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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 1 week 21 hours ago

Région de Boumerdès: L’insalubrité gagne du terrain au chef-lieu de wilaya

Thu, 14/07/2016 - 12:50

Des photos prises sur le vif montrent l’ampleur du niveau d’insalubrité et d’amoncellement des ordures et déversement des eaux usées sur la chaussée, principalement au chef-lieu de la wilaya de Boumerdès. Les lieux sont devenus de véritables dépotoirs à ciel ouvert. Les gens de passage dans la ville, surtout les touristes en cette période estivale, sont confrontés
à un état de dégradation avancé de l’environnement dans pratiquement tous les quartiers, principalement ceux qui donnent sur la mer. Les habitants de Boumerdès ne font guère preuve de civisme. Ils jettent leurs ordures n’importe où, jusqu’aux accotements de plusieurs établissements scolaires. Si l’insalubrité gagne du terrain au chef-lieu de wilaya, que dire de la situation qui prévaut dans les 32 communes que compte cette wilaya ?

Categories: Afrique

Fermeture d’infrastructures sportives, dont les piscines, durant l’été Les instructions du MJS

Thu, 14/07/2016 - 12:50

Les responsables des services centraux du département de la Jeunesse et des Sports ont établi un rapport, transmis au ministre de tutelle, dans lequel ils font état de la fermeture impromptue de certaines infrastructures de jeunesse et sportives, durant l’été, propice aussi à la préparation de la prochaine saison sportive. Il s’agit notamment des piscines. À ce titre, le ministre de la Jeunesse et des Sports, El-Hadi Ould Ali, a rappelé, dans une instruction adressée aux directeurs de wilaya, l’obligation d’adapter les horaires d’ouverture de l’ensemble des infrastructures aux horaires d’été. Il les a exhortés, en outre, à rendre accessibles en permanence les piscines en cette période estivale, d’organiser, dans la mesure du possible, des sorties vers les plages et forêts en faveur des jeunes des régions enclavées et enfin de suivre et accompagner les centres de vacances et de loisirs des jeunes par les DJS des wilayas côtières. Le membre du gouvernement a réitéré, dans ce sillage, “l’impérieuse nécessité de contribuer à la prise en charge du temps libre des jeunes conformément aux directives du Premier ministre”.

Categories: Afrique

Les produits pharmaceutiques estimés moins chers et plus efficaces :Les Algériens se rendent à Tabarka et à Aïn Draham pour acheter des médicaments

Thu, 14/07/2016 - 12:49

La Tunisie n’est pas uniquement une destination touristique pour les Algériens. Les habitants des localités frontalières avec ce pays s’y rendent aussi fréquemment pour acheter des médicaments.
Précisément, les Algériens traversent la frontière terrestre entre les deux pays pour rejoindre Tabarka, une ville tunisienne qui se trouve aux portes de la daïra d’El-Kala, à peine à une vingtaine de kilomètres de la municipalité d’Oum Teboul, pour une ordonnance. Le déplacement peut paraître surprenant pour un tel motif. Pourtant, selon les témoignages recueillis par le journaliste de Liberté à El-Tarf, les produits pharmaceutiques sont jugés moins chers et plus efficaces de l’autre côté de la frontière. S’il est difficile de statuer sur “l’efficacité” des médicaments vendus en officine en Tunisie, il est effectivement avéré que leurs prix sont plus bas, pour certains produits, qu’en Algérie.

La politique du médicament, appliquée depuis de longues années en Tunisie, maintient les prix à la consommation au montant négocié à leur première mise sur le marché. Le différentiel afférent à l’augmentation progressive des tarifs, au fil des années, est alors compensé par la Pharmacie centrale de Tunisie (PCT), sur ses propres fonds. Ce modèle, unique au monde, est recommandé par l’OMS pour favoriser l’accès aux médicaments des populations démunies.

Categories: Afrique

La mission sera confiée aux stadiers: Retrait graduel de la police des stades à partir de 2017

Thu, 14/07/2016 - 12:35

Rien que dans la capitale, la violence dans les stades a fait, durant la saison écoulée, 41 blessés parmi les policiers mobilisés pour sécuriser les rencontres de football.

Désormais, la police n’assurera plus la sécurité dans les stades de football. La mesure annoncée, il y a deux ans, par le général-major Abdelghani Hamel, directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), va rentrer en vigueur à partir de l’année 2017 et le retrait des policiers se fera graduellement pour laisser place aux stadiers.
La question a officiellement été tranchée pour assigner aux policiers des missions liées au maintien et au rétablissement de l’ordre public, que ce soit sur les itinéraires ou les alentours des enceintes sportives. Du coup, toute violence enregistrée à l’intérieur des stades, jusqu’ici gérée par la police, sera assumée par les stadiers et les clubs porteront l’entière responsabilité des dégâts humains ou matériels qui surviendraient.

Avec une moyenne de 150 incidents et près de 1 000 blessés chaque année, en sus des enceintes et des véhicules saccagés, la violence dans les stades s’est installée et s’est vite propagée pour devenir “un sport national”. Hier, lors d’une rencontre-bilan organisée au site balnéaire Les Sablettes d’Alger, le chef de la sûreté de la wilaya d’Alger, Noureddine Berachedi, a fait état de 41 blessés parmi les rangs de la police dans le Grand-Alger lors des
139 rencontres de football jouées durant la saison 2015-2016. “La sûreté de la wilaya d’Alger prépare activement la saison sportive 2016-2017, avec, en amont, le retrait graduel de la police des enceintes sportives.

Fort heureusement, nous n’avons pas enregistré de blessés graves, mais on déplore cet état de fait. Les instructions du directeur général de la Sûreté nationale sont claires, en ce sens que nous devons assurer la sécurité des personnes et des biens, et contribuer à l’instauration de la culture de la tolérance et d’un climat de sérénité.” Sur un autre plan, M. Berachedi a également dévoilé le plan de sécurisation de la saison estivale. Ce plan, qui se déploie vers les 48 wilayas, est déjà opérationnel et consiste en la mobilisation de gros moyens humains et matériels pour permettre aux familles de passer leurs vacances en toute tranquillité. En outre, la criminalité durant le mois du Ramadhan a été abordée avec des chiffres qui donnent froid au dos.

En effet, le conférencier a révélé que, durant cette période, pas moins de 1 211 personnes ont été arrêtées par les services de la police dans le Grand-Alger, dont 441 placées sous mandat de dépôt. En plus de la petite criminalité, les 13 sûretés de daïra d’Alger ont mis la main sur 1 187 personnes pour trafic de drogue, de cocaïne et de psychotropes. Durant cette période, il a été procédé à la saisie de 6,7 kg de cocaïne, 59 kg de résine de cannabis et 34 180 comprimés hallucinogènes. Au volet du vol des véhicules, les mêmes services ont réussi à récupérer 17 voitures sur les 43 volées au mois de Ramadhan dernier.
Raison pour laquelle des directives ont été données pour intensifier les identifications de jour comme de nuit pour juguler ce phénomène. Selon M. Berachedi, près de 44 000 véhicules et 6 300 motos ont été identifiés lors de cette période qui a enregistré, par ailleurs, plusieurs vols par effraction.

Categories: Afrique

Le Maroc accepte le retour de la mission de la MINURSO : Rabat joue et perd

Thu, 14/07/2016 - 12:21

Le Maroc a, finalement, accepté le retour de la composante civile de la MINURSO au Sahara Occidental, soit 25 à 30 fonctionnaires de cette composante. Par la voix d’une source autorisée marocaine, des médias ont indiqué que seule la composante civile est concernée, précisant, dans ce sens, qu’il n’y a pas de retour de la composante politique de la mission des Nations unies pour le référendum au Sahara occidental. Par ailleurs, le retour du reste doit être avant la fin du mois de juillet.

Le Maroc avait expulsé, pour rappel, en mars dernier la composante civile et politique de la MINURSO, après la visite du Secrétaire général de l’ONU dans la région et ses déclarations qualifiant la présence marocaine au Sahara occidental d’occupation. Le retour de la mission de la MINURSO au Sahara Occidental, signifie que Rabat a perdu le bras de fer contre Ban Ki-moon qui a fini par avoir le soutien du Conseil de Sécurité dans sa volonté de garder la totalité du contingent de la MINURSO en vue de garantir sa pleine fonctionnalité.

La victoire de Ban Ki-moon a été possible parce que le Maroc a perdu le soutien de la France, ce qui explique, donc, la décision de Rabat d’annuler provisoirement la visite du Ministre français des Affaires Etrangères, Jean-Marc Ayrault.

Encore une fois, les autorités marocaines ont fait preuve d’immaturité dans la gestion du conflit du Sahara Occidental. Comme il explique le succès retentissant du Congrès extraordinaire du Front Polisario et le succès de la nomination du nouveau président de la RASD et Secrétaire Général du Front Polisario, Brahim Ghali qui a souligné dans son discours devant les participants du Congrès extraordinaire que « la MINURSO devrait être en mesure d’assumer sa mission principale pour laquelle elle a été mise en place en 1991, à savoir l’organisation d’un référendum au Sahara occidental », regrettant que cette mission se transforme en un gardien du fait accompli colonial marocain et du cessez-lefeu » .

«Il est temps pour que les Nations Unies et le Conseil de sécurité exercent des pressions et impose des sanctions contre le Maroc qui continuer de saboter les efforts de la communauté internationale devant mettre fin à l’occupation de la dernière colonie en Afrique « , a-t-il souligné. Rabat cherche à gagner du temps en attendant la fin du mandat du Secrétaire Général de l’ONU, Ban Ki-moon. Leur seul de moyen de parvenir à leur fin est de jouer à l’enfant gâté. Jusqu’à quand? Une question que, apparemment, ils ne se posent pas.

Categories: Afrique

Au cours d’un point de presse animé à Tizi Ouzou: Les gardes communaux déposent une plainte contre le ministère du Travail

Thu, 14/07/2016 - 12:15

Le coordinateur national des gardes communaux, Lahlou Aliouat, a annoncé, mardi, à Tizi Tizi Ouzou, où il a animé un point de presse au siège local du MDS, que son organisation compte saisir la justice contre le ministère du Travail, concernant les 273 gardes communaux de la wilaya de Laghouat affectés durant plusieurs années à la surveillance de puits toxiques, contenant de l’huile Askarel, dont ils ignoraient les dangers, ce qui a eu un impact dangereux sur leur santé, puisqu’ils sont en train de “mourir à petit feu”, a-t-il déclaré, précisant qu’“il s’agit d’une exploitation arbitraire effectuée dans des conditions inhumaines”.

Pour l’orateur, il est aussi nécessaire de situer la responsabilité du ministère de l’Énergie dans cette affaire, et dans le même sillage, il annoncera l’organisation d’un rassemblement lundi prochain devant la Maison de la presse d’Alger pour dénoncer le cas de ces gardes communaux.
Par ailleurs, dans le cadre d’une nouvelle feuille de route, Lahlou Aliouat annoncera encore l’organisation d’un congrès des gardes communaux, le 20 août prochain, à Ifri Ouzellaguene, ce lieu historique qui a abrité le Congrès de la Soummam en 1956.

Évoquant la situation des gardes communaux, l’orateur dénoncera la sourde oreille des autorités qui tardent à prendre en charge concrètement leurs revendications, tout en regrettant qu’“un architecte de la criminalité, comme Madani Mezrag, est reçu comme une personnalité nationale alors que nous, qui avions sacrifié notre vie pour lutter contre le terrorisme, cette bête immonde, on tarde à reconnaître notre existence et à valoriser notre grand mérite au profit de la nation”.

Lahlou Aliouat ira même jusqu’à rappeler que “nous avons pris les armes pour sauver l’Algérie, et non pour sauver un système qui continue d’ignorer notre engagement à côté de l’Armée et des autres corps de sécurité contre le terrorisme. Avec 94 000 gardes communaux recensés à travers le territoire national, nous constituons une force qu’ils tentent vainement de diviser”.

Pour l’orateur, “le sacrifice de ce corps de sécurité actuellement dissout, et dont 4 678 sont tombés en martyrs durant la décennie noire, auxquels s’ajoutent 3 500 gardes radiés arbitrairement, interpelle ce pouvoir qui négocie avec des terroristes et jette en prison des journalistes et des avocats sans aucune gêne”.
Par ailleurs, la Coordination nationale des  gardes communaux entamera dès le 18 juillet prochain un rassemblement ouvert à Tizi Ouzou pour exiger la reconnaissance officielle des sacrifices consentis par les gardes communaux,  la révision des retraites, des primes d’engagement et des indemnités de départ, la régularisation des agents de la garde communale transférés à d’autres institutions ou autres corps de sécurité, la reconnaissance des blessés de la garde communale en tant que victimes de guerre et enfin la réintégration de tous les agents radiés.
Elle souhaite, également, la promulgation d’une journée nationale pour commémorer les sacrifices de la garde communale.

Categories: Afrique

Lancement de la ligne maritime de voyageurs Alger-Cherchell

Thu, 14/07/2016 - 12:14

La ligne de transport maritime de voyageurs Alger-Cherchell passant par Tipaza sera ouverte dès vendredi prochain, a indiqué mercredi l’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (ENTMV) dans un communiqué.

Concernant les horaires de cette nouvelle navette maritime, le départ d’Alger est à 8h30 et à 14h15, tandis que le retour de Cherchell est à 11h30 et à 17h30.

Quant aux tarifs, le voyage Alger-Cherchell coûte 800 DA, celui d’Alger-Tipaza est à 500 DA, alors que Tipaza-Cherchell coûte 300 DA.

Pour rappel, une liaison maritime de voyageurs entre Alger et Jijel via Azzeffoun et Bejaia a été inaugurée samedi dernier.

Categories: Afrique

Régularisation des constructions inachevées : L’ultimatum début août

Thu, 14/07/2016 - 12:14

Il ne reste qu’un mois pour la régularisation des constructions inachevées. Les autorités ont en effet donné le dernier ultimatum aux propriétaires de ces constructions en août. Passé outre ce délai, toute bâtisse sera démolie. Pour ce mettre en règle contre les carcasses de construction on achevées, l’Etat a décidé de bien sévir conformément à la loi 08-15 du 20 juillet 2015 qui met toute la lumière sur le respect des procédés.

Pour mettre de l’ordre dans ce secteur, l’Etat a recensé actuellement plus de 1.200.000 bâtisses qui sont soient achevées ou qui n’obéissent pas aux normes de construction. Le ministre de l’habitat s’est montré intransigeant sur la question en refusant tout délai supplémentaire sur des constructions anarchiques dont on sait pour quel motif elles ont été abandonnées à leur triste sort.

Actuellement, il faut savoir que toute construction qu’elle soit étatique ou privée, doit obtenir au préalable un permis de construire. Ce procédé est obligatoire et faute de document, les pouvoirs publics sont obligés de mettre en demeure le propriétaire ou de démolir la construction.

Les instructions de l’application, selon Abdelmadjid Tebboune concernent les APC, services de contrôle de CTC, les services d’urbanisme des wilayas et les représentants de la Justice et les services de sécurité. Ces éléments ont l’aval de détruire toutes ces constructions après avoir dûment constaté l’expiration du délai accordé.

Selon le président du collège national des architectes Abdelhamid Boudaoud  » ces comportements a occasionné des conséquences néfastes sur l’environnement et le cadre bâti dont le pays en subit l’incohérence et l’agressivité « . Plus loin, cet expert regrette qu’on ait laissé  » le champ libre à un urbanisation accélérée, anarchique et incontrôlable  » en invitant les autorités « à consulter les experts dans ce domaine tant le mal semble bien ancré « .

Wahid Temmar, directeur de l’urbanisme et de l’architecture au niveau du ministère de l’Habitat rappelle les mesures qui vont être prises contre les contrevenants.  » Il y a le non renouvellement du bail de location pour ceux qui ont loué les rez-de-chaussée à usage commercial et le non-renouvellement du registre de commerce pour ceux qui utilisent ces rez-de-chaussée à des fins commerciales « .

Cela ne s’arrête pas là puisque selon le même responsable  » les constructions dans les lits d’oueds, espaces publics, plages ne relèvent pas uniquement du ministère de l’habitat  » et sont considérées de surcroîts interdits pour tout bâti. Automatiquement le corps des inspecteurs de l’urbanisme et des autres experts va devoir démolir ces constructions après des PV techniques et des rapports transmis aux autorités.

Selon une source du ministère de l’habitat, les moyens de communication ont été déployés pour avertir tous ces propriétaires que la décision de l’Etat est irréversible d’autant que ces derniers doivent avoir tous les documents techniques pour attester de la conformité aux usages de construction. Pour ceux qui sont en retard délibérément et ceux qui n’ont pas terminé leurs travaux, aucune excuse n’est à justifier.

Ces propriétaires seront soient poursuivis en justice ou bien leurs propriétés confisquées et ne pourront obtenir la décision de terminer les travaux qu’après une sanction sous forme d’amende. Mais d’aucuns estiment que l’opération sera graduelle vu que les moyens de contrôle au niveau national ont besoin d’une grande mobilisation de ressources humaines. Le pari sera-t-il tenu ?

Categories: Afrique

La station de dessalement d’eau de mer d’El Hamma honorée par l’Impact Award d’OPIC

Thu, 14/07/2016 - 11:51

La station de dessalement d’eau de mer d’El Hamma de GE (NYSE: GE) et de l’Algerian Energy Company (AEC) a remporté un Prix Impact 2016 de l’Overseas Private Investment Corporation (OPIC), l’institution de financement et du développement du Gouvernement américain.

Les  Impact Awards de l’OPIC récompensent les initiatives exceptionnelles contribuant au développement international du secteur privé. La station de dessalement d’eau de mer d’El Hamma, qui a reçu le Prix Impact Award dans la catégorie des «infrastructures critiques», fournit de l’eau potable à près de 1,5 million d’Algériens –ce qui représente plus de 25% de la population d’Alger.

En 2008, la station de dessalement d’eau de mer d’El  Hamma, une société de projet à finalité spécifique combinant 70% du financement de GE et 30% de l’Algerian Energy Company, a été choisie pour concevoir, construire, acquérir et exploiter  200.000 mètres cubes d’eau potable par jour (53 millions de gallons par jour).

C’est  une installation de dessalement d’eau de mer par osmose inverse qui réduit considérablement la pénurie d’eau à Alger. C’est également la première station de désalinisation par osmose inverse en Afrique à être financée grâce à un investissement public et privé. GE est sous contrat de 25 ans pour la gestion des opérations et de maintenance de l’usine.

«Nous sommes très heureux et honorés que la station de dessalement d’eau de mer d’El Hamma ait reçu le Prix Impact Award d’OPIC pour les infrastructures critiques», a déclaré Ali Nouioua, Directeur Général, Infrastructure Water & Processes Technologies Algeria.

« Nous sommes aussi très fières d’avoir fait de ce partenariat public-privé un vrai modèle de réussite, et cela se traduit par la fourniture constante d’eau potable à plus  de 350 000 familles algéroises. Hamma est un excellent exemple de partenariat stratégique où le partenaire étranger apporte non seulement la technologie et le savoir-faire mais aussi de l’investissement, du financement et la formation des compétences algériennes ».

« La station de dessalement d’eau de mer d’El Hamma est essentielle à la population de la capital. Le déficit en eau et la demande fort importante obligeaient nos résidents et les entreprises à rationner de l’eau fréquemment. La station fournit désormais une solution simple et économique qui garantit la disponibilité de l’eau potable aux Algériens.

Nous remercions l’OPIC pour ce prix prestigieux qui vise à reconnaître notre rôle,  celui de GE et de notre installation», a déclaré Ahcene Ouzane, Directeur Général, Algerian Energy Company. Mark Klaiber, Directeur Général- engineered systems services—water and process technologies pour GE Power, a reçu le Prix Impact Award d’OPIC lors d’une cérémonie à la Chambre de Commerce Américaine à Washington, DC, le 7 juillet 2016.

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Tentative d’émigration clandestine de 9 personnes déjouée à Annaba

Thu, 14/07/2016 - 11:42

Une tentative d’émigration clandestine de neuf (09) personnes à bord d’une embarcation de construction artisanale a été déjouée mercredi à Annaba par une unité des Garde-côtes, indique le ministère de la Défense nationale (MDN) dans un communiqué.

« Dans le cadre de la lutte contre l’émigration clandestine, une unité des Garde-côtes d’Annaba (5°Région militaire) a déjoué, le 13 juillet 2016 à 00h25, une tentative d’émigration clandestine de neuf (09) personnes, à bord d’une embarcation de construction artisanale au Nord-ouest de Ras El-Hamra », précise le MDN.

« Lors de cette intervention, les personnes en question avaient mis feu à l’embarcation et s’étaient jetées à l’eau », indique la même source, soulignant qu' »une unité de recherche et de sauvetage s’est intervenue afin de les évacuer et de leur donner les soins nécessaires avant de les transférer à l’hôpital pour prendre en charge six (06) parmi eux qui ont subi des brûlures de deuxième degré ». APS

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Concours de recrutement d’enseignants: 43% des lauréats sont des enseignants contractuels

Thu, 14/07/2016 - 11:37

43% des lauréats du concours de recrutement d’enseignants (écrit et oral) sont des contractuels, a annoncé mercredi à Alger l’inspecteur général du ministère de l’Education nationale, Nedjadi Messeguem. 

43% des lauréats du concours de recrutement de 28.000 enseignants pour les trois paliers (primaire-moyen-secondaire) sont des contractuels, a précisé M. Messeguem lors d’une conférence de presse.

148.000 candidats admis à l’écrit ont été retenus pour l’oral, a-t-il dit, précisant que les épreuves orales avait un coefficient de un (1) et les épreuves écrites un coefficient de huit (8).

Les listes des 28.000 lauréats accompagnées de listes de réserve seront affichées au niveau de toutes les directions de l’éducation du territoire national, a fait savoir le responsable.

En l’absence d’un lauréat pouvant occuper un poste vacant dans une certaine matière dans une wilaya donnée, le ministère « demandera une autorisation pour la désignation à ce poste d’un lauréat d’une autre wilaya », a indiqué M. Messeguem.

A une question sur les lauréats qui n’ont pas présenté de justificatif vis-à-vis du service national, il a affirmé que « ce document est une pièce importante du dossier de recrutement dans la fonction publique dont le ministère ne saurait faire abstraction ».

« Si un enseignant admis n’ai pas en mesure de fournir ce document, il perd son poste et celui-ci est occupé par un enseignant inscrit sur la liste de réserve », a précisé le responsable.

M. Messeguem a, par ailleurs, annoncé l’organisation de nouveaux concours professionnels pour l’accès à 11 grades (quelque 7500 postes) le 22 août prochain, d’un concours externe (5000 postes) les 30 et 31 août, d’un concours concernant 11.000 postes des corps communs en septembre, ainsi que de concours de promotion aux grades de professeur principal et de professeur formateur. APS

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Bilan sécuritaire satisfaisant de la saison estivale 2015 La sécurité des stades sera confiée à des « stadiers »

Thu, 14/07/2016 - 11:00

Net recul de la criminalité et de la violence en 2015.

C’est à une cascade de chiffres transmis oralement qu’ont eu droit hier matin les journalistes venus couvrir une conférence de presse animée par la direction générale de la Sûreté nationale (Dgsn) au niveau du complexe de loisirs «Promenade des Sablettes» à Alger, plus précisément au niveau de l’Office des parcs des sports et des loisirs d’Alger (Opla), jouxtant la piscine qu’abrite le complexe des Sablettes.

C’est de nouveau donc les quatre piscines de ce site que les autorités locales de la wilaya d’Alger ont choisi pour présenter le bilan de la saison estivale 2015, qui avait coïncidé, rappelons-le, avec le mois sacré du Ramadan.C’est en présence du commissaire divisionnaire de police, Aïssa Naïli, en charge du contrôle de police que cette cérémonie symbolique s’est déroulée en présence de nombre de responsables de la sécurité de la wilaya. Le directeur du contrôle de police et de la sécurité publique à la Dgsn Aïssa Naïli, a animé une conférence de presse sur le dispositif sécuritaire mis en place. Il a souligné que tous les moyens humains et matériels nécessaires ont été mobilisés pour assurer le bon déroulement de la saison estivale.

Ainsi, «50.000 policiers vont assurer la sécurité des estivants à travers le pays», a-t-il indiqué, précisant que les démarches d’anticipation et les actions de sensibilisation sont à l’origine de l’amélioration de la situation sécuritaire durant le mois de Ramadhan par rapport à la même période de l’année 2015. Dans la wilaya d’Alger, 50.000 agents ont été affectés à la protection de différents sites et plages de la wilaya, a affirmé, de son côté, Noureddine Berrached, le chef de sûreté de la wilaya d’Alger. Le chargé de la communication de la Dgsn a pour sa part énuméré les différentes actions de surveillance diligentées par la police, sans toutefois distribuer hélas à la presse des documents de compilation. Il y a lieu d’informer que dans le cadre de la redynamisation des missions de sécurisation des plages, la Dgsn a, depuis l’été 2003, mis en place des postes de surveillance et de sécurisation au niveau des plages autorisées à la baignade situées sur la bande côtière relevant de la compétence territoriale des services de wilaya de la Sûreté nationale.

Les chiffres de la Dgsn révèlent un net recul de la criminalité et de la violence durant le mois de Ramadhan 2016, a fait valoir Naïli qui représentait le directeur général de la Sûreté nationale, le général Abdelghani Hamel, lors de cette rencontre d’évaluation. Il a aussi rappelé que plus de 66.000 hommes ont été mobilisés pour sécuriser quelque 18.000 centres d’examen pour la session 2016 du baccalauréat et que 13.000 autres ont veillé à la sécurisation de la reprise partielle des épreuves. Pour lui, la saison sportive a été positive par rapport à l’année dernière grâce aux aménagements de passages et à l’amélioration des conditions d’accueil des supporters.

Le chef de sûreté de la wilaya d’Alger, Noureddine Berrachedi s’est, pour sa part, félicité que 39 rencontres de la Ligue professionnelle se soient déroulées «dans des conditions correctes.» Il a cependant déploré les blessures occasionnées à 41 agents de l’ordre et le saccage de 12 véhicules de services de la sûreté de wilaya. Il a annoncé que la sécurité dans les stades sera confiée graduellement aux «stadiers» qui seront formés pour l’encadrement et le contrôle des supporters. Il a fait état de 448 affaires, contre 800 l’an dernier, d’atteinte aux personnes avec un léger recul des cas de port d’armes, de coups et blessures volontaires et de rixes sur la voie publique. Il a par ailleurs signalé l’implication de 174 individus et 689 affaires contre 700 durant le Ramadhan 2015 pour atteinte aux biens. Les patrouilles de la sécurité publique ont contrôlé durant le mois de jeûne plus de 34.000 véhicules de tourisme et 6000 motocycles, révèlent les chiffres.

Categories: Afrique

L’ONS le révèle dans son rapport: Les Algériens divorcent trop facilement

Thu, 14/07/2016 - 11:00

Avec 60.000 divorces sur 396.000 mariages, le phénomène de la désunion reste une donne sociale incontournable.

Le mariage accuse le pas en Algérie, selon l’Office national des statistiques (ONS) qui révèle un net recul des unions, lequel est de l’ordre de 4.5%; ce phénomène se conjugue à une hausse des décès et une tendance au vieillissement de la population, ajoute le même organisme qui se réfère à l’année 2015. En effet, il est révélé que cette dernière aura connu un sensible recul des alliances. L’on ajoute que les services de l’état civil ont enregistré 396.000 cas de mariage, avec en parallèle, une baisse du nombre de divorces comparativement aux années précédentes, ce qui se traduit par 60.000 cas de désunions. Ainsi, la moyenne brute des engagements maritaux s’est soldée par un net repli en 2015 VS 2014. Ce déclin va de 9,88 0% pour mille à 9,24 0% pour ladite période. Dans le sillage de ces statistiques, le rapport de l’ONS indique que les cas de divorces relevés par les services du ministère de la Justice s’évaluent à 60.000 cas, ce qui équivaut à une proportion de 1;5% comparativement à 2014. d’où une moyenne brute de divorcez de 1,50 0% pour mille.

Cette moyenne est le quotient de la division du nombre de divorces durant l’année par le nombre d’habitants de la même année. Le nombre de divorces en 2014 était alors de 1,56 pour 0%. Comme indiqué dans notre précédente édition, l’ONS revient sur le vieillissement de la population algérienne, avec comme bénéfice net lié au progrès social, notamment celui de la médecine, d’une plus longue espérance de vie à la naissance. Toutefois l’ONS signale un taux de mortalité en hausse pour l’année 2015 évalué à 183.000 cas, c’est-à-dire une progression relative de 5,2% comparativement à 2014. Selon la même source, la population du pays a été évaluée à 40 millions d’habitants à l’orée de 2016, soit une hausse de 2,15%, ce qui équivaut à un million de nouveau-nés, avec des prévisions qui tablent sur une élévation du nombre d’habitants à 41,2 millions à l’orée de 2017. Cette importante progression est imputée au baby boom, puisque le seuil du million a été dépassé pour la deuxième fois consécutive pour atteindre 1,040 million de nouveau-nés en 2014.

Categories: Afrique

Tizi ouzou: Opération nettoyage

Thu, 14/07/2016 - 11:00

Les opérations de volontariat visent en fait à donner un nouveau souffle à cette tradition millénaire dans les villages de la wilaya.

La wilaya de Tizi Ouzou a vécu hier l’ambiance des volontariats à travers toutes les communes. L’initiative a été prise par le premier responsable de la wilaya qui vise à remettre sur les rails cette ancienne tradition de la région au goût du jour. Pour la réussite de cette action, plusieurs services et directions ont été mobilisés. Quelque 520 ouvriers et 75 engins de la voirie ont été mis à disposition afin de réussir la mission de nettoyage qui a débuté aux environs de 5h du matin. Au niveau de la ville de Tizi Ouzou, le coup d’envoi a été donné à la nouvelle-ville. Dans les communes, l’initiative a été suivie par les services de la voirie qui ont mobilisé les moyens des communes. Les opérations de volontariat initiées par le wali Brahim Merad visent en fait à donner un nouveau souffle à cette tradition millénaire dans les villages de la wilaya. Les populations locales ne découvrent pas ces gestes et réflexes. Bien au contraire, c’est juste un «renouement» ou un ressourcement.

L’importance de cette initiative réside cependant ailleurs. Si au niveau de la ville de Tizi Ouzou, les services de la voirie sont plus ou moins actifs, il n’en est guère de même dans les communes. L’hygiène, pour beaucoup de maires, passe au dernier plan. Pourtant, ce sont les élus, avant le wali, qui doivent être au courant de la nécessité de remettre au goût du jour les opérations de volontariat. Ancrés depuis des siècles dans les traditions villageoises, les volontariats ne devaient pas se passer de la collaboration des villageois. Les services de la voirie locaux devaient travailler en partenariat avec les villageois qui connaissent plus que quiconque les besoins. Cette coupure de contact entre les deux entités intervenant dans la gestion de la collectivité locale, les élus et les comités de villages, a eu comme conséquence la dégradation alarmante du cadre de vie des populations.

Deux conséquences dont les effets sont largement visibles et les conséquences incommensurables se présentent à l’observateur. D’abord, il devient évident que la tradition de volontariat dans les villages a disparu. Dans un passé récent, la période des premières pluies est précédée par des volontariats de nettoyage et de désengorgement des ponts et autres. Tous les villages s’animent à cette période. Aujourd’hui, tout s’est arrêté avec l’arrivée aux commandes des assemblées élues. Les élus n’ont pas su prendre le relais en pérennisant cette tradition. Le matériel des communes pouvait pourtant pérenniser ces réflexes en le mettant à la disposition des volontariats. Puis, en deuxième lieu, la coupure a eu comme effet l’impossibilité de faire avancer les projets visant à améliorer le cadre de vie des populations. Le manque de travail en collaboration et la rupture du dialogue ont engendré des situations conflictuelles qui bloquent la réalisation de ces projets.

L’exemple parfait de cette paralysie est l’impossibilité de réaliser plusieurs centres d’enfouissement techniques (CET). A Mizrana, Aghribs et Bouzeguène, des populations s’opposent tout en proposant d’autres sites moins nocifs pour l’environnement. Mais qui peut entendre qui? C’est enfin à la lumière de ces constats amers qu’apparaît toute l’importance de l’initiative du premier responsable de la wilaya. Faire renaître ces réflexes est le meilleur service à rendre à la wilaya. D’autres estiment que cette initiative devrait être rééditée avant les premières pluies tout en faisant participer les populations à travers les villages de la wilaya. C’est en cette période justement que l’initiateur pourrait contraindre les élus locaux à aller à la rencontre des villageois qui n’attendent que cela.

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Pour la deuxième fois consécutive en un an, Djezzy propose des départs volontaires à ses employés

Thu, 14/07/2016 - 10:46

Selon le quotidien El Watan, l’opérateur de téléphonie mobile Djezzy vient de lancer une offre de départ volontaire à l’ensemble de ses salariés ayant au moins une année d’exercice au sein de l’entreprise.

« Les employés de Djezzy ont été destinataires mardi soir d’un email leur proposant de quitter l’entreprise volontairement en contre-partie d’une prime variant selon certains critères, dont la durée d’expérience et le nombre d’enfants à charge. »

Interrogé par le quotidien, M.Salim Tamani,  responsable des relations publiques et médias de Djezzy, cette décision répond à « un plan de transformation de l’entreprise qui consiste à faire de Djezzy un fournisseur de services numériques de référence.  Il ne s’agit donc pas d’ »une réduction d’effectif », comme le précise l’article, mais plutôt d’un « réajustement du modèle opérationnel pour être plus agile ». D’ailleurs, précise-t-il, » Djezzy compte recruter de nouveaux profils universitaires, notamment des informaticiens et des ingénieurs qui peuvent mieux accompagner cette démarche. »

Par ailleurs, sur  les réseaux sociaux, des bruits courent sur la mauvaise santé financière de Djezzy qui expliquerait le recours à cette offre pour la seconde année consécutive. Pour rappel, Djezzy avait déjà lancé en août 2015 une offre de départ volontaire pour ses cadres.

Des employés de Djezzy appréhendent, sur les réseaux sociaux, de subir des pressions s’ils n’exprimaient pas la volonté de quitter l’entreprise.

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Distribution du second lot du programme AADL 1: On connaît les premières dates

Thu, 14/07/2016 - 10:45

Les dates fixées ne sont pas définitives. Elles pourront changer en fonction du nombre de logements réalisés.

Telle qu’elle a été annoncée il y a quelques jours par les services du ministère de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, la distribution du second quota du programme Aadl 1 de 2001-2002 englobant plus de 42.000 logements sur un total de 54.000, débutera effectivement dans sa première phase au courant de la deuxième quinzaine du mois en cours. En effet, et depuis hier, les premières dates de distribution de 15.000 logements sont connues.
La première opération est prévue, a-t-on appris de sources bien informées, pour la fin de ce mois et elle concernera la distribution de 3000 logements. Cette opération touchera plusieurs wilayas à l’image d’Alger, Oran, Constantine, Annaba, Tipasa, Blida…

La deuxième opération de distribution est prévue pour le mois de septembre prochain et concernera également 3000 logements. Alors que la troisième opération qui sera, selon les informations en notre possession, la plus grande opération de distribution programmée jusque-là aura lieu au mois de décembre et concernera la livraison de 9000 logements. Pour précision, ces dates ne sont pas fixées d’une manière définitive. Bien des changements par rapport à la date de leur déroulement et au nombre des logements à distribuer pourront avoir lieu, ont souligné nos sources.
Le nombre de logements livrable sera déterminé par le taux d’avancement des travaux. A ce titre, il est utile de rappeler que Abdelmadjid Tebboune, ministre de tutelle, a demandé auprès des cadres de l’Agence d’amélioration et de développement du logement (Aadl) réunis avant-hier à Alger de faire en sorte à ce qu’ils soient réalisés en un temps court.

Pour atteindre cet objectif, le ministre leur a préconisé, rappelons-le, de signer des conventions avec de bonnes entreprises parmi les entreprises nationales ou étrangères et d’agir en vue de leur faciliter la tâche sur le terrain.

Par ailleurs, il y a lieu de souligner que sur les 54.000 logements inscrits dans le cadre du programme Aadl 1, une partie ira aux souscripteurs du programme de l’Aadl 2 de 2013.
Il s’agit de surplus qui aura été enregistré dans beaucoup de wilayas, a souligné récemment Tebboune à l’occasion de la distribution du premier lot du programme Aadl 1 à Alger.

Cela pour ce qui est des wilayas ayant bénéficié des logements du programme Aadl 1. Quant aux wilayas n’ayant pas bénéficié, nos sources indiquent, que les directions de l’Aadl auraient déjà été instruites à l’effet d’entamer la réalisation du programme Aadl 2.
Ces directeurs ont été eux aussi soumis au même titre que les directeurs concernés par la réalisation du programme de l’Aadl 1 à faire très vite et pourquoi pas livrer le premier quota en même temps que l’Aadl1.

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Ultimatum fixé aux concessionnaires: Bouchouareb reste catégorique

Thu, 14/07/2016 - 10:39

«La loi sera appliquée dès janvier 2017», a martelé le ministre de l’Industrie et des Mines estimant que «ce n’est pas son problème si les concessionnaires ne sont pas prêts».

Pas de prolongation pour les concessionnaires. Le ministre de l’Industrie et des Mines promet d’appliquer la loi dès janvier 2017.

Les concessionnaires qui ne vont pas investir n’ont aucune chance de sauvegarder leur agrément. Interpellé sur ce sujet, en marge du débat sur le projet relatif au Code de l’investissement tenu hier au Sénat, Abdessalem Bouchouareb s’est montré catégorique.

«La loi sera appliquée dès janvier 2017», a-t-il martelé estimant que ce n’est pas son problème si les concessionnaires ne sont pas prêts. «C’est une décision de la loi de finances 2014», a-t-il rappelé en précisant que les concessionnaires avait un délai de trois ans pour engager des investissements. Sachant que la plupart des opérateurs automobiles traînent le pas, le ministre n’hésitera pas à appliquer la loi. Dans une instruction adressée récemment, Abdessalem Bouchouareb a mis en garde les concessionnaires de véhicules neufs en Algérie leur rappelant leur obligation d’investir dans l’industrie automobile sous peine de retrait de leur agrément.

Les concessionnaires sont invités à investir dans la fabrication ou la sous-traitance automobile, comme le stipule la loi de finances 2014. Ces derniers n’auront plus le choix d’investir ou disparaître. Sur les 40 opérateurs qui sont en activité, même pas une dizaine d’entre eux ont engagé des investissements. Nombre d’entre eux menacent de mettre la clé sous le paillasson. Affectés par la baisse des ventes en raison du blocage de l’importation des véhicules qui a duré presque une année, les concessionnaires se retrouvent entre le marteau et l’enclume. Le ministre a par ailleurs réitéré le maintien par l’Etat de la règle des 51/49%.
«Le contexte actuel nous impose de maintenir cette règle», a soutenu Bouchouareb qui justifie que cette loi n’a jamais été un handicap pour l’investissement.

«Le gouvernement reste attaché à cette règle qui sert l’économie nationale. On pourrait peut-être le faire à l’avenir, on aurait pu le faire avant. Mais nous n’avons aucun intérêt à l’alléger maintenant», a-t-il certifié.
Le ministre de l’Industrie s’est engagé à faciliter toutes les procédures et à octroyer tous les avantages pour les investisseurs qui s’inscrivent dans la démarche de la politique économique. Hier, les sénateurs ont mis l’accent sur les problèmes qui bloquent l’investissement. Le foncier, la corruption, la bureaucratie sont autant de handicaps qui freinent l’afflux des capitaux dans notre pays, estiment la plupart des intervenants au débat.
Le sénateur du FLN Abdelouahab Ben Zaiem a soutenu que c’est la bureaucratie qui bloque l’entreprise et l’investisseur.

La promotion et la facilitation des investissements ne doit pas se faire uniquement au sein des départements ministériels, mais il faut une collaboration avec les autres secteurs. Son collègue Belkacem Kara a relevé également le phénomène de la corruption qui fait fuir les capitaux en plus de la bureaucratie. Ce dernier a interpellé le ministre de l’Industrie et des Mines sur certains dysfonctionnements relevés dans l’octroi des projets.
«140 projets octroyés par la formule du gré à gré pour un montant de 10.000 milliards de dinars sans que des études ne soient faites», a-t-il dénoncé.

Le sénateur du RND, Réda Oushala a de son côté insisté sur le sort d’extension industrielle. «Des dispositions ont été prises, mais malheureusement ce projet reste au point de départ», a-t-il déploré. Ce dernier a soutenu que le foncier industriel doit être un moyen pour faciliter l’investissement par une fin en soi. Beaucoup de pseudos investisseurs ont bénéficié des assiettes foncières qu’ils ont revendues.

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La «bataille» du BAC a mis à nu l’intention de «L’ABATTRE»: Contrat sur Benghebrit

Thu, 14/07/2016 - 10:30

La ministre de l’Education nationale a montré une aptitude à la résistance assez exceptionnelle, faut-il le noter.

Alors que la majorité des Algériens attendait avec une pointe d’impatience que sonnent les coups de 20 heures, synonymes de la fin d’un long et douloureux calvaire pour les fonctionnaires de l’Education nationale, les parents d’élèves et les candidats, il était dit que le stress allait encore durer deux longues heures, avec en prime un effet de panique assortie de rumeurs de «haking» du portail Internet du ministère de l’Education nationale. Les chaînes de télévision qui avaient dépêché des équipes dans des foyers de candidats ont accentué l’effet provoqué par le retard et amplifié la dite rumeur. Le ministère de l’Education nationale qui a sans doute voulu prévenir une situation «dommageable» a déployé le plan «B» qui n’est autre que celui qui avait cours avant l’introduction des technologies de l’information et de la communication. Décision a été prise d’afficher les listes des lauréats dans les lycées aux environs de 22 heures trente. L’information s’est propagée telle une traînée de poudre et les élèves disposaient, de fait, d’une issue certaine à leur longue attente. Il n’était donc pas question de passer une autre nuit d’angoisse.

La thèse qui circulait jusqu’à 21 heures 50 n’était pas encore vérifiée, mais la réaction énergique du département de Benghebrit en dit long sur sa réactivité. Plusieurs centaines de lycées et autant de fonctionnaires étaient donc mobilisables sur tout le territoire national en l’espace d’une ou deux heures. Une prouesse remarquable qui dénote de l’efficacité opérationnelle de l’institution éducative face à une situation de crise. Déjà éprouvée par des fuites de sujets à une vitesse quasi «industrielle», à laquelle l’Etat a répondu par l’organisation d’un nouvel examen du baccalauréat en l’espace de trois semaines, le ministère de l’Education nationale a montré une aptitude à la résistance assez exceptionnelle, faut-il le noter.

L’on aura déduit de cet énième et dernier épisode du feuilleton du bac 2016, le trait de caractère d’une administration, mais aussi d’une ministre qui a tenu bon, face à des attaques pernicieuses des milieux islamistes, appuyées, à dessein ou pas, par des organisations syndicales promptes à tirer sur les ambulances. Cela en plus du fait que Mme Benghebrit a été prise pour cible par des milieux visiblement hostiles à l’épanouissement de l’école algérienne et au-delà de la nation elle-même. Mme Benghebrit qui pensait en avoir fini avec les attaques, a, sans doute vécu un stress intense et inattendu entre 20 heures et 22 heures, avant-hier.

Mardi, 22 heures, tout est rentré dans l’ordre. Les résultats étaient disponibles sur le site de l’Onec et les lycées avaient refermé leurs portes. Les Algériens en étaient pour une autre tentative de déstabilisation. Mais Algérie télécom lève le suspense et atteste dans un communiqué rendu public, hier, que le site de l’Onec n’a fait l’objet d’«aucune attaque ou acte de piratage».

L’opérateur public de téléphonie et de l’Internet se défend d’être à l’origine du blocage et souligne que «la publication récente des résultats de l’examen du BEM 2016 avait permis d’enregistrer 50,2 millions de consultations, tout en assurant un fonctionnement normal du site Web dédié à l’opération».
Algérie télécom pointe du doigt l’Onec qui disposerait d’un site inadapté à ce genre d’opération et préconise d’user d’un compte personnel pour chaque candidat pour éviter la surcharge qui a fait bugger le site. «L’accès au résultat se fait de façon simple sur la base du numéro d’inscription uniquement, ce qui augmente les sollicitations et multiplie les accès au site, alors qu’un accès personnalisé via un nom d’utilisateur et un mot de passe combiné avec des systèmes de protection de type «captcha» auraient permis de réduire significativement les sollicitations du site Web et de s’assurer de sa bonne utilisation», explique le communiqué.Cette explication d’Algérie télécom ne répond pas à la question fondamentale de la non-maîtrise des TIC par l’administration centrale, mais n’évacue pas pour autant les intentions de nuire à l’encontre d’une grande dame qui fait honneur à l’Algérie par sa vision, son combat pour une école moderne et par sa détermination à affronter les forces de l’inertie qui travaillent à tirer vers le bas le système éducatif algérien.

La bataille du baccalauréat a été donc remportée par la ministre grâce à une société solidaire qui, par son attitude face aux fuites, a permis à l’institution de rebondir et finir cette épreuve en beauté.

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Ali Haddad rencontre le représentant du FMI « La crise ne nous fait pas peur »

Thu, 14/07/2016 - 10:30

Fraîchement installé comme directeur adjoint au département Asie mineure et Moyen-Orient du FMI ainsi que comme responsable en charge de la supervision des opérations de cette institution en Algérie, M.Adnan Mazarei a tenu à sa demande une rencontre de travail, hier au siège du FCE, en présence du président du Forum, Ali Haddad, de Laïd Benamor et de Brahim Benabdesslam. Lors de cette rencontre, ont eu lieu des échanges fructueux sur la situation de crise qui prévaut dans le monde et en Algérie ainsi que sur les moyens d’en sortir.

«Le représentant du FMI nous a informés de la situation de crise qui traverse le monde. Il nous a également informés sur le choc pétrolier qui a mis en difficulté plusieurs pays. Il nous a dit que le pétrole ne dépassera jamais les 50 dollars d’ici 2019. De notre côté, nous connaissons la situation de crise dans laquelle se trouve le monde, et particulièrement l’Algérie, et nous sommes prêts à l’affronter même si le pétrole baissait au-dessous de 50 dollars pour longtemps. La crise ne nous fait pas peur», a déclaré Ali Haddad à l’issue de cette rencontre. De son côté, M. Mazarei a indiqué que le monde est aujourd’hui en crise et que celle-ci n’épargne aucun pays.

Néanmoins, mettant le point sur les pays producteurs de pétrole et mono-exportateurs, il a estimé que ceux-ci sont les plus touchés. «La crise est partout, mais les pays pétroliers sont les plus touchés. La situation est la même dans tous les pays pétroliers. Elle est difficile» a-t-il dit. Interrogé sur le concours du FMI dans le cas où l’Algérie y recourerait pour un endettement, M.Mazarei a estimé que «l’Algérie n’est pas dans une situation de besoin» et que «son recours à l’endettement n’est pas à l’ordre du jour». «L’Algérie n’a pas besoin de l’argent du FMI», a-t-il dit. Pour ce qui est des opérations du FMI en Algérie, l’hôte du FCE a indiqué qu’elles concernent le conseil technique et économico-politique, notamment auprès du ministère des Finances.

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VIDEO. L’incroyable indélicatesse de George W. ‪Bush

Thu, 14/07/2016 - 10:29

L’ancien président américain George W. Bush, tenant Michelle Obama par la main, s’est soudainement mis à danser lors des funérailles des policiers morts à Dallas.
L’ancien président américain George W. Bush s’est bien ridiculisé pendant les funérailles organisées en commémoration des cinq policiers morts à Dallas le 7 juillet dernier.

En entendant les premiers accords de l’Hymne de Bataille de la République, chant patriotique et ecclésiastique américain, l’homme politique n’a pas pu s’empêcher de chantonner et de danser.

L’ex-chef d’Etat américain tenait notamment d’une main sa femme Laura et de l’autre l’autre l’épouse du président américain en exercice Michelle Obama.

Les deux femmes étaient très embarrassées du comportement inapproprié de M.Bush. Michelle Obama a notamment lancé à son endroit quelques regards de biais et tenté de lui sourire lorsque lui, s’adonnant au plaisir de fredonner sa chansonnette préférée, secouait fortement la première dame de l’Etat par la main.

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