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Öt napig éheztették egy barakkban a migránsokat Belgrádban

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Sun, 10/07/2016 - 19:12

Négy személyt letartóztatott a belgrádi rendőrség, amiért a Savski venac községben, a Bori utcában található barakkokban tartottak fogva 35 menedékkérőt. Azzal gyanúsítja őket a rendőrség, hogy ezt megelőzően a 35 közel-keleti migránst Vranjeból Belgrádba szállították, majd bezárták őket azt követelve, hogy fizessenek többet a fuvarért.

Marine Le Pen en campagne numérique

Le Figaro / Politique - Sun, 10/07/2016 - 19:05
Le contre-point de Guillaume Tabard.
Categories: France

José Cura argentin operaénekes nyitja meg a Dubrovniki Nyári Játékokat

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Sun, 10/07/2016 - 19:02

José Cura argentin operaénekes nyitja meg a 67. Dubrovniki Nyári Játékokat vasárnap este a dél-adriai város óvárosában, a Szent Balázs templom előtti téren.

Sur Internet, les politiques passent au direct

Le Figaro / Politique - Sun, 10/07/2016 - 18:54
Avec la vidéo en direct, les candidats espèrent nouer un dialogue plus étroit avec les électeurs que lors d'un passage à la télévision. Ou en donner l'illusion.
Categories: France

A droite, la campagne de la primaire hors de l'Hexagone

Le Figaro / Politique - Sun, 10/07/2016 - 18:45
Londres, Bruxelles, Genève et New-York voient défiler tous les ténors des Républicains. Pour rencontrer les expatriés, lever des fonds et parfaire leur stature internationale.
Categories: France

Avez-vous jamais vu un pyromane amener l’eau ? Le vide politique du post-referendum au Royaume-Uni

EU-Logos Blog - Sun, 10/07/2016 - 18:38

Les derniers jours de la campagne électorale avant le referendum sur l’éventuelle sortie du Royaume Uni de l’UE ont vu les tons s’exacerber, une certaine agressivité du côté des partisans de la sortie, la tragédie de la mort de la députée Jo Cox. Cet appel à la rage a bien déclenché un effet domino : le taux d’ainsi dits « crimes de haine » avec une motivation raciste ou nationaliste a acquis une nouvelle dérangeante dimension. En absence d’un futur certain et d’un calendrier officiel qui indique les prochaines étapes du processus décisionnel, le destin du résultat du referendum (une majorité d’environs 52% pour le détachement de l’UE) est bousculé entre le renvoi d’une décision parlementaire et gouvernementale en octobre et la demande de la société civique d’une nouvelle consultation. La pétition pour demander un nouveau referendum, ayant le même contenu de celui du 23 juin, lancée au lendemain de la déclaration des résultats, a recueilli en seulement trois jours trois millions de signatures. Le seul phénomène qu’on pourrait déjà considérer comme acquis dans les prochains développements est l’avalanche que le Brexit a emportée au sein des classes dirigeantes des deux majeurs partis, les Conservateurs et les Travaillistes. De deux coté des partisans des campagnes pour le Leave et pour le Remain, on retrouve aujourd’hui un vide de représentation et de leadership, que va encore plus dédommager le dialogue entre Royaume-Uni et représentants de l’UE et des autres Etats Membres.

Le Parti Conservateur a été déjà été coupé en deux lors de la campagne électorale. La première victime du pari référendaire de David Cameron a été son même parti, alors que le propos de défier l’Union Européenne, pour renégocier le statut du Royaume Uni dans l’Union, était censé être la vocation de la candidature de Cameron en tant que leader des Tories. Pour se rapprocher des partisans du candidat eurosceptique Liam Fox, en 2005, Cameron commence à entamer la narrative eurosceptique sur l’insuffisance du rabais britannique par rapport aux ressources britanniques absorbées par les politiques et les institutions européennes. Si Liam Fox, adepte de la théorie de la Relation Spéciale et contraire à l’intégration européenne de la défense et au projet européen en soi, est nommé Ministre de la défense, Cameron n’ira pas incarner la volonté de sortie du Royaume Uni de l’Union, quant l’utilisation de cette « menace » pour en tirer davantage un nouveau statut britannique. Le pari du referendum devrait d’ailleurs être lu en tant qu’accomplissement de sa position de leader, conservateur et national, pour avoir obtenu les Accord de février 2016. Moyennant un referendum en 2016, et non en 2017, Cameron souhaitait en fait donner une signification purement européenne à sa figure, tout en évitant ce phénomène d’élections secondaires, c’est à dire d’un referendum qui sert d’évaluation de mi-mandat pour l’électorat. L’aveuglément de Cameron et des autres Tories qui soutiennent le maintien du Royaume-Uni dans une – mythique – « UE reformé » relève du déni des causes nationalistes qui ont enflammé l’euroscepticisme anglais. Et on remarque ici qu’on parle du nationalisme anglais, pas britannique, car la majorité « sortiste » au niveau national n’est pas homogène au niveau des régions. Comme déjà annoncé par les sondages de la veille, l’Angleterre du Nord et les Midlands appauvries par la désindustrialisation ont été le noyau du rejet du maintien. La contrepartie de cette situation a été la résurgence de l’esprit europhile de l’Ecosse et de l’Irlande du Nord, suivie par des promesses d’une consultation sur l’indépendance du Pays, dans le premier cas, et d’une éventuelle réunion avec la République Irlandaise, dans le deuxième. Et on mentionne ,juste en passant , le quasi 90% pour le maintien pour Gibraltar. Avec la conscience qu’il s’agit de déclaration, et non pas de parcours probables d’un point de vue politique et juridique, il est certain que le pari de Cameron a bien réussi à lui donner une place dans l’histoire : non pas l’homme qui a rendu la souveraineté promise au Royaume Uni, mais celui qui a commencé à la couper en morceaux. Incapable de se porter représentant légitime de la volonté populaire, Cameron a annoncé sa démission pour le mois d’octobre, repoussant le délai d’un choix politique de ‘Brexiter ou pas’.

Le prochain leader à la tête du Parti Conservateur portera donc le poids d’une telle décision sur ses épaules le jour de son élection par ses affiliés. Or, l’élu sera confronté à l’option d’un appel officiel à l’article 50 du Traité de l’Union Européenne, et le début des négociations d’une sortie, ou d’un appel à la volonté du Parlement souverain, ou encore à dissoudre l’Assemblé et appeler à nouvelles élections législatives, qui seront de facto une nouvelle expression sur la question. Le problème est que l’on ne peut pas vraiment spéculer sur les prochains développements politiques et financiers, car un scénario certain aura eu lieu dans le cas d’un leader purement eurosceptique soutenu par des personnalités charismatiques eurosceptiques. Mais, comme les pyromanes ne ramènent pas l’eau ni ont des plans pour les ruines brûlées, les anti-Cameron pro-Brexit ont préféré se jeter dans l’eau.

Bientôt, les deux principaux représentants de la campagne du Leave ont refusé d’assumer la responsabilité du résultat et la difficile gestion du suivi politique. Si lors de la campagne référendaire Boris Johnson apparaît comme un des grands gagnants de la victoire du « Leave » et comme favori pour succéder à Cameron, les fortes critiques sur sa capacité réelle de gérer l’antagonisme entre le deux factions de son parti l’ont poussé a renoncer finalement à poser sa candidature à l’élection du leader du Parti Conservateur.

Du coté du parti indépendantiste UKIP, la décision de Nigel Farage de démissionner pour se consacrer à sa vie privée a été l’énième coup de théâtre de la semaine au Royaume Uni. Ayant accompli sa mission historique, qui a pourtant « fait rire il y a dix ans les autres députés européens, qui maintenant ne rient plus », comme il a sarcastiquement déclaré au Parlement européen le 28 juin, il peux se mettre de coté. Il avait pris la même décision après le résultat décevant de UKIP aux élections des 2015, un choix pourtant rejeté par le parti. Le porte-parole de UKIP, Hermann Kelly, a notifié à la presse que Farage restera en charge en tant que député au Parlement Européen et même en tant que président du group eurosceptique Groupe Europe de la liberté et de la démocratie directe, à coté de l’italien David Borrelli du Mouvement Cinq Etoiles. Il s’en remet pourtant au successeur de Cameron, en espérant que soit un « partisan du Brexit ».

Pour l’instant, les candidats à l’élection du leader du Parti Conservateur ne donnent pas trop d’espoir pour la gestion du dialogue avec le reste de l’Union. La procédure de sélection des candidats aurait du normalement se dérouler en deux phases majeures, dont la première se déroule dans le « Comité du 1922 » du Parti Conservateur, c’est-à-dire un comité composé de députés « d’arrière-ban », qui ne sont ni ministres (si le parti fait partie du gouvernement) ni membres du cabinet fantôme (si le parti est à l’opposition). Avec cinq candidatures initiales, le Comité du 1922 aurait du se réunir trois fois pour voter les candidats afin de réduire progressivement le choix entre deux candidats finales. Dans la deuxième phase, le résultat du tête à tête entre les deux choisis par le Comité est décidé par la totalité des inscrits au parti Conservateur, moyennant leur inscription avant l’ouverture officielle des candidatures.

Les développements récents ont raccourci le processus, car deux candidats ont été éliminés et un s’est retiré de la compétition. Mardi 5 juillet Liam Fox, ancien ministre de la Défense, a été écarté de la compétition. Il avait déjà été défi pour Cameron en 2005 et son élimination a donné l’espoir d’un choix d’un futur premier ministre britannique plus flexible dans sa vision européenne. Notamment, la position de Fox est bien résumée dans sa déclaration sur le mandat hypothétique du futur premier ministre : « Si le prix du marché unique est la libre circulation, il s’agit d’un prix que je ne susi pas prêt à payer. Je crois que le peuple britannique a bien indiqué son point de vue. Les politiciens ne peuvent pas le diluer ni le remettre en cause ».

Le vote du 5 juillet a vu en tête Theresa May avec 165 votes, Andrea Leadsom en deuxième avec 66 votes, Michael Gove seulement troisième avec 48 votes et Stephen Crabb dernier avec 34 votes. Ce dernier ayant décidé de quitter la compétition, tout en appuyant Theresa May. Le nouveau « vte »du 7 juillet a donc permis d’anticiper la réduction des candidatures déjà à deux. La grande surprise à été l’élimination de Michal Gove, le « numéro 2 » des Conservateurs dans la campagne du Leave. Initialement soutien de la candidature de Boris Johnson, Gove aurait souffert un manque de faveur à cause de sa décision de poser sa candidature indépendante. Les partisans de Johnson auraient vu une trahison dans cette décision de Gove de courir en solo, il n’est pas étonnant que, une fois que Johnson ait démissionné, leur vote s’est détourné vers Andrea Leadsom selon l’indication de l’ancien maire de Londres.

La ‘frontrunner’, Theresa May, a vu être confirmée la faveur du Comité , avec une majorité de 199 vote, contre les 84 de Leadsom et le 46 de Gove. Actuelle Ministre des Affaires Intérieurs et partisane du Remain, elle a promis que, une fois élue, elle travaillera afin que « le Royaume-Uni puisse maintenir l’accès au marché libre droits, tout en contrôlant les niveaux de migration vers le Royaume Uni », ce dernier propos étant un des moteurs de la campagne du Leave qui a emporté la majorité. Deux volets pas compatibles, comme soulignés lors du Sommet Européen du 27 juin par le président du Conseil Européen Donald Tusk. Accueillant le propos de la chancelière Merkel, M. Tusk a indiqué que le seul moyen de garder l’accès au marché unique seront les voies qui ne donnent pas de choix par rapport aux quatre libertés fondamentales : la voie canadienne (circulation de certains produits mais pas pour les services financiers), la voie norvégienne (accès au marché unique sans respecter, ni bénéficier, de la liberté de circulation), ou, enfin, la voie suisse (accès au marché unique pour les industries mais pas pour le secteur bancaire, tout en acceptant, via Schengen, la libre circulation).

La « second best » Andrea Leadsom, qui adhère à la cause du Brexit et a soutenu dans un premier temps la candidature de Michael Gove, a vu la faveur de ses affiliés monter rapidement. Ministre de l’Energie, elle a travaillé pendant une vingtaine d’années dans le milieu financier, y compris comme « senior » dans le groupe banquier de Barclays. Toujours pas convaincue par l’Accord remporté par Cameron en février dernier, sa campagne a été explicitement pour la sortie de l’Union, même si son engagement dans la campagne référendaire a été relativement modeste.

Stephen Crabb, secrétaire au Ministère du Travail et des retraites, qui a renoncé, a déclaré au Daily Telegraph qu’il serait “le premier ministre qui guidera un gouvernement qui répond aux attentes de 17 millions d’électeurs qui ont vote pour sortir”, tout en excluant la possibilité d’un deuxième referendum. Sa candidature était lié en « ticket » avec Sajiid David, le secrétaire aux affaires économiques, et son volet de présenter une ligne conservatrice des cols bleus. Son élection aurait amené un premier ministre assez rigide dans le contexte d’une éventuelle négociation après le choix de poursuivre l’article 50. Si avant le referendum Crabb était pro-Maintien, son partenaire Javid a bien confirmé que le résultat a rendu, a fait de « tous des Brexiteers », et Crabb même déclara que « un des messages principaux (du referendum) a été le besoin de reprendre le control sur la politique de l’immigration dans le Royaume- Uni. Pour moi, la liberté de mouvement est une limite infranchissable ».

En attendant les prochaines étapes de la sélection, c’est-à-dire le 9 septembre, quand la Convention du parti Conservateur choisira son leader, qui officiellement prendra la place de Cameron le 2 octobre, les signataires de la une nouvelle consultation référendaire ont dépassé les quatre millions.

Du coté du Parti Travailliste, le leadership ne navigue pas dans des eaux plus tranquilles. Un putsch à l’intérieur du parti a remise en cause la position de Jeremy Corbyn, en ouvrant l’hypothèse d’une crise de leadership et de la nécessité de nouveaux candidats. La très faible position assumée par Corbyn pendant la campagne du Maintien joue maintenant un rôle pivot dans la critique de sa communication, surtout si on considère que les votes de la classe ouvrière eurosceptique des régions ou le Leave s’est concentré sont, en théorie, les bassins d’audience du Labour. Or, en face de l’incertitude qui a déjà causé des dégâts dans les marchés financiers et à coté des déclarations de délocalisation des nombreuses entreprises, la seule ligne politique vraiment déterminée a été celle du maire de Londres, Sadiq Khan, qui a pourtant demandé une autonomie gouvernementale majeure pour la région du « Grand Londres ». Pure provocation ou tentative de réveiller son parti ?

On verra lors des prochains développements si le vide politique créé par le referendum sera comblé par une personnalité nouvelle capable de réunir un pays et une société désormais fragmentée, tout en faisant face au nouvel ordre politique qui ne peut plus compter sur l’équilibre des deux piliers traditionnels du bipartisme britannique.

Francesca Sanna

Pour en savoir plus: principales sources des informations

 


Classé dans:Citoyenneté européenne, Fonctionnement des institutions
Categories: Union européenne

Eve Zuckerman, madame «com' digitale» d'Alain Juppé

Le Figaro / Politique - Sun, 10/07/2016 - 18:36
PORTRAIT- La directrice adjointe de la stratégie digitale d'Alain Juppé, Eve Zuckerman, est une Franco-Américaine qui a grandi dans le Val-de-Marne. Elle a découvert la «recherche scientifique électorale» pendant ses études universitaires aux États-Unis.
Categories: France

Pour ce député Fidesz, les Français sont des hyènes et peut-être même «les putes de l’Europe»

HU-LALA (Hongrie) - Sun, 10/07/2016 - 18:22
Zsolt Tiffán aime beaucoup le football. Un petit tour sur sa page Facebook suffit à s’en convaincre. En revanche, ce député du Fidesz de la circonscription de Harkány/Villány située entre Pécs et la frontière croate, semble beaucoup moins aimer les Français et les Roumains.

Pas de chance pour lui, c’étaient ces deux pays qui ouvraient le championnat d’Europe le 10 juin dernier. Que la télé publique hongroise retransmette le match, voilà quelque chose qu’il a subi comme un réel affront, en témoigne ce qu’il reste d’un message Facebook posté le jour même du match et repéré par des confrères du site 444.hu.

«Je pose la question avec respect : au nom de quoi la télévision publique hongroise retransmet-elle le match France-Roumanie ? L’hymne de l’un des ces deux pays plairait-il à ces messieurs-dames de la rédaction ? Pourquoi faut-il nous infliger les putes de l’Europe et les enfants gâtés de l’Europe ? Ça nous gâche la fête».

Reste à savoir qui sont les putes et qui sont les enfants gâtés. Hulala vient tout juste de poser la question à Monsieur Tiffán pour en avoir le cœur net, de même que nous lui avons demandé quelles caractéristiques partagent les hyènes, les Roumains et les Français. Nous attendons ses réponses. Mais peut-être démentira-t-il à nouveau être l’auteur de ces messages et affirmera-t-il que son compte facebook a été piraté.

Puis, poursuivant sur sa lancée :

«France-Roumanie. Bon, on est d’accord, ça n’est pas un problème si je ne soutien aucun des deux ? Ces deux sortes de peuple ne nous ont pas apporté grand chose de bon… Vive les Hongrois !»

Mais de quoi peut-il bien parler au juste ?

Le 3 juillet, au moment du coup d’envoi du match de quart de finale entre la France et l’Islande :

«We are on your side,brothers of Iceland! We are true warriors! Hungarian,and the icelanders! We are true brothers!»

Sans que l’on comprenne bien en quoi les Islandais et les Hongrois sont des frères… On peut douter fortement que la fédération islandaise de foot (la KSÍ) ne s’enorgueillisse du soutien de ce monsieur. En effet, la KSI a, par exemple, taclé le Parti danois (Danskernes Parti, nationalistes) qui souhaitait que tous ses fans Facebook réclament que la France joue la Coupe d’Afrique des nations :

«Avec l’Euro, l’Islande et les Islandais ont gagné le respect du monde entier pour leur attitude positive et la KSÍ ne veut rien avoir à faire avec ce genre de propagande haineuse».

Categories: PECO

Filiszteus temetőt találtak a régészek Askelonban

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Sun, 10/07/2016 - 18:21

Egy teljes filiszteus temetőt tártak fel a régészek Askelonban, Izrael Földközi-tenger partján legdélebbre fekvő városában - értesült vasárnap a Jediót Ahronót című újság honlapja, a ynet.

Érdemtelenül

Krónika (Románia/Erdély) - Sun, 10/07/2016 - 18:17
Elég nagy fokú társadalmi amnéziának kellene bekövetkeznie ahhoz, hogy a parlamenti megmérettetés nyomán ne tűnjön el a politika süllyesztőjében néhány bukaresti politikus. 
Kategória: Vélemény

Mozog a szánk, telik az idő

Krónika (Románia/Erdély) - Sun, 10/07/2016 - 18:15
Valahányszor a szocdem párt jelenlegi elnökvezére a nyilvánosság elé áll, mindig Örkény István zseniális művének, a Tótéknak főszereplője, az Őrnagy jut eszembe.
Kategória: Vélemény

Nagydobrony, avagy az ukrán kibuc

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Sun, 10/07/2016 - 18:15

Kárpátaljai kiránduláson vettek részt a bácskertesi (kupuszinai) József Attila Általános Iskola szervezésében a helybeli, zombori, csonoplyai, doroszlói és a bezdáni iskolák, valamint a zombori gimnázium diákjai és oktatóik, összesen 47-en. Csíkos Sándor iskolaigazgató a magyar öntudatot gazdagító és növelő programként tervezte meg a háromnapos utat, így a kirándulók nem kerülték meg Ungvárt, Munkácsot, a Vereckei hágót…

Eltüntették a szentgyörgyi Sárkánydombot

Krónika (Románia/Erdély) - Sun, 10/07/2016 - 18:06

Eltakaríttatta Sepsiszentgyörgyön a Sárkánydombnak kijelölt területről az építőtelepet Sebastian Cucu Kovászna megyei prefektus, aki az építkezési felügyelőséget bízta meg azzal, hogy bontsa le a kerítést, és egyengesse el a terepet. 
Kategória: Erdélyi hírek

Jövőre sem kötelező az idegen nyelv független tesztvizsga

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Sun, 10/07/2016 - 18:04

A következő tanévben sem lesz kötelező idegen nyelvből a külső független tesztelés – közölte az osvita.ua hírportál.

Ennek oka, hogy nagyon nehéz előkészíteni és levezetni az idegen nyelv tesztelést. Az idegen nyelvi vizsgán legalább 3-4 kompetenciát kellene felmérni: az olvasási készséget, íráskészséget, hallás utáni értést és a beszédkészséget.
Vadim Karangyij, az Ukrán Oktatásminőség-értékelő Központ vezetője hangsúlyozta, hogy a beszédkészséget teszt formájában nem lehet felmérni. A beszédkészség szintjét csak úgy lehet meghatározni, ha a vizsgáztató tanár beszélgetést folytat a felvételizővel.
Idén hatszáz érettségiző választotta az angol nyelv külső független tesztelést, a többi nyelvet ennél kevesebben.
Vadim Karangyij elmondta, hogy a jelenlegi idegen nyelv külső független tesztfeladatok megfelelnek a követelményeknek, s az érettségizőnek a tesztelésen szerzett jegyet jogában állhat érettségi jegyként beszámíttatni.
A szövegértéshez külön hangfelvételeket kell készíteni, ami a következő tanévre még nem kivitelezhető. A minőségi feladatok megfelelő előkészítése érdekében jövőre még nem vezetik be a kötelező idegen nyelv külső független tesztelést.

Kárpátalja.ma

Sikeresnek bizonyult a Gézengúzok Gyermekfesztivál

Krónika (Románia/Erdély) - Sun, 10/07/2016 - 18:02

Három nap alatt több száz gyerekes család vett részt a Nyárádszentlászlón első alkalommal megrendezett Gézengúzok Gyerekfesztiválon.
Kategória: Színes

Kerékpáron Krakkóba: Lengyelországba tart a kolozsvári unitárius iskola csapata

Krónika (Románia/Erdély) - Sun, 10/07/2016 - 17:59

„Kerékpáron Krakkóba érkezni teljesen más, mint autóval vagy repülővel. Épp az a lényeg, hogy biciklivel megyünk, és útközben magyar történelmi helyszíneket is meglátogatunk” – mondta Solymosi Zsolt aligazgató, a túra főszervezője.
Kategória: Színes

Születésnapját ünnepelte a magyarfenesi Arkhai Szoborpark

Krónika (Románia/Erdély) - Sun, 10/07/2016 - 17:56

HÍRKÉP – Fennállásának második évfordulóját ünnepelte szombaton a Kolozs megyei Magyarfenesen található Arkhai Szoborpark, amelyet Bartha Ernő szobrász, képzőművész alapított és alkotott.
Kategória: Színes

Robotadó bevezetését javasolja a német posta vezetője

Magyar Szó (Szerbia/Vajdaság) - Sun, 10/07/2016 - 17:44

Az emberekkel végzett munka adóterhének csökkentését és a robotokkal végzett munka megadóztatását javasolja a Deutsche Post német postavállalat vezetője.

Segítséget kér egy nagyszőlősi kismama

Kárpátalja.ma (Ukrajna/Kárpátalja) - Sun, 10/07/2016 - 17:16

A fertőző májgyulladásban szenvedő kismama azért kér segítséget, hogy születendő gyermeke egészségesen jöjjön a világra.

A nagyszőlősi Natalija Mihalovics 2013-ban szerzett tudomást a betegségéről, amikor második gyermekét várta, s részt vett az ilyenkor kötelező orvosi vizsgálatokon. Az orvosok a HBsAg fehérje kimutatásával hepatitis B vírust, krónikus májgyulladást diagnosztizáltak nála, amely májzsugorodást okozott. A fiatalasszony már a várandóssága előtt is májkörnyéki fájdalmakra panaszkodott, és gyakori orrvérzések léptek fel nála. Sajnos az édesanya szervezetében meglévő vírus a magzatot is megfertőzte, aminek következtében a világra jött leánygyermek születése után 24 nappal életét vesztette a Munkácsi Megyei Gyermekkórházban. Natalija most újra állapotos, fiúgyermeket vár. Az ötéves kislányuk, Beáta is nagyon várja már az öccse születését – számolt be a család körülményeiről Mihajlo Roman civil önkéntes július 9-én a vynohradiv.info hírportálon.
– Hogy a betegségem ne súlyosbodjon, állandó gyógyszeres kezelésre van szükségem. A rendszeresen szedett tabletták és infúziók segítségével van esélyem a teljes gyógyulásra, bár ez egy igen hosszan tartó folyamat. Az ungvári kórház orvosai is azon a véleményen vannak, hogy mivel a magzat rendellenességek nélkül fejlődik, nagy valószínűséggel egészségesen is jön a világra. Mivel a betegség vér útján terjed, így természetes szülés közben a gyermek megfertőződhet, ezért a császármetszést javasolják. A kisfiam megszületése után nekem további gyógykezelésekre, valamint rehabilitációs kezelésekre van szükségem – mondja a 32 éves asszony.
A fiatal család szerény anyagi körülmények között él, a gyógykezeléseket nem tudják önerőből finanszírozni. A család a segítségét kéri mindazoknak, akiknek módjukban áll ezt megtenni.

Adományaikat a PrivatBanknál nyitott számlaszámra folyósíthatják:

Михалович Наталія Михайлівнa
bankszámlaszám (номер рахунку): 5168 7555 2505 7036
Bővebb információt a 093-44-19-454-es telefonszámon kaphatnak.

Kárpátalja.ma

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