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Diplomacy & Defense Think Tank News

Internationale Führung in der Klimapolitik nach der COP23

SWP - Fri, 02/02/2018 - 00:00

Das Ergebnis der 23. UN-Weltklimakonferenz (COP23) im November 2017 in Bonn lässt sich bestenfalls als mittelmäßig bezeichnen. Die Teilnehmenden haben über zahlreiche technische Fragen verhandelt und die politischen Risiken eingehegt, die von der Ankündigung der USA ausgehen, aus dem Paris-Abkommen auszutreten. Allerdings gelang es nicht, die von den USA hinterlassene Lücke in der internationalen Klimadiplomatie zu schließen. Die fidschianische Präsidentschaft richtete ihre Aufmerksamkeit auf die Themen Anpassung an den Klimawandel, klimabedingte Verluste und Schäden sowie Klimafinanzierung, war damit jedoch nur teilweise erfolgreich. Der Auftritt Chinas war enttäuschend, da Peking seinem angemeldeten Führungsanspruch nicht gerecht wurde. Mit Blick auf die im Jahr 2018 anstehenden Beschlüsse zum Paris-Abkommen reklamierte die EU in Bonn erneut eine klimapolitische Führungsrolle. Sie strebte zwar keinen Alleingang an, doch trat sie auch nicht durchgängig als konstruktiver Brückenbauer auf. Angesichts des dringenden Bedarfs, die Regeln zur Umsetzung des Paris-Abkommens zu verabschieden, sollten die EU und ihre Mitgliedstaaten – allen voran Deutschland und Frankreich – im Vorfeld der nächsten COP in Kattowitz (Polen) 2018 eine engere Zusammenarbeit mit strategischen Partnerländern suchen, insbesondere mit China, Indien und den verwundbaren Entwicklungsländern.

Combattre l’ingérence électorale en ligne

Institut Montaigne - Thu, 01/02/2018 - 17:32
Combattre l’ingérence électorale en ligne Institut Montaigne jeu 01/02/2018 - 17:32

L’ingérence en ligne est une nouvelle menace qui pèse sur un nombre croissant de démocraties en période électorale.

Crise des opiacés : Donald Trump face aux failles du système de santé

Institut Montaigne - Thu, 01/02/2018 - 17:00
Crise des opiacés : Donald Trump face aux failles du système de santé Institut Montaigne jeu 01/02/2018 - 17:00

Dans son discours sur l’état de l’Union, le président Donald Trump a à nouveau promis de s'attaquer au problème de la crise des opiacés, renouvelant une promesse restée sans suite depuis octobre dernier.

Geburts- und Todestage im Februar 2018

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 01/02/2018 - 15:05

04.02.1958   
60. Todestag Karl Bickleder

05.02.1943 
  
75. Geburtstag Ernst Hinsken

12.02.1878  
 
140. Geburtstag Franz Sperr

19.02.1993 
  
25. Todestag Ernst Günther Kray

25.02.1928  

90. Geburtstag Hans Stützle

28.02.1898 
  
120. Geburtstag Wilhelm Stegerer

Cybersicherheit: "Transatlantic Cybersecurity Partnership" zwischen HSS und American Institute for Contemporary German Studies gestartet

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 01/02/2018 - 10:28

Deutschland und die USA sehen sich den gleichen Sicherheitsbedrohungen im Cyberraum, oftmals durch die gleichen Akteure, ausgesetzt. Konkrete Sicherheitsbedrohungen bestehen einerseits darin, durch Aktivitäten im Netz den demokratischen Prozess im Kontext von Wahlen beeinflussen zu wollen, vor allem über Social Media. Andererseits finden tagtäglich Cyberangriffe auf staatliche und militärische Institutionen diesseits und jenseits des Atlantiks statt. Bislang fehlende gesetzliche Grundlagen (national wie international) erschweren zudem den Umgang mit den Cyberbedrohungen. Da der Cyberraum „grenzenlos“ ist, bedarf es eines offenen, internationalen Dialogs. Darüber hinaus müssen staatliche und nichtstaatliche Akteure (u.a. Techfirmen) Antworten auf gemeinsame Bedrohungslagen finden.

Die Akademie für Politik und Zeitgeschehen der Hanns-Seidel-Stiftung (HSS) und das American Institute for Contemporary German Studies (AICGS) der Johns Hopkins University in Washington D.C. haben daher die „Transatlantic Cybersecurity Partnership“ ins Leben gerufen. Diese soll dem deutsch-amerikanischen Dialog über Cybersicherheit eine Plattform bieten. Konkrete Ziele sind:

  • Ein verbesserter Informationsaustausch zwischen Deutschland und den USA im Bereich Cybersicherheit,

  • ein tieferes gegenseitiges Verständnis zwischen deutschen und amerikanischen Entscheidungsträgern sowie zwischen staatlichen und nichtstaatlichen Akteuren,

  • die Förderung von analysebasierten Lösungsansätzen für Bedrohungen im Cyberraum,

  • die Förderung des politischen Diskurses in beiden Ländern hinsichtlich der gesetzlichen Grundlagen, Standards, Infrastruktur sowie Frühwarn- und Risikomanagement-Systeme,

  • das Erarbeiten konkreter Handlungsempfehlungen für deutsche und amerikanische politische Entscheidungsträger

Intérêt général : que peut l‘entreprise ?

Institut Montaigne - Thu, 01/02/2018 - 10:14
Intérêt général : que peut l‘entreprise ? Institut Montaigne jeu 01/02/2018 - 10:14

L’Institut Montaigne réunissait un panel de cinq personnalités pour débattre du lien entre entreprise et intérêt général. Cet échange a vocation à alimenter les réflexions gouvernementales en cours sur cette question, dans le cadre de la mission “Entreprise et intérêt général” lancée le 5 janvier dernier.

​Jean-Marc Daniel, économiste, Elizabeth Ducottet, présidente-directrice générale de Thuasne, Marylise Léon, secrétaire nationale de la CFDT, Charles-Edouard Vincent, fondateur d’Emmaüs Défis et de Lulu dans ma rue ainsi que Serge Weinberg, président du Conseil d’administration de Sanofi, ont donné leur avis sur le rôle et les missions de l’entreprise dans notre pays.

Les échanges étaient animés par Julien Damon, professeur associé à Sciences Po et auteur de l’ouvrage Intérêt général : que peut l'entreprise ?. Retrouvez les quatre points à retenir de cette matinée.

1. Les salariés ont une perception globalement positive de la prise en compte de l’intérêt général par leur entreprise.

Une grande majorité des salariés français considère que l’action de leur entreprise va dans le sens de l’intérêt général. Ce chiffre révèle un paradigme clair, où il est désormais manifeste que l’Etat n’a plus le monopole de l’intérêt général. Le terme d’entreprise signifie “prendre à plusieurs”, la notion est donc intrinsèquement liée à celle d’intérêt général. Une entreprise, pour survivre et se développer, doit participer à l’évolution de son écosystème. De leur côté, les salariés sont attachés à leur entreprise et attendent d’elle qu’elle s’inscrive dans un environnement, un territoire, une démarche citoyenne. Le chef d’entreprise, quant à lui, vit son métier comme une composante du contrat social. Si l’intérêt collectif et social est déjà dans les gènes de l’entreprise, il est indéniable que l’opinion publique, les salariés et les pouvoirs publics en attendent encore davantage.

​2. L’intérêt général peut cependant avoir des acceptions et des perceptions multiples.

La perception de l’intérêt général est multiple. Elle diffère selon les acteurs : chefs d’entreprises, pouvoirs publics, société civile, etc. Pour un chef d’Etat, la participation de l’entreprise à l’intérêt général réside dans la création d’emplois, la stimulation du pouvoir d’achat. Les entrepreneurs ont, quant à eux, le sentiment de créer, de protéger des emplois et considèrent que les actions de leur entreprise prennent en compte l’intérêt général. Leur activité contribue, par essence et via ce soutien à l’emploi, à l’intérêt général. Les chefs d’entreprises ou les salariés ont une vision différente des finalités de l’entreprise, d’abord perçue comme devant générer un profit et créer des biens ou des services utiles pour ses clients. Cette dimension n’exclut en aucun cas leur contribution à l’intérêt général.

Les quatre piliers de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) témoignent eux-mêmes de l’ambiguïté des termes, puisque la RSE regroupe :

  • la formation et le développement des compétences ;
  • la participation à la promotion du design et des start-up ;
  • le rapport à l’environnement ;
  • le rapport au monde académique.

Enfin, la difficulté d’appréciation de l’intérêt général fait écho à la délicate évaluation de l’impact social des entreprises. Une entreprise peut avoir une activité très vertueuse mais un tout petit impact.

3. La question du profit des entreprises n’est plus taboue, elle vient éclairer différemment la notion d’intérêt général.

Pour de nombreuses entreprises françaises, la performance économique, permettant elle-même l’accès aux marchés internationaux, est la condition de la pérennité du lien entre l’activité et l’attachement au territoire. L’entreprise a besoin de se développer à l’international pour pérenniser l’emploi national. La recherche du profit est elle-même plus complexe que le simple fait de gagner de l’argent à court terme. Pour certains secteurs d’activité, les investissements sont réalisés dans des perspectives à 5, 10 ou 15 ans. Le but du profit est de préparer l’avenir (en investissant) et de récompenser le passé (le profit est le fruit des choix réalisés dans le passé). Mais les sens que l’on donne au profit ou à la responsabilité sociétale des entreprises évoluent avec le temps. En bref, si la question du profit ne fait plus débat, elle porte plutôt sur la manière dont les profits sont réalisés et la façon dont il faut les partager. Le profit est sain lorsqu’il permet de transmettre, de durer, de pérenniser l’activité.

4. Toute évolution du Code civil vers une plus grande prise en compte de l’impact social des entreprises doit être pensée à l’aune des dispositifs existants.

La dernière modification de l’article 1832 du Code civil sur les fondements de l’entreprise date de 1985. Dans de nombreux domaines, la multiplication des normes et des obligations peut s’avérer dangereuse. C’est pourquoi il faut veiller à ce que toute évolution du Code civil ne pénalise en rien l’efficacité des entreprises. Si le débat autour de la RSE porte effectivement sur l’arbitrage entre volontariat et obligation, cette notion a déjà envahi la réalité des entreprises et le monde des investisseurs. Les grands fonds exigent des entreprises qu’elles se comportent comme des citoyennes. Le mouvement est lancé : les entreprises initient de nombreuses actions qui ne s’inscrivent pas dans le processus traditionnel de production mais vont bien au-delà. L’introduction de concepts juridiques flous pourrait créer une incertitude, des risques juridiques, au moment même où des efforts sont réalisés pour permettre aux entreprises d’être stabilisées dans leur environnement juridique et fiscal. Toutefois, certaines voix s’élèvent pour que la place particulière des salariés soit mieux reconnue et que le Code civil prenne davantage en compte les impacts sociaux et environnementaux des entreprises.

 

Revoir la conférence en vidéo.

Blanc 12 février 2018 Activé Intérêt général : que peut l'entreprise ? Quel rôle l’entreprise doit-elle occuper dans nos sociétés contemporaines ? Quelles sont ses missions fondamentales et comment les articuler au mieux avec l’intérêt général ?  interet general rse entreprise Ouvert Non Non

Historische Ereignisse im Februar 2018

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 01/02/2018 - 08:59

08.02.1998 vor 20 Jahren

Drei Volksentscheide in Bayern
Bei drei gleichzeitig durchgeführten Volksentscheiden wurden die Aufnahme neuer Grundrechte und Staatsziele in die Bayerische Verfassung (75%) und die Reform von Landtag und Staatsregierung (73,9%) angenommen. Die Zahl der Landtagsabgeordneten wurde ab der 15. Wahlperiode von 204 auf 180 Sitze verringert. Mit 69,2% der Stimmen votierten die Wähler zudem für die Abschaffung des Senats zum 01.01.2000.


22.02.1943 vor 75 Jahren

Hinrichtung der Geschwister Sophie und Hans Scholl
Am 18. Februar wurden die Geschwister Scholl bei der Verteilung von Flugblättern gegen das Nazi-Regime verhaftet. In den folgenden Tagen, Wochen und Monaten des Jahres 1943 wurden Hans  und Sophie Scholl sowie weitere Mitglieder der "Weißen Rose" hingerichtet.

Un análisis de los atentados terroristas en Barcelona y Cambrils

Real Instituto Elcano - Thu, 01/02/2018 - 08:25
ARI 12/2018 - 1/2/2018
Fernando Reinares y Carola García-Calvo

Miembros de una célula formada en Ripoll por nueve jóvenes y adolescentes musulmanes de segunda generación, radicalizados por un imán con pasado yihadista y movilizados a favor de Estado Islámico, ejecutaron en agosto de 2017 dos atentados que distaron de ser los ambiciosos y mortíferos actos de terrorismo inicialmente planeados.

Sistema de Indicadores de la Distancia entre Imagen y Realidad (SIDIR). Análisis del caso español. Cuarta edición 2017

Real Instituto Elcano - Thu, 01/02/2018 - 02:58
1/2/2018
Carmen González Enríquez y José Pablo Martínez Romera

El objeto de este informe es presentar la diferencia entre la realidad española y la evaluación de España realizada por la opinión pública internacional, identificando aquellos aspectos en los que la realidad del país es mejor que su imagen exterior.

An Atmosphere of Growing Political and Societal Instability in Ukraine

SWP - Thu, 01/02/2018 - 00:00

For some time now, both Ukrainians and foreign observers have been inquiring whether the time is right for a ‘Third Maidan’. The protests that took place on 17 October 2017 and in subsequent weeks were not the beginning of anything larger. Rather, they were initiated primarily by political actors and did not have the potential for mass mobilization. However, these protests convey important messages about the political and societal situation in the country. Against the backdrop of developments in recent years, they are a sign that the situation could heat up dangerously in the coming months.

Georgien positioniert sich auf Chinas neuer Seidenstraße

SWP - Thu, 01/02/2018 - 00:00

In Georgien wachsen Bedeutung und Präsenz Chinas. Die Belt-and-Road-Initiative, Pekings Vision einer neuen Seidenstraße, findet hier regen Anklang – anders als in mancher westeuropäischen Hauptstadt, wo das Vorhaben eher zurückhaltend bis skeptisch betrachtet wird. Die Regierung in Tbilisi ist bestrebt, das Land als wesentliches Teilstück des südlichen eurasischen Korridors zu positionieren. Um künftig von den Handelsströmen zwischen China und Europa zu profitieren, hat Georgien eine Reihe von Maßnahmen auf den Weg gebracht. Als erstes Land im eurasischen Raum schloss es 2017 ein Freihandelsabkommen mit China ab. Große Infrastrukturprojekte sollen den Transit erleichtern. Formate wie das »Tbilisi Belt & Road Forum« nutzt Georgien zudem zur Standortwerbung. Ob die Seidenstraße für das Land nur Win-win-Situationen schafft, muss die Zukunft aber erst noch zeigen.

Les Trois Donald Trump

Institut Montaigne - Wed, 31/01/2018 - 18:47
Les Trois Donald Trump Institut Montaigne mer 31/01/2018 - 18:47

Pour la première fois de son mandat, Donald Trump a prononcé le discours sur l’état de l’Union, un exercice solennel qui lui permet de défendre sa politique menée depuis près d’un an tout en rappelant ses priorités pour les prochaines années.

Toward a New Gambia: Linking Peace and Development

European Peace Institute / News - Wed, 31/01/2018 - 16:43

In December 2016 Gambians took to the polls and successfully replaced longtime president Yahya Jammeh with current President Adama Barrow, ushering in a political transition. More than a year into this transition, the country is at a tipping point. Public expectations remain high, and the list of competing priorities, from increasing economic opportunities to implementing transitional justice, is long.

As the new administration plans the way forward, the 2030 Agenda for Sustainable Development can guide policymakers in planning and implementing inclusive policies that address both peace and sustainable development; as noted in the agenda, “There can be no sustainable development without peace and no peace without sustainable development.”

This issue brief is part of the International Peace Institute’s (IPI) SDGs4Peace project, which seeks to understand how the 2030 Agenda is being rooted at the national and local levels and to support the implementation of the Sustainable Development Goals. The project focuses on five case studies: the Gambia, Greece, Guatemala, Lebanon, and Myanmar. Implementation of the 2030 Agenda provides each of these countries an opportunity not only to buttress existing aspirations but also to build new partnerships that transcend traditional approaches.

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La guerre sans fin en Syrie - Après Afrin et Sotchi

Institut Montaigne - Wed, 31/01/2018 - 15:46
La guerre sans fin en Syrie - Après Afrin et Sotchi Institut Montaigne mer 31/01/2018 - 15:46

L’offensive aérienne et terrestre déclenchée le 20 janvier par la Turquie contre l’enclave kurde d’Afrin, au Nord de la Syrie et à proximité de la fron

The MED “Energy Security Nexus” workshop was held in Brussels

ELIAMEP - Wed, 31/01/2018 - 15:43

The Hellenic Foundation for European and Foreign Policy (ELIAMEP) under the Mercator European Dialogue (MED) program, successfully organized the “Energy Security Nexus” workshop in Brussels on 29-30 January 2018. European MPs and researchers attended the event, who had the opportunity to exchange views on the subject and visit the CORESO offices, a company in the field of energy. This exchange has been initiated under the framework of the Mercator European Dialogue, a project organised by the German Marshall Fund of the United States in cooperation with the Barcelona Centre for International Affairs, the Istituto Affari Internazionali in Rome, and the Hellenic Foundation for European and Foreign Policy in Athens and is funded by Stiftung Mercator and since 2017 also by the King Baudouin Foundation

Ein Jahrzehnt epochaler Veränderungen: 2008 - 2018

Hanns-Seidel-Stiftung - Wed, 31/01/2018 - 12:53
Analysen des ehemaligen Landtagspräsidenten Alois Glück: Wo stehen wir jetzt als Gesellschaft, wohin wollen wir Entwicklung lenken und welche Maßnahmen sind dafür notwendig? Ein Beitrag zur aktuellen politischen Diskussion.

Die Türkei in Syrien – Was bringt die erneute Militäroffensive?

Bonn, 31.01.2018. Kaum, dass der sogenannte Islamische Staat (IS) im Irak und weitestgehend auch in Syrien militärisch niedergerungen ist, eskaliert die Türkei den alten Konfliktherd um die Kurden in ihrem unmittelbaren Grenzgebiet erneut. Dabei waren es die Kurden, die buchstäblich in letzter Minute den IS nicht nur vor einer weiteren Ausdehnung im Irak gestoppt, sondern unter Einsatz von Menschenleben niedergekämpft haben – zusammen mit einer internationalen Militärkoalition, die zumeist aus der Luft unterstützte. Die tiefsitzende türkische Angst vor einem „terroristischen“ Kurdenstaat an der Südflanke führte zur aktuellen Bodenoffensive – doch darf bezweifelt werden, ob diese Offensive tatsächlich auf lange Sicht türkische Interessen befördert. In den kurdischen Gebieten im Irak und in Syrien waren schon vor der Ausbreitung des IS Inseln relativer Stabilität im Chaos der Stellvertreterkriege seit der Arabellion (2011) beziehungsweise der US-Intervention im Irak (2003) entstanden. Dort, in den kurdischen Enklaven in Nordsyrien (auch „Rojava“ genannt), wird seit einiger Zeit schon, unbemerkt von der Weltöffentlichkeit, ein ‚Neuer Gesellschaftsvertrag‘ umgesetzt, der – trotz massiver Schwächen in der Umsetzung – optimistisch stimmen kann. Anders als viele Kurden im Irak, zielt diese Bewegung gerade nicht auf nationale Unabhängigkeit, sondern auf Emanzipation und Inklusion im Rahmen geregelter Dezentralisierung zur innergesellschaftlichen Befriedung ab. Ob ein föderales Syrien, basierend auf dem in Rojava ausgehandelten Gesellschaftsvertrag, möglich und erstrebenswert ist? Allein den Syrern muss es vorbehalten sein, darüber zu entscheiden! Stattdessen zerbombt der NATO-Partner Türkei, mit russischer Billigung, nicht nur diese Option auf nachhaltige Stabilität, sondern zerstört auch die momentane relative Stabilität und schafft damit neue Fluchtursachen und Vertriebene. Die aktuelle türkische Militäroffensive birgt nicht nur völkerrechtlichen und sicherheitspolitischen Sprengstoff, sondern sie schadet auch entwicklungspolitischen Überlegungen und dem Wiederaufbau Syriens nach dem Konflikt. Die kurdische Eigeninitiative, einen innergesellschaftlich tragfähigen, weil überkonfessionellen und interethnischen Gesellschaftsvertrag auszuhandeln, welcher der Startpunkt für einen künftigen föderalen syrischen Staat sein könnte, wird systematisch bestraft. Das entwicklungspolitische Credo, eine Gesellschaft müsse befähigt werden, sich selbst zu helfen, wird hier mit Füßen getreten. Die aktuelle türkische Flucht nach vorne läuft den längerfristigen Interessen der Türkei eher diametral entgegen als dass sie einer nachhaltigen Befriedung an der türkischen Südflanke förderlich wäre. Die – wohl kaum auf dauerhafte Präsenz angelegte – Militäroffensive droht die Türkei weiter von ihren westlichen Partnern zu entfernen, mit unabsehbaren Folgen nicht nur für die NATO und Syrien, sondern auch für die Türken selbst: Die Aktion reiht sich ein in eine Abfolge von früheren Versuchen der türkischen Regierung, teilweise realen, zumeist aber sich als Gegenreaktion selbst erfüllenden, Bedrohungsszenarien zu begegnen. Ihnen allen liegt dasselbe überholte Narrativ des kurdischen Terrorismus zugrunde: Verhandelte Erdogan vor noch nicht allzu langer Zeit mit dem türkischen Kurdenführer und jetzt von ihm wieder als ‚Oberterrorist‘ beschimpften Abdullah Öcalan über eine echte kurdische Autonomie, gelten ihm heute selbst zivile kurdische Parteien, wie die HDP, wieder als Terroristen. Gruppierungen wie die in Nordsyrien dominierende PYD werden nur mehr schlicht als verlängerter Arm der PKK gesehen. Diesem wenig überzeugenden Narrativ liegt die Furcht vor der potentiellen Strahlkraft eines vielleicht sogar erfolgreichen kurdischen Modells zugrunde. Mit diesem Perspektivwechsel versperrt sich Erdogan Optionen, die die Türkei von ihrem Weg in den Paria-Staat abbringen und wieder in die auf Regeln und Vereinbarungen basierte Staatengemeinschaft zurückführen könnte: Eine Gemeinschaft, in der Krieg im äußersten Fall der Selbstverteidigung eine völkerrechtlich zulässige und legitime Fortsetzung von Politik sein kann. Der wichtigste Schlüssel dazu liegt jedenfalls „zu Hause“ – oder in den Worten des Staatsgründers Atatürk: "yurtta sulh, cihanda sulh" ("Friede zu Hause, Friede in der Welt“). In den komplexen, internationalisierten Bürgerkriegen in Syrien oder im Irak wird es mittelfristig darum gehen, die Logik von Stellvertreterkriegen zu einer Logik von „Stellvertreterfrieden“ umzukehren. Angesichts der begrenzten Möglichkeiten, die Deutschland (etwa über staatliche Garantien für Handel und Investitionen), der EU (über die Assoziierungsverhandlungen) oder den NATO-Partnern (über die Konditionierung von Waffenlieferungen) zur Verfügung stehen, gilt: Es geht darum, die Türkei in ihre regionalpolitische Verantwortung zu nehmen. Zusammen mit den anderen Hegemonialmächten Iran, Saudi Arabien, Katar und den V.A.E muss ein befriedender Einfluss auf ihre jeweiligen Stellvertreter ausgeübt oder zumindest die Ausbreitung von lokalen Stabilitätskernen nicht behindert werden. Das kurzsichtige Verhalten Erdogans auch zum längerfristigen strategischen Nutzen der Türkei zu beeinflussen und eine weitere Destabilisierung der Region zu verhindern gelingt Deutschland jedenfalls nur gemeinsam mit Partnern.

Renforcer l’économie française par l’innovation digitale

Institut Montaigne - Wed, 31/01/2018 - 10:36
Renforcer l’économie française par l’innovation digitale Institut Montaigne mer 31/01/2018 - 10:36

L’innovation digitale dépend largement des développements de l’intelligence artificielle.

The Humanitarian Crisis in Yemen: Beyond the Man-Made Disaster

European Peace Institute / News - Tue, 30/01/2018 - 20:42

Two years into its current crisis, Yemen is torn apart by an interlinked series of conflicts with intricate and mobile front lines. These have resulted in what the UN has called “the largest humanitarian crisis in the world.” While compounded by decades of conflict, violence, and underdevelopment, the major cause of the humanitarian crisis in Yemen remains the conflict between the two competing governments, along with the intervention of the Saudi-led coalition.

This report assesses the humanitarian situation in Yemen, including the impact of the country’s conflicts on its healthcare system, economy, and infrastructure, as well as the resulting population movements. It also examines current humanitarian actors and responses in Yemen and in neighboring countries. It concludes by exploring several challenges and opportunities for humanitarian actors in Yemen. These include:

  • Enhancing respect for humanitarian norms and principles: A strong and unified initiative aimed at enhancing respect for international humanitarian law could not only protect populations at risk but also ease tensions among different communities within and outside of Yemen. The UN Security Council could help in this area by playing a more proactive role. Humanitarian actors also need to strengthen the perception of their neutrality.
  • Strengthening the humanitarian response: The many actors involved in the humanitarian response should improve coordination, adopt existing tools for publishing and sharing data, and explore innovative uses of technology. International humanitarian actors should also directly involve local private sector actors in humanitarian action and include local humanitarian actors in coordination and decision making. In addition, humanitarian organizations could push blockade authorities to facilitate access for both humanitarian and commercial shipments.
  • Looking beyond immediate humanitarian needs: While it remains critical to invest in the humanitarian response, the international community also needs to invest in prevention in order to stem humanitarian needs and prevent further deterioration of the humanitarian crisis. This includes supporting Yemen’s healthcare facilities to prevent their total collapse and addressing the economic and financial impact of the lack of liquidity. A gender-based approach to the humanitarian response is also needed, reflecting women’s roles as potential peacemakers.

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“Notre priorité est d’avoir une véritable politique franco-maghrébine, nous n’avons pas le choix.”

Institut Montaigne - Tue, 30/01/2018 - 18:09
“Notre priorité est d’avoir une véritable politique franco-maghrébine, nous n’avons pas le choix.” Institut Montaigne mar 30/01/2018 - 18:09

Les 31 janvier et 1er février 2018, le président de la République est en visite officielle à Tunis, accompagné de plusieurs ministres et de représentants du monde des affaires.

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