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Prominente Amerikaner, über die vollkommen korrupte und verrückte Angela Merkel

Balkanblog.org - Sat, 05/11/2016 - 22:06
Ratten Nest der gekauften Verbrecher in Berlin: Peinlicher geht es nicht mehr, über die Verbrecher, welche Berufs Kriminelle Clans nach Deutschland holen und sprachlos sind, wenn Recep Erdogan heute mit Terroristen und Anschlägen in Deutschland und Europa droht.  Die CDU die EU Fraktion gekauft. Man finanziert direkt Terroristen wie die erfundene FSA Armee in Syrien, durch den Verbrecher Volker Perthes, Guido Westerwelle, Frank Walter Steinmeier und betreibt erneut Kopfabhacker Förderung und Ethnische Säuberungen, gibt den Terroristen Unterschlupg in Deutschland und anderen Verbrecher Clans, ohne Bildung. Elmar Brok mit dem Terroristen Financier: John McCain Man droht ungestraft Deutschland, durch die Freunde der Oberratte: Elmar Brok. Was für ein Abstieg, wenn man […]
Categories: Balkan News

John McCain’s – US Super Terrorist: Baghdadi droht der Welt mit Anschlägen

Balkanblog.org - Sat, 05/11/2016 - 22:03
neue Lügen der Pentagon PR, denn Abu Bakr al Baghdadi, ist ja direkt von John McCain, Hillary Clinton dem Pentagon finanziert, wie sogar Fotos zeigen. Vereinigtes Königreich nimmt die Dschihadisten-Ausbildung in Syrien wieder auf Ausbildung französischer Soldaten in der Führung von Daesch Deutschland hat auch Terroristen ausgebildet, was den Wahnsinn, krimineller Politiker aufzeigt und war führend bei dem Embargo. Elmar Brok, ist ebenso im Kopfabhacker und Nazi Spektakel, Dumm Krimineller Nazis und Verbrecher bei John McCain dabei. Abu Bakr al Baghdadi’s ‘grand jihad’ against the world Posted: 03 Nov 2016 07:41 AM PDT The Islamic State has released an audio message from Abu Bakr al Baghdadi. It is the first […]
Categories: Balkan News

Claude Chirac affiche son soutien à Alain Juppé

Le Monde / Politique - Sat, 05/11/2016 - 21:56
La fille de l’ancien président Jacques Chirac a également déclaré que son père allait « plutôt bien ».
Categories: France

L’exportation du livre algérien compromise par une réglementation dissuasive.

Algérie 360 - Sat, 05/11/2016 - 21:56

L’Algérie qui dispose d’une importante communauté émigrée dans des pays d’expression française et arabe dispose d’une chance considérable pour exporter des livres produits localement. Le lectorat potentiel disponible dans les pays francophones (France, Belgique, Canada) et arabophones (Égypte, pays du Golfe et Liban) dépasserait allégrement 4 millions d’individus intéressés, pour une raison ou une autre, par des livres et autres produits culturels édités en Algérie.

Tous les ouvrages (romans, Histoire, économie, politique, sociologie) seraient bon à prendre par ces communautés très intéressées par tout ce qui se passe et se pense dans leur pays d’origine. Du fait de son absence sur ces marchés potentiels l’Algérie perdrait selon, diverses estimations entre 150 et 200 millions de dollars chaque année, tout simplement parce que Banque d’Algérie fait obligation aux exportateurs de livres, comme pour tout autres produits,  de rapatrier les recettes résultant des ventes de livres à l’étranger, dans un délai n’excédant pas 120 jours (4 mois) à compter de la date d’expédition, sous peine de poursuites judiciaires.

Une prouesse qu’il est à l’évidence impossible de réaliser en un temps aussi court, compte tenu de la nature de cette activité spécifique qui requiert beaucoup de temps pour distribuer, pour vendre et pour répartir en fin de processus commercial les recettes que se partagent les différents intervenants. La condition imposée par les articles 60 et 68 de la loi relative à la monnaie et au crédit étant matériellement impossible à respecter, les éditeurs algériens ont préféré déserter ce juteux créneau de l’exportation, plutôt que de s’exposer à des ennuis judiciaires.

La nature ayant horreur du vide, ce sont les éditeurs étrangers qui ont pris d’assaut le marché algérien du livre en utilisant bien souvent les instruments de markéting  expressément mis en place par les autorités algériennes pour promouvoir l’exportation de ce produit culturel à l’étranger. Le Salon International du Livre qui draine des foules considérables et, pratiquement toutes, les manifestations du genre qui se tiennent périodiquement à Alger et autres grandes villes du pays sont ainsi mises à leurs dispositions pour y promouvoir leurs produits.

Toutes les gammes de livres, y sont exposées et vendues à des prix défiant toutes concurrences, laissant peu de chance à la production livresque algérienne. Bien qu’empêtrées dans d’inextricables problèmes structurels les éditeurs algériens parviennent à éditer ou rééditer régulièrement un nombre considérable d’ouvrages susceptibles d’intéresser au minimum quatre millions de compatriotes expatriés dans des pays d’expression française et arabe. C’est une chance inestimable dont les éditeurs et autres exportateurs de livres algériens, ne tirent pas profit pour la principale raison que nous avions évoquée plus haut. La diffusion du livre algérien à l’étranger se résume de ce fait à quelques offres informelles au moyen d’internet. 

Cette bien regrettable absence du livre algérien sur les marchés extérieurs fait perdre au pays, non seulement, d’importants revenus en devises, mais plus grave encore, son rayonnement culturel au sein des communautés émigrées.  Tous les métiers du livre (auteurs, traducteurs, imprimeurs, libraires etc.) qui perdent des commandes rétribuées en devises et de réelles perspectives d’expansion à l’étranger, en sont également pénalisés.  

Categories: Afrique

Clôture du 21ème SILA : le prochain Salon se tiendra le 25 octobre 2017.

Algérie 360 - Sat, 05/11/2016 - 21:39

La prochaine édition du Salon international du livre d’Alger (Sila) s’ouvrira le dernier mercredi du mois d’octobre 2017 et se tiendra au Palais des expositions des Pins maritimes (Safex), a annoncé ce samedi à Alger, le commissaire du Sila, Hamidou Messaoudi.    

S’exprimant lors de la conférence de presse de clôture du 21e Sila, le commissaire a indiqué que le salon ne «changera pas d’emplacement même si la Safex devra entreprendre des travaux de réaménagement ordonnés par le Premier ministre Abdelmalek Sellal» lors de l’inauguration du Salon.

Après 13 éditions tenues à la Safex, le Sila avait été délocalisé au Complexe olympique Mohamed Boudiaf pour trois éditions, avant de s’établir depuis 2012 à la Safex.

Des Maisons d’édition exclues du prochain SILA
Le commissaire a indiqué, par ailleurs, que 13 Maisons d’édition, dont six algériennes, étaient exclues du prochain Sila pour «entorse au règlement intérieur».

Au deuxième jour du Salon, les organisateurs avaient adressé des avertissements à 45 éditeurs pour avoir entreposé, dans leurs stands, les ouvrages à même le sol, en dépit du règlement qui l’interdit.

Interrogé sur l’absence d’éditeurs latino-américains, le commissaire a répondu que «plusieurs exposants hispanophones seront présents aux prochaines éditions».

Des titres controversés…
A une question de l’APS sur la vente de certains «titres controversés», le président de la Commission de lecture du Sila, H’cen Mermouri, a confié que les organisateurs avaient émis des réserves sur une dizaine de titres exposés, notamment à contenu religieux, depuis le début du Salon, alors que le commissariat avait émis des réserves sur 131 ouvrages avant l’ouverture du 21e Sila, a-t-il rappelé.

Le 21e Sila, a reçu, jusqu’à vendredi, avant dernier jour du Salon, «1.225. 000 visiteurs», a avancé le commissaire qui signale un pic «d’affluence de 400 000 visiteurs le 1er Novembre» et la visite de «30 000 élèves encadrés et pris en charge par le ministère de l’Education nationale».

Inauguré par le Premier ministre le 26 octobre, le 21e Sila, qui a connu la participation d’un millier d’exposants dont 290 éditeurs algériens, a fermé ses portes samedi.

Categories: Afrique

21e opération de relogement à Alger: lancement prochain de la 4e tranche de la 4e phase au profit de 1783 familles.

Algérie 360 - Sat, 05/11/2016 - 21:33

La quatrième et dernière tranche de la 4ème phase de la 21ème opération de relogement dans la wilaya d’Alger, et qui concerne 1 783 familles issues de bidonvilles d’El Hamiz et Bologhine, aura lieu dans «les quelques prochains jours», a affirmé samedi à Alger, Abdelkader Zoukh, wali d’Alger.

En marge d’une visite d’inspection et de travail l’ayant conduit à plusieurs projets dans la wilaya d’Alger, M. Zoukh a souligné que «les commissions en charge de l’examen des dossiers sont à pied d’œuvre et les familles seront relogées dans les quelques prochains jours».

Cette opération concerne 1 783 familles : 950 familles du bidonville «Oued El Hamiz» de Bordj El Kiffan, 390 familles du bidonville «Amar Ouahib» de Bologhine, 130 familles du bidonville «La caserne» de Bologhine et 120 familles du bidonville «Le Plateau» de Bologhine, selon la wilaya d’Alger.

665 familles ont été relogées dans le cadre de la 1ère tranche de cette opération lancée le 5 octobre dernier. La deuxième tranche qui a eu lieu le 10 octobre dernier, a permis le relogement de 387 familles des bidonvilles de «Cervantès» dans la commune de Mohamed Belouizdad, «Nezali Chérif» de Cheraga, «Chemin Mackley» de Ben Aknoun et «La ferme pilote» de Bab Ezzouar.

La troisième tranche, lancée le 19 octobre dernier, a concerné près de 200 familles des Bidonvilles «Coco Plage» de Bordj El Bahri, «El Oued» de Bordj El Bahri et «Boukhari» de Bordj El Bahri.

La 4e phase de la 21e opération de relogement dans la wilaya a été subdivisée en 4 tranches pour installer 3000 familles dans des logements décents.

Toutes ces familles seront relogées dans les cités 1200/560 logements Selmani aux Eucalyptus, la cité 400 logements à Rahmania, projet de 300 logements à Rahmania, 300 logements Zaatria à Mahelma, la cité 1000/267 logements à Douera et 477/93 logements Kourifa à El Harrach, précise la même source.

82 familles seront relogées durant cette quatrième phase dans le cadre du programme d’urgence de relogement des citoyens de la wilaya d’Alger, a-t-on indiqué de même source. Il s’agit de 58 familles qui habitaient au centre de transit «Dijon», commune de Bab El Oued à la suite de l’incendie qui s’est déclaré dans ce quartier le 29 juillet dernier.

Ledit programme concernera également le relogement de 21 familles qui occupaient le site de «Mercadal», commune de Kouba ainsi que 3 familles qui constituaient un obstacle à la réalisation du projet de réaménagement du siège de la commune de Oued Smar.

Categories: Afrique

Concert de musique soufie albanaise, par Enris Qinami

Courrier des Balkans / Albanie - Sat, 05/11/2016 - 21:00

Enris Qinami chante en albanais une poésie d'inspiration soufie, aux influences méditerranéennes et d'Asie centrale accompagné d'un luth à cordes pincées albanais, le « Sharki ». Le langage musical s'enracine autour des gammes de la tradition proche-orientale, « Makam », qui sont des stations d'âme exprimant un large spectre d'émotions et de couleurs.
Samedi 5 novembre à 19h30
A la Maison de la paix de Paris
4 rue Tivoli – 78800 Houilles
Téléphone : 01 30 71 25 48
Participation financière : 10€ pour (...)

/ ,
Categories: Balkans Occidentaux

Concert de musique soufie albanaise, par Enris Qinami

Courrier des Balkans - Sat, 05/11/2016 - 21:00

Enris Qinami chante en albanais une poésie d'inspiration soufie, aux influences méditerranéennes et d'Asie centrale accompagné d'un luth à cordes pincées albanais, le « Sharki ». Le langage musical s'enracine autour des gammes de la tradition proche-orientale, « Makam », qui sont des stations d'âme exprimant un large spectre d'émotions et de couleurs.
Samedi 5 novembre à 19h30
A la Maison de la paix de Paris
4 rue Tivoli – 78800 Houilles
Téléphone : 01 30 71 25 48
Participation financière : 10€ pour (...)

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Categories: Balkans Occidentaux

6.000 Albanische Militärs sind im Ausland, marschieren nun gegen Russland auf

Balkanblog.org - Sat, 05/11/2016 - 20:42
Albanien: NATO Land, Land ohne Justiz, oder Implementierung von Gesetzen. Jetzt erklärt der Albanische Generalstabschef, das man Truppen auch im korrupten Lettland, Estland, Litauen stationieren wird. Immer dabei, die vollkommen korrupten Deutschen Regierungen seit Ende 1998, welche jedes Verbrechen von Afghanistan, Kosovo, bis Mali, Nigeria mittragen. Die sind so korrupt und dumm, das der Stratfor Chef, sogar deutlich sagt, wie man die korrupten Deutschen Regierungen an der Nase herumführt. ** „Maßnahmen zur Eroberung neuer und existierender Erdöl- und Erdgasfelder.“ Abgründe, korrupter und verbrecherischer Aussenpolitik sind direkt in den beiden Briefen dokumentiert aus 2003, wo Zeitgleich Kriminelle den Visa Skandal produzierten in Albanien, Kosovo, der Ukraine. Deutsche Aussenpolitik, hat längst jedes […]
Categories: Balkan News

Liban : Saad Hariri a été nommé premier ministre.

Algérie 360 - Sat, 05/11/2016 - 20:41

Comme attendu, Saad Hariri, principale personnalité sunnite du Liban, a été nommé jeudi premier ministre par le nouveau président Michel Aoun. Le chef du parti du Courant du Futur a désormais la tâche de former un nouveau gouvernement. « A la suite des consultations parlementaires (…), le président Michel Aoun a convoqué jeudi Saad Hariri pour le charger de former le gouvernement », a annoncé Antoine Choukeir, chef de cabinet de la présidence.

Mais ce ne sera pas chose facile. La crise syrienne divise profondément la scène politique libanaise. M. Hariri, ennemi du président Bachar al-Assad, devra composer avec son adversaire de toujours, le mouvement chiite du Hezbollah, dont les troupes combattent au côté des forces du régime dans le pays voisin. Signe des difficultés qui l’attendent: lors des consultations menées par M. Aoun, tous les groupes parlementaires ont plébiscité Saad Hariri, à l’exception de ceux directement liés à Damas, dont le Hezbollah.

EN POSITION DE FAIBLESSE
Agé de 46 ans, le fils du milliardaire et Premier ministre Rafic Hariri, assassiné en 2005, prend son poste en position de faiblesse. Il devra user de toute son énergie pour asseoir son autorité, estiment les analystes. En outre, la prééminence de Saad Hariri est contestée au sein de la communauté sunnite par des radicaux, comme l’exministre de la Justice Achraf Rifi qui critique sa « mollesse » vis-à-vis du Hezbollah.

Pour former son gouvernement, le nouveau Premier ministre va donc devoir concilier les extrêmes. « Je vais commencer mes consultations pour former un gouvernement d’unité nationale qui surmonte les divisions, basé sur un consensus de toutes les forces politiques », a-t-il déclaré après sa nomination. Tâche difficile dans un pays où la formation d’un gouvernement prend souvent beaucoup de temps en raison des rivalités pour les portefeuilles.

POMMES DE DISCORDE
« Il va y avoir des secousses sur la route menant à la formation d’un gouvernement, notamment quand il faudra écrire le discours de politique générale, qui devra refléter un minimum de consensus sur les questions d’intérêt national », assure Maha Yahya, analyste au Centre Carnegie pour le Moyen-Orient. Ce discours « doit inclure le rôle du Hezbollah en Syrie, le financement du Tribunal international sur le Liban (TSL, chargé de juger les auteurs de l’attentat contre Rafic Hariri) où cinq membres figurent parmi les accusés, comment calmer la rhétorique anti-saoudienne du Hezbollah, et comment se positionnera Aoun », qui est un allié du mouvement chiite, relève-t-elle.

Categories: Afrique

Claude Chirac affiche son soutien à Juppé et donne des nouvelles de son père

LeParisien / Politique - Sat, 05/11/2016 - 20:33
Elle avait déjà annoncé sa préférence, mais, cette fois, elle s'affiche avec. Claude Chirac, fille de l'ancien président de la République, Jacques Chirac, a confirmé, ce samedi, publiquement, son soutien...
Categories: France

Brexit: silence «embarrassant» de Theresa May après la décision de la Haute Cour

RFI (Europe) - Sat, 05/11/2016 - 20:30
Au Royaume Uni, la décision de la Haute Cour de justice d’obliger le gouvernement à autoriser le Parlement à voter sur le Brexit continue à remuer les passions si bien que face à la violence des critiques à l’encontre des trois magistrats visés, de nombreuses voix demandent désormais au gouvernement de sortir de son silence et de prendre leur défense.
Categories: Union européenne

Nouvelle baisse du pétrole: L’or noir n’arrive pas à enrayer sa chute.

Algérie 360 - Sat, 05/11/2016 - 20:21
Les cours du pétrole ont baissé jeudi pour la cinquième séance de suite, restant au plus bas depuis plus d’un mois dans un marché qui ne parvient pas à se défaire de ses inquiétudes quant à la surabondance générale. Le cours du « light sweet crude » (WTI), référence américaine du brut, a perdu 68 cents à 44,66 dollars sur le contrat pour livraison en décembre au New York Mercantile Exchange (Nymex), après n’avoir connu que des séances de baisse depuis une semaine. A Londres, le prix du baril de Brent de la mer du Nord, qui a observé une évolution semblable, a encore cédé 51 cents à 46,35 dollars sur le contrat pour livraison en janvier à l’International Exchange (ICE). « La pression reste là, faute de voir comment amoindrir l’offre pour le moment », a résumé Carl Larry, de Frost & Sullivan. Les cours, qui évoluent depuis plusieurs jours au plus bas depuis la fin septembre, ont tenté un rebond en début de séance, mais sont vite retombés dans le rouge, faute d’actualité réellement encourageante. Les investisseurs en sont donc revenus au contexte qui plombe le marché depuis la fin de la semaine précédente avec, d’un côté, les doutes sur un accord de baisse de la production au sein de l’Organisation des pays producteurs de pétrole (Opep) et, de l’autre, l’annonce d’un bond massif de presque quinze millions de barils des stocks hebdomadaires de brut aux Etats-Unis. Sur ce dernier plan, « le problème, c’est que les raffineries américaines fonctionnent à une cadence ralentie et ne devraient pas vite reprendre leur rythme habituel », en pleine saison de maintenance, a expliqué M. Larry. « Et si les raffineries ne marchent pas, le pétrole brut n’a nulle part où aller », a-t-il insisté. D’autres analystes notaient aussi que la production américaine risque de rebondir, car beaucoup de producteurs d’hydrocarbures de schiste sont susceptibles d’avoir accéléré leur activité à la faveur de l’embellie des cours en octobre. Ryad monte les prix  Cet essor, sur lequel le marché est désormais totalement revenu, avait suivi l’annonce fin septembre par l’Opep d’un projet d’accord entre ses membres afin de réduire leur production. « Mais il va falloir attendre la fin du mois pour assister à de véritables actions face au niveau de l’offre », a prévenu M. Larry. L’Opep doit encore mettre en oeuvre le texte à l’issue de son sommet du 30 novembre et les doutes règnent actuellement sur sa capacité à le faire: certains de ses membres en sont déjà exemptés, d’autres semblent désireux de l’être et les derniers chiffres en date montrent que l’offre du cartel reste à un niveau sans précédent. Certes, dans les derniers développements en date, l’Arabie saoudite, acteur dominant du cartel, « a relevé ses prix vers ses clients asiatiques et cela peut être perçu comme une manière de témoigner de son engagement à parvenir à une baisse de la production », des tarifs plus élevés supposant une offre moindre, a rapporté Bob Yawger, de Mizuho Securities. Cette actualité a cependant semblé n’apporter qu’un bref soutien au marché, son aspect symbolique ne semblant pas peser très lourd par rapport aux doutes régnant sur la bonne volonté de pays comme l’Irak, deuxième producteur du cartel, pour freiner leur offre. La hausse des tarifs saoudiens « peut être interprétée comme quelque chose d’encourageant, mais cela risque de n’être que le reflet de l’évolution saisonnière des raffineries et non d’un véritable rééquilibrage entre l’offre et la demande », a estimé dans une note Tim Evans, de Citi. De façon plus engageante, « on peut espérer qu’à court terme, des déclarations optimistes de ministres de l’Opep puissent contribuer à relancer un peu les cours avant le sommet du 30 novembre », a-t-il conclu, tout en exprimant son scepticisme sur les effets concrets du projet d’accord à une échéance plus lointaine. Rebond en Asie  Les cours de pétrole ont rebondi jeudi matin en Asie en raison d’achats à bon compte, après une dégringolade due, encore, à une offre surabondante. Vers 05h00 GMT, le baril de light sweet crude (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en décembre, gagnait 37 cents à 45,71 dollars dans les échanges électroniques en Asie. Le baril de Brent, référence européenne du brut, pour livraison en janvier, progressait de 52 cents à 47,38 dollars. Alors que les réserves américaines de brut n’avaient presque enregistré que des semaines de baisse depuis deux mois, surprenant régulièrement les analystes, le ministère de l’Energie a brusquement ramené les investisseurs à la réalité en faisant état d’un bond de quasiment 15 millions de barils lors de la semaine qui s’est achevée le 28 octobre. Cette hausse est la plus forte depuis le début des annonces hebdomadaires en 1982. Elle est en outre 7 fois plus forte que ce sur quoi tablaient les investisseurs. Toute hausse des réserves américaines est interprétée comme une demande morose dans la première économie au monde, dans un contexte de cours plombés par la surabondance globale de l’offre. Les sentiments étaient déjà en berne car on avait de plus en plus de mal à croire en un accord significatif à l’Opep pour baisser la production, a déclaré Alex Furber, de CMC Markets à Singapour. Beaucoup d’analystes sont pessimistes et l’or noir pourrait rapidement tomber à 40 dollars. La surproduction a plombé les cours. Le baril se négociait au-delà de 100 dollars en juin 2014.
Categories: Afrique

ONU : L’Algérie élue à la Commission du droit international.

Algérie 360 - Sat, 05/11/2016 - 19:58

L’Algérie a été brillamment élue pour siéger au sein de la Commission du droit international de l’ONU (CDI) pour un autre mandat de cinq ans.

L’Algérie, qui était en lice pour l’un des huit sièges revenant à l’Afrique, a remporté 160 voix, lors de ce scrutin qui s’est déroulé en un seul tour et qui a enregistré l’élection par l’Assemblée générale des 34 membres composant cet organe onusien chargé de la codification et du développement progressif  du droit international. Il s’agit d’une grande marque de confiance accordée par la communauté internationale à l’Algérie, particulièrement en matière de contribution au développement progressif du droit international.

Le candidat de l’Algérie, le professeur Ahmed Laraba, a été élu, lors de ce scrutin pour un second quinquennat au sein de la CDI.  Professeur de droit international, M. Laraba a également assuré des charges académiques en tant que professeur invité dans de nombreuses universités européennes, et possède une expérience reconnue en matière d’arbitrage international et en tant que conseiller juridique, notamment devant la Cour internationale de justice.

Categories: Afrique

Quand la « kesra » attire les hommes!

Algérie 360 - Sat, 05/11/2016 - 19:08

« Les meilleurs cuisiniers sont  des hommes. » Voilà un dicton qui se confirme, jour après jour, sous d’autres cieux, mais également chez-nous. En effet, il n’existe  plus de barrières, de tabous, ni de préjugés, avec la métamorphose de la société algérienne, se projetant, dans l’ère du progrès et du mieux.  L’on se tourne, désormais, vers l’innovation, parfois et le retour aux  sources, avec une  touche contemporaine, actuelle qui s’inspire, sans doute, de notre vécu, d’une part, et des besoins, de l’heure, de l’autre. Eh oui! Tout est passible de modernisation.

Même les métiers prennent le train de sa « majesté », pour arriver à bon port,  à l’instar de notre mode de vie et tous les aspects liés à nos comportements, y compris les plus  insignifiants. Aujourd’hui,  de plus en plus d’hommes se lancent, dans la restauration qui n’étonne plus, à vrai dire, sauf que ces derniers ont tenu à se distinguer, en investissant, dans des « spécialités » hautement féminines. On n’y va pas par trente-six chemins, quand on aspire à s’affirmer dans un domaine jusque-là « cadenassé » et exclus, estiment tous ces hommes qui pétrissent, façonnent la pâte, pour former des galettes, m’hadjeb, m’ssemen ; des recettes  authentiques aux saveurs du bled.

De nos jours, l’égalité des sexes, la lutte contre la misogynie et la  ségrégation, gagne aussi  les hommes  cuisiniers, qui ne se contentent plus seulement de préparer des recettes faciles, mais également celles jugées, compliquées. Encouragées par une  forte demande, à même de faire de ces mets une spécialité, à part entière, qui met l’eau, à la bouche, de plus en plus de jeunes et moins jeunes découvrent ce filon d’or, se lançant dans ce métier qui attise leur convoitise.

Ce n’est pas étonnant, de voir cette activité gagner les cités et les quartiers, s’érigeant ainsi en  profession qui fait appelle à l’art et la manière, pour mieux  atteindre le consommateur mais aussi exceller dans un domaine particulier qui est celui des plats traditionnels, généralement  préparés par la patronne de maison. Une  chose est sûre, les recettes ancestrales ne semblent plus avoir de secrets pour les  amateurs de l’authentique. Bonne dégustation pour les  amoureux de la « Kesra » et des « M’hadjeb ».

Categories: Afrique

Talaiou El Houriyet de Benflis : y a-t-il un malaise interne ?

Algérie 360 - Sat, 05/11/2016 - 18:39

C’est encore des défections au sein du parti de Benflis, Talaiou el Houriyet (Avant-garde des Libertés). Une saignée qui a commencé au début de l’année, et qui semble bien donner des inquiétudes quant à l’exercice démocratique au sein des partis politiques.

En fait, il existe partout des démissions ou des « départs », voire des grognes et des « divorces » dans tous les partis politiques, comme cela se passe FLN, du RND ou El Islah.

C’est devenu une caractéristique et une tradition bien établie dans le paysage politique national et dans les pratiques partisanes. Mais, le plus grave, c’est cette « tare » qui touche des partis naissants, comme l’AGL, dont le président est un ancien chef du gouvernement, un ancien responsable de FLN et surtout un candidat à la présidentielles.

Selon les dernières nouvelle, la coordination du parti de la commune de Bejaia aurait enregistré la défection de 55 militants et cadres qui ont décidé de claquer la porte. Un mécontentement qui a pour origine la manière dont est géré le parti localement, alors que les élections législatives et municipales pointent à l’horizon.

Selon nos informations, les démissionnaires reprochent au coordinateur de la wilaya désigné par Benflis, et non élu par la base, d’agir « unilatéralement », sans respecter les règles démocratiques et le règlement intérieur.

Ce coordinateur, bombardé chef local du parti, s’est permis, selon les termes de leur déclaration, de « congédier un responsable communal légitiment et démocratiquement élu par la base militante ». Pour les pétitionnaires, la direction du parti observe le mutisme par tous les dépassements sans agir ».

Pour ces cadres mécontents, ce sont les anciennes pratiques révolues qui sont la cause de ces clivages et surtout la « perpétuation » des mentalités autoritaires. D’autres bureaux locaux de ce parti dans cette wilaya pourraient connaître des défections.

Des défections qui s’ajoutent aux démissions d’il y a quelques mois, notamment au sein du comité central, où une dizaine de membres, en majorité des jeunes, ont rendu le tablier. C’était lors de la deuxième session du CC de l’Avant-garde des Libertés. Les raisons invoquées sont les mêmes : le « mépris et le népotisme » pratiqué par ce parti, pour reprendre les termes propres des mécontents.

En décembre 2015, Aissa Bennacer et Rabah Hamoudi, deux membres fondateurs du parti, annoncent avec fracas leur démission à Constantine, suivis par 142 adhérents structurés au sein du bureau local de Zighoud-Youcef.

Dans leur communiqué, ils expliquent ces départs massifs par des « pratiques politiques en totale contradiction avec la vision initiale du parti, la mise à l’écart des véritables militants ou encore la prise de décisions iniques ».
D’autres échos nous parviennent sur le malaise qui caractérise un grand nombre de bureaux locaux et régionaux.

Des échos qui semblent aujourd’hui toucher les instances supérieures du parti, en raison du changement subit du discours de Benflis à l’égard du pouvoir.

Alors que Benflis, son président, s’est efforcé depuis 2014 de tenir un langage dur et radical, basé sur « la vacance du pouvoir » et sur « l’incompétence du gouvernement » et les « périls qui pèsent sur le pays en cas du maintien du système », il semble qu’aujourd’hui, il n’emprunte plus les mêmes termes, ni les mêmes idées.

Pour rappel, Benflis a toujours considéré le quatrième mandat de Bouteflika comme « illégitime », développant un discours d’opposition et une analyse idéologique sur ce substrat. C’est d’ailleurs sous ces prétextes qu’il expliqua la naissance de son parti.

Mais, aux dires des observateurs, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts. Benflis s’est-il assagi ? A-t-il reconnu quelque part que sa démarche n’a aucune chance d’aboutir ? Qu’est-ce qui a changé pour que Benflis change de ton, comme l’ont remarqué des observateurs dans son dernier communiqué à l’occasion de l’anniversaire du 1er novembre 1954 ?

Prépare-t-il ses cadres à l’annonce en janvier prochain de sa participation aux élections législatives, alors qu’il clame depuis toujours que le vote en Algérie est entaché de « fraude massive » et « fausse » la réalité politique et sociale du pays ?

Cependant, à défaut de parler de crise organique, certains pensent que le mouvement de Benflis traîne les maladies « héréditaires » de la praxis politique en Algérie, comme la rupture des liens entre la direction d’Alger et ses organes locaux de la base, pour ne pas dire la mise à l’écart des structures intermédiaires et régionales dans la confection des décisions politiques.

De même, ce parti agréé en septembre 2015, perpétue des pratiques issues du parti unique, d’autant que la majorité de ses adhérents sont issus du FLN ou ont fait un passage au sein de ce parti.

Des pratiques qui vont du népotisme dans le choix et la désignation des responsables au blocage du débat libre et démocratique interne. Pourtant, eux-mêmes disent avoir été victimes de ces pratiques et s’efforcent de combattre ces maux. Le problème, c’est que Benflis lui-même ne reconnaît pas qu’il existe une crise ou un malaise interne, car il estime que les démissionnaires sont « libres dans leurs choix », « libres de partir ou de rester ».

Categories: Afrique

Constantine: La crainte s’installe.

Algérie 360 - Sat, 05/11/2016 - 18:33

A Constantine, les services de sécurité sont en alerte. Un homme a été blessé par balle mercredi à la suite d’une intervention « musclée » des forces de sécurité.

L’homme aurait refusé d’obtempérer aux injonctions des policiers postés au niveau d’un barrage à la ville nouvelle Ali Mendjeli. Connu des services de sécurité, l’homme était recherché pour son implication dans l’enlèvement d’une jeune fille à Alger.

A en croire des sources proches des services de sécurité, après avoir été touché par balle puis arrêté, l’homme serait en bonne santé après avoir reçu les soins nécessaires au niveau d’un centre sanitaire.

Par ailleurs, une vaste opération mettant coude à coude police et armée a été menée avant-hier au lieu dit Chalet des Pins. Deux personnes suspectées d’appartenance à un groupe de soutien aux terroristes ont été interpellées à la suite de ce coup de filet, avant d’être relâchées, apprend-on de même source.

En ces temps où « règnent » les gadgets technologiques, le « radio trottoir » et autres bouche-à-oreille s’avèrent bien désuets face à la rapidité des réseaux sociaux qu’offre la Toile. L’information est désormais vécue presque en temps réelle, à quelques minutes près.
Les habitants du Constantinois renouent malgré eux avec les « rumeurs » et « fracas sécuritaires ».

Après plusieurs années d’une relative accalmie, la capitale de l’Est est plongée depuis au moins une vingtaine de jours dans une atmosphère peu ordinaire et plus encore depuis une semaine, après l’attentat de la cité Ziadia commis par trois individus et qui a coûté la vie à un jeune policier.

Un assassinat qui, de toute évidence, n’a fait que conforter la thèse relayée depuis la mi-octobre quant à la présence sur le territoire de la wilaya d’individus dangereux, dont certains fichés pour leur participation à des actes terroristes.

Bien que quelques heures à peine après ce meurtre une piste aurait été privilégiée par les services de sécurité. Deux hommes répondant aux signalements donnés par des témoins oculaires auraient été identifiés et font actuellement l’objet d’intenses recherches. Ils seraient originaires de la cité Emir Abdelkader, ex- Faubourg Lamy.

Le policier, un agent de l’ordre de 43 ans, avait reçu plusieurs balles à l’heure du diner, alors qu’il était dans un restaurant à quelques mètres du siège du 12e arrondissement de la sureté de wilaya de la capitale de l’Est, où il était de garde. Rappelons que les assaillants s’étaient emparés de son arme de service.

S’en suivra alors la crainte notamment après la diffusion le surlendemain de l’assassinat du policier d’un communiqué attribué à l’organisation criminelle de l’Etat islamique (Daech) revendiquant le meurtre, un communiqué que des observateurs avisés avaient toutefois qualifié de peu fiable dans la mesure où l’information relayée comportait des lapsus.

Cependant, l’attentat n’est pas passé sans laisser de traces. Une atmosphère de vigilance palpable, notamment au vu des mouvements et de quelques changements dans les habitudes des services de police à travers les artères de la ville où gyrophares et sirènes s’invitent plus fréquemment dans le quotidien des Constantinois.

Si des mesures sécuritaires à l’entrée des postes et autres arrondissements ont été renforcées, la fréquence des patrouilles ou encore la prise de mesures qualifiées de tendues au niveau des barrages laissent peu de doute quant au climat de panique qui s’installe.

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Ouargla: Cinq nouveaux cas de paludisme suspectés.

Algérie 360 - Sat, 05/11/2016 - 18:15

Cinq nouveaux cas suspectés de paludisme ont été enregistrés dernièrement dans la wilaya de Ouargla, a-t-on appris samedi des responsables de la direction de la santé, de la population et de la réforme hospitalière (DSPRH).

Ils ont été signalés début novembre dans la localité de Adjaja, dans la commune de Ain El-Beida, à l’Est de Ouargla, a précisé le directeur du secteur. Les personnes concernées, des adultes, ont bénéficié d’une prise en charge médicale au niveau de l’Etablissement public hospitalier (EPH), Mohamed Boudiaf du chef-lieu de wilaya, et leur état est stable, a rassuré Fadel Messadok.

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Présidentielle 2017 : les cadres du PCF refusent de soutenir Mélenchon

LeParisien / Politique - Sat, 05/11/2016 - 18:12
D'un cheveu. La Conférence nationale du PCF refuse le ralliement à Mélenchon pour 2017, allant à l'encontre de Pierre Laurent, secrétaire national du Parti communiste, qui hier tenait conférence de presse...
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