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Diplomacy & Defense Think Tank News

Le Fine Gael arrive en tête des élections législatives irlandaises, mais le prochain gouvernement pourrait être difficile à former

Fondation Robert Schuman / Publication - Fri, 26/02/2016 - 01:00
Lors des élections législatives qui se sont déroulées le 26 février en Irlande, le Fine Gael (FG) (Clan des Gaels), parti du Premier ministre sortant (Taoiseach) Enda Kenny, a recueilli 25,52% des suffrages et remporté 50 sièges. En revanche, son partenaire gouvernemental, le Parti...

Klimawandel

Hanns-Seidel-Stiftung - Fri, 26/02/2016 - 00:00
Die Klimaerwärmung ist real, auch in Bayern. Soll eine lebenswerte Umwelt erhalten bleiben und Klimakatastrophen weitmöglichst vermieden werden, sind Transformationen z.B. im Energiesystem und der Landwirtschaft unverzichtbar. Vom 26. bis 28. Februar 2016 setzten sich die Stipendiaten, Vertreter aus Politik, Wissenschaft und Zivilgesellschaft in Kloster Banz mit der Problematik auseinander.

ICM holds its 14th Retreat on “Engaging, Supporting, and Empowering Global Youth”

European Peace Institute / News - Thu, 25/02/2016 - 18:09

On Friday, February 26th the Independent Commission on Multilateralism (ICM) hosted its 14th retreat on Empowering Global Youth.

Click here to view the event video on YouTube>>

The aim of the ICM’s retreat on Empowering Global Youth is to review how global challenges facing young people have been portrayed and analyzed within multilateral circles and take a critical look at the policies and practices for addressing them.

Following various breakout groups, from Economic Empowerment to Education, Implementation of the 2030 Agenda to Social and Political Inclusion, and Media and Messaging to Preventing Violent Extremism, the wrap-up sessions provided an opportunity for all participants to voice their thoughts and policy recommendations for the multilateral system.

« GAFA » ou les enjeux de l’optimisation fiscale des multinationales

IRIS - Thu, 25/02/2016 - 17:50

Le fisc français réclame 1,6 milliard d’euros à Google. A quoi correspond cette somme ? D’autres pays européens ont-ils eu le même genre de réclamation face au moteur de recherche américain ?
Premièrement, cette somme n’apparaît pas réellement surprenante. J’avançais depuis plusieurs années le chiffre d’un milliard d’euros de perte par an pour la France, si l’on prend les cinq-six plus grandes entreprises du net, surnommées GAFA (pour Google, Amazon, Facebook et Apple). Cette somme, qui comprend l’impôt et d’éventuelles amendes et autres pénalités de retard, signifie que Google n’a pas déclaré en France plusieurs milliards de revenus de chiffre d’affaires, qu’il s’agisse de la TVA ou de l’impôt sur les bénéfices. D’autres pays comme la Grande-Bretagne ont eu des réclamations qui concernaient de plus faibles sommes (environ 200 millions d’euros). Pour la Grande-Bretagne, il s’agit davantage de négociations, contrairement à la France qui réclame son dû sans négociations. L’impôt étant plus lourd en France pour les entreprises, cela explique en partie que la dette fiscale soit plus importante.

Quelles stratégies les grosses multinationales utilisent-elles pour échapper aux impôts ?
Les stratégies sont multiples. Il y a par exemple la stratégie du « double irlandais » ou du « sandwich hollandais », consistant à faire passer les ventes et les produits par des pays comme les Pays-Bas, l’Irlande et les îles Caïmans. Cela permet par des accords fiscaux entre les Etats de faire peser le chiffre d’affaires et le bénéfice là où il n’y a pas ou peu d’impôts. Par ces montages internationaux, en créant des sociétés qui sont parfois des sociétés écrans, on arrive à obtenir le maximum de bénéfices dans les paradis fiscaux, en réduisant ainsi très fortement l’impôt. L’impôt final pour certaines entreprises telles que Google a été calculé autour de 2,5-3% en moyenne, très loin des standards, même si en France la moyenne des grandes entreprises est assez faible (10% à 14% de taux d’imposition moyen). Ces stratégies, d’optimisation fiscale ou d’évasion fiscale, sont connues et avérées. On peut même parler dans certains cas de fraude fiscale. Il y avait une véritable nécessité que les Etats se mettent au travail et puissent agir, le manque à gagner représentant, comme je l’ai déjà évoqué, environ 1 milliard d’euros chaque année pour les grandes entreprises. Mais si l’on rajoute les stratégies de toutes les multinationales confondues, il s’agit de plusieurs milliards de pertes par pays de la taille de la France.

Les acteurs institutionnels ont-ils pris la mesure de l’enjeu de la lutte contre l’optimisation fiscale des multinationales et ont-ils commencé à prendre des mesures efficaces ?
Je pense que l’affaire Google est un signal très fort. Si l’on prend le cas de la France, on a l’impression, du moins dans les discours, qu’enfin un Etat décide d’attaquer. C’est également le cas de l’Allemagne, de l’Italie et de la Grande-Bretagne qui affichent une volonté d’agir. La France marque un gros coup et tape du poing sur la table. Ma théorie est que cela peut aussi être une réponse aux sanctions qu’ont fait peser les Etats-Unis sur les entreprises françaises, notamment les banques françaises – sanctions liées à des affaires d’embargo sur les armes avec paiement en dollars, et à des affaires de corruption et de blanchiment d’argent sale. Ceci étant dit, je pense qu’un changement radical est en train de s’opérer. S’il est pour le moment notable dans les discours, il faut espérer que cela se manifestera dans les actes. Maintenant que le ministre a ouvertement dénoncé les choses, Bercy a les mains libres pour aller au bout de l’affaire.
Toutefois, concernant la question de savoir si tout est fait pour que cela change, on s’aperçoit lorsque l’on analyse les derniers débats, notamment à l’Assemblée nationale, que l’on ne va pas nécessairement au bout de ce qu’il faudrait faire, notamment en matière de reporting. Du chemin reste à faire, bien qu’il y ait des avancées notables depuis quelques mois. Google est un peu le premier signal qui permet de devenir optimiste.

Die Krisen und Umbrüche in der arabischen Welt

SWP - Thu, 25/02/2016 - 16:45
Ansatzpunkte für eine friedliche Konfliktbearbeitung

Une perestroïka nécessaire pour la FIFA

IRIS - Thu, 25/02/2016 - 16:38

Le nouveau président de la FIFA sera élu vendredi 26 février par les 209 électeurs des Fédérations nationales. Deux favoris se détachent : l’Européen Gianni Infantino et le Cheikh Salman de Bahreïn. Le nouveau président aura pour mission de restaurer l’image de la FIFA, gravement compromise par les accusations de corruption et le raid spectaculaire de la police à l’hôtel où se tenait le Congrès du 27 mai 2015.

Sepp Blatter n’est pas accusé d’être corrompu à titre personnel. Il a plutôt pratiqué un clientélisme à grande échelle et a fermé les yeux sur la corruption qui a avant tout concerné les confédérations sud-américaines et la CONCACAF (Confédération de football d’Amérique du Nord, d’Amérique centrale et des Caraïbes).

Il n’y a pas plus de corruption qu’auparavant dans le football. Simplement aujourd’hui celle-ci est plus exposée. Il faut se rappeler qu’en 2006 l’Allemagne avait obtenu l’organisation de la Coupe du monde au détriment de l’Afrique du Sud grâce au changement du vote du délégué de l’Océanie au dernier moment.

La visibilité du football est sans commune mesure avec ce qu’elle était auparavant. Le raid de la police suisse en mai 2015 – évoqué précédemment – a suscité une tempête médiatique quasi équivalente au déclenchement d’une guerre. Il est certain que le football doit se réformer et gagner en transparence. Pourquoi ne pas demander à ce que les patrimoines des responsables soient rendus publics afin de pouvoir en observer l’évolution, comme cela est le cas dans de nombreux pays pour les responsables politiques ? Il pourrait également être judicieux que les votes pour l’attribution des compétitions et avant tout la Coupe du monde soient rendus publics. Il faut également féminiser la FIFA et limiter le nombre de mandats dans le temps.

Certains regrettent que le prochain président soit issu du système, craignant qu’il n’apporte pas les réformes nécessaires. Mais il est normal que le football mondial soit géré par quelqu’un qui n’est pas entièrement nouveau et qui a une bonne connaissance du sport et de sa gouvernance. Le nouveau président sera de toute façon, sous la pression du public, des médias et des sponsors, obligé de réformer et d’amener davantage de transparence. Venir de l’extérieur n’amène aucune garantie et peut même susciter des doutes sur sa compétence. Après tout, c’est bien de l’intérieur du système que Gorbatchev en Union soviétique ou De Klerk en Afrique du Sud ont entrepris de dynamiter un système oppressif.

Au vu des candidats, on peut néanmoins regretter que Michel Platini n’ait pas pu se présenter, tant sa personnalité est hors de proportion avec les deux favoris actuels. Le cheikh Salman a l’appui des confédérations asiatiques et africaines mais il n’y a pas de vote en bloc et chaque délégué fera son choix. Il était mis en cause dans la répression de son pays en 2011. Il s’est défendu d’avoir été un acteur de la violation des droits de l’Homme et l’affaire n’est pas pour le moment suffisamment documentée mais le doute ne devrait pas lui profiter. Certains délégués de la FIFA n’auront pas envie de voir un scandale éclater contre son président après l’élection. Cela renforce les chances d’un Infantino qui a par ailleurs fait des promesses de redistribution aux Fédérations africaines.

Il faudrait également réformer la Commission d’éthique qui porte très mal son nom et qui, en éliminant Platini, a procédé à un coup bas. On pourrait nommer de grandes figures, d’anciens footballeurs qui se sont investis dans des actions citoyennes à l’image du Brésilien Romário, du Français Lilian Thuram, de l’Ivoirien Didier Drogba ou du Franco-Sénégalais Pape Diouf.
Si le souci de transparence est réel, il faut néanmoins se méfier de certaines arrière-pensées. Le FBI n’aurait certainement pas ouvert une enquête de cette envergure si les États-Unis avaient obtenu l’organisation de la Coupe du monde 2022. Cette semaine, The Economist a lancé une idée qui circule beaucoup aux États-Unis : retirer à la FIFA la gestion du football mondial pour la donner à une société qui serait cotée en bourse à New York, ce qui selon l’hebdomadaire britannique donne plus de garantie de transparence. Au vu des affaires Enron et Lehman Brothers on peut en douter. Cela serait certainement un moyen de faire échapper le football au monde sportif. Le football doit se réformer mais ne doit pas être privatisé. Il faut relativiser les reproches faits à la FIFA en ayant en tête cette offensive idéologico-financière. Non la FIFA n’est pas une mafia entièrement corrompue. Oui, elle a eu des dirigeants qui ont été corrompus. La FIFA doit entamer sa perestroïka.

Générations d’idées : notre émission sur Public Sénat

Institut Montaigne - Thu, 25/02/2016 - 16:36
Introduction: Générations d’idées, nouvelle émission diffusée sur Public Sénat en partenariat avec l’Institut Montaigne et Tilder, laisse la parole aux jeunes avec, à chaque émission, une personnalité invitée autour d’un enjeu de société.

Retrouvez l’intégralité des émissions Générations d’idées.

Réagissez à l’émission sur Twitter via le hashtag #GénérationsID

Los dilemas del Reino Unido y de la UE: ¿salir o cambiar la Unión?

Real Instituto Elcano - Thu, 25/02/2016 - 11:56
DT 3/2016 - 25/2/2016
Araceli Mangas Martín
Hay varios factores que explican la vuelta a la carga de Reino Unido a la hora de reevaluar su relación con la Unión Europea. Sin embargo, el “no” a la permanencia abocaría al país a escenarios inquietantes en su política interna y externa.

France Culture – Laurence Daziano invitée à l’émission « Les Enjeux internationaux »

Fondapol / Général - Thu, 25/02/2016 - 10:07

Mercredi 24 février 2016, Laurence Daziano était l’invitée de Thierry Garcin dans l’émission « Les Enjeux internationaux » sur France Culture.

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TV5 Monde – Mustapha Cherif invité à l’émission « Grand Angle »

Fondapol / Général - Thu, 25/02/2016 - 09:54

Mercredi 24 février 2016, Mustapha Cherif était l'invité de TV5 Monde dans l'émission « Grand Angle » consacrée à l’Émir Abdelkader.

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Der US-Präsidentschaftswahlkampf 2016

Hanns-Seidel-Stiftung - Thu, 25/02/2016 - 00:00
Welche Kandidaten haben die besten Aussichten auf eine Nominierung durch Republikaner und Demokraten? Welche Strategien und Themen bestimmen den Vorwahlkampf? Spielt Umweltpolitik eine Rolle und welche Aufmerksamkeit kommt der Außenpolitik zu? Experten von beiden Seiten des Atlantiks diskutierten in Berlin.

¿Qué deparará la nueva legislatura en España en materia de cooperación?

Real Instituto Elcano - Tue, 23/02/2016 - 12:34
Opinión - 23/2/2016
Iliana Olivié y Aitor Pérez
Cuatro ideas para aliviar los problemas estructurales de las políticas de ayuda al desarrollo.

Professor G. Pagoulatos discusses the relationship between Greece and the EU in the Sunday edition of Kathimerini, 21/02/2016

ELIAMEP - Mon, 22/02/2016 - 11:20

You can read here the article on the relationship between Greece and the EU, which was written by Professor George Pagoulatos. The commentary was published on 21 February 2016  in the Sunday edition of Kathimerini and is available in Greek.

Professor Theodore Couloumbis discusses choices for Greek foreign policy in the Sunday edition of Kathimerini, 21/02/2016

ELIAMEP - Mon, 22/02/2016 - 11:08

You can read here the article on choices for Greek foreign policy, which was written by Professor Emeritus and Member of the Board of Trustees of ELIAMEP Theodore Couloumbis. This commentary was published on 21 February 2016 in the Sunday edition of Kathimerini.

Ungleichheit schadet den Einkommen der Armen

Bonn, Washington, 22.02.2016. Mit der Verabschiedung der Ziele nachhaltiger Entwicklung (Sustainable Development Goals,SDGs) in diesem Jahr haben die Vereinten Nationen eine wichtige globale Agenda für den Zeitraum 2015 bis 2030 festgelegt. Ein Aspekt, der in diesem Zusammenhang große Aufmerksamkeit erregt hat, ist das Problem der Einkommensungleichheit. Das Thema ist nicht neu auf der politischen Agenda. Dass es in Angriff genommen werden muss, ist mittlerweile Konsens.

Seit den 1950er Jahren haben viele ökonomische und politische Vordenker der Ungleichheit eine positive Wirkung auf das Wirtschaftswachstum zugeschrieben. Man ging davon aus, dass eine gewisse Wohlstandskonzentration zu mehr Ersparnissen führen würde, mit denen sich dann Investitionen in Wachstum finanzieren ließen. Ungleichere Gesellschaften böten dem Einzelnen einen stärkeren Anreiz, hart am Erfolg zu arbeiten. Aber wie so oft in der Ökonomie lässt sich das Argument auch ins Gegenteilige verkehren. Man könnte auch sagen: Der Schlüssel zur Wachstumsförderung in modernen Gesellschaften liegt weniger in materiellem Kapital. Wichtig ist stattdessen vor allem Humankapital in Form von Bildung. Fehlt einem größeren Bevölkerungsanteil der Zugang zu guter Bildung, kann das zukünftige Wirtschaftswachstum leiden. Man stelle sich eine Gesellschaft vor, in der gute Schulen nicht allen offenstehen, sondern hohe Gebühren erheben oder sich auf bestimmte Stadtviertel beschränken – eine Gesellschaft, in der die zugänglichen öffentlichen Schulen zurückbleiben, weil die Reichen nicht in sie investieren wollen. Ähnlich verhält es sich mit dem Gesundheitswesen.

Seit einiger Zeit wird die Frage, ob sich Ungleichheit positiv auf Einkommenswachstum und Armutsbekämpfung auswirkt, angesichts des verlangsamten Wachstums in reichen Ländern bei gleichzeitig steigender Ungleichheit immer wichtiger. Die Beziehung zwischen Ungleichheit und zukünftigem Wachstum wurde umfassend erforscht, aber leider nie schlüssig geklärt. So werden wichtige Zusammenhänge übersehen, wenn das Wachstum der Durchschnittseinkommen (oder des Pro-Kopf-Bruttoinladsprodukts) in den Mittelpunkt gestellt wird. Aber wie ergeht es Menschen auf unterschiedlichen Stufen der sozioökonomischen Leiter in ungleichen Gesellschaften? Genau dies haben wir in einer aktuellen Studie untersucht.

Anhand von Daten aus den USA aus den Jahren 1960 bis 2010 – einer Zeit, in der sich die US-amerikanische Wirtschaft und Gesellschaft grundlegend gewandelt und sich das Wachstum zugunsten der oberen Schichten verschoben hat – haben wir einen wichtigen Grundsatz aufgestellt: Ein hoher Grad an Einkommensungleichheit korreliert später mit niedrigeren breitenwirksamen Wachstumsraten – außer für die oberen Schichten. Für sie gilt diese negative Korrelation nicht. Im Gegenteil: Eine höhere Ungleichheit verbessert ihre späteren Wachstumsaussichten. Anders gesagt: Sehr ungleich strukturierte Gesellschaften ermöglichen ein Wachstum, das die Ungleichheit weiter verstärkt. Dies gilt zumindest für die USA im untersuchten Zeitraum.

Warum ist es so schwierig, diesen Kreislauf zu durchbrechen und, wie im Fall der USA, das Land wieder in Bahnen zu lenken, in denen alle vom Wachstum profitieren? Unsere Hypothese: Bei starker Ungleichheit und Spitzeneinkommen, die weit über den Mittelklasseeinkommen liegen, ziehen sich die Reichen aus der öffentlichen Bildung, dem Gesundheitswesen und aus sonstigen Angeboten zurück, da sie sich verstärkt auf private Anbieter konzentrieren. Das lässt sich als „sozialer Separatismus“ bezeichnen. 58 % der Reichen in den USA waren bereit, öffentliche Ausgaben für Bildung und Gesundheit zum Zweck des Defizitabbaus zu kürzen, während es bei der restlichen Bevölkerung nur 21 % waren. Die öffentlichen Güter, in die die Reichen nicht zu investieren bereit sind, entscheiden jedoch über das breitenwirksame Wachstum der Realeinkommen. Leider haben sich die Wünsche der Reichen bei öffentlichen Entscheidungen als einflussreicher als die der unteren Schichten erwiesen. Bei diesem Gesellschaftsmodell führt starke Ungleichheit zusammen mit nur beschränkt verfügbaren Krediten und dem Einfluss der oberen Schichten auf den politischen Prozess zu einem Beharrungszustand. In diesem blockieren niedrige öffentliche Ausgaben den Einkommensanstieg für die unteren Schichten blockieren und führen die Ungleichheit fort.

Auch wenn diese Studie es nicht direkt beweist: Strategien wie die Eindämmung des Einflusses des Geldes auf die Politik, die Bekämpfung der sozioökonomischen Segregation und der Zugang zu guter Bildung für alle Kinder unabhängig vom sozioökonomischen Hintergrund verringern die Ungleichheit und verbessern die breitenwirksamen Wachstumsaussichten.

Roy Van der Weide arbeitet als Ökonom in der Abteilung Armut und Ungleichheit bei der Weltbank. Branko Milanovic is Gastwissenschaftler beim Graduate Center der City University of New York und Wissenschaftler am Luxembourg Income Study Center. Mario Negre ist Ökonom in der Abteilung Armut und Ungleichheit bei der Weltbank und wissenschaftlicher Mitarbeiter beim Deutsches Institut für Entwicklungspolitik (DIE)

Inequality is bad for growth of the poor

Bonn, Washington, 22 February 2016. With the imminent adoption by the UN this year of the new Sustainable Development Goals (SDGs), an important global agenda will be set for the 2015-2030 period. In the present proposals under discussion an issue that seems to have attracted considerable attention is income inequality. While this is by no means a new topic, a growing consensus seems to be emerging that inequality needs to be tackled. A good chunk of the economic and political thinking since the 1950s has considered the effect of inequality on growth to be positive. A certain concentration of wealth was thought to facilitate the accumulation of savings that would fund growth-enhancing investments. In addition more unequal societies are believed to provide stronger incentives for individuals to work harder in order to succeed. But, as is often the case in economics, one can also think of arguments that would predict an opposite relationship. For example it can be argued that in modern societies the key to stimulating growth is the accumulation of human capital - that is education - more so than the accumulation of physical capital. If a significant share of the population has imperfect access to good quality education, then future growth may be constrained. Think of a society where good schools are not for everyone; where good schools come with high tuition fees or are tied to specific neighbourhoods; A society where affordable public schools are falling behind because the rich do not have an interest to invest in them. A similar argument can be applied to health care. The question whether high inequality today bodes well for future rates of income growth and poverty reduction has recently acquired added relevance because of the slowdown of growth in rich countries and simultaneously rising inequality. The relationship between inequality and future growth has been extensively researched but, unfortunately, the results proved to be inconclusive. We argue that by looking at growth of average incomes (or GDP per capita) important heterogeneities are being overlooked. The question we should be asking is: How do individuals at different steps of the socio-economic ladder fare in societies with different levels of inequality? This is precisely what two of us have just done in a recent study. Using data for the United States spanning the years 1960-2010 - a period of substantial transformation of America's economy and society during which growth moved from being pro-poor to being pro-rich - the study establishes an important stylized fact: High levels of income inequality are associated with lower future growth rates for the poor and the middle class. No such negative correlation is found to hold for the rich, if anything, higher inequality is found to help their future growth prospects. In other words, highly unequal societies are found to stimulate the type of economic growth that further enhances inequality, at least in the United States for the time period under consideration. What makes it so hard to put a halt to this cycle and - in the case of the United States - put the country back on a trajectory where growth is shared by all? We hypothesize that when inequality is high and top incomes are significantly greater than the incomes of the middle classes, the rich prefer to opt out of publicly-funded and publicly-provided education, health care and other services, as they increasingly consume them privately. This can be seen as "social separatism". Indeed, when asked if they would be willing to cut public spending on education and health as a way to reduce the deficit, 58 % of the rich in the United States are in favor of such cuts versus only 21 % among the rest of the population. The public goods that the rich are not interested to invest in are, however, crucial for real income growth of the poor. Unfortunately for the poor, the preferences of the rich have been found to carry more weight in public decision making than the preferences of the poor or even those of the median voter. It is a model of society where high inequality, combined with credit constraints and influence of the rich on the political process, results in a steady-state of low government spending, which in turn holds back the rise of poor people's incomes and perpetuates inequality. While this study does not provide direct evidence for it, policies that would arguably reduce inequality and improve the growth prospects of the poor and the middle class include curbing the influence of money in politics, confronting socio-economic segregation, and ensuring that every child regardless of socio-economic background has access to good quality education. Branko Milanovic is Visiting Presidential Professor at the The Graduate Center, City University of New York, and Senior Scholar in the Luxembourg Income Study Center. Roy Van der Weide works as Economist at the Poverty and Inequality Unit of the World Bank Research Department. Mario Negre is Senior Economist at the Poverty and Inequality Unit of the World Bank Research Department and Senior Researcher at the German Development Institute / Deutsches Institut für Entwicklungspolitik (DIE).

Qualifications aux fonctions de Maîtres de Conférence du Conseil National des Universités

Centre Thucydide - Mon, 22/02/2016 - 09:39

Le Centre Thucydide a l'honneur et la joie de vous annoncer les qualifications de deux de ses membres et chercheurs associés, Madame Célia BELIN et Madame Manon-Nour TANNOUS, en tant que Maîtres de Conférence à la section 04 du Conseil National des Universités.
Le Centre Thucydide leur transmet ses chaleureuses félicitations.

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