La cour supérieure du Quebec vient de déclarer Air Algérie « non responsable des dommages causées par le retard » enregistré sur un vol entre Alger et Montréal, déboutant 160 passagers qui ont intenté un recours collectif contre la compagnie nationale.
Ce verdict favorable à Air Algérie met fin à une saga judiciaire qui a commencé le lendemain de l’arrivée à Montréal du vol AH 2700 du 13 octobre 2009 avec 15 heurs de retard- le décollage prévu à 14h45 ne s’étant fait que le lendemain vers 5 heures du matin.
The post La justice canadienne tranche en faveur de « Air Algérie » appeared first on .
par Moncef Wafi
Lancé aux États-Unis en octobre 2016, le nouveau service de Facebook, Marketplace, qui permet à ses utilisateurs d’acheter et vendre des articles neufs et d’occasion via des petites annonces, devra être disponible «dans les prochaines semaines» en Algérie, en Egypte et au Maroc. Facebook apporte pour la première fois sa plate-forme de vente en ligne Marketplace au Moyen-Orient avec comme pays pilotes, l’Algérie, le Maroc et l’Egypte où le marché sera déployé, a notamment déclaré un porte-parole du réseau social. Ce dernier indiquera également que l’expérience sera étendue dans d’autres pays de la région du Moyen-Orient «au fur et à mesure que nous apprendrons et recevrons des commentaires des gens sur la façon dont ils utilisent Marketplace». La fonctionnalité sera disponible dans les trois pays d’Afrique du Nord en anglais et en arabe sur le bureau et pour les utilisateurs mobiles iOS et Android, a annoncé lundi le réseau social. Les Algériens, ainsi que leurs voisins marocains et égyptiens, pourront ainsi intégrer les 550 millions d’utilisateurs dans le monde de la plateforme, disponible déjà dans 52 pays. Constatant que plus de 450 millions de personnes utilisent des groupes Facebook pour acheter, vendre, échanger et troquer, le réseau social, et pour rationaliser ce processus, a introduit le Marketplace. Il est décrit comme une «destination pratique pour découvrir, acheter et vendre des articles avec des personnes dans votre communauté». Facebook Marketplace est également un flux de photos d’articles à vendre, de sorte que la première image doit accrocher, capter l’attention des utilisateurs acheteurs potentiels. Plus en détails, Facebook Marketplace est lié au profil Facebook de l’utilisateur, ce qui le rend, pour ses initiateurs, un peu plus crédible. La plateforme conseille que pour vendre un article, il faut créer une publication publique visible par tous ceux qui consultent le Marketplace et dans le fil d’actualité, les résultats de recherche et d’autres endroits sur Facebook et en dehors. Ce nouveau service devra donc permettre à ses utilisateurs algériens, marocains et égyptiens de vendre et acheter des objets en ligne. Il ne s’agit pas de paiement intégré, mais juste un moyen de mettre en contact vendeurs et acheteurs à la manière des sites de petites annonces en ligne. En service donc depuis octobre 2016 aux Etats-Unis, mais aussi en Australie, Canada, Royaume-Uni, Mexique, Chili ou encore Nouvelle-Zélande, la plateforme a déjà permis la vente de plus de 18 millions d’objets. La firme de Mark Zuckerberg ne gère pas directement la vente (paiement ou livraison), mais se contente de mettre en relation acheteurs et vendeurs par le biais de leurs profils publics qui seront accessibles. Il sera alors simple de savoir si la personne peut être digne de confiance ou non en sachant depuis combien de temps elle est inscrite sur le réseau, où se situe-t-elle, si vous avez des amis en communThe post Achat et vente en ligne : Facebook Marketplace arrive en Algérie appeared first on .
The post Approvisionnement en eau potable : Même s’il pleut, le dessalement reste la meilleure solution appeared first on .
La demande mondiale d’or a reculé en 2017 malgré un rebond au dernier trimestre, selon le rapport annuel du Conseil mondial de l’or (CMO) publié hier à Londres. La demande annuelle d’or s’est élevée à 4 071,7 tonnes en 2017, en baisse de 7% par rapport à l’année précédente. La demande mondiale d’ETF (Fonds d’investissements adossés à des stocks physiques), qui se concentre principalement aux Etats-Unis et qui concerne surtout les investisseurs institutionnels, a atteint l’équivalent de 202,8 tonnes en 2017, soit une chute de 63% par rapport à l’année précédente.
The post La demande d’or des investisseurs a reculé en 2017 appeared first on .
Mise en oeuvre d’un programme de conversion de 500.000 véhicules sur la période 2018 -2021. Ce qui va permettre une économie nette de 2,19 milliards de dollars sur la période 2018-2030.
Comment réduire le coût des importations de carburants et polluer le moins possible? Une question à la réponse toute simple. Il suffirait pour cela que les raffineries du pays produisent plus de gaz propane liquéfié carburant (GPLc) et également de multiplier à grande échelle la conversion des véhicules au GPLc. Si la première condition est tout à fait à la portée, compte tenu des capacités de production largement suffisantes (8 millions de tonnes), la seconde relève plus du plan d’action que compte mener le ministère de l’Energie pour y arriver. Ce plan, piloté par l’Agence nationale pour la promotion et la rationalisation de l’utilisation de l’énergie (Aprue), a été présenté hier à la presse tour à tour par Samir Houghlaouène directeur de l’Agence de l’autorité de régulation des hydrocarbures (ARH), Mustapha Nouri,directeur GPLc à l’entreprise Naftal et enfin Kamel Dali, directeur des projets à l’Aprue. Ainsi le directeur GPLc a dans sa présentation sur les perspectives de développement du «carburant propre» sur le marché national a surtout mis en exergue les mesures incitatives en vigueur pour le développement du GPLc. Concernant le volet finances il a indiqué entre autres que l’Etat prend en charge 50% du prix de l’importation de 50.000 kits de conversion pour l’année 2018. Ce dernier a aussi fait savoir qu’en vertu d’une convention passée entre son entreprise et l’Ansej, portant sur la création de microentreprises spécialisées dans la conversion de véhicules au GPLc, Naftal a formé 10 techniciens installateurs dans 10 wilayas pilotes. Nouri a rappelé qu’il a été demandé au ministère de l’Industrie et des Mines d’exiger des constructeurs automobiles de produire un quota annuel de 10% de véhicules à motorisation essence équipés d’un kit GPLc. Au sujet des moyens matériels à mettre en place pour atteindre les objectifs escomptés, le responsable a dit que Naftal prévoit dans son programme d’investissement (2018-2020) de multiplier ses capacitées de stockage de GPLc pour atteindre 44.000 tonnes. L’entreprise de distribution de carburant va également multiplier ses points de vente en la matière. «pour faire en sorte que le GPL soit disponible tous les 20 km», a expliqué Nouri. A propos du développement des centres de conversion, ce dernier a informé qu’en 2018, Naftal va mettre en place 50 centres de conversion ce qui va permettre d’augmenter les capacités de conversion à 25.000 véhicules par an. Une capacité qui passera à 30.000 en 2019 et une prévision de 40.000 véhicules en 2020. En résumé, le plan de développement a comme objectif d’atteindre la conversion de 500.000 véhicules au GPLc en 2020. «Chose que nous pouvons réaliser et même plus» a lancé Nouri. De son côté, Kamel Dali s’est surtout focalisé sur la campagne de communication et de sensibilisation que compte mener l’Aprue pour accompagner le programme de conversion des véhicules. Concernant le public ciblé dans le programme de développement, il va concerner dans un premier temps, c’est-à- dire en 2018,50.000 taxieurs et autant de particuliers. Ces derniers vont bénéficier d’une aide de l’Etat à hauteur de 50% du coût de la conversion. «L’enveloppe financière de cette aide s’élève à 3,5miliards de DA», a précisé Dali. Ce dernier a par ailleurs tenu à faire savoir que les tarifs de conversion sont établis en fonction de la puissance du moteur du véhicule. «Le seuil a été fixé à 60.000 DA, et plus le moteur est puissant plus le coût de la conversion est élevé», a expliqué ce dernier. Samir Houghlaouène a pour sa part donné un aperçu sur le coût prévisible du programme de conversion de 500.000 véhicules au GPLc et ses retombées positives sur l’économie du pays. Il a ainsi informé que le coût global, prévisible, pour la mise en oeuvre du programme de conversion de 500.0000 véhicules sur la période 2018 -2021, est de 37,43 milliards de DA, dont 131, 51 millions de dollars.
«Ce programme va permettre une économie nette de 2,19 milliards de dollars sur la période 2018-2021» a souligné Houghlaouène. C’est dire enfin l’importance de développer le parc national automobile roulant au GPL carburant.
The post Perspectives de développement du GPL carburant : Conversion de 500.000 véhicules à l’horizon 2021 appeared first on .
Rien que dans la wilaya de Tizi Ouzou connue pour la notoriété de ses huiles produites à travers toute l’Afrique du Nord et même outre-Méditerranée, les services de l’agriculture ont accompagné le producteur dans toutes les phases de la chaîne de production.
Dans l’abstrait, la forte croissance enregistrée dans le monde en matière de production d’olive concerne aussi l’Algérie. Le Conseil oléicole international (COI) la classe au septième rang mondial avec une production de 80 000 tonnes et une croissance de 27% par rapport à la saison 2016-2017, mais sur le terrain de la réalité, ni la croissance ni la production ni même le classement dans le top 10 ne profitent à l’Algérie. La production nationale d’olive et d’huile d’olive n’a pas pu et su intégrer les circuits commerciaux internationaux. L’intégration des places marchandes mondiales est encore difficile. Mais pourquoi?
Depuis de nombreuses années, l’Etat met le paquet pour soutenir les producteurs parsemés à travers plusieurs régions du pays bien que l’essentiel est concentré dans les wilayas du Centre, de Kabylie surtout. Parallèlement à l’investissement financier, les techniciens des tous les services agricoles ont investi le terrain pour accompagner le producteur dans toutes les phases de production. Des résultats probants ont été atteints. La qualité de l’huile et des olives produites est incontestablement meilleure et plus adéquate aux normes de commercialisation imposées dans le monde.
Rien que dans la wilaya de Tizi-Ouzou connue pour la notoriété de ses huiles produites à travers toute l’Afrique du Nord et même outre-Méditerranée, les services de l’agriculture ont accompagné le producteur dans toutes les phases de la chaîne de production. Au niveau des huileries, les propriétaires reconnaissent que ces techniciens sont constamment au service à tous les moments. «Ce n’est pas comme avant, les techniciens sont très serviables. Ils donnent le maximum d’eux-mêmes. Franchement, ils sont toujours là quand on les appelle» reconnaît un propriétaire d’huilerie. Mais alors puisque l’appui financier avec un accompagnement technique et humain des plus performants sont là, pour quelles raisons, l’Algérie 7ème producteur mondial trouve toutes les difficultés à s’imposer? Selon plusieurs techniciens et surtout plusieurs expériences, le maillon manquant de la chaîne réside dans la phase prospection sur les places marchandes. Youcef, jeune Algérien vivant à l’étranger, a tenté une expérience pour l’exportation de l’huile d’olive algérienne et son expérience est édifiante pour éclaircir la situation. «Je suis venu avec la ferme conviction que l’huile d’olive algérienne est de loin l’une des meilleures au monde. Sur ce point, je n’ai pas changé d’avis, mais croyez-moi avec une bureaucratie pareille, même des prospecteurs venus de la planète Mars ne peuvent rien faire. J’ai entamé des démarches administratives, mais au bout de trois mois, j’ai dû abandonner. Je me suis perdu dans un labyrinthe inextricable» témoigne-t-il avec amertume.
A ce registre justement, d’autres personnes ont fait l’amère expérience. «Je n’ai jamais vu un pays qui facilite les choses pour importer un produit qui existe déjà chez lui alors que pour l’exporter, c’est une mer qu’il faudra boire. C’est dommage. Vraiment dommage que l’huile d’olive algérienne ait ce sort. Elle est incontestablement la meilleure. Mais on ne peut rien faire. Il n’y a, en vérité, pas de volonté de la promouvoir à l’international», ajoute un autre jeune Algérien qui désire l’exporter.
Ainsi, il apparaît, à partir de beaucoup de témoignages recueillis, que pour l’export, l’Etat doit désormais faire confiance aux spécialistes du marketing et de tous les domaines y afférents. Se faire une place à l’international marqué par une concurrence féroce est une affaire de spécialistes du domaine. Des connaisseurs préconisent également de favoriser l’émergence de sociétés mixtes avec des partenaires étrangers qui ont pignon sur places marchandes. Les échanges commerciaux sont également préconisés avec des pays demandeurs d’huile d’olive et qui ont des produits de leur terroir à vendre. En la matière, les jeunes vivant à l’étranger ont vivement réclamé l’aide de l’Etat afin qu’il secoue le cocotier des représentations diplomatiques algériennes.
Par Kamel BOUDJADI
The post L’algérie au 7e rang mondial de production d’olive : Mais quelle place à l’export? appeared first on .
Ces entreprises sont mises dans la black-liste comprenant les noms et les filiations des sociétés n’ouvrant plus jamais droit à des soumissions dans la wilaya.
Tout contrevenant paye, rubis sur l’ongle, la facture de son relâchement. C’est contre toute attente la démarche répressive entreprise par la wilaya d’Oran. Une telle mesure est déjà mise en application. C’est ce qu’a annoncé le wali d’Oran, Mouloud Cherifi, en écartant 11 entreprises de toutes les soumissions quant à la réalisation des chantiers de l’Etat. Le wali a expliqué que «nous avons résilié tout contrat nous liant à ces entreprises dans le cadre des projets du bâtiment». Une telle démarche s’inscrit dans l’assainissement du fichier des sociétés ayant raflé des projets pour se livrer après à des jeux sordides. Une telle décision n’a pas été déduite des suites d’un simple fait du hasard. Elle a été motivée par le fait que ces entrepreneurs défaillants aient transgressé le cahier des charges qu’ils ont paraphé après avoir été désigné réalisateurs des chantiers qu’ils se sont taillés par voie de soumission. Ce n’est pas tout. La même mesure a été accompagnée par une autre non moins draconienne, mettant fin définitivement à toutes les activités de ces sociétés dans le territoire de la wilaya d’Oran. Leur culpabilité dans la transgression des clauses du contrat étant reconnue, ces sociétés sont placardées et affichées en tant que mauvaises réalisatrices. Autrement dit, elles sont mises dans la liste noire ou encore la black liste comprenant les noms et la filiation de toutes les sociétés n’ouvrant plus jamais un seul droit soit-il, à des soumissions dans la capitale des Deux Lions, Oran. Ce n’est là que le début d’une mission d’assainissement du fichier des entreprises faisant la pluie et le beau temps dans un secteur névralgique, le bâtiment. La demande en matière de logement étant accrue, ces entreprises s’ingénient dans la paresse et les retards flagrants qu’elles observent dans la réalisation des chantiers qu’elles se sont taillés à coups de plusieurs millions de dinars. Dans plusieurs cas, ces entrepreneurs ne trouvent rien de mieux à faire pour s’expliquer que d’évoquer les fallacieux prétextes liés à la hausse des prix des matériaux de construction alors que le ciment a, depuis plus de six mois, connu une baisse très sensible ayant atteint le plus bas niveau. Un sac de ciment pesant 50 kg est cédé ces jours-ci au tarif ne dépassant pas 450 DA. Idem pour le reste des autres matériaux dont les tarifs ont chuté de manière très notable. Cela se passe alors que les finances ne manquent pas, tout comme elles ne risquent plus de faire défaut dans le futur. Le bâtiment est amplement financé. C’est du moins ce que l’on déduit de l’aveu fait tout récemment par le wali d’Oran qui a indiqué que le dû de toutes les entreprises a été réglé. La facture globale de ces redevances est égale à
13 milliards de dinars. A quoi donc jouent ces entrepreneurs en tournant le dos aux clauses des contrats qu’ils ont signés alors qu’ils ont perçu leur dû jusqu’au dernier centime? D’un point de vue réglementaire, aucun état d’esprit ne justifie leurs actes. C’est donc la disgrâce et non les hostilités. Car la wilaya d’Oran est en phase de lancer des projets non moins ambitieux pendant que d’autres sont déjà en chantier. Il s’agit de pas moins de 34 000 logements dont les travaux sont en cours. En tout, le programme de wilaya en la matière prévoit la réalisation d’un lot de 54 000 habitations. Dans les tout prochains jours, les services en charge de l’habitat procéderont à l’attribution d’un lot de 6 000 logements sociaux. C’est un chantier pharaonique pour lequel le défi est relevé, d’où d’ailleurs les dernières instructions émanant de la wilaya d’Oran, sommant les responsables des neuf daïras à se préparer pour mener à bon cap une telle mission. Le pari ne sera totalement réussi qu’en faisant table rase à la faveur du relogement de ces milliers de familles vivant sous des toits menaçant de s’écrouler à tout moment, le vieux bâti.
La wilaya d’Oran recense pas moins de 1991 immeubles classés dans la zone rouge. A cela s’ajoute l’habitat précaire qui fait rage un peu partout au niveau des quartiers les Planteurs, Ras El Ain, Mediouni, El Hamri etc, tout comme les bidonvilles qui poussent comme des champignons un peu partout dans les 26 communes composant le territoire de la capitale se préparant pour les Jeux méditerranéens de 2021. En tout, ce sont 41 000 taudis qui ternissent l’image da la première ville touristique du pays. A quand donc le bout du tunnel? Pas de sitôt.
Par Wahib AïT OUAKLI
The post ORAN : 11 entreprises du bâtiment dans la liste noire appeared first on .
Le vice-ministre de la Défense nationale avait procédé à l’inspection de quelques unités mobilisées au niveau du Secteur opérationnel de In Guezzam.
L’ambassadeur de la Fédération de Russie, Son Excellence Igor Beliaev, a rendu visite hier à L’Expression où il a été accueilli par le directeur de la publication, Ahmed Fattani, et le staff de la rédaction. Durant plus d’une heure, un débat a permis de sérier plusieurs sujets politiques et économiques qui intéressent les deux pays dont la coopération bilatérale, empreinte d’une volonté commune d’approfondir un partenariat stratégique, devrait se développer davantage, eu égard aux multiples potentialités existantes.
M.Beliaev qui «est en train de découvrir notre pays, ses institutions et son peuple, après des missions au Liban et en Egypte» estime que, dans bien des domaines, l’Algérie est différente des pays du Moyen-Orient et qu’elle recèle un attachement réel à sa relation avec la Fédération de Russie, un attachement pleinement partagé par le peuple russe, dira-t-il aussitôt. «Depuis la visite à Moscou du président Bouteflika, et sa première rencontre avec le président Poutine, des efforts considérables ont été accomplis pour renforcer le partenariat stratégique entre les deux pays». L’ambassadeur a insisté sur sa volonté d’agir dans le sens d’un approfondissement des liens et des échanges dans tous les domaines, afin que les relations bilatérales parviennent à une dimension qualitative et quantitative supérieures, dans une conjoncture régionale et internationale marquée par des tensions et des défis multiples.
L’Algérie, qui vise un développement soutenu et dispose de tous les atouts, tant au plan humain qu’au plan des richesses naturelles, peut compter sur le soutien de la Russie, a dit M.Beliaev qui se dit impressionné par les multiples réalisations telles que l’autoroute Est-Ouest. S’agissant d’autres thèmes, le contexte régional a été évoqué, dont la crise en Libye où l’Algérie comme la Russie ont une position commune et conjuguent une concertation permanente pour conforter la médiation onusienne en quête d’une solution basée sur le dialogue inclusif, intéressant toutes les parties libyennes, par-delà toute velléité d’ingérence extérieure. Les enjeux de la région sahélienne font l’objet d’une attention particulière des deux pays, à un moment où la menace terroriste s’est transplantée en Libye et au Sahel. Outre une digression sur les armes nucléaires légères annoncées par les Etats-Unis «qui permettraient une utilisation à l’encontre d’un grand nombre de pays, chose tout à fait inacceptable», l’ambassadeur a évoqué la conjoncture des Printemps arabes, rendant plus limpides des printemps précédents qui ont secoué l’Europe de l’Est comme celui de Prague. «Ces évènements ont beaucoup affecté la Russie qui allait perdre plusieurs pays amis. Il n’est pas exclu que cette vague secoue encore d’autres peuples, dans la région, et notre préoccupation est d’anticiper le danger.» M.Beliaev dira que, derrière le phénomène du printemps arabe, se cache la mécanique d’une implosion terroriste dont les visées sont déstabilisatrices comme en témoignent les exemples vécus. C’est pourquoi la coopération algéro-russe, dans ce domaine particulier de la lutte contre le terrorisme, «constitue un axe fondamental». L’intérêt que Moscou et Alger portent à la situation en Libye est en partie basé sur cette préoccupation, compte tenu de la présence de Daesh. Les signes patents sont là, ne serait-ce qu’au regard des découvertes fréquentes de casemates et de la neutralisation répétée de groupes terroristes, ici et là.
Le fait que la Russie et l’Algérie aient des positions communes sur de nombreux autres dossiers permet une dynamique axée sur une étroite coordination. La discussion s’est achevée sur une boutade de l’ambassadeur russe au sujet de «la situation en Syrie (qui) doit être résolue de prime abord», sachant que d’autres défis existent, notamment la gestion concertée du prix du baril ou celle du nucléaire iranien, à un moment où l’administration Trump tend à plonger les relations internationales dans un climat de nouvelle guerre froide.
The post Gaïd Salah plaide pour l’évolution de l’ANP appeared first on .
Le vice-ministre de la Défense nationale avait procédé à l’inspection de quelques unités mobilisées au niveau du Secteur opérationnel de In Guezzam.
Entamant le troisième jour de sa visite à la 6e Région militaire, le vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire, Ahmed Gaïd Salah, a déclaré à l’issue d’un exercice: «L’année 2017 s’est écoulée comme se sont écoulées d’autres années avant elle, pendant lesquelles nous avons veillé à ce qu’elles soient toutes pleines d’efforts laborieux, fructueux, persévérants et de volonté à atteindre les objectifs escomptés.» Pour le vice-ministre de la Défense nationale, il s’agit d’ «une démarche professionnelle aboutie qui se caractérise par une approche réaliste et rationnelle, et par une grande application pour atteindre des rangs supérieurs en termes de distinction opérationnelle et de combat, au sein de toutes les composantes de nos Forces armées», ajoutant: «Ce parcours se base sur une évaluation sur le terrain et selon des normes objectives de ce qui a été concrétisé dans tous les domaines de la profession militaire.»
Le chef d’état-major ne manquera pas comme à l’accoutumée de donner des orientations tactiques pour booster les troupes de l’ANP, mais aussi pour les assurer de sa grande considération à l’égard des efforts fournis. A ce propos, il souligne: «A ce titre précis, j’attends de vous et de tous les personnels militaires toutes catégories et responsabilités confondues, de faire, avec l’aide d’Allah le Tout-Puissant, de la nouvelle année 2018, une autre étape de développement, de modernisation et une nouvelle opportunité pour fonder d’autres piliers avec lesquels nous érigeons ensemble la forteresse de notre armée et en faire le rempart inviolable et le plus éminent de l’Algérie.» Il soutient dans ce même contexte qu’il est question d’«un objectif qui requiert nécessairement de poursuivre cette cadence professionnelle loyale et dévouée, que nous avons adoptée, ces dernières années, avec un grand esprit patriotique et fidélité absolue».
Auparavant, le vice-ministre de la Défense nationale avait procédé à «l’inspection de quelques unités mobilisées au niveau du Secteur opérationnel de In Guezzam», rapporte un communiqué du ministère de la Défense nationale qui souligne: «A ce titre et dans le cadre du suivi de l’état d’avancement de l’exécution du programme de préparation au combat 2017-2018, le chef d’état-major de l’ANP avait supervisé, un exercice illustratif aux tirs réels, exécuté au niveau du champ de tir et de manoeuvre, relevant du Secteur opérationnel de In Guezzam, par un détachement du 64° bataillon d’Infanterie autonome appuyée par des hélicoptères d’appui-feu».
Il explique que «l’idée de l’exercice consiste à repousser une tentative d’attaque ennemie contre nos frontières nationales, lequel a été exécuté avec un haut professionnalisme qui réitère l’efficacité de la formation, de l’instruction et de la préparation au combat au niveau de l’ensemble des unités de ce Secteur opérationnel». Ce sont ces aspects, souligne la même source, sur lesquels «le vice-ministre de la Défense nationale a insisté, d’où la nécessité de donner plus d’intérêt et d’importance».
Le chef d’état-major de l’ANP ne manquera pas de mettre «l’accent sur l’intérêt particulier qu’il confère à ces rencontres permanentes de contact direct avec les personnels de l’Armée nationale populaire là où ils se trouvent, et ce, en tant qu’action sur le terrain, d’une importance capitale, voire extrêmement nécessaire sur les plans professionnel et fonctionnel, car elles traduisent l’intérêt ultime et continu du Haut Commandement de l’Armée nationale populaire à l’accompagnement de tous les efforts consentis», mais aussi «au suivi de l’état d’avancement de l’exécution de tous les programmes consécutifs, complémentaires, pluridisciplinaires et dont les objectifs et les dimensions sont multiples», le vice-ministre de la Défense nationale a exhorté l’ensemble à poursuivre ses efforts rigoureux et minutieux pour surveiller nos frontières, à oeuvrer à leur sécurisation jour et nuit, et à resserrer davantage l’étau sur les groupes de contrebande sous toutes ses formes, et à contrecarrer leurs actes destructeurs dans cette Région, ajoute le chef d’état-major de l’ANP.
The post Après avoir supervisé un exercice tactique : Gaïd Salah plaide pour l’évolution de l’ANP appeared first on .
Le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité Sociale, Mourad Zemali, a affirmé dimanche à Bordj Bou Arreridj que près de 500.000 bénéficiaires de contrats pré-emplois seront insérés en 2018 à l’échelle nationale.
Ce chiffre se compose de 60.000 contrats de travail aidé, 40.000 postes du dispositif d’aide à l’insertion professionnelle et le reste des placements classiques, a précisé le ministre qui a souligné que la priorité dans les placements est accordée aux porteurs de contrats de pré-emplois.
La wilaya de Bordj Bou Arreridj détient ‘‘le taux le plus bas de chômage’’ à l’échelle nationale avec 7 % alors que la moyenne nationale est de 11,3 % grâce à son bassin industriel et ses PME qui ont permis ‘‘un taux d’intégration de 90 %’’, a ajouté M. Zemali.
Le ministre a visité à l’occasion l’exposition tenue au siège de la wilaya sur les micro-entreprises créées dans le cadre des dispositifs d’aide à l’emploi et ayant remboursé l’intégralité de leurs crédits avant délais tout en créant de multiples emplois.
A une question sur le délai donné à la commission chargée de proposer une liste des postes de travail présentant une haute pénibilité, le ministre a indiqué qu’aucun délai n’a été fixé à cette commission composée, a-t-il souligné, de représentants du gouvernement, d’universitaires, de spécialistes en médecine du travail et d’experts.
Le ministre a inspecté une entreprise d’aluminium et de verre isolant, une école de formation paramédicale créée dans le cadre de l’ANSEJ et a inauguré le nouveau siège de l’agence CASNOS. Il a également visité le chantier d’extension du siège local de la Caisse nationale des retraites (CNR) et à la mise en service du numéro vert du CNR (3011) qui s’inscrit, a-t-il noté, dans le cadre du rapprochement de l’administration des citoyens. APS
The post Vers l’insertion de près de 500.000 bénéficiaires de contrats pré-emplois appeared first on .
Le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Mokhtar Hasbellaoui, a présidé dimanche à Alger l’installation du comité intersectoriel chargé de trouver des solutions aux revendications des médecins résidents en grève depuis plus de deux (2) mois.
Présidé par le ministre de la Santé, le comité compte des représentants des ministères de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire, des Finances, de l’Enseignements supérieur et de la recherche scientifique, du Travail, de l’emploi et de la sécurité sociale, de la Direction générale de la Fonction publique, du Syndicat national des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires (SNECHU) et du Syndicat national des praticiens de santé publique (SNPSP).
Précisant que le comité intersectoriel vise à « mettre en úuvre une feuille de route consensuelle à même de réunir les conditions nécessaires à l’amélioration des études médicales spécialisées, notamment les conditions de travail de ce corps dans toutes les régions du pays », M. Hasbellaoui a émis le vœu de voir ce comité déboucher sur des « solutions globales et durables » aux revendications des médecins résidents.
Le ministre a assuré que des solutions seront trouvées à court, moyen et long termes, affirmant que le Gouvernement « attache une importance particulière » aux résultats des travaux de ce comité.
Pour rappel, les médecins résidents ont décidé de maintenir leur mouvement de grève, entamé le 14 novembre 2017, jusqu’à satisfaction de leurs revendications soumises aux parties concernées, relatives notamment aux conditions de travail dans les régions d’affectation au titre du service civil.
Les médecins résidents ont été reçus plusieurs fois par le ministre de la Santé qui a écouté leurs préoccupations.
The post Installation d’un comité intersectoriel pour la prise en charge des revendications des médecins résidents appeared first on .
Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, a assuré, dimanche à partir de Djelfa, que le satellite de télécommunications « Alcomsat-1 » ouvrira de nouvelles perspectives pour l’audiovisuel en Algérie.
Le lancement du satellite algérien de télécommunications « Alcomsat-1 » ouvrira de « nouvelles perspectives pour le secteur national de l’audiovisuel d’autant plus que ce dernier englobe de nombreuses chaines susceptibles d’être numérisées », a déclaré M. Kaouane, lors d’un point de presse animé à l’issue d’une visite de travail dans la wilaya.
« Ce satellite de dernière technologie est, également, un nouveau critère à prendre en compte dans la révision de l’arrêté relatif à l’appel à candidature pour l’octroi d’autorisations de création de chaînes de télévision », a-t-il ajouté.
Le ministre de la Communication a, par ailleurs, expliqué que la révision de l’arrêté relatif à l’appel à candidature pour l’octroi d’autorisations de création de chaînes de télévision a pour objectif de réponde aux « exigences » du développement du paysage médiatique audiovisuel algérien, en se basant sur les « remarques et les ambitions » des acteurs de ce secteur, avec qui « nous formons une seule famille et on est à l’écoute », a-t-il précisé.
L’arrêté portant lancement de l’appel à candidature pour l’octroi d’autorisations de création de services de diffusion télévisuelle thématiques » est attendu pour bientôt « , a-t-il poursuivi, relevant qu’il « reviendra à l’Autorité de régulation de l’audiovisuel (ARAV) de prendre en charge le dossier ».
Par ailleurs, M. Kaouane a noté le « développement fulgurant » de la presse électronique (en ligne), qu’il a expliqué par le fait qu’elle offre une information immédiate et factuelle, sans avoir à attendre 24 heures pour qu’elle soit imprimée, comme c’est le cas pour la presse écrite.
Il a cité pour preuve de développement de cette presse, sa diffusion via les téléphones portables, comme c’est le cas pour le site » Djelfa -Info » très prisé par les internautes.
Le ministre a, en outre, salué le rôle du journaliste algérien qu’il a considéré comme un » partenaire dans l’édification de cette presse », tout en se félicitant des acquis réalisés, ces 20 dernières années, par la presse algérienne, citant la liberté « totale » d’expression ou encore l’annulation de la peine privative de liberté pour délit de presse comme stipulé par l’article 50 de la Constitution relatif à la liberté de la presse.
Durant cette rencontre l’ayant réuni avec la famille de la presse, le ministre de la Communication a, également, réitéré le rôle dévolu au journaliste au sein de la société, dont il doit notamment rapporter les préoccupations, comme c’est le cas de la Radio de Djelfa, « qui remplit parfaitement sa mission ». APS
The post « Alcomsat-1 » ouvrira de nouvelles perspectives pour l’audiovisuel en Algérie appeared first on .
Le ministre portugais des Affaires étrangères, Augusto Santos Silva, a mis en avant, dimanche à Alger, la qualité des relations « historiques » entre l’Algérie et le Portugal.
« Les relations entre l’Algérie et le Portugal sont excellentes et historiques », a déclaré M. Silva à l’issue d’un entretien avec le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel, rappelant notamment l' »appui de l’Etat algérien à l’opposition démocratique portugaise contre le régime dictatorial ».
Le ministre portugais a indiqué, également, que les deux pays entretiennent une « bonne coopération » au plan politique et institutionnel et partagent aussi la « même vision » sur nombre de questions, notamment en ce qui concerne la lutte contre le terrorisme et la stabilité dans le bassin méditerranéen.
Au plan économique, M. Silva a relevé que la coopération économique algéro-portugaise est « très intéressante ».
Il a fait part, à cet égard, de la tenue à Alger d’une réunion préparatoire de la réunion de haut niveau prévue en mai prochain à Lisbonne.
L’audience s’est déroulée en marge des travaux de la 14ème conférence des ministres des Affaires étrangères du Dialogue 5+5 en Méditerranée occidentale. APS
The post Le ministre portugais des Affaires étrangères met en avant la qualité des relations algéro-portugaises appeared first on .
Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika a appelé jeudi dans un message à l’occasion de la rencontre d’orientation nationale des président des Assemblées populaire communales et de wilayas (APC-APW), lu en son nom par le secrétaire général de la présidence de la République, Habba El-Okbi les présidents des assemblées locales élues à « s’affranchir de la bureaucratie et à respecter les engagement envers les citoyens, lors des élections locales du 23 novembre dernier ».
Les élus locaux « sont appelés à s’affranchir de la bureaucratie et de la dépendance dans leurs rapports avec leur environnement et dans la gestion de leurs services », a indiqué le Président Bouteflika dans son message, à l’occasion de la rencontre d’orientation des présidents d’APC et d’APW.
« Il y a de nouveaux défis qui se posent pour les collectivités locales, à savoir la modernisation des structures communales, la consécration de la décentralisation et la libération des initiatives économiques et du développement local », a souligné le chef de l’Etat dans son message.
Apres avoir félicité les présidents d’APC et d’APW pour la confiance que les citoyens ont placée en eux lors des élections locales du 23 novembre dernier, le chef de l’Etat a précisé que « cette confiance implique une grande responsabilité et le respect des engagements pris », les appelant à « prendre en charge les préoccupations des citoyens et à réaliser leurs aspirations ».
« Vous n’êtes pas seuls dans la bataille du développement, d’autres institutions et instances qui jouent leur rôle sont à vos côtés pour la réalisation des objectifs communs au service de la patrie, de son progrès et de sa prospérité », a-t-il dit à l’adresse des élus.
Le Président Bouteflika a appelé « toutes les franges de la société à soutenir les institutions de l’Etat notamment la commune, afin de réaliser ensemble nos objectifs de développement ».
Il a appelé en outre tous les partenaires politiques à « conjuguer leurs efforts au service de la Nation et du citoyen et pour le développement de notre pays ».
Toutes les franges de la société algérienne appélées à « soutenir les institutions de l’Etat »
Le président Bouteflika a appelé aussi « toutes les franges de la société à soutenir les institutions de l’Etat notamment la commune, afin de réaliser ensemble nos objectifs de développement ».
Le chef de l’Etat a en outre appelé tous les partenaires politiques à « conjuguer leurs efforts au service de la Nation et du citoyen et pour le développement de notre pays ».
Cette rencontre qui se tient au Centre international des conférences « Abdelatif Rahal » est organisée à l’occasion de la 51e journée nationale de la commune qui coïncide avec la promulgation du premier code communal le 18 janvier 1967.
Plusieurs thèmes sont au programme de cette journée qui intervient au début du mandat électoral des présidents d’APC et d’APW, élus le 23 novembre dernier, dont l’amélioration des performances des services de la commune et la relance de la stratégie relative au développement durable, à la lumière de la nouvelle orientation économique et du cadre juridique y afférant.
The post Le Président de la République appelle les P/APC-APW à « s’affranchir de la bureaucratie et à respecter leurs engagements » appeared first on .
Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane a procédé, dimanche, à l’inauguration du nouveau siège de la Radio locale de Djelfa.
Le nouveau siège de la Radio de Djelfa , abritant auparavant le siège de l’Assemblée populaire de la wilaya, a été réaménagé pour une enveloppe de plus de 30 millions de dinars, ayant servi, entre autres , à l’aménagement d’une quinzaine de bureaux, un studio de diffusion radiophonique, et un studio de production, outre des salles pour la technique et la production et des commodités administratives.
Après une visite de la structure, le ministre a suivi un exposé, présenté par son directeur, Badis Làalmi , axé sur la station radiophonique locale et les divers programmes qu’elle assure au profit de ses auditeurs .
A l’entame de sa visite à Djelfa, M.Djamel Kaouane s’est rendu au centre de radiodiffusion de la région » Djebel Sbaà Mokrane « , à Medjbara ( à une dizaine de km au sud de la wilaya) , où lui a été présenté un exposé sur les nouveaux équipements exploité dans le domaine, dont notamment le » Radio Data System » ( RDS) en usage, depuis 2015, et permettant l’écoute d’une station sans interruption lors d’un déplacement, en prenant en charge automatiquement le passage d’une fréquence à l’autre.
Un accent particulier a été mis, à l’occasion, sur l’avancée » qualitative » réalisée en matière de couverture des zones d’ombre.
Selon les informations fournies sur place, le taux de diffusion radiophonique assuré par la station de Djelfa est de près de 84%, contre un taux de couverture de 73% assuré par la télévision numérique terrestre (TNT).
Le ministre de la Communication, qui était accompagné du directeur général de la Radio nationale Chabane Lounakel, s’est félicité de ce nouvel acquis pour la Radio de Djelfa, dont la fondation remonte à 2007.
Lors du point de presse animé à la faveur de cette visite, M.Kaouane a rendu un vibrant hommage au défunt universitaire, écrivain, journaliste et Moudjahid Zoheir Ihaddadene, estimant que son décès, est une » grande perte pour l’Algérie « .
L’opportunité a, aussi, donné lieu à la tenue d’un hommage en l’honneur de la famille du défunt journaliste Lakoui Lamine, ancien journaliste de l’APS, assassiné durant la décennie noire.
Le journaliste Bekai Abdelkader, ancien correspondant dans de nombreux titres nationaux, a été honoré par la même occasion.
The post Djamel Kaouane inaugure le nouveau siège de la Radio de Djelfa appeared first on .
Selon une source crédible, les éléments des gardes côtes du groupement de Béni Saf, ont réussi le jeudi dernier, vers 4 heures du matin à mettre en échec une tentative d’émigration clandestine. En effet, une embarcation pneumatique avec à son bord 9 harragas, dont une femme et son époux, a été interceptée, à 4 miles marin au nord de la plage de Terga. Les gardes cotes ont procédé à la saisie du zodiac, ainsi que le moteur d’une puissance de 40 chevaux. Quant aux candidats à l’émigration clandestine, ils ont été remis aux services sécuritaires concernés.
H. Bouna
The post AIN TEMOUCHENT : 09 harragas interceptés au large de Béni Saf appeared first on .
Les éléments de la brigade de la police judiciaire relevant de la première sûreté urbaine de Saida , sont parvenus a arrêter deux jeunes femmes, âgées respectivement de 21 et 22 ans, impliquées dans une affaire de vol d’une somme importante d’argent, évaluée à 72 millions de centimes d’un local commercial d’habillement féminin, situé au quartier ‘’Saadaoui Kadda’’ de la ville de Saida. Selon la plainte de la victime, répondant aux initiales de B.R, les deux voleuses se sont introduites dans son magasin sous le prétexte d’essayer quelques effets vestimentaires, et ont fini par lui subtiliser la somme de 72 millions de la caisse. Ce dernier a pu les décrire lors de sa déposition. Lançant des recherches, les enquêteurs sont parvenus après 05 heures d’investigation, à mettre la main sur l’une des voleuses, avec le montant de 22 millions. L’appréhendant et l’interrogeant, les policiers ont par la suite, arrêté sa complice avec la somme de 17 millions.
L.Ammar
The post SAIDA : Deux femmes arrêtées pour vol de 72 millions de cts appeared first on .
Le travail a repris, dimanche, de manière « totale » à l’entreprise nationale de matériel de travaux publics (ENMTP) de Constantine, située sur la route menant à la commune d’Ain Samara, après une grève d’une semaine engagée par des centaines de travailleurs réclamant une amélioration salariale et une augmentation des primes, a-t-on constaté.
Après la reprise des travaux, des négociations ayant duré plusieurs heures ont été entamées entre le partenaire social et la direction de l’entreprise, portant notamment sur la plate-forme de revendications des travailleurs et sur les mises en demeure adressées par l’administration à l’encontre des grévistes, a affirmé, à l’APS, le secrétaire général de la section syndicale de l’entreprise, Moussa Madhkour.
Il a précisé, en ce sens, que cette rencontre a abordé plusieurs points ayant été consignés dans le procès-verbal de la réunion, signé par les deux parties, citant notamment ‘‘la non prise en considération des mises en demeure adressées aux grévistes dans le cas où il y aurait reprise du travail’’.
Il a également été question d’accorder à l’employeur du temps pour débattre du bilan de l’entreprise et ses objectifs avec les chefs de toutes les filiales de l’ENMTP en vue de présenter, jeudi prochain, des propositions concernant l’amélioration des salaires au partenaire social.
L’entreprise nationale de matériel de travaux publics a connu une reprise partielle du travail jeudi dernier, après que des travailleurs aient refusé de reprendre leur travail par ‘‘solidarité avec cinq collègues ayant fait l’objet d’une plainte déposée à leur encontre, mercredi dernier, par l’administration générale en sus de mises en demeure adressées aux travailleurs grévistes.
Le PDG de cette entreprise, Slimane Boulbed, avait indiqué, dans une précédente déclaration à l’APS, que l’ENMTP, spécialisée dans le développement, la fabrication et la distribution d’équipements mécaniques, emploie 1800 travailleurs répartis sur plusieurs unités, dont 1200 dans la zone industrielle d’Ain Smara, ajoutant que le mouvement de grève est initié par des travailleurs de la zone industrielle. APS
The post Reprise « totale » du travail à l’ENMTP de Constantine appeared first on .
The post PORT DE MOSTAGANEM : Saisie de chocolat, de fromage et de yaourt appeared first on .
Des présidents d’Assemblée populaire communales (APC) ont profité de la réunion organisée jeudi par le ministère de l’intérieur pour exiger que leur salaire et autres indemnités soient augmentés. Ils ont relevé que le salaire d’un maire oscille entre 50 000 et 65 000 dinars, estimant que le salaire d’un président d’APC est sous-payé et doit être considéré comme un député. Mieux encore, les Maires ont fait part au ministre de l’Intérieur de leur vœu de bénéficier d’une immunité spéciale pour les P/APC, au même titre que l’immunité parlementaire des députés. On aura constaté que nos valeureux Maires ne se soucient de leurs intérêts strictement personnels et ont relégué au second plan les préoccupations des citoyens qui les ont élus.
The post Des maires veulent l’immunité et un salaire de député appeared first on .