Porté à la tête de la Police nationale en juillet 2025, l'inspecteur général de Police, Thierry D. Tuina, est, depuis un moment, sur le terrain, à la rencontre de son personnel. Un périple qui l'a conduit le 9 octobre 2025 dans la région de Oubri et le vendredi 10 octobre dans la région abritant la capitale politique, Kadiogo.
Cette tournée générale a été initiée pour communier avec les personnels policiers en service sur toute l'étendue du territoire national, aux fins de les mobiliser et maintenir le cap autour des mêmes idéaux.
"Comme de coutume, le directeur général de la Police nationale a édicté quatre messages aux policiers de la région de Oubri, avec à leur tête, le commandement régional. Ces messages ont consisté en des félicitations, encouragements et reconnaissance pour les efforts et sacrifices consentis ; une invite à maintenir la cohésion et la discipline entre les policiers, tout en faisant corps avec leurs hiérarchies ; un partage de sa vision pour la Police : « l'innovation stratégique et opérationnelle pour une sécurité au quotidien » et en une présentation de la méthodologie de travail. Ce dernier point, la méthodologie de travail, se décline en cinq points, à savoir une maîtrise de la science policière et de son domaine de travail ; une gestion par objectifs qui allie action et finalité ; une culture des résultats qui ouvre la voie au succès ; un esprit d'innovation et d'ingénierie sécuritaire ; une méthodologie efficace permettant la mise en place de systèmes, dispositifs et produits de sécurité standardisés et durables", peut-on retenir du compte-rendu diffusé sur la page Facebook de la Police nationale Burkina Faso.
Ces échanges qui ont également permis au premier responsable de recenser les préoccupations et doléances en vue de renforcer le bon fonctionnement des services, se sont poursuivis avec les responsables des autres composantes des Forces de défense et de sécurité (FDS) et ce, dans la même motivation de raffermissement des liens autour d'objectifs communs : la sécurité des personnes et des biens dans un contexte de lutte contre le terrorisme, un promontoire qui mène vers la reconquête de l'intégralité du territoire national.
Autre région, même esprit. Dans le Kadiogo, le directeur général,Thierry D. Tuina, a échangé avec le gouverneur.
« Très réjoui de cette démarche, monsieur le gouverneur a placé cette visite sous le signe d'une collaboration autour de la co-production par la résolution des problématiques de sécurité publique de sa région, qu'il a pris le soin d'identifier séance tenante. Selon le gouverneur, cette résolution pourrait passer par la mise en place de cellules de veille dans chaque quartier des 12 arrondissements que compte sa circonscription administrative », lit-on.
En termes de perspectives, ces actions devront être soutenues par la participation communautaire régionale par le biais de la collaboration entre populations et acteurs professionnels de sécurité dans ce contexte de lutte contre le terrorisme.
Lefaso.net
Le Tribunal de commerce de Cotonou a ordonné, le 25 juillet 2025, le transfert de la marque « VAN PUR Premium + Étiquette » à la société polonaise VAN PUR S.A., estimant qu'elle avait été déposée « en fraude de ses droits » par son distributeur béninois PRIMERO S.A.
Dans un jugement contradictoire rendu en premier ressort, la Première chambre du Tribunal de commerce de Cotonou a condamné PRIMERO S.A. à verser 100 millions de francs CFA à titre de dommages-intérêts, ainsi que 2 millions de francs CFA au titre des frais irrépétibles à la société polonaise VAN PUR S.A.
C'est pour des faits de « demande d'enregistrement de ladite marque faite par la société PRIMERO SA (...) au mépris de toute loyauté dans l'exécution des obligations contractuelles ».
La société VAN PUR S.A., productrice de bière en Pologne, avait confié la distribution de ses produits à PRIMERO S.A. depuis 2007. Selon les juges, cette dernière a profité de ce contrat pour déposer, en 2015, la marque « VAN PUR Premium + Étiquette » en son propre nom auprès de l'Organisation Africaine de la Propriété Intellectuelle (OAPI), sans l'autorisation du véritable propriétaire.
Pour le tribunal, il ne fait aucun doute que PRIMERO avait « connaissance de l'usage intensif et généralisé de ladite marque » par la société polonaise, et que son enregistrement visait à usurper les droits de cette dernière.
« La confusion nuit non seulement à la réputation commerciale de la société VAN PUR, mais peut aussi entraîner des conséquences sanitaires graves », a indiqué le jugement N°025/2025/CJ1/S1/TCC du 25 juillet 2025.
Si le tribunal a refusé d'ordonner l'exécution sur la minute, il a tout de même autorisé l'exécution provisoire du transfert de la marque.
Le tribunal a en revanche mis, le directeur général de PRIMERO, hors de cause, faute de preuve d'une implication personnelle.
M. M.
Le Tribunal de commerce de Cotonou a tranché en faveur des propriétaires d'une boutique en bail à Cotonou, malgré les travaux de réfection que la locataire affirme avoir réalisés.
Locataire depuis 2008 d'une boutique au quartier Zogbohouè à Cotonou, une dame prétend avoir réalisé des travaux de réfection estimés à 2.553.533 FCFA sur le local en raison de son état de dégradation avancée. Ces investissements devraient être remboursés en termes de loyers, selon les clauses de l'accord avec la défunte propriétaire.
Elle précise n'avoir consommé que six cent mille (600.000) francs CFA sur son investissement à fin 2024.
Mais les héritiers propriétaires s'y opposent. Ils saisissent le Tribunal de commerce de Cotonou le 14 novembre 2024, pour demander la résiliation du bail, l'expulsion de la locataire et le paiement de 650.000 FCFA d'arriérés de loyer.
La locataire invoque un trouble à la jouissance du local loué.
Dans son jugement rendu le 25 juillet 2025, le tribunal a relevé l'absence d'autorisation formelle des propriétaires actuels, rejetant l'argument de compensation des loyers.
« Les améliorations apportées à l'immeuble en location ne sont opposables au bailleur que s'il y a consenti », a rappelé le tribunal, avant de conclure que la locataire « ne justifie en rien l'accord des héritiers (…) ni sur le principe d'investissements encore moins sur l'évaluation ».
La demande de cessation de trouble invoquée par la locataire a été rejetée.
Le tribunal de commerce de Cotonou a prononcé la résiliation du bail liant la revendeuse aux héritiers propriétaires. La locataire est également condamnée à payer 650.000 francs CFA au titre de loyers impayés.
M. M.
Le tribunal criminel de première instance près la Cour de M’sila a condamné, lundi, l’ancien directeur de l’hôpital Mère et Enfant de Sétif à 20 […]
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Le Service régional de la Police judiciaire de Oubri (SRPJ-Oubri) a mis la main sur un vaste réseau formé de deux gangs, spécialisés dans des faits d'escroquerie, de faux monnayage, de faux et usage de faux en bande organisée dans les régions de Oubri (Ziniaré) et du Kadiogo (Ouagadougou).
Le mode opératoire du réseau variait en fonction du groupe, campe la Police nationale dans une publication faite sur sa page Facebook dans la soirée de mardi, 14 octobre 2025.
Le premier groupe identifiait ses victimes généralement dans les lieux publics, tels que les débits de boissons, où sont projetés les matchs de football en direct. « Après quelques temps d'échanges, ils (les membres du groupe : Ndlr) proposaient à leurs victimes leur service, qui consistait à multiplier pour elles des billets de banque qu'il faudra réussir à écouler avant six mois. Dès qu'ils parvenaient à convaincre une personne, ils découpaient des feuilles blanches en format de billets de banque, soit en francs CFA soit en devises étrangères, qu'ils emballaient dans un sachet.
Ils conditionnaient, en présence de la victime, de vrais billets dans un autre sachet, presqu'identique au premier et profitaient de l'inattention de celle-ci pour échanger les sachets. La victime recevait d'eux un liquide qui servira à asperger le sachet à une heure précise avant de le déballer. C'est par la suite qu'elle constatera que ces malfrats se sont retirés avec le sachet contenant les vrais billets », relate la police nationale, ajoutant que le groupe se livrait au faux monnayage, en s'approvisionnant à travers ses partenaires dans les pays voisins et écoulait ces billets sur le marché burkinabè.
Le second gang, lui, fouillait les poubelles des grandes entreprises et secrétariats publics situés dans les zones comme Ouaga 2000, Projet ZACA et Boins-yaaré, à la recherche de documents contenant des adresses téléphoniques. Une fois les adresses obtenues, ils les contactaient pour leur faire des propositions de vente, d'embauche et bien d'autres services. Dès qu'une victime mordait à l'hameçon, ils la mettaient en confiance sur l'existence du bien ou du poste en question avant de commencer à lui soutirer de l'argent à travers les téléphonies-mobiles.
Durant tout le processus, ces malfrats se rassuraient, à travers leurs indicateurs, de la présence ou non des Forces de défense et de sécurité sur le terrain avant d'opérer. Il arrivait qu'ils identifient également leurs victimes à travers les réseaux sociaux et procédaient de la même manière pour les dépouiller de leurs biens.
« Des non nationaux font partie de ce vaste réseau. Ces derniers utilisaient des documents avec des identités falsifiées, pour échapper aux avis de recherches émis par les services compétents.
Grâce à la collaboration des populations, les enquêteurs ont réussi à appréhender quatre membres actifs de ce réseau et saisir plusieurs objets, dont de faux billets de banque (devises étrangères et FCFA), des coupons de papiers en forme de billets de banque, du matériel informatique, des téléphones-portables, des puces électroniques des réseaux de téléphonie mobile et des motos », reconstitue la police nationale.
La Police nationale exhorte les populations à plus de vigilance, à éviter l'esprit de gain facile et à faire usage de détecteurs de faux billets, surtout les services et entreprises commerciales qui manipulent l'argent.
Pour dénoncer les cas suspects, les numéros verts sont à la disposition du public : les 17, 16 et 1010.
Lefaso.net
Une candidate indépendante Françoise Gbayido s'est présentée, ce mardi 14 octobre 2025, au siège de la CENA pour déposer son dossier de candidature à l'élection présidentielle de 2026. Elle n'a pas été autorisée à accéder aux locaux de l'institution, faute de colistier.
Conformément aux dispositions en vigueur, toute candidature à la présidentielle doit être présentée sous la forme d'un duo (président et vice-président). N'ayant pas satisfait à cette exigence, la prétendante à la magistrature suprême, Françoise Gbayido n'a donc pu effectuer le dépôt de son dossier.
Malgré cet incident, la candidate a réaffirmé devant les journalistes sa détermination à participer au scrutin. Elle dit vouloir œuvrer pour que le Bénin atteinge l'équilibre économique et financier.
Françoise Gbayido avait déjà tenté en 2021 de poser sa candidature à la présidentielle. Mais elle a été rejetée pour dossier incomplet. Pire, elle avait présenté comme logo, l'image de la Vierge Marie.
Le processus de réception des dossiers de candidature s'achève ce mardi 14 octobre à 00 heure.
A.A.A
Le rêve d'une première qualification des Guépards du Bénin à une phase finale de la Coupe du monde s'est estompé en début de soirée ce mardi 14 octobre 2025, au Godswill Akpabio International Stadium de Uyo au Nigéria. Face aux Super Eagles, ils se sont inclinés par un score de 4 buts à 0.
Les Guépards du Bénin n'iront pas à la Coupe du monde 2026. Premier du groupe C au terme de la 9e journée des éliminatoires, ils se sont inclinés ce mardi face aux Super Eagles du Nigéria par un score lamentable de 4 buts à 0 au terme d'un match comptant pour la 10e et dernière journée de ces éliminatoires.
Les Nigérians visiblement plus forts, ont pris la rencontre à leur avantage en ouvrant le score dès les 5 premières minutes grâce Victor Osimhen, attaquant de Galatasaray. Profitant des failles de la défense béninoise, Osimhen réalise un doublet à la 37e minute. Score à la première partie, 2-0 pour le Nigéria.
A la reprise, les Super Eagles plus déterminés violent par deux fois, les filets des buts béninois inscrivant un 3e but à la 51e minute, et un autre en fin de rencontre. Lourdement dominés au terme de cette rencontre, les Guépards voient leur rêve de qualification s'envoler.
Il en est de même des Super Eagles qui, malgré la victoire contre le Bénin ne pourront participer à la prochaine Coupe du monde car, l'Afrique du Sud, 2e après les matchs de la 9e journée s'est imposée au Rwanda par un score de 3 buts à 0. Une victoire qui permet aux Bafana-Bafana de prendre la tête du groupe C et de se qualifier.
F. A. A.
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Le duo de candidats du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE), Paul Hounkpè - Rock Judicaël Hounwanou, a procédé, ce mardi 14 octobre 2025, au dépôt de leur dossier à la Commission électorale nationale autonome (CENA) pour l'élection présidentielle 2026.
Le dépôt de dossier de candidature pour l'élection présidentielle de 2026 continue à la CENA. Paul Hounkpè et son colistier Rock Judicaël Hounwanou se sont rendus dans les locaux de l'institution ce mardi après 17 heures.
Accueillis par les conseillers de la CENA, ils ont rempli les formalités de dépôt de candidature.
A l'issue du dépôt de dossier de candidature, Paul Hounkpè a fait une brève déclaration devant la presse. « Nous voulons un Bénin apaisé, gouverné avec éthique et efficacité. Notre candidature est celle d'un espoir renouvelé. ».
Son colistier Judicaël Rock Hounwanou n'a manqué de saluer la forte mobilisation des journalistes à ses côtés. « Je remercie mes confrères pour leur présence fraternelle. Ensemble, nous portons une vision de proximité, de vérité et d'engagement pour le bien commun », a-t-il déclaré.
Le parti FCBE entre ainsi dans la course pour la Marina. C'est le troisième dossier de candidature enregistré à la CENA après celui de Romuald Wadagni-Mariam Chabi Talata et du duo surprise Prince Anatole Ouinsavi et sa colistière Bello Agathe.
A.A.A
Le Collectif Wadagni Président a rendu public son manifeste intitulé « 120 idées pour faire encore gagner le Bénin ». Ce document dense et structuré expose la vision et les propositions portées en faveur de la candidature de Romuald Wadagni à l'élection présidentielle de 2026.
Fruit d'un travail de réflexion mené par de jeunes Béninois issus de divers horizons, leur action « se distingue par des propositions d'idées de réformes et d'actions structurantes de développement pour accompagner Romuald Wadagni dans la conquête du suffrage universel et l'exercice du pouvoir une fois élu et investi président de la République du Bénin en 2026. Le document dresse d'abord une analyse de la situation nationale, saluant les transformations engagées depuis 2016 sous le leadership du président Patrice Talon. « En moins d'une décennie, le Bénin a enregistré des performances économiques remarquables, malgré un contexte mondial marqué par des crises successives », affirme le collectif Wadagni Président. Il relève une croissance moyenne annuelle de 5,5 %, une amélioration de l'environnement des affaires et une modernisation notable des infrastructures publiques.
Pour les auteurs du manifeste, il s'agit désormais de consolider ces acquis et de poursuivre la marche vers un Bénin « encore plus fort, plus prospère, plus inclusif et plus souverain ». Le choix de Romuald Wadagni, actuel ministre d'État chargé de l'Économie et des Finances, est présenté comme « une opportunité unique de poursuivre l'œuvre de transformation économique et de modernisation du pays »
Une vision axée sur la croissance et le capital humain
Dans sa section « Notre vision », le collectif fixe un cap ambitieux : « Une croissance économique d'au moins 7 à 8 % par an, riche en emplois, un renforcement de la compétitivité des entreprises locales et une transformation radicale de l'éducation, de la formation et du développement des ressources humaines. »
L'éducation, la santé et la protection sociale y tiennent une place centrale. Le document appelle à « un système de santé moderne et accessible, faisant du Bénin un modèle régional de couverture sanitaire universelle » et à « un système de protection sociale juste, inclusif et efficace, garantissant à tous les citoyens la sécurité face aux risques de la vie ».
Trois piliers structurants
Le manifeste s'articule autour de trois grands axes : le renforcement de la démocratie de l'Etat de droit et la bonne gouvernance, la transformation structurelle de l'économie et l'amélioration du bien-être social des populations.
Démocratie et gouvernance
Le collectif plaide pour une justice accessible, rapide et numérique tout en mettant en œuvre l'e-justice à travers la dématérialisation des procédures et la digitalisation du suivi des dossiers. Il propose également de renforcer la décentralisation par une meilleure coordination entre l'État et les collectivités locales, et de généraliser la transparence dans la gestion publique, avec la déclaration obligatoire de patrimoine pour les hauts fonctionnaires.
Transformation économique
Le manifeste met l'accent sur l'industrialisation, les infrastructures et le numérique comme moteurs du développement. C'est à travers la modernisation du Port autonome de Cotonou, l'achèvement de l'aéroport de Glo-Djigbé, le développement de zones économiques spéciales, et la montée en puissance des énergies renouvelables etc.
Le secteur agricole n'est pas en reste : il s'agit de « développer des chaînes de valeur compétitives et créatrices d'emplois, notamment pour les jeunes et les femmes », tout en promouvant une agriculture durable et résiliente face au changement climatique.
Bien-être social et inclusion
Sur le plan social, le collectif propose de renforcer la protection des familles et de l'enfance, de consolider le programme ARCH, et de garantir une couverture sociale universelle.Les jeunes béninois souhaitent aussi la construction de nouveaux centres hospitaliers universitaires à Cotonou, Parakou et Abomey-Calavi, ainsi que la digitalisation du système de santé à travers la plateforme nationale e-Santé.
En matière d'éducation, il plaide pour la modernisation de l'enseignement technique et professionnel, la refonte des curricula et la promotion des sciences, technologies et mathématiques (STIM).
Romuald Wadagni, un projet de continuité et d'innovation
Le manifeste met en avant une approche pragmatique de la gouvernance publique, conjuguant rigueur financière et innovation. « Notre engagement vise à transformer les défis de notre temps en opportunités de progrès, d'inclusion sociale et de rayonnement national », affirme le Collectif. Ce document, présenté comme un « guide d'action pour le quinquennat 2026–2031 », trace la voie d'un Bénin tourné vers la performance, la justice sociale et la souveraineté économique. À travers ses 120 propositions, le Collectif WADAGNI PRÉSIDENT entend « construire en commun » un projet pour faire « encore gagner le Bénin ».
A.A.A
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La situation reste, ce mardi 14 octobre 2025, toujours confuse à Madagascar, où une manifestation de rue conduit à une implication politique. De revendications sociales, les manifestants ont exigé la démission du président, finalement contraint à l'exil, mais sans renoncer au pouvoir.
Une unité militaire qui s'est ralliée aux manifestants contre le président Andry Rajoelina, a annoncé au cours de la journée, prendre le pouvoir. C'est la confusion qui règne, quand on sait que l'Assemblée nationale a voté, toujours ce mardi, la destitution du président Andry Rajoelina à une large majorité, alors que le chef d'Éta avait prononcé plus tôt la dissolution de l'institution.
Quelques heures également avant cette déclaration, le président a, via la réseaux sociaux, et de son exil, adressé un message à la nation, dans lequel il a expliqué qu'une tentative d'attaque contre le palais avait été planifiée en fin de semaine.
"La Haute cour constitutionnelle (HCC) s'invite dans la résolution de la crise. Dans une décision rendue ce mardi, elle constate la vacance de la présidence de la République et invite l'autorité militaire qu'elle dit ""incarnée par le Colonel Michael Randrianirina", à assumer les fonctions de chef de l'Etat. La décision de la HCC a été prise suite à une requête déposée lundi par le vice-président de l'Assemblée nationale Siteny Randrianasoloniaiko qui est aussi chef de l'opposition parlementaire. Selon la décision de la HCC, toutes les institutions de la République devraient rester en place et des élections doivent être organisées dans les 60 prochains jour", reconstitue le média malgache, 2424.mg.
Situation socio-politique à Madagascar, une actualité qui reste donc vive.
Lefaso.net
Le secteur pétrolier algérien affiche une dynamique remarquable pour le mois de septembre 2025. Selon le dernier rapport mensuel de l’Organisation des pays exportateurs de […]
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L'artiste comédienne Justine Antoinette Bada, alias « Mémé Dédié » ou « Mémé Propriétaire » ou encore « mémé Djabi », est décédée dans la nuit du lundi 13 au mardi 14 octobre 2025 à Tori-Bossito.
L'annonce de son décès a été faite par l'humoriste Biscotino 90 cerveaux, un proche de la défunte. Il précise que c'est à 4 h du matin que la comédienne béninoise est passée de vie à trépas.
Justine Antoinette Bada souffrait de plusieurs maux dont l'hypertension artérielle, selon ses proches. Il y a quelques mois, une cotisation avait été lancée sur les réseaux sociaux, notamment sur TikTok, pour lui venir en aide.
Ancienne actrice bien connue du public béninois, elle s'est faite remarquer sur les podiums avant de participer à plusieurs projets cinématographiques. Elle a surtout marqué les esprits avec le film du comédien Caïman, dans lequel elle incarnait une propriétaire exigeant à ses locataires de payer avant d'aller aux toilettes.
Marina HOUENOU (Stag)
Gestionnaire en hôtellerie et restauration, Ratamanégré Ali Taonsa veut redonner vie au tourisme local à travers son projet « Village de vacances Ratamanégré ». Implanté dans son village natal, Kuy, dans la commune de Boussé, ce site entend allier hospitalité, gastronomie locale et développement communautaire.
Ratamanégré Ali Taonsa : Lefaso.net : Qu'est-ce qui vous a motivé à initier ce projet ?
La principale motivation de la mise en œuvre du projet vient de ma formation et de ma passion pour le domaine hôtelier et touristique. En tant qu'étudiant en gestion des entreprises hôtelières, j'ai toujours rêvé de contribuer à la promotion et à la modernisation du secteur touristique au Burkina Faso. Ce projet vise donc à valoriser le tourisme burkinabè et à offrir une nouvelle expérience à la fois aux touristes et aux habitants.
À quel public s'adresse votre projet ?
Le « Village de vacances Ratamanégré » s'adresse en priorité aux touristes, qu'ils soient nationaux ou internationaux, mais aussi aux autochtones qui souhaitent découvrir ou redécouvrir leur patrimoine local. Il proposera des services d'hébergement, de restauration et des espaces de jeux et de détente accessibles à tous.
En quoi votre projet se distingue-t-il des autres structures existantes ?
Ce qui fait la particularité du Village de vacances Ratamanégré, c'est son concept intégré. Nous proposons des packs complets qui regroupent hébergement, restauration, loisirs et animations sur un même site. Contrairement aux hôtels classiques, nos clients achèteront une formule tout-en-un, leur permettant de profiter de tous les services du site sans contrainte.
Où sera implanté le village ?
Le site sera implanté dans mon village d'origine, Kuy, situé dans la commune de Boussé, à environ trente kilomètres de Ouagadougou. C'est une zone à fort potentiel naturel et culturel.
Pourquoi avoir choisi cette localité ?
Nous avons choisi Kuy d'abord pour contribuer à son développement. Le projet permettra de valoriser les produits locaux et de créer des emplois sur place. Nous voulons aussi mettre en avant les richesses naturelles et gastronomiques de la région. Par ailleurs, un projet de désenclavement routier est en cours car une route goudronnée passera bientôt par là, ce qui facilitera l'accès au village et favorisera la fréquentation touristique.
À quel stade se trouve actuellement le projet ?
Le projet est à sa phase de démarrage. Nous avons déjà défini les grandes orientations et les bases conceptuelles. Nous sommes actuellement en recherche de partenaires techniques et financiers pour concrétiser la construction et l'équipement du site. L'un des obstacles rencontrés jusque-là était l'état des routes, mais avec le projet de goudronnage annoncé, nous avons bon espoir d'avancer plus rapidement.
Quelle est votre vision à court et à long terme ?
À court terme, nous souhaitons obtenir les accompagnements techniques et financiers nécessaires à la mise en place des premières infrastructures et à l'acquisition des documents administratifs.
À long terme, notre ambition est de faire du Village de vacances Ratamanégré un site touristique de référence au Burkina Faso, capable d'accueillir des visiteurs venus de partout et de collaborer avec les autres promoteurs du pays pour dynamiser ensemble le paysage touristique national.
Quelle sera la capacité d'accueil du village ?
Nous prévoyons un site comprenant 40 chambres, dont 30 chambres standards et 10 suites. Il y aura également une salle de réunion de 50 places, un restaurant de 50 places, une cuisine moderne, un hall d'accueil, un espace de sport et de loisirs, ainsi qu'un marché local pour les produits des agriculteurs et artisans de la région.
Nous comptons également développer sur le site un petit élevage (poulets locaux, petits ruminants) afin de proposer aux visiteurs une alimentation saine et typiquement burkinabè. Enfin, un espace sera réservé aux producteurs locaux pour qu'ils puissent exposer et vendre leurs produits.
Un mot de fin ?
Je tiens à remercier le ministère de la Culture, des arts et du tourisme, ainsi que Faso Tourisme, pour l'organisation du concours qui nous a permis de présenter ce projet. C'est une belle initiative qui encourage les jeunes promoteurs à innover dans le secteur touristique. Grâce à cette opportunité, nous avons pu défendre notre idée et remporter le troisième prix. Je remercie aussi la commission des concours et distinctions pour leur soutien et leur écoute.
Hanifa Koussoubé
Lefaso.net
Le président du Groupe de la Banque africaine de développement (BAD), Sidi Ould Tah, a participé, lundi 13 octobre 2025, aux travaux du Conseil consultatif de haut niveau sur l'emploi du Groupe de la Banque mondiale à Washington, D.C.
En marge des Assemblées annuelles 2025 du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds monétaire international (FMI) à Washington, le Conseil consultatif de haut niveau sur l'emploi a tenu une réunion. La séance a réuni des dirigeants d'institutions financières internationales, des ministres et des chefs d'entreprises ainsi que le président du Groupe de la Banque africaine de développement, Sidi Ould Tah. L'objectif est de créer des emplois par le biais d'investissements à fort impact.
« La jeunesse africaine n'est pas un fardeau à gérer ; elle est le moteur de l'avenir de notre continent », a déclaré Ould Tah. Selon lui, il faut investir dans les compétences adéquates, formaliser l'économie informelle et apporter un soutien massif aux MPME. Le Conseil consultatif de haut niveau sur l'emploi a mené des échanges sur le tourisme et la formation professionnelle, deux secteurs importants en Afrique.
Sidi Ould Tah n'a pas manqué de présenter les initiatives de la Banque qui visent à accélérer la création d'emplois. Il s'agit notamment de la Stratégie pour l'emploi des jeunes en Afrique avec une mobilisation de plus de 105 milliards de dollars de financement qui devrait générer 19 millions d'emplois d'ici fin 2025. Un nouvel outil de suivi de la qualité des emplois et de l'inclusion dans les projets financés par la Banque a été aussi mis en place.
A.A.A
Le gouvernement des Comores et Nekton s'associent à WILDTRUST, dans le cadre du programme R-POC (Renforcement de la Protection des Océans aux Comores), pour lancer la première exploration systématique de l'océan aux Comores, de la surface jusqu'à 900 mètres de profondeur. Les eaux entourant les Comores, au cœur du canal du Mozambique, comptent parmi les régions les plus riches en biodiversité et pourtant les moins étudiées de l'océan mondial.
« L'océan est le berceau de notre nation et la pierre angulaire de notre civilisation sur les rivages de cet archipel bien-aimé. Cette mission reflète la prise de conscience croissante du rôle décisif et essentiel de l'océan dans la lutte contre les crises de la biodiversité et du climat », a déclaré S.E. Abubakar Ben Mahmoud, Ministre de l'Environnement, chargé du Tourisme. Face à ces défis, poursuit-il, nous devons continuer à nous mobiliser et à placer la mer au cœur de nos préoccupations, en prenant des mesures décisives pour la protéger. « Grâce à ce partenariat entre le gouvernement des Comores, Nekton et WILDOCEANS, nous approfondissons notre compréhension de nos écosystèmes marins afin de préserver 30 % de nos terres et de nos mers d'ici 2030, pour le bien-être de nos communautés aujourd'hui et des générations à venir », a ajouté Abubakar Ben Mahmoud.
Au cœur de la mission se trouvent les scientifiques comoriens et les voix de la communauté. Le Dr Nadjim Ahmed Mohamed, co-responsable scientifique de la mission, de l'Université des Comores, soutenu par 17 chercheurs comoriens, ainsi que Nekton et ses partenaires, dirigera les efforts visant à documenter les habitats inexplorés tels que les récifs mésophotiques et les écosystèmes d'eaux profondes, tout en développant un programme de recherche comorien sur le légendaire cœlacanthe, un « fossile vivant » vieux de 410 millions d'années connu localement sous le nom de Gombessa.
« Cette expédition offre une occasion unique d'explorer et de mettre en valeur la richesse des écosystèmes marins et côtiers des Comores. Elle permettra d'approfondir notre compréhension de la biodiversité et des pêcheries, de produire de nouveaux inventaires et cartes des habitats, et de renforcer les compétences des chercheurs et étudiants comoriens », déclare Dr Soulé Hamidou, Doyen de la Faculté des Sciences et Technologies de l'Université des Comores. A l'en croire, ces efforts favoriseront la collaboration régionale et internationale et fourniront des recommandations claires pour une gestion durable de nos ressources marines pour les générations futures. »
Comme l'a déclaré le Président Azali Assoumani devant l'Assemblée générale des Nations Unies : « Dans l'océan Indien, les Comores sont confrontées à un front différent. » L'expédition « Première Descente : Comores » soutient son Plan Comores Émergentes, qui promeut le leadership national dans les sciences océaniques, le développement durable et l'économie bleue.
S'achevant à la veille de la COP30 au Brésil, la mission « Première Descente : Comores » soutiendra directement l'engagement audacieux du pays à protéger 30 % de ses eaux d'ici 2030, à préserver les moyens de subsistance et à approfondir la connaissance de sa biodiversité unique. Pour les Comores, petite nation insulaire en première ligne face à la crise climatique, la protection des océans est à la fois urgente et vitale.
Inscrite dans le cadre du programme R-POC (Renforcement de la Protection des Océans aux Comores), la mission rassemble des scientifiques, des écologistes et des spécialistes de la communication comoriens et internationaux. R-POC est une initiative nationale menée par le gouvernement comorien avec des partenaires tels que la Direction générale de l'environnement et des forêts, l'Université des Comores, le CNDRS (Centre national de documentation et de recherche scientifique), l'Agence des parcs des Comores, CORDIO Afrique de l'Est et WILDTRUST (programme WILDOCEANS). Les résultats de l'expédition contribueront à la création et à l'extension d'aires marines protégées et à l'élaboration de stratégies nationales pour la protection des océans et une économie bleue durable.
L'expédition se déroulera du 6 octobre au 6 novembre 2025 à bord du N/R Angra Pequena, un navire de recherche de 22 mètres exploité par WILDTRUST, partenaire comorien de la mission. Le projet déploiera des technologies telles qu'un véhicule télécommandé (ROV), des atterrisseurs stéréo-vidéo sous-marins télécommandés (stereo-BRUV) et un échosondeur multifaisceaux haute résolution, tous fournis par le partenaire de la mission, l'Institut sud-africain pour la biodiversité aquatique (NRF-SAIAB). L'ensemble des données et des échantillons restera la propriété du gouvernement des Comores.
« C'est la première fois que ces profondeurs seront étudiées. Chaque découverte que nous ferons contribuera directement à l'engagement 30x30 des Comores et contribuera à la compréhension mondiale de l'une des régions océaniques les plus riches en biodiversité de la planète », a déclaré le Dr Lucy Woodall, co-responsable scientifique de la mission et chercheuse principale de Nekton, Université d'Exeter.
Le soutien international à First Descent : Comores est assuré par Kensington, partenaire fondateur de Nekton, en collaboration avec la Nippon Foundation-Nekton Ocean Census, l'Institut sud-africain pour la biodiversité aquatique (NRF-SAIAB) et l'Université d'Exeter. Ces partenaires apportent une expertise scientifique, technique et en communication pour garantir que les découvertes soutiennent directement l'engagement 30x30 des Comores et les objectifs régionaux plus larges de protection des océans.
Icône nationale
Le cœlacanthe, ou Gombessa, est l'une des espèces les plus rares de la planète ; un « fossile vivant » vieux de 410 millions d'années. Le cœlacanthe a été découvert au large des côtes sud-africaines en 1938, et en 1952, un deuxième cœlacanthe a été découvert aux Comores. Aujourd'hui, les Comores demeurent l'un des quatre seuls habitats connus du cœlacanthe dans le monde. L'emblématique Gombessa est à la fois un symbole de biodiversité et de fierté nationale ; même l'équipe de football des Comores porte son nom.
Un message à la COP30
Pour les Comores, la mer est une ressource vitale et un patrimoine, mais les influences anthropiques ont mis ses écosystèmes à rude épreuve. Avec le R-POC et ses partenaires, le gouvernement est déterminé à changer de cap. First Descent : Comores fournira les données scientifiques, les récits et la reconnaissance internationale nécessaires pour atteindre l'objectif 30x30 et mettre en lumière le rôle des petites nations insulaires dans la protection mondiale des océans.
La mission est conçue et codirigée avec des scientifiques et des institutions comoriennes dans le cadre du R-POC. Les chercheurs comoriens joueront un rôle central dans les analyses et les publications, garantissant ainsi que les découvertes bénéficient directement aux Comores et laissent un héritage scientifique durable.
depuis le navire de recherche R/V Angra Pequena.
Événement de pré-lancement - 25/10/09
Une conférence de presse a été organisée à Moroni au Musée national des Comores, qui fait partie du Centre national de documentation et de recherche scientifique (CNDRS), avec la participation de hauts fonctionnaires du gouvernement et de partenaires de la mission.
Partenaires de mission
Nekton
Nekton est un institut de recherche indépendant à but non lucratif et un organisme de bienfaisance enregistré au Royaume-Uni. Nekton œuvre pour accélérer l'exploration scientifique et la conservation des océans par le biais d'expéditions, de recherche appliquée, de récits et d'échanges de connaissances. La mission aux Comores s'inscrit dans le cadre du programme First Descent de Nekton, les missions précédentes aux Seychelles et aux Maldives constituant une série d'expéditions dans l'océan Indien, lancées en partenariat avec les gouvernements et les scientifiques de la région.
CORDIO East Africa
Recherche et développement sur les océans côtiers dans l'océan Indien (CORDIO), Afrique de l'Est, est une organisation non gouvernementale qui œuvre à l'intersection de la recherche scientifique marine et des politiques et pratiques de conservation dans l'océan Indien occidental (OIO). Les activités de CORDIO s'étendent de la promotion d'une utilisation durable des ressources au sein des communautés de pêcheurs à l'élaboration de politiques nationales et régionales visant à améliorer la gouvernance des écosystèmes marins.
WILDTRUST (Programme WILDOCEANS)
WILDTRUST est une organisation sud-africaine à but non lucratif, non gouvernementale et d'utilité publique, fondée en 2004. Elle poursuit la réalisation de sa vision d'un monde prospère et résilient grâce à deux programmes principaux : WILDLANDS et WILDOCEANS.
En tant que programme de WILDTRUST, WILDOCEANS promeut des solutions inclusives et locales qui préservent et restaurent les espèces et les écosystèmes océaniques, renforcent la gouvernance et créent des avantages durables et tangibles pour les communautés côtières qui dépendent de l'océan pour leurs moyens de subsistance. Parallèlement, nous catalysons et contribuons à des actions nationales, régionales et mondiales à grande échelle.
Grâce à des données scientifiques solides, des partenariats stratégiques et un développement communautaire inclusif, WILDOCEANS a un impact local et mondial significatif, contribuant à l'objectif 30x30 de conservation des océans et à des efforts plus larges en matière d'action climatique, tout en construisant des systèmes résilients pour et avec les générations futures.
NRF-South African Institute for Aquatic Biodiversity
L'Institut sud-africain pour la biodiversité aquatique (NRF-SAIAB) est une institution nationale de la Fondation nationale pour la recherche (NRF). Le NRF-SAIAB contribue à deux laboratoires nationaux, Operation Phakisa Labs, qui visent à libérer le potentiel de l'Afrique du Sud dans les domaines de l'économie de la biodiversité et de l'économie bleue.
Grâce à un financement de base du ministère sud-africain des Sciences, de la Technologie et de l'Innovation et de la NRF, l'Institut a développé des plateformes de recherche avancées capables d'opérer dans divers environnements aquatiques. Ces plateformes ont fait du NRF-SAIAB un leader innovant de la recherche sur la biodiversité aquatique. Par ses recherches, l'encadrement de ses étudiants et la mise à disposition de plateformes, le NRF-SAIAB soutient le secteur de l'enseignement supérieur en formant et en perfectionnant les chercheurs et gestionnaires aquatiques de demain.
Kensington
Kensington est le leader du voyage de luxe privé avec guide, proposant des séjours sur mesure dans plus de 120 pays. Son portefeuille comprend Kensington Tours, Croisières, Villas, Air et sa société sœur Kensington Yachts, courtier en yachts spécialisé dans l'alliance d'expériences terrestres et maritimes. Sa dernière-née, Kensington Expeditions, propulse le luxe et l'aventure vers de nouveaux sommets avec des itinéraires immersifs sur terre, en mer, dans les airs et même dans l'espace.