La ville de Kindu, chef-lieu de la province du Maniema, fait face à une recrudescence des cas d’insécurité ces derniers jours. Le plus récent remonte à la nuit du dimanche 16 novembre : quatre maisons ont été cambriolées, suscitant l’inquiétude des habitants.
Les services du Groupe Territorial de la Gendarmerie nationale d’Ouled Fayet ont mis fin à l’activité d’un réseau criminel particulièrement violent. Ce groupe est spécialisé […]
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Un contrôle conjoint de l'Office national de la sécurité routière (ONASER), de la police municipale et de la police nationale, mené ce mardi 18 novembre 2025 à Fada N'Gourma, a conduit à l'interpellation de 75 usagers pour non-port du casque, rapporte l'AIB.
Les contrevenants ont été commis aux travaux d'intérêt général sur le site de l'initiative présidentielle Faso Mêbo.
Selon les statistiques du contrôle mené après plusieurs séances de sensibilisation sur le port du casque, 60 motos et 4 tricycles ont été saisis en l'espace de 30 minutes.
Les usagers appréhendés ont été orientés dans l'immédiat vers les travaux d'intérêt général, en plus de l'acquittement des amendes prévues.
Certains contrevenants disent apprécier l'initiative, malgré les sanctions.
Le peintre Relwendé Aimé a dit être content de travailler sur le site de Faso Mêbo.
« C'est vrai que c'est suite à une infraction, mais je me réjouis tout de même parce que je contribuerai ainsi à la construction de mon pays », a-t-il dit.
Abdou Alidou a été interpellé pour non-port du casque.
« Circuler sans porter le casque est dangereux. Je conseille aux autres usagers de porter le casque avant de prendre la route », a-t-il interpellé.
Pour le directeur de la police municipale de Fada N'Gourma, Yacouba Nakaré, les opérations de contrôle interviennent après une longue phase de sensibilisation.
Il a précisé que les travaux d'intérêt général imposés s'étendent pour l'instant sur une journée.
« Toutefois, avec le passage à une phase plus répressive, la durée pourrait aller jusqu'à une semaine en cas de récidive », a indiqué Yacouba Nakaré.
Les Forces de sécurité entendent poursuivre ces opérations afin de réduire les accidents liés au non-respect du port du casque dans la cité de Yendabli.
Lefaso.net
Source : Agence d'information du Burkina
Le Directeur général adjoint de la SIPI-Bénin, société en charge du développement, l'exploitation et la gestion de la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ), a présenté, mardi 18 novembre 2025, la contribution de la Zone à l'intégration du Bénin dans les chaînes de valeur régionales et internationales. C'est lors de la conférence périodique de la Direction générale de l'économie (DGE).
Avec ses infrastructures modernes et ses incitations fiscales, la Zone industrielle de Glo-Djigbé (GDIZ), attire investisseurs locaux et étrangers, favorise la transformation des produits agricoles.
La GDIZ s'impose comme un levier stratégique pour l'intégration du Bénin dans les chaînes de valeur régionales et internationales, a expliqué Faki Adje, le Directeur général adjoint de la SIPI-Bénin lors de la conférence périodique de la Direction générale de l'économie (DGE) tenue mardi 18 novembre dernier.
Créée en février 2020, la GDIZ est le fruit d'une joint-venture entre le gouvernement béninois, à hauteur de 35 %, et le groupe ARISE, détenant 65 %. Elle couvre 1 640 hectares et vise principalement à attirer les investissements locaux et étrangers, notamment pour la transformation des produits agricoles et des ressources naturelles.
« Notre objectif est de positionner le Bénin au niveau des chaînes de valeur afin de capter la plus grande partie de la valeur », a souligné Faki Adje.
La zone offre un cadre légal clair pour les investisseurs, avec des exonérations fiscales pendant la phase d'installation et d'exploitation, pouvant aller de 12 à 17 ans. Elle dispose d'un guichet unique pour simplifier les formalités administratives, de structures étatiques présentes sur site et d'une autorité de régulation.
La GDIZ propose une plateforme complète, industrielle, logistique, commerciale et résidentielle. Elle est dotée d'électricité, d'eau, de services gestion des déchets et des infrastructures de sécurité.
Faki Adje a indiqué que la première phase de 400 hectares est achevée et que la seconde phase, également de 400 hectares, sera bientôt lancée. Plus de trente investisseurs ont déjà signé des contrats, dont quinze unités déjà opérationnelles. La zone a créé 20 000 emplois et prévoit d'en générer le double d'ici fin 2025, principalement dans le secteur textile.
Le Bénin vise à transformer l'intégralité de ses 300 000 tonnes annuelles de coton fibre d'ici 2030, avec une capacité de confection d'un milliard de pièces.
La GDIZ accueille déjà des unités produisant pour des marques européennes et américaines, ainsi que pour les forces de défense et de sécurité.
Outre le textile, la zone développe des unités de transformation de noix d'anacarde, de soja, de carton d'emballage et de production de carreaux ''made in Benin''.
« L'objectif est de créer 300 000 emplois d'ici 2030, augmenter le PIB de 7 milliards de dollars et accroître les exportations de près de 10 milliards », a précisé le DGA de la SIPI-Bénin.
M. M.
Le gouvernement a tenu ce mercredi 19 novembre 2025, la session ordinaire du Conseil des ministres. Plusieurs décisions ont été prises.
Lire les grandes décisions
Le sol de la wilaya de Batna a tremblé ces derniers jours, rappelant subtilement aux habitants la présence permanente des forces géologiques sous leurs pieds. […]
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En juillet, l’armée tchèque fit savoir qu’elle n’était pas satisfaite du résultat des essais réalisés avec les deux premiers CAESAr 8×8 [Camions équipés d’un système d’artillerie de 155 mm] qu’elle venait de recevoir sur les soixante-deux commandés auprès de KNDS France. « Sur la base de la documentation fournie, l’armée a effectué une série d’analyses techniques...
Cet article Une différence d’interprétation sur les échanges de données explique les difficultés des CAESAr tchèques est apparu en premier sur Zone Militaire.
Startups do not operate in a void and institutions in their direct environment impact them. This working paper is a first in depth field research of a single accelerator in Greece, a country that is relatively lacking in international rankings for innovation and competitiveness. We chose to focus on MIT Enterprise Forum Greece (MITEF Greece, 2015-2022), the only accelerator in the country to be linked to an international university. We used a mixed qualitative and descriptive statistics methodology. Our main findings are that its accelerated startups and their founders stood out in the startup ecosystem in the following ways: founders were a mosaic of local and Diaspora Greeks as well as non-Greeks, startups had a global reach, with a presence in 20 countries and an impressive share in deep tech processes and sectors, thus enhancing substantially the geoeconomic reach of the Greek startup community. Indicatively among the top sectors medicine- life sciences, environment-energy, and technical solutions-robotics stood out from the beginning although this sectoral composition was not usual among startups in the Greek ecosystem especially before 2019. In a nutshell, MITEF Greece accelerated startuppers stood at the cutting edge of the nexus of innovation and internationalization in the Greek startup ecosystem.
How was this made possible? We put forward the hypothesis that this outcome was attained as a result of the following multiple factors: the dedication; high expertise; open mindset; heritage of a culture of trust, reciprocity and strong sense of community (“μαζί”) of the Greek MIT graduates (local, brain drain and Diaspora), who were running MITEF Greece; the careful selection process of startups accepted in acceleration programs; the ample business and technological know-how resources available to MITEF Greece by the vast global MIT entrepreneurship community and its enthusiastic pool of Diaspora Greeks in the USA who were involved in the accelerator and its offspring The Hellenic Innovation Network.
Although the case of MITEF Greece cannot be exactly replicated, we believe that it offers useful insights for minimizing the disintegration and lack of communication between support organizations and policies for the startup ecosystem. It is an extraordinary example of actively enhancing internationalization of innovation through commercialization of research results, an important GIFT for Greece at a time of rising deglobalization and global economic fragmentation. This is the ultimate lesson derived from this case study.
Read here in pdf the study by Ioanna Sapfo Pepelasis, Professor Emerita, Athens University of Economics and Business (AUEB);
Senior Research Fellow at ELIAMEP; Jenny Vidali, MA, College of Europe; Athanasios Kolokythas, PhD student, Toulouse School of Economics (TSE). Research assistance was provided by: Tigran Ghalümyan,Grant Thornton and George Themelis, Senior year undergraduate student, Athens University of Economics and Business (AUEB).
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