Le Monde / Politique

L’éditorialiste Alain Duhamel dresse un diagnostic pénétrant de la crise d’identité aiguë ressentie par les citoyens et qui se cristallise sur le terrain politique.

La ministre est une des cibles préférées de l’hebdomadaire conservateur. Invitée à sa fête de 50 ans, elle s’en est moquée sur les réseaux sociaux, en oubliant un peu ses anciens échanges avec la rédaction.

Question de droit social. Les petites et moyennes entreprises, rarement dotées de délégués syndicaux, n’ont pas été oubliées par la loi El Khomri.

Le FMI et la zone euro sont englués depuis plusieurs mois dans un différend sur la manière d’extraire la Grèce de six ans de crise financière, économique et sociale.

Après avoir rendu les voies sur berges aux piétons, la maire socialiste de Paris réédite, dimanche 25 septembre, la Journée sans voiture. Une pierre de plus dans le jardin des automobilistes défendus par la présidente LR de la Région Île-de-France.

Sur une carte du projet de répartition des migrants de la « jungle » de Calais, Les Républicains prennent des libertés avec les règles de la représentation de l’information.

Le livre de Pierre Cahuc et André Zylberberg relance le débat sur le rôle politique de la science économique et des économistes.

Dans un long entretien au « Monde », le candidat à la primaire à droite dénonce le « durcissement » du discours de son rival Nicolas Sarkozy.

Le sondage a été commandé par le PS parisien pour « vérifier l’adhésion des habitants » à cette mesure portée par Anne Hidalgo.

L’économie française a reculé de 0,1 %, selon une révision publiée par l’Insee. Des chiffres qui tombent à quelques jours de la présentation par le gouvernement du projet de budget 2017 qui table sur une hausse annuelle de 1,5 %.

Minute par minute, l’information politique racontée, décryptée, analysée par la rédaction du « Monde ».

Désapprouvant le burkini, le candidat à la présidentielle a jugé excessive l’idée de modifier la Constitution pour un « accoutrement de bain ».

Candidat à la présidentielle, l’ancien ministre refuse toujours de dire s’il participera ou non à la primaire socialiste.

Dans « L’émission politique » de France 2, le candidat à la présidentielle a renouvelé ses appels à pouvoir choisir une entreprise pour un marché public au motif que c’est une PME ou qu’elle est française.

Favorable à la mutualisation des dettes publiques en Europe, contrairement à la chancelière allemande, l’ancien ministre du redressement productif a déclaré que « Mme Merkel n’est pas la directrice de l’UE » et que « nous allons casser de la vaisselle à Bruxelles ».

Interrogé sur son éventuelle participation à la primaire socialiste en janvier 2017, Arnaud Montebourg ne s'est toujours pas prononcé, mais il a dit souhaiter un scrutin « loyal et équitable », avec un débat et la présentation de projets.

« Nous n’avons pas pu sauver Aulnay, mais nous avons sauvé Peugeot », s’est défendu l’ancien ministe du redressement productif après avoir rappelé que l’Etat était entré au capital de l’entreprise.

Rappelant l’urgence écologique, Arnaud Montebourg a estimé que l’élimination des énergies fossiles était prioritaire, justifiant ainsi d’avoir qualifié le nucléaire de « filière d’avenir ».

Parlant d’« emportement » à propos de la proposition de déchéance de nationalité pour les binationaux, le candidat a estimé qu’il fallait mener une « bataille culturelle », notamment à l’école, pour lutter contre la radicalisation de jeunes français.

Citant Michel Rocard, le candidat à la présidentielle Arnaud Montebourg considère que la France doit prendre « sa juste part » dans l’accueil des réfugiés, sans chiffrer cette part.