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Diplomacy & Defense Think Tank News

Sommet de Singapour : de réelles avancées ?

IRIS - Wed, 13/06/2018 - 16:02

Barthélémy Courmont, directeur de recherche à l’IRIS, répond à nos questions :
– À l’issue de cette rencontre, Donald Trump et Kim Jong-un ont signé un accord commun. Que doit-on en retenir ? Comment a-t-il été accueilli par la communauté internationale ?
– De quelle manière ce sommet s’inscrit-il dans la diplomatie du président Trump ?
– Comment interpréter la métamorphose diplomatique empreinte d’une relative “ouverture” de la part de Kim Jong-un ?

Modicare : l'avenir de la protection sociale indienne ?

Institut Montaigne - Wed, 13/06/2018 - 16:00

Le 1er février dernier, le Ministre des Finances indien, Arun Jaitley, a annoncé le lancement de ce qui pourrait être le plus vaste système d’assurance maladie au monde. Ce projet, surnommé “Modicare”, du nom du Premier ministre indien Narendra Modi, vise à offrir une allocation santé à des millions de citoyens défavorisés. A la veille du scrutin qui se tiendra en avril ou mai 2019 en Inde, le “Modicare” cristallise un certain nombre de critiques, et est…

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Institut Montaigne - Wed, 13/06/2018 - 15:47
Une initiative inédite

L’Institut Montaigne, Sciences Po, la Fondation Körber, la Fondation Mo Ibrahim, l’Institut français des relations internationales (IFRI) et le Quai d’Orsay sont les six membres fondateurs à l’initiative du Forum de Paris sur la Paix, un rendez-vous annuel autour de la gouvernance mondiale. Chaque année, le Forum présentera des projets et réunira des acteurs du monde entier autour de…

Du G7 au sommet de Singapour : « Donald Trump n’aime rien tant que d’être seul contre tous ! »

IRIS - Wed, 13/06/2018 - 12:51

Le contraste est saisissant: samedi, Donald Trump est assis, les bras croisés, dans une position humiliante face à Angela Merkel, et ce mardi on le voit triompher en serrant la main de Kim Jong-un. Laquelle de ces deux photo montre le vrai Donald Trump ?

En réalité, aucune des deux… ou les deux à la fois. Donald Trump n’est pas un diplomate, et il n’a fait que prolonger une seule et même politique, du G7 à la rencontre avec le leader nord-coréen: America First! Ce qui s’est passé, à Charlevoix comme à Singapour, est un bon résumé du rapport qu’entretient Donald Trump avec le reste du monde: il ne voit celui-ci que comme un vaste espace commercial, où ce qui compte est de faire des affaires tout en perdant le moins d’argent possible. Et à ce titre-là, il n’y a rien de mieux que la paix pour faire du business! Mieux valait donc pacifier les relations avec la Corée du Nord, et le plus vite possible.

L’image du G7 est en effet saisissante: ce fut un sommet à 6+1, et Donald Trump est clairement apparu à part, en décalage avec tous les autres grands dirigeants du monde. Le multilatéralisme n’est pas sa tasse de thé, il affectionne bien au contraire le patriotisme et le protectionnisme. Pour ces raisons, il ne pouvait tout simplement pas soutenir l’accord final du G7, car celui-ci s’en prenait aux fondamentaux de sa ligne politique: les dirigeants occidentaux ont cherché à le mettre en pièces, et ils n’y sont pas parvenus.

S’agissant de Singapour, Donald Trump a clairement affiché son refus du multilatéralisme: il faut tout de même se souvenir que les sanctions contre la Corée du Nord ont été adoptées à l’unanimité par des résolutions de l’ONU, et mettent donc en jeu toute la communauté internationale! Trump, lui, est persuadé que seule une position bilatérale lui permettra de régler les problèmes du monde. Il veut jouer selon ses propres règles: pour lui, un conflit coûte de l’argent, or il est urgent d’en gaspiller le moins possible, et par conséquent de ne pas perdre une seule seconde. La Corée du Nord est à ses yeux une opportunité économique, un marché à conquérir.

Justement, pour une fois, Donald Trump n’a-t-il pas troqué son costume de businessman contre celui, bien plus gratifiant, de pacificateur de l’univers ?

C’est la posture qu’il s’est donnée, en effet! Certes de façon dithyrambique, comme toujours, et dans une avalanche de superlatifs. Mais à titre personnel, je reste intimement convaincu que cette posture est secondaire dans ses motivations, même si cela peut être très flatteur pour lui.

Je crois en réalité qu’il est persuadé de réussir, quoi qu’il arrive. Il faut avoir à l’esprit que la campagne présidentielle a été un moment fondateur dans sa vie. Il avait le monde entier contre lui! L’ensemble des nations, les démocrates, de très nombreux républicains, la presse, toute la bien-pensance américaine… Il était donné perdant sur tous les tableaux. Et pourtant, Donald Trump est devenu le 45ème Président des États-Unis d’Amérique. Il a gagné malgré tout et seul contre tous, d’où chez lui un sentiment de toute-puissance qui lui procure l’impression d’être en mesure de pouvoir résoudre tous les problèmes du monde.

Sur d’autres sujets, il a déjà fait montre d’un incroyable orgueil: «je vais être le plus grand créateur d’emplois que Dieu ait jamais créé!» avait-il déjà déclaré à propos du chômage. Il donne l’impression de n’avoir jamais connu d’échecs. Il en a, de fait, connu un seul: son incapacité à abroger l’Obamacare, puisque son projet a été rejeté par le Sénat l’été dernier. Mais il s’en est remarquablement bien sorti, en détournant l’attention de tous les journalistes à ce moment précis.

Ainsi, pour Trump l’invincible, faire la paix en Corée du Nord semble n’être qu’une péripétie, une tâche de plus parmi les travaux herculéens qu’il s’est promis d’accomplir. Je ne suis même pas certain que le Prix Nobel de la paix l’intéresse réellement… Même s’il est presque certain qu’on le lui proposera: je ne vois pas comment on pourrait l’éviter, l’accord de paix signé cette nuit est historique, et prévoit une dénucléarisation complète de la Corée du Nord. C’est un énorme succès.

N’est-il pas étonnant de voir Donald Trump soudainement engagé pour la paix, lui qui s’était fait remarquer par le passé pour des postures très belligérantes ?

Pas le moins du monde! C’est tout à fait conforme à ce que souhaitent les Américains, qui sont profondément attachés à leur puissance militaire. Donald Trump doit à tout prix maintenir cette intimidation, et afficher sa fermeté sur le plan militaire. Il a d’ailleurs considérablement augmenté le budget américain de défense, le portant à 700 milliards de dollars. En réalité, ce n’est pas contraire aux intérêts du pays, puisque l’investissement dans la défense fait marcher l’économie américaine et participe à rendre compétitive leur industrie d’armement. Et se poser comme artisan d’une paix durable avec la Corée du Nord ne signifie pas pour autant renoncer à faire montre de la puissance militaire américaine.

Donald Trump semble avoir personnalisé de manière très forte les relations entre les États-Unis et les autres États. Peut-il s’attribuer seul le mérite du sommet de Singapour ?

Certainement pas. En réalité, Mike Pompeo a fait son show durant toute la rencontre: on le voit assis au milieu de la table des négociations, juste à gauche du président américain, et il est sur toutes les photos. C’est lui, le réel artisan du sommet ; et maintenant qu’un premier accord a été signé, l’heure est à présent à la diplomatie, et c’est donc à son tour de jouer. Il s’était déjà déplacé trois fois en Corée, une en tant que directeur de la CIA et deux en tant que secrétaire d’État. Lors de sa nomination, Mike Pompeo a cessé d’être le «faucon» d’autrefois pour s’aligner entièrement sur les idées et sur la méthode de Trump. Il a toute la confiance du président, et dirige toutes les réunions. Il a également su écarter l’importunant John Bolton, qui aurait pu tout faire capoter et qui a été mis en retrait.

Il faut également mentionner tout le mérite de Moon Jae-in, le président de la Corée du Sud, sans qui rien ne serait allé si vite ni si bien. Il est tout entier dévoué à la paix, et ce sont aussi ses efforts qui ont payé dans l’engagement du processus de paix avec Pyongyang.

Algérie, puissance régionale entre défis et incertitudes

IRIS - Wed, 13/06/2018 - 12:47

L’Algérie est dotée d’un fort potentiel géostratégique, humain et économique, qui devrait lui permettre de devenir une puissance régionale incontournable. Sa superficie (2,382 millions de km²) en fait le pays le plus vaste du pourtour méditerranéen et le plus grand pays d’Afrique. Sa population constitue une richesse considérable avec 41,3 millions d’habitants dont près des deux tiers ont moins de 30 ans.

Elle détient la seconde armée en Afrique du Nord, après l’Égypte (GFP 2018) et était le septième exportateur mondial de gaz en 2015.

La conjoncture géopolitique – caractérisée par l’instabilité régionale et la montée de la menace terroriste – et la rente pétrolière, le pétrole dépassant les 100 dollars le baril durant une quinzaine d’années, ont incité l’État algérien à moderniser son armée et à renforcer la sécurité des frontières, se dotant d’équipements technologiques de défense modernes (radars, appareils de communication, etc.).

Avec un budget militaire qui dépasse les dix milliards de dollars en 2017 (treize milliards en 2015), l’Algérie est classée septième dans la liste des pays importateurs d’armes dans le monde, avec 3,7 % du marché mondial entre 2013 et 2017, derrière l’Inde, l’Arabie saoudite, l’Égypte, les Émirats arabes unis, la Chine et l’Australie (SIPRI, 2018).

La résistance de l’État algérien face à la menace terroriste dans les années 1990 et ensuite face aux convulsions de la révolte dite « Printemps arabe » en 2011 lui ont valu d’être un partenaire-clé – pour les États-Unis et l’UE – dans la coopération internationale pour la lutte contre le terrorisme au Maghreb et au Sahel, et de jouer un rôle central pour la stabilisation de la région.

L’Algérie trouve dans cette conjoncture une aubaine pour renforcer son poids stratégique et rivaliser ainsi avec le Maroc qui était jusque-là le partenaire privilégié des puissances occidentales.

Sur le plan économique, la hausse des cours du pétrole avait permis à l’État d’effacer sa dette extérieure et de lancer de grands projets de construction d’infrastructures et de centaines de milliers de logements, et de soutenir le développement d’entreprises locales qui accompagne la politique de libéralisation du marché destinée à encourager la croissance économique et la création d’emplois.

Pourtant, malgré ces avancées et cette stabilité apparente, l’Algérie est menacée par de graves crises internes et externes qui la fragilisent. La dépendance à l’exportation des hydrocarbures constitue un handicap majeur pour le développement économique du pays.

Les différentes réformes et politiques de libéralisation n’ont pas réussi à développer une économie productive susceptible de créer des richesses et des emplois et de réduire ainsi la dépendance à la rente pétrolière.

Le spectre de la révolte sociale

L’absence d’un système bancaire et financier modernisé entrave également le développement économique du pays, d’autant que le marché parallèle occupe une proportion considérable des échanges (environ 45 % du PNB).

C’est pourquoi la chute vertigineuse des cours du pétrole, en 2014, a plongé le pays dans une crise économique sévère qui risque de freiner la croissance économique et mettre en jeu la stabilité du pays.

La baisse de la rente pétrolière oblige l’État à recourir à une politique d’austérité – réduction des dépenses, suspension des subventions de produits de base, augmentation des prix et introduction de nouvelles taxes – des mesures qui frappent sévèrement les couches sociales pauvres et les classes moyennes.

La hausse relative des cours du pétrole en cette année 2018 ne réglera pas le problème financier du pays, compte tenu de la hausse de l’inflation qui induit une baisse flagrante du pouvoir d’achat des Algériens.

Le gel des recrutements dans la Fonction publique ne ferait qu’accroître considérablement le taux de chômage, renforçant ainsi le spectre de la révolte sociale, à moins que le secteur privé ne se développe de façon à absorber rapidement une proportion importante des jeunes candidats au marché du travail.

La situation politique suscite également beaucoup d’inquiétudes, notamment à l’approche des élections présidentielles de 2019.

Recul démocratique

La crise s’aggrave avec l’intention du président Bouteflika de briguer un cinquième mandat, créant l’incertitude quant à l’avenir du pays et un recul des principes démocratiques. La concentration du pouvoir autour du Président et de son entourage fragilise encore plus les institutions politiques en Algérie et entrave le projet d’une transition démocratique encadrée et maîtrisée.

D’autant que seuls les partis islamistes constituent pour le moment une opposition réellement structurée, face à l’effritement de l’opposition qui émane des courants n’ayant pas le religieux comme référent.

Ces crises évoluent dans un environnement régional hostile à cause de l’instabilité en Libye et au Sahel qui menace la sécurité du Maghreb et rend vulnérable les frontières algériennes, notamment avec l’accroissement et l’enchevêtrement du terrorisme (AQMI, EI) et de la criminalité organisée (trafic d’armes, drogue, etc.).

Cela s’ajoute au conflit du Sahara occidental qui oppose la RASD soutenue par l’Algérie et le Maroc et entrave ainsi toute coopération régionale : économique, sécuritaire ou autre.

Pourtant, la probabilité d’une déstabilisation du pays est à écarter. D’une part, les institutions publiques, principalement l’armée, sont solides. D’autre part, la population algérienne – marquée par le spectre libyen et syrien – ne serait pas séduite par une révolte armée en cas de grogne sociale, d’autant que des voies de protestations alternatives émergent au sein de la société civile encouragées par les nouvelles technologies.

En revanche, en cas de révolte sociale, des organisations terroristes ou criminelles, voire des groupes hybrides, pourraient profiter de la situation pour commettre des attentats dans le but de déstabiliser le pays.

En somme, quel que soit l’homme qui dirigera le pays après 2019 et la nature du régime, l’État algérien fera face à trois grands défis : préserver la sécurité du pays face à la menace terroriste et à l’instabilité régionale ; sortir de la dépendance à la rente pétrolière par le développement d’une économie productive locale ; et enfin préparer une réelle transition démocratique pour satisfaire une société qui aspire de plus en plus à l’ouverture politique et aux libertés individuelles.

Microsoft Sculpt Comfort Mouse : le meilleur rapport qualité / prix ?

RMES - Wed, 13/06/2018 - 10:22

Au rang des souris Bluetooth les plus appréciées se trouve la Microsoft Sculpt Comfort Mouse. Le géant de l’informatique et leader sur le plan des systèmes d’exploitation a cru bon de concevoir une souris sans fil adaptée à ses derniers systèmes d’exploitation. Allons à sa découverte.

Caractéristiques

La Microsoft Sculpt Comfort Mouse jouit de caractéristiques techniques hautement avantageuses. Ce sont :

  • Une compatibilité Windows/Mac
  • Une alimentation de type batterie à 2 piles AA
  • Une connectivité Bluetooth
  • Un poids de 136 g
  • Des dimensions de 11,1 x 6,9 x 3,7 cm
  • 6 Boutons
  • Une fonctionnalité BlueTrack de Détection de mouvement
  • Une portée de fonctionnement de 10 m.

Avec ce descriptif technique, elle fait partie des souris Bluetooth les plus performantes de sa génération.

Ergonomie

La Microsoft Sculpt Comfort Mouse est caractérisée par un design très bien travaillé. Elle est malheureusement plus adaptée aux droitiers avec sa forme. Mais cela ne l’empêche pas d’être assez pratique, notamment avec ses boutons extrêmement bien placés. 

Son poids, assez controversé, est perçu pour les expérimentés comme un avantage, mais pour d’autres comme un handicap. Cela tourne quand même plus vers un avantage qu’un inconvénient, car il est rare d’avoir des souris Bluetooth aussi lourdes. Un tel poids donne plus de stabilité dans le maniement d’une souris pareille.

Fonctionnalités

La fonctionnalité la plus remarquable est assurément celle qu’offre le bouton Windows bleu, placé sur le côté gauche de la souris, vers le pouce donc. Ce bouton a été spécialement conçu pour accéder facilement au StartScreen de Windows 8, mais aussi au menu démarrer du Windows 7.

La technologie sans fil utilisée est le Bluetooth 3.0, qui permet d’assurer la portée optimale de 10 m. La Microsoft Sculpt Comfort Mouse a une autonomie d’environ 7200 heures et se connecte très facilement aux PC sans aucune intermittence dans la connexion.

Précision

Cette souris a l’avantage conséquent d’être très précise. Ceci est dû à son capteur qui implémente la technologie BlueTrack, une technologie de détecteur de mouvement qui permet une résolution de mouvement allant jusqu’à 1000 DPI.

Pour conclure

La souris Microsoft Sculpt Comfort Mouse est disponible à partir de 35 euros environ. À ce prix, la qualité, qu’elle offre, est largement avantageuse. Acheter cette souris Bluetooth ne peut être qu’un très bon investissement.

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Robotik und ihr Beitrag zu Wachstum und Wohlstand

Konrad Adenauer Stiftung - Tue, 12/06/2018 - 00:00
Robotik ist ein wichtiger Bereich der Digitalisierung. Sie steigert die Produktivität und die Gewinne in Unternehmen. Sie führt auch zu einem Strukturwandel auf dem Arbeitsmarkt: Tätigkeiten ändern sich. Nur hochqualifizierte Fachkräfte werden vermutlich profitieren. Die oft befürchtete, durch Robotik verursachte Massenarbeitslosigkeit wird es nicht geben. Gesellschaft und Politik sind gefragt, die Auswirkungen auf den gesellschaftlichen Wohlstand zu bedenken und frühzeitig korrigierende Maßnahmen zu ergreifen. *** ERSCHEINT NUR ONLINE

Operationalizing Sustaining Peace: Reflections on the 2018 Global Peace Index

European Peace Institute / News - Mon, 11/06/2018 - 18:57

On Tuesday, June 19th, IPI together with the Institute for Economics and Peace are cohosting a policy forum to mark the release of the 12th edition of the Global Peace Index and discuss its value to the operationalization of sustaining peace.

Remarks will begin at 1:15pm EST*

The Global Peace Index (GPI) is the most comprehensive data-driven analysis to date on trends in peace. As the first analysis to methodically rank countries according to their levels of peacefulness and to identify potential determinants of peace, the GPI measures the peacefulness of 163 countries and territories, covering 99.7 percent of the world’s population. It is comprised of 23 indicators measuring the absence of violence across three domains: militarization, ongoing conflict, and societal safety and security. The report also includes a statistical analysis of “positive peace,” which is defined as the attitudes, institutions, and structures that empirically correlate to peace.

At this event, the key findings from the report will be examined, together with a closer examination of specific country-level findings. The discussion will also include analysis of the relationship between the measures of negative and positive peace included in the GPI, helping track national and global progress on achieving peace in various dimensions. Speakers will examine the potential implications of the findings for the sustaining peace agenda, providing a bridge between current policy discussions and data trends. The larger goal of this discussion is to provide diverse stakeholders with a better understanding of and approach to measuring and reporting on sustaining peace through analysis of what the evidence tells us about successful prevention efforts.

Speakers:
Michelle Breslauer, Program Director, Americas, the Institute for Economics and Peace
Robert Piper, United Nations Assistant Secretary-General and Director of External Relations and Advocacy, UNDP
Susanna Campbell, Assistant Professor, School of International Service, American University
Vanessa Wyeth, Senior Political and Public Affairs Officer (Peacebuilding), Permanent Mission of Canada to the UN

Moderator:
Lesley Connolly, IPI Senior Policy Analyst

*If you are not logged into Facebook, times are shown in PST.

M. Netanyahou en Europe - qu'est venu faire le Premier ministre israélien ?

Institut Montaigne - Mon, 11/06/2018 - 18:25

Le Premier ministre israélien a visité successivement Berlin, Paris et Londres du 4 au 6 juin dernier. S’agissait-il d’un voyage de routine ?

En un sens oui, bien entendu. M. Netanyahou vient fréquemment en Europe – il en est à sa troisième visite à Paris depuis l’élection de M. Macron à la présidence de la République. Le Premier ministre israélien s’apprête à affronter prochainement des élections…

Kein Untergang der liberalen Weltordnung aber:: Risse im transatlantischen Fundament

Hanns-Seidel-Stiftung - Mon, 11/06/2018 - 16:36
Es war das Who is Who der Washingtoner-Thinktank-Szene, mit dem Ursula Männle, Vorsitzende der Hanns-Seidel-Stiftung kürzlich zusammentraf, um die transatlantische Lage zu analysieren. Experten, unter anderem vom German Mashall Fund, dem Hudson Institute und dem International Republican Institute, suchten gemeinsam nach Antworten auf die offensichtliche Krise in den deutsch-amerikanischen Beziehungen.

MEETING REPORT: Eastern Partnership: Looking beyond the 2017 Summit

ELIAMEP - Mon, 11/06/2018 - 14:24
Eastern Partnership: Looking beyond the 2017 Summit

Athens, 8 November 2017

 

Organized by ELIAMEP and the European Commission Representation in Greece,

in cooperation with the Embassies of Estonia, Georgia, Lithuania, Poland and Sweden

Report

Dr. Panagiota Manoli

Coordinator, Russia and Eurasia Studies Programme, ELIAMEP

 

The conference “Eastern Partnership: Looking beyond the 2017 Summit” was held with the goal to nurture discussion at a policy and academic level in view of the 5th EaP Summit held in Brussels on 24 November 2017. The Conference gathered representatives of the diplomatic world, policy makers and academics who casted light on various aspects of the EaP.

The Eastern Partnership (EaP) marks nearly a decade of existence. Presented for the first time in May 2008 at the EU’s General Affairs and External Relations Council it was the result of a initiative of Poland jointly proposed with Sweden. The EaP was expected to govern EU’s relations with its eastern partners that had no immediate membership prospect; Armenia, Azerbaijan, Belarus, Georgia, Moldova and Ukraine, while integrating them in a common European economic space. Expeditated by the ‘5 days war’ of August 2008 between Georgia and Russia, the EaP has been through a period of crises which hindered its implementation and put under question its overall policy relevance. As a result of crises and the deterioration of relations between the West and Russia, especially since 2014, the EaP acquired a stronger geopolitical significance and turned more political. Rather than blocking EaP, crises triggered its further development.

 

The Eastern Partnership as a successful EU policy

The EaP constitutes a sui generis policy which is both an external governance policy (non-coercive creation of liberal order based on rules around which actors’ expectations converge) and an integration policy (integrating non-EU areas into a single European space in material and normative terms). As such, it has marked progress especially at the institutional level. Despite security challenges on the ground, the policy has sustained a path of approximation between the EU and its eastern partners. Ten years since the launching of the first round of negotiations on an Association Agreement, three partner countries (Georgia, Moldova and Ukraine) have working Association Agreements, visa-free regime and Deep and Comprehensive Free Trade Agreements (DCFTA) with the EU. Especially the DCFTA have proven a tool of political, social and economic reforms rather than a mere technical instrument.  Thus, today the partnership between the EU and its eastern neighbours has taken successful steps ahead:

  • The Association Agreements/DCFTA signed with Ukraine, Moldova and Georgia are in force and provide a clear agenda for reforms in all three countries.
  • Three years after a visa-free regime was set up with Moldova, the EU has eliminated obligatory Schengen visas for citizens from Georgia and Ukraine who hold biometric passports.
  • The initialling of the Comprehensive Enhanced Partnership Agreement (CEPA) with Armenia, signed in the margins of the Eastern Partnership Summit in November 2017
  • Progress in negotiations for a new agreement with Azerbaijan and enhanced contacts with Belarus are clear signals of the EaP’s ability to adjust to changing circumstances
  • EaP countries contribute to CSDP missions (currently Georgia, Moldova and Ukraine), as well as EU Battle Groups (Ukraine).

Twenty (20) key deliverables have been identified in the framework of the priorities agreed in Riga, on the basis of already existing commitments on both EU’s and EaP Partner Countries’ side. Each deliverable is complemented by: milestones and targets to be achieved by 2020; implementation modalities, and main actors involved. This structure allows for the 20 key deliverables to act as a work plan guiding joint actions in the next phase of the EaP until 2020.

The most outstanding challenge for EaP’s success has been the Ukrainian crisis which has created war conditions and continuing instability in eastern neighborhood. Still, despite the crisis in Ukraine and perhaps because of it, EU-Ukraine rapprochement has taken a new upturn with significant advancements in all fields of cooperation bringing about structural changes in the Ukrainian state. These include wide-scale judiciary and administrative reforms towards strengthening the rule of law while in the course of last two years, EU has become the largest market for Ukrainian products, absorbing more than 40% of Ukrainian exports. Market forces along with politics have segmented Ukraine’s European choice.

Georgia, a front runner in EaP, has advanced to 1st place in anti-Corruption and Open Government Index among the 19 countries of Eastern Europe and Central Asia and it has also become a regional leader in the Rule of Law Index, scoring 34th position worldwide. Georgia was 13th in Economic Freedom ranking (by Heritage foundation), which actually is a place between the UK and Luxembourg and 9th in the World Bank “easy to make business” ranking for 2018. Moldova another frontrunner in EaP, has been making some headway in democratic and economic reform despite troublesome political periods. The EU is Moldova’s first trading partner and biggest investor in the country. Reforms pushed forwarded by the EaP have played a crucial role in making this progress.

Constrains are also present and vary from operational capacity problems, to the counter role of competing powers in the region, especially Russia, the local regimes’ willingness to push ahead with painful reforms and the resistance to dominant governance models. It is of course difficult to assess EaP against specific benchmarks and measurable targets due to its long term, comprehensive perspective, while it is early to make firm assessment of EaP’s impact as AAs have just one or two years of actual existence (Moldova’s and Georgia’s agreements were operational by 2016, Ukraine’s by September 2017). EaP is however certainly a flexible and adaptable policy, as witnessed by the various Reviews of the ENP.

 

The Future of EaP: creating a vision beyond the Summit

On the EU side, the EaP vision has been recently built by two guideline papers which set the overall policy framework in the short term. The first is the “Eastern Partnership – 20 Deliverables for 2020: Focusing on key priorities and tangible results” and the second is the 2016 communication on the ‘Global Strategy for the European Union’s Foreign and Security Policy’. The EU should however become more proactive about selling the long-term benefit of EaP policy, rather than taking the virtues of the ‘Brussels model’ as a given.

From the partner countries’ perspective, expectations on EaP’s development are high though often diverse on the level of integration with the EU to which they aspire. These expectations have been evident in the common position prepared by the three EaP countries, Georgia, Moldova and Ukraine, in view of the Declaration of the Brussels Summit Meeting. The EaP is expected to gain more political weight while at the same time acquiring a stronger project – oriented agenda. Energy security, development of trans-border cooperation, migration and business support are areas for practical cooperation that will give tangible outcomes. Accession to Schengen zone, EU Customs Union, Energy Union with the EU and a Joint Digital Market are steps which are specifically put forward. For at least the three front runners in the EaP, this project based approach should not be however an end to itself, but it should prepare the partners for their integration in the EU.

Though the policy was launched as a government centered one, it has acquired a strong civil society element and turned more towards people to people contacts (education, mobility partnerships, and business). This ‘people first’ approach should remain as it strengthens the visibility of the policy. An issue that regularly comes up while discussing EaP is its potential in addressing issues of hard security, namely conflicts in Georgia, Ukraine and Moldova.  Though the EaP was neither designed as a security policy, nor is equipped with conflict resolution tools, it could develop as a policy against annexation and occupation tactics in Europe and stipulate defence cooperation between partners and the EU.

The EaP has been successfully balancing two fundamental policy principles – differentiation and inclusiveness. To this end, the EaP should give more motivation for further reforming and modernizing those participant countries which clearly identify the European way of development as the main internal and external policy priority. An efficient and successful EU policy strengthens the flank of pro-European forces and underpins the view that the EU continues to be a successful project of regional and global importance. Building resilience among the engaged partners is the guiding principle in substantiating EaP.

 

Annex I. Programme

Annex II. Conference presentations

  1. Panos Carvounis, Head of European Commission Representation in Greece_Welcome Remarks
  2. Archil Karaulashvili, First Deputy State Minister of Georgia_Talking Points
  3. Vassilis Maragos,Head of Unit for Armenia, Azerbaijan, Belarus & Eastern Partnership, DG NEAR, European Commission_Presentation

Annex III: EaP factsheets

  1. EU is strengthening businesses in Eastern Partner countries- factsheet
  2. EU Develops Digital Economies and Societies in Eastern Partner Countries
  3. Eastern Partnership a Policy that Delivers (from 2015)

 

Annex IV: 5th EaP Summit’s Joint Declaration

La faille qui sépare l'Amérique de ses alliés

Institut Montaigne - Mon, 11/06/2018 - 10:57

G7 au Canada, sommet avec Kim Jong-un à Singapour : Donald Trump a réussi l'exploit de se couper de ses alliés européens. 

Le parc national de Þingvellir, à 40 km au nord-est de Reykjavik, est le site historique le plus important d'Islande. C'est ici que les Vikings fondèrent le premier parlement démocratique en 930. C'est ici que fut proclamée l'indépendance de la République d'Islande le 17 juin 1944. C'est aussi une…

COMMENT SE SERVIR D’UN MULTIMETRE ANALOGIQUE ?

RMES - Mon, 11/06/2018 - 09:42

Le multimètre un appareil de mesure électrique à plusieurs fonctions permettant de déterminer la résistance, la tension, la continuité et bien d’autres valeurs en électricité. Il en existe deux types : le multimètre analogique, qui est le plus ancien parmi les deux, est toujours reconnu pour son efficacité et sa grande capacité. Ainsi, beaucoup d’électriciens amateurs veulent en faire usage, mais se retrouvent dans l’incapacité de l’utiliser. Plus de soucis, cet article vient régler efficacement le problème. Néanmoins avant de savoir l’utiliser, il faut d’abord faire sa connaissance.

Je vous conseille ce multimetre : https://votre-multimetre.com/test-avis-multimetre-de-proster-vc99/

C’est quoi un multimètre analogique ?

Fabriqué sur la base d’un ampèremètre qui est magnéto-électrique la plupart du temps. Il est également doté d’un convertisseur tension-courant. Son fonctionnement ne nécessite aucune pile ce qui le rend plus économique.

De quoi est-il composé ? Le multimètre analogique a une composition très simple :
  • Il est facilement reconnaissable grâce à son cadran à aiguille, composé de plusieurs échelles. Chaque échelle correspond à un calibre de mesure. Pour faciliter la lecture, ces dernières sont de couleurs différentes.

  • Le commutateur ou la molette de sélection se trouve au milieu de l’appareil. Il permet de choisir les fonctions selon l’usage que veut faire l’opérateur de l’appareil.

  • Les trous se trouvant un peu partout sur le boîtier sont les bornes. Leurs rôles sont de recevoir les différents cordons en fonction de l’usage que veut faire l’utilisateur du multimètre. Il en existe deux types généralement ; la borne COM ou (-) et la borne V ou (+).

  • Il y a aussi les cordons de mesure. Ce sont les deux câbles, généralement noir et rouge ayant des bouts métalliques pointus. Ceux sont eux qui vont en contact avec l’objet à mesurer.

Avec tous ces détails, vous êtes assez outillés pour pouvoir en faire usage.

à Regarder aussi : Les fonctionnalités supplémentaires sur votre téléphone fixe sans fil

Comment l’utiliser ? Cela se fait en plusieurs étapes :
  1. Mettez-le en marche s’il est équipé d’un interrupteur

  2. Servez-vous du commutateur rotatif pour sélectionner le type de mesure.

Exemple : pour mesurer la résistance, le commutateur doit être tourné vers la zone que couvre le symbole ‘’Ω’’.

  1. Ajustez le calibre en fonction de l’opération à effectuer

Exemple : pour la mesure des tensions alternatives, il est conseillé de choisir le calibre les plus élevé. Car, dans ces cas, on ne connaît pas avec certitudes l’ordre de grandeur de la tension.

  1. Placez les cordons de mesure dans les bornes correspondants

  2. Respectez les normes en matière de prise de mesure

  3. Procédez à la mesure à l’aide des câbles

  4. Consultez le résultat sur le cadran

Voilà qui est bien dit. Néanmoins, il est important de faire un petit zoom sur quelques aspects.

Attention !
  • Il est important de lire le manuel d’utilisation

  • Assurez-vous d’avoir déconnecté le circuit avant de mettre en marche le multimètre

  • Toujours sélectionner le plus grand calibre pour toutes les mesures avant de l’ajuster si nécessaire

  • Si vous avez des doutes, contactez un spécialiste.

Vous pouvez donc désormais utiliser le multimètre analogique.

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