You are here

Défense

Des marins dans le ciel du Bourget

Le mamouth (Blog) - Tue, 07/03/2017 - 21:07
Le salon aéronautique mondial verra passer cette année plus de marins que d'habitude. Un, ou
Plus d'infos »
Categories: Défense

Le brise-glace Polarstern va dériver dans la glace arctique pendant un an

MeretMarine.com - Tue, 07/03/2017 - 00:25

En 1893, l’explorateur norvégien Fridtjof Nansen lançait Fram, son bateau en bois, dans les étendues glacées de l’Arctique. Son idée était simple : se faire emprisonner dans les glaces en mer de Sibérie puis se laisser porter par le courant transpolaire arctique pour atteindre le pôle Nord. Nansen dût abandonner son bateau en cours d’expédition et skier des centaines de kilomètres avant de trouver des secours. Le Fram, lui, finit par ressortir intact de la calotte glaciaire au niveau du détroit qui porte aujourd’hui son nom entre le Gröenland et l’archipel du Svalbard.

Categories: Défense

MPCC : the new military headquarter of the EU

CSDP blog - Mon, 06/03/2017 - 23:00

European Commission head Jean-Claude Juncker called for a common EU defence headquarters in September after the Brexit vote, resurrecting an idea that had circulated in the EU for years. Today, the European Union has approved plans for a military headquarters to coordinate overseas security operation, foreign and defence ministers of the 28 member states (Britain having long opposed it) "unanimously" backed the project.

The new MPCC (Military Planning Conduct and Capability facility) will command the EU's non-executive military missions. The facility will initially run three operations - civil-military training missions in Mali, the Central African Republic and Somalia - which do not involve the use of force, other than in self-defence. The MPCC will initially have a small staff of around 30 and come under the EU's existing military structures.

But top EU officials, including Ms Mogherini, have had to repeatedly issue reassurances that the bloc is not going to undercut NATO as the primary defence for Europe. Besides Britain, many of the former Communist states of eastern Europe such as Poland and Hungary have argued consistently that NATO must come first, given the need for US support in facing a more assertive Russia.

The EU has also mounted Operation Sophia in the central Mediterranean, which can use force to stop migrant smugglers, and Operation Atalanta, part of international antipiracy forces off the Horn of Africa, these executive operations have their own command centres which will remain separate.

Tag: MPCCMogheriniCSDP

Avec autant de femmes autour de lui...

Le mamouth (Blog) - Mon, 06/03/2017 - 19:35
... une femme peut-elle, demain, lui (Laurent Collet-Billon) succéder ? La question reste posée, et la
Plus d'infos »
Categories: Défense

Cherche désespérément correspondant

Le mamouth (Blog) - Mon, 06/03/2017 - 19:11
Il n'y a pas qu'à la presse qu'il manque : Marwan Lahoud, en partant d'Airbus, a laissé une chaise
Plus d'infos »
Categories: Défense

DGA : « On veut un correspondant français au plus haut niveau » chez Airbus

Blog Secret Défense - Mon, 06/03/2017 - 17:27
Une déclaration de Laurent Collet-Billon, délégué général pour l’armement
Categories: Défense

« Le char futur sera franco-allemand »

Blog Secret Défense - Mon, 06/03/2017 - 17:12
Un « pari » du DGA Laurent Collet-Billon
Categories: Défense

Vincent Crouzet, un espion en terrain miné

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Mon, 06/03/2017 - 16:18
Le romancier a baroudé durant 20 ans auprès des guérillas d'Afrique subsaharienne pour le compte de la DGSE. Il raconte dans un livre l'affaire Uramin-Areva.
Categories: Défense

La DGA donne des chiffres, mais pas tous

Le mamouth (Blog) - Mon, 06/03/2017 - 15:16
Laurent Collet-Billon présentait cet après-midi sans doute un de ses derniers bilans d'activité
Plus d'infos »
Categories: Défense

Notre sélection de la semaine : Découvrez les nouveautés !

Surplus Militaire - Mon, 06/03/2017 - 12:33

Spécial nouveauté de la semaine ! Voici une sélection en provenance de StockUS.fr de nouveaux produits qui ont été ajouté au catalogue. De nombreux produits a découvrir directement sur cette page (cliquez sur le lien) débutons cette sélection ! Bâche multi-usage 5,40 x 8 mètres camouflé CE Bâche camouflée de type Europe centrale. Cette bâche

Cet article Notre sélection de la semaine : Découvrez les nouveautés ! est apparu en premier sur Surplus Militaire.

Categories: Défense

La mort de Louis Cortot, compagnon de la Libération

Blog Secret Défense - Mon, 06/03/2017 - 11:05
Résistant communiste, il a ensuite travailler chez Dassault
Categories: Défense

La feuille de route de défense et sécurité en 2017. Le point

Bruxelles2 - Mon, 06/03/2017 - 01:10
(B2) Pour bien saisir les enjeux des différentes discussions dans les enceintes européennes, voici le mandat qu'ont reçu les instances (Haute représentante de l'Union et Commission européenne) pour l'année 2017, lors du Conseil européen de fin 2016 (1). La Haute représentante de l'Union doit faire « au cours des prochains mois », des propositions sur […]
Categories: Défense

Une sérieuse divergence sur la coopération structurée permanente

Bruxelles2 - Sun, 05/03/2017 - 21:30
(B2) Le dernier papier remis par le SEAE aux États membres n'a pas réussi à susciter l'unanimité autour de la table. Selon nos éléments, si on faisait un tour de table, il n'y aurait même pas la majorité qualifiée nécessaire pour pouvoir déclencher cette Coopération structurée permanente (PESCO). Car les divergences sont profondes entre les […]
Categories: Défense

STX France Saint-Nazaire, building offshore substations

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 20:01

STX France Saint-Nazaire, world famous for its cruise liners, is diversifying into marine renewable energy, specifically substations for offshore windfarms.

Categories: Défense

Un mini QG pour les missions de l’UE. Pour quoi faire ?

Bruxelles2 - Sun, 05/03/2017 - 19:45

Partager/Marquer

Bangui, Mogadiscio, Bamako Les missions « non exécutives » de l’UE sont aujourd’hui dans des zones plus à risque que les opérations « exécutives (Sarajevo, Océan indien, Méditerranée) – ici l’arrivée des soldats géorgiens à EUTM Rca pour assurer la protection de la mission. (crédit : EUTM RCA)

(B2 – exclusif) Les Européens devraient avaliser, ce lundi (6 mars), la création d’un mini-QG permanent. En jargon européen, on la dénomme « MPCC » comme « Military Planning and Conduct Capability ». Cette structure sera chargée de préparer (« planifier ») et commander (« conduire ») les missions militaires non exécutives de l’Union européenne, « au niveau stratégique ». C’est-à-dire au niveau politique.

Combien de missions sont concernées ?

L’Union européenne a trois missions « non exécutives », toutes en Afrique et qui concernent la formation des militaires locaux : en Somalie (EUTM Somalia), au Mali (EUTM Mali), en Centrafrique (EUTM RCA). Chacun de ces missions regroupent 200 personnes. Au total, ce seront environ 600 personnes qui seront rattachées à ce nouveau commandant d’opération.

Pourquoi faut-il un commandant d’opération à Bruxelles ?

Jusqu’à aujourd’hui, les missions (non exécutives) que déploie l’Union européenne sur le terrain, ont un chef de mission, qui assure le commandement au jour le jour, mais de commandant d’opération, en tant que tel, qui prévoit à plus long terme, assure la liaison avec les autorités politiques, etc. C’est le même chef de mission qui quitte le terrain et va rendre compte aux autorités politiques. Ce qui est assez aberrant.

Pourquoi est-ce aberrant ?

B2 a demandé leur avis à plusieurs personnes, des commandants de mission, des diplomates, des responsables dans les différents états-majors. Tous ont confirmé. Le système actuel ne marche pas… « Les structures européennes sont très spécifiques — explique un militaire européen –. Il faut les connaître de façon concrète, les pratiquer tous les jours. Entre la Commission européenne, le Parlement, le COPS, les procédures budgétaires, d’appels d’offres, les différentes diplomaties nationales… cela nécessite un apprentissage qui ne peut être fait en quelques mois. […] Demander à un militaire national d’appréhender ces structures, d’être en même temps à Mogadiscio ou Bamako et à Bruxelles, de commander la force sur le terrain et de connaître tous les recoins de Bruxelles, c’est impossible. »

C’est même totalement aberrant jure un autre. « Cela n’existe nul part. Dans tous nos dispositifs militaires, on a un niveau tactique (le terrain, la force, la mission) et un niveau stratégique (la réflexion, le politique, l’opération) » (2) explique un haut gradé. « Dans l’Union européenne, il n’y a personne entre le niveau tactique et les ministres ou les ambassadeurs. […] C’est comme si vous aviez un général commandant de l’ISAF en Afghanistan, qui appellerait le Conseil des ministres à chaque problème, même mineur. »

Un diplomate confirme. « Les commandants de mission n’ont jusqu’ici pas d’interlocuteur militaire à qui s’adresser à Bruxelles. Ils pouvaient s’adresser au Comité politique et de sécurité en tant que référent politique. Mais ce n’est pas vraiment le rôle des ambassadeurs du COPS de pouvoir répondre à toutes les questions, au quotidien, que se posent un commandant militaire. Il faut un militaire pour cela. »

Lire : La conduite des opérations : une pièce manquante du dispositif de l’UE… entre autres

Ce sont des missions non exécutives… où est le danger alors ?

De façon assez paradoxale, les missions non exécutives de l’UE sont aujourd’hui plus exposées que les opérations militaires. Les premières se déroulent en effet dans des terrains qui sont plutôt cotées dans le haut du risque que dans le bas : Mogadiscio pour EUTM Somalia, Bamako au Mali, Bangui en RCA… A côté les opérations militaires à Sarajevo, ou dans l’Océan indien, et même en Méditerranée, face à la Libye, relèvent de la promenade de santé, ou du moins présentent un risque moindre (3).

Y-a-t-il déjà eu des problèmes graves ?

Cela a failli. Il y a un an, lors de l’attaque terroriste contre la mission EUTM, au printemps 2016. Le commandant de la mission EUTM Mali était alors à Bruxelles en train de rencontrer des parlementaires et des ambassadeurs au moment de l’attaque…

 

Y-a-t-il duplication avec l’OTAN ?

PAS DU TOUT. Tous ceux qui prétendent cela sont soit des personnes qui refusent que l’UE ait les moyens de ses ambitions, soit des… ignares. 1° L’OTAN n’est pas la même organisation que l’UE ; elle n’a pas la même structure politique, la même chaîne de commandement, ni les mêmes membres (4). 2° Cela supposerait d’avoir l’accord de tous les membres de l’OTAN (ce qui est loin d’être gagné, cf. notamment le problème turco-chypriote). 3° La présence de l’OTAN dans certains pays n’est pas vraiment souhaitée ni par les pays locaux ni même par les Alliés (pour EUTM Somalia, les États-Unis par exemple ont travaillé de façon très efficace avec les Européens). 4° Même au point de vue technique, pour commander ce type de mission, il n’y a pas besoin d’un dispositif comme le SHAPE (le QG permanent de l’OTAN situé à Mons). Il serait inadapté, surdimensionné et trop lourd pour commander à trois missions qui regroupent 600 personnes en tout. 5° Les militaires de l’OTAN ne connaissent pas vraiment les raffinements de l’Union européenne, ses structures, etc. En conclusion, faire avec l’OTAN, cela serait plus difficile, en partie inutile et beaucoup plus cher.

Lire aussi : Touche pas à mon Shape ! Le faux argument de la duplication

Cela fait longtemps qu’on parle de cette capacité ?

Ooh OUI ! La première fois où a évoquée une capacité autonome pour l’Union européenne, c’était en décembre 1998, à Saint Malo, Français (J. Chirac et L. Jospin) et Britanniques (T. Blair) tombaient d’accord, dans une déclaration commune sur une nécessité : l’Union européenne doit avoir « une capacité autonome d’action », appuyée sur « des forces militaires crédibles », « avec les moyens de les utiliser » et en étant « prête à le faire afin de répondre aux crises internationales ».

« Il est important d’avoir les capacités ainsi que le leadership politique en Europe pour pouvoir assumer ses responsabilités, surtout dans des circonstances où pour telle ou telle raison les États-Unis ne veulent pas s’engager » (Tony Blair, 4 décembre 1998)

Pourquoi cela n’a jamais été mis en place ?

Tout simplement parce que toute décision en matière extérieure (et de défense) dans l’Union européenne se prend à l’unanimité. Plusieurs tentatives ont été faites : de la plus célèbre (et la plus maladroite peut-être), en pleine intervention américano-britannique en Irak (le fameux sommet des Pralines en 2003), à la plus récente et la plus discrète (en 2011-2012, qui n’a pu aboutir que sur une demi-mesure, peu efficace, le centre d’opérations). A chaque tentative de concrétiser cet appel pour mettre en place, de façon concrète et pratique, il y a toujours eu un vigoureux « No » britannique. Parfois, celui-ci n’était pas exprimé publiquement … car un autre pays prenait le relais (la Lituanie, par exemple, a joué un temps ce rôle de sous-marin britannique).

Qu’est-ce qui a abouti à un accord ?

Sans nul doute, le référendum britannique sur le Brexit a joué de façon notable dans l’effacement du veto britannique. La situation internationale également, la multiplication des menaces, le coup d’état en Turquie qui rend cet allié plus faible, obligent les Européens à être plus autonomes. Mais ce sont aussi des raisons internes qui ont joué (cf. ci-dessus).

Cette décision a-t-elle l’aval de tous, y compris au plus haut niveau ?

Oui… si vous avez bien lu les conclusions de la réunion des ministres de la Défense de l’UE de novembre dernier, et encore plus celle du sommet européen du 15 décembre dernier, c’était inscrit noir sur blanc. Les Chefs d’État et de gouvernement avaient ainsi recommandé « l’établissement d’une capacité opérationnelle permanente de planification et de conduite au niveau stratégique ».

Et un QG pour les opérations militaires ?

Ce n’est pas pour demain… mais pour après-demain. L’idée d’un QG permanent pour les opérations militaires — défendue par la France et plusieurs autres pays (Espagne, Italie, etc.) – n’est pas abandonnée. Elle est reportée à plus tard. Un bilan de la mise en place de la MPCC est ainsi prévu « au plus tard à la fin 2018 ». L’objectif serait alors de pouvoir passer à l’étape ultérieure, le commandement des opérations … plus de vingt après la réunion de Saint-Malo, en décembre 1998.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Concrètement, qui commandera les missions ?

C’est le directeur de l’état-major de l’UE — le général Esa Pulkkinen —  qui est promu le directeur de la MPCC et exercera à ce titre les fonctions de commandant des missions, au niveau stratégique.

Pourquoi un directeur pas un commandant des opérations ?

C’est une (petite) concession aux Britanniques. Lors de la discussion, le Royaume-Uni s’est opposé à ce que le futur chef de la nouvelle structure reçoive le nom « commandant d’opération » préférant le terme de « directeur de la MPCC ». A l’arrivée, cela ne change … rien.

Quand tout cela sera activé ?

Réponse officielle : « au printemps ». Nous avons demandé quand était le printemps ? « du 21 mars au 21 juin ». Selon nos principaux sondages, cette MPCC pourrait être déclarée opérationnelle d’ici la fin avril (pour la réunion informelle des ministres de la Défense), ce qui fait très court, ou en mai (au plus tard début juin).

Pourquoi pas tout de suite ?

PARCE QUE… Le feu vert des ministres n’est que politique. Il faut encore effectuer tout un travail de mise en forme : transcrire de façon précise toute la nouvelle chaîne de commandement, revoir notamment la décision fixant les tâches de l’état-major, qui n’a jamais été revue depuis l’entrée en vigueur du Traité de Lisbonne (1) ; revoir aussi les trois décisions qui fondent les missions de formation de l’UE ainsi que tous les documents internes (concepts militaires, concepts de gestion de crise) qui mentionnent cette chaîne de commandement. Ce travail a déjà commencé – selon nos indications –.

Combien cette MPCC va coûter ?

PAS GRAND CHOSE. La MPCC est créée au sein de l’état-major de l’UE, déjà existant, situé à quelques encablures du rond-point Schuman. Pas besoin de locaux, ni même de moyens techniques supplémentaires. Le commandant d’opération lui-même n’est pas nouveau, il s’agit de l’actuel directeur de l’état-major qui aura un « double chapeau ».

Combien de personnes comptera cette MPCC ?

PAS BEAUCOUP. En tout cette MPCC comptera une vingtaine de personnes. La plupart sont des déploiements de poste. La plupart viennent de personnes déjà présentes dans l’état-major de l’UE et dans l’ancien centre d’opérations (OpCen). 5 ou 6 pourraient venir des états-majors des États membres en renfort.

A quoi servira cette MPCC ?

Elle assurera d’abord la liaison entre les autorités politiques et le terrain, et vice-versa, des plus importantes aux plus mineures. Il s’agit notamment de répondre aux changements de situation sur le terrain, en matière sécuritaire, de trouver des renforts ou des ressources supplémentaires, d’assumer le renouvellement des forces sur le terrain (génération de force complémentaire), de répondre aux questions des parlementaires ou des ambassadeurs des États membres, voire de remplir les obligations en matière d’appels d’offres ou comptables. Etc.

Ces questions ne sont-elles déjà pas résolues dans les plans d’opération et autres documents internes de planification ?

Un certain nombre de questions sont prévues par avance, et figurent tant dans le plan d’opération que dans les règles d’engagement. Mais si une unité formant des militaires étrangers détecte en son sein des éléments douteux, proches de mouvements terroristes, ou qu’il y a un problème d’indiscipline parmi eux ou dans les effectifs européens, que faut-il en faire ? Question très simple à résoudre quand le militaire est peu gradé, quand il s’agit d’un officier supérieur, surtout s’il est proche du niveau politique local (ou qu’il est soutenu par son État membre), cela devient une question très politique… Idem quand il s’agit de pourvoir à des besoins qu’on n’a pas détecté (de formation, de logistique, de sécurité).

(NGV)

(1) Une mission non exécutive est une mission que mène l’UE sans exercer dans le pays concerné les fonctions régaliennes (maintien de l’ordre, contrôle des voies publiques, interception des fauteurs de trouble, protection des populations, tirs de neutralisation des « adversaires », etc.) qui, dans l’ordre international actuel, ne peuvent être autorisés que par une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies (sous chapitre VII).

(2) Le premier est dénommé QG de force, le second QG d’opération. Ce qui induit à confusion…

(3) Le déploiement de navires en lui-même comporte une dose d’auto-protection que n’a pas un déploiement terrestre. Quant à Sarajevo… sans commentaire.

(4) Contrairement à tout ce qui est dit souvent, la différence est notable. Ce n’est pas tant le nombre de pays (qui ne font pas partie de l’une ou l’autre organisation), c’est leur importance. Ne sont notamment pas membres de l’UE : les États-Unis, le Canada, la Turquie et la Norvège, etc. (c’est-à-dire en termes d’importance militaire, une nette majorité).

Détails :  La MPCC pour conduire des missions militaires. Composition, Fonction, Commandement…

Categories: Défense

Edouard Louis-Dreyfus: “New opportunities in MRE”

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 11:14

France-based shipowners Louis Dreyfus Armateurs recently signed a contract marking their début as suppliers of hybrid service vessels for offshore wind farm operations, thanks to a partnership with Danish marine renewable energy conglomerate Dong Energy. LDA president Edouard Louis-Dreyfus discusses the group’s recent diversification and its new approach to managing contracts of this nature.

Categories: Défense

North Sea MRE operator chooses French hybrid support ship

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 11:13

Danish offshore wind farm operator Dong Energy* will charter a new hybrid support vessel from Louis Dreyfus Armateurs. For LDA, this is a new venture and a big achievement.

Categories: Défense

Total awards subsea pipelay contract to Bourbon

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 11:12

Total Gabon has awarded Bourbon’s Subsea Services division an EPCI (engineering, procurement, construction and installation) contract to lay 25 km of 6” rigid pipeline as part of the Hylia Water Injection Project. The aim is to boost output by piping water to the offshore platform then injecting it into the wells at high pressure. “We set up the division in 2004 with just two boats. Today, our fleet of 20 subsea workboats generates annual revenues of €217 million,” says Patrick Belenfant, Senior VP Subsea Services.

 

Categories: Défense

Allais, now talking trawlers to fishers

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 11:11

Normandy-based boatbuilder Chantiers Allais has developed baseline trawler designs for discussions with potential clients.

Categories: Défense

StakePoint, for collaborative project management

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 11:10

Running on either Mac or Windows, StakePoint is designed for managers, planners, buyers and their teams.

Dutchman Maarten Mostert set up StakePoint, a Toulon-based startup specialising in collaborative project management software, in 2015. A qualified naval architect, he previously worked at the Saint-Nazaire shipyard for ten years. Maarten and his team have developed a PM product that focuses on deadlines and objectives while optimising the use of human and hardware resources by minimising time wasting activities and planning ahead for cashflow requirements.

Categories: Défense

Pages