Ouagadougou abrite du 4 au 6 novembre 2024, l'atelier national de validation de l'avant-projet de loi portant code de l'urbanisme et de la construction au Burkina Faso. 72 heures durant, la cinquantaine de participants constitués d'acteurs de la chaîne foncière, les collectivités territoriales et de ceux intervenant dans le domaine de la construction et de l'urbanisation (ingénieurs en génie civil, architectes, urbanistes, etc.) vont passer en revue les différentes composantes du document, en vue d'apporter des amendements pour le parfaire. L'objectif visé à travers la relecture de ce cadre législatif, est d'alléger les procédures et de rationaliser les structures pour une meilleure appropriation et une facilité d'exploitation par les citoyens.
L'ancien code de l'urbanisme et de la construction est en vigueur depuis 2006. En 18 ans, plusieurs évolutions en lien avec les techniques et technologies de construction ainsi que les modalités d'aménagement urbain ont été enregistrées. Sur le plan législatif, l'adoption de lois portant sur la promotion immobilière, la copropriété des immeubles bâtis, sur le régime foncier rural et la loi portant réorganisation agraire et foncière, sont autant de nouvelles réalités auxquelles il faut s'adapter dans le domaine de l'urbanisme.
Et Mikaïlou Sidibé, ministre de l'habitat et de l'urbanisme, d'ajouter que la démographie galopante et la densification continue des villes, posent la nécessité de repenser le traitement des déchets, l'évacuation des eaux pluviales pour éviter les inondations, le stationnement dans les centres urbains ainsi que la nécessité de la prise en compte de l'efficacité énergétique dans le bâtiment. C'est au regard de tous ces aspects, que le ministère en charge de l'habitat et de l'urbanisme a entrepris depuis mai 2024, la relecture des textes contenus dans la loi.
Mikaïlou Sidibé, ministre de l'urbanisme et de l'habitatDes innovations qui seront apportées au nouveau code
Le nouveau code de l'urbanisme et de la construction va comporter trois grandes parties que sont l'aménagement urbain, l'architecture et le contrôle. Entre autres innovations introduites dans ce nouveau code il y a la mise à disposition d'un nouvel outil de planification urbaine, le Plan d'urbanisme de détails (PUD), qui prend en compte les capacités financières des collectivités ; une règlementation claire sur la voirie urbaine et le drainage des eaux pluviales afin de prévenir les inondations. A cela s'ajoutent la prise en compte de la problématique du stationnement dans la planification urbaine et les opérations de construction ; la prise en compte aussi de l'efficacité énergétique dans les bâtiments. Aussi, l'avant-projet de loi prévoit la création d'une commission nationale de sécurité immobilière pour se prononcer sur les cas de démolition ainsi que d'un centre technique du bâtiment.
Autres innovations, l'introduction de nouvelles opérations d'urbanisme telles la requalification urbaine, la restauration urbaine pour répondre aux réalités économiques et sociales du pays ; ainsi que des actes de construction comprenant des autorisations de construction tel le permis de modifier pour les travaux à exécuter sur les constructions existantes, lorsqu'ils ont pour effet d'en changer l'usage, de modifier leur aspect extérieur ou volumétrique, leur structure ou de créer des niveaux supplémentaires et des autorisations d'exploiter tel le certificat d'occuper qui est une alternative au certificat de conformité exigée pour les ouvertures des établissements dans des bâtiments déjà existants ne pouvant plus disposer de certificat de conformité.
Vue du publicUne fois les différents amendements apportés et le projet de loi validé, l'ambition du ministère de l'Urbanisme, est de mettre à la disposition du pays, un code de l'urbanisme et de la construction adapté, actuel mais aussi futuriste. Le texte devrait être soumis au conseil des ministres, d'ici la fin de l'année 2024, a fait savoir le ministre Mikaïlou Sidibé.
Armelle Ouédraogo
Crédit photo : Bonaventure Paré
Lefaso.net
La grande Famille TIEMTORE, TIENDREBEOGO, GUIGMA, ILBOUDO, COMPAORE, KALMOGHO, ET SIMPORE
Les familles alliées : YAGUIBOU, SAWADOGO, KINDA
Mr TIEMTORE Jean Pierre et ses enfants : JOSIANE, LAETICIA, FAUSTIN, ALIDA et GRACE
Très touchés par les nombreuses marques de soutiens et de sympathies lors du rappel à Dieu le vendredi 9 Février 2024 à 0uagadougou et de l'inhumation le mardi 13 Février à Ouagadougou de leur épouse, fille, sœur, mère, grand-mère Mme TIEMTORE/KALMOGHO HELENE
La famille vous informe par ailleurs de la tenue de la grande messe de requiem faisant office de funérailles chrétiennes selon le programme suivant
• Vendredi 8 novembre 2024
Veillée de prière à l'église saint François d'assise à 20h00
• Samedi 9 novembre 2024
Grande messe de requiem à l'église saint François d'assise à 7H30 mm
Que par la miséricorde de DIEU, les âmes de nos fidèles défunts reposent en paix
L'Institut des sciences et techniques de l'information et de la communication (ISTIC) a officiellement ouvert le lundi 4 novembre 2024, à Ouagadougou, ses journées scientifiques. Le thème de cette année est « Entrepreneuriat en ISTIC, une autre opportunité d'emploi ». La cérémonie s'est déroulée sous la présidence du secrétaire général de l'institut, Aousségué Abem, par ailleurs représentant de la directrice générale Dr Alizèta Ouoba/Compaoré. Le Pr Serge Théophile Balima en était le parrain.
Ces journées scientifiques se tiennent en prélude à la cérémonie officielle de sortie de la 36e promotion de l'ISTIC prévue pour le 8 novembre 2024. Après les différents discours, les officiels ont procédé à une visite guidée de stands dressés pour l'occasion. « La transformation numérique et l'évolution rapide des technologies de l'information et de la communication ont ouvert un monde d'opportunités aussi bien pour les entreprises que pour les individus désireux de faire carrière dans le domaine de l'information et de la communication. A l'ISTIC, notre mission ne se limite pas seulement à former des diplômés dans le domaine de l'information et de la communication. En plus de former du personnel compétent, nous inculquons aussi à nos étudiants l'esprit d'entrepreneuriat, d'initiative, de créativité et d'innovation afin d'être au rendez-vous des défis contemporains », a laissé entendre le représentant de la directrice générale.
L'ISTIC inculque à ses étudiants l'esprit d'entrepreneuriatIl a souligné que les secteurs comme la cybersécurité, le développement du web, les techniques et technologies des médias, la gestion des données, la gestion des plateformes numériques sont, entre autres, des opportunités. « En tant que creuset du journalisme et de la communication au Burkina Faso, nous devons préparer nos étudiants à saisir non seulement ces opportunités, mais également à devenir des leaders remarquables dans ces domaines », a indiqué monsieur Abem.
A la tribune pour échanger avec la jeune génération, des anciens de l'institutEt pour ce faire, l'ISTIC a organisé un panel de partage d'expériences au profit de ses stagiaires. A la tribune pour échanger avec la jeune génération, des anciens de l'institut. Il s'agit de Dr Cyriaque Paré, fondateur du journal en ligne Lefaso.net, de Ali Traoré, fondateur d'Exodus communication, de Ibrahim Sangaré, promoteur d'Ébène Burkina et de Evariste Wend-Kouni Compaoré, manager de E-C Design. Avec les stagiaires de l'école, ils ont évoqué leurs parcours dans la création et la gestion de leurs différentes entreprises.
A noter que le secrétaire général de l'institut, Aousségué Abem a salué la mobilisation des écoles sœurs et traduit sa profonde gratitude au président du conseil scientifique de l'ISTIC, le professeur Serge Théophile Balima, parrain de la cérémonie de sortie.
Rama Diallo
Lefaso.net
Lien d'inscription : https://forms.gle/SagTM6uNBHft6LCr6
Formation 1 : Formation en gestion des projets alimentaires et nutritionnels (Certificat)
Cette formation vise à doter les participants des compétences nécessaires pour concevoir, mettre en œuvre et évaluer des projets destinés à améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle d'une population.
Les objectifs sont multiples : comprendre les enjeux de la malnutrition, maîtriser les outils de gestion de projet, développer des projets durables, favoriser la collaboration multisectorielle et renforcer les capacités en matière de suivi-évaluation. Les thèmes abordés incluent les déterminants de la malnutrition, les cycles de vie des projets, la gestion de budgets, le suivi-évaluation, la communication et la collaboration.
Formation 2 : Formation des Formateurs en Genre et Développement (Attestation)
L'Objectif de cette formation est de former des multiplicateurs capables de transmettre les connaissances sur le genre, de promouvoir l'égalité et d'accompagner les organisations dans l'intégration de cette perspective dans leurs actions.
Les participants acquièrent les compétences nécessaires pour concevoir et animer des formations, analyser les programmes sous l'angle du genre, et développer une approche critique.
Formation 3 : Management des conflits et prévention de l'extrémisme violent (Certificat)
Cette formation vise à former des acteurs capables de prévenir et de résoudre les conflits, en particulier ceux pouvant conduire à l'extrémisme violent.
Les participants apprendront à identifier les facteurs de risque, à mettre en œuvre des programmes de prévention, à renforcer les capacités des communautés et à contribuer à la construction d'une paix durable.
– Le naaba KAONGO, chef de canton de SAO
– La grande famille SAWADOGO à kaonghin, kinana (province du kourwéogo) et à ouagadougou .
– Le tingsoaba de kaonghin
– Monsieur Pierre SAWADOGO, entrepreneur et Président de la féderation de ASFA-Cyclisme à kologh-naaba et frères.
– Les enfants et petits-enfants de la défunte ont le profond de vous annoncer le décès de suite de maladie de :
SAWADOGO Noaga Marie à l'âge de 84 ans.
Décès survenu le dimanche 13 Octobre 2024
Le programme des obsèques se déroulera comme suit :
Mercredi 16 Octobre 2024
20H00 : veillée de prière au domicile familiale sis à kologh-naaba.
JEUDI 17 Octobre 2024
11H00 : levée du corps à l'hôpital de Bogodogo pour le domicile familial à kologh-naaba.
14H00 : Absoute à l'Eglise Notre Dame du Rosaire à kologh-naaba suivi de l'inhumation au cimetière de kamboinsin.
Jean 11-25 ‘'Je suis la résurrection et la vie.
Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort''.
Les grandes familles TOE, ZERBO, PARE, DRABO, WASSIN, TRAORE, KI , KI-ZERBO , SAMA et alliés COMPAORE, KAGONE, BAMBA,NEBIE , SAWADOGO OUEDRAOGO et SANA
Très touchées par les nombreuses marques de sympathie, d'affection et de soutiens multiformes qui leur ont été témoignés,
Vous remercient pour votre présence, vos pensées, vos paroles réconfortantes, vos dons, ainsi que pour le témoignage de votre soutien, de votre amitié ou de votre amour en ce moment de deuil,
Expriment leur reconnaissance et leur profonde gratitude à tous et à toutes. Puisse Dieu rendre au centuple vos bienfaits.
Votre bienveillance et vos gestes d'affection nous ont profondément touchés et nous ont apporté du réconfort dans ces moments difficiles. Nous vous remercions sincèrement d'avoir honoré la mémoire de notre mère, grand-mère, sœur, tante et fille
Adja TOE Maimouna née WASSIN
Décès survenue le 06 octobre à l'hôpital de Bogodogo.
L'inhumation à eu lieu à Tougan ( Zinzin-Da) le 8 octobre 2024 suivi du Doua le 10 octobre 2024
Que son souvenir continue de vivre en chacun de nous.
INNA LILAHI WA INNA ILA YHI RAJIHOUN !!!
La vie du juste est dans la main de Dieu
Paix à son âme
Amen !!!