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CTF 150 : Passation de commandement de la France au Pakistan

Le 30 juillet 2015, après avoir assuré le commandement de la Combined Task Force 150 (CTF 150) en océan Indien durant quatre mois, la France a officiellement passé le relais au Pakistan, lors d’une cérémonie organisée sur la base navale américaine de Manama, à Bahreïn. Ce neuvième mandat à la tête de cette force multinationale chargée de lutter contre le terrorisme et les trafics illicites qui lui sont associés en océan Indien a été marqué par de remarquables succès, soulignés par le vice-amiral Miller, commandant les Combined Maritime Forces (CMF).
Categories: Défense

Tansania: Vor den Präsidentschafts- und Parlamentswahlen

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 03/08/2015 - 11:43
Zwei Monate vor den Parlaments- und Präsidentschaftswahlen in Tansania wurde am 12. Juli 2015 über den Nachfolger von Präsident Jakaya Kikwetes von der Partei Chama Cha Mapinduzi (CCM, Partei der Revolution) entschieden. Arbeitsminister John Pombe Magufuli wird für die CCM kandidieren. Er konnte sich gegen zwei Konkurrentinnen, Dr. Asha-Rose Migiro, Justizministerin; und die ehemalige stellvertretende UN-Generalsekretärin und Botschafterin der Afrikanischen Union (AU) in den USA, Amina Salum Ali, durchsetzen.

Europa braucht Brücken zwischen nationalen Medien

Euractiv.de - Mon, 03/08/2015 - 11:33

Wie können die griechischen und deutschen öffentlichen Meinungen in Einklang gebracht oder die Euro-Zone reformiert werden ohne Brücken zwischen nationalen Medien zu bauen? David Mekkaoui und Christophe Leclercq erklären, warum sie denken, dass dies notwendig und möglich ist.

Categories: Europäische Union

ELIAMEP working paper deals with Turkish foreign policy

ELIAMEP - Mon, 03/08/2015 - 11:23

Despite high ambitions about Turkey’s “central power” role in its surrounding regions, Turkish foreign policy has faced sizeable challenges in the Middle East and beyond. As war and conflict continued tearing apart several Middle Eastern countries, Turkey’s capacity to influence diplomatic developments declined; instead of offering solutions, it appeared in many cases to become part of the problem. The target of regime change in Syria remained elusive, while the international community found it hard to understand why Turkey appeared more comfortable bordering jihadist than Kurdish political entities in Syria and remained neutral in the jihadist assault on Iraq. These had a negative spillover effect on Turkey’s own Kurdish question and brought a hard-won peace process to the brink of collapse. The spectrum of regional isolation emerged, as Turkey withdrew its ambassadors from a number of countries in its vicinity because of various diplomatic confrontations. This was one of the reasons for Turkey’s failure to be elected as non-permanent member of the UN Security Council despite investing considerable resources on that goal. Turkey’s perceived self-righteous albeit unpopular status was described with the use of term “splendid isolation.” This situation raised substantial concerns about Turkey’s ability to maintain an important regional role and called for a reconsideration of key aspects of Turkish foreign policy.

Working Paper 67/2015: From “Central Power” to “Splendid Isolation”: Turkish Foreign Policy’s Declining Ambitions

Author: Ioannis N. Grigoriadis

Közzétették a Kreatív Európa Platform terület eredményeit

Kultúrpont - Mon, 03/08/2015 - 11:20
Az EACEA közzétette a Kreatív Európa program Európai Platformok területének eredményeit!
Categories: Pályázatok

2016 Marshall Memorial Fellowship Program

ELIAMEP - Mon, 03/08/2015 - 11:12

We are pleased to announce that the Greek nomination process for the 2016 Marshall Memorial Fellowship program has begun. This process is for candidates who are citizens of Greece and Cyprus.To nominate an exceptional leader from your community, please follow the guidelines and steps outlined below.

Guidelines:

1. You may nominate only one individual for the program. The deadline for nomination is Monday, September 21, 2015.

2. Your nominee must meet the general eligibility criteria. Most importantly, please make sure that he or she is between 28 and 40 years of age, is a citizen of Greece or Cyprus, is available to travel in 2016, and occupies a leadership position with potential for growth.

You can find here more information.

The Marshall Memorial Fellowship (MMF) is the flagship leadership development program of the German Marshall Fund of the United States(GMF).  The Fellowship provides a unique opportunity for mid-career leaders from the United States and Europe to explore policies, institutions, and culture on the other side of the Atlantic.  GMF awards over 100 Marshall Memorial Fellowships each year to the best and brightest from all professions, including politics, business, media, and nongovernmental organizations.  Founded in 1982, the MMF program features a network of over 2,000 alumni who remain engaged through annual conferences, regional meetings, online communications, and involvement in other GMF program areas.   For more information on the Fellowship, please click here.

Professor G. Pagoulatos comments on the the so called Plan B in the Sunday edition of Kathimerini, 02/08/2015

ELIAMEP - Mon, 03/08/2015 - 10:58

You can read here the article on the so-called ‘Plan B’, which was written by Professor George Pagoulatos. The commentary was published on 2 August 2015 in the Sunday edition of Kathimerini and is available in Greek.

Meghalt a leggazdagabb lengyel

Lengyelnet - Mon, 03/08/2015 - 10:50
Wprost című hetilap az idén vagyonát 15,1 milliárd zlotyra becsülte.
Categories: Kelet-Közép-Európa

Átmásolt alkotmány

Lengyelnet - Mon, 03/08/2015 - 10:39
A kézzel írt alaptörvényt később, különleges ünnepi alkalmakkor fogják használni.
Categories: Kelet-Közép-Európa

Sommerpause bei EurActiv

Euractiv.de - Mon, 03/08/2015 - 10:32

Die Redaktionen von EurActiv in Berlin, Paris und Brüssel verabschieden sich in eine kurze Sommerpause. Die nächsten Nachrichten, Analysen und Interviews von EurActiv in regelmäßiger Folge gibt es wieder am Montag, dem 17. August 2015!

Categories: Europäische Union

Nomination- Ambassadeur de France à la CD

L’Ambassadeur à la représentation permanente de la France à la Conférence du désarmement Jean-Hugues Simon Michel, a quitté son poste pour le laisser à une Ambassadrice !

(lire la suite…)

Categories: Défense

Série d’été – Libye 2011, Quand Français et Britanniques réfléchissaient à la scission du pays

Bruxelles2 - Mon, 03/08/2015 - 09:11

(BRUXELLES2) Les mails de l’ancienne secrétaire d’État américaine Hillary Clinton – publiés par le Département d’Etat US – sont une vraie mine d’or pour celui qui enquête sur la géopolitique moderne. C’est la série d’été de B2…

Sur la période de la crise en Libye en 2011, ces échanges électroniques révèlent (ou confirment plutôt) que la division de la Libye en deux entités distinctes non seulement était envisagée mais potentiellement souhaitée par certains acteurs clés du conflit, notamment français et britanniques, voire égyptiens.

Diviser pour mieux régner ?

Nous sommes le 8 avril 2011 — l’opération des alliés, surtout Français et Britanniques est entamée depuis à peine un mois et semble s’enliser (lire :  Un mois après le début de la campagne libyenne, quel bilan ? Pourquoi çà traine ?). Un haut fonctionnaire du Conseil National de Transition (CNT) de Libye avertit la secrétaire d’Etat, Hillary Clinton « Français, Anglais et d’autres pays européens seraient pleinement satisfaits avec une situation d’impasse qui laisserait la Libye divisée en deux entités rivales ». La méfiance semble de mise dans les rangs du CNT. Un haut fonctionnaire militaire informe ainsi les services américains de ses doutes, « ni les Français, ni les Britanniques ne fournissent suffisamment d’aides pour contrer les forces de Kadhafi ». Suspicieux, les leaders de l’opposition envisagent même à cette époque « d’engager des firmes privées pour fournir entrainement au combat et pour organiser leurs forces ».

La frustration de Nicolas Sarkozy

Dès le début de l’intervention armée (opération Harmattan pour les Français, Ellamy pour les Britanniques), une source européenne informe les Américains que « le commandement militaire français anticipe l’effondrement total de la structure militaire libyenne pour la semaine suivante ». Mais à partir de mars 2011, il devient très difficile d’obtenir des informations provenant du terrain. Ce qui d’après les informations américaines a eu le don d’agacer l’ancien président français, Nicolas Sarkozy, de plus en plus « frustré » par cette situation. Une source bien informée souligne que le président français « exerce une pression afin que France émerge de cette crise comme le principal allié extérieur quel que soit le gouvernement qui prendra le pouvoir » en Libye (NB: le 18 mars, Sarkozy est un des premiers a reconnaitre publiquement le CNT comme l’autorité légitime).

Le flegme britannique

Plus pragmatiques, les Britanniques eux ne fondent pas leurs objectifs sur un prétendu prestige qui découlerait de la « protection des populations civiles ». Celle-ci n’est qu’un moyen pour la défense des intérêts du Royaume en Libye.

Informée par des hauts fonctionnaires militaires du Conseil National de Transition de Libye, Hilary Clinton apprend dès mars 2011 l’état des tractations des services de renseignements franco-britannique. Sur le terrain, « en dépit de l’intervention de l’OTAN contre les forces de Kadhafi, le gouvernement britannique utilise ses services de renseignement dans le but de dicter le comportement à la fois du CNT et Kadhafi » affirment des hauts gradés du CNT. 

Les tractations britanniques auprès de Saif Al-Islam Kadhafi mettent en évidence la planification des relations futures si ce dernier succède à son père à l’issue du conflit qui embrase le pays en 2011. Ces mêmes sources informent les Américains que « les services diplomatiques et de renseignement maintiennent des contacts avec les membres du gouvernement de Kadhafi ». La fuite au Royaume-Uni du ministre libyen des Affaires étrangères, Moussa Koussa n’est pas un hasard…

(Johanna Bouquet)

Categories: Défense

La fuite en avant de Recep Tayyip Erdoğan

IRIS - Mon, 03/08/2015 - 09:00

Depuis plusieurs jours, une double offensive militaire est lancée par les autorités politiques turques contre l’Organisation Etat islamique (Daech) et le Parti des travailleurs du Kurdistan (PKK). Pour de multiples raisons, le pays est ainsi entré dans une nouvelle séquence politique, pleine d’incertitudes, dont il serait bien présomptueux de prétendre prévoir comment elle va se conclure. Les conséquences potentielles de la situation sont toutefois extrêmement préoccupantes.

La raison avancée par le président et le gouvernement turcs relève de la nécessité de combattre les organisations terroristes qui menaceraient la Turquie. Cette préoccupation est parfaitement légitime mais il semble alors stratégiquement bien inconséquent de lancer au même moment une offensive contre deux adversaires dont on sait que les capacités militaires sont efficientes grâce à leur expérience, leur entraînement et leur discipline. Surtout, une offensive militaire doit toujours s’articuler à des objectifs politiques clairement définis et énoncés. De ce point de vue, en dépit du fait que Daech et le PKK soient tous deux qualifiés de terroristes, la comparaison entre les deux organisations ne résiste pas à l’analyse. Leur histoire, leurs dynamiques politiques, leurs modalités d’action, leurs objectifs ne sont pas comparables et il est problématique que, sous le couvert de lutte contre le terrorisme, d’autres objectifs soient en réalité à l’œuvre. Essayons donc de décrypter les véritables enjeux.

Le fiasco de la gestion de la crise syrienne

Pour ce qui concerne Daech, l’événement qui précipite les décisions turques est l’attentat perpétré, le 20 juillet 2015, à l’encontre de jeunes militants réunis dans la ville de Suruç pour préparer l’envoi d’équipes de volontaires désirant participer à la reconstruction de la ville de Kobané, qui s’est soldé par la mort de 32 d’entre eux. En réalité, on avait déjà constaté, au cours des derniers mois, une modification de la politique de la Turquie à l’égard de Daech. Si les relations entre les autorités turques et cette dernière ont été pour le moins troubles par le passé, une forme de laissez-faire et de complaisance d’Ankara à l’égard des groupes djihadistes combattant en Syrie ayant été maintes fois soulignée, un raidissement était à l’œuvre depuis plusieurs mois. Le gouvernement d’Ankara, constatant en effet que Daech s’avérait totalement incontrôlable, a commencé à procéder à de nombreuses arrestations d’individus suspectés d’être militants ou sympathisants de l’organisation djihadiste ainsi qu’à celle, sous fortes pressions européenne et étatsunienne, de nombreux apprentis djihadistes qui tentaient de la rejoindre en passant par la Turquie. Il est aussi clair, même si les chiffres avancés à cet égard sont absolument invérifiables, que des cellules dormantes de Daech sont organisées en Turquie et trouvent un terreau fertile de recrutement parmi les presque 2 millions de réfugiés syriens qui vivent désormais dans le pays. Cette prise de distance d’Ankara s’est également manifestée par la décision, au début de l’année 2015, conjointement avec l’Arabie saoudite et le Qatar, de soutenir l’« Armée de la conquête » en lutte contre le régime de Bachar Al-Assad. « Armée de la conquête », dont l’une des principales composantes est le Front Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaïda. On ne peut qu’être dubitatif quant à cette décision de soutenir une branche du djihadisme contre une autre, ce qui ne peut se comprendre que par le fiasco de la gestion turque de la crise syrienne.

Obsédée, depuis quatre ans, par son objectif de faire chuter le régime syrien, Ankara n’a en effet pas hésité à soutenir, sans grand discernement, tous les combattants rebelles et s’est brûlé les ailes. Facteur aggravant, les pronostics maintes fois formulés sur l’imminence de la chute de Bachar Al-Assad se sont avérés totalement erronés et indiquent l’incapacité de Recep Tayyip Erdoğan à saisir les réalités politiques d’un pays pourtant voisin et avec lequel il partage plus de 900 km de frontières. A cet égard, les positions turques devenaient d’autant plus intenables que chacun comprend désormais que la coalition anti-Daech dirigée par les Etats-Unis ne se fixe pas comme objectif l’élimination pure et simple du président syrien mais cherche confusément une formule de transition politique en Syrie. La position jusqu’au-boutiste turque devenait alors de plus en plus difficile à tenir, ce qui explique, aussi, qu’après des mois de refus, les autorités turques ont enfin accepté que les avions de la coalition puissent utiliser les bases militaires turques, principalement celle d’Incirlik, pour organiser les opérations de bombardement. Il y a donc une véritable évolution des positions turques à l’égard de Daech, que l’attentat de Suruç a contribué à cristalliser. D’après les observateurs, il semble néanmoins que l’intensité des bombardements turcs contre des bases de Daech soit beaucoup moins forte que ceux organisés à l’encontre des bases du PKK.

Les enjeux de la question kurde

Il est tout d’abord singulier que, sous vocable de lutte anti-terroriste, Ankara n’hésite pas à bombarder Daech en même temps que ceux qui, en Syrie, combattent cette même organisation avec la plus grande efficacité, en l’occurrence les combattants du PKK. Cela procède au mieux d’une incohérence stratégique, au pire d’un autre projet, non exprimé celui-là. Comment comprendre, en effet, que des bombardements massifs ciblent les combattants d’une organisation avec laquelle des négociations ont été initiées depuis l’automne 2012 pour tenter de parvenir à un compromis politique sur la question kurde. Ce processus, dit de résolution, était certes pour le moins fragile et semblait de facto gelé depuis des mois. Cela ne retire néanmoins pas le mérite de Recep Tayyip Erdoğan d’avoir contribué à lever un tabou sur ce dossier et d’avoir tenté de faire bouger les lignes sur ce qui constitue probablement le défi le plus important à relever pour la société turque.

Nul ne peut, en effet, douter qu’il n’y aura pas de solution militaire à la question kurde et que seule la voie politique peut permettre de la résoudre. En réalité deux questions se posent avec force. La première renvoie à ce que les autorités turques perçoivent avec beaucoup d’inquiétude comme l’affirmation politique régionale du PKK et/ou de sa projection syrienne, le Parti d’union démocratique (PYD), qui contrôle désormais les zones kurdes autonomes dans la zone frontalière turco-syrienne. On comprend aisément que cette montée en puissance pose un problème existentiel à Ankara, qui n’hésite pas à considérer cette autonomisation des zones kurdes en Syrie comme la création d’une entité hostile à sa frontière. La deuxième nous ramène sur la scène politique intérieure et réside dans les scores électoraux réalisés par le Parti démocratique des peuples (HDP) lors des élections législatives du 7 juin dernier qui, avec la constitution d’un groupe parlementaire de 80 députés, a anéanti le projet de réforme constitutionnelle présidentialiste souhaité par Recep Tayyip Erdoğan. Il apparaît de plus en plus clair que ce dernier veut faire payer au HDP cet affront, ce qui permet de saisir l’enquête judiciaire ouverte contre Selahattin Demirtas, les bruits récurrents de levée de l’immunité parlementaire de certains députés, voire la dissolution pure et simple de ce parti. Cette éventualité, si elle venait à se concrétiser, induirait un accroissement dangereux des tensions et de la polarisation politique déjà extrême au sein du pays. En dépit de ces risques, le président turc veut visiblement désormais procéder à des élections anticipées et la guerre en cours constitue à ses yeux un incontestable moyen de reconquérir l’électorat nationaliste qui s’était éloigné de lui en juin dernier. Recep Tayyip Erdoğan veut apparaître comme le seul capable de défendre le pays agressé par de multiples ennemis et joue la stratégie de la tension. La guerre se décrypte donc en partie par des raisons de politique intérieure, ce qui est pour le moins irresponsable.

Le paramètre iranien

Enfin, dernier paramètre, la question de l’Iran, souvent sous-estimée, mais qui pourtant constitue une clé de compréhension de la crise actuelle qu’on ne peut négliger. L’accord conclu, le 14 juillet, sur le nucléaire iranien va bouleverser le jeu diplomatique et stratégique régional en rendant à l’Iran l’influence perdue au cours des dernières années. Téhéran a vocation à redevenir dans la prochaine période un partenaire majeur des grandes puissances, notamment des Etats-Unis, sur l’échiquier régional. D’où les infléchissements de la politique de la Turquie, les bombardements contre Daech, l’autorisation donnée aux Etats-Unis d’utilisation des bases aériennes du Sud-Est de la Turquie et la perspective de la création, acceptée par Washington, d’une « zone de sécurité », d’une centaine de km de longueur et d’une quarantaine de profondeur le long de la frontière syro-turque, qui devrait permettre à une partie des réfugiés syriens de se regrouper mais aussi de couper les unes des autres les zones géographiques contrôlées par le PYD. Aux yeux des autorités politiques d’Ankara, tout faire donc pour se réinsérer dans le jeu politique régional, resserrer les liens avec les Etats-Unis et ne pas se laisser distancer par Téhéran.

Une situation délétère

Ces quelques brèves remarques soulignent la complexité d’un nouveau conflit auquel la Turquie est désormais partie et qui constitue une équation à multiples inconnues. Constat des graves erreurs à répétition de la gestion de la crise syrienne, instrumentalisation d’enjeux de politique intérieure, défis constitués par la question kurde, concurrence avec l’Iran… l’ensemble constitue un cocktail explosif et infiniment préoccupant. La logique de guerre enclenchée est dangereuse car nul n’est en réalité véritablement capable de la contrôler. Il est impérativement nécessaire que les autorités politiques d’Ankara se ressaisissent et que les intérêts des citoyens turcs redeviennent la boussole des décisions du gouvernement.

Article - The European Parliament in photos: the best images of the year so far

European Parliament - Mon, 03/08/2015 - 09:00
General : As the first half of the year is behind us, we take a look at some of the key moments which marked the European Parliament in 2015 so far, from political figures visiting the Parliament to legislative accomplishments.

Source : © European Union, 2015 - EP
Categories: European Union

Article - The European Parliament in photos: the best images of the year so far

European Parliament (News) - Mon, 03/08/2015 - 09:00
General : As the first half of the year is behind us, we take a look at some of the key moments which marked the European Parliament in 2015 so far, from political figures visiting the Parliament to legislative accomplishments.

Source : © European Union, 2015 - EP
Categories: European Union

Article - Diaporama : retour en images sur le premier semestre 2015

Parlement européen (Nouvelles) - Mon, 03/08/2015 - 09:00
Général : Alexis Tsipras au Parlement européen, accord sur la fin des frais d'itinérance en Europe, hommage à Charlie Hebdo,... Quels sont les moments qui ont marqué le premier semestre 2015 ? Parcourez notre diaporama pour un récapitulatif en images des principaux événements de ces derniers mois.

Source : © Union européenne, 2015 - PE
Categories: Union européenne

Artikel - Von Januar bis Juni: Unsere Highlights im Bilder-Rückblick

Europäisches Parlament (Nachrichten) - Mon, 03/08/2015 - 09:00
Allgemeines : Das erste Halbjahr 2015 ist bereits um. Es ist Zeit, eine Zwischenbilanz zu ziehen. Welche Persönlichkeiten haben das EU-Parlament besucht? Welche Gesetze wurden beschlossen? Wir haben für Sie eine Bildergalerie mit den wichtigsten Ereignissen zusammengestellt.

Quelle : © Europäische Union, 2015 - EP
Categories: Europäische Union

Kolumbien: auf steinigem Weg zum Frieden

Bonn, 03.08.2015. Der amerikanische Doppelkontinent ist in den letzten Wochen vor allem durch die Annäherung zwischen den langjährigen Erzfeinden USA und Kuba in die Schlagzeilen deutscher Medien geraten. Nach Jahrzehnten der Konfrontation zeichnet sich hier eine nachhaltige Entspannung ab. Aber Havanna ist seit geraumer Zeit auch Schauplatz eines anderen Prozesses. Seit November 2012 finden hier Verhandlungen zwischen der Regierung Kolumbiens und der FARC (Fuerzas Armadas Revolucionarias de Colombia) statt, die Anlass zu vorsichtiger Hoffnung auf die Beendigung des längsten Krieges in der Region geben. Dabei finden die Verhandlungen in einem schwierigen Umfeld statt. Die FARC und das Militär kämpfen vornehmlich auf dem Land gegeneinander. Die Regierung lehnt eine Feuerpause ab, um den Eindruck von zu großer Nachgiebigkeit zu vermeiden. Bei früheren Verhandlungen Ende der 1990er Jahre war den Rebellen sogar eine ganze Region überlassen worden, was letztendlich zu einer Stärkung der Guerilla geführt hatte. Diese Entwicklung soll mit der harten Haltung unterbunden werden. Die Guerilla ihrerseits hat ihre Angriffe seit Mai erneut intensiviert, nachdem sie einen einseitigen Waffenstillstand aufgekündigt hatte. Vor allem die ländliche Bevölkerung leidet unter den nie beendeten Kämpfen. In der kolumbianischen Öffentlichkeit ist die Zustimmung zu den Friedensverhandlungen gleichwohl recht niedrig, da die städtische Bevölkerung weniger von den Auswirkungen des Guerilla-Krieges betroffen ist. Auch ist die vormals politische Ausrichtung der FARC mit ihrem Kampf um Landreformen und sozialer Inklusion mit den Jahren verblasst. Etwaige politische Ziele sind somit immer weiter in den Hintergrund gerückt. Mit den Jahren hat sich bei der FARC eine Kriegführung um des schieren Profitstrebens breitgemacht. Mit den Angriffen auf Ziele, vor allem der Energieversorgung, in den großen Städten des Landes haben sich die FARC zwar wieder in das Bewusstsein der Bevölkerung gebombt, die Zustimmung zu einer etwaigen Einigung wird durch die Aktionen jedoch kaum steigen. Rechte der Zivilbevölkerung stärken
Der Konflikt in Kolumbien hat mehr als vier Millionen Menschen zu Flüchtlingen gemacht. Das Land führt mit Sudan und der Demokratischen Republik Kongo die Liste der Länder mit den meisten Binnenvertriebenen weltweit an. Frauen, Männer und Kinder wurden und werden durch Folter, Vergewaltigung, Mord, Entführungen, Erpressungen, aber auch durch die Verleugnung elementarer sozialer Bedürfnisse wie den Zugang zu Land, Bildung oder Wasser zu Hauptopfern dieses Krieges. Die Verhandlungen zwischen der ältesten Guerilla-Gruppe Lateinamerikas und der konservativen Regierung Santos sind alles andere als einfach. Sie werden jedoch, trotz der Rückschläge vor Ort, weiter geführt, was an sich eine gute Nachricht ist. Eine noch bessere Nachricht wäre selbstverständlich, wenn sich die Kriegsparteien auf einen Waffenstillstand einigen könnten, um die Friedensbemühungen für die Menschen in den betroffenen Gebieten tatsächlich fühlbar zu machen. Mut zu Ausgleich und Pluralität
Trotz aller Schwierigkeiten haben sich die Konfliktparteien vorgenommen, dicke Bretter zu bohren. Im Verhandlungsprozess wurden fünf Themen auf die Agenda gesetzt, die nacheinander abgearbeitet werden sollen. Dazu gehören die Lösung der Landfrage, der Drogenanbau, die politische Teilhabe, die Entschädigung der Kriegsopfer und schlussendlich die Beendigung des Krieges. Konfliktlinien, mit denen sich die kolumbianische Gesellschaft seit Dekaden konfrontiert sieht. Mit dem Gesetz 1448 zur Entschädigung und Wiedergutmachung der Kriegsopfer vom Dezember 2011 hat die Regierung Santos erste ermutigende Zeichen für die Aufarbeitung der blutigen Vergangenheit gesetzt. Darüber hinaus ist es auf diesem Themenfeld bei den Verhandlungen zur Einigung über eine Wahrheitskommission gekommen, was ebenfalls positiv zu bewerten ist. Auch bei anderen Punkten, wie der Drogenpolitik oder der politischen Teilhabe gibt es Fortschritte. Allerdings kommt es hier auf die praktische Umsetzung in den einzelnen Departements an. Eine Einigung der Kriegsparteien muss vor allem die brennenden sozialen und ökonomischen Fragen des Landes berücksichtigen, will sie nicht zu einer bloßen Demobilisierungsaktion für die geschwächte FARC werden. Eine solche Farce hatte die Regierung Uribe Mitte des letzten Jahrzehnts mit den rechts gerichteten Paramilitärs veranstaltet, mit dem Erfolg, dass sie wenig später als „Bandas Criminales“ zurückkehrten und ihr blutiges Geschäft bis heute weiter betreiben. Es ist den verfeindeten Akteuren in Havanna Mut bei der Lösung dieses anhaltenden Konflikts zu wünschen. Mut, der die Ausgrenzung und Benachteiligung weiter Bevölkerungsteile auflöst und eine politische Pluralisierung enthält. Denn in erster Linie waren es ökonomischer und politischer Ausschluss, die zum bewaffneten Aufstand der FARC und ähnlicher Gruppen geführt haben.

Cseh államfő: a Nyugat felelős a háborúk és népvándorlás kirobbantásáért

Hídfő.ru / Biztonságpolitika - Mon, 03/08/2015 - 07:54
Milos Zeman cseh államfő szerint a Nyugatot kell okolni azért a népvándorlás szerű helyzetért, ami jelenleg az Európai Uniót sújtja. Ha országokat rombolnak le, törvényszerű, hogy több millió bevándorló ostromolja Európát.
Categories: Biztonságpolitika

Thales UK to supply electro-optical sight for British Army’s next fighting vehicles

DefenceIQ - Mon, 03/08/2015 - 06:00
Thales UK has been awarded a £125 million contract from General Dynamics UK for the supply of sighting systems and ancillary equipment that will deliver self-protection capability to the combat reconnaissance variant of Scout SV tracked armored vehicles to be supplied to the Brit
Categories: Defence`s Feeds

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