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Updated: 2 months 1 week ago

Agropole de Samendeni : L'études de faisabilité confiée au cabinet ACI/D SA

Wed, 19/07/2023 - 18:30

Dans sa stratégie de transformation structurelle de l'économie nationale, le Burkina Faso s'est engagé dans une approche territoriale de développement basée sur les pôles de croissance. Ainsi, pour opérationnaliser cette nouvelle approche de développement, une Stratégie nationale de promotion des pôles de croissance (SNP-PC) a été adoptée pour la période 2019-2023 et constitue le cadre fédérateur de toutes les interventions de développement des pôles de croissance.

Cette stratégie a identifié, en plus du pôle de croissance de Bagré déjà en exécution, plusieurs projets de pôles de croissance qui doivent être mis en place, parmi lesquels les agropoles de Samendeni et du Sourou. La formulation du projet d'agropole nécessite la conduite d'une série d'études dont de celle de la faisabilité, confiée au Cabinet Appui Conseil International pour le Développement (A.C.I/D-SA). Un atelier de cadrage a été organisé à cet effet, le 05 juillet 2023 à Ouagadougou.

Le cabinet Appui conseil international pour le développement (ACI/D-SA) conduit l'études de faisabilité de la vallée de Samendeni en une agropole. L'approche « pôles de croissance » consiste à centrer les interventions nécessaires sur une zone géographique à fort potentiel de développement pour produire de la croissance sur quelques secteurs d'activités capables d'engendrer des effets d'entraînement importants sur d'autres secteurs, villes ou régions dans une dynamique de développement intégré.

Pour ce faire, un atelier de cadrage de cette étude a eu lieu le 5 juillet 2023 à Ouagadougou. La cérémonie d'ouverture des travaux dudit atelier a été présidé par Monique B. Yarga/Ouédraogo, directrice générale du développement territorial par ailleurs présidente du groupe technique de suivi.

A l'en croire, la mission confiée au cabinet ACI/D-SA a pour objectif de réaliser une étude de la faisabilité technique, économique et sociale de l'agropole de Samendeni. Et d'expliquer que la construction de ce pôle de croissance consiste à transformer en une agropole, le Programme de développement intégré de la vallée de Samendeni (PDIS) qui dispose déjà d'un important potentiel de développement sur une zone aménageable de 21 000 ha et des investissements déjà réalisés. Il s'agit entre autres, d'un barrage hydroagricole de 1,050 milliards de m³, d'une centrale hydroélectrique de 18 GWhs.

En effet, dans la perspective d'un pôle de croissance, il est nécessaire de cerner tous les paramètres essentiels dont la conjugaison permettra la mise en place de l'agropole et d'assurer sa viabilité et sa rentabilité. De ce fait, toutes les questions liées aux potentialités de la zone, aux contraintes, aux acteurs devant interagir et les retombées possibles de l'agropole doivent être traitées à travers cette étude de faisabilité.

Selon l'administrateur du cabinet ACI/D SA, Hamed Fulgence Kafando, la réalisation de cette étude sera étalée sur une période de six mois, soit 180 jours calendaires. Une équipe de 16 experts, dont 9 experts principaux et 7 experts d'appui, a été mobilisée. Toute chose qui permettra, selon lui, de livrer un travail de haute qualité.
En rappel, la zone de l'agropole couvre 4 provinces et 12 communes des régions des Hauts-Bassins et de la Boucle du Mouhoun et correspond aux sous bassins supérieur et moyen du fleuve Mouhoun.

Moumbarak SILGA

Categories: Afrique

Nécrologie : Yirpaalè Zéphirin Somda repose désormais au cimetière de Boassa

Wed, 19/07/2023 - 17:30

Décédé, vendredi 14 juillet 2023 des suites de maladie au CHU-Yalgado Ouédraogo, Yirpaalè Zéphirin Somda a été porté à sa dernière demeure, mardi 18 juillet au cimetière de Boassa, à la sortie ouest de Ouagadougou. Il laisse derrière lui une épouse et deux enfants inconsolables.

Comme une traînée de poudre, la nouvelle du décès de Yirpaalè Zéphirin Somda, à l'âge de 59 ans, s'est répandue dans le quartier Naab-Puugo, dans la soirée du 14 juillet. Pourquoi lui ? s'interrogeaient amis et autres connaissances qui l'avaient perdu de vue depuis quelques jours ?

Lors de la veillée funèbre, lundi 17 juillet à 20h, la tristesse se lisait sur les visages cachés derrière des verres noirs, des foulards et des morceaux de pagne. Le silence emplit le domicile, ponctué parfois par des sanglots étouffés. Plusieurs témoignages ont été faits par des membres de la famille. Tous sont unanimes : Yirpaalè Zéphirin Somda était un homme poli, gentil, affable. Parfois timide, mais il se souciait toujours de la cohésion entre les membres de sa famille. Il a combattu le bon combat et achevé son parcours terrestre entouré des siens.

Agent de la Société nationale burkinabè d'hydrocarbures (SONABHY) à la retraite depuis près de deux ans, il était retourné à ses premières amours : l'élevage. Il se consacrait à sa ferme avicole et piscicole qu'il avait mise en place des années auparavant. Infatigable, son amour pour l'élevage était grand si bien qu'il lui était difficile de marquer une pause de retour de son check up médical hors du Burkina. A travers une anecdote, son frère a confié que cet amour pour l'élevage remonte à son enfance. En visite chez son oncle maternel, il avait reçu de ce dernier un mouton qu'il avait ramené à la maison. Il aimait tellement l'animal qu'il voulait dormir avec lui. Il l'amenait même à la messe, a témoigné son frère.

A l'Église Christ Roi de Pissy, mercredi 18 juillet, la famille a confié l'âme du défunt à la miséricorde divine lors de l'absoute. « Une messe d'absoute est l'expression de notre désir d'entourer son corps de respect. C'est aussi notre désir de le confier à celui qui l'a créé à son image », a déclaré le père célébrant. Selon lui, nul ne connaît ni le jour, ni le lieu encore moins les conditions dans lesquelles il s'en ira. « Nous sommes en pèlerinage sur cette terre. Vivons comme des gens qui sont attendus ailleurs. Demeurons dans la confiance de Dieu même si nous sommes loin de lui ». Une nouvelle vie attend donc les deux défunts, dira le prêtre.

A l'en croire, si Dieu a créé l'homme à son image, cela signifie que ce dernier est immortel. Mais, précise-t-il, cette immortalité n'est pas liée au temps et à l'espace. « Elle est liée à la qualité de notre relation avec Dieu. La vie éternelle n'est autre chose que la connaissance de Dieu, la pratique des sacrements, etc. La vie éternelle commence par le baptême, se confirme dans la confirmation pour se poursuivre dans une vie de témoignage diversifiée. »

Après l'absoute, le cortège s'est ébranlé jusqu'au cimetière de Boassa pour l'ultime adieu. Toujours dans une ambiance insoutenable. Un dernier instant pour les enfants, Daniel et Kenneth, de témoigner à leur père toute leur gratitude pour l'amour, et la bonne éducation reçus.
Les obsèques coutumières se dérouleront à Tovor, dans la commune de Dissin dans le loba, à quelques kilomètres de la frontière du Ghana.

Adieu voisin !
HFB
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Categories: Afrique

Fin de l'accord sur les céréales entre la Russie et l'Ukraine : L'ambassadrice américaine à l'ONU accuse Moscou de « prendre l'humanité en otage »

Wed, 19/07/2023 - 16:40

Le Kremlin a annoncé, le lundi 17 juillet 2022, son retrait de l'accord signé en juillet 2022 entre la Turquie, l'Ukraine, la Russie et l'Organisation des Nations unies (ONU) sur l'exportation des céréales ukrainiennes. En un an, ce corridor maritime céréalier aurait permis de sortir 33 millions de tonnes de grains des ports d'Ukraine essentiellement du maïs et du blé, et ce en dépit du conflit.

Les pays africains, confrontés pour beaucoup à une forte inflation, craignent de payer un lourd tribut. Sur son compte Twitter, le président de la Commission de l'Union africaine (UA), Moussa Faki Mahamat, a condamné la décision russe de suspendre l'accord qui autorisait les exportations de céréales ukrainiennes par la mer Noire malgré la guerre en Ukraine. « Je regrette la suspension de l'Initiative céréalière de la mer Noire, que l'Union africaine avait soutenue très tôt », a déclaré Moussa Faki Mahamat. Il a de ce fait exhorté les parties prenantes à résoudre les problèmes pour, dit-il, permettre la reprise du passage continu et sécurisé des céréales et engrais d'Ukraine et de Russie vers les régions qui en ont besoin, notamment l'Afrique. L'ambassadrice américaine à l'ONU, Linda Thomas-Greenfield, a accusé Moscou de « prendre l'humanité en otage ».

Même son de cloche chez le secrétaire général de l'ONU António Guterres, pour qui, les centaines de millions de personnes qui font face à la faim vont en payer le prix. Le président de la Banque mondiale (BM), Ajay Banga, il aussi n'est pas resté insensible face à cette situation que l'on pourrait qualifier de drame si toutefois la Russie reste sur sa position et ne renouvelle pas l'accord. Pire, il s'est alarmé d'une dangereuse division de l'économie mondiale, en l'absence de progrès dans la lutte contre la pauvreté.

« Ce qui me tient éveillé la nuit, c'est la méfiance qui, en silence, divise le Nord et le Sud de la planète à un moment où nous avons besoin de nous unir. La frustration des pays du Sud est compréhensible. À bien des égards, ils paient le prix de notre prospérité. Alors qu'ils devraient être en pleine ascension, ils craignent que les ressources promises soient détournées au profit de la reconstruction de l'Ukraine », a déclaré le président de la Banque. C'était lors des discussions avec les dirigeants financiers du G20-ministres des finances et gouverneurs de banques centrales sur les structures financières internationales.

Quant à l'Ukraine, elle a affiché sa volonté de continuer à exporter ses céréales par la mer Noire, avec ou sans l'accord de Moscou sur la sécurité des navires. « Nous n'avons pas peur », a déclaré à nos confrères de Ledevoir, le président, Volodymyr Zelensky qui avait reçu au début du mois, lors d'une visite à Istanbul, le soutien appuyé du président turc, Recep Tayyip Erdogan, au grand dam de Moscou. Il sied de rappeler que Vladimir Poutine est attendu à Johannesbourg du 22 au 24 août pour le sommet des Brics, ce groupe de cinq grandes puissances émergentes (Afrique du Sud, Brésil, Chine, Inde et Russie) actuellement présidé par Pretoria. Mais le président russe est visé depuis mars par un mandat de la Cour pénale internationale (CPI) pour le crime de guerre de "déportation" d'enfants ukrainiens depuis l'invasion de l'Ukraine, des accusations que Moscou rejette en bloc.

Aïssata Laure G. Sidibé
Lefaso.net
Sources : AFP, TV5MONDE

Categories: Afrique

Lutte contre les conflits communautaires dans la zone pastorale de Samorogouan : Des acteurs se concertent autour du projet PRéPAC

Wed, 19/07/2023 - 16:08

Le Centre d'études et d'expérimentations économiques et sociales de l'Afrique de l'Ouest-Association internationale (CESAO), avec l'accompagnement de l'ambassade royale du Danemark, en partenariat avec la DHPCS (Projet de promotion des droits humains, de la paix et de la cohésion sociale 2021-2025) et en collaboration avec le gouvernement du Burkina, organise ce mercredi 19 juillet 2023 à Bobo-Dioulasso, un atelier d'échanges et de concertation avec les autorités de la région des Hauts-Bassins pour présenter les mesures consensuelles de gestion communautaire dans la zone pastorale de Samorogouan.

Cet atelier vise à consulter les autorités administratives régionales des Hauts-Bassins en charge de la zone pastorale de Samorogouan en vue de prendre leurs propositions de solutions d'une gestion concertée de ladite zone.

Il vise par ailleurs à présenter aux participants la vision de l'objectif du projet d'appui à la prévention et la résolution pacifique des conflits dans la zone pastorale de Samorogouan (PRéPAC-2022-2023) ; présenter l'état des lieux actuel de la zone pastorale de Samorogouan ; adopter les recommandations éventuelles issues de la concertation régionale…

Vue des participants

Le projet PRéPAC est mis en œuvre dans cinq communes de la région des Hauts-Bassins et veut contribuer à prévenir et/ou limiter les conflits nés entre les communautés autour de l'accès aux ressources naturelles. Il est réalisé autour de deux principaux objectifs à savoir : Améliorer le dialogue et la concertation entre les acteurs locaux pour prévenir les conflits liés à l'accès aux ressources naturelles ; Promouvoir les pratiques de transformation positives des conflits pour consolider la paix et préserver la cohésion sociale.

En effet, dans un premier temps, la mise en œuvre de l'objectif 1 a permis de recueillir auprès des notables du village de Samorogouan des mesures consensuelles pour une gestion apaisée de la zone pastorale de Samorogouan en collaboration avec la direction régionale des ressources animales et halieutiques du Kénédougou. Ensuite, ces mesures ont été présentées aux autorités provinciales (haut-commissaire, directeurs et chefs de service de la province du Kénédougou, qui à leur tour ont apporté des orientations pour une meilleure compréhension de la problématique et gestion concertée de la zone de Samorogouan.

Karim Koné, coordonnateur du CESAO pôle régional Burkina

Ces propositions ont permis à l'équipe de projet de poursuivre les concertations avec les acteurs communautaires des cinq communes qui ont eu à donner leurs propositions des mesures pour une gestion consensuelle et apaisée de la zone pastorale de Samorogouan.

C'est ainsi qu'à la présente étape, il était impératif de consulter les autorités administratives et régionales en charge de la zone pastorale en vue de prendre leurs propositions de solutions d'une gestion concertée de ladite zone.

Selon Karim Koné, coordonnateur du CESAO pôle régional Burkina, il y a beaucoup de problèmes qu'ils peuvent résoudre dans le dialogue et c'est ce qu'ils ont fait à travers une nouvelle dynamique pour aller vers la cohésion. « Maintenant les acteurs sur le terrain ont déjà trouvé des actions, c'est ça qu'il faut maintenant valider ici pour qu'ils arrivent à mettre en œuvre ».

Dr Bertin Lukanda, de l'assistance technique DANIDA

Dr Bertin Lukanda, de l'assistance technique DANIDA, souligne que de simples litiges autour d'un champ peuvent par une intervention inappropriée, devenir conflictuels alors qu'ils pourraient se résoudre à l'amiable entre agriculteurs et éleveurs. Le dialogue entre les acteurs pour la recherche de solutions d'exploitation concertée reste alors à son avis indispensable. Aussi il a souhaité que les solutions qui seront proposées renforcent les capacités des acteurs impliquées à se retrouver pour réconcilier leurs besoins différents et décider d'un commun accord par rapport à la gestion partagée des ressources selon l'évolution du contexte et des circonstances. Il a également salué les efforts du CESAO visant à contribuer à assurer les conditions pour la consolidation de la paix et la préservation de la cohésion sociale à travers la transformation positive des conflits au Burkina Faso.

Mariama Gnanou/Konaté, représentante du gouverneur de la région des Hauts-Bassins

Le gouverneur de la région des Hauts-Bassins par la voix de son représentant Mariama Gnanou/ Konaté, a invité les participants à s'investir efficacement dans les travaux au regard de l'importance de cette concertation qui entre en droite ligne avec la vision du gouvernement du Burkina Faso qui a fait de la cohésion sociale et la promotion de la sécurité et la paix son cheval de bataille.

Photo de famille

Le projet PRéPAC cherche donc à assurer les conditions pour la consolidation de la paix et la préservation de la cohésion sociale à travers la transformation positive des conflits pour faire en sorte que les sujets de divergences deviennent les points de départ pour la construction de la convergence vers l'acceptation de soi et d'autrui, la mise en place d'une communauté plurielle de partage et de solidarité entre des usagers d'un patrimoine commun.

Haoua Touré
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Categories: Afrique

Hauts-Bassins : Des personnes handicapées à l'école de leurs droits

Wed, 19/07/2023 - 16:00

Ouverture ce Mercredi 19 Juillet 2023 à Bobo d'une session de formation au profit des personnes handicapées sur leurs droits. Une formation initiée par le Ministère en charge de la Solidarité à travers le SP/COMUD/Handicap. Le challenge pour les organisateurs est de renforcer les capacités des personnes handicapées sur la convention relative aux droits des personnes handicapées et les autres instruments juridiques et institutionnels de protection et de promotion des droits des personnes handicapées.

Le Burkina Faso dans sa vision d'assurer le plein épanouissement des personnes handicapées et garantir le respect de leur dignité intrinsèque, a ratifié des instruments juridiques au niveau international et adopté des textes législatifs et règlementaires au niveau national. Nonobstant ces efforts, les personnes handicapées sont toujours confrontées à la persistance des pesanteurs socioculturelles et aux difficultés d'accès à l'emploi et à la méconnaissance de leurs droites et différentes voies de recours.

Face à cette situation le SP/COMUD/Handicap a décidé de monter au créneau en jouant la carte de la sensibilisation. Une formation de 48H au profit des personnes handicapées sur leurs droits. A cette cérémonie d'ouverture le Secrétaire Permanent du Conseil National Multisectoriel pour la Protection et la Promotion des Droits des Personnes Handicapées (SP/COMUD/Handicap) a souligné l'impérieuse nécessité d'outiller les personnes handicapées sur leurs droits.

Pour Lassimane KOUNKORGO cette formation va permettre aux participants de mieux connaitre leurs droits. Et la cérémonie de ce matin entre dans le cadre de la mise en œuvre des activités du Projet « Yirwa » pour la promotion des droits des personnes handicapées au Burkina Faso.

Cette formation de Bobo va s'étendre sur 02 jours. Les organisateurs ont bien voulu qu'elle soit inclusive. C'est donc dire qu'elle sera animée conjointement par des personnes dites normaux et des personnes handicapées avec à la clé plusieurs modules. Il s'agit entre autres de présenter le projet « Yirwa », de faire une situation des personnes handicapées de la région des Hauts-Bassins, de présenter les instruments juridiques et institutionnels de protection des droits des personnes handicapées, les besoins spécifiques des personnes handicapées.

Selon Golo BARRO, représentant du Gouverneur de la région des Hauts-Bassins, la question du handicap est transversale et intéresse à ce titre tous les acteurs publics et privés de ladite région qui œuvrent pour le bien-être des populations.

Il a avant de clore son discours de lancement invité les participants à s'approprier les différents modules qui leur seront enseignés afin d'être des relais pour sensibiliser leurs paires qui n'ont pas pris part à cette cérémonie, une fois de retour dans leur localité respective.

A noter que cette formation a réuni une soixantaine de participants venus des Hauts-Bassins. Les organisateurs ont dans leur collimateur plus de 350 personnes à sensibiliser dans plusieurs régions du Faso.

Categories: Afrique

Réception provisoire des ouvrages du barrage de Niangdo (Boulkiemdé) : Un rêve de plus de 40 ans devenu réalité

Wed, 19/07/2023 - 15:19

Le Programme des nations unies pour le développement (PNUD), la République de l'Inde et le gouvernement du Burkina Faso ont procédé à la réception provisoire des ouvrages du barrage de Niangdo dans la commune de Poa, province du Boulkiemdé, région du Centre-ouest le lundi 17 juillet 2023. La concrétisation du dit barrage vient à point nommé soulager plus de 50 000 habitants des dix villages de la commune de Poa. La cérémonie a vu la présence du gouverneur de la région du Centre-ouest, de la PDS de Poa, des fils et filles de la commune et de plusieurs autorités.

Avec une capacité de 580 000 m3 d'eau le barrage de Niangdo voit le jour dans le cadre du Programme d'amélioration des moyens d'existence durable en milieu rural (PAMED) et l'appui du programme budgétaire « Gouvernance environnementale et développement durable » du ministère de l'Environnement, de l'économie verte et du changement climatique. Cela a été possible grâce à l'engagement et la détermination des fils et filles de la commune qui dans un élan collectif, leurs efforts et sollicitations ont reçu un écho favorable du PNUD et de la république de l'Inde.

visite sur le site

D'un coût global de 1 154 970 300 francs CFA, il est financé à 48,40% par le gouvernement indien, 20% par l'État burkinabè et 16,50% pour le PNUD. Ce barrage offre un périmètre d'aménagement de cinq hectares de terres agricoles avec possibilité d'extension de plus de 11,5 hectares. Chose qui va contribuer notamment à l'autonomisation économique des jeunes et des femmes, le renforcement de la sécurité alimentaire et la promotion du développement durable à travers la mise en valeur de ces espaces irrigables. En plus du barrage, un radier est réalisé pour faciliter le déplacement des populations d'un côté à l'autre du village.

Isabel Tschan, représentante-résidente par intérim du PNUD au Burkina Faso

Au cours de la cérémonie de réception la parole est donnée au Naaba Yemdé, chef de Niangdo pour son mot de bienvenue et ses bénédictions. A l'entendre, le barrage de Niangdo est un rêve depuis l'époque de Thomas Sankara, qui s'est concrétisé aujourd'hui. Après lui, place a été faite à la présidente de la délégation spéciale de la commune de Poa pour son mot. La PDS, Romaine Sawadogo, en plus d'avoir traduit ses sentiments de reconnaissance et de fierté, a souhaité aux autorités et partenaires de toujours les accompagner pour la mise en œuvre des espaces irrigables.

A tour de rôle, les partenaires financiers et techniques représentés par le chargé d'affaires de l'ambassade de la République de l'Inde et la représentante-résidente par intérim du PNUD au Burkina, n'ont pas tari de mots pour traduire leur satisfecit pour la bonne conduite et la finalisation à bon terme des travaux. De ce fait, Isabel Tschan, représentante-résidente par intérim du PNUD, a précisé que ce barrage est sans conteste l'un des plus beaux exemples de coopération sud-sud et triangulaire entre l'Etat du Burkina Faso et le gouvernement indien ainsi que son institution. « L'objectif c'est de réduire la pauvreté de la population de Niangdo, de la commune de Poa et booster le développement économique local à travers la création des emplois et des moyens d'existence durable pour les jeunes », a-t-elle déclaré.

C. M. Chacraborty, chargé d'affaire de l'ambassade de l'Inde au Burkina Faso

Elle ajoute aussi que l'ouvrage vise à mobiliser et à valoriser les ressources en eau, à créer des emplois pour la population de la commune, contribuant ainsi à la réduction de la pauvreté, de l'insécurité alimentaire et sociale tout en préservant l'environnement. Par ailleurs, elle a affirmé l'engagement du PNUD quant au projet d'aménagement des espaces irrigables. Pour finir elle a aussi appelé les populations à la bonne gestion des infrastructures déjà disponibles. La république de l'Inde, qui a participé à plus de 48% à la réalisation de ce barrage, n'a pas manqué de traduire sa satisfaction pour la réussite des activités. Ainsi C. M. Chacraborty, chargé d'affaire, a de ce fait félicité le gouvernement burkinabé et le PNUD pour la confiance accordée à l'Inde. « Je suis convaincu que ce barrage ne sera pas non seulement bénéfique pour la commune de Poa mais pour toute la population du Burkina et pour les générations à venir », a-t-il laissé entendre.

Boubacar Nouhoun Traoré, gouverneur de la région du Centre-ouest

Cette cérémonie, qui a connu la présence du gouverneur de la région du Centre-ouest, Boubacar Nouhoun Traoré, fut l'occasion pour lui de remercier au nom du gouvernement burkinabé les différents partenaires. A cet effet, il n'a pas manqué de saluer l'engagement de la population qui a fait de cette initiative la sienne. En rappel, la cérémonie du jour a permis un décryptage sur la carte du barrage et une visite des différentes réalisations.

Prince Omar
Lefaso.net

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Coopération : Le Premier ministre en visite officielle au Nicaragua

Wed, 19/07/2023 - 14:59

(Ouagadougou, le 18 juillet 2023). Le Premier ministre, Me Apollinaire Joachimson KYELEM de TAMBELA, effectuera du 19 au 21 juillet 2023, une visite officielle à Managua, capitale du Nicaragua.

Dans ce pays situé en Amérique centrale, le Chef du Gouvernement de la Transition et sa délégation participeront à la cérémonie officielle du 44ème anniversaire du triomphe de la révolution sandiniste.

Au menu du séjour de Me Apollinaire Joachimson KYELEM de TAMBELA, figurent également un entretien avec le Président de l'Assemblée Nationale de Nicaragua, Dr Gustavo Porras, ainsi qu'une réunion au Ministère des Affaires étrangères au cours de laquelle des accords et un mémorandum seront signés.

Le Nicaragua est le plus grand pays d'Amérique centrale, avec une superficie de 130 373 km2. Il dispose de deux côtes sur l'océan Pacifique à l'ouest et la mer des Caraïbes à l'est. Son climat est tropical dans les plaines côtières et plus frais dans les zones montagneuses du nord.

La population du Nicaragua a dépassé la barre des 6 000 000 habitants et, en raison du profil géographique du pays, une proportion importante de la population est concentrée dans la zone pacifique du pays. 60 % de la population vit en milieu urbain.

DCRP/Primature

Categories: Afrique

République Démocratique du Congo : 40 civils tués, l'ONU s'offusque

Wed, 19/07/2023 - 14:35

Entre le dimanche 16 juillet 2023 et le mardi 18 juillet 2023, une quarantaine de civils ont été tués en Ituri, province située dans le Nord-est de la République Démocratique du Congo. C'est ce qu'a déploré l'Organisation des nations unies (ONU), le mardi 18 juillet 2023.

Le Bureau de coordination des affaires humanitaires (OCHA) de l'ONU a regretté ce mardi 18 juillet 2023, la montée en puissance de la violence en République Démocratique du Congo. Une situation qu'elle qualifie "d'escalade importante de la violence en Ituri", peut-on lire sur Africa Radio.

En effet, les violences dans cette partie du territoire de la République Démocratique du Congo remontent à plusieurs années. Et récemment, plusieurs civils y ont été tués et le nombre de déplacés s'est accru. "En Ituri cette année, plus de 600 civils ont été tués et 345.000 personnes déplacées" déplore l'OCHA. "Nous condamnons fermement ces violences et appelons toutes les parties à respecter le droit humanitaire international et les principes des droits humains", a insisté la coordination.

Selon Stéphane Dujarric, porte-parole du secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, l'ONU et ses partenaires sont venus en aide à 460 000 personnes dans la province. C'était au premier trimestre de l'année 2023. Toutefois, le plan humanitaire déployé par l'ONU n'est financé qu'à 30%, toute chose qui nécessite l'implication de la communauté internationale afin de réduire la casse.

"Nous appelons la communauté internationale à montrer sa solidarité avec la population de RDC et à apporter son soutien pour faire face à la crise humanitaire qui s'amplifie" dira t-il à ce propos.

En rappel, l'Ituri est une des provinces les plus touchées par la violence en République Démocratique du Congo. Et chaque attaque d'hommes armés est soldée par de nombreuses pertes en vies humaines et de nombreux déplacés.

Erwan Compaoré
Lefaso.net

Categories: Afrique

Décès de Tapsoba née Rouamba Marie Madeleine Jenny : Remerciements et faire-par

Wed, 19/07/2023 - 13:06

Le Ouidi Naaba Kiiba ;
Le Bazoulé Naaba Kiiba ;
Le Nabiga de Seguedin ;
Le Samb Naaba de M'ba Kam Song-yiri ;
Le Yitouni Nabiga ;
La grande famille Kaboré à Bazoulé, Seguedin et Ouagadougou ;
La grande famille Tapsoba à Yitouni (Tampouy), Kologh-Naaba, Gounghin et Pissy ;

Les grandes familles Rouamba et Nikyema à Ouidi et Kologh-Naaba ;
Les familles alliées Zongo à Zoekounga et Ouagadougou, Zoungrana, Bayala, Compaoré, et Ouédraogo à Ouagadougou ;
Les grandes familles Bonkoungou, Zongo, Nikièma, Zangréanogo à Ouagadougou ;

La petite sœur Mme Zongo née Rouamba Tanfinsi Anne Marie et ses enfants ;
Les enfants : Jean, Administrateur Civil à la retraite et son épouse Adelaïde, Mme veuve Hélène BAYALA, François et son épouse Angèle, Mme veuve Victorine OUEDRAOGO, Pierre et son épouse Marie-Jeanne et Marcellin et son épouse Blandine à Pissy, Saint Léon, Tampouy et Kologh-Naaba ;
Madame Veuve TAPSOBA née Zongo Thérèse épouse de feu TAPSOBA Hippolyte à Gounghin ;

Les petits-enfants : Guy, Judith, Olivia, Félicia, Fabienne, Mireille, Glwadys, Guillaume-Alain, Dimitri, Viviane, Gaëtan, Arlette, Anaïs, Achille, Estelle, Gustave dit Abdoul Rachid, Arthur, Charlotte, Aurel, Ken-Osias, Dalila, Flavien, Lionel, Lovita, Armelle et Aimé ;

Les arrière-petits-enfants et arrière-arrière-petits-enfants ;
Remercient tous ceux qui, de près ou de loin, leur ont apporté leur soutien matériel, moral et financier lors du rappel à Dieu le 13 juillet 2023 et de l'inhumation le 18 juillet 2023 de leur tante, sœur, mère, belle-mère, grand-mère et arrière-grand-mère,

Madame Tapsoba née Rouamba Marie Madeleine Jenny,
Dolotière à la retraite à Kologh-Naaba
Ils se gardent de citer des noms de peur d'en oublier.

Que Dieu, dans son infinie bonté, rende à chacun le centuple de ses bienfaits.
Ils vous informent par ailleurs que la grand-messe de requiem pour la défunte tenant lieu de funérailles sera dite le Dimanche 23 juillet 2023 à la paroisse Notre Dame du Rosaire de Kologh-Naaba à 7h.

UNION DE PRIERES

Categories: Afrique

Avis de recrutement d'INFIRMIERS (IÈRES) ENQUETEURS(TRICES), de MEDECINS, de BIOSTATISTICIEN (NE) et TECHNOLOGISTE BIOMÉDICAL

Wed, 19/07/2023 - 10:30

Dans le cadre de la réalisation d'une étude épidémiologique et radiologique commanditée par le Ministère de l'Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l'Innovation (MESRI) dans la commune de Kokologho, province du Boulkiemdé devant abriter le site du Technopole Pharmaceutique du Burkina Faso, un consortium de bureaux d'études intervenant dans le domaine de la Santé, l'Éducation, l'Économie et l'Environnement, lance un appel à candidatures pour le recrutement de personnels contractuels en vue de pourvoir aux postes ci-après.

POSTE I : INFIRMIERS (IÈRES) ENQUETEURS (TRICES)

Nombre de postes à pourvoir : Dix (10)
Durée du contrat : Un (1) mois

PRINCIPALES TÂCHES ET RESPONSABILITÉS

• Administrer des fiches d'informations de l'étude aux participants ;
• Obtenir les consentements éclairés écrits des participants ;
• Collecter des données sociodémographiques, comportementales, cliniques, épidémiologiques et environnementales auprès des participants et des institutions dans le cadre de l'étude à l'aide de questionnaire numérique et/ou sur papier ;
• Prendre des constantes hémodynamiques (pression artérielle, température, pouls, fréquence respiratoire, poids etc. ;) ;
• Collecter et faire des prélèvements biologiques (urine, selle et sang) ;
• Autres tâches en lien avec le poste.

QUALIFICATIONS ET COMPÉTENCES REQUISES

Peuvent faire acte de candidature, les hommes et les femmes résident au Burkina Faso et remplissant les conditions suivantes :
• Être âgé de dix-huit (18) ans ou plus ;
• Être titulaire d'un diplôme d'Infirmier diplômé d'État ;
• Avoir une bonne moralité, un sens de l'éthique, de confidentialité et de rigueur ;
• Avoir une expérience dans la collecte de données dans le domaine de la santé (enquêtes épidémiologiques) ;
• Parler couramment la langue Morée et Française ;
• Avoir une expérience de travail en milieu rural serait un atout ;
• Être apte à travailler au sein d'une équipe multidisciplinaire et sous pression
• Être entièrement disponible pendant la période de l'étude
• Disposer d'un moyen de déplacement.

POSTE II : MEDECINS

Nombre de postes à pourvoir : Deux (02)
Durée du contrat : Un (1) mois

PRINCIPALES TÂCHES ET RESPONSABILITÉS

• Superviser des activités de collecte des données des enquêteurs (trices) ;
• Assurer la prise en charge des cas cliniques sur le terrain, y compris les références si nécessaire ;
• Rédiger les bulletins d'examen ;
• Interpréter et rendre les résultats de laboratoire aux participants qui le désirent ;
• Compiler les données collectées et rédiger des rapports d'enquêtes ;
• Autres tâches en lien avec le poste.

QUALIFICATION ET COMPÉTENCE REQUISES

Peuvent faire acte de candidature les hommes et les femmes remplissant les conditions suivantes :
• Être âgé de dix-huit (18) ans ou plus ;
• Avoir un doctorat d'État en médecine générale ;
• Avoir une expérience professionnelle d'au moins deux (02) ans
• Avoir une bonne moralité, le sens de l'éthique, de confidentialité et de rigueur dans le travail ;
• Avoir un sens de l'organisation et des responsabilités
• Avoir une expérience avérée en supervision et management d'équipe ;
• Être apte à effectuer de fréquents déplacements sur le terrain en milieu rural ;
• Parler couramment la langue Morée et Française ;
• Être apte à travailler au sein d'une équipe multidisciplinaire et sous pression
• Être entièrement disponible pendant la période couvrant l'ensemble des activités.
• Avoir une bonne connaissance ou une expérience de travail en milieu rural et particulièrement dans la commune de l'étude serait un atout ;
• Une expérience antérieure de moniteur ou de monitrice d'étude clinique serait un atout ;
• Disposer d'un moyen de déplacement.

POSTE III : BIOSTATISTICIEN (NE)

Nombre de postes à pourvoir : Un (01)
Durée du contrat : Un (1) mois

PRINCIPALES TÂCHES ET RESPONSABILITÉS

• Développer un masque de saisie numérique du questionnaire de collecte de données sur une base ;
• Proposer un plan d'analyse statistique des données ;
• Extraire les données collectées sur une base numérique et les compiler ;
• Traiter et analyser les données de l'étude à l'aide de logiciels spécialisés ;
• Présenter les résultats des analyses statistiques sur des tableaux ou des figures ;
• Résumer les principaux résultats des analyses statistiques pour l'équipe du projet ;

• Rédiger des conclusions qui aideront à la prise de décision ;
• Autres tâches en lien avec le poste.

QUALIFICATION ET COMPÉTENCE REQUISES

Peuvent faire acte de candidature les hommes et les femmes remplissant les conditions suivantes :
• Être âgé de dix-huit (18) ans ou plus ;

• Être titulaire d'un diplôme en Master en Biostatistique ;
• Avoir un minimum de trois ans d'expérience professionnelle avérée dans le domaine de l'analyse biostatistique des données de recherche en santé ;
• Avoir des compétences avérées en méthodes et techniques d'analyses statistiques et modélisation mathématique (recherche clinique, plans d'expérience, techniques d'enquête, techniques de sondages, analyse multidimensionnelle, modélisation statistique, modélisation biomathématique)

• Avoir des connaissances approfondies des logiciels d'analyses statistiques usuels (R, STATA, SAS, EpiData, EpiInfo etc.,) ;
• Avoir des compétences avérées en rédaction scientifique (projet de recherche et articles)

• Avoir un sens de l'organisation et des responsabilités, une bonne moralité et un esprit de synthèse ;
• Être apte à travailler au sein d'une équipe multidisciplinaire et sous pression
• Être entièrement disponible pendant la période couvrant l'ensemble des activités.
• Une expérience similaire en analyses biostatistiques des données d'enquêtes épidémiologiques serait un atout.

POSTE IV : TECHNOLOGISTE BIOMÉDICAL

Nombre de postes à pourvoir : Deux (02)
Durée du contrat : Un (1) mois

PRINCIPALES TÂCHES ET RESPONSABILITÉS

• Accueillir et enregistrer les participants de l'étude référés au service de laboratoire ;
• Recevoir les bulletins et les prélèvements déjà effectués et vérifier leurs conformités ;

• Réaliser des prélèvements additionnels s'il y'a lieu (sang et autres liquides biologiques) pour les analyses biomédicales ;
• Réaliser les analyses de laboratoire conformément aux protocoles analytiques établis ;
• Enregistrer correctement les résultats des analyses biologiques sur le registre de laboratoire ;
• Reporter les résultats des analyses biologiques de laboratoire sur les bulletins d'examens des participants ;

• Rentre les résultats des analyses biologiques aux médecins désignés par l'étude pour être communiqués aux participants ;
• Compiler les résultats des analyses de laboratoire et rédiger un rapport complet pour l'équipe du projet ;
• Autres tâches en lien avec le poste.

QUALIFICATION ET COMPÉTENCE REQUISES

Peuvent faire acte de candidature, les hommes et les femmes remplissant les conditions suivantes :
• Être âgé de dix-huit (18) ans ou plus ;
• Être titulaire d'un diplôme de technologiste biomédical (TBM) ou de technicien supérieur de santé (TSS) ou équivalents ;

• Avoir une expérience confirmée d'au moins un (1) an dans un laboratoire d'analyse biomédical public ou privé ;
• Avoir une bonne capacité d'organisation, d'analyse et de synthèse ;
• Bonne aptitude physique ;
• Bonne gestion du stress ;

• Avoir une bonne moralité, le sens de l'éthique, de confidentialité et de rigueur dans son travail ;
• Être apte à travailler au sein d'une équipe multidisciplinaire et sous pression ;
• Être entièrement disponible pendant la période couvrant l'ensemble des activités ;
• Une résidence dans la commune, du district ou de la région d'étude serait un atout ;
• Disposer d'un moyen de déplacement.

INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES

COMPOSITION DU DOSSIER DE CANDIDATURE

Le dossier de candidature à fournir doit comprendre :
1. Une photocopie de la Carte Nationale d'Identité Burkinabè (CNIB) ou du passeport en cours de validité ;
2. Les photocopies des diplômes ou des attestations obtenues ;
3. Un curriculum vitae détaillé de 3 pages maximum incluant : le niveau d'instruction et le diplôme obtenu, l'âge, le sexe, les langues parlées, les expériences de travail et les compétences en réalisation des enquêtes dans le domaine de la santé, une adresse courriel et des contacts téléphoniques du/de la candidat(e) ;
4. Une lettre de motivation d'une ½ page indiquant le poste sollicité, adressée à Monsieur l'Associé Gérant de GERAD.

PROCÉDURE DE RECRUTEMENT

Le recrutement se fera en trois (03) phases :
• Une présélection des candidats (es)s sur dossier ;
• Un entretien avec le/les candidats (es)s présélectionnés (es) ;
• Une sélection définitive après la formation.

Les dossiers de candidature seront envoyés par courriel en un seul fichier à l'adresse suivante, info@geradinter.com au plus tard le dimanche 28 juillet 2023 à 18h00.
Indiquer dans l'objet du courriel : votre nom et prénom et le titre du poste auquel vous postulez.

N. B. : Seul (e)s, les candidats (es) sélectionnés (es) seront contactés (es) pour l'entretien.
GERAD se réserve le droit de ne donner suite à aucun dossier de candidature en cas de non-satisfaction de la qualité des candidatures reçues.

Merci de votre compréhension !!!!!!

12 BP 165 Ouagadougou 12
Ouagadougou - Secteur 42 - Burkina Faso
Téléphone : + 226 73215757
Courriel : info@geradinter.com
Site Web : www.geradinter.com

Categories: Afrique

Deuxième session du séminaire international de formation sur système comptable des entités à but non lucratif (SYCEBNL)

Wed, 19/07/2023 - 10:30

Le Centre Africain d'Expertise en Gestion, Économie et Innovation (CAGEI) informe le public de la tenue d'un séminaire international de formation sur le système comptable des entités à but non lucratif du Août 2023 à Ouagadougou
 Contexte et justification

Après sa publication au Journal Officiel de l'OHADA le 22 février 2023, l'Acte uniforme relatif au Système comptable des entités à but non lucratif (SYCEBNL) entre en vigueur dans l'espace OHADA pour compter du 1er janvier 2024

Ce texte, qui vient donc compléter les dispositifs existants de l'Acte uniforme relatif au droit comptable et à l'information financière (AUDCIF), permettra d'harmonisation des pratiques comptables des entités à but non lucratif avec un dispositif comptable qui permet de traduire leurs activités selon des règles comptables appropriées, améliorant ainsi significativement la qualité de l'information financière produite au sein de l'espace.

Le système comptable des entités à but non lucratif est un système d'organisation de l'information financière ayant pour but de présenter les états financiers reflétant l'image fidèle de la situation financière, de la performance et des variations de la situation de trésorerie des entités à but non lucratif afin de répondre aux besoins des parties prenantes.

Ce référentiel comptable s'applique aux entités suivantes :
• les associations,
• les organisations religieuses,
• les ordres professionnels et entités assimilées,
• les projets de développement et assimilés.

C'est pour préparer les acteurs à une mise en œuvre efficace de ce nouveau système que le Centre Africain d'Expertise en Gestion, Économie et Innovation (CAGEI) organise un important séminaire international sur le SYCEBNL en mi-août 2023 à l'hôtel Sami à Ouagadougou au Burkina Faso.

 Objectif général
Ce séminaire a pour objectif de permettre aux professionnels du domaine de maîtriser le nouveau système comptable des entités à but non lucratif (SYCEBNL).

 Objectifs spécifiques/ compétences visées
Les objectifs spécifiques visés par cette formation sont de :
• Maîtriser le cadre conceptuel pour pouvoir mieux se l'approprier,
• Maîtriser la structure, le contenu et le fonctionnement des comptes du dispositif comptable des entités à but non lucratif applicable,
• Maîtriser et traiter efficacement opérations et problèmes spécifiques
• Assurer le basculement au SYCEBNL à la date du 01 janvier 2024
• Produire les états financiers conformes à la nouvelle réglementation du SYCENBL

 Public cible
Ce séminaire est destiné à tous les professionnels du chiffre en particulier :
• Les directeurs administratifs et financiers
• Les chefs comptables et comptables
• Les auditeurs internes et contrôleurs de gestion
• Les experts - comptables et commissaires aux comptes

• Les vérificateurs fiscaux appelés à contrôler les entreprises
• Les responsables des ONG et Projets de développement
• Les dirigeants des Associations et des ordres professionnels
• Les responsables des sociétés coopératives
• Les formateurs, étudiants
• Toutes personnes intéressées

 Contenu de la formation
Le Système comptable des entités à but non lucratif, en abrégé (SYCEBNL) est subdivisé en quatre parties :
• définitions et cadre conceptuel ;
• structure, contenu et fonctionnement des comptes ;
• opérations et problèmes spécifiques ;
• présentation des états financiers
Pour permettre une meilleure appropriation du système, le séminaire est organisé autour de 4 modules à savoir :

• Module 1 : Présentation, cadre conceptuel et plan de comptes
• Module 2 : Opérations & problèmes spécifiques
• Module 3 : Présentation des états financiers
• Module 4 : Contrôle des comptes & Analyse financière

 Profil du formateur
La formation est assurée par Joël MABUDU,
• Expert-comptable diplômé,
• Certifié aux normes internationales,

• Co-rédacteur du SYSCOHADA révisé et du plan comptable de l'UEMOA,
• Co-rédacteur du système comptable des entités à but non lucratif (SYCEBNL)
Il est titulaire de plusieurs certificats de spécialisation portant notamment sur :
• Les normes comptables internationales,
• La gestion comptable et budgétaire de l'État (comptabilité publique),
• La finance de marché,
• La cession, acquisition et transmission d'entreprise.

 Frais de participation
Frais de formation de chaque certificat est de 450 000 F CFA pour les candidatures individuelles et de 500 000 pour les candidatures institutionnelles.
NB : Les auditeurs devront s'acquitter des frais de formation par virement (voir RIB attaché), espèce ou par chèque au nom du centre avant le 31 juillet 2023 pour confirmer leur participation.
Les frais de formation donnent droit aux pauses-café et déjeuners durant la session

 Calendrier de formation
• Dépôt des dossiers : jusqu'au 31 juillet
• Durée de la formation : Aout 2023
• Période de formation : cours du jour 8h00 à 17h00
• Lieu : Ouagadougou (hotel Sami)
 Livrables

Après la formation, les participants auront droit à :
• Une attestation de formation
• Supports et outils pratiques du séminaire

 Inscription
La fiche d'inscription disponible ici
https://forms.gle/rznkJtD1FuaRFy987
Pour plus d'information sur nos offres de formation
www.lecagei.com

 Contact
Info line 25 45 37 57
WhatsApp : +226 78398855
E- mail : cagei.int@gmail.com
infos@lecagei.com

Categories: Afrique

Ziniaré : La SONATUR annonce la reprise de la vente des parcelles de son site en cours de viabilisation

Wed, 19/07/2023 - 10:30

Le Directeur Général de la Société Nationale d'Aménagement des Terrains Urbains (SONATUR) informe le public de la reprise de la vente des parcelles de son site de Ziniaré en cours de viabilisation situé du côté gauche de la Route Nationale N° 3 en provenance de Ouagadougou après la cité des Forces Vives. Cette vente concernera les parcelles à usage d'habitation et à usage commercial et se fera par la méthode du « premier souscripteur », dans la limite du stock disponible.

Les souscriptions se feront uniquement en ligne à compter du jeudi 20 juillet 2023 à partir de 08 heures GMT au mercredi 26 juillet 2023 à 12 heures GMT. Chaque souscripteur ne pourra souscrire que pour une seule parcelle et devra payer des frais de souscription non remboursables de cinquante mille (50 000) FCFA. Elles se feront sur la plateforme : www.sonatur.bf en suivant la procédure décrite sur la plateforme de souscription.

Les paiements du coût des parcelles doivent être effectués après la souscription au compte SONATUR à Coris Bank International, conformément aux options choisies, dans un délai de 48 heures.

NB : Tout versement effectué sans une souscription préalable ne fera aucunement l'objet de remboursement.

A l'issue du paiement du coût des parcelles en banque, le souscripteur devra fournir à la SONATUR un dossier constitué des éléments suivants :

• le récépissé de souscription ;

• l'original du reçu de paiement de la banque ;

• trois (03) photocopies légalisées de la carte nationale d'identité ou du passeport pour les personnes physiques ou de l'acte de naissance (enfant mineur), des statuts et du RCCM en cours de validité pour les personnes morales ;

• un timbre fiscal de cinq cent (500) francs CFA.

NB : Les droits de mutations payables après solde sont à la charge du client conformément aux textes en vigueur.

La liste des acquéreurs sera affichée au siège de la SONATUR et publiée sur son site web à l'adresse www.sonatur.org, au plus tard le mardi 1er août 2023.

Toutes les informations relatives aux parcelles et à leurs prix sont disponibles :

1. Au siège de la SONATUR sis avenue 1525 Kwamé N'Krumah ;

2. A la Direction Régionale de l'Ouest de la SONATUR à BOBO-DIOULASSO sise Bobo 2010 ;

3. Sur le site web de la SONATUR (www.sonatur.org).

Pour toute autre information, veuillez contacter le 25 30 17 73/74, 79 41 01 00, 70 20 00 02, 77 00 13 49 ou le 20 97 01 41

La SONATUR, bâtir dans un cadre agréable !

Le Directeur Général

Boureima OUATTARA

Categories: Afrique

Appel à candidature pour le recrutement de 150 entrepreneurs dans le cadre du programme Job and Business Booster

Wed, 19/07/2023 - 10:30

ForthInvestment, spécialisée dans l'accompagnement et dans le financement des entrepreneurs, en partenariat avec Woord en Daad, une ONG néerlandaise intervenant dans l'autonomisation des jeunes, déploient un programme dénommé JOB AND BUSINESS BOOSTER (JBB) afin de favoriser la création et la consolidation d'emplois au Burkina Faso.

Ce programme est conçu pour accompagner 360 jeunes entrepreneurs, dont 50% de femmes, sur une période de 3 ans. Il est adressé aux entrepreneurs évoluant dans les domaines de l'agriculture, l'élevage, la pêche, la transformation agroalimentaire, le recyclage des déchets et les énergies renouvelables.

La stratégie de mise en œuvre de JBB consiste à recruter des entrepreneurs par cohorte afin d'optimiser leur accompagnement. Chaque cohorte recevra un accompagnement de six (6) à quinze (15) mois en moyenne, structuré en quatre étapes :

formation et coaching pour l'accès au financement ;
mise en relation et suivi avec une institution financière pour l'obtention d'un financement ;

coaching post-financement ;
intermédiation d'emploi.

Le programme intervient dans les régions de la Boucle du Mouhoun, des Cascades, du Centre, du Centre-Ouest et des Hauts-Bassins.

En vue de lancer le processus d'accompagnement de sa deuxième cohorte, le programme JBB souhaite recruter 150 entrepreneurs qui remplissent les conditions définies.

Les critères d'éligibilité sont les suivants :

• Être un entrepreneur (homme ou femme) ayant un âge compris entre 15 et 35 ans ;

• Avoir au moins le Certificat d'Etude Primaire (CEP) ;
• Avoir une Très Petite ou Moyenne Entreprise (TPME) formelle ou en cours de formalisation ;

• Être dans le domaine agricole (agriculture, élevage, pêche), de la gestion des déchets ou des énergies renouvelables et dans au moins un des maillons (production - transformation - commercialisation) ;
• Avoir au moins 02 années d'activités ;

• Avoir au moins 02 employés (permanents ou temporaires) ;
• Avoir un projet de développement pour son entreprise.
Les candidatures féminines sont fortement encouragées !!

Le dossier de candidature doit être constitué de :

• une copie de la CNIB du promoteur ou du collaborateur associé ayant moins de 35 ans ;

• photocopies du RCCM et du numéro IFU (si l'entreprise est formelle) ;

• un formulaire de candidature à remplir en ligne via le lien suivant :
https://bit.ly/3WDXP72

• Ou nous contacter pour obtenir le formulaire de candidature via le mail : jobandbusinessbooster@gmail.com

Mode de recrutement

Une présélection sera faite pour identifier les promoteurs potentiellement éligibles ; s'en suivra une étape d'entretiens dans le but de faire un diagnostic des entreprises enfin une visite terrain sera effectué pour une sélection définitive des promoteurs.
Les dossiers sont également recevables en version physique du 1er juin au 1er août 2023 de 8h à 16h aux adresses suivantes :

JBB Ouagadougou (ForthInvestment annexe) : 1200 Logements, non loin de la clinique Sandof, Tel : (+226) 03 73 02 02
| Web : www.forthinvestment.com

JBB Ouagadougou : Ouaga 2000, 815 Avenue Gerard Kango OUEDRAOGO, Tel : (+226) 25 37 50 52

| Web : bf.jobbooster-network.com

JBB Bobo Dioulasso : Secteur 05, non loin de l'ex-école Nouvelle, Tel : 20 97 15 07 / 75 50 20 24

Categories: Afrique

Décès de ADELE YAMEOGO née LANKOANDE : Faire part

Wed, 19/07/2023 - 09:30

Les grandes familles YAMEOGO à ZAKIN (Koudougou), Ouagadougou,
Temnaoré, Canada, France et Etats Unis
Le chef de zakin à Koudougou

Monsieur Barthélemy YAMEOGO diplomate à la retraite à Ouagadougou
Faustin YAMEOGO, Mme Georgette ZOUNGRANA née
YAMEOGO à Koudougou, leurs frères, sœurs, enfants neveux, nièces, petits enfants à Koudougou et Ouagadougou :

Le doyen Eugène YAMEOGO fonctionnaire à la retraite à
Ouagadougou, Charles YAMEOGO, Sibiri Alexis YAMEOGO à Koudougou
Sa majesté Yempabou, chef couturier de Bogandé

La grande famille LANKOANDE à Bogandé, Fada N'Gourma et
Ouagadougou, au Niger en France et aux états unis
La famille de feu. Diahourga Jacques et son épouse COMBARI Georgette à
Bogandé, Fada N'Gourma, Ouagadougou et leurs enfants ;

Les familles alliées et amies sont attristées de vous faire part du rappel à Dieu le mercredi 12 juillet 2023 à tours (France) de leur très chère épouse, fille, sœur, nièce, mère, grande mère à l'Age de 68 ans de MADAME ADELE YAMEOGO née LANKOANDE Agroéconomiste à la retraite

les obsèques de Mme Adèle YAMEOGO née LANKOANDE se dérouleront comme suit
Jeudi 20 juillet à 18h : arrivée du corps à l'aéroport international de Ouagadougou et transfert à la chambre mortuaire du CHU de bogodogo
Vendredi 21 juillet à 15h : levée du corps et transfert à son domicile à la patte d'oie
19h à 21h30 : veillée de prières à son domicile
Samedi 22 juillet : levée du corps à 7h30, culte à l'église de Karambiri à dassasgho à 8h30 (TBI= Tabernacle Bethel Israël) suivi de l'enterrement au cimetière municipal de Gounghin

LES OBSEQUES de Mme ADELE YAMEOGO NEE LANKOANDE SE DEROULERONT COMME SUIT

Jeudi 20 juillet à 18h : arrivée du corps à l'aéroport international de Ouagadougou et transfert à la chambre mortuaire du CHU de bogodogo

Vendredi 21 juillet à 15h : levée du corps et transfert à son domicile à la patte d'oie

19h à 21h30 : veillée de prières à son domicile

Samedi 22 juillet : levée du corps à 7h30, culte à l'église de Karambiri à dassasgho à 8h30 (TBI= Tabernacle Bethel Israël) suivi de l'enterrement au cimetière municipal de Gounghin

Categories: Afrique

Décès de Nacro née Traoré Aïssétou : Faire part

Wed, 19/07/2023 - 08:30

Les grandes familles Nacro à Biéha, Pissa, Konzio, Léo, Ouagadougou et alliées,
Les grandes familles Zèba à Sanogo, Bouaké, Ouagadougou, Tenkodogo, et alliées,
Les enfants Kadré, Fanta, Bismarck, Gambetta, Andromaque, Abdoul-Karim,
Les neveux et nièces à Sanogo, Ouagadougou, Tenkodogo,
Les petits enfants, Régis, Nathalie, Sephora, Anna, Ben, Nouredine, Manuella, Jessica, Keila, Fârûq, Bethsalel, Périne, Abakuk, Yasser, Kagouala, à Ouagadougou, Paris, Toulouse, Abidjan et Bobo,

Les arrières petits-enfants Samuel et Eva-Assita à Paris,

Remercient tous ceux qui de près ou de lui leur ont apporté soutien et réconfort lors de la promotion céleste de leur épouse, fille, sœur, mère, tante, grand-mère et arrière-grand-mère, Nacro née Traoré Aïssétou, le lundi 10 juillet 2023 à Ouagadougou à l'âge de 79 ans.

Elles témoignent leur profonde gratitude aux Pasteurs et à la communauté de l'Eglise Baptiste du Bon Berger, de l'Eglise Assemblée de Dieu El-Shaddaï de Ouaga 2000, le Temple Emmanuel, de l'Eglise centrale de l'Alliance chrétienne de Bobo-Dioulasso, à l'Union des groupes bibliques du Burkina, au personnel du CHU Bogodogo et aux médecins traitants, à Monsieur le Ministre de l'enseignement supérieur, de la recherche et de l'innovation et à ses collaborateurs, à Monsieur le Ministre du commerce et ses collaborateurs, à Monsieur le Directeur général de la SONABHY et ses collaborateurs, à Monsieur le Secrétaire technique du Centre national de la cinématographie et de l'audio-visuel et à la grande famille des Cinéastes, aux Présidents et Directeurs généraux des IESR du Burkina Faso, à toute la Communauté de l'Université Nazi BONI, à Monsieur le Président et à l'ensemble du Conseil d'administration de l'Université Nazi BONI, au Commandant de la Brigade nationale des Sapeurs-pompiers et à l'ensemble de la compagnie, aux Gouverneurs et membres des Lions club du District 403-A3, à la Société de sécurité La référence, aux voisins, parents, amis et connaissances, aux jeunes du quartier, à l'Association des anciens enfants de troupe du Burkina et en particulier les promotions 78 et 79, les structures de Apidon.

La famille s'excuse auprès de tous ceux dont les noms n'ont pu être cités. Puisse le Seigneur vous multiplier ses grâces et combler tous vos besoins selon sa richesse en Jésus-Christ.

« Car Dieu n'est pas injuste, pour oublier votre travail et l'amour que vous avez montré pour son nom… » Hébreux 6 :10

Categories: Afrique

Décès de Belemkoabga Franceline : Faire part

Wed, 19/07/2023 - 08:30

Les grandes familles Belemgnégré et Belemkoabga à Koupéla, Daltenga, Kouryaoghin, Ouagadougou.

Le Père Marius Belemgnégré, réligieux camilien à Ouagadougou ;
Pascal Belemgnégré, Madame TIENDREBEOGO Marie Madeleine, Albertine Belemgnégré, Madame Maïga Epiphanie, madame Nébié Sylvie, Marie Marguerite Belemgnégré, les familles alliées : TIENDREBEOGO à Tanghin Dassouri, Sandwidi à Koupéla, Maïga à Ouahigouya, Nébié à Zao/Bougnounou,
Ont la profonde douleur de vous annoncer le décès de leur mère, belle-mère, tante, grand-mère,

Belemkoabga Franceline
Décès survenu le 18 juillet 2023 à l'hôpital saint Camille à l'âge de 85 ans.

Elles vous informent que la levée du corps est prévue pour le jeudi 20 juillet à 16h au CHU de Bogodogo. Une veillée de prière sera dite à 20h ce même jour au domicile de la défunte sis à Dagnoën. L'enterrement aura lieu à Ouagadougou au cimetière de Taab_tenga le vendredi 21 juillet après la messe absoute à 9h à l'église paroissiale de saint Camille.
Que par la miséricorde de Dieu l'âme de maman Franceline repose en paix.

Categories: Afrique

Décès de SIMPORÉ AMADOU : Faire-part

Wed, 19/07/2023 - 08:30

Le Kaya Naaba TEGRE,

La grande famille SIMPORÉ au secteur 2 Titinga à Kaya, à Ouagadougou, à Bobo-Dioulasso, à Koudougou, et à l'extérieur du Burkina Faso et alliées et amies,
La grande famille KOMBAMTANGA, au secteur 1 Luissin à Kaya,

La grande famille SAWADOGO à Kamporé,
La grande famille SAWADOGO à Yongnin Kaya,

La grande famille PAFADNAM à Ouagadougou, Boussouma et Kaya,
Les familles alliées N'DIAYE secteur 07 Kaya, à Yaoliré secteur 1 Kaya,
Les familles alliées ZAMTAKO, au Secteur 2, Ganloukin, Kaya,
La famille OUÉDRAOGO secteur 02 Kaya,

La famille ZAGRÉ/YAMÉOGO à Koudougou,
La famille NACOULMA à Ouagadougou à Gounghin et alliées,

ont le profond regret de vous annoncer le décès de leur fils, père, grand-père, époux et ami, SIMPORÉ AMADOU appelé affectueusement Ahmed, précédemment Assistant de Direction à la BCEAO à la retraite,

survenu le matin du jeudi 13 juillet 2023 à son domicile à Ouagadougou. L'inhumation a été faite le même jour à Kaya.

Elles vous informent par ailleurs que le doua pour le repos de son âme est prévu le dimanche 23 juillet 2023 à Kaya au domicile familial sis à Titenga secteur 2 à 8h.

Paix à son âme !

Categories: Afrique

Décès de SAWADOGO/TAPSOBA Marie Jeanne, dite ‘'DIAMANT L'OR'' : Remerciements

Wed, 19/07/2023 - 08:30

« J'ai combattu le bon combat, j'ai achevé la course, j'ai gardé la foi. Désormais la couronne de justice m'est réservée ; le Seigneur, le juste juge, me le donnera dans ce jour-là, et non seulement à moi, mais encore à tous ceux qui auront aimé son avènement… » 2 Timothée 4:7-8

Sa majesté le Larlé Naba Tigré à Ouagadougou ;
Le Tengsoba de Saalé ;
Le Doyen Koudaogho Abel ZEMBA à Saalé ;

Les grandes familles SAWADOGO, ZEMBA, TAPSOBA, COMPAORE, KABORE, OUEDRAOGO, SAMNE, ZABRE, BOUGMA et OUYIA à Ouagadougou, Saalé, Pabré, Sa, Bobo-Dioulasso, Léo, Dakar, Côte d'ivoire, Belgique, France et aux Etats-Unis ;
Le Professeur COMPAORE Prosper à Ouagadougou et son épouse ;
Monsieur COMPAORE Julien et ses frères et sœurs à Ouagadougou, Bobo-Dioulasso et en Italie ;

Monsieur SAWADOGO Paul fondateur du Lycée LPLIC à Bobo-Dioulasso et son épouse ;
La grande famille de feu ILBOUDO Aloyïs à Ouagadougou et en Côte d'Ivoire ;
La grande famille de feu COMPAORE Henri à Ouagadougou et en Côte d'Ivoire.

Les familles alliées et amies :

KABORE, ZABSONRE, SANKARA, DIABRI, TRABOULGA, SAWADOGO, BAMBARA, KALOUBOUE, COMPAORE, KONVELBO, ILBOUDO, OUEDRAOGO, SANFO, ZOUNGRANA, DUSSIDOUR et SANON.

Les enfants :

Paul SAWADOGO, cheminot à la retraite à Bobo et son épouse ;
Emmanuel SAWADOGO, Conseiller du Président du Groupe CORIS et son épouse ;

La veuve Jacqueline KABORE née SAVADOGO, comptable de l'ex Air Afrique à la retraite à Abidjan ;
Béatrice KABORE née SAVADOGO, Assistante de Direction à l'ASCAD à Abidjan et son époux ;
Rosalie DIABRI née SAWADOGO, Contrôleur au CENOU-UPB Bobo à la retraite et son époux ;

Clovis SAWADOGO chauffagiste en Belgique et son épouse ;
Eric SAWADOGO employé en Belgique et son épouse ;
Les petits enfants et arrières petits-enfants.

Très touchés par les soutiens multiformes, les marques de compassion et de solidarité manifestés à leur endroit lors du rappel à Dieu de

Madame SAWADOGO / TAPSOBA Marie Jeanne, dite ‘'DIAMANT L'OR''

1929-2023

Décès survenu le jeudi 06 juillet 2023 à l'hôpital Sourou SANOU de Bobo-Dioulasso suivi de l'inhumation le mardi 11 juillet 2023, elles vous expriment leurs sincères remerciements et particulièrement :

Au Curé de la paroisse Notre Dame du Cénacle et son clergé ;
A la Communauté Chrétienne de Base Saint Jean-Paul II ;
Au Président du Groupe Coris et l'ensemble de ses collaborateurs ;
Aux frères des Ecoles Chrétiennes ;
Aux Parents, voisins, amis et connaissances dont elles se gardent de citer des noms de peur d'en oublier.

Elles les informent par ailleurs du programme suivant des messes :

Bobo-Dioulasso
Paroisse Notre Dame du Cénacle
Samedi 15 juillet 2023 à 06h00
Dimanche 16 juillet 2023 à 08h30
Dimanche 23 juillet 2023 à 08h30
Dimanche 30 juillet 2023 à 08h30
Dimanche 06 août 2023 à 08h30
Dimanche 03 septembre 2023 à 08h30
Dimanche 1er octobre 2023 à 08h30
Dimanche 05 novembre 2023 à 08h30
Dimanche 03 décembre 2023 à 08h30
Dimanche 07 janvier 2024 à 08h30

Ouagadougou
Paroisse Cathédrale
Dimanche 16 juillet 2023 à 09h00
Dimanche 23 juillet 2023 à 09h00
Dimanche 30 juillet 2023 à 09h00
Dimanche 06 août 2023 à 09h00
Dimanche 03 septembre 2023 à 09h00
Dimanche 1er octobre 2023 à 09h00
Dimanche 05 novembre 2023 à 09h00
Dimanche 03 décembre 2023 à 09h00
Dimanche 07 janvier 2024 à 09h00
Dimanche 14 janvier 2024 à 09h00

Paroisse Saint Camille
Dimanche 16 juillet 2023 à 09h00
Dimanche 23 juillet 2023 à 09h00
Dimanche 30 juillet 2023 à 09h00
Dimanche 06 août 2023 à 09h00
Dimanche 03 septembre 2023 à 09h00
Dimanche 1er octobre 2023 à 09h00
Dimanche 05 novembre 2023 à 09h00
Dimanche 03 décembre 2023 à 09h00
Dimanche 07 janvier 2024 à 09h00
Dimanche 14 janvier 2024 à 09h00

Abidjan
Paroisse Saint Joseph Epoux
Samedi 15 juillet 2023 à 06h00
Dimanche 16 juillet 2023 à 07h00

Paroisse Notre Dame de l'Incarnation de la Riviera-Palmeraie
Dimanche 23 juillet 2023 à 07h00
Dimanche 30 juillet 2023 à 07h00
Dimanche 06 août 2023 à 07h00
Dimanche 03 septembre 2023 à 07h00
Dimanche 1er octobre 2023 à 07h00
Dimanche 05 novembre 2023 à 07h00
Dimanche 03 décembre 2023 à 07h00
Dimanche 07 janvier 2024 à 07h00

Paroisse Saint Charles LWANGA d'Adjamé
Dimanche 23 juillet 2023 à 07h00
Dimanche 30 juillet 2023 à 07h00
Dimanche 06 août 2023 à 07h00
Dimanche 03 septembre 2023 à 07h00
Dimanche 1er octobre 2023 à 07h00
Dimanche 05 novembre 2023 à 07h00
Dimanche 03 décembre 2023 à 07h00
Dimanche 07 janvier 2024 à 07h00

Paroisse Saint Michel d'Adjamé
Dimanche 23 juillet 2023 à 07h00
Dimanche 30 juillet 2023 à 07h00
Dimanche 06 août 2023 à 07h00
Dimanche 03 septembre 2023 à 07h00
Dimanche 1er octobre 2023 à 07h00
Dimanche 05 novembre 2023 à 07h00
Dimanche 03 décembre 2023 à 07h00
Dimanche 07 janvier 2024 à 07h00

Paroisse Sainte Rita de Cascia de Yopougon
Dimanche 23 juillet 2023 à 07h00
Dimanche 30 juillet 2023 à 07h00
Dimanche 06 août 2023 à 07h00
Dimanche 03 septembre 2023 à 07h00
Dimanche 1er octobre 2023 à 07h00
Dimanche 05 novembre 2023 à 07h00
Dimanche 03 décembre 2023 à 07h00
Dimanche 07 janvier 2024 à 07h00

Dakar
Paroisse Sainte Joséphine de Bakhita
Dimanche 10 septembre 2023 à 11h00
Dimanche 1er octobre 2023 à 11h00
Dimanche 05 novembre 2023 à 11h00
Dimanche 03 décembre 2023 à 11h00
Dimanche 07 janvier 2024 à 11h00

Belgique
Communauté Africaine Chrétienne KARIBOU
Samedi 12 août 2023 à 18h00 HL
Samedi 09 septembre 2023 à 18h00 HL
Samedi 06 octobre 2023 à 18h00 HL
Samedi 04 novembre 2023 à 18h00 HL
Samedi 02 décembre 2023 à 18h00 HL
Samedi 06 janvier 2024 à 18h00 HL

Que Dieu vous bénisse et vous le rende au centuple

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Ouagadougou /Gestion des déchets solides : « Chaque pas compte, la question du développement durable est un processus de tous les jours », selon l'expert Martin Yelkouni

Wed, 19/07/2023 - 00:22

Lors de son séjour (courant juin 2023) au Burkina dans le cadre d'une formation sur les stratégies de gestion des déchets solides, nous l'avons rencontré. Dr Yelkouni, il faut le rappeler, est le directeur général de l'Institut d'appui au développement (IAD, Lyon, France) et enseigneur-chercheur en économie à l'Université Clermont Auvergne (France). Spécialisé en économie de l'environnement et des ressources naturelles, l'homme s'intéresse à plusieurs sujets de recherche, notamment la gouvernance des ressources naturelles renouvelables, le rôle des institutions dans le développement, la gestion des déchets, l'économie verte et circulaire, etc. Le professeur associé dans des programmes internationaux de formation du 3e cycle aborde, dans cet entretien, plusieurs questions en matière de gestion des déchets solides et fait quelques propositions de solutions.

Lefaso.net : Vous séjournez à Ouagadougou dans le cadre d'une formation sur les stratégies de gestion des déchets solides. De quoi a-t-il été question ?

Dr Martin Yelkouni (MY) : Je vous remercie pour l'intérêt porté à notre formation qui est organisée par l'Institut d'appui au développement (IAD) à Lyon, la Kosyam Jesuit University of Science (KoJUS) et le CESAG, dans le cadre des activités de la Chaire « Environnement, énergie et développement durable » du CESAG. Il s'agissait alors de réfléchir ensemble sur les stratégies en matière de gestion des déchets solides et quelles stratégies doit-on privilégier, notamment sur le tri, le traitement ou la valorisation. Nous avons aussi abordé les éléments fondamentaux de la gestion des déchets solides que nous pouvons avoir à la fois sur un territoire ou dans un établissement quelconque (université, hôpital, entreprise, etc.).

Ces éléments ont permis de finaliser notre formation avec des cas concrets qui ont porté sur les études faites sur la gestion des déchets d'une collectivité territoriale, d'une cantine scolaire et d'un hôpital. Avec l'expérience des participants, nous avons construit des solutions provisoires qui vont leur permettre d'implémenter une stratégie se traduisant par la mise en œuvre d'un plan d'action pour la gestion des déchets dans leurs milieux de travail.

Avant de poursuivre sur d'autres questions, pouvez-vous déjà nous clarifier qu'est-ce que c'est qu'un déchet solide ?

En règle générale, ce sont tous les déchets non liquides, par exemple un bidon, un carton, les déchets issus de l'alimentation, mais aussi le sable et la terre lors du balayage des cours. Une caractérisation permet de mettre en relief les différents types de déchets produits dans un ménage ou dans une entreprise. Un autre exemple qui est un fléau mondial, ce sont les déchets plastiques qui polluent notre environnement.

Lors de la formation, vous avez fait cas de la valorisation et du recyclage. Quelle différence y-a-t-il entre les deux termes ?

Le recyclage est un processus de transformation des déchets en de nouveaux produits comme par exemple le verre ou le métal. Le recyclage permet d'éviter le gaspillage de ressources naturelles ou de diminuer ses impacts environnementaux.
La notion de valorisation est plus englobante, elle consiste dans « le réemploi, le recyclage ou toute autre action visant à obtenir, à partir des déchets, des produits réutilisables ou de l'énergie ». Par exemple, quand on prend les déchets alimentaires, on peut les transformer en compost. Donc valoriser, c'est donner de la valeur à quelque chose qui, à priori, n'en n'aurait pas.

On sait que vous avez beaucoup travaillé sur ces questions de gestion de déchets solides au niveau de Ouagadougou. De façon générale, quel commentaire pouvez-vous faire quand vous regardez comment se fait la gestion de ces déchets solides dans la ville ?

C'est vrai que j'ai un peu travaillé sur notre ville depuis un certain temps. Ouagadougou était une des villes les plus propres de l'Afrique de l'Ouest avec une stratégie qui avait été mise en place. Mais malheureusement, ces derniers temps, on remarque un certain recul par rapport à ces aspects de gestion des déchets solides. Plusieurs raisons peuvent justifier une telle situation : l'étalement de la ville ou le faible niveau des ressources financières pour ce service. Une ville propre suppose que les citoyens contribuent à sa propreté. Il me semble qu'il y a lieu de voir ou revoir les modes de financement de la gestion de nos déchets dans un contexte particulier.

Un autre aspect important, ce sont nos comportements, par exemple ne pas jeter nos déchets dans la rue. Nous devons nous pencher sérieusement sur une fiscalité propre à la gestion des déchets pour mieux gérer les questions de la collecte, du transport, du traitement et de l'enfouissement. Il y a toute une réflexion à avoir, étant donné que la ville est de plus en plus grande avec une augmentation de la production des déchets. C'est donc collectivement, et non pas seulement du ressort de la ville de Ouagadougou, que nous devons construire des solutions pour y vivre sainement.

Transition toute trouvée pour évoquer la question de la gestion des caniveaux dans la ville de Ouagadougou qui sont pleins et bouchés de ces mêmes déchets. Selon-vous, qu'est-ce qui peut être proposé comme solution ?

Les solutions vont dépendre de plusieurs paramètres. Mais de manière générale, vous voyez bien qu'il y a un lien entre la gestion des déchets et le remplissage des caniveaux, puisque les déchets non collectés vont directement dans les caniveaux. Je reviens aux citoyens qui doivent avoir un comportement vertueux.

Mais on remarque que chaque année, on fait le curage de ces caniveaux, mais il faudrait immédiatement tout ramasser pour éviter qu'ils soient remplis à cause d'une pluie. Il y a certes la question du curage, mais si chaque citoyen fait de la propreté une préoccupation, on éviterait de toujours remplir nos caniveaux de déchets.
D'une manière générale, il faudrait penser à la manière dont on doit infiltrer l'eau pluviale dans la ville de Ouagadougou pour éviter les inondations. Probablement les ouvrages actuels ne répondent plus aux besoins initiaux, en raison de l'extension de la ville, ou en raison de caniveaux bouchés. Il y a une réflexion à mener en termes de gestion des eaux de pluie dans la ville de Ouagadougou.

Votre mot de fin ?

Pour terminer, je dirai tout simplement que chaque citoyen est concerné par la gestion des déchets en général et des déchets solides en particulier. Les responsabilités sont partagées et il n'y a pas à stigmatiser telle ou telle entité. Les efforts sont à faire par tous pour une ville propre et attrayante. Chaque pas que nous pouvons ou devons faire doit compter. La question du développement durable est un processus de tous les jours, surtout par des actions simples que nous pouvons mener ici et là.

Interview réalisée par Yvette Zongo
Photos et vidéo réalisées par Auguste L. Paré
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