriepolitik«

SWP - jeu, 11/06/2015 - 14:07
Die Anschaffung des Luftabwehrsystems Meads sei letztlich eine rüstungs- und industriepolitische...

Elecciones israelíes 2015: la realidad inexistente de “la derecha frente a la izquierda”

Real Instituto Elcano - jeu, 11/06/2015 - 13:18
ARI 28/2015 - 11/6/2015
Lev Luis Grinberg
En el clima político actual israelí, en lugar de una brecha ideológica entre “derecha” e “izquierda”, las principales divisiones ideológicas existentes hoy se producen entre dos tipos de partidos que están dispuestos a participar en cualquier coalición, ya sea con el Likud, con los laboristas o con ambos.

Ukraine, Moyen-Orient : quel est le point de vue du Royaume-Uni sur ces dossiers ?

IRIS - jeu, 11/06/2015 - 11:09

Entretien avec Sir Peter Ricketts, Ambassadeur du Royaume-Uni en France :
– Quelle est la position du Royaume-Uni vis-à-vis de la Russie sur le dossier ukrainien ? Comment le Royaume-Uni envisage-t-il l’évolution des sanctions à l’encontre de Moscou ?
– Nombreux sont ceux qui parlent de la disparition du Royaume-Uni de la scène diplomatique européenne. Cela vous semble-t-il justifié par certains aspects ? Le Royaume-Uni peut-il être influent, tout en étant en retrait de la scène européenne, sur le dossier ukrainien ?
– Comment les partenaires européens peuvent-ils œuvrer ensemble pour résoudre la crise au Moyen Orient?

Die neue Europäische Sicherheitsstrategie – der transatlantische Faktor

SWP - jeu, 11/06/2015 - 11:09

Die zahlreichen neuen außen- und sicherheitspolitischen Herausforderungen haben frühere strategische Überlegungen innerhalb der Europäischen Union zum Teil obsolet gemacht. Angesichts dessen hat die Hohe Vertreterin der EU für Außen- und Sicherheitspolitik, Federica Mogherini, ihren Willen bekundet, eine neue Europäische Sicherheitsstrategie (ESS) auszuarbeiten. Dies soll in zwei Schritten erfolgen. Zunächst wird angestrebt, nach einer Analysephase einen Bericht über die veränderte strategische Ausgangslage der EU als außen- und sicherheitspolitischer Akteur zu präsentieren, und zwar im Juni 2015 beim Gipfel der Staats- und Regierungschefinnen und -chefs in Brüssel. In der zweiten Etappe des Revisionsprozesses der ESS soll eine europaweite, inklusiv angelegte Debatte über die außen- und sicherheitspolitische Rolle der EU geführt werden. Die Ergebnisse der Diskussion sollen in eine neue Europäische Sicherheitsstrategie einfließen, die im Jahr 2016 vorgelegt werden könnte. Für die Mitgliedstaaten der EU stellt sich heute die Frage nach dem angemessenen außenpolitischen Gestaltungsanspruch Europas in der Welt und dabei insbesondere dem Verhältnis zu den USA.

Unter neuen Vorzeichen

SWP - jeu, 11/06/2015 - 11:03
Franca Diechtl,

La Tripartite Free Trade Area : un projet d’intégration régionale pour mettre fin à la fragmentation commerciale en Afrique

IRIS - jeu, 11/06/2015 - 10:57

Vingt-six pays africains ont signé le 10 juin 2015, un accord de libre-échange qui intéresse 620 millions d’habitants du Caire au Cap. Quelle est la portée de cet accord « Tripartite » ?
La Tripartite Free Trade Area (TFTA) englobera les pays membres de trois organisations régionales déjà existantes : le Marché commun d’Afrique orientale et australe (Comesa), la Communauté de développement d’Afrique australe (SADC) et la Communauté d’Afrique de l’Est (EAC). L’objectif est de supprimer les barrières douanières et non tarifaires. L’approche régionale est donc privilégiée comme partout dans le monde, confirmant ainsi l’échec de la démarche globale préconisée par l’Organisation mondiale du commerce (OMC) depuis quinze ans.
L’accord intéresse un ensemble qui regroupe plus de 600 millions d’habitants et plus de 1 000 milliards de dollars de PIB, associant près de la moitié des pays africains. On y retrouve des économies qui par leur taille et leur potentiel peuvent jouer un rôle dynamique dans l’intégration économique, avec au Nord, l’Égypte, à l’Est, le Kenya, et au Sud, l’Afrique du Sud. Sans oublier des économies qui affichent des taux de croissance très élevés comme l’Angola, l’Éthiopie et le Mozambique, et qui attirent d’importants investissements étrangers. Seul manque au tableau le Nigeria, premier PIB d’Afrique mais qui appartient à l’espace occidental.

Les membres de la Tripartite

Qu’attendre de cet accord ?
L’objectif est de mettre fin à la fragmentation commerciale. L’idée de base qui sous-tend ce type de projet d’intégration est qu’un marché régional où la circulation des marchandises est ouverte et protégée vis-à-vis de l’extérieur par un tarif unifié est bénéfique pour tous. Sous réserve cependant qu’il y ait, au sein de l’espace concerné, concurrence, économies d’échelle et création de trafic.
L’idée n’est pas neuve en Afrique. L’intégration commerciale est inscrite à l’agenda des pays africains depuis les indépendances des années 1960. Avec jusqu’à présent des résultats modestes. Seulement 12 % environ des échanges commerciaux en Afrique ont lieu entre pays du continent, contre 55 % en Asie et 70 % en Europe. Les instruments de l’intégration ne manquent pourtant pas et l’on peut penser que si les textes étaient effectivement appliqués, certaines sous-régions constitueraient déjà de vraies zones de libre-échange. La Communauté d’Afrique de l’Est (EAC) constitue le seul exemple véritablement significatif de renforcement des échanges. Au cours de la période 2005-2015, la baisse des droits de douane en son sein a dynamisé le commerce régional et a permis aux cinq pays membres d’accélérer leur croissance. Les exportations entre le Burundi, le Kenya, l’Ouganda, le Rwanda et la Tanzanie ont triplé pour représenter 23% de leurs échanges. L’union monétaire est promise pour 2017. De son côté, du fait de sa souplesse, la SADC devrait être la plus performante des organisations régionales, avec ses douze membres ayant aboli des droits internes et s’étant engagés vers une Union douanière.
Les obstacles non tarifaires internes aux échanges restent partout nombreux : contingents, permis divers, règles d’origine, normes sanitaires et phytosanitaires, refus des conditions préférentielles. L’équivalent tarifaire de ces obstacles s’établit en moyenne à 40 %, soit un taux qui, pour la plupart des produits, est beaucoup plus élevé que les tarifs appliqués par la plupart des pays du monde. Si la Tripartite a l’ambition de réduire ces pratiques, l’accord ne permettra pas de supprimer ipso facto toutes ces entraves, et pas davantage ce que les économistes appellent pudiquement les « pratiques anormales ». Elle se mesure par exemple par les délais de transport et les coûts de franchissement des frontières.

Quelles seront les prochaines étapes ?
Il faudra attendre plusieurs mois avant que ne se concrétise véritablement la Tripartite. Le calendrier de démantèlement des barrières douanières n’a pas encore été établi et il faudra de longs délais de négociation entre experts. Pour entrer en vigueur, le traité devra être ratifié dans les deux ans par les Parlements des vingt-six pays.
Au-delà, pour engager en profondeur un processus d’intégration régionale rêvé par les pères des Indépendances, la création d’un vaste marché ne suffira pas. Il devra être accompagné par le développement de projets d’infrastructures (transport, énergie notamment) à vocation régionale et par l’adoption et l’application de règles communes allant jusqu’au transfert de souveraineté avec des structures institutionnelles de type fédéral. On en est encore loin.

Auf Rückzahlung der Klimaschulden zu hoffen, ist fahrlässig

SWP - jeu, 11/06/2015 - 10:22
Klimaverhandlungen orientieren sich immer weniger an der Klimawissenschaft und immer mehr an den...

Der IS wird die Landkarte nicht verändern

SWP - jeu, 11/06/2015 - 08:33
Dem Westen fehlen in Syrien aber verlässliche Partner, um die Dschihadisten zu bekämpfen

XI RAN Marruecos-España: tímida renovación del discurso económico

Real Instituto Elcano - jeu, 11/06/2015 - 06:19
Opinión - 11/6/2015
Gonzalo Escribano
La reciente Reunión de Alto Nivel (RAN) hispano-marroquí celebrada en Madrid el pasado 5 de junio podría recordarse como la de una tímida renovación: aunque ha surgido un nuevo discurso que resalta la complementariedad productiva de ambos países, incluso en nuevos sectores, no se han abordado de manera resolutiva todos y cada uno de los problemas económicos bilaterales.

Hintergründe zu den Protesten gegen TTIP: Emotionen statt Argumente

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 11/06/2015 - 00:00
Die von Spekulationen und Ängsten geprägten Anti-TTIP Kampagnen laufen einer ausgewogenen und sachlichen Debatte zuwider. (Bild: Empire St. Pauli)

Klicks gegen TTIP

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 11/06/2015 - 00:00
Das Internet verleiht den kritischen Organisationen enorme Mobilisierungskraft. Im Wettbewerb um Aufmerksamkeit und Unterstützung ist es den Kritikern gelungen, das Potential der Online-Medien auszuschöpfen. Ziel der vorliegenden Studie ist, die deutsche Debatte in den Online-Medien zu analysieren. Daran anknüpfend wird diskutiert, warum die kritischen Kampagnen die öffentliche Meinung in Deutschland prägen.

Emotionen statt Argumente

Konrad Adenauer Stiftung - jeu, 11/06/2015 - 00:00
Die von Spekulationen und Ängsten geprägten Anti-TTIP-Kampagnen laufen einer ausgewogenen und sachlichen Debatte zuwider. Ziel der vorliegenden Studie ist es, den Hintergrund der Protestbewegungen in Deutschland zu beleuchten und ihre Strategien auf den Prüfstand zu stellen.

Libye : les négociations en cours ont-elles une chance d’aboutir ?

IRIS - mer, 10/06/2015 - 16:02

Les représentants des deux Parlements libyens rivaux sont réunis depuis lundi 8 juin à Skhirat au Maroc pour tenter de trouver un accord politique sur la crise libyenne. Quels sont les enjeux de cet accord pour la stabilité de la Libye ? Quels sont les défis auxquels fait face le pays actuellement ?
L’enjeu de cette négociation à Skhirat au Maroc est de parvenir à un accord intérimaire qui permettrait de constituer un gouvernement d’union nationale dont la durée de vie serait d’un an, afin de stabiliser la situation, faire cesser les combats et désarmer les milices. C’est l’objectif absolu et prioritaire de l’émissaire des Nations unies pour la Libye, M. Bernardino Leon. Mardi 9 juin, ce dernier est apparu très optimiste en annonçant que sa proposition avait été bien accueillie par les deux parties, mais dans l’après-midi, des réactions à la fois des dirigeants qui gouvernent à Tripoli et de ceux qui sont à Benghazi, ont affirmé qu’un accord n’était pas encore en vue. Les négociations sont donc toujours en cours avec à l’esprit de tous les belligérants, l’urgence de la situation qui continue à se dégrader sur le terrain avec la poursuite des combats. Par ailleurs, l’implication de la communauté internationale est évidemment due à la crainte de voir l’organisation de l’État islamique (Daech) devenir le principal acteur politique de la Libye, puisque le groupe islamiste ne cesse d’étendre son influence sur le pays. C’est cette urgence absolue qu’il faut parvenir à endiguer.
Les divergences entre les deux gouvernements et les deux parlements sont aujourd’hui particulièrement exacerbées, et les contacts entre les deux camps ont été rompus depuis plusieurs mois déjà. Par conséquent, la négociation qui se déroule à Skhirat a ce double objectif à la fois de permettre la reprise d’un contact entre les différents acteurs mais surtout de parvenir à stopper les combats fratricides sur le terrain pour redonner un peu de stabilité à la Libye. Cela permettrait, par voie de conséquence, de tenter à nouveau de stabiliser la situation sécuritaire sur le flanc sud de la Méditerranée puisque c’est évidemment une des grandes inquiétudes des Européens.

Les représentants des deux parlements vous semblent-ils partager la même optique de résolution du conflit ? Quelles sont les chances d’arriver à un accord ferme et définitif ?
Bien sûr, toutes les parties prétendent être d’accord sur la nécessité de trouver un compromis. Le problème est qu’elles sont toutes deux pour le moment dans un rapport de force qui les empêchent d’aboutir à un accord. Ceux qui, dans les deux camps, ont des positions à préserver ou à défendre veulent les maintenir en l’état. Si l’on veut parvenir à un accord, il faudra pourtant que chaque camp fasse des concessions. Selon moi, cela va être assez compliqué mais possible, à condition que la communauté internationale maintienne la pression sur les différents acteurs de cette crise. Ajoutons qu’une pression régionale est également à l’œuvre aujourd’hui puisque l’Algérie, l’Egypte et l’Italie ont signé dimanche au Caire une déclaration commune pour qu’un compromis politique voit le jour et que les combats cessent. Cela étant, on est pour le moment loin du compte. Les discussions ont été engagées depuis plusieurs mois maintenant, ce qui est déjà très important. Il faut donc poursuivre les efforts qui ont été entamés en 2014 sous les auspices du Maroc, qui joue un rôle central dans ce dossier.

Alors que M. Bernardino Leon, émissaire des Nations unies pour la Libye, tente de faire pression sur les deux camps via les dispositifs onusiens, la communauté internationale semble divisée quant à la manière de gérer ce conflit. Quid du jeu de la communauté internationale sur celui-ci ?
La situation est un peu compliquée car beaucoup de partenaires de l’Union européenne (UE) considèrent que la France est en grande partie responsable de cette crise dans la mesure où elle a participé en 2011 à l’intervention en Libye avec la Grande-Bretagne, provoquant la chute de Mouammar Kadhafi et par voie de conséquence, l’instabilité chronique dans laquelle vit le pays depuis presque quatre ans. Un certain nombre de pays de l’UE ou de pays arabes – parfois même les deux – considèrent que c’est à la France de travailler à une stabilisation de la situation. Aujourd’hui, des débats ont lieu entre la nécessité de mettre l’accent sur la diplomatie ou bien d’envisager une nouvelle intervention militaire. Pour le moment, l’option militaire semble écartée, mais il n’est pas à exclure qu’elle puisse être un recours à un moment ou à un autre. Ce serait selon moi une aberration puisqu’à l’heure actuelle, on ne sait même pas contre qui il faudrait se battre. Par ailleurs, cela supposerait évidemment l’envoi de troupes au sol, ce qui a des conséquences sur le plan politique, et notamment sur les opinions publiques françaises. Parallèlement, le développement de Daech sur le territoire libyen fait régner une grande inquiétude sur les vieilles démocraties européennes. L’arrivée massive de dizaines de milliers de migrants venant d’Afghanistan, de la Corne de l’Afrique, du Soudan, d’Egypte, du Mali ou du Sahel risque de provoquer des tensions dans ces démocraties européennes qui pourraient également connaitre une sorte d’instabilité.
La situation est donc compliquée, à la fois sur le plan diplomatique, mais aussi sur le plan politique et sur le plan sécuritaire. Nous sommes aujourd’hui dans une situation où il s’agit de ne gérer que des urgences. La question est aujourd’hui de savoir si l’on parviendra à un accord diplomatique entre les différents acteurs de la crise pour tenter de résoudre plus facilement et plus durablement les deux autres aspects de ce conflit qui sont politique et sécuritaire, c’est-à-dire respectivement l’instabilité institutionnelle et la lutte contre Daech. Il faut absolument qu’avant de rejoindre Berlin pour la tenue d’une réunion internationale, M. Bernardino Leon parvienne à arracher un accord, au moins a minima.

Dialogue parlementaire trilatéral France-Allemagne-Pologne

Institut Montaigne - mer, 10/06/2015 - 15:53
Date: Lundi 22 Juin 2015Description: L’Institut Montaigne, la Fondation Genshagen, le Deutsches Polen-Institut et l’Institute of Public Affairs de Varsovie organisent ensemble une journée d’échanges entre parlementaires de nos trois pays.La résolution du conflit en Ukraine, les perspectives d’évolution des relations entre l’Union européenne et la Russie, ainsi que les moyens de garantir la paix en Europe constitueront les axes structurants de ces discussions.Celles-ci réuniront au cours de quatre séances de travail une quinzaine de parlementaires français, allemands et polonais, ainsi que plusieurs spécialistes de ces enjeux : Anne de Tinguy, directrice du Master Relations internationales de l’INALCO, Sławomir Dębski, directeur du Centre russo-polonais pour le dialogue et la compréhension mutuelle, Hans-Joachim Spanger, directeur du département de recherche du Peace Research Institute de Francfort, et Christian Lequesne, professeur de science politique à Sciences Po Paris.Sous le haut patronage de Jean-Pierre Leleux,président du groupe d’amitié France-Pologne au SénatPROGRAMME9H00   > 11H00      Atelier 1 : Analyse du « poutinisme » 11H15 > 13H00      Atelier 2 : Le conflit russo-ukrainien, « Russkiy Mir » et européanisation  14H45 > 16H15      Atelier 3 : Une solution occidentale est-elle possible ? Résultats du sommet de Riga et sanctions16H30 > 18H00      Atelier 4 : France, Allemagne, Pologne : quelles stratégies et quelles actions ?18H00 > 18H30      Conclusion des échanges

Pages