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Diplomacy & Defense Think Tank News

Zwischen Notwendigkeit und Ambivalenz: Die georgisch-russischen Beziehungen

Konrad Adenauer Stiftung - mer, 12/08/2015 - 00:00
Der Ton zwischen Moskau und Tiflis hat sich entschärft. Einer grundsätzlichen Verbesserung der georgisch-russischen Beziehungen sind jedoch Grenzen gesetzt.

Dr Thanos Dokos writes in Kathimerini on the need for Greece to strengthen its position at the EU level, 12/08/2015

ELIAMEP - mar, 11/08/2015 - 23:48

You can read here the article on the need for Greece to strengthen its position at the EU level, which was written by Director General of ELIAMEP Dr Thanos Dokos. This commentary was published in the Greek daily Kathimerini on 12 August  2015.

Die letzten Henker Asiens

SWP - mar, 11/08/2015 - 16:31

Das Verbot der Todesstrafe gehört zum Kern des europäischen Verständnisses von Menschenrechten und ist eine der Prioritäten auswärtiger Menschenrechtspolitik. Seit mehreren Jahrzehnten weist der globale Trend in Richtung universelle Abschaffung der Todesstrafe. In Asien bleibt sie allerdings weitverbreitet und in letzter Zeit sind die asiatischen Demokratien Indien, Indonesien, Pakistan und Taiwan wieder dazu übergegangen, Menschen hinzurichten. Fördern ließe sich die Abschaffung durch Unterstützung lokaler zivilgesellschaftlicher und politischer Akteure, die sich gegen die Todesstrafe engagieren, sowie durch Seminare mit Richtern und Staatsanwälten über das Thema. Ein Schwerpunkt der Menschenrechtspolitik sollte auf Indien, Südkorea und Taiwan liegen, da dort die Chancen für eine Abschaffung am besten sind.

Chinas Debatte über Nordkorea

SWP - mar, 11/08/2015 - 15:52

Der nordkoreanische Machthaber Kim Jong-un hat seine Teilnahme an der chinesischen Gedenkfeier zum 70. Jahrestag des Sieges im Zweiten Weltkrieg im September 2015 abgesagt. Da er schon seine Reise zu den Moskauer Festlichkeiten im Mai nicht angetreten hatte, lässt das erste Treffen mit Chinas Präsident Xi Jinping weiter auf sich warten, und das, obwohl dieser schon zwei Jahre im Amt ist. Offenbar haben die chinesisch-nordkoreanischen Beziehungen, die sich seit dem dritten Nukleartest vom 12. Februar 2013 kontinuierlich verschlechterten, einen historischen Tiefpunkt erreicht. Irritiert sind viele chinesische Beobachter zudem von den brutalen innenpolitischen Säuberungen in Nordkorea. So wurde im Dezember 2013 der langjährige China-Verbindungsmann Jang Song-thaek binnen drei Tagen seines Amtes enthoben und zum Tode verurteilt. Verteidigungsminister Hyon Yong-chol wurde im April 2015 abgesetzt und hingerichtet – ein Schicksal, das auch zahlreiche andere Vertreter der nordkoreanischen Führungselite ereilte. Diese Ereignisse wurden vom chinesischen Außenministerium eher vorsichtig als »innenpolitische Angelegenheiten Nordkoreas« bezeichnet oder oftmals – selbst bei direkter Nachfrage – nicht weiter kommentiert. Chinesische Wissenschaftler hingegen äußern in Fachzeitschriften zurückhaltende Kritik an Chinas Nordkoreapolitik. Der Blick in diese Medien macht deutlich, dass viele Experten eine härtere Linie in der chinesischen Außenpolitik gegenüber Nordkorea befürworten.

Austausch mit Flüchtlingen : Interkulturelles Demokratie-Frühstück

Konrad Adenauer Stiftung - mar, 11/08/2015 - 00:00
Die Bremer Hochschulgruppe der Konrad-Adenauer-Stiftung lud zusammen mit dem Politischen Bildungsforum Flüchtlinge zur interkulturellen Begegnung ein.

Eine vorläufige Bilanz: Das außenpolitische Erbe Barack Obamas

Konrad Adenauer Stiftung - mar, 11/08/2015 - 00:00
Mit seiner Außenpolitik der "Strategischen Geduld" und des "Leading from Behind" schien Obama einen Kurswechsel zu vollziehen, doch es bleiben Fragen offen.

Tunisian President Meets with IPI Director Nejib Friji

European Peace Institute / News - lun, 10/08/2015 - 20:25

Last week in Tunisia, President Beji Caid Essebsi received Nejib Friji, Director of IPI’s MENA office. The president reiterated his nation’s commitment to peace and pledged support to IPI’s effort in this regard. Mr. Friji delivered President Essebsi a message from IPI President Terje Rød Larsen calling for an international stand against violent extremism.

Les abysses : un enjeu géopolitique ?

IRIS - lun, 10/08/2015 - 14:00

Cyrille P. Coutansais est directeur de recherches au Centre d’études stratégiques de la Marine. Il répond à nos questions à l’occasion de la parution de « Abysses » la publication du Centre d’études stratégiques de la Marine (Études marines, N°8 – Juin 2015) :
– Existe-t-il une compétition entre les États pour la conquête des abysses, à l’image de la course à l’espace que l’on a connu entre l’URSS et les États-Unis ?
– Quels sont les enjeux à venir des abysses et la place de la France ?
– Quid de la législation internationale pour encadrer l’exploitation des fonds marins, notamment en vue de leur préservation ? Existe-t-il une gestion collective de ce patrimoine commun de l’humanité ?

L’Espagne en crise iconoclaste, de Catalogne en Galice

IRIS - lun, 10/08/2015 - 11:00

Le 27 septembre 2015 les électeurs de Catalogne espagnole renouvellent leur parlement. Cette consultation n’a rien d’ordinaire. D’abord parce qu’elle a été anticipée. Et ensuite et surtout parce que la rupture du calendrier, voulue par Artur Mas, président de la Généralité (nom officiel de la « Région » autonome) a dramatisé le vote. Choisir la liste qu’il soutient, lui donner une majorité, sanctionnerait selon son propos la pose de la première pierre de l’indépendance catalane.

Parallèlement d’autres Espagnols, qui peuvent d’ailleurs être aussi catalans, ont symboliquement renoué avec le passé républicain de l’Espagne. Les nouvelles équipes de gauche alternative issues des dernières élections municipales ont dès leur accession aux responsabilités, marqué symboliquement leur rupture avec les compromis dynastiques de la transition démocratique des années 1976-1978. La monarchie parlementaire clef de voûte du « cambio » construit ces années-là est contestée de Barcelone à Vigo en passant par Madrid.

Ces deux contestations n’ont pas été concertées. Même si on peut trouver des ponts entre indépendantisme catalan et républicanisme. L’un des acteurs indépendantistes, la gauche républicaine catalane (ERC), revendique depuis longtemps sa double vocation. Mais de façon générale Podemos, les plates-formes de gauche alternative, et les indépendantistes catalans, se définissent et agissent en parallèle. Chacun agit en cohérence avec son idéologie particulière, indifférente à d’autres logiques.

Il n’y a pas donc d’effet de pince potentiellement porteur de rupture. Pourtant les uns, les indépendantistes, et les autres, les alternatifs, bousculent les compromis difficilement construits après la mort du dictateur Francisco Franco Bahamonde. Comme tout compromis celui de la Constitution de 1978 répondait à l’exercice du genre. Il donnait partiellement satisfaction aux uns et aux autres. Aux uns, les cadres de la dictature, oubli et impunité étaient assurés. Ils ont pu se présenter aux élections, devenir députés, sénateurs et pour certains ministres. La monarchie et l’unité nationale, référents idéologiques de la dictature, étaient inscrites dans le marbre de la loi fondamentale. Les autres, l’opposition démocratique clandestine, étaient également et paradoxalement amnistiés. Leurs partis ont été reconnus, communiste, socialistes, comme nationalistes basques et catalans. Un système fédéral inavoué leur avait été avec la démocratie parlementaire concédé.

Le compromis, de circonstance, a bon an mal an tenu jusqu’en 2008. D’autant plus que ses contestataires les plus virulents, l’organisation ETA, en refusaient les termes par la voie des armes. La perpétuation d’un terrorisme rejeté par les majorités, y compris au Pays basque et en Catalogne, garantissait la pérennité de cette cote mal taillée en 1978. L’ETA a suspendu ses activités en 2011. Les Espagnols ont été brutalement privés des retombées sociales et financières de la transition par la crise de 2008. Le chômage est passé de 8 à 25%. Salaires, Etat de bienfaisance, ont été parallèlement révisés à la baisse.

Le ras le bol lisible dans les chiffres active un retour de neurones. Côté balcon, le gouvernement s’efforce de parer au coup de vent. Il se félicite de la productivité retrouvée. La croissance est effectivement de retour. L’emploi a timidement repris. Mais côté jardin, la population en risque de pauvreté est passée de 26 à 29% de 2010 à 2014. Le chômage qui était de 24% est aujourd’hui à 22%. Et ceux qui ont du travail ont un salaire nettement inférieur aujourd’hui à celui qu’ils percevaient en 2008. La perte de pouvoir d’achat serait selon des chercheurs de la Fondation Fedea, de 8% en nominal et de 17% en intégrant l’inflation. Rien d’étonnant donc que les Espagnols, si l’on en croit l’institut Eurostat, ne soient pas en 2015 contents de leur sort. Ils sont en 18e place européenne, en dessous de la moyenne, dans l’échelle de satisfaction mesurée par les enquêteurs de Bruxelles.

Les trous dans la ceinture, l’éloignement du terrorisme, ont éveillé la mémoire. Les nationalistes catalans ont jugé que le moment était propice pour faire avancer leurs ambitions. Le discours, tenu par Artur Mas, président de l’exécutif et leader du parti Convergence, est simple, simpliste disent certains observateurs, il est vrai non catalans pour la plupart. La crise vient de Madrid. La Catalogne paye trop au pouvoir central. Alors qu’elle reçoit moins que ce qu’elle donne. Cet argent pourrait être utilement mobilisé pour aider les Catalans à s’en sortir. Mieux dit-il, les Catalans pourraient bénéficier d’un mode de vie à la suédoise.

Les équipes alternatives, à Barcelone, Madrid et Valence, ont ranimé un autre récit. Elles font leurs comptes et entendent présenter une facture globale sociale et politique aux autorités en place. La gauche de la clandestinité était républicaine. Elle a accepté en 1978, la monarchie, l’impunité des crimes commis par la dictature, pour obtenir le droit d’exister au grand jour, au bénéfice du mieux vivre des Espagnols les plus pauvres. La monarchie, le Roi Juan Carlos, sa famille, ont ces dernières années été à la Une des faits divers. Alors que la majorité des Espagnols mangeait de la soupe à la grimace. Les partis héritiers de la transition font le dos rond. Les élections générales approchent. La tentation de réviser les compromis d’hier est de plus en plus forte. Les alternatifs ont dépoussiéré le drapeau de la République. La perpétuation de la monarchie est sur la table.

Le mal vivre prolongé chambarde les esprits. D’autant plus que la transition démocratique, ses équilibres délicats, sont bien loin. Ses artisans sont pratiquement tous hors-jeu, de droite à gauche. Les nouvelles générations ne sont tenues par rien d’autre que des institutions bâties sur le sable de l’oubli. Les contestataires de la crise ont toute latitude dans un tel contexte, de remettre les équilibres institutionnels en question. Le désordre des interpellations sociales, nationales et politiques laisse paradoxalement une marge de flottaison aux partis de la transition démocratique, le PSOE et le Parti populaire. Les indépendantistes catalans butent sur la primauté donnée au social par les alternatifs. Podemos est débordé par la diversité foisonnante de ses soutiens.

Seule finalement la monarchie pourrait être la victime expiatoire et commode des impasses actuelles. Le 23 juillet 201,5 le buste de Juan Carlos Ier, a été retiré de la salle de délibération du conseil municipal de Barcelone. Le lendemai,n la mairie de Saragosse, en Aragon, débaptisait un bâtiment, jusque-là portant le nom du souverain actuel Philippe VI. Cadix, en Andalousie, a suivi le mouvement. Son maire a retiré le portrait officiel du Roi placé sur l’un des murs de son bureau. D’autres municipalités, en Galice notamment, s’apprêtent à suivre ce geste iconoclaste. Le ras-le-bol a manifestement trouvé là une soupape d’évacuation d’effet immédiat, spectaculaire et symboliquement forte. La course de taureaux qui présente les mêmes avantages, pourrait accompagner la famille royale.

Les hibakusha, passeurs de mémoire nucléaire

IRIS - sam, 08/08/2015 - 18:00

Chaque année, les 6 et 9 août, les villes de Hiroshima et de Nagasaki s’accaparent ces lignes publiées par Albert Camus dans Combat le 8 août 1945, soit entre les deux explosions nucléaires : « Devant les perspectives terrifiantes qui s’ouvrent à l’humanité, nous apercevons encore mieux que la paix est le seul combat qui vaille d’être mené. Ce n’est plus une prière, mais un ordre qui doit monter des peuples vers les gouvernements, l’ordre de choisir définitivement entre l’enfer et la raison ». Les deux dernières phrases de ce texte resté célèbre – le premier qui s’interrogeait sur le sens à donner à la bombe atomique – ne sauraient mieux résumer la mission qui échoit désormais aux deux cités et aux témoins de leur destruction. Ceux que la bombe a épargnés, les hibakusha. Le terme japonais hibakusha, qui signifie littéralement « personnes affectées par une explosion » désigne en effet plus communément les survivants des explosions nucléaires de Hiroshima et Nagasaki. Tandis qu’on commémore le soixante-dixième anniversaire de la destruction de leurs villes, les voix désormais tremblantes des hibakusha ont plus que jamais une résonnance particulière, au service d’une mémoire nucléaire qu’il convient d’entretenir au-delà de leurs témoignages.

On relève plusieurs catégories d’hibakusha, certains étant des témoins « directs » des explosions nucléaires, qu’ils en aient ou non subi les effets, et d’autres étant des victimes « indirectes », le plus souvent nés de parents exposés aux radiations dégagées par les bombes atomiques. De manière plus précise, on dénombre même quatre catégories différentes : les personnes présentes dans un rayon de quelques kilomètres au moment des explosions de Hiroshima et de Nagasaki ; les personnes se trouvant dans un rayon de deux kilomètres de l’épicentre dans les deux semaines suivant les explosions ; les personnes exposées aux radiations ; et les bébés se trouvant dans le ventre de leur mère, celle-ci appartenant à une des autres catégories. On remarque bien ici que si la première catégorie concerne des victimes « directes », les trois autres sont plus difficiles à déterminer et à évaluer. Elles concernent également un nombre beaucoup plus important de personnes, dont les séquelles physiques, psychologiques ou sociales justifient le statut d’hibakusha. C’est ce qui explique le nombre important d’hibakusha, comptabilisé encore de nos jours à près de 190 000 personnes dans l’archipel. Dans les faits, le gouvernement japonais continue de reconnaître de nouveaux hibakusha, sur la base de documents permettant de valider ce statut.

La liste complète des hibakusha est répertoriée à Hiroshima et Nagasaki, et leur total depuis 1945 en incluant les morts et les vivants est d’environ 450 000 personnes, dont environ 65% à Hiroshima et 35% à Nagasaki. Contrairement aux idées reçues, qui se traduisirent malheureusement trop souvent par des discriminations et des exclusions, les hibakusha ne furent pas nécessairement irradiés, l’appellation regroupant comme nous l’avons vu des catégories plus larges. Ils se rejoignent cependant sur la force de leurs témoignages portant sur l’utilisation de la bombe atomique, et leur rôle de passeurs de mémoire face au droit à l’oubli.

En plus d’être les témoins de la bombe, les hibakusha racontent également les années difficiles qui suivirent les explosions nucléaires, le deuil des morts, la reconstruction de quartiers réduits à néant ou encore la difficile réinsertion sociale, évoqués précédemment, et leurs récits sont ainsi à certains égards la face cachée du miracle japonais. Leur message est paradoxalement celui de l’espoir, et de la nécessité d’éliminer les armes nucléaires. Mais les décennies passent et les hibakusha sont vieillisants, quand ils ne sont pas disparus. Et demain ? Combien seront-ils quand Hiroshima et Nagasaki célébreront le quatre-vingtième anniversaire de leur destruction ? Et quand partira le dernier hibakusha, comme est parti le dernier poilu de la Première guerre mondiale ? Derrière ces questions, c’est l’héritage dans la longue durée des témoins du feu nucléaire qui est en jeu. Pour qu’il reste inoubliable, leur témoignage doit désormais être porté par des générations plus jeunes, associant bien sûr le travail des historiens et des responsables des structures consacrées à la mémoire de Hiroshima et Nagasaki, mais aussi des artistes et de la société civile. La tentation nucléaire du Japon marque une rupture, non pas dans le risque de voir ce pays se doter de l’arme suprême, mais en ce qu’elle brise un tabou. Les enjeux du débat ont ainsi progressivement glissé vers des questions plus sécuritaires que morales, face auxquelles les hibakusha sont impuissants, et leur page de plus en plus avancée est leur plus gros handicap. Dans un avenir proche, la question du nucléaire militaire pourrait ainsi se faire, si on n’y prend garde, sans que Hiroshima et Nagasaki ne soient présentés comme autre chose que les vestiges d’un autre temps. La survie du devoir de mémoire au-delà de la disparition des hibakusha : là sera l’un des principaux défis des mouvements antinucléaires et de tous ceux qui souhaitent que leur message soit perpétué.

AIPAC : contes et légendes du lobby pro-Israël aux États-Unis

Centre Thucydide - sam, 08/08/2015 - 14:25

Objet de tous les fantasmes, l'American Israel Public Affairs Commitee, plus connu sous le nom d'AIPAC, est un acteur incontournable des relations américano-israéliennes.

La puissance du lobby repose avant tout sur sa maîtrise exceptionnelle du jeu politique à Washington. Toutefois, sa suprématie est aujourd'hui fragilisée par un raidissement partisan aux États-Unis sur les questions israéliennes et par l'arrivée de nouveaux acteurs, juifs pro-paix et évangéliques pro-Israël, qui bouleversent l'équilibre des pouvoirs jusque-là largement favorable à Israël. En 2006, Stephen Walt et John Mearsheimer, deux professeurs américains de relations internationales réputés, publient, sur le site de l'université d'Harvard, un article (working paper) qui fait immédiatement scandale. Sobrement intitulé « Le Lobby d'Israël et la politique étrangère américaine », l'article dénonce les actions et les méthodes d'un « Lobby », une coalition hétérogène d'individus aux divers attachements religieux et politiques, qui manipulerait Washington en faveur de l'État d'Israël. Les deux professeurs reprochent notamment au « Lobby » d'orienter la politique étrangère des États-Unis dans un sens contraire à l'intérêt national américain et de museler le débat sur les questions israéliennes et moyen-orientales, y compris en recourant à des accusations d'antisémitisme.

Die digitale Selbstbehauptung der EU

SWP - ven, 07/08/2015 - 11:48

Institutionen und Mitgliedstaaten der EU treiben derzeit mit Hochdruck die digitale Integration voran. In Anbetracht der vielfältigen Herausforderungen – vom Schutz kritischer Infrastrukturen über die Wahrung persönlicher Freiheitsrechte bis zur Schaffung grenzübergreifender Märkte – ist die »positive Integration«, also regulative Vorgaben durch die EU, der richtige Weg, um gegen Marktversagen im Binnenmarkt und darüber hinaus anzugehen. Auf EU-Ebene sollen Regulierungen geschaffen werden, die inner- und außereuropäische Wirkung entfalten. Vehikel dazu sind die Strategie für einen digitalen Binnenmarkt (DSM), die Datenschutzgrundverordnung (DSGVO) und die Richtlinie zur Gewährleistung einer gemeinsamen Netzwerk- und Informationssicherheit (NIS). Die digitale Integration ist Voraussetzung dafür, europäische Standards und Normen auch in der internationalen Politik effektiver durchzusetzen.

Nukleare Abrüstung: »Einen Königsweg gibt es nicht«

SWP - jeu, 06/08/2015 - 15:27
Atomwaffen haben als Mittel der Abschreckung den Ost-West-Konflikt »diszipliniert«, meint Oliver...

Dr Thanos Dokos analyses on Carnegie Europe whether more European integration is required

ELIAMEP - jeu, 06/08/2015 - 14:07

The answer is an unequivocal yes. However, the Greek prime minister’s humiliating treatment during recent negotiations in Brussels (admittedly, to an extent the result of his own mistakes and those of previous Greek governments) and the chill caused in several European countries by German Finance Minister Wolfgang Schäuble’s shock and awe strategy opened a wound that will not easily heal. A vindictive Europe that treats a member state as the enemy and forces it to choose between humiliation and suicide is probably not what supporters of European integration bargained for.

Furthermore, the image that Europe projects has not increased respect for the EU among its strategic competitors: European leaders spend endless hours resolving the problems of a member state that represented 1.3 percent of the EU’s GDP in 2014 only to impose recessionary policies that will barely allow Greece to stay alive but will not help the Greek economy recover.

It took repeated warnings from Washington to remind Europeans of the wider geopolitical ramifications of a Greek exit from the eurozone. And it took spirited resistance by France and a few other countries (as well as individual German politicians) to prevent a black page in Europe’s history. All this does not bode well for deeper European integration—whose need is stronger than ever.

Dr Thanos Dokos

This article was published on Carnegie Europe website

Operation „Metamorphose“: Eine neue Polizei für Burkina Faso

Hanns-Seidel-Stiftung - jeu, 06/08/2015 - 10:34
Lazar Tarpaga, der Direktor der Polizei von Burkina Faso, eröffnete im Juni 2015 ein Training für bürgerfreundliche Polizei und sprach davon, dass wir uns angesichts zunehmender Unsicherheit und fehlendem staatsbürgerlichen Bewusstsein täglich neu die Frage gefallen lassen müssen, wie effizient unser Handeln eigentlich sei, und ob unsere Fähigkeiten ausreichten, den Bedrohungen und den Sicherheitsmängeln, denen unsere Bevölkerung ausgesetzt sei, zu begegnen. Dabei müssten wir uns beständig auch selbst fragen, welche Rolle die Polizei in einer Gesellschaft spielen müsse, die sich seit dem Aufstand von 2014 mitten im Umbau befinde.

Handbuch zum Europäischen Parlament

SWP - jeu, 06/08/2015 - 08:18
Doris Dialer,

Deploying Combined Teams: Lessons Learned from Operational Partnerships in UN Peacekeeping

European Peace Institute / News - mer, 05/08/2015 - 20:28

Only fifteen United Nations’ member states provide more than 60 percent of the 104,000 UN uniformed personnel deployed worldwide. How can a more equitable sharing of the global peacekeeping burden be produced that generates new capabilities for UN operations?

Operational partnerships are one potentially useful mechanism to further this agenda. They are partnerships that occur when military units from two or more countries combine to deploy as part of a peacekeeping operation. This report assesses the major benefits and challenges of these partnerships for UN peace operations at both the political and operational levels.

The report begins by providing an overview of the different varieties of partnerships in contemporary UN peace operations and describes the major patterns apparent in a new database of forty-one operational partnerships from 2004 to 2014. It presents case studies of two UN missions that exhibit the full range of operational partnerships: the UN Interim Force in Lebanon (UNIFIL) and the UN Peacekeeping Force in Cyprus (UNFICYP). The authors explore why some UN member states engage in operational partnerships or might do so in the future, arguing that the reasons include a wide range of both mission-specific concerns and broader political and security-related reasons.

On the basis of the evidence presented, the authors identify the main factors that influence successful partnerships and offer lessons and recommendations on how best to enhance operational partnerships so as to deliver more effective peace operations in the field:

  • The UN and bilateral donors should cooperate closely to raise general awareness of the opportunities for and the political and military benefits of operational partnerships in peacekeeping. They should continually share information on potential partnership opportunities among troop-contributing countries and how to help facilitate them.
  • Bilateral donors should continue to invest in pre-deployment preparations for partners.
  • The UN and bilateral donors should strongly encourage and help enable the trend toward standby forces in Europe, South America, Africa, and potentially elsewhere.
  • The UN or a member state should develop a short guidebook on operational partnership options and best practices.
  • Prospective partners must choose carefully and be prepared to overcome social and military incompatibilities.
  • Tending to the size of a combined unit can mitigate problems of operational effectiveness.
  • The challenges of partnering, while daunting, need not trump the benefits; the keys to ensuring against challenging threats are preparation and attention.

This report is part of IPI’s Providing for Peacekeeping Series.

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