La rencontre Gouvernement-Walis, entamée hier samedi en présence du chef de l’État, a vu aujourd’hui le premier ministre donner quelques directives aux responsables des 58 wilayas. Aimene Benabderrahmane s’est en effet penché sur plusieurs questions importantes, dont celles portant sur les pouvoirs des élus locaux.
Dans un discours prononcé aujourd’hui, le 26 septembre 2021, le premier ministre a abordé devant les 58 walis plusieurs affaires qui revêtent une grande importance. Le premier ministre a notamment donner trois nouvelles directives.
Recensement, APC et bureaucratieAimene Benabderahmane a fait savoir que plus de pouvoir vont être accordés aux APC, et donc aux élus locaux. Une demande qui a été faite par Youcef Aouchiche dernièrement, le premier homme au FFS. Le premier ministre, toujours dans ce contexte, a invité à créer des cellules d’écoute pour être plus proches des préoccupations des citoyens.
Lors de son dernier discours Aiemene benabderrahmane a également indiqué que son gouvernement va procéder à un recensement général de la population et de l’habitat. Il a aussi indiqué qu’une enquête statistique municipale complète va se faire pour réduire les inégalités et booster le développement.
La troisième directive du premier ministre concerne la bureaucratie. Devant les walis, il a notamment souligné la nécessité de simplifier les procédures administratives et l’importance de lutter contre la bureaucratie afin d’améliorer le service public, et de contenir les jeunes énergies porteuses de projets et d’idées créatives.
Pour conclure, Benabderahmane a également rappelé que les zones de l’ombre restent un problème d’actualité, et ce, malgré les « avancées » qui ont été enregistrées ces derniers mois.
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Un sujet qui a toujours fait polémique en Algérie refait surface cette année avec des critères tantôt compréhensibles et justifiables tantôt saugrenus et abusés. On parle bien de la tenue vestimentaire dans les établissements scolaires.
Les lycées algériens sortent instruction après instruction, chacun fixe des règles concernant la tenue correcte exigée pour les filles et les garçons, et ce, hormis la blouse obligatoire pour tous, dès la rentrée scolaire. C’est le cas du lycée Houari Boumediene d’El Achir de la Wilaya de Bordj Bou Arreridj, publiant une instruction qui dicte, selon son règlement intérieur, les critères de cette tenue.
De l’interdiction de “coupes bizarres qui vont à l’encontre de l’éthique de l’éducation et de l’enseignement”, les pantalons déchirés et les casquettes pour les garçons, les vêtements “serrés” pour les filles, toujours pour les lycéennes pas de maquillages ou d’accessoires et pour couronner le tout, on sait que l’utilisation du téléphone portable est interdite, or on parle ici d’interdiction de le ramener dans l’enceinte de l’établissement.
Quant aux mesures préventives contre le Covid-19, elles ont été timidement mentionnées en bas.
Tenue correcte, le bouchon est-il poussé un peu trop loin ?C’est un sujet clivant, aussi bien entre les élèves que leurs parents, certains félicitent ces restrictions et trouvent que c’est tout à fait normal d’imposer ces règles, d’autres déplorent toutes ces interdictions exagérées en s’interrogeant sur leur pertinence quant au bon déroulement du cours.
Il est important de préciser que si toutefois, ces interdictions qui semblent porter atteinte à la morale publique ne sont pas respectées, l’élève en question ne pourra pas accéder à l’établissement.
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En Algérie, la pandémie de la covid-19 fait de moins en moins de ravages. Cette décrue, insistent les spécialistes, doit inciter la population à la vaccination. Aujourd’hui, le 26 septembre 2021, les chiffres démontrent encore que malgré la baisse des infections, le danger demeure présent.
Le ministère de la Santé a indiqué dans son bilan de ce dimanche que le pays a recensé 10 décès causés par le virus ces 24 dernières heures. Les mêmes chiffres soulignent aussi que l’Algérie a enregistré 148 nouveaux cas de contamination, 115 guérisons.
Suite au bilan d’aujourd’hui, le total des cas de contamination en Algérie s’élève donc à 202.722 cas. Le pays a également recensé, et ce, depuis le début de la pandémie, pas moins de 5788 décès.
Immunité collective : c’est pour bientôtLe ministre de la Santé, Abderahmane Benbouzid, a annoncé il y a quelques jours des chiffres positifs concernant le taux de vaccination en Algérie. En effet, le ministre a dévoilé que 50 % de la population algérienne concernée a été vaccinée.
Des chiffres bons certes, mais ambiguës affirment plusieurs spécialistes. Lyes Merabet, président du Syndicat national des praticiens de la santé publique, reste quant à lui sceptique. Il affirme que » l’Algérie n’a pas encore atteint l’immunité collective« .
Pour ce spécialiste, « lorsqu’on parle de 10 millions d’Algériens, je pense que la majorité n’ont reçu qu’une première dose ». Merabet indique que seulement le tiers de ce nombre ont reçu les deux doses. Un constat qui veut dire que le pays est encore loin d’avoir atteint une immunité collective, ce qui nous expose au risque d’une quatrième vague.
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C'est dans une ambiance empreinte de reconnaissance au président sortant de leur parti, Simon Compaoré, que les participants au deuxième Congrès extraordinaire du Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) assistent, ce dimanche 26 septembre 2021 à Ouagadougou, à la clôture des travaux de cette deuxième instance suprême du parti.
L'un des grands enjeux de ce congrès était sans doute le renouvellement de l'organe dirigeant, le Bureau exécutif national (BEN), notamment la présidence du parti.
Après "plusieurs castings" des congressistes, le président Simon Compaoré cède la tête du parti à Bala Alassane Sakandé.
Ce dernier, par ailleurs Président de l'Assemblée nationale, était jusque-là deuxième secrétaire au secrétaire exécutif du parti.
Qualifié de "monument", de "baobab" politique, Simon Compaoré a été accueilli dans un tonnerre d'ovations dans la cuvette du Palais des sports de Ouaga 2000 qui accueille cet événement politique.
Président intérimaire du MPP à partir d'août 2017, Simon Compaoré sera confirmé à la présidence du parti à l'occasion d'un congrès ordinaire en mars 2020.
Homme politique aux propos aussi chocs que parfois contreversés, il aura sans doute marqué, activement, la vie politique burkinabé.
Simon Compaoré est, désormais, le président d'honneur du MPP. Ainsi devient-il pour le MPP, ce que Blaise Compaoré est au CDP.
C'est donc une nouvelle ère qui s'ouvre, à partir de cet après-midi dominical, pour le parti au pouvoir.
O.L
Lefaso.net
Le président de la République a procédé ce dimanche 26 septembre 2021 à la nomination d’un nouveau porte-parole de la Présidence de la République. Il s’agit de Samir Aggoune, qui occupait ce même poste par intérim.
Le nouveau porte-parole de la présidence était enseignant à la faculté des sciences de l’information et de communication à l’université d’Alger 3. Il a également fait une carrière en journalisme au sein de plusieurs médias.
Il a exercé en tant que journaliste à la chaine Echorouk TV. Avant cela, il a occupé le poste de Directeur de l’information à la chaine Dzair News, avant de démissionner de ce poste en novembre 2018, après quatre années passées dans cette chaîne.
Avant d’intégrer l’équipe de Dzair News en 2014, il a fait un passage remarqué à la radio nationale. En 2016, il est nommé à la tête de la Direction de l’information de la chaine privée après le départ de Djamal Maafa.
En août 2020, Tebboune avait nommé Samir Aggoune, par décret présidentiel du 29 Dhou El Hidja 1441 correspondant au 19 août 2020, chargé de mission à la Présidence de la République.
Porte-parole de la présidence par intérimSuite au départ de Belaïd Mohand-Oussaïd du poste de porte-parole de la présidence, au lendemain de son retour de son voyage de soins d’Allemagne, Samir Aggoune a été nommé à ce poste par intérim.
Sa première apparition officielle remonte au 7 juillet 2021, lorsqu’il a annoncé la composante du nouveau gouvernement de Aïmene Benabderrahmane. Ce dimanche, le président de la République l’a nommé, par décret présidentiel, comme porte-parole officiel de la présidence de la République.
Par ailleurs, le chef de l’État a également signé un décret présidentiel par lequel il a nommé Abdelaziz Khalef Directeur de cabinet de la Présidence de la République, indique un communiqué de la présidence.
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Après une fermeture de plus d’une année, les autorités ont annoncé, le 1er juin dernier, la réouverture partielle des frontières aériennes, avec un nouveau programme de vols internationaux, mis en place le 28 août de l’année en cours, qui vise à augmenter le nombre de vols à 64 par semaine avec sept pays, dont 48 vols entre l’Algérie et la France.
Depuis cette réouverture, la compagnie aérienne espagnole, Vueling, est devenue la seule compagnie étrangère à opérer des vols vers l’Algérie à partir de deux pays différents, où elle est autorisée à opérer depuis sa base à l’aéroport international d’El Prat à Barcelone et au départ de l’aéroport de Marseille Provence.
En effet, la low cost espagnole opère chaque semaine, deux vols depuis la ville de Barcelone, et ce, conformément au principe de réciprocité. Notons que la compagnie aérienne nationale, quant à elle, programme également deux jours par semaine, à savoir le dimanche et le jeudi, afin d’opérer ses vols.
48 euros pour la ligne Marseille – Alger chez VuelingPour le mois de novembre, Vueling a déjà commencé la commercialisation de ses billets d’avion sur son site pour la ligne Marseille – Alger. Les prix proposés par ladite compagnie sont les plus bas en comparant de ses concurrentes.
Les billets présentés pour la vente sont pour des vols prévus tous les jours, sauf les mardis et les dimanches, tout en long du mois de novembre.
Dans le site, les prix des billets d’avion sont proposés à des prix bas, arrivés à 48 euros et peuvent atteindre jusqu’à plus de 450 euros.
Il est cependant utile de rappeler qu’aucune compagnie aérienne n’a obtenu l’autorisation officielle pour opérer des vols en mois de novembre. Donc, ces vols vont être certainement annulés, vu que la low cost espagnole maintient en vente actuellement les billets d’avion en novembre pour des vols qui dépendent de son programme annuel.
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Rien ne va plus pour le dernier premier ministre de Bouteflika. Nouredine Bedoui, qui a pu jusqu’à là éviter le sort réservé à Ouyahia et Sellal, vient de faire face à une décision du juge du tribunal de Sidi M’Hamed. Même si l’ancien premier ministre évite, encore une fois, la prison, il n’en sort pas tout à fait indemne.
En effet, aujourd’hui, le 26 septembre 2021, le tribunal de Sidi M’Hamed vient de mettre l’ancien premier ministre Nouredine Bedoui sous contrôle judiciaire. Une décision du juge qui s’accompagne d’une interdiction de quitter le territoire national, vu que le passeport de l’ancien responsable a été également confisqué.
Coup dur pour BedouiBedoui qui a été premier ministre alors que Bouteflika s’apprêtait à sortir par la petite porte d’El Mouradia, a été rattrapé par plusieurs scandales qui lui ont valu sa convocation par la justice Algérienne. Corruption, abus de pouvoir, dilapidation et détournement du foncier, Bedoui risque gros.
Même si les accusations portées contre Bedoui ne concernent pas la période ou il occupait le poste de premier ministre, cela n’empêche pas qu’elles puissent lui valoir la prison. Une épée de Damoclès est suspendue au-dessus de sa tête. Bedoui est notamment accusé d’avoir octroyé illégalement plusieurs marchés à des entrepreneurs qui ne remplissait pas les conditions légales et qui ne respectaient pas les normes nécessaires à la réalisation de ces projets.
Les accusations portées à l’encontre de Bedoui concernent des affaires de corruption qui remontent à l’époque où il occupait le poste de wali de Constantine. C’était avant qu’on le nomme ministre de la Formation professionnelle, puis ministre de l’Intérieur et enfin Premier ministre jusqu’au 19 décembre 2019.
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Le chef de l’État Abdelmadjid Tebboune a procédé, ce dimanche 26 septembre 2021, à de nouvelles nominations au sein de la Présidence de la République.
Selon un communiqué de la Présidence, Tebboune a nommé, par décret présidentiel, un nouveau chef de cabinet et un nouveau porte-parole à la présidence de la République.
« Le président de la République a signé, aujourd’hui, un décret présidentiel par lequel il a nommé Abdelaziz Khalef Directeur de cabinet de la Présidence de la République », lit-on dans le communiqué.
Cette nomination intervient en « remplacement de Noureddine Beghdada, qui est appelé à de nouvelles fonctions », précise-t-on encore selon la même source.
Nouveau porte-parole à la présidence de la RépubliquePar ailleurs, « le président a également signé un décret présidentiel par lequel il a nommé Samir Aggoune comme porte-parole officiel de la présidence de la République », ajoute encore la même source. Ce dernier occupait le poste du porte-parole de la Présidence de la République par intérim.
Il convient de noter que le poste de porte-parole à la présidence est occupé, depuis le 29 décembre 2020, par Belaïd Mohand Oussaïd. Ce dernier avait été alors nommé par Tebboune, ministre conseiller à la communication porte-parole de la présidence de la République.
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