A Széchenyi 2020 keretében megjelent a „Mikro-, kis- és középvállalkozások piaci megjelenésének támogatása” című (GINOP-1.3.1-15 kódszámú) felhívás.
A támogatásra rendelkezésre álló tervezett keretösszeg 5 milliárd forint.
A támogatási kérelmek benyújtása 2015. június 22-től 2017. június 22-ig lehetséges.
The photographs in this post were taken during a combined live fire demonstration in Wadi Shadiya, Jordan, May 18.
They show a B-52H from 2nd Bomb Wing, from Barksdale Air Force Base, Louisiana, drop some 500-lb GBU-38 JDAM (Joint Direct Attack Munition) bombs during the “monumental military demonstration” that was the final event of Exercise “Eager Lion” a recurring multinational exercise designed to strengthen military-to-military relationships, increase interoperability between partner nations, and enhance regional security and stability.
Noteworthy, the two B-52 Stratofortress bombers that marked the first participation of strategic bombers to Eager Lion, performed a 30-plus hour, 14,000 mile nonstop mission to the U.S. Central Command area of operations.
They coordinated the attack with Jordanian JTACs (Joint Terminal Attack Controllers) and, after the attack run, overflew the range escorted by two Royal Jordanian Air Force F-16s.
In addition to 5,000 U.S. servicemen, the two-week yearly exercise saw the participation of Jordanian forces as well as contingents from 16 other countries for a total force of about 10,000 troops.
The exercise was held among five sites across Jordan and based on the scenario of a friendly contingent committed to the aid of an allied nation under threat by an aggressive neighbor. Along with the U.S. Air Force strategic bombers, Jordanian tactical planes and U.S. Army helicopters of the 185th Theater Aviation Brigade’s aviation task force, EOD (explosive ordnance disposal) teams, Seabees and patrol craft were used to perform port security in Aqaba, Jordan’s only coastal city, while a Marine crisis-response force out of Kuwait took part in the drills, practicing non-combatant evacuation operation (NCO) by means of MV-22 tilt-rotor aircraft in the north.
Image credit: U.S. Marine Corps
Related articles
Réfugiés sur un bateau de bois en Méditerranée (crédit : gardes cotes islandais)
(BRUXELLES2) Depuis que Matteo Renzi a dit vouloir détruire les navires encore à quai en Libye, c’est un grand phantasme, avec les « boots on the ground » : la destruction des navires de migrants. Or, la destruction des navires utilisés par les migrants a déjà lieu en mer, de façon habituelle et pour des raisons très concrètes.
6 navires coulés par la marine allemande
La chancelière allemande Angela Merkel l’a confirmé officiellement mardi (19 mai), lors d’une conférence de presse commune avec François Hollande. Depuis le début des opérations de sauvetage en mer, où la marine allemande est impliquée, « cinq bateaux gonflables et un bateau en bois ont été coulés ». NB : on peut, sans trop de difficulté, indiquer que cette pratique n’est pas particulière à Berlin. Les marines italiennes, françaises ou britanniques ont adopté les mêmes pratiques.
Eviter des accidents
La raison est simple et, avant tout, c’est une raison de sécurité maritime. « Les bateaux abandonnés poserait un danger pour la navigation. En raison de leur taille et leur manque d’éclairage, ils ne peuvent pas être vus la nuit, même par beau temps. Heurter un bateau abandonné pourrait entraîner des dommages au système de gouvernail ou de propulsion. »
Eviter des fausses alertes aux secours
Cela répond aussi à une motivation de préserver la bonne qualité des secours en mer. Un navire perdu en mer « vu d’un avion, ou à grande distance, ce n’est pas toujours clair s’il y a des gens à bord d’un bateau ». Pour en être sûr, il faudra envoyer des moyens sur place. « Jusqu’à ce que cela soit clair, que le bateau est abandonné, s’écoule de précieuses heures qui peuvent être mieux utilisées pour sauver d’autres personnes qui en auraient besoin ».
NB : Cela évite, enfin, que ces navires puissent être réutilisés le cas échéant par les passeurs qui viendraient les récupérer. Ces bateaux, faut-il le préciser n’ont généralement pas de pavillon, ni de capitaine en soi. Ce qui ne pose donc pas trop de problème juridique. Bien entendu, la destruction de ces navires se fait une fois toutes les personnes évacuées. Une vérification visuelle se fait au dernier moment afin de vérifier qu’il n’y a plus personne, réalisée par les militaires de l’équipe de visite ou d’abordage.
(Nicolas Gros-Verheyde)
Lire aussi : Des « Boots on the ground » en Libye, le grand phantasme ?