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Défense

Conférence - Défense, Dissuasion et climat : Quelles évolutions dans un monde qui change ?

Green Cross France et Territoires organise une conférence sur les deux grands maux de ce XXIe siècle : Armes nucléaires et changement climatique….

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EUCAP Nestor renamed as EUCAP Somalia

CSDP blog - Wed, 01/03/2017 - 00:00

On March 1 st EUCAP Nestor, the European Union Maritime Capacity Building Mission to Somalia, will be renamed “EUCAP Somalia”, the EU Capacity Building Mission in Somalia.
A Council decision published on December 12th 2016 in the Official Journal of the European Union, states in article 1, EUCAP Somalia has been established as a Capacity Building Mission in Somalia.

The operational “switch-over” to the new Mission’s name is now taking place.
For the occasion, a redesign of the Mission's Website has been launched under www.eucap-som.eu . All past content from www.eucap-nestor.eu has been migrated and will be accessible on the new site.

EUCAP Somalia operates under a new, broadened civilian maritime security mandate. With an active presence in Mogadishu, Hargeisa (Somaliland) and Garowe (Puntland), EUCAP Somalia works to strengthen Somali capacity to ensure maritime security, carry out fisheries inspection and enforcement, ensure maritime search and rescue, counter smuggling, fight piracy and police the coastal zone on land and at sea.

Source

Tag: EUCAP SomaliaEUCAP Nestor

La Jeanne est partie

Le mamouth (Blog) - Tue, 28/02/2017 - 13:47
Le BPC Mistral et la frégate Courbet, associés dans la mission Jeanne d'Arc ont quitté Toulon vers
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Mareyage : La filière recrute en Bretagne

MeretMarine.com - Tue, 28/02/2017 - 06:01

Pour répondre aux besoins des entreprises de mareyage du Pays bigouden et de Concarneau, une formation d'employé(e) de marée est proposée du 27 mars au 2 juin aux demandeurs d'emploi. Avec embauches à la clé.

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La France face au risque d'une étrange défaite


 
Entretien dans L'Opinion, avec Jean-Dominique Merchet, le 16 février 2017  Depuis 1952, une grande conférence sur la sécurité internationale se tient chaque année à Munich. Jadis baptisée « Wehrkunde », elle est devenue la Munich Security Conference (MSC) dont la 53e édition se tient de ce vendredi à dimanche. Cette conférence sera l’occasion d’un premier contact direct entre les Européens et l’administration Trump, le vice-président Mike Pence devant y participer. Angela Merkel y prononcera samedi un discours, alors que beaucoup de doutes et d’incertitudes s’expriment sur la diplomatie américaine et notamment son engagement dans l’Otan. Avant la conférence, l’Opinion fait le point avec Frédéric Charillon, spécialiste des relations internationales.
Cette année, le thème de la conférence de Munich sur la Sécurité est « Post-Truth, Post-West, Post-Order ». Entrons-nous vraiment dans ce monde post-vérité, – occidental – ordre international ?
On entre très certainement dans un post quelque chose, mais post-quoi ? Nous sommes dans un « entre-deux stratégique » : nous sortons d’une période post-guerre froide elle-même turbulente, et qui a eu plusieurs phases - la supposée unipolarité américaine en 1990-1992, les difficultés américaines en Afghanistan et Irak… - à quelque chose d’encore plus incertain. Est-elle « post-West » ? C’est probable. Ou plutôt, elle ne sera plus « West Only ». La paix des vainqueurs de 1945, qui voyait la France et la Grande-Bretagne membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies sans l’Inde, le Japon, l’Allemagne ou le Brésil, est arrivée à ses limites. Les grandes structures internationales (Banque mondiale, FMI…) qui accordent plus de poids aux minuscules pays européens qu’aux géants démographiques du Sud, c’est terminé également. L’absence d’« hégémon » autoproclamé laisse penser que le désordre est plus grand. Mais en réalité, la maturation de ce changement était à l’œuvre depuis longtemps
N’y a-t-il pas une illusion – ou un biais idéologique – à considérer que la vérité, l’Occident et l’ordre international allaient ainsi de pair ?
Tout à fait. Ce n’est pas parce que la Russie, l’Iran et la Turquie prennent une initiative en Syrie, que nous sommes dans la post-vérité ou le post-ordre. Ce n’est pas non plus parce que Donald Trump tweete la nuit que nous sommes entrés dans un monde de vérité alternative. La confusion des réseaux sociaux, les propagandes d’Etat, les prises de position d’acteurs privés, religieux, voire mafieux, brouillent certes les pistes, et il semble y avoir autant de vérités que de discours. L’absence d’« hégémon » autoproclamé laisse en effet penser que le désordre est plus grand. Mais en réalité, la maturation de ce changement était à l’œuvre depuis longtemps. Où étaient la vérité et l’ordre au Vietnam, en Afghanistan, au Biafra, en Palestine, au Salvador, à Prague ou Budapest, sous Pol Pot ou Pinochet ? Avec la fin de la guerre froide en 1991, nous avons connu la fin d’un langage commun des relations internationales entre deux puissances du nord (États-Unis et Union soviétique), qui prétendaient régir le monde en duopole. Désormais, après quelques années de latence, nous assistons à une immense ouverture du jeu.
Dans ce contexte, si vous deviez donner un seul conseil au prochain président français, quel serait-il ?Sans doute de ne pas chercher de guide d’action dans des formules du passé. Le gaullisme était une posture d’équilibre dans les années 1960, mais les blocs de la bipolarité n’existent plus. Le néoconservatisme et son obsession du régime change ont fait des ravages dramatiques dans les années 2000, et aujourd’hui ils provoqueraient un cataclysme supérieur encore, avec le grand retour de la Russie ou de la Chine. Le nouveau Sud est éclaté, diversifié, introuvable : un tiers-mondisme à la fois paternaliste et culpabilisant serait désuet. Plus près de nous, il n’y a plus d’« Europe de l’Est », il y a des Europes orientales, parfois européistes, parfois populistes et antilibérales : le discours convenu sur la sécurité européenne globale incluant forcément la Russie, ne tient plus. La « Méditerranée » est plus que jamais une chimère : de Barcelone à l’Union Pour la Méditerranée, tout a échoué, victime des drames régionaux (de l’Intifada à Gaza en passant par les Printemps arabes) qui ont éclipsé les agendas européens. Il faut oser réinventer les relations internationales et les politiques régionales sur de nouvelles bases. Évidemment, c’est plus facile à dire qu’à faire. Mais il faut chercher des schémas nouveaux.
Quels sont, aujourd’hui, les grands défis sécuritaires qui pourraient affecter directement les Français ?
On peut proposer deux réponses à cette question. La réponse convenue, nous la connaissons : le terrorisme est évidemment un défi, les nouvelles menaces aussi, comme celles liées à la cyber-sécurité, la montée en puissance de stratégies autoritaires en Europe orientale (Russie) ou en Asie (Chine), la multiplication des États effondrés dans le sud-méditerranéen ou en Afrique, sans oublier les menaces globales qui pèsent sur l’environnement, notamment avec le réchauffement climatique, constituent un panorama d’ensemble qui fournit une réponse aisée. Il existe une réponse moins convenue, qui réside dans le risque d’une étrange défaite, dans laquelle on est en réalité déjà en partie entré, par refus de sortir des schémas établis. Il y a là un déficit de pensée stratégique qui menace directement notre sécurité, par aveuglement. Ne pas voir le monde qui vient, les puissances qui montent, les aspirations des peuples, conduit à des erreurs importantes. Les printemps arabes nous ont surpris parce qu’au lieu d’écouter les populations, les classes moyennes, les éléments actifs (jeunes, femmes, intellectuels, blogueurs…) du sud-méditerranéen, on s’est enfermé dans quelques face-à-face avec des leaders qui se présentaient comme des garants de stabilité, en réalité d’immobilisme. La poursuite et même l’amplification du terrorisme, avec ses mutations multiples, sont dues en partie à la mauvaise compréhension du phénomène, que l’on continue à réifier comme un adversaire militaire, alors qu’il a des origines éminemment sociales. Au lieu de comprendre l’Amérique ou la Russie, on disserte à l’infini sur Trump et Poutine, etc. Il faut sortir de ces sentiers battus, même si c’est inconfortable. Là réside sans doute le grand défi sécuritaire.
Pensez-vous qu’avec Trump, le monde est devenu plus dangereux ?
Trump est dangereux. Nous en avons la démonstration chaque jour. Il provoque, insulte, déstabilise, remet en cause l’existant sans proposer d’horizon, c’est un destructeur. Il inquiète ses alliés, divise son pays, fait augmenter l’antiaméricanisme dans le monde, vire ses principaux équipiers au bout de quelques jours… Trump est dangereux parce qu’il divise et déstabilise l’Amérique, et qu’une Amérique affaiblie, aigrie, caricaturale d’elle-même, n’est une bonne chose pour personne. Ensuite, ce désordre américain donne un feu vert dangereux à tous ceux qui seraient tentés de profiter du vide ainsi créé. Il peut s’agir de puissances expérimentées (Russie, Chine, Iran), qui savent ne pas aller trop loin et abattre leurs cartes. Il peut s’agir aussi d’alliés paniqués par le désengagement américain, qui pourraient commettre des erreurs par crispation. Ou de petits États turbulents qui pensent pouvoir désormais pousser leurs pions par des actions irresponsables. C’est tout cela qui risque d’être la conséquence directe du « trumpisme ».
Le Brexit pose-t-il un problème de sécurité ?
Le Brexit donne le signal dangereux d’une Europe en voie de détricotage. Si l’UE ne se reprend pas très vite avec des initiatives importantes et pertinentes, d’autres départs suivront. Ensuite, il appartiendra aux Britanniques de démontrer leur capacité à réinventer un projet de politique étrangère qui leur permette de demeurer une puissance de premier plan, justifiant sa place au Conseil de Sécurité des Nations Unies. Si l’Europe échoue à se relancer, et le Royaume-Uni, à se réinventer, alors le couple franco-allemand sera bien seul pour affronter les défis internationaux.
La conférence sur la Sécurité se déroule en Allemagne et Angela Merkel doit prononcer un discours. Quel rôle voyez-vous pour l’Allemagne demain dans les politiques de sécurité ?
Nous devons faire le choix de l’Allemagne. D’ailleurs, nous n’avons plus le choix. L’Allemagne est plus que jamais avec la France le pilier de l’entité européenne, ou de ce qu’il en reste, sur la scène internationale. Les deux pays ont une approche très différente de l’international, qu’il faut mettre en complémentarité. Là où Paris aime les chaînes de commandement rapides, efficaces, notamment pour les interventions extérieures, Berlin préfère construire des consensus mûris, collectifs. Les deux sont compatibles, et nous sommes condamnés à nous entendre, sinon nous disparaîtrons ensemble, au moins comme puissances significatives. L’Allemagne est une puissance démocratique libérale, certes touchée elle aussi, comme nous, par la démagogie populiste, mais dont les fondements sont solides. Elle ne sera pas de sitôt une puissance militaire interventionniste, car cela va à l’encontre de beaucoup de ses valeurs. Mais elle a déjà tous les attributs pour être une puissance de proposition, de concertation, de rassemblement. Ne pas l’associer davantage à la gestion de certains dossiers, au Proche-Orient, en Méditerranée (Libye) ou ailleurs, a sans doute été une erreur, qu’il ne faudra pas renouveler.

Gendarmerie : le grand consensus des candidats à la présidentielle

Blog Secret Défense - Mon, 27/02/2017 - 15:27
Les candidats ont répondu aux questions de l’Essor de la gendarmerie
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Toujours pas de SDTI en Centrafrique

Le mamouth (Blog) - Mon, 27/02/2017 - 12:33
C'était un peu la preuve que la France ne laissait pas l'ONU toute seule, et militait pour les missions
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Minusmais pas que

Le mamouth (Blog) - Mon, 27/02/2017 - 09:12
Sorti en mars 2016, ce livre vient de me passer dans les mains. Façon journal de bord, il livre les 14
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Bordeaux : 53 escales de paquebots programmées en 2017

MeretMarine.com - Mon, 27/02/2017 - 00:01

Bordeaux, situé en 2ème position derrière le Havre pour l'accueil des escales de croisière sur la façade Atlantique-Manche, a enregistré la plus forte progression avec 50 escales (+42 %) et 33 200 passagers (+66%) en 2016.
Plébiscitée par les armateurs et les croisiéristes, le succès de l'escale Bordeaux se confirme avec d'excellentes perspectives pour 2017 : 53 paquebots sont attendus, pour un équivalent de 86 journées à quai sur les terminaux de Bordeaux et Le Verdon (et dans une moindre mesure Pauillac et Bassens).

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Ado tué : une enquête qui dure

Le mamouth (Blog) - Sun, 26/02/2017 - 21:42
Le président en personne avait promis des résultats rapides, début février au plus tard. Mais bientôt
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A l’agenda du Conseil des affaires étrangères… et de la Défense (6.03.2017)

Bruxelles2 - Sun, 26/02/2017 - 18:25
(B2) Les ministres des Affaires étrangères se retrouvent lundi (6 mars) pour une séance un peu spéciale (*). La réunion débutera, en effet, par une session conjointe réunissant les ministres de la défense et les ministres des affaires étrangères et portant sur la mise en œuvre de la stratégie globale de l'UE dans le domaine […]
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Femmes militaires, et maintenant ?

Bruxelles2 - Sun, 26/02/2017 - 12:28

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(B2) Les femmes militaires sont désormais juridiquement intégrées, dans bon nombre d’armées occidentales, sans quasiment aucune restriction. La France dispose ainsi d’une des armées les plus féminisées. Néanmoins, en dépit des importants progrès accomplis ces quinze dernières années dans ce domaine par les armées françaises, des efforts doivent encore être consentis afin d’y renforcer la parité, notamment sur le plan de l’égalité professionnelle. L’Institut de recherche stratégique de l’école militaire (IRSEM) se pose la question de savoir comment faire pour offrir à la majorité d’entre elles, et non pas seulement à quelques femmes symboles, une égalité effective en termes de parcours professionnel, lors du colloque « Femmes militaires, et maintenant ? ». Ce colloque sera organisé à l’amphi Des Vallières de l’école militaire le 8 mars prochain, pour la journée internationale des droits des femmes.

Télécharger le programme

Pour plus d’informations, voir ici. Inscriptions, avant le 2 mars, par mail : inscription.irsem(a)defense.gouv.fr

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Une culture stratégique commune

Bruxelles2 - Sun, 26/02/2017 - 10:19

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(B2) Ce petit opus qui s’interroge sur l’existence d’une culture stratégique commune, vaut le détour.

Doctorant énergique *, Samuel B. H. Faure, qui enseigne aujourd’hui à Sciences Po Lille (**) , a mené de nombreux entretiens et questionnaires auprès de plusieurs agents militaires, politiques et administratifs européens. Ce qui est très intéressant en soi. Sa conclusion est l’existence, ou plutôt « l’émergence » d’une culture stratégique commune et propre aux agents de la défense européenne.

Ce constat peut être ne pas être partagé. Il a le mérite de mettre le doigt sur certaines réalités et d’inciter à réfléchir. Personnellement, j’ai un peu plus de doute et ne serai sans doute pas aussi optimiste ; je ne vois pas vraiment que cette culture stratégique dépasse de quelques cercles, composé soit de militants de la cause, soit du personnel le temps où ils sont employés les missions et opérations PSDC. Et ce sont des cercles, très, très étroits… Il y a, ensuite, souvent une grosse « déperdition en ligne », chez les anciens. Mais, surtout, la PSDC reste toujours une « chose » trop sous-estimée et trop invisible, pour arriver à créer une culture stratégique commune.

C’est dommage… Car l’Union européenne a, là, un instrument intéressant qui suscite une certaine unanimité, rare. Des Européens les plus enthousiastes sur la construction européenne aux souverainistes, peu ont de doute sur la nécessité pour l’Europe d’agir en matière de maintien de la paix et de stabilisation du voisinage. Le coût de ces missions et opérations reste très modéré par rapport à tant d’autres dépenses extérieures. Mais, voilà, peu d’efforts sont faits pour le promouvoir et le faire connaître. Ou, alors, ils ne produisent pas les effets attendus. Et il faudrait s’interroger réellement sur les raisons de cette impuissance médiatique, plutôt que de s’enfermer derrière un rideau de dénis.

Les causes de cette invisibilité sont parfaitement connues. Mais personne ne songe à les résoudre. Il y a quelques freins politiques, certes. Mais ils sont plutôt faibles en ce moment (2). Il y a surtout – semble-t-il – une certaine méconnaissance des principaux ressorts d’une bonne communication. Ce qui est somme toute étrange : si on se jette un regard en arrière, on verra que cette visibilité a décru depuis les années 2004-2008, malgré toute la bonne volonté engagée de part et d’autre. Étrange… alors que les moyens sont pourtant supérieurs et que le contexte géopolitique est, on ne peut plus favorable, en interne comme en externe.

(NGV)

« Défense européenne. Émergence d’une culture stratégique commune », Samuel B. H. Faure, 2016, Editions Athena, 236 p., 24,95$

* « Variétés de la décision. Le dilemme de la politique d’armement en Europe : le cas de la France de 1945 à nos jours », soutenue avec brio, en décembre, au Centre de recherches internationales (CERI) de SciencesPo (Paris).

** Attaché temporaire d’enseignement et de recherche (ATER), Sciences Po Lille et docteur associé au Centre d’études internationales (CERI) de SciencesPo.

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La mission d’assistance au poste frontière de Rafah « EUBAM Rafah » (novembre 2005 – …)

Bruxelles2 - Sat, 25/02/2017 - 12:46
(B2) Mise en place à la suite des accords entre Israël et l’Autorité palestinienne, en novembre 2005, la mission EUBAM Rafah a pour objet « d’assurer la présence d’une tierce partie au point de passage de Rafah afin de contribuer, en coordination avec les efforts de renforcement des institutions de l’Union, à l’ouverture du point […]
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Selon M. Le Drian, il n’est pour l’instant pas possible de chasser l’EI de son bastion syrien de Raqqa

Zone militaire - Sat, 25/02/2017 - 11:41

Même si elle a pris du retard, l’opération visant à chasser l’État islamique (EI ou Daesh) de Mossoul est en bonne voie. La partie orientale de la ville a été libérée par les forces irakiennes et ces dernières ont repris le contrôle de l’aéroport, quelques jours après avoir lancé une offensive en direction des quartiers […]

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Rythme opérationnel, mutations… Le nombre de divorces augmente chez les militaires

Zone militaire - Sat, 25/02/2017 - 11:39

Quand on est jeune officier ou sous-officier et encore célibataire, le rythme opérationnel et les changements d’affection ne pose pas vraiment de problèmes. En revanche, il en va autrement quand il s’agit de fonder une famille. Comme le disait Sacha Guitry, « le mariage, c’est résoudre à deux les problèmes qu’on n’aurait pas eus tout seul ». […]

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Pékin construit des structures pour abriter des systèmes de défense aérienne en mer de Chine méridionale

Zone militaire - Sat, 25/02/2017 - 11:06

Le groupe de réflexion Asia Maritime Transparency Initiative (AMTI) a diffusé de nouvelles images satellite des îlots que Pékin aménage en mer de Chine méridionale. Et leur analyse suggère que l’Armée populaire de libération (APL) y fait construire des structures destinées à abriter des batteries de défense aérienne. Ces constructions et le déploiement de tels […]

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