Das Ergebnis der 23. UN-Weltklimakonferenz (COP23) im November 2017 in Bonn lässt sich bestenfalls als mittelmäßig bezeichnen. Die Teilnehmenden haben über zahlreiche technische Fragen verhandelt und die politischen Risiken eingehegt, die von der Ankündigung der USA ausgehen, aus dem Paris-Abkommen auszutreten. Allerdings gelang es nicht, die von den USA hinterlassene Lücke in der internationalen Klimadiplomatie zu schließen. Die fidschianische Präsidentschaft richtete ihre Aufmerksamkeit auf die Themen Anpassung an den Klimawandel, klimabedingte Verluste und Schäden sowie Klimafinanzierung, war damit jedoch nur teilweise erfolgreich. Der Auftritt Chinas war enttäuschend, da Peking seinem angemeldeten Führungsanspruch nicht gerecht wurde. Mit Blick auf die im Jahr 2018 anstehenden Beschlüsse zum Paris-Abkommen reklamierte die EU in Bonn erneut eine klimapolitische Führungsrolle. Sie strebte zwar keinen Alleingang an, doch trat sie auch nicht durchgängig als konstruktiver Brückenbauer auf. Angesichts des dringenden Bedarfs, die Regeln zur Umsetzung des Paris-Abkommens zu verabschieden, sollten die EU und ihre Mitgliedstaaten – allen voran Deutschland und Frankreich – im Vorfeld der nächsten COP in Kattowitz (Polen) 2018 eine engere Zusammenarbeit mit strategischen Partnerländern suchen, insbesondere mit China, Indien und den verwundbaren Entwicklungsländern.
L’ingérence en ligne est une nouvelle menace qui pèse sur un nombre croissant de démocraties en période électorale.
Dans son discours sur l’état de l’Union, le président Donald Trump a à nouveau promis de s'attaquer au problème de la crise des opiacés, renouvelant une promesse restée sans suite depuis octobre dernier.
04.02.1958
60. Todestag Karl Bickleder
05.02.1943
75. Geburtstag Ernst Hinsken
12.02.1878
140. Geburtstag Franz Sperr
19.02.1993
25. Todestag Ernst Günther Kray
25.02.1928
90. Geburtstag Hans Stützle
28.02.1898
120. Geburtstag Wilhelm Stegerer
Deutschland und die USA sehen sich den gleichen Sicherheitsbedrohungen im Cyberraum, oftmals durch die gleichen Akteure, ausgesetzt. Konkrete Sicherheitsbedrohungen bestehen einerseits darin, durch Aktivitäten im Netz den demokratischen Prozess im Kontext von Wahlen beeinflussen zu wollen, vor allem über Social Media. Andererseits finden tagtäglich Cyberangriffe auf staatliche und militärische Institutionen diesseits und jenseits des Atlantiks statt. Bislang fehlende gesetzliche Grundlagen (national wie international) erschweren zudem den Umgang mit den Cyberbedrohungen. Da der Cyberraum „grenzenlos“ ist, bedarf es eines offenen, internationalen Dialogs. Darüber hinaus müssen staatliche und nichtstaatliche Akteure (u.a. Techfirmen) Antworten auf gemeinsame Bedrohungslagen finden.
Die Akademie für Politik und Zeitgeschehen der Hanns-Seidel-Stiftung (HSS) und das American Institute for Contemporary German Studies (AICGS) der Johns Hopkins University in Washington D.C. haben daher die „Transatlantic Cybersecurity Partnership“ ins Leben gerufen. Diese soll dem deutsch-amerikanischen Dialog über Cybersicherheit eine Plattform bieten. Konkrete Ziele sind:
Ein verbesserter Informationsaustausch zwischen Deutschland und den USA im Bereich Cybersicherheit,
ein tieferes gegenseitiges Verständnis zwischen deutschen und amerikanischen Entscheidungsträgern sowie zwischen staatlichen und nichtstaatlichen Akteuren,
die Förderung von analysebasierten Lösungsansätzen für Bedrohungen im Cyberraum,
die Förderung des politischen Diskurses in beiden Ländern hinsichtlich der gesetzlichen Grundlagen, Standards, Infrastruktur sowie Frühwarn- und Risikomanagement-Systeme,
das Erarbeiten konkreter Handlungsempfehlungen für deutsche und amerikanische politische Entscheidungsträger
L’Institut Montaigne réunissait un panel de cinq personnalités pour débattre du lien entre entreprise et intérêt général. Cet échange a vocation à alimenter les réflexions gouvernementales en cours sur cette question, dans le cadre de la mission “Entreprise et intérêt général” lancée le 5 janvier dernier.
Jean-Marc Daniel, économiste, Elizabeth Ducottet, présidente-directrice générale de Thuasne, Marylise Léon, secrétaire nationale de la CFDT, Charles-Edouard Vincent, fondateur d’Emmaüs Défis et de Lulu dans ma rue ainsi que Serge Weinberg, président du Conseil d’administration de Sanofi, ont donné leur avis sur le rôle et les missions de l’entreprise dans notre pays.
Les échanges étaient animés par Julien Damon, professeur associé à Sciences Po et auteur de l’ouvrage Intérêt général : que peut l'entreprise ?. Retrouvez les quatre points à retenir de cette matinée.
1. Les salariés ont une perception globalement positive de la prise en compte de l’intérêt général par leur entreprise.Une grande majorité des salariés français considère que l’action de leur entreprise va dans le sens de l’intérêt général. Ce chiffre révèle un paradigme clair, où il est désormais manifeste que l’Etat n’a plus le monopole de l’intérêt général. Le terme d’entreprise signifie “prendre à plusieurs”, la notion est donc intrinsèquement liée à celle d’intérêt général. Une entreprise, pour survivre et se développer, doit participer à l’évolution de son écosystème. De leur côté, les salariés sont attachés à leur entreprise et attendent d’elle qu’elle s’inscrive dans un environnement, un territoire, une démarche citoyenne. Le chef d’entreprise, quant à lui, vit son métier comme une composante du contrat social. Si l’intérêt collectif et social est déjà dans les gènes de l’entreprise, il est indéniable que l’opinion publique, les salariés et les pouvoirs publics en attendent encore davantage.
2. L’intérêt général peut cependant avoir des acceptions et des perceptions multiples.La perception de l’intérêt général est multiple. Elle diffère selon les acteurs : chefs d’entreprises, pouvoirs publics, société civile, etc. Pour un chef d’Etat, la participation de l’entreprise à l’intérêt général réside dans la création d’emplois, la stimulation du pouvoir d’achat. Les entrepreneurs ont, quant à eux, le sentiment de créer, de protéger des emplois et considèrent que les actions de leur entreprise prennent en compte l’intérêt général. Leur activité contribue, par essence et via ce soutien à l’emploi, à l’intérêt général. Les chefs d’entreprises ou les salariés ont une vision différente des finalités de l’entreprise, d’abord perçue comme devant générer un profit et créer des biens ou des services utiles pour ses clients. Cette dimension n’exclut en aucun cas leur contribution à l’intérêt général.
Les quatre piliers de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) témoignent eux-mêmes de l’ambiguïté des termes, puisque la RSE regroupe :
Enfin, la difficulté d’appréciation de l’intérêt général fait écho à la délicate évaluation de l’impact social des entreprises. Une entreprise peut avoir une activité très vertueuse mais un tout petit impact.
3. La question du profit des entreprises n’est plus taboue, elle vient éclairer différemment la notion d’intérêt général.Pour de nombreuses entreprises françaises, la performance économique, permettant elle-même l’accès aux marchés internationaux, est la condition de la pérennité du lien entre l’activité et l’attachement au territoire. L’entreprise a besoin de se développer à l’international pour pérenniser l’emploi national. La recherche du profit est elle-même plus complexe que le simple fait de gagner de l’argent à court terme. Pour certains secteurs d’activité, les investissements sont réalisés dans des perspectives à 5, 10 ou 15 ans. Le but du profit est de préparer l’avenir (en investissant) et de récompenser le passé (le profit est le fruit des choix réalisés dans le passé). Mais les sens que l’on donne au profit ou à la responsabilité sociétale des entreprises évoluent avec le temps. En bref, si la question du profit ne fait plus débat, elle porte plutôt sur la manière dont les profits sont réalisés et la façon dont il faut les partager. Le profit est sain lorsqu’il permet de transmettre, de durer, de pérenniser l’activité.
4. Toute évolution du Code civil vers une plus grande prise en compte de l’impact social des entreprises doit être pensée à l’aune des dispositifs existants.La dernière modification de l’article 1832 du Code civil sur les fondements de l’entreprise date de 1985. Dans de nombreux domaines, la multiplication des normes et des obligations peut s’avérer dangereuse. C’est pourquoi il faut veiller à ce que toute évolution du Code civil ne pénalise en rien l’efficacité des entreprises. Si le débat autour de la RSE porte effectivement sur l’arbitrage entre volontariat et obligation, cette notion a déjà envahi la réalité des entreprises et le monde des investisseurs. Les grands fonds exigent des entreprises qu’elles se comportent comme des citoyennes. Le mouvement est lancé : les entreprises initient de nombreuses actions qui ne s’inscrivent pas dans le processus traditionnel de production mais vont bien au-delà. L’introduction de concepts juridiques flous pourrait créer une incertitude, des risques juridiques, au moment même où des efforts sont réalisés pour permettre aux entreprises d’être stabilisées dans leur environnement juridique et fiscal. Toutefois, certaines voix s’élèvent pour que la place particulière des salariés soit mieux reconnue et que le Code civil prenne davantage en compte les impacts sociaux et environnementaux des entreprises.
Revoir la conférence en vidéo.
Blanc 12 février 2018 Activé Intérêt général : que peut l'entreprise ? Quel rôle l’entreprise doit-elle occuper dans nos sociétés contemporaines ? Quelles sont ses missions fondamentales et comment les articuler au mieux avec l’intérêt général ? interet general rse entreprise Ouvert Non Non08.02.1998 vor 20 Jahren
Drei Volksentscheide in Bayern
Bei drei gleichzeitig durchgeführten Volksentscheiden wurden die Aufnahme neuer Grundrechte und Staatsziele in die Bayerische Verfassung (75%) und die Reform von Landtag und Staatsregierung (73,9%) angenommen. Die Zahl der Landtagsabgeordneten wurde ab der 15. Wahlperiode von 204 auf 180 Sitze verringert. Mit 69,2% der Stimmen votierten die Wähler zudem für die Abschaffung des Senats zum 01.01.2000.
22.02.1943 vor 75 Jahren
Hinrichtung der Geschwister Sophie und Hans Scholl
Am 18. Februar wurden die Geschwister Scholl bei der Verteilung von Flugblättern gegen das Nazi-Regime verhaftet. In den folgenden Tagen, Wochen und Monaten des Jahres 1943 wurden Hans und Sophie Scholl sowie weitere Mitglieder der "Weißen Rose" hingerichtet.
Miembros de una célula formada en Ripoll por nueve jóvenes y adolescentes musulmanes de segunda generación, radicalizados por un imán con pasado yihadista y movilizados a favor de Estado Islámico, ejecutaron en agosto de 2017 dos atentados que distaron de ser los ambiciosos y mortíferos actos de terrorismo inicialmente planeados.
El objeto de este informe es presentar la diferencia entre la realidad española y la evaluación de España realizada por la opinión pública internacional, identificando aquellos aspectos en los que la realidad del país es mejor que su imagen exterior.
For some time now, both Ukrainians and foreign observers have been inquiring whether the time is right for a ‘Third Maidan’. The protests that took place on 17 October 2017 and in subsequent weeks were not the beginning of anything larger. Rather, they were initiated primarily by political actors and did not have the potential for mass mobilization. However, these protests convey important messages about the political and societal situation in the country. Against the backdrop of developments in recent years, they are a sign that the situation could heat up dangerously in the coming months.
In Georgien wachsen Bedeutung und Präsenz Chinas. Die Belt-and-Road-Initiative, Pekings Vision einer neuen Seidenstraße, findet hier regen Anklang – anders als in mancher westeuropäischen Hauptstadt, wo das Vorhaben eher zurückhaltend bis skeptisch betrachtet wird. Die Regierung in Tbilisi ist bestrebt, das Land als wesentliches Teilstück des südlichen eurasischen Korridors zu positionieren. Um künftig von den Handelsströmen zwischen China und Europa zu profitieren, hat Georgien eine Reihe von Maßnahmen auf den Weg gebracht. Als erstes Land im eurasischen Raum schloss es 2017 ein Freihandelsabkommen mit China ab. Große Infrastrukturprojekte sollen den Transit erleichtern. Formate wie das »Tbilisi Belt & Road Forum« nutzt Georgien zudem zur Standortwerbung. Ob die Seidenstraße für das Land nur Win-win-Situationen schafft, muss die Zukunft aber erst noch zeigen.
Pour la première fois de son mandat, Donald Trump a prononcé le discours sur l’état de l’Union, un exercice solennel qui lui permet de défendre sa politique menée depuis près d’un an tout en rappelant ses priorités pour les prochaines années.
In December 2016 Gambians took to the polls and successfully replaced longtime president Yahya Jammeh with current President Adama Barrow, ushering in a political transition. More than a year into this transition, the country is at a tipping point. Public expectations remain high, and the list of competing priorities, from increasing economic opportunities to implementing transitional justice, is long.
As the new administration plans the way forward, the 2030 Agenda for Sustainable Development can guide policymakers in planning and implementing inclusive policies that address both peace and sustainable development; as noted in the agenda, “There can be no sustainable development without peace and no peace without sustainable development.”
This issue brief is part of the International Peace Institute’s (IPI) SDGs4Peace project, which seeks to understand how the 2030 Agenda is being rooted at the national and local levels and to support the implementation of the Sustainable Development Goals. The project focuses on five case studies: the Gambia, Greece, Guatemala, Lebanon, and Myanmar. Implementation of the 2030 Agenda provides each of these countries an opportunity not only to buttress existing aspirations but also to build new partnerships that transcend traditional approaches.
L’offensive aérienne et terrestre déclenchée le 20 janvier par la Turquie contre l’enclave kurde d’Afrin, au Nord de la Syrie et à proximité de la fron
The Hellenic Foundation for European and Foreign Policy (ELIAMEP) under the Mercator European Dialogue (MED) program, successfully organized the “Energy Security Nexus” workshop in Brussels on 29-30 January 2018. European MPs and researchers attended the event, who had the opportunity to exchange views on the subject and visit the CORESO offices, a company in the field of energy. This exchange has been initiated under the framework of the Mercator European Dialogue, a project organised by the German Marshall Fund of the United States in cooperation with the Barcelona Centre for International Affairs, the Istituto Affari Internazionali in Rome, and the Hellenic Foundation for European and Foreign Policy in Athens and is funded by Stiftung Mercator and since 2017 also by the King Baudouin Foundation
L’innovation digitale dépend largement des développements de l’intelligence artificielle.
Two years into its current crisis, Yemen is torn apart by an interlinked series of conflicts with intricate and mobile front lines. These have resulted in what the UN has called “the largest humanitarian crisis in the world.” While compounded by decades of conflict, violence, and underdevelopment, the major cause of the humanitarian crisis in Yemen remains the conflict between the two competing governments, along with the intervention of the Saudi-led coalition.
This report assesses the humanitarian situation in Yemen, including the impact of the country’s conflicts on its healthcare system, economy, and infrastructure, as well as the resulting population movements. It also examines current humanitarian actors and responses in Yemen and in neighboring countries. It concludes by exploring several challenges and opportunities for humanitarian actors in Yemen. These include:
Les 31 janvier et 1er février 2018, le président de la République est en visite officielle à Tunis, accompagné de plusieurs ministres et de représentants du monde des affaires.