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Défense

Des Slovaques en Méditerranée

Bruxelles2 - Fri, 10/03/2017 - 09:51

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(B2) La Slovaquie n’a pas de marine… mais elle a des soldats. Selon ce bon vieux principe (1), une dizaine de policiers militaires slovaques sont en train d’être formés et entraînés par leurs homologues allemands du Seebataillon pour incorporer l’opération EUNAVFOR MED Sophia.

La formation entamée le 30 janvier doit se terminer à la fin du mois de mars, avec à la clé, entraînement tactique, transport par bateau moteur ou hélicoptère, embarquement sur des petits ou des grands navires, vérification des marchandises et des documents, jusqu’au tir sur cible, en mer.

Les militaires slovaques seront, ensuite, embarqués sur un navire allemand, dans le cadre de l’opération européenne en Méditerranée. Ils pourraient ainsi participer au contrôle de l’embargo sur les armes ou la lutte contre les trafiquants.

(NGV)

(1) Un principe un peu oublié, semble-t-il, par un responsable slovaque qui avait répondu, au début de la présidence slovaque de l’UE (à l’été 2016) pour justifier le non-engagement de son pays dans l’opération Sophia : « Comme vous savez, la Slovaquie n’a pas de mer… ». Ironie plaisante… démentie par les faits.

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Les cartouches surprise des GIGN, RAID et BRI

Le mamouth (Blog) - Fri, 10/03/2017 - 08:29
L'exercice "Foudre" (1) qui a réuni le GIGN, le RAID et la BRI parisienne, en début de semaine, à
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Lee conclusions du Conseil européen adoptées à 27… sans la Pologne

Bruxelles2 - Fri, 10/03/2017 - 01:38
(B2) Finalement, le texte final du Conseil européen à 28 aura été adopté sous la forme de conclusions du président du Conseil européen, soutenu par 27 États  membres uniquement, la Pologne, par la voix de Beata Szydlo, ayant refusé fermement de s'associer aux conclusions pour « des raisons qui ne tiennent pas à la substance […]
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La Pologne refuse les conclusions. Bon et alors…

Bruxelles2 - Fri, 10/03/2017 - 00:27

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Beata Szydlo au sommet européen du 9 mars : ce n’est pas la fête (Crédit : Conseil de l’UE)

(B2) Si quelqu’un ne connaissait pas encore la Première ministre polonaise, ce n’est pas plus le cas maintenant. Beata Szydło s’est fait un surnom dans l’enceinte du sommet européen : l’emmerdeuse !

De mémoire de diplomate, on n’avait pas encore vu un État être d’accord sur tout mais finalement dire… « Non », juste pour dire « Non ». D’ordinaire, il y a des raisons rationnelles, tenant au contenu du texte. Là, on cherche…

Qu’est-ce que le consensus ? Comment y arrive-t-on ?

Selon les termes même du Traité, les conclusions d’un Conseil européen sont établies au consensus. C’est une décision politique, et non juridique. Il n’y a pas de vote en soi, juste l’expression d’un accord. Le consensus, ce n’est pas tout à fait l’unanimité, c’est le fait d’être, à peu près, d’accord sur tout, et de ne pas avoir de problème global sur l’ensemble. Pour atteindre ce consensus, on adopte un système de vagues successives. Il y a d’abord des réunions intermédiaires – au niveau des ambassadeurs – puis les ministres des Affaires européennes y jettent un œil, tout cela étant revu par les sherpas des présidents ou des Premiers ministres. Au fur et à mesure, ce texte s’affine, des éléments disparaissent, d’autres apparaissent ou sont réécrits. Un peu comme les marées viennent polir le galet.

Comment s’exprime le consensus ?

Finalement, au Conseil européen, il ne reste souvent que quelques points de désaccord (parfois très profonds, très importants politiquement). On tente alors de rédiger un nouveau paragraphe pour contenter tout le monde. C’est alors le président, lui-même, qui réécrit directement avec les Chefs le passage concerné. Ou, de façon plus habituelle, ce sont les sherpas qui s’y mettent dans la salle d’à côté, y passant, s’il le faut, la nuit, pour trouver la formule qui contentera tout le monde. Au final, le président du Conseil européen demande si personne ne s’y oppose. Et généralement, même s’il peut y avoir un ou deux grognements, si personne ne s’exprime clairement contre, cela passe. Si, malgré tout, il reste une difficulté, il y a plusieurs possibilités pour s’en sortir.

Des Européens passés virtuoses pour exprimer les désaccords dans l’accord

Renvoyer à plus tard

Les Européens sont passés virtuoses sur la façon d’exprimer (ou de ne pas exprimer) un désaccord, tout en ne remettant pas en cause le consensus. Première méthode : on rajoute un ou deux mots relativisant la question (le cas échéant), souvent le plus insipides possibles (qui ne sont compris que par leurs auteurs), ou on fixe une clause de rendez-vous (on réexaminera la question à la prochaine réunion). Deuxième méthode : on peut aussi pour éviter de parler de la situation qui fâche, en renvoyant aux conclusions d’un précédent conseil ou à un rapport mentionné en annexe (à chacun de voir à quoi cela renvoie, mais, de façon expresse, les conclusions ne mentionnent pas le sujet).

De l’importance de la note de bas de page

Troisième méthode : rajoute une déclaration interprétative ou complémentaire d’un État membre, voire une note de bas de page pour indiquer le désaccord d’un gouvernement sur un point donné (c’était le cas par exemple avec la Hongrie sur la question des migrants). Quatrième méthode : le chef de gouvernement sort lors de l’adoption des conclusions, ce qui lui évite de prononcer son désaccord. Mais l’honneur est sauf. Dernière méthode : Si le désaccord persiste malgré tout, il reste la possibilité d’avoir une déclaration de la présidence, éventuellement au nom des 27 ou des 28 (selon le cas) qui a la même valeur que les conclusions (puisque ce n’est qu’un document politique).

Bref… en matière de consensus, on le voit, l’Europe a une longue expérience d’exprimer de façon discrète les désaccords, avec l’art et la manière, sans empêcher les avancées.

Ce que va gagner la Pologne ?

En s’entêtant dans un « niet », la Pologne pourrait, au final, ne rien vraiment gagner, sinon de montrer qu’elle existe et est une grosse boudeuse. Sur des questions aussi intéressantes que la croissance économique, les emplois, la crise des migrants, les Balkans – qui vont dans le sens de la politique polonaise –, c’est un peu dommage. Et c’est un précédent fâcheux. La prochaine fois que les conclusions seront discutées, il n’est pas sûr que l’avis de la Pologne soit vraiment pris au sérieux. Pourquoi tenter de se concilier les bonnes vues d’un pays qui a, finalement, décidé de ne pas approuver les conclusions, juste pour le plaisir.

Entendons-nous : le refus des conclusions est une arme nucléaire, cela ne sert qu’une fois, et avec une très bonne raison. Il faut que l’intérêt national soit vraiment en jeu (1) — un refus qui, dans ce cas, est accepté car chacun sait qu’il peut avoir un jour à se servir de cette nécessité – et non pas seulement que l’amour propre soit blessé.

La seule conclusion du Conseil : la nomination de Tusk ?

Si les conclusions ne sont pas avalisées en tant que telle, le seul résultat écrit du Conseil européen pourrait être finalement… la décision avalisant la nomination du nouveau président. C’est assez paradoxal puisque c’est cela qui a causé l’ire polonaise du jour. Mais c’est la réalité. Ce texte est, en effet, une décision juridique qui ne figure pas en tant que tel dans les conclusions. En général, « par courtoisie », on salue la nouvelle personnalité, explique à B2 un diplomate. Mais il s’agit juste d’une « formule de politesse ». On peut s’en passer.

Une déclaration au nom des 27

Ensuite, il est toujours possible au président du Conseil européen, voire à la présidence maltaise d’endosser, « au nom des 27 », un ensemble de conclusions, voire une déclaration, ou simplement les « résultats des discussions du Conseil ». Pour la Pologne, qui a toujours voulu faire partie du cœur de l’Europe, ce serait un sacré camouflet supplémentaire : une sorte de Polxit politique. Au moment où va s’entamer des négociations sur la révision des perspectives financières, ce n’est pas aussi vraiment le plus sympathique moyen pour trouver des alliés.

Hongrois et Polonais, même combat ?

Le seul pays qui a une attitude semblable à la Pologne est la Hongrie, mais avec une très nette différence, explique un diplomate qui suit régulièrement ce genre de réunions : « Viktor Orban a toujours une position très ferme. Mais, au dernier moment, il négocie, il joue le jeu européen, il se montre plus souple (NB : quitte à dire le contraire sur la scène nationale, une fois sorti du Conseil européen). Il a toujours ainsi su se créer des alliés. Et, au niveau politique, il y a une grande différence, il est membre du PPE, le parti populaire européen, ce qui le protège d’une certaine façon. Il fait partie du cercle. »

L’équipe Kaczyński, entêtée ?

Les Polonais du PiS, eux, sont têtus. Ceux qui ont de la mémoire, dans les couloirs européens, se rappellent comment l’équipe Kaczyński s’est battue, becs et ongles, parfois de manière totalement irrationnelle, contre la mise en place de la double majorité dans le Traité de Lisbonne, pour garder les vieux chiffres de Nice. Finalement on a décidé de prolonger quelque peu le compromis de Ioannina. Une bagarre qui n’a, au final, servi à rien. Ce dispositif, qui vient à expiration dans quelques jours, le 31 mars, n’a quasiment jamais servi. Quand les Polonais ont voulu l’utiliser, au dernier conseil de l’Environnement (2), les juristes du Conseil sont venus rappeler que c’était… trop tard ! Le dispositif expirait dans quelques semaines.

Une bataille gagnée pour rien, sinon à se faire plaisir … et à se faire des ennemis autour de la table européenne.

La bataille perdue de la majorité qualifiée…

Entretemps, depuis le Traité de Nice, la Pologne a décroché du groupe des grands pays, l’écart de population qui était de 4 millions en 2005 atteint aujourd’hui le double. Ce que le pouvoir polonais avait conquis, en bataillant dur dans les couloirs européens, sans jamais vraiment s’en servir, il l’a reperdu … dans les alcôves, sur le terrain de la démographie. La réalité politique d’aujourd’hui, c’est que la Pologne a décroché du groupe des pays de tête. … Et ce n’est pas la faute de l’Europe, juste la loi naturelle.

La vraie raison de la colère polonaise ?

La sortie du Royaume-Uni pourrait accélérer, de façon paradoxale, l’isolement de la Pologne. On peut remarquer que lors de la dernière rencontre, à Versailles, en mini-groupe, il y avait bien quatre pays et non pas seulement le couple franco-allemand, pour affirmer le désir de « coopération différenciée ». Il manquait parmi les « grands et moyens » pays… un dirigeant polonais. Comme pour affirmer que la coopération différenciée, c’est … sans la Pologne. La vraie raison de la « petite colère » de Szydło n’est-elle pas là, celle de se voir exclure du groupe des « grands » et des autres avancées européennes.  Le « phare » de la Pologne est bien éteint. Et c’est dommage pour ceux qui aiment ce pays.

(Nicolas Gros-Verheyde)

(1) L’Irlande l’a utilisée pour préserver sa neutralité, le Luxembourg pour préserver son modèle fiscal, la France pour la culture, la Slovénie pour régler son problème de frontières avec la Croatie, etc.

(2) Il s’agissait d’adopter une approche générale qui n’est pas, en soi, un vote formel, mais une indication de vote, une approche pour négocier avec le Parlement européen, le vote ayant lieu plus tard, à la fin de la négociation.

(mis à jour vendredi matin, sur le passage de la coopération différenciée)

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Les Rafale dans leurs oeuvres

Le mamouth (Blog) - Thu, 09/03/2017 - 20:57
Selon l'EMA, les Rafale de l'armée de l'air ont réalisé sur les sept jours écoulés neuf frappes au profit
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Présidentielle : JYLD se met en marche

Le mamouth (Blog) - Thu, 09/03/2017 - 19:40
Extrêmement discret jusqu'à maintenant sur son meilleur candidat pour l'élection présidentielle, le
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Evacuation médicale sur un chalutier boulonnais

MeretMarine.com - Thu, 09/03/2017 - 19:01

Jeudi 9 mars, vers 17h00, le Centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS) de Gris-Nez, a coordonné une opération de sauvetage à 25 milles marins (46 km) au sud-ouest de Boulogne-sur-Mer (62). Le navire de pêche "La frégate III", chalutier de 22 mètres de Boulogne-sur-Mer, a informé le CROSS qu'un de ses marins, âgé de 19 ans, avait été victime d'une chute de 6 mètres au fond d'une cale réfrigérée.

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Donald Tusk réélu sans difficulté. Le gouvernement Szydlo humilié

Bruxelles2 - Thu, 09/03/2017 - 18:35
(B2) L'ancien Premier ministre polonais, Donald Tusk, a été réélu sans difficulté, ce jeudi 9 mars, pour un nouveau mandat de deux ans et demi à la tête du Conseil européen. La décision a été prise à l'issue d'un vote à 27 voix contre une. Il n'aura fallu que 30 minutes de réunion pour avoir […]
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Le CIDEF part en campagne

Le mamouth (Blog) - Thu, 09/03/2017 - 18:18
Dans le sillage d'Eric Trappier qui l'évoquait dès hier aux résultats de Dassault Aviation, le CIDEF
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Des Marines de la 11e MEU déployés au nord de Raqqa

Lignes de défense - Thu, 09/03/2017 - 15:17

Le colonel John Dorrian, porte-parole de la coalition, a confirmé ce matin des informations du Washington Post qui affirmait qu'une FOB temporaire abritant de l'artillerie a été installée au nord de Raqqa.

Cette unité d'artillerie de l'armée américaine, soit environ 400 soldats, proviennent du 1er bataillon du 4e régiment de l'USMC; elle est équipée de canons M777 de 155 mm (photo d'archives USMC).

Ces marines dépendent de la 11e Marine Expeditionary Unit (MEU). Ils renforcent les quelque 500 (au minimum) soldats US engagés au sol en Syrie.

Rangers (voir mon post ici) et marines sont chargés de donner un coup d'accélérateur à l'offensive menée contre Raqqa, capitale de fait de l'organisation Etat islamique (EI) en Syrie.

Ce type de canon est largement utilisé sur les théâtres du Levant. Plusieurs unités d'artillerie les y ont mis en œuvre, comme le 2e bataillon du 319e Airborne Field Artillery Regiment, de la 82e Airborne Division (photo prise près de Mosul, le 3 février 2017).

On se souviendra aussi que des éléments de 26e Marine Expeditionary Unit, de Camp Lejeune, ont été positionnés près de Mossoul en 2016 et qu'ils disposaient de ce type de pièce d'artillerie.

 

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La Reine inaugure le monument aux soldats britanniques tombés en Irak et en Afghanistan

Lignes de défense - Thu, 09/03/2017 - 11:40

Alors que la France prépare, pour le 23 mars, une cérémonie de pose de la première pierre du monument aux morts en opex, les Britanniques ont inauguré leur Mémorial ce jeudi (voir mon post ici). 2 500 invités ont assisté à la cérémonie présidée par la Reine.

Le Mémorial qui est l'œuvre de Paul Day et comporte deux plaques qui illustrent l'action britannique sur les deux théâtres, est installé dans les Victoria Embankment Gardens, près du siège du ministère de la défense (MoD).

47 militaires britanniques sont mort en Irak lors de la première Guerre du Golfe,
179 ont perdu la vie en Irak entre 2003-2009
456 soldats sont morts en Afghanistan
Par ailleurs, 43 civils sont morts en Irak et 101 en Afghanistan.

 

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Police du ciel : le plot d'Evreux qualifié

Le mamouth (Blog) - Thu, 09/03/2017 - 09:51
Afin de prendre en compte la fermeture de l'activité aérienne à Creil, l'armée de l'air a mis en place un
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Le 1er RPIMa passe à l'amarante à compter du 11 avril

Lignes de défense - Thu, 09/03/2017 - 08:34

Le 1er régiment de parachutistes d'infanterie de marine va troquer son béret rouge pour le béret "amarante" porté par les paras SAS de la France libre.

Le général Brethous, le patron des FS terre, a pris cette décision "conformément aux directive du CEMAT".

Ce béret sera porté par tous les personnels d'active et de réserve à partir du 11 avril, date à laquelle aura lieu une cérémonie pour les 20 ans des FS Terre.

 

 

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Le Guilvinec : Naufrage du chalutier L'Argonaute

MeretMarine.com - Wed, 08/03/2017 - 19:01

"L'Argonaute" (16 m) a talonné vers 5 h cette nuit dans le port du Guilvinec. Trois hommes étaient à bord. Ils ont été débarqué au port de Lechiagat. Actuellement, un barrage anti pollution est installé.


Un article de la rédaction du Télégramme

 

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Décès du paludisme d'un artilleur du 1er RA rentré de RCA en février

Lignes de défense - Wed, 08/03/2017 - 17:23

L'armée de Terre a annoncé que le 7 mars 2017, un militaire français récemment engagé dans la mission européenne EUTM RCA est décédé des suites d’une forme grave de paludisme contracté en Centrafrique dont les symptômes sont apparus après son retour en France.

Il s’agit du brigadier-chef Rémy, affecté au 1er régiment d’artillerie. A son retour en France le 11 février 2017, il développe rapidement les symptômes d’une forme très grave de paludisme. Il est hospitalisé le 4 mars 2017 et décède le 7 mars 2017.

Sa biographie:
Né le 8 août 1987 à Belfort, le brigadier-chef Anthony REMY aura servi la France durant plus de six années. Le 3 août 2010, à l’âge de 23 ans, il s’engage au titre du 8e régiment d’artillerie de Commercy en tant que volontaire de l’armée de Terre avant de signer un contrat d’engagé volontaire de l’armée de Terre en 2011.
Motivé, il acquiert rapidement l’ensemble des savoir-faire et des savoir-être du soldat. Il est élevé à la distinction de 1ère classe le 4 février 2011 et obtient le certificat pratique de servant canon au mois de juin de la même année. Le 11 juillet 2012, il embarque pour sa première mission de courte durée pour rejoindre la Nouvelle-Calédonie. Servant canon sur mortier, il fournit un excellent travail notamment en maîtrisant parfaitement son matériel. Plein d’allant, cultivant le don de soi, il s’investit sans compter lors des tournées de province à Canala et à Hienghène. Il rentre en métropole le 18 novembre 2012. Sorti grandi de cette mission au cours de laquelle il a montré de belles qualités humaines et professionnelles, il est désigné pour occuper le poste de conducteur d’artillerie.
Le 1er juillet 2013, il est muté au 1er régiment d’artillerie au poste d’adjoint chef de groupe munitions. Il s’intègre rapidement à son unité et obtient le certificat militaire élémentaire et le certificat technique élémentaire dans la spécialité d’artilleur navigateur. Opérateur navigateur efficace, vif d’esprit et rigoureux, il est nommé brigadier le 1er août 2014. Au cours de son engagement, il réalise trois missions « Vigipirate » et depuis janvier 2015, aura pris part à sept missions « Sentinelle » au service de la protection de nos concitoyens. Son goût de l’effort et son implication dans chacune de ces missions sont soulignés par ses chefs. Le 3 novembre 2016, il est projeté en République centrafricaine au poste de chef d’équipe.
Apprécié pour sa discrétion, sa grande motivation et ses compétences, il réalise une excellente mission. Il est promu brigadier-chef le 1er décembre 2016. Le brigadier-chef Anthony REMY aimait tout particulièrement son métier et faisait preuve d’une disponibilité exceptionnelle. D’un caractère jovial, très bon camarade, il était unanimement estimé de ses pairs comme de ses supérieurs. 
Le brigadier-chef Anthony REMY était titulaire de la médaille de la protection militaire du territoire avec agrafe « Sentinelle », de la médaille échelon argent de la défense nationale agrafe artillerie et mission d’opérations extérieures et de la médaille d’outre-mer avec agrafe « République centrafricaine ».

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Képi blanc et salles obscures: quand le 7e art s’empare de la Légion

Lignes de défense - Wed, 08/03/2017 - 14:18

Du 24 mars au 27 août 2017, le musée de la Légion étrangère, à Aubagne, accueillera une exposition inédite sur le thème : "Légion et cinéma, quand le 7e art s’empare du képi blanc".

Cette exposition se propose de faire voyager dans l’univers de la Légion étrangère à travers 7 thématiques :
• Ils étaient légionnaires… mais aussi acteurs, scénaristes, réalisateurs
• Les stars dans la peau des légionnaires
• Belles de légionnaires
• La saga Beau Geste
• La légion s’amuse
• Michel Audiard - scénariste de films "Légionnaires"
• Autres regards.

L’accès au musée se fera par l’entrée principale, Chemin de la Thuilière, à Aubagne.

Tel : 04 42 18 10 41 - 04 42 18 10 96
Email: musee.legionetrangere@gmail.com
Website: musee.legion-etrangere.com

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L'union sacrée à Orly

Le mamouth (Blog) - Wed, 08/03/2017 - 12:07
C'était dans la nuit de lundi à mardi : GIGN, RAID et BRI-BAC étaient mobilisées pour un bref
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Quatre ans pour obtenir une "réponse"

Le mamouth (Blog) - Wed, 08/03/2017 - 10:05
Le député François Cornut-Gentille vient de recevoir une réponse un peu tardive à une question
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Philippe Meunier : « le budget de la Défense doit être porté à 2,2% du PIB en 2022 »

Blog Secret Défense - Wed, 08/03/2017 - 10:01
Une tribune libre du député du Rhône, délégué Défense "Les Républicains".
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La 3D déroule le tapis rouge pour les sigémiens

Le mamouth (Blog) - Tue, 07/03/2017 - 21:25
Ils sont au seuil de leur carrière militaire, mais le séminaire interarmées des grandes écoles militaires
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