Le Point / France

Interrogé par "Le Parisien", le candidat de 56 ans à la primaire engagée par le parti explique que le poste devrait revenir à quelqu'un de plus jeune.

Ces investitures se sont déroulées durant le conseil national du parti sur fond de polémique avec le mouvement de Jean-Luc Mélenchon.

Le gouvernement lance ce "pilotage national quotidien" notamment pour que des "places exceptionnelles" d'hébergement soient mobilisées.

"Certains à droite utilisent les mêmes mots que la gauche", a lancé le candidat à l'Élysée, formellement investi samedi par les Républicains.

"La France restera toujours au côté du Mali", a promis le président français à propos de l'opération militaire française contre des djihadistes.

"Je ne crois pas que la laïcité stigmatise. Elle protège", a fait valoir l'ex-Premier ministre dans une interview donnée au "Monde".

S'il est élu à l'Élysée, le candidat ne rétablira pas la défiscalisation des heures supplémentaires et ne reviendra pas sur le non-cumul des mandats.

Le candidat à la présidentielle était en visite dans l'ancien bassin minier du Pas-de-Calais. Il a qualifié le FN de "parti qui porte la haine".

En acceptant le principe de la primaire puis en renonçant à briguer un second mandat, François Hollande a semé une immense pagaille dans son camp.

Ils cherchent tous deux des signatures pour se présenter à l'élection présidentielle. Les Républicains ont donc suspendu l'investiture des deux députés.

VIDÉO. Selon le journaliste, rien de neuf n'est sorti du débat feutré entre les candidats à l'investiture socialiste, ni sur le fond ni sur la forme.

Le candidat de la droite profitera du conseil national samedi 14 janvier pour faire taire les critiques qui commencent à naître autour de son projet.

Les choses sont désormais claires entre une droite qui veut réduire les dépenses publiques et une gauche qui clame la nécessité de les augmenter.

Thierry Mariani embarrasse en Syrie, Jean-Yves Le Drian tout en sourdine, Arnaud Montebourg en tenaille et Isabelle Huppert se lance dans le Trump bashing.

Où l'ex-ministre de l'Éducation était-il donc passé, entre 2014 et 2016, avant de sortir du bois pour se déclarer candidat à la primaire ? Enquête.

Les principaux candidats promettent de réorienter l'Europe pour relancer la dépense publique. Le Point.fr a passé au crible leur programme économique.

Arnaud Montebourg et Manuel Valls se sont prêtés au jeu du débat avec la CPME. Benoît Hamon et Vincent Peillon n'ont pas jugé bon de participer.

Le candidat de la droite perd de la vitesse dans les sondages. Il décide de mettre de l'eau dans son vin au sujet de la sécurité sociale.

En revanche, la chute est rude pour François Fillon, qui plonge de 10 points. Du côté du gouvernement, Hollande et Cazeneuve ont la confiance des Français.

Selon nos informations, le camp de l'ex Premier ministre cherchait à éviter la capitale bretonne. Et c'est Jean-Yves Le Drian qui lui a trouvé une porte de sortie.