Pictures allegedly shot over Idlib and posted on Twitter seem to suggest Sukhoi Su-27 (or derivative) Flanker, Mig-29 Fulcrum, Su-34 Fullback jets and Pchela-1T drone are operating in Syria.
#Syria Nusra linked acc. posted pics of Russian made drone & jets flying over Western #Idlib. Huge if true. pic.twitter.com/1xPuUbD9an
— Green lemon (@green_lemonnn) September 2, 2015
Provided the pictures are genuine and taken in Syria in the last couple of days, they would really prove a Russian expeditionary force has already arrived in the country and started flying from an Assad-controlled airbase near Damascus as reported by some Israeli media outlets.
During the past days, Flightradar24.com has exposed several flights of a Russian Air Force (even though the registration shown by FR24 is Syrian – there has been a bit of confusion around this plane since if was first logged in Sept. 2014) Il-76 airlifter (caught by means of its Mode-S transponder) flying to and from Damascus using radio callsign “Manny 6”, most probably supporting the deployment of a Russian expeditionary force.
Recent reports claimed Russia was in talks to sell Damascus some MiG-29s but the rumors were refuted by MiG CEO Sergei Korotkov.
If the pictures are real, the current makeup of the Russian detachment would include attack planes (Su-34), as well as some air-superiority ones (MiG-29 and Su-27) and UAVs (Pchela 1T – a drone with a of range 60 km).
Whether the Russian Air Force operations against ISIS in Syria are coordinated with the U.S.-led coalition that daily conducts air strikes in the country is unclear. Let’s hope they talk each other, otherwise one of the next days the Su-27s may make a close encounter with a stealthy US F-22 providing kinetic situational awareness to other coalition combat planes.
In the meanwhile the Kremlin denies the participation of Russia in the anti-ISIS airstrikes….
We will update you as soon as more details confirming or refuting the deployment emerge.
Image credit: FR24.com and @green_lemonnn
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La nouvelle drague du port de Bayonne, qui devait rejoindre ce mercredi 2 septembre le Pays Basque, est en retard. « Le chantier naval de Murueta vient d’informer la Chambre de Commerce et d’industrie Bayonne Pays Basque et le Conseil régional d’Aquitaine qu’un contretemps administratif lié au pavillon espagnol retarde l’arrivée de la drague Hondarra. Dès que ce contretemps sera levé, et la marée favorable, la date et l’heure d’arrivée vous seront communiqués », explique la CCI de Bayonne Pays Basque, qui a commandé le navire au constructeur espagnol.
(B2) Deux collaborateurs yéménites du CICR (le Comité international de la Croix-Rouge) ont été tués par balle au Yémen annonce l’organisation internationale.
Un tireur solitaire ?
« Ils voyageaient en convoi avec d’autres collègues entre Saada et Sanaa lorsqu’ils ont été la cible d’une attaque tôt ce matin » indique l’organisation internationale dans un communiqué. « Un tireur agissant seul aurait ouvert le feu sur le convoi. Un des collaborateurs de l’institution est décédé sur place, le deuxième dans un hôpital où il avait été emmené. Ils étaient tous deux de nationalité yéménite et travaillaient l’un comme chargé de liaison et l’autre comme chauffeur. »
Pas le premier incident
L’auteur de cette attaque est inconnu. Mais ce n’est pas la première fois depuis quelques mois que le CICR est visé. Plusieurs incidents de sécurité ont, en effet, touché le CICR dernièrement. Lundi (24 août), le bureau de l’organisation à Aden a ainsi été attaqué par des « hommes armés non identifiés » qui ont « fait irruption dans le bâtiment » tenant le personnel sous la menace de leurs armes. « Des véhicules, de l’argent liquide et du matériel » ont ensuite été dérobés.
Condamnation de l ‘Union européenne
Le commissaire européen chargé de l’Aide humanitaire, Christos Stylianides, a condamné « fermement » cette attaque comme les précédentes. « Ces attaques sont un affront au droit international humanitaire (DIH). Ils menacent non seulement la sécurité des travailleurs humanitaires mais entravent sérieusement l’acheminement de l’aide bien nécessaire pour les personnes ayant besoin d’assistance. Au cours des dernières semaines, la situation humanitaire déjà désastreuse au Yémen a continué à se détériorer de manière tragique » a-t-il ajouté, lançant un appel à chacun. « Je demande donc à toutes les parties de respecter pleinement le droit international humanitaire afin que les organisations humanitaires puissent fournir une assistance aux populations civiles piégées dans cette situation de conflit.
La suite des opérations humanitaires en question
L’acte visait délibérément l’organisation « Cet acte semble avoir été commis délibérément contre nos collaborateurs », a confirmé ainsi Antoine Grand, le chef de la délégation du CICR au Yémen. Il n’a pas précisé sur la suite de ses opérations sur place, réservant toute décision pour plus tard. « À ce stade, il est prématuré de prévoir l’impact que cet événement dramatique aura sur nos opérations au Yémen. Pour l’heure, nous souhaitons nous retrouver au sein de l’équipe et nous soutenir les uns les autres face à cet acte incompréhensible », a-t-il ajouté.
(NGV)
Miközben az európai politikai hangulat fokozódik, az elkeseredett és reménykedő migránsok egyre növekvő tömegben érkeznek Görögországba. A cikk folytatása …
Tovább….: http://www.vajma.info/cikk/kulfold/54174/Athent-is-ellepik-a-migransok-ezrei.html
Plusieurs milliers de personnes campent dans la capitale de la Hongrie, faute de pouvoir poursuivre leur route vers l’Allemagne.
La capitale hongroise offre ces jours-ci une cruelle illustration de la crise migratoire qui secoue l’Europe et de l’absence de coordination des politiques européennes d’accueil. Plusieurs milliers de personnes s’y trouvent bloquées et les abords de la gare de l’Est (Keleti) sont devenus un camp de réfugiés où plus d’un millier d’hommes, de femmes et d’enfants en détresse s’entassent dans des conditions indignes, rendues encore plus dégradantes par la chaleur infernale qui touche l’Europe centrale. Dans la zone de transit, exclusivement gérée par des bénévoles et ravitaillée par les dons des Budapestois, des familles désespèrent depuis parfois plus d’une semaine de pouvoir accéder aux trains à destination de l’Allemagne.
« Help us Germany ! »La tension est de plus en plus forte. Dimanche soir, pour la troisième fois du week-end, des dizaines de personnes ont scandé « Help us Germany ! », laissant éclater leur colère au cours d’un face à face tendu avec les policiers leur barrant l’entrée de la gare. Car Angela Merkel a suscité d’immenses espoirs en affirmant que l’Allemagne recevrait 800 000 demandeurs d’asile cette année, puis que les Syriens ne seraient pas refoulés. A Budapest, tous les exilés du Moyen-Orient en parlent comme d’un eldorado où la population les acceptera les bras grands ouverts et où le travail est abondant. En marge de la manifestation, un jeune afghan qui a perdu ses deux parents trois ans plus tôt et fait la route avec son petit frère et sa petite sœur se montre toutefois plus sceptique : « moi je ne suis pas Syrien et j’ai dû donner mes empreintes à la police en entrant en Hongrie et ça, ce n’est pas bon… ». […]
La suite à lire sur le site de La Libre Belgique (payant)
Ces photos ne sont peut-être pas pros, mais elles sont à nous !