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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 2 months 5 days ago

Après le Ramadan 2016, ne perdez pas (ou prenez) l’habitude de cuisiner et manger en famille

Mon, 06/06/2016 - 23:30

Le Ramadan commence ce lundi 6 juin. Pendant un mois, la grande majorité des musulmans du monde vont jeûner du lever du soleil jusqu’au coucher. Ce mois sacré, l’un des cinq piliers de l’Islam, est aussi l’occasion de cuisiner et de manger en famille tous les soirs.

La rupture du jeûne, iftar en arabe, est un moment fort de la journée où toute la famille se retrouve pour manger les mets préparés pendant la journée. Cette tradition n’est pas seulement un bon moment, c’est aussi une excellente habitude qui a montré ses bénéfices sur la santé et le bien-être de tous.

Les enfants qui aident en cuisine mangent mieux que les autres

Selon une étude menée sur des élèves de 151 écoles de la province de l’Alberta au Canada, plus les enfants sont actifs en cuisine pour aider leurs parents, meilleure est leur alimentation. Les conclusions de cette étude ont été publiées en juin 2012.

Les élèves étaient amenés à répondre à des tests sur la nourriture qu’ils aimaient et qu’ils mangeaient et leurs habitudes en cuisine. Un tiers d’entre eux ont assuré aider leurs parents à cuisiner au moins une fois par jour, un autre tiers, trois fois par semaine, un quart, une fois par mois et 12,4% évitaient complètement la cuisine.

Les enfants qui aidaient en cuisine aimaient les fruits et les légumes. Certains, fait assez rare pour être souligné, préfèraient même les légumes aux fruits. Ces mêmes enfants étaient aussi plus au courant de ce qu’était une bonne alimentation. Selon les chercheurs, intéresser les enfants à la cuisine peut être fait à la maison mais aussi à l’école.

Un repas en famille par jour, un bon rempart contre l’ob

Lors des repas en famille, la place laissée aux fruits, aux légumes, au calcium et aux céréales complètes est généralement plus importante. En cela, ils constituent un bon rempart contre l’obésité.

Selon une étude publiée en 2014, des chercheurs ont étudié si les repas en famille pouvaient prémunir les futurs adultes de la prise de poids et de l’obésité. Leurs conclusions sont très encourageantes. Les chercheurs ont suivi pendant dix ans 2287 élèves parmi lesquels 51% étaient en surpoids et 22%, obèses. Les enfants qui ne dînaient jamais avec leurs parents étaient pour 60% en surpoids et obèses pour 29% à la fin de la décade.

Par ailleurs, il a été montré que les personnes qui cuisinent souvent chez eux mangent mieux et consomment moins de calories que les autres, même quand ces derniers cherchent à perdre du poids. Voilà la conclusion d’une étude qui a suivi les habitudes alimentaires de 9000 personnes à partir des données récoltées entre 2007 et 2010. Les participants étaient âgés d’au moins 20 ans. 8% des adultes cuisinaient un repas ou moins par semaine consommaient en moyenne 2301 calories par jour, 84g de lipides et 135g de sucre. 46% des personnes interrogées cuisinaient 6 à 7 fois par semaine et consommaient 2164 calories, 81g de lipides et 119g de sucre en moyenne par jour.

Plus les dîners en famille sont fréquents, plus les adolescents sont bien dans leur peau

Les dîners en famille ne sont peut-être pas les moments que les ados préfèrent, ils ont pourtant des conséquences positives sur leur santé mentale. Et cela vaut même si le dialogue entre enfants et parents n’est pas facile.

Des chercheurs en psychologie se sont intéressés à la relation entre la fréquence des dîners en famille et le bien-être des adolescents. Les dîners en famille fréquents sont liés à moins de problèmes comportementaux et émotionnels, plus de confiance en soi et une plus grande satisfaction dans la vie des adolescents. Leur étude a suivi plus de 26.000 adolescents canadiens âgés de 11 à 15 ans en 2013. Le sexe, l’âge ou le niveau de vie de la famille ne change en rien ce constat.

Une étude menée aux États-Unis sur 18.834 adolescents âgés de 12 à 18 ans a mesuré le taux d’anxiété, de dépression, d’automutilation, de pensées suicidaires, de tentatives de suicide, de bagarre et de vandalisme chez ces jeunes ainsi que leur consommation d’alcool et de drogue.

19% des adolescents interrogés se sont dits victimes de cyber-harcèlement pendant les douze derriers mois. Les chercheurs ont alors remarqué que les dîners en famille pouvaient être une composante bénéfique pour les adolescents dans ce cas-là. Lorsque, l’adolescent disait dîner en famille quatre fois par semaine, il avait beaucoup moins de chance de subir ce type de harcèlement.

Les repas en famille, c’est à partir de deux personnes

La plupart des études publiées sur les repas en famille s’intéressent à l’impact du repas en famille sur les enfants. Une étude publiée en 2014 s’est pour une fois intéressée aux conséquences positives de ce moment sur les adultes sans enfant.

Les chercheurs ont analysé le mode de vie de 14.000 adultes américains qui vivaient en couple ou avec des membres de leur famille adultes. Alors que les chercheurs s’attendaient à trouver un fort taux de dîners pris à l’extérieur, la plupart de ces adultes, représentatifs de la population américaine, se montraient au contraire très attachés aux repas en famille chez soi.

Rassurez-vous donc si après la lecture de cet article vous commencez à culpabiliser de vouloir éviter au maximum les repas en famille! Évidemment, les repas en famille peuvent aussi être une source de stress entre le petit dernier qui ne veut plus manger, la vieil oncle qui parle trop et la sœur qui monopolise toute l’attention. Un repas en famille, cela commence à partir de deux personnes autour de la table.

Categories: Afrique

Bouderbala: «Dans 5 mois Air Algérie sera aux normes internationales»

Mon, 06/06/2016 - 23:24

Le P-dg d’Air Algérie, Mohamed Abdou Bouderballa, nous révéla que la compagnie nationale aérienne va se lancer dans la construction d’un nouveau siège social, sur une assiette de 12 hectares, sis au quartier des affaires à Bab Ezzouar à Alger.

Ce contrat a été décroché par la société canadienne SMI en 2010, d’un montant de plus de 80 millions d’euros, il y a cinq ans et il ne reste à la compagnie nationale que 5 mois pour se conformer aux normes internationales, en matière de sièges sociaux, imposées par les organisations internationales de navigation aérienne.

Il nous précisa qu’il est entré dans une course contre la montre pour terminer le nouveau siège d’Air Algérie, qui n’est pas loindu lieu précédemment choisi, et selon ses estimations, il sera prêt dans cinq mois au plus.

Ce retard est dû à un litige, lié à des problèmes administratifs, entre les deux parties, qui est passé en séance d’arbitrage devant la Chambre de commerce international (CCI) à Paris où la société canadienne avait introduit une requête devant la CCI en avril 2013, après avoir décroché le contrat du temps de Wahid Bouabdallah en 2010 et obtenu l’ODS en 2011.

Categories: Afrique

Voilà comment les pieds-noirs ont spolié les Algériens !

Mon, 06/06/2016 - 23:18

La biographie d’un pied-noir a révélé comment ses compatriotes ont pu amasser des fortunes colossales en Algérie en spoliant les Algériens durant la colonisation et comment maintenant ils actionnent la justice pour expulser ces mêmes Algériens de leurs biens après l’indépendance.

Il s’agit d’Antoine-Fréderic Altairac qui est né en 1821 à Alais dans le Gard, au Sud de la France,  il n’est qu’un simple ouvrier tailleur de 24 ans lorsqu’il s’établit à Alger en 1843. Il parvient à rassembler un petit capital avec lequel il fonde un atelier de fabrication de vêtements du côté du Champs-de-Manœuvre (actuellement 1er Mai) dès 1860.

En 1869, il réussit à obtenir la commande régulière de fournitures militaires pour 10 000 soldats pour le compte de l’Armée d’Afrique d’Algérie et se lance alors dans la fabrication des ceintures, guêtres et souliers pour les troupes coloniales et fournit également des mules pour le transport de matériel.

Ses affaires ne cessèrent de prospérer et ses ateliers employaient plus de 800 ouvriers en 1877 où il inaugure une série d’ateliers dans le cœur  de la capitale (actuellement rue Abane-Ramadane), haut lieu de la confection à Alger. Il acquiert également un grand terrain de 330 hectares à Maison-Carrée (El Harrach) en 1878 et y installe une importante plantation ainsi qu’une industrie dès 1882.

Élu représentant de la colonie de Maison-Carrée au Conseil Général d’Alger, Antoine-Fréderic Altairac meurt en 1887 en laissant deux fils, Fréderic et Louis.

Fréderic, l’aîné, né en 1852 à Alger, élu conseiller municipal à Maison-Carrée en 1884, il démissionne du poste à la mort de son père en 1887 afin de pouvoir lui succéder comme Conseiller général, rôle qu’il occupera jusqu’à sa mort. Il fut par ailleurs maire d’Alger de 1902 à 1908, puis maire de Maison-Carrée de 1912 à 1916. Décède en 1917.

Louis, né en 1885, il fut élu aux Délégations financières de l’Algérie et décède en 1909.

Lorsque Frédéric Altairac est mort, il a été remplacé par son fils aîné George (1888-1956) dans la gestion des entreprises familiales, qui comprennent des usines de fabrication de produits rouges (briques et tuiles) à El Harrach et Boumerdès. Ce dernier était juge au tribunal du commerce d’Alger et Conseiller général à Maison-Carrée. Il se maintiendra en poste jusqu’en 1937 et sera aussi élu maire de la ville en 1929. Pour ce qui est des usines de Maison-Carrée et les autres affaires de la famille Altairac, il en confia la gestion, dès 1936, à son frère Frédéric (1893-1961) et à son propre fils René (né à Maison-Carrée en 1912).

Les biens de la famille Altairac ont été nationalisés en 1963 par l’Etat algérien souverain ainsi que les biens d’autres familles coloniales qui ont sucé le sang des Algériens durant 132 ans.

Categories: Afrique

Fuites du Bac: les fautifs accusés de divulgation de secrets d’Etat

Mon, 06/06/2016 - 23:12

Les principaux accusés dans l’affaire de la fuite des sujets à l’examen du baccalauréat font face à de lourdes charges.

En effet, ils sont accusés de divulgation de secrets d’Etat et d’agissement contre la sécurité nationale, ce qui peut entraîner une condamnation d’au moins 15 ans d’emprisonnement.

Selon nos sources, le ministre de la Justice et garde des Sceaux a été instruit par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, d’ordonner aux procureurs de la République, territorialement compétents, d’appliquer la loi avec sévérité contre les personnes impliquées dans la fuite des sujets du Bac de 2016.

Et partant, la qualification des charges sont assez lourdes contre ces principaux accusés, car la divulgation de secrets d’Etat et nuire à ses intérêts ne concernent que les militaires qui ont failli à leur devoir en intelligence avec une puissance étrangère ou les hauts cadres de la nation au sommet de la pyramide de l’Etat.

Dans ce contexte, l’avocat Boujemaâ Ghachir, nous précisa que cette lourde charge ne concerne que deux personnes, des cadres de l’Office national des examens et concours (Onec), qui sont accusés dans ce scandale des fuites des sujets du Bac.

Toujours selon nos sources, la section de recherche de la Gendarmerie nationale, chargée de l’enquête de ces fuites,  a pu identifier plusieurs autres responsables de l’Onec impliqués dans les wilayas d’Alger, Boumerdès, Tipasa, Sétif et dans certaines directions de l’éducation, notamment à Alger, ce qui porte le chiffre de 120 personnes qui ont été identifiées grâce à leur IP.

Categories: Afrique

Le calendrier du baccalauréat partiel dévoilé

Mon, 06/06/2016 - 22:51

Le ministère de l’Education nationale a dévoilé, lundi, le calendrier des épreuves du baccalauréat partiel session juin 2016 sur son site électronique.

Dans le même document sont précisées les filières et les matières concernées par ce bac partiel auquel prendront part quelque 38 % des 818.518 candidats.

Le calendrier se présente comme suit:

Dimanche 19 juin 2016:

*9h00 – 12h30 Histoire-géographie (sciences expérimentales-mathématiques-maths-technique-langues étrangères).

*13h30 – 16h00: Anglais (sciences expérimentales-mathématiques-maths-technique- gestion-économie)

Lundi 20 juin 2016:
*9h00 -12h30 Mathématiques (sciences expérimentales)

* 9h00 -12h 30 Histoire-géographie (gestion-économie)

Mardi 21 juin 2016:
* 9h00- 12h 30 Philosophie (sciences expérimentales-mathématiques-maths-techniques-
gestion-économie)

*13h30 -16h00 Français (sciences expérimentales-mathématiques-maths-technique-
gestion-économie)

Mercredi 22 juin 2016:
*9h00- 13h 30 Sciences naturelles (sciences expérimentales)

Jeudi 23 juin 2016:
* 9h00- 12h 30 Physique (sciences expérimentales).

Categories: Afrique

Libye: Mogherini veut que l’Europe contrôle l’embargo sur les armes

Mon, 06/06/2016 - 22:46

La chef de la diplomatie européenne, Federica Mogherini, a demandé lundi à l’ONU d’autoriser l’opération navale européenne au large de la Libye à contrôler l’embargo sur les armes imposé à ce pays, ont rapporté des médias.

S’exprimant devant le Conseil de sécurité, elle a exhorté le Conseil à adopter une résolution – actuellement en discussion – « autorisant l’opération Sophia à appliquer l’embargo de l’ONU sur les armes en haute mer au large de la Libye ».

« J’espère que ce Conseil fera une nouvelle fois le bon choix » en adoptant ce texte qui va étendre le mandat de l’opération navale européenne Sophia, a-t-elle ajouté.

Selon des diplomates, un projet de résolution en ce sens, mis au point notamment par la France et le Royaume-Uni, a été distribué aux 15 pays membres du Conseil qui vont commencer à en débattre dans les prochains jours.

Quand ce texte sera adopté, les bâtiments de guerre européens pourront alors intercepter en haute mer les navires qu’ils soupçonnent de transporter des armes vers la Libye, sans avoir à demander l’autorisation des pays dont ces navires battent pavillon.

La plupart des armes entrant en Libye ne vont pas au gouvernement légitime mais à son rival ou à des groupes armés.

Pour l’instant, l’opération européenne se limite à la haute mer. L’étendre aux eaux territoriales libyennes nécessiterait l’accord des autorités libyennes.

L’ambassadeur russe Vitali Tchourkine a indiqué à des journalistes que son pays « n’était pas opposé » au projet de résolution mais qu’il « avait des préoccupations ».

Moscou souhaite en particulier s’assurer que l’ONU ne puisse pas être accusée de « prendre parti pour un camp ou l’autre » en Libye.

« La priorité numéro un est de mettre en place des autorités adéquates en Libye », a-t-il estimé. Il a souligné à ce propos que le nouveau gouvernement d’union nationale, qui étend peu à peu son autorité sur le pays, n’avait toujours pas reçu l’aval formel du Parlement.

Categories: Afrique

La député palestinienne Khalida Jarrar enfin libre!

Fri, 03/06/2016 - 22:13

La députée palestinienne Khalida Jarrar a été libérée ce vendredi 3 juin. Emprisonnée pendant plus d’un an par les autorités d’occupation israélienne pour avoir notamment refusé de se conformer à sa décision d’expulsion de Ramallah vers Jéricho, elle a été accueillie par de nombreux palestinien au check-point de Jubara, à côté de Tulkarem dans le nord de la Cisjordanie.

Le premier a être venu à sa rencontre a été le député arabe-israélien Ayman Odeh, à la tête depuis plusieurs mois de la mobilisation en faveur de la parlementaire.

Arrêtée en avril 2015, Khalida Jarrar a finalement été condamnée à la fin de l’année dernière pour « incitation à la violence et au terrorisme » par la justice militaire israélienne. Une accusation réfutée tout le temps par la députée de 53 ans. Plusieurs organisations de défense des droits de l’homme ainsi que des partis politiques européens avaient réclamé sa sortie de prison.

La parlementaire, membre du Front populaire de libération de la Palestine (FPLP) a toujours plaidé non coupable mais la justice militaire israélienne assure que son appartenance à ce parti, considéré comme une organisation terroriste par l’occupant israélien, l’avait condamnée à une peine de 15 mois de prison. Un emprisonnement qui avait largement mobilisé l’opinion publique palestinienne.

La justice israélienne a finalement décidé de sa libération anticipée arguant que les prisons israéliennes sont pleines. Selon l’organisation de soutien aux prisonniers Addameer, 7 000 palestiniens sont actuellement derrière les barreaux. Ils n’ont jamais été aussi nombreux depuis la fin de la deuxième intifada au milieu des années 2000.

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Djazaîr-export 2016: un pari réussi pour Algex

Fri, 03/06/2016 - 21:57

Environs 16 contrats de partenariat ont été signés entre plusieurs entreprises algériennes et leurs homologues africaines durant le Salon Djazaîr-export 2016 organisé par l’Agence nationale de promotion du commerce extérieur (Algex) à l’occasion de la 49 e éditons de la Foire internationale d’Alger (FIA 5016).

Le directeur général de l’Algex, Toufik Chetti affirme être très satisfait des résultats de ce Salon, « très important pour l’économie nationale ». « Nous avons tracé trois objectifs pour ce Salon. Il s’agit entre autre de mettre en œuvre les dernières décisions du gouvernement qui visent à la fois de diversifier l’économie nationale et développer les exportations hors hydrocarbures, sensibiliser, encourager et accompagner les entreprises nationales à exporter et en fin mettre les producteurs nationaux en contact avec les hommes d’affaires africains venus spécialement pour cet événement. «Ce que je peux dire, c’est que nous avons atteint nos 3 objectifs », a estimé M. Chetti qui rappellera que 14 contrats ont été signés dimanche passé tandis que le dernier a été signé ce jeudi lors de la clôture du salon.  La Banque arabe pour le développement économique en Afrique (BADEA), souligne M. Chetti, a accompagné Algex avec 280 000 dollars, soit 3 milliards de centimes pour prendre en charge le déplacement de 80 hommes d’affaires africains issus de 10 pays vers l’Algérie.

Les entreprises nationales s’intéressent au marché africain 

Lors de notre virée au Salon de Djazaîr-Export 2016, nous avons constaté la présence de plusieurs entreprises qui ambitionnent de faire porter leur produits au-delà des frontières nationales. C’est le cas de l’entreprise « ZTMAM PLAST SARL » spécialisée dans la fabrication de matières plastique, articles de ménage et similaires et aussi des matières en plastique de base soit la transformation qui a signé jeudi un accord avec l’entreprise Magyuy Trade Center spécialisée dans l’import-export.

« Actuellement nous satisfaisons environs 40% des besoins du marché national en matière d’articles ménagers en plastique, et nous avons décidé d’aller vers l’exportation », nous a indiqué le directeur général de « ZTMAM-Plast », Zitoun Terki Mounir qui précisera que son entreprise avait signé il y a deux semaine deux contrats avec des Maltais. L’un, précise-t-il, concerne l’exportation des articles ménagers en plastique vers Malte et le deuxième concerne la création d’une usine mixte pour la production des citernes en plastique dépassant les 5000 litres.

Pour sa part, Marguerite Tchuiente Wandji, directrice générale de « Magyuy Trade Center » indique qu’elle était invitée par la BADEA pour assister à ce Salon organisé par Algex. Ainsi, souligne-t-elle, j’ai signé un contrat d’importation des articles ménagers en plastique fournis par notre partenaire ZTMAM-Plast. Nous allons entamer le travail sérieux dès la fin du mois de Ramadhan, a-t-elle indiqué.

Pour l’entreprise LABOREF, productrice national d’émulsions et d’arômes depuis trente ans, détient une bonne partie du marché national. « Nous envisageons d’exporter nos produits vers les marchés ivoirien et Libanais », a indiqué Ali Hasnaou, responsable commercial de Laboref avant de rappeler que son laboratoire avait entamé les opérations d’exportation vers la Tunisie et la France.  Mais cela (l’exportation) demeure encore très minime, selon notre interlocuteur.

Quant à elle, l’entreprise Ceram colle spécialisée dans la fabrication des produits en ciment, de colles, de joints d’étanchéité et enduits en mastics destinés à la construction ambitionne également d’investir les marchés extérieurs notamment celui de la Côté d’Ivoire.

Il est à signaler que des dizaines d’entreprises que nous avons rencontrées lors de ce Salon ont été approchées par « Algerian For Events and Export Er Rowed (AFEEE) », une société algérienne de service à l’export de biens et services, présente en Côte d’Ivoire via la maison algéro-ivoirienne de commerce (MAIC) depuis plus de 6 mois, dont plus de 35 d’êtres elles ont déjà signé des conventions pour présenter leur produit sur le marché ivoirien. AFEEE, créée en 2014,  a fait un travail de proximité et de sensibilisation auprès des entreprises algérienne pour les inciter à participer à la promotion des opérations d’exportation vers les marchés africains, notamment ceux de la Côte d’Ivoire et de la région de la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest(CEDEAO).

Categories: Afrique

Fuites de sujets du Bac : Des gendarmes bouclent le siège de l’ONEC

Fri, 03/06/2016 - 21:41

Des éléments de la gendarmerie nationale ont bouclé, vendredi, les locaux de l’Office National des Examens et Concours (ONEC) alors que le personnel présent ainsi que des enseignants ont été interdits de quitter les lieux.

Selon Ennahar Tvqui révèle l’information, les gendarmes sont intervenus dans le cadre de l’enquête sur les fuites de sujets

Categories: Afrique

Marchés de capitaux : l’Algérie cherche à stimuler les liquidités (OGB)

Fri, 03/06/2016 - 21:35

Les emprunts traditionnels étant désormais limités par la baisse des recettes issues des hydrocarbures, les autorités publiques redoublent d’efforts pour développer les marchés de capitaux algériens. En encourageant les cotations sur les marchés de la dette ainsi que des actions, les autorités cherchent à soulager la pression qui pèse sur le Trésor et à créer de nouveaux débouchés d’investissement pour les institutions financières.

 « Le Trésor et l’État n’ont plus les moyens de financer les projets de développement à la même hauteur que ces dernières années, avec pour conséquence une redistribution des canaux de financement et un besoin de développement des marchés financiers », a déclaré  à OBG Abdelhakim Berrah, président de la Commission d’Organisation et de Surveillance des Opérations de Bourse en Algérie (COSOB).

Étant donné le faible volume des échanges, et le nombre relativement bas d’investisseurs, les liquidités ont été historiquement un obstacle au développement de ces marchés. Néanmoins, les autorités entendent rétorquer en misant sur la privatisation d’entreprises publiques et sur les cotations dans le secteur privé.

Potentiel de croissance

La petite Bourse d’Alger, qui est opérationnelle depuis 1999, ne compte que cinq valeurs cotées, offrant ainsi un formidable potentiel. Des frémissements ont d’ailleurs été observés  au cours des derniers mois, la capitalisation boursière enregistrant une croissance de 8% en 2015 avec une clôture à 16 milliards de dinars (129,2 millions d’euros), contre 14,8 milliards de dinars (119,5 millions d’euros) à la fin 2014.
Cependant, la totalité de cette capitalisation boursière équivalait à moins de 1% du produit intérieur brut (PIB) en 2014, contre 62,7% au Maroc et 21 7% en Tunisie. La marge de croissance est donc très significative.
Le mois dernier, le groupe pharmaceutique algérien privé Biopharm a pour la première fois été introduit en Bourse, avec à la clé une levée de 6 millions de dollars dès la première semaine. Les parties prenantes ont souligné que les résultats financiers de Biopharm ainsi que son activité dans le secteur de la santé, promis à une croissance future du fait du vieillissement démographique, constituaient un potentiel d’attraction d’investissements supplémentaires.
La place boursière compte également SAIDAL parmi ses cotations, fabricant pharmaceutique détenu majoritairement par l’État, l’Entreprise de Gestion Hôtelière Chaine EL AURASSI (partiellement détenue par l’État), et les acteurs privés Alliance Assurances et Nouvelle Conserverie Algérienne de Rouiba.

Privatisation partielle

Au vu de l’envergure et de l’échelle des entreprises publiques en Algérie, les entités publiques jouent bien entendu un rôle central dans les efforts déployés par le gouvernement pour accroître ses liquidités sur la place boursière, attirer de nouveaux investisseurs et stimuler les échanges d’actions existantes.
En vertu de la Loi de finances 2016, publiée fin 2015, les entreprises publiques sont autorisées à ouvrir jusqu’à 66% de leur capital social. Il convient néanmoins de préciser que seul l’actionnariat national résident y est éligible.
Les prises de position n’ont pas tardé. En effet, la Société des ciments Ain El Kebira (SCAEK) a lancé son introduction à la mi-mai, prévue pour clôture le 13 juin.
L’entreprise cherche ainsi à augmenter son capital de 33% grâce à la vente de près de 12 000 nouvelles actions, à répartir entre investisseurs institutionnels (37%) tels que des banques et des compagnies d’assurances, investisseurs particuliers (27%), personnes morales (25%) et salariés de l’entreprise (1%).
Entre Biopharm et SCAEK, la capitalisation boursière de la place d’Alger devrait être multipliée par six pour quasiment franchir la barre du milliard de dollars d’ici à la fin juin, selon la COSOB.
Quatre autres entreprises publiques sont également appelées à ouvrir leur capital social au cours des six prochains mois, faisant ainsi grimper le nombre total de cotations à 10, et la capitalisation boursière globale à 10 milliards de dollars selon les médias locaux.
Le Groupe public des ciments d’Algérie, qui est l’entreprise mère de SCAEK, envisage également la cotation de deux autres filiales. De leur côté, le Crédit populaire d’Algérie, Cosider Carrières et la Compagnie Algérienne d’Assurance et de Réassurance devraient elles aussi se lancer sur la place boursière d’ici à la fin de l’année, selon la presse.  

Encourager les introductions en bourse

En dépit des évolutions récentes, la place boursière d’Alger continue de voir son développement se heurter à certaines difficultés, telles que le manque de sensibilisation aux avantages que présentent les investissements en capitaux propres, notamment sur le plan de l’introduction en Bourse.
Afin d’y remédier, la COSOB est sortie de son rôle traditionnel de réglementation pour promouvoir une meilleure compréhension du fonctionnement des marchés financiers, ainsi qu’une culture de l’investissement plus active.
Mais l’Algérie a également recours aux canaux habituels de réglementation pour faire bouger les lignes. La Loi de finances 2015 a permis le maintien d’une mesure entrée en vigueur l’année précédente en accordant une exonération fiscale aux entreprises proportionnelle à la part de leur capital social ouverte au marché, ainsi qu’une autre exonération fiscale sur les plus-values pour encourager les investisseurs.

Emprunts d’État

Le marché algérien de la dette n’est pas en reste, avec le grand retour des émissions obligataires lancées par le gouvernement en avril, chose qui n’était pas arrivée depuis des années. L’objectif : ouvrir de nouveaux débouchés de financement après la chute des recettes énergétiques qui, traditionnellement, représentent environ 60% des dépenses budgétaires. Le gouvernement avait été particulièrement actif sur ce terrain entre 2003 et 2010, et son retour va permettre de donner un nouvel élan au marché obligataire du pays.
Ces obligations seront assorties pour les échéances à trois ans d’un coupon de 5%, et de 5,75% à cinq ans, selon les médias. Dès la fin avril, toutes les obligations émises avaient trouvé preneur pour un montant total de 20 milliards de dinars (161,9 millions d’euros).
Selon Salah Khebri, ministre de l’Énergie, le gouvernement envisage également l’émission d’obligations pour aider au financement d’investissements ciblés dans le secteur de l’énergie.
« Nous aurons recours à l’émission d’obligations », a-t-il déclaré aux médias le mois dernier. Nous les consacrerons exclusivement à des investissements productifs dans le secteur de l’énergie », citant Sonelgaz et Sonatrach.
Le gouvernement a pris l’engagement de financer ces projets à hauteur de 75%, étant attendu que les filiales de Sonelgaz et Sonatrach couvrent les 25% restant.

Categories: Afrique

La sécurité et la stabilité nationales exigent la vigilance de tous

Fri, 03/06/2016 - 21:24

La sécurité et la stabilité nationales « exigent la vigilance de tous et la contribution de chacun », a indiqué, vendredi à Alger, le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed  Ouyahia.

« La tragédie nationale, dont les blessures n’ont pas encore été cicatrisées, est là pour nous rappeler le prix des certitudes excessives ou des négligences mortelles. Alors pêchons aujourd’hui par excès de prudence et de vigilance, plutôt que d’être surpris encore une fois », a déclaré M. Ouyahia à l’ouverture des travaux de la première session du conseil national du parti après la tenue de son 5ème congrès.

« En parlant de la sécurité et de la stabilité du pays, nous avons également à l’esprit les manoeuvres subversives promues par certaines puissances étrangères revanchardes qui n’acceptent pas encore l’indépendance de l’Algérie ou son soutien au droit des peuples à l’autodétermination, exploitant quelques mercenaires politiques qui revendiquent, aujourd’hui, l’indépendance de la Kabylie ou l’autonomie du M’zab », a-t-il dénoncé.

M. Ouyahia a affirmé que l’Algérie « s’est largement immunisée avec la politique de la réconciliation nationale qui a cimentée notre peuple grâce à la clairvoyance et l’engagement » du président de la République, Abdelaziz Bouteflika, mettant en exergue l’attachement des Algériens à l’indépendance nationale et à l’unité de leur pays.

Il a également rappelé que l’Algérie disposait d’une armée « qui démontre au quotidien sa compétence et sa bravoure » et qui est dirigée par des moudjahidine « toujours fidèles au serment qu’ils ont fait aux glorieux Chouhada de la Révolution de Novembre, à leur tête le moudjahid Abdelaziz Bouteflika, chef suprême des Forces armées ».

M. Ouyahia a tenu, à cette occasion, à rendre hommage à l’Armée nationale populaire (ANP) « qui veille à la sécurité de notre territoire », saluant ses succès dans l’éradication du terrorisme résiduel et contre les réseaux du crime transnational « qui tentent d’inonder le pays avec la drogue et avec les armes de guerre ».

=La prise en charge des défis nationaux nécessite un consensus national=

Par ailleurs, le SG du RND a souligné que la prise en charge des défis nationaux, sécuritaires et économiques « nécessite un consensus national, ou tout le moins de la sérénité dans le pays ».

« Le RND appelle à l’avènement d’un consensus politique dans le respect de la Constitution, des Institutions de la République ainsi que de la volonté du peuple exprimée démocratiquement par la voie des urnes », a-t-il affirmé.

« En attendant cela, nous appelons tous les acteurs à concourir à la préservation d’un climat de sérénité qu’exige d’ailleurs l’opinion nationale », a ajouté le premier responsable du RND.

Pour M. Ouyahia, son parti « n’acceptera jamais que l’Etat soit outragé dans l’impunité, car cela n’est dans l’intérêt de personne comme nous l’a enseigné un passé encore récent ».

Mettant en valeur la vertu du dialogue « tradition ancestrale de notre peuple », le SG du RND a indiqué que la dernière révision constitutionnelle a permis à l’Algérie « de consolider son Etat de droit et ses libertés démocratiques ».

« Cette révision a renforcé les droits politiques de l’opposition. Elle a apporté aussi des garanties supplémentaires à la liberté d’investir dans le respect de la loi », a-t-il ajouté, précisant également qu’elle avait consolidé la liberté de la presse et conforté l’indépendance du pouvoir judiciaire.

« Alors, à défaut de solutions par la voie du dialogue, veillons à ce que la Justice arbitre tous les désaccords et sanctionne toutes les violations de la loi », a-t-il conclu.

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Haddad: « Les Algériens doivent travailler 5 ans de plus »

Fri, 03/06/2016 - 21:20

Le président du Forum des chefs d’entreprises (FCE), Ali Haddad, a révélé que trois dossiers importants seront au menu de la tripartite qui réunira dimanche prochain le gouvernement, l’UGTA et le patronat.

Il s’agit essentiellement de la divulgation des axes du nouveau modèle économique, l’investissement et la retraite, dont l’âge légal de départ à la retraite sera repoussé à 65 au lieu de 60 ans.

Intervenant en marge d’une journée d’étude sur la Logistique sous le thème: « La logistique comme vecteur de compétitivité des Entreprises », tenue jeudi 2 juin à l’hôtel Aurassi à Alger, le patron du FCE a fait savoir que trois importants dossiers seront débattus lors de la tripartite, en l’occurrence l’âge de départ à la retraite qui sera fixé à 65 au lieu de 60 ans.

Pour Ali Haddad, les cadres algériens qui partent à la retraite à 60 ans sont en mesure travailler encore, ajoutant qu’à compter de 2016, il n’y aura pas de départ à la retraite à 60 ans.

Par ailleurs, il a indiqué le lancement dans les jours à venir du nouveau modèle économique, qui a, faut-il le rappeler, suscité tant de réactions de la parti des ministres du gouvernement Sellal.

Selon lui, ce nouveau modèle économique, annoncé par le chef de l’Exécutif, permettra la création d’une économie productive loin de la rente pétrolière qui représente 98%  des recettes financières du pays et l’approbation de nouveaux projets économique.

Haddad a révélé que le troisième point concerne l’investissement et l’industrie, dont les nouvelles formules du crédit, le foncier industriel et les nouvelles facilitations au profit des investisseurs publics et privés.

Le président du FCE a met l’accent sur la nécessité de travailler en vue de sortir de la crise et d’exploiter les infrastructures, les routes, les différents réseaux et structures dans le sens de faciliter le travail des entreprises.

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Ouyahia: « Des parties externes et internes derrière les complots contre l’Algérie »

Fri, 03/06/2016 - 21:10

Le secrétaire général du Rassemblement national démocratique (RND), Ahmed Ouyahia, a indiqué vendredi que des parties étrangères appuyées par des « mercenaires politiques internes » menacent l’unité nationale.

Lors de son allocution prononcée en marge de la première réunion après son plébiscite à la tête du RND, Ahmed Ouyahia a fait savoir que la situation sécuritaire qui règne dans les pays voisins vise l’Algérie, d’où il faut à ses yeux préserver aussi bien l’armée et le citoyen.

Par ailleurs, il a souligné que l’Algérie continue sa lutte acharnée contre le terrorisme, en louant les « résultats réalisés par les éléments de l’ANP dans la lutte contre les derniers résidus du terrorisme ».

S’agissant de la crise économique  que traverse le pays, Ouyahia a estimé que celle-ci ne nécessite pas de simples solutions, ajoutant que l’endettement externe est une option simple qu’il faut éviter.

Pour lui, l’Algérie a pu éviter un grand choc économique grâce au remboursement anticipé de ses dettes.

Dans le même sillage, il insiste sur la nécessité de tirer des enseignements en engageant des réformes profondes permettant de sortir de la crise économique.

Selon lui, l’équilibre du budget 2016 est tributaire d’un prix du baril de pétrole à 80 dollars.

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France: l’Algérie gèle ses subventions pour la construction de mosquées

Fri, 03/06/2016 - 21:05

L’ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire d’Algérie en France, Amar Bendjama, a révélé que le gouvernement algérien a décidé de geler les subventions octroyées pour soutenir la présence de l’islam en France et la construction de mosquées pour la communauté algérienne en particulier et musulmane en général.

Pour rappel, cette subvention accordée par l’Algérie était, il y a cinq ans, de 4 millions d’euros, l’équivalent de plus de 40 milliards de centimes.Le diplomate algérien a dévoilé au Sénat français lors d’une mission d’information sur l’organisation, la place et le financement de l’islam en France et de ses lieux de culte, le 31 mai dernier, les efforts consentis par l’Algérie pour promouvoir l’islam en France.

Il a expliqué aux Sénateurs que l’Algérie ne participe pas directement dans la construction de mosquées en France et que son soutien financier est minime. Il a révélé aussi, lors de son exposé, que l’Algérie a gelé officiellement ses aides à hauteur de 4 millions d’euros aux 50 associations présentes en France et ce depuis cinq ans. Néanmoins, l’Algérie poursuit son soutien financier, en toute transparence, à la Grande mosquée de Paris, dont sa relation avec l’Algérie est enracinée dans l’histoire.

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Benghebrit: « Le sort du Bac relève des prérogatives de Bouteflika et Sellal ! »

Fri, 03/06/2016 - 20:51

La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, a révélé ,jeudi soir, à « Echorouk News » avoir affirmé aux syndicats de l’éducation et aux associations des parents d’élèves que seuls le président de la République et le Premier ministre sont habilités de décider du sort du Bac session 2016, émaillé par une fuite sans précédent des sujets d’examen.

Lors d’une réunion urgente convoquée par la ministre de l’éducation, regroupant la tutelle, les syndicats et les parents d’élèves, il a été indiqué dans un communiqué que « des mesures strictes ont été prises ». Toutefois, Benghebrit a rejeté la revendication d’annulation des épreuves du Bac et d’aller vers une deuxième session.

En effet, elle a appris aux partenaires sociaux qu’une telle décision est du ressort du premier magistrat du pays et du chef de l’Exécutif.

Selon des sources de Echoroukonline, les représentants des syndicats ont insisté lors de leurs interventions sur la nécessité d’« annuler les épreuves du Bac» entachées par des fuites des sujets d’examen, dont celui de la physique au dernier jour des épreuves.

Notons que le «Cnapeste» a émis des réserves sur les résultats de la rencontre, tandis que l’ensemble des syndicats insistent sur le « principe d’égalité des chances entre les candidats».

Les syndicalistes ont affirmé avoir demandé de « refaire le Bac » ou d’organiser une « deuxième session ».

Pour sa part le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Tayeb Louh, a indiqué jeudi que les procureurs de la République dans certaines wilayas du pays avaient ordonné à la police judiciaire de la Gendarmerie nationale d’ouvrir une enquête sur les faits liés à la fuite des sujets du baccalauréat (session 2016).

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L’effondrement du dinar «inquiète» Air Algérie !

Fri, 03/06/2016 - 20:43

Il est attendu que le P-dg d’Air Algérie, Mohamed Abdou Bouderbala, reçoive dans quelques semaines le rapport financier de la compagnie nationale aérienne pour l’année 2015.

Déjà les résultats préliminaires ne sont pas reluisants par rapport ce qui était attendu, selon le commissaire aux comptes, en raison de la forte dépréciation du dinar cette année-là, sachant que les revenus de la compagnie aérienne sont en dinars et les dépenses en dollars.

C’est cette situation jugée négative, dont a héritée l’actuel P-dg, qui pourrait retarder les consultations avec les partenaires sociaux qui réclament des augmentations de salaires depuis des années et les projets de renouvellement de la flotte.

Par ailleurs, Air Algérie a terminé sa restructuration, programmée il y a cinq ans,  en quatre entités distinctes, dont celle technique sera lancée le mois de juillet prochain et celle des opérations au sol en janvier prochain.

En outre, la compagnie nationale envisage de louer deux avions indonésiens et deux autres de Tassili Airlines pour faire face au rush des estivants et des pèlerins.

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Mehdi Benatia : « Le Maroc doit s’inspirer de l’Algérie et de l’Égypte »

Fri, 03/06/2016 - 20:36

Alors que le Maroc, déjà qualifié pour la CAN 2017, affronte la Libye vendredi, Mehdi Benatia se projette vers l’avenir. Celui des Lions de l’Atlas version Hervé Renard, mais aussi le sien, puisque le capitaine marocain devrait quitter le Bayern Munich cet été.

Jeune Afrique : Hervé Renard a-t-il changé en profondeur le fonctionnement de la sélection ?

Mehdi Benatia : Il n’est là que depuis quatre mois. Avec lui, nous avons réussi à nous qualifier pour la CAN 2017, à deux journées de la fin. Hervé Renard a redistribué les cartes. De nouveaux joueurs sont arrivés. Il est arrivé avec son expérience de l’Afrique, mais aussi sa façon de travailler, très européenne. C’est quelqu’un qui est proche des joueurs, qui communique beaucoup avec eux. Il sait aussi se monter rigoureux et strict. Il est intransigeant sur la discipline. Mais je ne veux surtout pas occulter le travail qui a été fait avant. Avec Badou Zaki, il y avait des résultats.

Quelles sont les grandes lignes du discours du nouveau sélectionneur ?

Il nous a dit qu’il y a du talent, du potentiel dans cette équipe. Mais qu’elle manque de grinta [combattivité en italien]. Il veut que nous nous comportions comme des morts de faim sur le terrain. Et il cite les exemples de l’Algérie, de l’Egypte… Des équipes qui ont une grosse qualité technique, mais qui jouent aussi avec le cœur. Les supporters attendent qu’on redevienne une des meilleures sélections d’Afrique. Ici, certains estiment que c’est déjà le cas, puisque nous venons de gagner trois matches de suite (1-0 et 2-0 face au Cap Vert et 2-0 contre le Gabon) sans prendre de buts. D’autres attendent de voir la suite. Pour l’instant, nous n’avons encore rien fait. C’est prometteur, mais attendons la suite avec les échéances qui arrivent, comme les qualifications pour la Coupe du monde 2018 et la CAN au Gabon. Vous savez comment cela se passe : si les résultats ne sont pas là, le coach sera critiqué. C’est partout pareil…

C’est peut-être le moment de partir du Bayern. Je vais en parler avec mon agent après le match contre la Libye

En tant que capitaine, entretenez-vous des rapports privilégiés avec Hervé Renard ?

Je suis en sélection depuis plusieurs années, je m’entends bien avec tout le monde, et je n‘ai pas attendu d’avoir le brassard pour parler avec le groupe. Je suis effectivement un des relais du coach, mais je ne suis pas le seul. Et puis, même les nouveaux joueurs qui arrivent en sélection s’expriment, parlent. Je trouve que c’est positif et important.

Vous êtes sous contrat jusqu’en juin 2019 avec le Bayern Munich. Mais un départ semble se confirmer…

J’ai vécu deux saisons consécutives assez compliquées au Bayern Munich, à cause des blessures. Je ne suis d’ailleurs pas le seul dans ce cas, et c’est un problème dont il faudrait connaître les raisons. Je suis effectivement sous contrat avec le Bayern, où un nouveau coach (l’Italien Carlo Ancelotti, NDLR) va arriver. Mais le club vient de recruter Mats Hummels (Borussia Dortmund) en défense centrale. C’est peut-être le moment de partir. Je vais en parler avec mon agent (Moussa Sissoko, NDLR) après le match contre la Libye. Il faudra aussi connaître la position de mon club.

On parle de vous en Italie (Juventus Turin, AS Roma), mais aussi en Angleterre (Arsenal)…

C’est vrai qu’au départ, je penchais un peu plus pour l’Italie, un pays où j’ai joué (Udinese, AS Roma), que j’aime et qui me manque. Mais d’autres propositions arrivent. Je vais les étudier. Et ensuite viendra le temps de la réflexion et du choix…

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Bensalah se recueille à la mémoire du défunt président sahraoui Mohamed Abdelaziz

Fri, 03/06/2016 - 20:24

Le président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, s’est  recueilli, vendredi à Chahid El Hafid (camps de réfugiés sahraouis), à la mémoire du président sahraoui et secrétaire général du Front Polisario, Mohamed Abdelaziz, décédé mardi dernier des suites d’une longue maladie.

M. Bensalah était accompagné du Premier ministre, Abdelmalek Sellal, du ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale, Ramtane Lamamra, du vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP), le général de corps d’Armée, Ahmed Gaïd Salah, du ministre des Affaires maghrébines, de l’Union africaine et de la Ligue des Etats arabes, Abdelkader Messahel, et du ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni.

M. Bensalah a récité la fatiha du Saint Coran et signé le registre de condoléances.

Né en 1948 à Smara où il a effectué ses études, le défunt était membre fondateur du Front Polisario et chef militaire au front jusqu’à son élection après l’assassinat d’El-Ouali Mustapha Erraqibi le 9 juin 1976.

En octobre 1976, lors du 5e congrès du Front Polisario, le défunt fut également désigné président de la RASD.

Décès du président sahraoui: M. Bensalah signe le registre de condoléances

CHAHID EL HAFED,(camps de réfugiés sahraouis)- Le président du Conseil de la nation Abdelkader Bensalah a signé vendredi à Chahid El Hafed (camps de réfugiés sahraouis), au nom du président de la République Abdelaziz Bouteflika, le registre de condoléances suite au décès du président sahraoui Mohamed Abdelaziz réaffirmant le soutien de l’Algérie peuple et direction au peuple Sahraoui dans sa lutte pour la liberté.

 » Nous nous inclinons à la mémoire du président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, secrétaire général du Front Polisario, et en cette douloureuse épreuve qui frappe le peuple sahraoui frère par la perte d’un valeureux militant et d’un grand dirigeant militaire et politique, symbole de sa lutte pour la libération », a écrit le président du Conseil de la nation dans son message de condoléances.

« Le parcours du défunt président inspirera le peuple sahraoui et le guidera pour la concrétisation de ses objectifs légitimes de liberté et de la dignité », a-t-il ajouté.

Notre présence, sur instruction du président de la République Abdelaziz Bouteflika pour partager la douleur du peuple sahraoui éprouvé par la perte de son grand dirigeant est pour nous une occasion de réitérer le soutien de l’Algérie, peuple et direction, à son combat jusqu’à la concrétisation de ses nobles objectifs par l’exercice de son droit à l’autodétermination », a conclu M. Bensalah.

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Réouverture du téléphérique de Riadh El Feth lundi prochain

Fri, 03/06/2016 - 20:15

Bonne nouvelle pour les usagers des téléphériques d’El Madania et de Riadh El Feth. Fermés depuis janvier dernier en raison des travaux de rénovation et de modernisation, ils seront rouverts aux passagers, a annoncé l’Entreprise de transport algérien par câbles (Etac).

Ainsi, le téléphérique de Riadh El Feth (Monument des martyrs) rouvrira lundi 6 juin, alors que celui d’El Madania reprendra du service le jeudi 16 juin, indique un communiqué de cette entreprise chargée de l’exploitation des téléphériques en Algérie.

Les navettes de substitution, mises à la disposition des usagers des deux téléphériques depuis l’interruption du trafic en janvier dernier, « continueront à assurer la liaison entre les gares d’extrémité des installations et ne prendront fin qu’à la date de réouverture des deux stations », assure la société.

L’Etac a été créée en décembre 2014 en partenariat entre l’entreprise du métro d’Alger (Ema), l’entreprise de transport urbain et suburbain d’Alger (Etusa) et l’entreprise française du transport par câble (Poma).

Cette société a pour mission principale l’exploitation et la maintenance des installations de transport par câble ainsi que l’étude et la réalisation des systèmes de transport par câble.

Les solutions de transport par câbles d’Alger accueillent près de 4 millions de passagers/an, selon les chiffres communiqués par la société.

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Ould Khelifa salue les efforts de l’Algérie dans la préservation de la stabilité dans son environnement géopolitique

Fri, 03/06/2016 - 19:56

Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Larbi Ould Khelifa a salué jeudi les efforts de l’Algérie dans la préservation de la stabilité dans son environnement géopolitique et celui de la région du Sahel en particulier, ainsi que son souci de renforcer et de protéger la sécurité et la stabilité à la lumière de ces défis.

Lors de sa rencontre avec son homologue le président de l’assemblée nationale française, Claude Bartolone, M. Ould Khelifa a mis en avant « les menaces inquiètantes que représentent le flux d’armes et le trafic de drogue sur la sécurité de la région », passant en revue « les efforts de l’Algérie dans la préservation de la stabilité dans son environnement géostratégique et la région du Sahel en particulier ».

Selon le communiqué de l’APN, le même responsable a cité en exemple le succès de l’Algérie qui a réussi à réunir les belligérants maliens pour la signature d’un accord préservant l’intégrité territoriale de ce pays, soulignant que l’Algérie « veille toujours à opter pour le dialogue pacifique et le bannissement de la violence dans le règlement des conflits ».

Le président de l’Assemblée a appelé « à davantage de coordination et de concertation entre les deux pays pour faire face au terrorisme qui est désormais un ennemi commun pour tous », a indiqué le même responsable, ajoutant que l’approche de l’Algérie était fondée sur l’appui aux efforts de développement et la lutte contre la pauvreté, un des plus importants  moyens d’éradiquer le terrorisme et de mettre fin à l’immigration clandestine ».

Ould Khelifa a saisi l’occasion de la rencontre pour réaffirmer la position de l’Algérie vis à vis des questions palestinienne et sahraoui, ajoutant que « les chartes et décisions onusiennes doivent contribuer à éteindre le feu de la discorde au Moyen Orient et en Afrique ».

« L’Algérie et la France peuvent contribuer ensemble à réaliser la justice et à soutenir la légalité internationale ».

Evoquant l’aspect économique, le président de la chambre basse du Parlement a rappelé les visites échangées entre les présidents et membres des gouvernements des deux parties qui ont permis de booster les relations bilatérales, mettant en exergue l’importance de les « renforcer par un partenariat économique mutuellement bénéfique pour les deux parties à travers la diversification des champs de coopération, ce qui permettra de bénéficier des expériences de chaque partie pour l’intérêt commun de la région ».

Les membres de la grande commission parlementaire ont œuvré depuis la création de ce cadre consultatif à choisir les thèmes qui intéressent les deux pays en vue de les examiner dans un climat empreint de sérieux et de responsabilité à même de hisser les relations de coopération à de meilleurs niveaux, a précisé le responsable.

Il a dans ce sens rappelé le dernier amendement constitutionnel, initié par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, et adopté par le Parlement, soulignant son importance en matière de promotion de l’exercice démocratique et de construction d’un nouveau model de développement qui encourage les investissements algériens et étrangers.

Le président de l’Assemblée nationale française a indiqué que les parlementaires sont assignés de la mission de soutenir les gouvernements des deux pays dans l’orientation des efforts vers le renforcement de la coopération en matière de lutte contre le terrorisme.

Il a indiqué dans ce sens que les deux parties sont soucieuses de préserver la sécurité de la région méditerranéenne, exprimant sa satisfaction quant au partenariat gagnant-gagnant pour les deux parties, partant du principe que son pays est conscient de l’importance de poursuivre et de renforcer la coopération

nord-sud.

Le responsable a enfin souligné la nécessité de trouver des solutions politiques aux questions en suspens dans le cadre de l’ONU.

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