Today, the Hungarian Parliament voted against a draft amendment to the constitution submitted by Prime Minister Viktor Orbán. For him, the amendment was needed to honor the country’s referendum result.
Orbán had submitted the amendment after the failure of his referendum on the 2nd of October. This referendum opposed the European Union refugees resettlement scheme, and was supported by 98 percent of voters but was declared invalid because of a too low voter turnout.
A two-thirds majority was required in order to amend for the seventh time the Hungarian Fundamental Law (constitution). Yet, the draft amendment was rejected with 131 votes in favor, with three voting against and 65 abstaining. In fact, only members of Fidesz, the governing parties, voted for the change which ended up being two votes less than the two-thirds majority needed.
Orbán had hoped to get the votes of members of the far-right Jobbik party, which was also against the European quotas. Yet, in order to give their support, members of the Jobbik party had asked the government to stop selling residency bonds to foreigners.
Those bonds give foreigners and their immediate families Hungarian papers in exchange for buying a five-year government bond worth 300,000 euros. 6,405 Chinese and 497 Russians have already got Hungarian papers under the program. Gabor Vona, Jobbik chairman said the bonds were the « dirty business » of Fidesz. She added « For Fidesz, dirty money is more important than the true security of the country, ».
Orban’s « zero migrants » policies has already led to the building of fences last year on its border with Serbia and Croatia. Before the fences were built, nearly 400,000 migrants and refugees had passed through Hungary on their way to Norther Europe. Today, most human right NGOs have declared the Hungarian asylum system dead.
Le lundi 31 octobre s’est ouvert le procès de Geert Wilders, le président du Parti pour la liberté (PVV). Celui-ci ne s’est pas rendu au tribunal et a affirmé qu’il ne prendrait pas part aux audiences.
Geert Wilders est une figure controversé de monde politique néerlandais : il est connu pour ses propos radicaux contre l’islam et l’immigration et se présente comme le défenseur du peuple néerlandais.
Ce procès concerne des propos tenus par l’élu lors d’un meeting en 2014 : demandant aux personnes au sein du public s’ils veulent « plus ou moins de Marocains ? », lorsque ceux-ci ont crié « Moins ! Moins ! Moins ! » il a répondu « Nous allons nous en charger ». Bien que les Marocains ne représentent que 2% de la population néerlandaise, ils sont les boucs émissaires du populiste. Il affirme qu’ils ne se sont pas intégrés, qu’ils font régner une loi de terreur et profitent des allocations sociales. Son projet est d’interdire le Coran (qu’il compare à ‘Mein Kampf’) et fermer toutes les mosquées du Pays-Bas.
En réaction à ces propos, la police a reçue plus de 6400 plaintes. Il pourrait écoper d’une peine de 2 ans de prison ou d’une amende de 200 000 euros.
Wilders dénonce un procès politique à l’encontre de sa personne ; il ne fait que parler des problèmes du pays ce qui est selon lui un droit et un devoir en tant que politicien.Il évoque les doubles standards dont il est victime car d’autres politiciensont tenu des propos semblables – voir pires – et n’ont pas été inquiétés par la justice. Il explique, dans une vidéo posté sur son site web le premier jour du procès, que ses propos vont à l’encontre de l’élite politiquement correcte et qu’il ne participera pas aux audiences car il va se consacrer au travail « pour [ses] électeurs et pour les Pays-Bas ».
En 2011, Wilders avait déjà comparu devant la justice pour des faits similaires et avait été acquitté. Suite à ses demandes de remplacement des juges, trois nouveaux juges s’étaient emparé de l’affaire et le procès avait pris beaucoup de retard. Il semble garder la même stratégie pour ce procès puisqu’à peine démarré, l’avocat de Geert Wilders accuse la juge Eliane Van Rens d’un biais politique et demande à ce qu’elle soit écartée de l’affaire. Néanmoins, la demande a été rejetée.
À l’époque, les propos du président du PVV avaient été jugés « choquants » et « offensifs », mais pas criminels car ils avaient été émis dans le cadre d’un débat politique sur le multiculturalisme et l’intégration des musulmans. Néanmoins, comme le fait remarquer à juste titre Uri Friedman, dans quel cas de tels propos peuvent-être considérés comme criminels dans la mesure où les discours des politiciens s’inscrivent toujours dans un contexte de débat politique ?
Ce qui pourrait changer cette fois-ci est que Geert Wilders a visé un groupe de personnes spécifique et identifiable : les marocains issus de l’immigration. Une religion est considérée comme relevant du domaine des idées, et la loi laisse plus de place à la critique des idées. Or, lorsqu’il s’agit d’un groupe identifiable de la population, la loi est beaucoup plus stricte.
Le procès a donc repris son cours normalement. Une douzaine d’audiences sont prévues, le verdict devrait tomber avant les élections qui se dérouleront au Printemps 2017. Si Geert Wilders est acquitté, cela risque de lui donner un regain de popularité.
Une rhétorique de la haine et du rejet ne peut constituer ni se substituer à un programme politique : l’acharnement de M. Wilders sur la communauté marocaine est critiquable d’un point de vue moral et factuel. Ces personnes ne représentent d’une minorité de la population des Pays-Bas et la plupart son issu de la deuxième génération. De plus, sur quelles bases légales M. Wilders compte-t-il interdire le Coran ? Ce diagnostic et les solutions proposés sont simplistes, démagogues et concrètement impossible à réaliser. L’ironie des populistes comme Wilders est qu’il se présente comme une alternative à une élite qui ne répond pas aux attentes des citoyens mais lui-même fait des promesses qu’il ne pourra pas tenir.
À ce jour, si le parti de Geert Wilders est effectivement donné favori aux prochaines élections, aucun autre parti politique ne se dit prêt à accepter un gouvernement de coalition avec le PVV.
A török kormány azzal vádolja Németországot, hogy Törökország területi egységének megbontásáért harcoló terrorszervezeteket támogat.
La Banque internationale pour l'Afrique au Congo (Biac), la quatrième banque congolaise, contrôlée par le groupe Elwyn Blattner, a annoncé mardi dans un communiqué sa liquidation volontaire - décision prise en Assemblée générale extraordinaire le 4 novembre selon les informations de JA. La Biac était en grandes difficultés depuis plusieurs mois.
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On 8 November 2016, the Council and the European Parliament asked the Commission to draw up a compromise text to enable them to agree on the 2017 EU budget. At the first conciliation committee meeting on next year's EU budget the Council and the Parliament also got a better understanding of each other's position.
"It is now clear that there is a good chance of reaching a deal on the 2017 EU budget by the end of the conciliation period on 17 November - if the talks focus on what conciliation is about: agreeing a 2017 EU budget that addresses the migration crisis, reinforces security, boosts growth and creates jobs. Let's be pragmatic and use this window of opportunity", said Ivan Lesay, state secretary for finance of Slovakia and President of the Council.
Four major challengesThe presidency also used the conciliation committee meeting to recall the position of the Council in this year's budget talks. From the Council's perspective it is important that the 2017 EU budget
In its draft budget for 2017 the Commission proposed setting the total level of commitments at €157.66 billion and of payments at €134.90 billion.
The Council's position, adopted on 12 September, amounts to €156.38 billion in commitments and €133.79 billion in payments.
The Parliament asks for total commitments to be increased to €162.42 billion and total payments to €138.03 billion. This is at least €3.26 billion in commitments above the MFF ceilings.
As regards staff numbers, according to the methodology applied equally by the Commission to all institutions, the Council and the Commission will have reduced their establishment plan posts by 5.0% between 2013 and 2017; by contrast, the Parliament with its position adopted on 26 October took itself further away from achieving the agreed target by limiting the reduction of its staff to 2.3%.
Next stepsThe next meeting of the conciliation committee will take place on 16 November. An Ecofin/Budget Council will meet on the same day to provide the presidency guidance for the talks with the Parliament. If no deal is found by the end of the conciliation period on 17 November the Commission has to present a new draft budget for 2017. If no budget is adopted at the beginning of 2017 only one twelfth of the resources in the 2016 budget or of the amounts proposed by the Commission for 2017, whichever is smaller, can be spent each month.