Samedi 13 janvier, les citoyens tchèques se rendaient aux urnes pour le premier tour de l’élection présidentielle.
Quelle place occupent les céréales au sein des enjeux géopolitiques et économiques de la force agricole russe, et plus particulièrement le blé ?
Ces terres russes ont toujours été des greniers pour le monde. La Russie dispose d’environ 33 millions d’hectares de terres noires, soit près de 15% de sa superficie agricole totale. En dépit d’un climat défavorable et d’un manque d’eau réel, la Russie peut donc compter sur ses sols remarquablement fertiles pour développer son agriculture et sa production céréalière. Les ressources en hydrocarbure tout comme les denrées agricoles vont ainsi participer au redressement du pays. Secouée par la crise financière internationale à partir de 2009, l’économie russe est sévèrement touchée depuis 2014 par la chute brutale du prix du pétrole et du gaz. En effet, même si le cours des céréales s’est lui aussi affaissé depuis quelques années, il n’en demeure pas moins que le potentiel agricole russe s’exprime pleinement. Entre 2000 et 2017, le pays aura produit environ 1580 millions de tonnes (Mt) de céréales, avec un record historique battu en 2017 avec 130 Mt, un chiffre ainsi supérieur à celui de la récolte de 1978 (127 Mt). Parmi ces céréales, le blé figure comme l’élément clef d’une nation russe qui s’est toujours mobilisée pour cette denrée agricole stratégique pour la sécurité alimentaire tant nationale que mondiale. Il est récolté à hauteur de 60 à 70 Mt désormais, bien devant les autres productions céréalières que sont l’orge (15 à 20 Mt) et le maïs (15Mt). La Russie est redevenue la première puissance exportatrice de blé, détrônant dans ce classement le rival américain, qui en était le leader depuis les années 1930.
Pourquoi les efforts de la Russie dans le développement de son agriculture nationale ont-ils renforcé la compétition entre les grands greniers de la planète ?
Aux sanctions commerciales de Washington et de Bruxelles mises en place pour condamner la politique de la Russie en Crimée, le Président Vladimir Poutine riposte par un embargo à l’encontre des produits agricoles et alimentaires en provenance des États-Unis et de l’Union européenne, mais également de l’Australie et du Canada. Ce dispositif, toujours en vigueur, s’est depuis traduit par deux conséquences. Tout d’abord, la fermeture du marché russe a perturbé les performances agricoles européennes et intensifié les concurrences intra-communautaires tout en provoquant l’approfondissement de relations agro-commerciales avec d’autres pays de la planète dont les exportations vers la Russie se sont renforcées (Turquie, Chine, Brésil, Maroc, Argentine). Ensuite, l’embargo a impacté le secteur agricole russe, avec des filières comme le lait et les viandes où les productions se sont nettement amplifiées, au grand dam de pays européens, comme la France, autrefois fournisseurs nets de ces aliments pour les populations russes. Si les grains de Russie prennent essentiellement les routes pour la Turquie, l’Iran, la Syrie et surtout l’Égypte, ils se sont frayés un chemin de plus en plus large au Maghreb et tentent de rejoindre davantage les destinations africaines qui demain représenteront des marchés encore plus importants. Nul doute que si les opérateurs russes accentuent les manœuvres dans ces zones convoitées, la compétition se renforcera entre grands greniers du globe.
Quels sont les ressorts qui expliquent le succès du blé russe vers les marchés orientaux et africains ?
Sur la période 2000-2017, la Russie aura placé 350 Mt de céréales sur les marchés internationaux, représentant des ventes de 75 milliards USD environ. Moscou s’est évidemment tourné vers ces marchés pour imprimer son retour au premier au sein du commerce mondial de grains. Plus récemment, après avoir réussi à placer des quantités de blé dans les pays du Maghreb, notamment au Maroc, la Russie s’est activée sur le continent africain où les besoins augmentent. Avec des caractéristiques techniques correspondant bien aux besoins et aux attentes des cahiers des charges de chaque marché national, la Russie s’avère capable de vendre beaucoup de céréales avec une pluralité de qualités. C’est bien cette double performance productive qui nourrit le développement commercial entre la Russie et de nombreux États de la zone Afrique du Nord et Moyen-Orient (ANMO). Il convient d’ajouter à cela une diplomatie céréalière savamment orchestrée par Moscou. L’exemple emblématique provient des rencontres avec les autorités de l’Égypte, première nation importatrice de blé au monde (plus de 10 Mt en moyenne par an). Alors que les États-Unis avaient dominé ce marché pendant de longues années, au point que l’expression d’arme alimentaire fut souvent employée pour caractériser le robinet céréalier entre Washington et Le Caire, c’est la Russie qui assure en moyenne 60 à 80% des approvisionnements de l’Égypte depuis le milieu de la décennie 2000. Cette priorité donnée à ce secteur dans la coopération bilatérale se traduit par une plus forte robustesse du commerce céréalier réalisé par des opérateurs publics et privés, auquel s’ajoute des investissements russes en Égypte pour y construire des silos de stockage ou développer des infrastructures portuaires. Ce qui vaut au niveau présidentiel vaut bien entendu aux étages inférieurs, mais tout aussi stratégiques. Dernier exemple en date, la tournée au Maghreb du Premier ministre Dimitri Medvedev, lui-même grand défenseur d’une approche géopolitique avec l’agriculture de son pays. À l’automne 2017, à Alger comme à Rabat, les questions céréalières s’associaient à celles de défense et d’armement au menu des discussions. Moscou cherche très clairement à s’implanter durablement dans ces marchés marocains, algériens et tunisiens, traditionnellement plus connectés à l’Europe, à la France ou aux États-Unis. Son offre quantité-qualité-prix présente une compétitivité redoutable pour ces puissances céréalières « occidentales ». Depuis 2015, l’intensification des relations céréalières entre la Russie et le Maghreb est notable. Et les premiers signaux se font ressentir d’une conquête à venir de marchés africains céréaliers, aujourd’hui encore peu orientés vers les origines russes.
Wilson, FD Roosevelt, Kennedy, Reagan : tous ces présidents américains ont conduit la politique étrangère de leur pays en revendiquant son leadership sur le monde ou - tout du moins - sur le camp occidental.
El primer año de la presidencia de Donald Trump ha sido negativo en materia climática. Se necesita mayor ambición para cerrar la brecha entre los objetivos climáticos y las acciones de mitigación determinadas a nivel nacional.
Institutionalized Nordic cooperation is currently facing doubts about its political significance. Lately, the Nordic countries Denmark, Finland, Iceland, Norway and Sweden have experienced tensions and open differences of opinion which have hampered cooperation within the joint organizations. Against this background, the intergovernmental Nordic Council of Ministers, in particular, is currently undergoing a reform process aimed at re-establishing its political relevance. Although it is increasingly being institutionalized, particularly with regard to EU issues and sensitive political topics such as migration, Nordic cooperation is only gradually being substantially strengthened. Nevertheless, this realignment has the potential to secure the cooperation’s future political relevance. Old and new bilateral and multilateral partnerships could contribute to this, especially those with Germany and the Baltic states.
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An IPI policy forum considered how to operationalize UN Security Council Resolution 2286, which condemned attacks against medical facilities and personnel in conflict situations and called on all parties to adopt practical measures to prevent and end violence against medical care and ensure accountability for violations. The January 16th discussion took place over a year and a half after the adoption of the resolution.
Attacks on healthcare workers and facilities touch “on the very basis of humanity and are at the core of humanitarian law,” Jürg Lauber, Permanent Representative of Switzerland to the UN, said in opening remarks. He lamented that despite the adoption of the resolution in 2016, the rising trend of attacks on healthcare had not been reversed.
He also said that while terrorist groups posed a problem, it is essential to “ensure that counter-terrorism measures do not have adverse effects on the implementation of resolution 2286.”
“Counter-terrorism measures can put limitations on the provision of impartial healthcare in areas where groups labeled as terrorists are present.” he said. To illustrate where access to healthcare in conflict areas had been compromised, he offered the examples of “targeting and arresting healthcare workers, or deliberately denying assistance to the wounded and sick, if they are affiliated with listed armed groups or groups that are labeled as terrorists.”
Els Debuf, Deputy Head of Regional Delegation for Southern Europe, International Committee of the Red Cross (ICRC) and former Head of Humanitarian Affairs at IPI, presented highlights of a report she compiled with Alice Debarre of IPI, noting that 2286 was a landmark resolution and was having a positive effect even if it is hard to see that on the ground. ”We have a strong resolution and a strong framework that is battle-tested and still relevant,” she said.
Dr. Debuf said there were already a large number of mechanisms that could be used to investigate attacks on healthcare, and the report detailed them and their application. “We don’t need new mechanisms, we need to use existing mechanisms more systematically and strategically,” she said.
The report also considers the purpose of conducting investigations, listing prevention, accountability, justice for the victims, and dispute resolution among the motivating factors, and spurring political action as one key outcome.
The report puts forward key recommendations for the international community to implement the resolution, beyond just paying lip-service to an important issue, or “to walk the talk,” as she described it. Most require member state initiative: providing resources to those working on the ground, following up with the necessary political support to be successful, and establishing a platform that makes possible the regular interaction with other stakeholders.
Christine Monaghan, Research Officer, Watchlist on Children and Armed Conflict, said that civil society has “an important role to play in holding groups accountable after attacks.” She argued that “the mere spectre of accountability can serve as a preventative measure.”
Luis Bermúdez Alvarez, Deputy Permanent Representative of Uruguay to the UN—which has just finished two years as a member of the Security Council—said the Council “has a legal and moral responsibility to do everything in its power to avoid the violation of the most basic human rights, including access to healthcare.” He added, “We must be realistic; the attacks will not stop, but we must do a lot more in order to get them reduced.”
Jason Cone, Executive Director, Médecins Sans Frontières/Doctors Without Borders (MSF), said that recent events in Syria, Yemen, Afghanistan, and the Central African Republic remind us of the human toll of those trapped in conflict zones.
He listed three priorities for his organization to function: countering the “criminalization” of healthcare; negotiating the terms of deconfliction, and undertaking independent fact-finding. “We need to be able to identify what happened and how so that groups such as MSF can establish if it is safe to return to work in the area,” he said.
Adam Lupel, IPI Vice President, moderated the conversation.
En menaçant les autres parties prenantes de l’Accord sur le nucléaire iranien d’un retrait unilatéral des Etats-Unis en l’absence de renégociation, Donald Trump s’inscrit dans une certaine continuité. Mettre en œuvre la politique étrangère qu’il avait promise à son électorat et à ses soutiens internationaux 1 an plus tôt, et cela au mépris des engagements internationaux de son propre pays, de la normalisation des relations diplomatiques et in fine, de la stabilité et de la sécurité internationale. Pour nous éclairer, le point de vue de Thierry Coville, chercheur à l’IRIS
Quelle est la stratégie des États-Unis en voulant intégrant des enjeux – programme balistique, droits de l’homme, géopolitique régionale – ne faisant pas initialement partie des pourparlers de l’Accord, après l’annonce de Donald Trump sur une ultime reconduction de la suppression des sanctions à l’égard de l’Iran ?
L’interrogation porte avant tout sur la stratégie de Donald Trump. Ses prises de décision concernant la certification de l’Accord sur le nucléaire iranien sont très liées à son avis personnel sur l’Accord voir ce qu’il pense de l’Iran tout simplement. Il est peu probable que le ministre des Affaires étrangères ou encore le responsable de la sécurité nationale auraient affiché ce type de position.
Les États-Unis ont un certain nombre de griefs à l’égard de l’Iran qui sont liés à son programme balistique, à la question des droits de l’homme ainsi qu’à la politique régionale de l’Iran. En affirmant continuellement son hostilité à l’égard du pays et le fait qu’il soit une menace pour la paix et la sécurité, Donald Trump entretient un discours radical, il ne supporte pas le caractère gagnant de l’accord qui a contribué à sa signature, il est dans une perspective de gain absolu face ce qu’il désigne comme un ennemi prioritaire.
Or il s’agissait d’un bon accord avec l’Iran et les « 5+1 » à savoir le Conseil de sécurité des Nations Unies et l’Allemagne. D’un côté, il a permis à l’Iran d’enrichir de l’uranium, ce que le pays demandait, mais ce qui n’était pas la ligne initiale des Occidentaux. De l’autre côté, il permet un certain nombre de garanties afin qu’il n’y ait pas de militarisation du programme.
Pour bien des observateurs, cette volonté de remettre en cause l’Accord s’inscrit dans une démarche plus large de détricotage systématique de l’action de Barack Obama notamment à l’international comme on a pu le constater sur d’autres dossiers. Il souhaite intégrer dans cet Accord tous les griefs qu’ont les États-Unis contre l’Iran, mais ça ne tient pas la route du point de vue du droit international. Il a été signé en juillet 2015 puis confirmé par une résolution des Nations unies du Conseil de sécurité et donc par un président américain.
Il ne faut également pas oublier qu’il y a eu tout un processus : si l’Iran ne respecte pas ses obligations, de nombreuses procédures automatiques de sanctions sont prévues. Cependant, force est de constater que l’Agence internationale pour l’énergie atomique (AIEA) confirme que l’Iran respecte bien l’Accord. C’est là que se dévoile le caractère quasiment illégal de ce que demande Trump. Il y aurait alors le sentiment que n’importe quel accord ou traité multilatéral peut être balayé du jour au lendemain.
Les États-Unis porteraient de lourdes séquelles en termes de crédibilité. Sans compter qu’ils font face à une crise sur le nucléaire nord-coréen. S’il abandonne l’Accord, leur crédibilité sur le dossier nord-coréen serait nulle.
En faisant beaucoup de gesticulations diplomatiques et en rajoutant en parallèle des sanctions contre l’Iran, Donald Trump accroît l’incertitude avec les entreprises étrangères qui veulent travailler avec l’Iran. Cela consisterait à ce que l’Iran ne tire pas de bénéfices économiques et éventuellement cela pourrait déboucher sur une réaction iranienne du type « si les bénéfices de cet accord ne sont pas perceptibles et bien autant en sortir ».
L’objectif des États-Unis serait d’amener l’Iran à hausser le ton, puis à la faute. Ils sont contre l’Accord mais ils savent très bien que la crédibilité de leur pays peut être engagée s’ils s’en retiraient les premiers. En limitant les bénéfices économiques de l’accord, ils poussent l’Iran à s’en retirer sans prendre le risque de le faire unilatéralement.
Quelles sont les positions des autres acteurs de l’Accord (Plan d’action global commun), notamment l’Union européenne, et les enjeux d’une rencontre des ministres des Affaires étrangères prévue à Bruxelles le 22 janvier prochain ?
Ils tiennent tous à cet Accord, et il n’est certainement pas prévu de le renégocier. Du côté européen, les positions françaises, anglaises et allemandes sont très claires. Après l’interrogation porte sur la capacité des Européens à maintenir ce discours de fermeté sur la durée. L’Europe pourrait éventuellement ouvrir d’autres canaux de discussions annexes à l’Accord pour éventuellement « calmer » Donald Trump, notamment sur le programme balistique ou le rôle de l’Iran dans la région.
Cependant un tel scénario paraît très peu probable, car l’Europe n’a aucun intérêt à jouer les intermédiaires entre l’Iran et les États-Unis. Elle doit penser ses intérêts propres en continuant d’approfondir sa normalisation des relations avec l’Iran. Cette position d’intermédiaire entre Téhéran et Washington n’est pas souhaitable et est même risquée, car cela pourrait conduire à un affaiblissement diplomatique de l’Union européenne vis-à-vis de l’Iran.
Les franges les plus conservatrices du régime accusent déjà les Européens d’être le cheval de Troie des États-Unis. Or, si l’on est majoritairement apprécié dans le pays, c’est avant tout parce que la politique étrangère française est jugée indépendante par rapport aux Américains.
Si l’Iran ne compte pas remettre en cause son programme de missiles pour des questions de souveraineté nationale, les gardiens de la Révolution seraient par exemple ouverts à une discussion sur la portée. Certes, cela ne mènerait pas à un nouvel accord, mais à une potentielle entente dans ce domaine entre les Iraniens et les Européens.
Cette menace de renégociation ou de sortie unilatérale par les États-Unis n’affaiblit-elle pas davantage les réformateurs iraniens vis-à-vis des clans les plus hostiles à l’Accord ? Un cadre propice à d’éventuelles discussions sur ce dossier peut-il se dessiner en Iran ?
Il est encore trop tôt pour anticiper ce que sera la position américaine dans 3 mois. S’il y a un retrait unilatéral des États-Unis comme sur d’autres dossiers multilatéraux, cela affaiblira considérablement la crédibilité de leur diplomatie. Cela serait d’abord un coup de boutoir porté à leur encontre.
Concernant l’Iran, qu’il s’agisse des modérés ou des conservateurs, il ne faut pas grossir les traits des positions de chacun sur ce dossier. Tous les clans tiennent en réalité à cet Accord pour la simple et bonne raison qu’il a été ratifié et qu’il est à l’heure actuelle toujours respecté.
Concernant les réactions iraniennes, elles ne sont pas encore connues. Ceci étant, le 1er conseiller de Rohani a annoncé qu’il existait « un plan B ». Sur le plan international, il est clair que cela mettrait l’Iran en position de force, car les USA sortiraient de l’accord sans raison objective.
Dans un tel scénario, la position de l’Europe serait déterminante, l’enjeu serait sa capacité à maintenir l’Accord, ce qui serait une bonne politique.
Si la situation actuelle devait déboucher sur une crise, Rohani devrait faire face au clan des « durs » qui auront beau jeu de dénoncer le fait que l’accord n’aura rien apporté aux pays sur le plan économique et que les États-Unis n’ont jamais été dignes de confiance.
Il pourrait néanmoins résister à ces attaques, car la position américaine apparaitrait comme totalement caduque sur le plan du droit international tout en montrant les bénéfices économiques de l’Accord et l’intérêt de le maintenir. Il faut également prendre en compte le large soutien de la population envers sa politique de normalisation. Les Iraniens sont également conscients du poids des sanctions américaines dans la morosité de la conjoncture économique et sociale.
Néanmoins, une orientation privilégiée pour le maintien de l’Accord passerait par un approfondissement des relations économiques avec l’Iran avec l’assurance que les sociétés européennes peuvent y faire des affaires sans courir le risque de sanction ce qui est actuellement très compliqué.
Les élections législatives allemandes du 24 septembre dernier ont obligé le parti d’Angela Merkel à rechercher un nouveau partenaire de gouvernement.
Dominique Reynié, directeur général de la Fondation pour l’innovation politique, était l’invité de Marie-Laetitia Bonavita dans l’émission Conversation sur le Figaro Live. En se basant sur les résultats de l’enquête internationale Où va la démocratie ?, réalisée dans 26 pays, Dominique Reynié a notamment évoqué les doutent des Européens quant à la validité des modèles démocratiques occidentaux. L’intégralité de l’émission […]
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El clamor por tener una respuesta a la crisis en Venezuela será mucho más intenso en 2018, con el agravamiento de la situación económica (hiperinflación, desabastecimiento y endeudamiento) y con un drama humanitario que se agrava por momentos.
El primer año de Trump ha sido menos dañino para el sistema multilateral de comercio de lo que se temía, pero también nos ha permitido ver que la Administración estadounidense tiene un claro interés en aislarse cada vez más del resto del mundo.
Le contexte international, marqué par les errements de Donald Trump ou l'affaiblissement politique de l'Allemagne et le Brexit, définira la ligne internationale du chef de l'Etat plus encore que ce qu'il veut faire.