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Défense

« Le char futur sera franco-allemand »

Blog Secret Défense - Mon, 06/03/2017 - 17:12
Un « pari » du DGA Laurent Collet-Billon
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Vincent Crouzet, un espion en terrain miné

Défense ouverte (Blog de Jean Guisnel) - Mon, 06/03/2017 - 16:18
Le romancier a baroudé durant 20 ans auprès des guérillas d'Afrique subsaharienne pour le compte de la DGSE. Il raconte dans un livre l'affaire Uramin-Areva.
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La DGA donne des chiffres, mais pas tous

Le mamouth (Blog) - Mon, 06/03/2017 - 15:16
Laurent Collet-Billon présentait cet après-midi sans doute un de ses derniers bilans d'activité
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Notre sélection de la semaine : Découvrez les nouveautés !

Surplus Militaire - Mon, 06/03/2017 - 12:33

Spécial nouveauté de la semaine ! Voici une sélection en provenance de StockUS.fr de nouveaux produits qui ont été ajouté au catalogue. De nombreux produits a découvrir directement sur cette page (cliquez sur le lien) débutons cette sélection ! Bâche multi-usage 5,40 x 8 mètres camouflé CE Bâche camouflée de type Europe centrale. Cette bâche

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La mort de Louis Cortot, compagnon de la Libération

Blog Secret Défense - Mon, 06/03/2017 - 11:05
Résistant communiste, il a ensuite travailler chez Dassault
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La feuille de route de défense et sécurité en 2017. Le point

Bruxelles2 - Mon, 06/03/2017 - 01:10
(B2) Pour bien saisir les enjeux des différentes discussions dans les enceintes européennes, voici le mandat qu'ont reçu les instances (Haute représentante de l'Union et Commission européenne) pour l'année 2017, lors du Conseil européen de fin 2016 (1). La Haute représentante de l'Union doit faire « au cours des prochains mois », des propositions sur […]
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Une sérieuse divergence sur la coopération structurée permanente

Bruxelles2 - Sun, 05/03/2017 - 21:30
(B2) Le dernier papier remis par le SEAE aux États membres n'a pas réussi à susciter l'unanimité autour de la table. Selon nos éléments, si on faisait un tour de table, il n'y aurait même pas la majorité qualifiée nécessaire pour pouvoir déclencher cette Coopération structurée permanente (PESCO). Car les divergences sont profondes entre les […]
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STX France Saint-Nazaire, building offshore substations

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 20:01

STX France Saint-Nazaire, world famous for its cruise liners, is diversifying into marine renewable energy, specifically substations for offshore windfarms.

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Un mini QG pour les missions de l’UE. Pour quoi faire ?

Bruxelles2 - Sun, 05/03/2017 - 19:45

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Bangui, Mogadiscio, Bamako Les missions « non exécutives » de l’UE sont aujourd’hui dans des zones plus à risque que les opérations « exécutives (Sarajevo, Océan indien, Méditerranée) – ici l’arrivée des soldats géorgiens à EUTM Rca pour assurer la protection de la mission. (crédit : EUTM RCA)

(B2 – exclusif) Les Européens devraient avaliser, ce lundi (6 mars), la création d’un mini-QG permanent. En jargon européen, on la dénomme « MPCC » comme « Military Planning and Conduct Capability ». Cette structure sera chargée de préparer (« planifier ») et commander (« conduire ») les missions militaires non exécutives de l’Union européenne, « au niveau stratégique ». C’est-à-dire au niveau politique.

Combien de missions sont concernées ?

L’Union européenne a trois missions « non exécutives », toutes en Afrique et qui concernent la formation des militaires locaux : en Somalie (EUTM Somalia), au Mali (EUTM Mali), en Centrafrique (EUTM RCA). Chacun de ces missions regroupent 200 personnes. Au total, ce seront environ 600 personnes qui seront rattachées à ce nouveau commandant d’opération.

Pourquoi faut-il un commandant d’opération à Bruxelles ?

Jusqu’à aujourd’hui, les missions (non exécutives) que déploie l’Union européenne sur le terrain, ont un chef de mission, qui assure le commandement au jour le jour, mais de commandant d’opération, en tant que tel, qui prévoit à plus long terme, assure la liaison avec les autorités politiques, etc. C’est le même chef de mission qui quitte le terrain et va rendre compte aux autorités politiques. Ce qui est assez aberrant.

Pourquoi est-ce aberrant ?

B2 a demandé leur avis à plusieurs personnes, des commandants de mission, des diplomates, des responsables dans les différents états-majors. Tous ont confirmé. Le système actuel ne marche pas… « Les structures européennes sont très spécifiques — explique un militaire européen –. Il faut les connaître de façon concrète, les pratiquer tous les jours. Entre la Commission européenne, le Parlement, le COPS, les procédures budgétaires, d’appels d’offres, les différentes diplomaties nationales… cela nécessite un apprentissage qui ne peut être fait en quelques mois. […] Demander à un militaire national d’appréhender ces structures, d’être en même temps à Mogadiscio ou Bamako et à Bruxelles, de commander la force sur le terrain et de connaître tous les recoins de Bruxelles, c’est impossible. »

C’est même totalement aberrant jure un autre. « Cela n’existe nul part. Dans tous nos dispositifs militaires, on a un niveau tactique (le terrain, la force, la mission) et un niveau stratégique (la réflexion, le politique, l’opération) » (2) explique un haut gradé. « Dans l’Union européenne, il n’y a personne entre le niveau tactique et les ministres ou les ambassadeurs. […] C’est comme si vous aviez un général commandant de l’ISAF en Afghanistan, qui appellerait le Conseil des ministres à chaque problème, même mineur. »

Un diplomate confirme. « Les commandants de mission n’ont jusqu’ici pas d’interlocuteur militaire à qui s’adresser à Bruxelles. Ils pouvaient s’adresser au Comité politique et de sécurité en tant que référent politique. Mais ce n’est pas vraiment le rôle des ambassadeurs du COPS de pouvoir répondre à toutes les questions, au quotidien, que se posent un commandant militaire. Il faut un militaire pour cela. »

Lire : La conduite des opérations : une pièce manquante du dispositif de l’UE… entre autres

Ce sont des missions non exécutives… où est le danger alors ?

De façon assez paradoxale, les missions non exécutives de l’UE sont aujourd’hui plus exposées que les opérations militaires. Les premières se déroulent en effet dans des terrains qui sont plutôt cotées dans le haut du risque que dans le bas : Mogadiscio pour EUTM Somalia, Bamako au Mali, Bangui en RCA… A côté les opérations militaires à Sarajevo, ou dans l’Océan indien, et même en Méditerranée, face à la Libye, relèvent de la promenade de santé, ou du moins présentent un risque moindre (3).

Y-a-t-il déjà eu des problèmes graves ?

Cela a failli. Il y a un an, lors de l’attaque terroriste contre la mission EUTM, au printemps 2016. Le commandant de la mission EUTM Mali était alors à Bruxelles en train de rencontrer des parlementaires et des ambassadeurs au moment de l’attaque…

 

Y-a-t-il duplication avec l’OTAN ?

PAS DU TOUT. Tous ceux qui prétendent cela sont soit des personnes qui refusent que l’UE ait les moyens de ses ambitions, soit des… ignares. 1° L’OTAN n’est pas la même organisation que l’UE ; elle n’a pas la même structure politique, la même chaîne de commandement, ni les mêmes membres (4). 2° Cela supposerait d’avoir l’accord de tous les membres de l’OTAN (ce qui est loin d’être gagné, cf. notamment le problème turco-chypriote). 3° La présence de l’OTAN dans certains pays n’est pas vraiment souhaitée ni par les pays locaux ni même par les Alliés (pour EUTM Somalia, les États-Unis par exemple ont travaillé de façon très efficace avec les Européens). 4° Même au point de vue technique, pour commander ce type de mission, il n’y a pas besoin d’un dispositif comme le SHAPE (le QG permanent de l’OTAN situé à Mons). Il serait inadapté, surdimensionné et trop lourd pour commander à trois missions qui regroupent 600 personnes en tout. 5° Les militaires de l’OTAN ne connaissent pas vraiment les raffinements de l’Union européenne, ses structures, etc. En conclusion, faire avec l’OTAN, cela serait plus difficile, en partie inutile et beaucoup plus cher.

Lire aussi : Touche pas à mon Shape ! Le faux argument de la duplication

Cela fait longtemps qu’on parle de cette capacité ?

Ooh OUI ! La première fois où a évoquée une capacité autonome pour l’Union européenne, c’était en décembre 1998, à Saint Malo, Français (J. Chirac et L. Jospin) et Britanniques (T. Blair) tombaient d’accord, dans une déclaration commune sur une nécessité : l’Union européenne doit avoir « une capacité autonome d’action », appuyée sur « des forces militaires crédibles », « avec les moyens de les utiliser » et en étant « prête à le faire afin de répondre aux crises internationales ».

« Il est important d’avoir les capacités ainsi que le leadership politique en Europe pour pouvoir assumer ses responsabilités, surtout dans des circonstances où pour telle ou telle raison les États-Unis ne veulent pas s’engager » (Tony Blair, 4 décembre 1998)

Pourquoi cela n’a jamais été mis en place ?

Tout simplement parce que toute décision en matière extérieure (et de défense) dans l’Union européenne se prend à l’unanimité. Plusieurs tentatives ont été faites : de la plus célèbre (et la plus maladroite peut-être), en pleine intervention américano-britannique en Irak (le fameux sommet des Pralines en 2003), à la plus récente et la plus discrète (en 2011-2012, qui n’a pu aboutir que sur une demi-mesure, peu efficace, le centre d’opérations). A chaque tentative de concrétiser cet appel pour mettre en place, de façon concrète et pratique, il y a toujours eu un vigoureux « No » britannique. Parfois, celui-ci n’était pas exprimé publiquement … car un autre pays prenait le relais (la Lituanie, par exemple, a joué un temps ce rôle de sous-marin britannique).

Qu’est-ce qui a abouti à un accord ?

Sans nul doute, le référendum britannique sur le Brexit a joué de façon notable dans l’effacement du veto britannique. La situation internationale également, la multiplication des menaces, le coup d’état en Turquie qui rend cet allié plus faible, obligent les Européens à être plus autonomes. Mais ce sont aussi des raisons internes qui ont joué (cf. ci-dessus).

Cette décision a-t-elle l’aval de tous, y compris au plus haut niveau ?

Oui… si vous avez bien lu les conclusions de la réunion des ministres de la Défense de l’UE de novembre dernier, et encore plus celle du sommet européen du 15 décembre dernier, c’était inscrit noir sur blanc. Les Chefs d’État et de gouvernement avaient ainsi recommandé « l’établissement d’une capacité opérationnelle permanente de planification et de conduite au niveau stratégique ».

Et un QG pour les opérations militaires ?

Ce n’est pas pour demain… mais pour après-demain. L’idée d’un QG permanent pour les opérations militaires — défendue par la France et plusieurs autres pays (Espagne, Italie, etc.) – n’est pas abandonnée. Elle est reportée à plus tard. Un bilan de la mise en place de la MPCC est ainsi prévu « au plus tard à la fin 2018 ». L’objectif serait alors de pouvoir passer à l’étape ultérieure, le commandement des opérations … plus de vingt après la réunion de Saint-Malo, en décembre 1998.

(Nicolas Gros-Verheyde)

Concrètement, qui commandera les missions ?

C’est le directeur de l’état-major de l’UE — le général Esa Pulkkinen —  qui est promu le directeur de la MPCC et exercera à ce titre les fonctions de commandant des missions, au niveau stratégique.

Pourquoi un directeur pas un commandant des opérations ?

C’est une (petite) concession aux Britanniques. Lors de la discussion, le Royaume-Uni s’est opposé à ce que le futur chef de la nouvelle structure reçoive le nom « commandant d’opération » préférant le terme de « directeur de la MPCC ». A l’arrivée, cela ne change … rien.

Quand tout cela sera activé ?

Réponse officielle : « au printemps ». Nous avons demandé quand était le printemps ? « du 21 mars au 21 juin ». Selon nos principaux sondages, cette MPCC pourrait être déclarée opérationnelle d’ici la fin avril (pour la réunion informelle des ministres de la Défense), ce qui fait très court, ou en mai (au plus tard début juin).

Pourquoi pas tout de suite ?

PARCE QUE… Le feu vert des ministres n’est que politique. Il faut encore effectuer tout un travail de mise en forme : transcrire de façon précise toute la nouvelle chaîne de commandement, revoir notamment la décision fixant les tâches de l’état-major, qui n’a jamais été revue depuis l’entrée en vigueur du Traité de Lisbonne (1) ; revoir aussi les trois décisions qui fondent les missions de formation de l’UE ainsi que tous les documents internes (concepts militaires, concepts de gestion de crise) qui mentionnent cette chaîne de commandement. Ce travail a déjà commencé – selon nos indications –.

Combien cette MPCC va coûter ?

PAS GRAND CHOSE. La MPCC est créée au sein de l’état-major de l’UE, déjà existant, situé à quelques encablures du rond-point Schuman. Pas besoin de locaux, ni même de moyens techniques supplémentaires. Le commandant d’opération lui-même n’est pas nouveau, il s’agit de l’actuel directeur de l’état-major qui aura un « double chapeau ».

Combien de personnes comptera cette MPCC ?

PAS BEAUCOUP. En tout cette MPCC comptera une vingtaine de personnes. La plupart sont des déploiements de poste. La plupart viennent de personnes déjà présentes dans l’état-major de l’UE et dans l’ancien centre d’opérations (OpCen). 5 ou 6 pourraient venir des états-majors des États membres en renfort.

A quoi servira cette MPCC ?

Elle assurera d’abord la liaison entre les autorités politiques et le terrain, et vice-versa, des plus importantes aux plus mineures. Il s’agit notamment de répondre aux changements de situation sur le terrain, en matière sécuritaire, de trouver des renforts ou des ressources supplémentaires, d’assumer le renouvellement des forces sur le terrain (génération de force complémentaire), de répondre aux questions des parlementaires ou des ambassadeurs des États membres, voire de remplir les obligations en matière d’appels d’offres ou comptables. Etc.

Ces questions ne sont-elles déjà pas résolues dans les plans d’opération et autres documents internes de planification ?

Un certain nombre de questions sont prévues par avance, et figurent tant dans le plan d’opération que dans les règles d’engagement. Mais si une unité formant des militaires étrangers détecte en son sein des éléments douteux, proches de mouvements terroristes, ou qu’il y a un problème d’indiscipline parmi eux ou dans les effectifs européens, que faut-il en faire ? Question très simple à résoudre quand le militaire est peu gradé, quand il s’agit d’un officier supérieur, surtout s’il est proche du niveau politique local (ou qu’il est soutenu par son État membre), cela devient une question très politique… Idem quand il s’agit de pourvoir à des besoins qu’on n’a pas détecté (de formation, de logistique, de sécurité).

(NGV)

(1) Une mission non exécutive est une mission que mène l’UE sans exercer dans le pays concerné les fonctions régaliennes (maintien de l’ordre, contrôle des voies publiques, interception des fauteurs de trouble, protection des populations, tirs de neutralisation des « adversaires », etc.) qui, dans l’ordre international actuel, ne peuvent être autorisés que par une résolution du Conseil de sécurité des Nations unies (sous chapitre VII).

(2) Le premier est dénommé QG de force, le second QG d’opération. Ce qui induit à confusion…

(3) Le déploiement de navires en lui-même comporte une dose d’auto-protection que n’a pas un déploiement terrestre. Quant à Sarajevo… sans commentaire.

(4) Contrairement à tout ce qui est dit souvent, la différence est notable. Ce n’est pas tant le nombre de pays (qui ne font pas partie de l’une ou l’autre organisation), c’est leur importance. Ne sont notamment pas membres de l’UE : les États-Unis, le Canada, la Turquie et la Norvège, etc. (c’est-à-dire en termes d’importance militaire, une nette majorité).

Détails :  La MPCC pour conduire des missions militaires. Composition, Fonction, Commandement…

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Edouard Louis-Dreyfus: “New opportunities in MRE”

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 11:14

France-based shipowners Louis Dreyfus Armateurs recently signed a contract marking their début as suppliers of hybrid service vessels for offshore wind farm operations, thanks to a partnership with Danish marine renewable energy conglomerate Dong Energy. LDA president Edouard Louis-Dreyfus discusses the group’s recent diversification and its new approach to managing contracts of this nature.

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North Sea MRE operator chooses French hybrid support ship

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 11:13

Danish offshore wind farm operator Dong Energy* will charter a new hybrid support vessel from Louis Dreyfus Armateurs. For LDA, this is a new venture and a big achievement.

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Total awards subsea pipelay contract to Bourbon

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 11:12

Total Gabon has awarded Bourbon’s Subsea Services division an EPCI (engineering, procurement, construction and installation) contract to lay 25 km of 6” rigid pipeline as part of the Hylia Water Injection Project. The aim is to boost output by piping water to the offshore platform then injecting it into the wells at high pressure. “We set up the division in 2004 with just two boats. Today, our fleet of 20 subsea workboats generates annual revenues of €217 million,” says Patrick Belenfant, Senior VP Subsea Services.

 

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Allais, now talking trawlers to fishers

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 11:11

Normandy-based boatbuilder Chantiers Allais has developed baseline trawler designs for discussions with potential clients.

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StakePoint, for collaborative project management

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 11:10

Running on either Mac or Windows, StakePoint is designed for managers, planners, buyers and their teams.

Dutchman Maarten Mostert set up StakePoint, a Toulon-based startup specialising in collaborative project management software, in 2015. A qualified naval architect, he previously worked at the Saint-Nazaire shipyard for ten years. Maarten and his team have developed a PM product that focuses on deadlines and objectives while optimising the use of human and hardware resources by minimising time wasting activities and planning ahead for cashflow requirements.

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Navexpo: Lorient to host second ‘boats afloat’ trade show

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 11:09

Last year saw one of the world’s few floating trade shows, and France's first: Navexpo International, with media partner Mer et Marine. Preparations are in full swing for the second edition, to take place from 10 to 12 May 2017 at the port of Lorient.

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La mission de police dans les territoires palestiniens « EUPOL Copps » (janvier 2006 – …)

Bruxelles2 - Sun, 05/03/2017 - 10:36
(B2) La mission EUPOL Copps s’inscrit, comme sa sœur jumelle EUBAM Rafah, dans les efforts européens pour « une solution négociée fondée sur la coexistence de deux États » et dans le cadre de la « feuille de route pour la paix » définie par le Quartet le 30 avril 2003. Les Chefs d’État et de gouvernement affirment en juin 2004, la […]
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Tallink’s LNG ferry Megastar makes a splash

MeretMarine.com - Sun, 05/03/2017 - 10:16

LNG is considered the maritime fuel of the future in the Baltic Sea, especially by passenger shipping companies. However, even with the 2015 0.1% Sulphur limit of the Emission Control Area, its development has been slow as most have opted to use marine diesel oil (MDO) while cargo operators have gone for scrubbers. So it was with great fanfare that the introduction of Megastar was a mass media event for its maiden voyage on 29 January.

 

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Chtchoukine, Vermeer : les expo de 2017

EGEABLOG - Sat, 04/03/2017 - 20:29

L'exposition Chtchoukine à la fondation Vuitton est terminée mais elle mértie quelques mots. L'exposition Vermeer au Louvre débute et le peintre mérite à coup sûr l'attention du géopolitologue, tant il fut un des seuls à mettre des cartes dans ses cadres. 

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Disons d'emblée un mot des conditions de ces expositions, pour déplorer leur piètre qualité (vous pouvez sauter ce paragraphe grognon). Chtchoukine rencontra un tel succès qu'il fallait s'inscrire à distance. J'avais réservé pour 21h00, suis arrivé à 20h50, ne suis entré qu'à 21h30 passées. Au moins le circuit à l'intérieur du musée était-il cohérent. Du côté du Louve, j'ai rarement été confronté à quelque chose d'aussi cataclysmique. Une réservation improbable sur Internet, une file d'accès au musée incroyable, ensuite un préfiltrage où on apprend que le billet ne suffit pas, qu'il faut aller au guichet retirer une contremarque avec heure de passage (2ème file), puis on nous fait attendre, puis une fois ce sas passé on refait encore la queue... Finalement, on entre dans un espace exigu avec des tableaux mis côte à côte et tirant "profit" d'une initiative absolument géniale du muséiste, celle de mettre les données techniques de l'oeuvre et les commentaires éventuels par terre ! Quand il y a quatre rangs de personnes devant soit, qu'on n'aperçoit l'oeuvre qu'entre trois épaules en se haussant sur la pointe des pieds, c'est un trait de génie indépassable. Bref, j'ai été de mauvaise humeur tout du long. La prochaine fois, faites ça dans une cave et illuminez avec trois bougies, avec des commentaires inscrits à la suie sur les murs, cela fera "performance" et art contemporain !!!! Et surtout, le Louvre, trouvez une surface d'exposition un peu plus ample que ce manège riquiqui autour duquel on tourne sans place... Mais venons en aux oeuvres.

Chtchoukine

Chtchoukine était un riche russe qui fit une collection d'avant guerre entre la fin du XIXème siècle (début vers 1880) et la révolution bolchevique (il prit alors la fuite pour mourir à Paris en exil en 1937). Sa collection permet de voir des oeuvres tout à fait méconnues et frappe par son éventail, allant des impressionistes aux cubistes en passant par les fauves.

Tout chez lui commence par Cézanne, son maître à voir. Chaque série de sa collection part d'un Cézanne qui inspire la quête. On voit ainsi quelques très beaux Monet (les toiles montrent très bien l'évolution entre les premiers cadres, peu convaincants, et ceux de la maturité), peu de Van Gogh, des Pissaro, une longue série de Gauguin. Je confesse n'avoir jamais été inspiré par ce peintre, fasciné par des paganismes colorés mais finalement assez ternes. Les fauves sont à l'honneur, avec une incroyable succession de Matisse mais aussi des Marquet et des Derain et, bizarrement, aucun Dufy. J'ai surtout noté un incroyable "Nu, noir et or" de Matisse tout à fait étonnant.

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PIcasso est à l'honneur, au long de toutes ses périodes : bleue, rose, cubiste. Chtchoukine a réllement senti et soutenu toutes les avant-gardes picturales de son époque. On note quelques abstraits, quelques auteurs russes. Il en reste un très beau parcours qui valait le détour. Il faut maintenant aller à Moscou pour les revoir.

Vermeer et les maîtres

L'expo coorganisée par le Louvre, le musée de Dublin, la National Gallery et le Museum of Art réunit 12 toiles (un tiers de toute l'oeuvre) de Vermeer, qui travailla à partir de 1660 environ. Je réussis ainsi à voir des toiles que je n'avais jamais vues, sachant que le Mauritshuis de La Haye n'a rien prêté...Du coup, les organisateurs ont confronté les toiles de Vermeer avec celles de ses contemporains, montrant ainsi la différence de traitement et les inspirations croisées. Il en ressort la profonde originalité du Delftois.

D'abord, il traite prcinipalement des scènes d'intérieur, comme la plupart de ses contemporains, selon ce que goût de l'époque exigeait. Mais il organise ses tableaux toujours selon la même composition : un mur en face, une fenêtre (ou une source de lumière) à gauche, deux ou trois éléments de décor, un personnage en situation. On peut avoir quelques centrages sur une activité (la laitière, la dentellière) ou alors un personnage féminin surpris et tournant la tête vers nous (La lette interrompue, Jeune femme assise au virginal). Autrement dit, Vermeer ne surprend jamais par sa composition. De même, on est frappé que toujours, le mur du fond soit une vague blancheur de chaux, accueillant vaguement la lumière. L'essentiel est ailleurs. Car un Vermeer est reconnaissable au premier coup d'oeil (un seul tableau m'a trompé, on y reviendra). Notons enfin qu'il ne peint pas de portrait (seule exception à mon souvenir, La jeune fille à la perle, qui n'est pas dans l'exposition et qui donne à voir un des regards les plus troublants de l'histoire de la peinture : mais s'agit-il d'un portrait ? ou d'une expression saisie par surprise ?).

L'essentiel est ailleurs. Tout est dit. Car Vermeer ne cherche pas, comme ses pairs, à trouver des "solutions" picturales. Tout ce travail parallèle est fort intéressant mais ce n'est pas le sujet de Vermeer. Nul doute qu'il observe ce que font les autres mais l'exposition a du mal à nous convaincre qu'il est inspiré par untel ou qu'il cite celui-là. On sent chez Vermeer une démarche intérieure qui précède la peinture : celle-ci n'est que l'instrument exprimant un autre souci.

Vermeer est toujours grave. Concentré. Profond. Même dans les petites choses de la vie ou les moments volages, comme l'écriture d'une lettre. A part peut-être dans La lette interrompue où l'on décèle de l'amusement de la part  du sujet qui regarde, moqueuse, le spectateur qui l'interrompt (donnant ainsi un des premiers exemples d'inclusion du spectateur dans le tableau), à part aussi de La proposition dont le sujet est libertin, par construction (aussi est-ce une fausse gaité qui est montrée), les tableaux de Vermeer ne donnent pas à voir la gaité. Au fond, Vermeer peint l'intériorité : celle de l'écriture, du travail, de la pratique musicale, ...

Ou encore, peut-être d'abord, la réflexion scientifique. L'exposition montre ainsi le Géographe, qui se trouve habituellement à Francfort et que je vois donc pour la première fois, surtout côte à côté avec l'Astronome, bien connu car accroché au Louvre. Les deux toiles côte à côte mettent en valeur la réflexion scientifique, les deux disciplines laissant de côté le côté magique que pouvait avoir l'alchimie ou l'astrologie. Surtout, Vermeer intitule une toile "le géographe" et devient à ce titre le père pictural des géopolitologues. On note en effet qu'à plusieurs reprises, les cartes sont représentées dans ses toiles, comme par exemple dans La joueuse de luth. Rien que pour ces deux toiles, il faut aller voir l'exposition.

Est-il seulement rationnel, positiviste ? je ne le crois pas. J'ai en effet appris dans l'exposition qu'il était catholique, alors qu'il peint dans un milieu protestant, tolérant à peine le catholicisme. La dernière toile de l'exposition donne ainsi à voir une Allégorie de la foi catholique qui n'a justement aucun des traits convaincants de Vermeer : c'est d'ailleurs la seule toile que je n'ai pas identifiée venant de lui. On sent une oeuvre de commande ou, plus exactement, une oeuvre trop démonstrative et éloignée, en cela, de l'intimité habituelle que dégage le travail intérieur du maître. Mais alors ? Alors, Vermeer n'est pas un peintre propagandiste ou rhétorique, c'est un peintre du resserrement personnel. C'est un mâitre qui peint l'invisible, celui qui n'est pas visible par les yeux. Là est le génie de Vermeer.

Parmi les autres maîtres hollandais présents, j'ai surtout retenu Pieter de Hoch, qui réussit de belles variations sur des rouges orangés tout à fait convaincants. Tant qu'à être au Louvre, on montera deux étages pour aller voir les maitres de Leyde avec une belle série de Rembrandt. Dans la pièce précédente, on verra une autre belle série d'impressionnistes (rare au Louvre, ceux-ci étant habituellement à Orsay, mais il s'agit ici de la donation Lyon) avec notamment une très belle toile de Monet, Environs de Honfleur sous la neige, qui vaut largement La célèbre Pie. Ca consolera ceux qui n'ont pas vu Chtchokine

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Egea

 

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Les hélicoptères Puma de l’escadron « Pyrénées » vont quitter Cazaux pour rejoindre la Corse

Zone militaire - Sat, 04/03/2017 - 14:10

Au cours de l’été 2016, l’escadron 1/44 « Solenzara », basé sur la base aérienne du même nom, a abandonné ses deux hélicoptères Super Puma (cédés à l’Espagne) au profit du SA 330 Puma SAR (Search and Rescue). Ce mouvement s’est fait dans le cadre de la réorganisation des voilures tournantes de l’armée de l’Air, qui, entamée […]

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Le budget militaire chinois annoncé en hausse « d’environ 7% » en 2017

Zone militaire - Sat, 04/03/2017 - 12:54

En 2016, la croissance chinoise est tombée à 6,7%, ce qui en fait son taux le plus faible depuis 25 ans. Et d’après les analystes, il faudrait s’attendre à chiffre similaire pour cette année. Or, cette progression du PIB, même si elle a de quoi faire rêver les dirigeants européens, reste insuffisante, dans la mesure […]

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