Les services de sûreté au niveau de l’aéroport international de Constantine ont arrêté une personne qui s’apprêtait à quitter le territoire national en possession de 33 pièces de monnaie archéologique. Le communiqué affirme que la Police de l’air et des frontières (PAF) de l’aéroport international de Constantine, ont récupéré 33 pièces de monnaie archéologique remontant probablement à la période romaine, dissimulées dans les bagages d’un individu qui était sur le point de quitter le territoire national. Des procédures judiciaires ont été engagées à l’encontre du mis en cause.
Le Directeur général des Douanes algériennes, Kaddour Bentahar, a affirmé, jeudi à Bordj Badji Mokhtar (800 km Sud d’Adrar), que l’administration douanière œuvrait à améliorer ses prestations en matière de protection de l’économie nationale, notamment aux frontières.
Inspectant les activités des services douaniers au niveau de cette wilaya déléguée, aux frontières Sud du pays, M. Bentahar a affirmé que l’administration douanière s’attelait à améliorer les prestations de ses agents, à travers une importante modernisation du secteur, pour être au diapason des avancées technologiques exploitées dans le contrôle de la circulation des biens, de sorte à protéger l’économie nationale et la santé du consommateur de façon générale.
Le DG des Douanes s’est enquis des activités des différents services relevant de l’inspection divisionnaire des douanes de Bordj Badji Mokhtrar, notamment dans le cadre du contrôle du commerce de troc ainsi que de la lutte contre la contrebande et le trafic de drogue.
Il a, à cette occasion, salué les efforts déployés par les agents douaniers et leur aptitude professionnelle, en dépit des conditions géographiques et climatiques contraignantes, caractérisant cette importante bande frontalière Sud partagée avec plusieurs pays du Sahel africain.
Cette visite de travail, qui entre dans le cadre de la mise en £uvre de la stratégie de la DG des Douanes, vise à insuffler une dynamique nouvelle aux activités du secteur en se rapprochant au plus près de ses éléments et brigades, en s’enquérant de leurs conditions de travail et en les incitant à faire preuve d’esprit responsable et de vigilance. Ceci, en plus de renforcer la coordination avec les différents corps sécuritaires dans le but de faire face à la criminalité transfrontalière, dans le contexte géopolitique actuel, a-t-on souligné.
Au terme de sa visite d’inspection des services douaniers de Bordj Badji Mokhtar, M.Bentahar devra partager un repas d’Iftar collectif avec les agents douaniers, en présence des autorités locales.
ÉTAPE 1 Coupez les abricots en deux et dénoyautez-les. Placez les fruits et le sucre dans une grande terrine et laissez macérer 12 heures environ.
ÉTAPE 2 Versez les fruits et leur jus dans une bassine à confiture. Portez à ébullition et maintenez le bouillon pendant 15 min. Vérifiez la cuisson.
ÉTAPE 3 Mettez en pots.
Comme de coutume, en pareille circonstance du mois sacré de Ramadhan, les opérations de circoncision s’annoncent ça et là, à travers le territoire de la wilaya à l’instar du pays.
La première du genre en ce mois, a été effectuée jeudi dernier au niveau de l’établissement hospitalier public le Dr Benzerdjeb, où l’association Kafil el Yatim s’est chargée de cette opération de circoncision au profit d’une quinzaine d’enfants âgés de 4 à 7 ans, issus de familles démunies dans une ambiance chaleureuse et conviviale.
Une équipe médicale constituée de médecins chirurgiens et infirmiers de l’hôpital en question, s’est acquittée de cette tâche traditionnelle au profit des bambins qui pour la circonstance, ont été dans leurs plus beaux habits de circonstance à savoir : des gandouras, chéchias et costumes de la circoncision.
De nombreux cadeaux et tenues vestimentaires ont été distribués à ces enfants lors de cette opération qui, il faut le noter sera suivie par une autre lors de la nuit du 27e jour de ce mois sacré.
Rien ne va plus entre le directeur de l’éducation de la wilaya de Bouira et le Cnapeste. En effet, dans une correspondance adressée au wali de Bouira et dont nous détenons une copie, le Cnapeste «déplore la fuite en avant du directeur de l’éducation» qui n’aurait pas pris en considération les recours introduits par ce syndicat de l’éducation concernant l’opération de renouvellement des membres des commissions paritaires du primaire et du moyen.
Juste après le déroulement des élections de renouvellement des membres des commissions paritaires représentant le corps enseignant, et qui avait eu lieu le 18 mai dernier, des anomalies ont été constatées dans certains établissements. Des directeurs du moyen auraient falsifié les
P-V, d’autres ont gonflé les chiffres en octroyant à ceux qu’ils veulent favoriser des résultats qui ne reflétaient guère la réalité des élections, et dans d’autres établissements et afin de ne pas avoir des élections transparentes et voir les véritables représentants des enseignants élus, l’affichage de la date des élections a été sciemment omis.
Aussi, le Cnapeste et avec des arguments solides appuyés par des signatures des enseignants au niveau de certaines circonscriptions dans lesquelles ces anomalies ont été relevées notamment dans la région de Aïn Bessem, Bir Ghbalou et même à Lakhdaria, avait introduit des recours quelques jours plus tard, le 23 mai dernier, adressés au directeur de l’éducation, et le lendemain, un autre recours a été envoyé au wali de Bouira.
Cependant, malgré les arguments détaillés dans ces recours, ni le directeur de l’éducation, ni le wali n’avaient bougé le petit doigt.
Aussi, et selon certains de ses représentants que nous avons rencontrés ce jeudi, le Cnapeste qui ne voulait en aucun cas perturber les examens de fin d’année espère la réaction du wali pour arrêter cette mascarade en convoquant de nouvelles élections afin que les enseignants soient démocratiquement représentés au niveau des commissions paritaires. Il y va de la stabilité du secteur de l’éducation au niveau de notre wilaya qui se reflétera d’une manière positive sur les résultats de nos enfants.
Pour l’heure, les hautes autorités n’ont toujours pas annoncé de successeur à l’ex wali Abdelghani Zaâlane désigné ministre des Travaux publics et du Transport. Seules des noms sont donnés ici et là sur les réseaux sociaux, des spéculations infondées pour certains, des certitudes pour d’autres. Le nouveau wali d’Oran aura du pain sur la planche avec d’épineux dossiers à gérer à l’instar de ceux du logement, du transport et de la propreté. Mais aussi, la gestion de l’évènement des Jeux méditerranéens de 2021.
Amel Bentolba – Oran
(Le Soir) – Plus de 3 000 familles sont dans l’attente de cette désignation qui tarde à venir, surtout pour celles qui vivent dans des habitations précaires. Ayant bénéficié de pré-affectations depuis le début de l’année, l’ex wali avait, à plusieurs reprises, insisté sur l’impératif de les reloger durant cet été.
Un relogement qui devra être suivi de l’éradication des habitations précaires avec en contre-partie des projets de réalisation de près de
6 000 unités. Sachant que la wilaya d’Oran compte près de 30 000 bidonvilles, devenus un véritable bisness à Oran pour tous ceux qui souhaitent être relogés ou au pire, obtenir un second logement. D’où la nécessité d’une véritable politique de gestion de ce dossier pour démasquer les vrais des faux nécessiteux en matière de logement. Mais, ça reste une question complexe. Tous les walis qui se sont succédé ont eu du mal à mettre un terme à l’apparition de ces bidonvilles, partout dans la wilaya.
Le transport, un autre dossier auquel devra faire face le nouveau wali et c’est loin d’être un dossier facile à gérer. Oran n’a à ce jour, pas pu appliquer son plan directeur de transport, et ce, malgré l’approbation d’une étude réalisée à cet effet. L’extension de la wilaya semble être l’un des motifs à ce retard. Mais, ce n’est pas une raison diront les experts qui estiment qu’il n’y a pas de véritable volonté pour l’appliquer. Ajoutant à cela le retard dans l’extension du tracé du tramway vers Belgaïd et l’annulation du projet du métro.
Les travaux publics constituent un volet important que le prochain wali devra accélérer notamment, le retard qu’enregistre le projet de la route de la corniche supérieure numéro 3, sachant que la saison estivale connaît chaque année des embouteillages monstres.
Oran semble également avoir un problème avec la gestion de ses déchets et la collecte des ordures. Il suffit de faire un tour à travers ses communes pour constater l’anarchie qui règne dans ce secteur. Un autre dossier, et pas des moindres que devra vite prendre en charge le nouveau wali.
Autant de dossiers urgents que la wilaya ne peut se permettre de mettre en stand-by, en attendant une désignation qui tarde à venir, même si nous dit-on «elle est imminente».
Guelma qui subit des températures extrêmes en ce quatorzième jour du mois de Ramadhan, vit une autre vague de chaleur.
Une canicule sévit depuis ce vendredi 9 juin, avec une température maximale relevée à midi se situant entre 35 et 36 degrés à l’ombre, selon les services de la météo, et promet d’augmenter encore dans les quatre jours qui viennent. Premier point chaud, donc, de la vague caniculaire annoncée et qui frappe cette semaine Guelma, qui n’est plus qu’une cite «morte», où les riverains ont déserté ce vendredi matin, rues, commerces et même les marchés des fruits et légumes.
Le quotidien des Guelmis en cette journée du mois sacré est donc bouleversé. La cité est quasi déserte mais la circulation automobile est très fluide, signe que les Guelmis se sont réfugiés chez eux ou bien dans les coins ombragés guettant les moindres bouffées d’air. La veille, les ventes d’eau minérale se sont multipliées, selon certains commerçants de la ville. Même constat pour les artisans d’entretien des appareils d’air conditionné qui ont connu un regain d’activité.
Cette vague de chaleur est malvenue, notamment pour les jeûneurs vulnérables mais aussi pour les candidats au baccalauréat qui entament les épreuves aujourd’hui.
Les spécialistes des services de prévention générale ont recommandé d’éviter les déplacements inutiles notamment pour les personnes âgées et les malades chroniques. Ces derniers ayant donné l’alerte dès l’annonce de cette canicule précisent qu’«il y a un risque de décès liés à l’hyperthermie», mais «si on applique les règles de prévention, on peut éviter ces complications dramatiques». En revanche, aucun problème majeur de santé n’a été signalé. Mais «les différents services des urgences des structures de santé de la wilaya ont enregistré une augmentation du nombre de patients présentant des symptômes ayant un rapport direct avec les fortes chaleurs et le jeûne, et certains se sont déplacés pour avoir des conseils», a expliqué un infirmier urgentiste dans une structure hospitalière de la wilaya.
«Les éléments de la Protection civile des différentes unités de la wilaya sont intervenus à plusieurs reprises pour des départs de feu, ainsi que pour des malaises et des déshydratations, survenus chez des personnes âgées», a indiqué une source proche de la Protection civile de la wilaya.
Des centaines d’étudiants de l’université d’El Affroun, dans la wilaya de Blida, s’affairent, chaque jour, à la recherche de restos du cœur pour manger à l’heure du ftour. Cette préférence pour les restos du cœur par rapport à la cuisine de leur campus est justifiée par la qualité et le goût des repas qui y sont servis.
De ce fait, ils bousculent, à leur corps défendant, les nécessiteux pour partager avec eux les repas du ftour, car, disent-ils, les plats servis dans les réfectoires de leur université sont loin d’égaler ceux des restos du cœur.
Pis, affirment-ils, ils ne sentent même pas l’odeur de la chorba ou autres plats réservés pour le mois de ramadhan, alors que, ajoutent-ils, de gros moyens sont déployés par l’Etat pour leur garantir des menus dignes du mois sacré. Ces étudiants, obligés de rester éloignés de leurs parents en raison de leur préparation aux examens de rattrapage ou au mémoire de fin d’année, ressentent cette nostalgie de l’ambiance familiale d’où leur proportion à la recherche de saveur qui leur rappelle les plats préparés par leurs mamans.
Sur un autre plan, ces étudiants auraient souhaité que le directeur des œuvres universitaires partage avec eux, ne serait-ce qu’une fois, les plats offerts au dîner du f’tour, pour qu’il prenne conscience du calvaire vécu par ces derniers, surtout qu’ils prennent un grand risque en quittant l’université pour se diriger à la ville d’El Affroun dans le but de trouver mieux.
Pour faire éclater leur colère quant à cet état de fait, certains étudiants utilisent les réseaux sociaux où ils dénoncent cette situation. Quelques-uns sont allés jusqu’à demander au ministère de l’Enseignement supérieur l’envoi d’une commission d’enquête pour évaluer la souffrance des étudiants durant ce mois de Ramadhan.
Sept (07) narcotrafiquants ont été arrêtés et une quantité de kif traité s’élevant à 127 kilogrammes a été saisie samedi par les éléments de la Gendarmerie nationale, a indiqué dimanche un communiqué du ministère de la Défense nationale (MDN).
« Dans le cadre de la lutte contre la contrebande et la criminalité organisée, des éléments de la Gendarmerie nationale ont arrêté, le 10 juin 2017 à Oran, Nâama et Tlemcen/2 RM, sept (07) narcotrafiquants et saisi une quantité de kif traité s’élevant à 127 kilogrammes, tandis que des Gardes-frontières ont saisi 9500 unités de cigarettes de différentes marques à Tlemcen », a précisé la même source.
A Bordj Badji Mokhtar/6 RM, un détachement de l’Armée nationale populaire a intercepté 5 contrebandiers et saisi un camion, un véhicule tout-terrain, 18 kilogrammes de kif traité et 3.000 litres de carburants.
Par ailleurs à Annaba/5 RM, des éléments des Garde-côtes ont déjoué une tentative d’émigration clandestine de 13 personnes à bord d’une embarcation de construction artisanale, tandis que 24 immigrants clandestins de différentes nationalités ont été appréhendés à Tamanrasset, Ghardaïa et Tlemcen, a relevé la même source.
L’Etablissement public de transport urbain et suburbain d’Alger (ETUSA) renforcera à partir du dimanche 11 juin en cours ses navettes bus en direction des Sablettes afin de répondre à la demande en matière de déplacement dans la capitale durant le Ramadhan, a-t-elle indiqué dans un communiqué.
Ainsi, les navettes bus seront renforcées avec comme points de départs les stations de la Place du 1er mai, Bachdjerah, la Place des Martyrs, Grande-Poste, Ben Aknoun et d’El Harrach vers ce lieu de loisirs.
Le premier départ après la rupture du jeûne (f’tour) est prévu à 21h, ajoute le transporteur public urbain d’Alger.
Pour rappel, en réponse à la forte demande en matière de transport durant le mois de Ramadhan, L’Etusa a établi un aménagement horaire qui permet à ses usagers de se déplacer sur l’ensemble du réseau de la capitale habituellement desservie avec un service de nuit spécial.
Les banlieues Est, Ouest et Sud de la capitale, à savoir les secteurs de Dergana, de Zeralda et de Hamadi, sont également concernées par ce programme.
Pendant les jours ouvrables (du dimanche à jeudi), le réseau bus de l’Etusa couvre un total de 90 lignes régulières dont 25 du réseau affrètement.
Ainsi, le service Jour est programmé sur une plage horaire avec un premier départ à 5h30 et le dernier départ à 19h05.
Quant au service de Nuit, le premier départ après la rupture du jeûne est programmé à 21h tandis que le dernier départ est prévu à 2h00 du matin.
Durant le week-end (vendredi et samedi), le réseau est renforcé par trois (3) autres lignes qui sont réajustées en fonction des besoins du trafic réel.
Les épreuves du baccalauréat ont coïncidé cette année avec le mois sacré du Ramadhan. Toutefois, les conditions climatiques ne semblent pas affecter le moral des candidats aux épreuves de fin d’année scolaire 2016-2017, notamment les candidats au bac. En effet, contrairement aux années précédentes, parents d’élèves et candidats reconnaissent unanimement que le climat est clément en ce début de mois. Selon un communiqué de la sûreté de wilaya de Laghouat, en sus des rondes programmées et inopinées, des éléments de la police ont été déployés devant l’ensemble des centres d’examen et des numéros verts vulgarisés à grande échelle. De même pour les éléments de la Protection civile qui se sont déployés sur le terrain pour faire face aux risques de malaises pouvant affecter les candidats. Une tournée au niveau de quelques centres d’examen nous a permis de constater que les salles sont climatisées. Ils sont 7 955 élèves, toutes filières confondues, concernés par ces épreuves pour tenter de décrocher le sésame permettant l’entrée à l’université. Ils se sont rendus dans 58 centres d’examen retenus à travers le territoire de la wilaya, dont 7 nouveaux centres au nord de Laghouat pour les candidats libres. Parmi ces candidats, 8 601, soit 51,95 %, passeront l’examen en qualité de candidats libres. Le nombre de filles candidates libres s’élève à 3 341 filles soit un taux de 38,84%. Pour la majorité des candidats aux épreuves du bac, s’agissant d’un examen national, il est normal qu’il n’y aura pas de mesures exceptionnelles pour les régions du Sud du fait que le même programme soit étudié durant l’année dans l’ensemble des établissements scolaires de la République. D’où les mêmes sujets d’examen sont décidés pour tous les candidats. Par ailleurs, inquiets pour l’avenir de leur progéniture, pour cause des retards cumulés dans les programmes scolaires en raison des grèves enregistrées durant l’année scolaire, les parents d’élèves craignent les résultats catastrophiques enregistrés par la wilaya de Laghouat dans un passé récent. Plusieurs parents d’élèves approchés par Liberté n’ont pas caché leur déception quant aux contre-performances que continue à enregistrer leur wilaya en matière d’enseignement. Pour beaucoup d’entre eux, le mal de l’éducation dans cette wilaya du sud du pays est à chercher, d’une part, au sein même des services de la direction de l’éducation qui nécessitent une refonte en profondeur et, d’autre part, à la nécessité de hisser le niveau de l’encadrement administratif des lycées. Car, il faut dire qu’à Laghouat, il y a des signes avant-coureurs qui renseignent sur un secteur stratégique qu’on sait du reste déjà malade. La réalité est que la majorité de ses établissements scolaires présente des déficits énormes en encadrement de qualité, ce qui se répercute inévitablement sur la qualité de l’enseignement. Lesquels déficits sont la cause principale des contre-performances enregistrées lors des examens de fin d’année.
Zakat El-Fitr pour le mois de Ramadhan a été fixée cette année à 100 DA, a annoncé dimanche le ministère des Affaires religieuses et des wakfs.
Le ministère a appelé dans un communiqué à s`acquitter de Zakat El-Fitr, précisant que sa valeur avait été fixée cette année à 100 DA, soit un « Sa`a » (une mesure) de nourriture équivalant à 2 kg.
Le ministère a, par ailleurs, indiqué avoir chargé les imams des mosquées de procéder, en collaboration avec les comités religieux des mosquées à travers l`ensemble du territoire national, à la collecte de Zakat El-Fitr à compter du 15ème jour du mois de Ramadhan en vue de la distribuer aux nécessiteux, un ou deux jours avant Aïd El-Fitr ».
L’Algérie lance la 2éme campagne de collecte de sang, coïncidant avec le mois du ramadhan, indique dimanche dans un communiqué, l’Agence nationale du sang (ANS) qui mène diverses manifestations de sensibilisation à travers le territoire national sur l’importance de ce geste « vital ».
L’Algérie, qui célèbre le 14 juin de chaque année la Journée mondiale du don de sang, lance la 2éme campagne de collecte de sang en partenariat avec la Direction générale de Sûreté nationale (DGSN) et impliquant de nombreux partenaires de « façon étroite » tels que le ministère des Affaires religieuses et des Wakfs, diverses administrations, entreprises publiques et privées, les opérateurs de téléphone mobile, la Télévision algérienne, les Radios, la presse écrite et le milieu associatif, précise la même source.
Qualifiant ces partenaires d’incontournables » de cette noble cause, l’Agence nationale du sang convie l’ensemble des médias à couvrir cette Journée afin de « contribuer à l’instauration d’une culture du don de sang dans notre société ».
Cette seconde campagne vise à « sensibiliser nos concitoyennes et nos concitoyens à l’importance du don de sang d’une part et d’autre part de rendre un vibrant hommage à tous les donneurs bénévoles », précise l’ANS, rappelant que le thème retenu par l’Organisation mondiale de santé (OMS) pour cette année est : « Le don de sang dans les situations d’urgence » et le slogan « Donneur du sang. Donner maintenant. Donner souvent », Dans ce cadre, et en coordination avec les directions de la Santé et de la Population à travers les structures de transfusion sanguine et en partenariat avec la Fédération algérienne de donneurs de sang, le mouvement associatif ainsi que les différents partenaires, l’ANS organise diverses manifestations à travers le territoire national.
Il s’agit notamment, des portes ouvertes de sensibilisation, collectes de sang, cérémonies honorifiques au profit des donneurs de sang, conférence de presse, précise l’organisateur, notant que la célébration de cette journée coïncide avec le mois sacré de Ramadhan.
En outre, et pour la première fois, au niveau de la wilaya d’Alger (tous les vendredis au bastion 23), une collecte est organisée sous le thème « Vendredi du partage ».
La première campagne effectuée du 28 au 30 mars 2017 au sein des structures de la Sûreté nationale a permis de collecter près de 6000 poches de sang au profit des patients, est-il rappelé.
Durant le mois de Ramadhan 2016, 43 770 poches de sang ont été collectées travers les 217 structures de transfusion sanguine réparties à l’échelle nationale. 649 080 candidats se sont présentés et un total de 557 007 poches de sang ont été collectées, soit une augmentation de 3.2% par rapport à l’année 2015.
« Malgré ce chiffre appréciable, ce dernier reste insuffisant vu qu’un tiers (1/3) des dons provient encore de donneurs de compensation ou familiaux aussi les deux-tiers (2/3) des dons collectés sont réalisés en site fixe et un tiers (1/3) en collecte mobile », déplore l’agence.
Tout en relevant que le nombre de dons pour 1000 habitants est un « indicateur de la disponibilité » en sang, elle fait savoir qu’en Algérie, le taux est de 13,92 dépassant le taux moyen de 11,7 des pays à revenu intermédiaire. Les hommes étant plus nombreux que les femmes à recourir à ce geste, soit 78% des donneur alors que la pyramide des âges de donneurs révèle un niveau élevé chez les personnes âgées entre 27-36 (32%), 18-27 ans (27%), 36-45 ans (25%), et un niveau bas chez les personnes âgées entre 46-54 ans (11%) et 55-66 ans (5%).
En 2016, la mobilisation durant la Journée mondiale du don de sang a permis de collecter 8 212 dons de sang et 10 039 poches de sang lors de la Journée maghrébine du don de sang, célébrée le 30 mars 2017 .
800 g de pommes de terre, 1 œuf + 1 jaune d’œuf, 4 c. à s. de farine, 50 g de beurre, 5 cl d’huile, 2 pincées de noix de muscade, sel, poivre. Pour la farce : 500 g de viande hachée, 1 oignon, 1 gousse d’ail, 6 brins de persil, 1 clou de girofle, 1 feuille de laurier, 1 pincée de thym, poivre, sel
Lavez les pommes de terre et faites-les cuire avec leur peau dans de l’eau bouillante salée. Mettez dans une sauteuse la viande, l’oignon, l’ail haché, les brins de persil noués, la feuille de laurier, le clou de girofle et le thym. Salez et poivrez. Couvrez d’eau et laissez cuire sur feu doux jusqu’à évaporation du liquide. Pelez les pommes de terre, écrasez-les à l’aide d’une fourchette et ajoutez-y le beurre, 2 c. à s. de farine, l’œuf entier et le jaune, salez, poivrez et ajoutez une pincée de noix de muscade. Mélangez le tout à l’aide d’une fourchette, jusqu’à obtention d’une pâte homogène que vous étendrez sur de la farine à l’aide d’un rouleau à pâtisserie jusqu’à ce qu’elle ait une épaisseur de 1 cm. Mettez la farce sur cette pâte après avoir retiré les brins de persil, le laurier et le clou de girofle. Roulez la pâte sur elle-même, de façon à obtenir une forme cylindrique que vous découperez en tranches de 2 cm d’épaisseur. Passez-les dans la farine. Mettez l’huile dans une poêle. Une fois l’huile bien chaude, disposez les tranches que vous laisserez dorer sur les deux faces. Egouttez. Remarque : Servez chaud, accompagné d’une salade.
1 gros oignon, 1 grosse tomate, 1 courgette, 30 g de beurre, 2 tranches de pain de mie, 2 c. à s. de crème fraîche épaisse, 75 g de gruyère, 200 g de fromage blanc, 2 œufs, 1 c. à s. de persil haché, 2 pincées de noix de muscade râpée, sel et poivre. Pour la pâte : 300 g de farine, 150 g de beurre, 1 œuf, 1/2 c. à s. de sel
Préparez la pâte : Tamisez la farine et le sel dans une terrine, incorporez le beurre et juste assez d’eau glacée pour former une pâte souple mais non collante. Laissez reposer. Pelez l’oignon et hachez-le.
Pelez la tomate, pressez-la pour en extraire l’eau et les pépins, puis coupez-la en dés. Pelez la courgette et râpez-la grossièrement. Faites fondre le beurre dans une poêle. Ajoutez-y l’oignon haché et la courgette, laissez-les fondre 5 min, puis ajoutez la tomate et laissez cuire encore 3 min à feu doux. Versez dans une jatte et laissez refroidir. Travaillez la mie de pain avec la crème. Coupez le gruyère en petits dés. Ajoutez au contenu de la jatte le fromage blanc, les œufs, la mie de pain et la crème, le gruyère et les herbes.
Assaisonnez de sel, de poivre et de noix de muscade, puis mélangez bien. Faites chauffer le four à 220 °C, th. 8. Battez l’œuf à la fourchette. Divisez la pâte en 4 portions égales et aplatissez-les au rouleau en cercles d’environ 20 cm de diamètre. Badigeonnez légèrement le bord d’œuf battu, déposez au centre de chacune le quart de la farce, puis repliez les bords pour enfermer la farce, pincez pour souder et coupez la pâte en trop.
Disposez les corniottes, fermeture vers le bas, sur la tôle du four beurrée et badigeonnez-les d’œuf battu. Roulez les chutes de pâte en boule, aplatissez-les et découpez 8 longues bandes.
Entourez chaque corniotte de 2 bandelettes de pâte en croix, comme pour ficeler un paquet. Badigeonnez une fois encore d’œuf battu et faites cuire de 30 à 35 min à mi-hauteur du four, la pâte doit être bien dorée et croustillante. Servez.
La crise entre l’Arabie Saoudite et le Qatar semble avoir modifié la perception de la mouvance islamiste algérienne à l’égard du régime wahhabite. Avec des mots durs, ses alliés d’hier émettent des critiques sans limites et avouent avoir des craintes pour l’avenir de certaines questions centrales du monde musulman.
Abla Chérif – Alger (Le Soir) – Et c’est comme si ce monde musulman avait basculé cette dernière semaine lorsque, contre toute attente, l’Arabie Saoudite annonçait la rupture de ses relations avec le Qatar. Elément indissociable des monarchies du Golfe qui font locomotive avec le reste des Etats arabo-musulmans, le petit voisin est soudain mis au banc des accusés, cloîtré dans une muraille bien fragile où la présence des deux plus grandes bases américaines de la région ne semble plus signifier grand-chose en ces temps.
Les émirs régnant sur ce minuscule territoire sont accusés de financer les groupes terroristes qui menacent dangereusement tout l’équilibre géopolitique de la sphère. Les pistes émises par les plus grands analystes de la planète pour tenter de comprendre les enjeux en cours sont pourtant balayées d’un revers de la main par ce qu’il est convenu d’appeler les gardiens de la pensée islamiste en Algérie.
Allié il y a encore quelques jours, le régime wahhabite est soudain vu sous un autre jour. Celui du grand frère qui a failli à ses obligations, trahi la «famille» en se pliant aux volontés de satan. Pris dans ses obligations, Abderrezak Mokri n’hésite pas à prendre le temps d’expliquer son point de vue. Le patron du Mouvement de la société pour la paix (MSP) assène ses vérités : «C’est une position désolante, irresponsable, une soumission inconcevable.
Cette crise va se dissiper sans nul doute, mais elle laissera incontestablement des séquelles dans le monde musulman qui a besoin d’union. Cette position risque de jeter davantage le trouble et accentuer les dissensions dans le monde arabo-musulman. Comment prendre une telle décision sans tenir compte de ses conséquences sur le peuple qatari lui-même, sans tenir compte de tous les citoyens de ce pays bloqués un peu partout, et il y en a beaucoup ?» L’origine de la crise est une question qui ne se pose pas, soutient Mokri. «En tant que politiciens, nous nous en tenons aux faits et aux déclarations publiques. Les premiers responsables de cette situation ont exigé du Qatar qu’il cesse de soutenir le Hamas palestinien. Tout a été dit…»
Doubi Mohamed Salah, secrétaire général du Mouvement Ennahda, développe : «La nouvelle en question nous a réellement inquiétés. Nous sommes face à un travail diplomatique étrange. Tous ces Etats qui ont rompu leurs relations avec le Qatar coopèrent avec l’Arabie Saoudite. Les raisons de cette démarche ont un lien indéniable avec les groupes qui agissent pour modifier l’équilibre régional au profit d’Israël. Le but est de stopper l’aide fournie par le Qatar au mouvement palestinien. C’est le résultat de la visite de Trump, il l’a dit lui-même. L’administration américaine l’a contredit en appelant au dialogue, mais le mal est fait. Pour toutes ces raisons, nous soutenons totalement la position officielle de l’Algérie qui a su, une nouvelle fois, garder sa neutralité et faire preuve de sagesse en appelant au dialogue.»
Benkhelfellah du FJD (Front pour la justice et le développement) saisit l’opportunité de la question qui lui a été posée pour placer un commentaire taquin. «Vous savez, on nous a fait la même chose ici. On a coupé toutes relations avec nous en nous empêchant d’entrer à l’APN en dépit de tous les dossiers réglementaires et le travail sans faille que nous avons fournis.
Mais notre position à l’égard de la crise qui sévit dans le Golfe est la même que celle des officiels algériens. Nous sommes pour le dialogue, nous ne voulons pas d’affrontements, les peuples en pâtissent trop. Les responsables de cette situation ont démontré qu’ils obéissent à Trump et aux Etats-Unis. Réalisez-vous que cette décision a été prise en plein mois de Ramadhan, sans se soucier des répercussions qu’elle pourrait avoir sur le système alimentaire du Qatar. La logique n’aurait-elle pas été de régler cette crise entre pays musulmans ?»
Pomme de terre, carottes courgettes, œufs, 80 g de fromage râpé, 1 bouquet de persil, huile, sel, poivre
1/ Epluchez les carottes et les pommes de terre. Lavez les courgettes. Coupez tous les légumes en dés et faites-les cuire 15 minutes dans l’eau bouillante salée.
2/ Egouttez-les et mettez-les dans un saladier. Ecrasez-les grossièrement à la fourchette.
Lavez, séchez, effeuillez et ciselez le persil. Ajoutez-le dans le saladier.
3/ Battez les œufs en omelette et versez-les sur les légumes. Ajoutez le fromage, poivrez, mélangez bien.
Façonnez des petites galettes de légumes.
4/ Préchauffez le four en position grill. Faites chauffer quatre cuillères à soupe d’huile dans une sauteuse. Faites-y dorer les galettes des deux côtés.
Posez-les ensuite sur une feuille de papier sulfurisé et enfournez. Faites cuire 15 minutes.
La traversée maritime de voyageurs Marseille-Skikda, qui n’a pu être effectuée lundi soir en raison d’une avarie survenue sur le car-ferry Tariq Ibn Ziad, a été assurée mardi 6 juin à 21h, par le car-ferry Tassili II, a indiqué l’Entreprise nationale de transport maritime de voyageurs (Entmv) dans un communiqué.
«En raison d’une avarie occasionnée sur le système de propulsion du car-ferry Tarik Ibn Ziad, il a été décidé de surseoir au départ de ce navire sur Skikda en date du 5 juin à 21h, et ce, pour des raisons liées à la sécurité des passagers, de l’équipage et du navire», lit-on dans le communiqué. Cette même traversée a été assurée mardi, à 21h, par le car-ferry Tassili II qui a été dépêché à vide de Barcelone (Espagne) sur Marseille (France), ajoute la même source.
Quant aux 202 passagers (avec 110 véhicules), qui étaient prévus de voyager mardi 6 juin, à 20h, sur le car-ferry Tassili II sur la liaison Barcelone-Mostaganem, ils ont été transférés par l’Entmv, avec une prise en charge totale des frais, sur Valence, en vue de les embarquer sur un autre navire assurant la ligne Valence-Mostaganem. «Ces passagers, ayant été indemnisés, ont accepté la proposition de l’Entmv, tandis que la situation aux ports de Marseille et de Barcelone est rentrée dans l’ordre», affirme l’Entmv.
A rappeler que cette entreprise publique exploite trois navires seulement, dont un est en arrêt technique.
Le cherbet est une citronnade ou limonade d’Algérie. On trouve les meilleurs cherbet à Boufarik située à une trentaine de kilomètre d’Alger. Cette boisson à base de citron très rafraichissante est sur toutes les tables de ftour pendant le Ramdan. Pour ceux rentrés au bled, il sera facile d’en trouver à tous les coins de rues. Fraiche, sucrée et à la fois acide, cette citronnade algéroise a aussi un symbole particulier pour le Ramadan puisqu’on la fait boire généralement aux enfants qui jeûne pour la première fois.
Ingrédients:Une fois l’heure du ftour, vous pouvez goûter votre cherbet et y rajouter du sucre si nécessaire. Vous pouvez aussi remplacer le sucre par du miel, cela donne un petit arrière goût tout aussi agréable.