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Algerie360 - Actualité et Information sur l'Algérie
Updated: 2 months 5 days ago

inauguration d’un service des urgences médico-chirurgicales et de deux polycliniques

Sun, 03/07/2016 - 21:37

Le ministre de la Santé, de la population et de la réforme hospitalière, Abdelmalek Boudiaf, a procédé dimanche à Alger en compagnie du wali d’Alger, Abdelkader Zoukh, à l’inauguration du service des urgences médico-chirurgicales au CHU Zemirli et de deux  polycliniques de proximité à Tessala el Merdja et El Achour.

Au service des urgences médico-chirurgicales, M. Boudiaf a indiqué que l’ouverture de ce nouveau service contribuerait à l’amélioration des prestations sanitaires au profit des citoyens d’Alger et de ses environs.

Le ministre a annoncé, par ailleurs, que l’hôpital de Zéralda serait désormais spécialisé dans la prise en charge des traumatismes dus aux accidents de la circulation au niveau d’Alger-ouest, alors que l’hôpital de Zemirli prendra en charge les victimes des accidents de la route au niveau d’Alger-est.

La délégation ministérielle a également inspecté les polycliniques de proximité de Tessala el Merdja et d’El Achour.

Après avoir mis en exergue l’importance de ces deux polycliniques qui contribuent à l’allègement de la pression sur les grands hôpitaux d’Alger, le ministre a annoncé que ces trois structures seront dotés d’un corps paramédical.

M. Boudiaf a rappelé les autres projets en voie de réalisation dont certains seront mis en service avant la fin de l’année.

Categories: Afrique

L’Algérie dans la liste noir de la honte du Département d’État américain

Sun, 03/07/2016 - 21:37

Les États-Unis ont mis à jour leur « liste noire » des pays ne respectent pas les normes minimales et qui n’en font pas assez pour lutter contre le fléau qu’est le trafic d’être humains ou l’esclavage, ajoutant sur cette liste noire de la honte, pour 2015, 8 nouveaux pays : Haïti, le Suriname, la Birmanie, Djibouti, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, le Soudan, le Turkménistan et l’Ouzbékistan qui rejoignent les 18 autres : l’Algérie, la Biélorussie, le Belize, le Burundi, la République centrafricaine, les îles Marshall et les Comores, la Guinée équatoriale, l’Erythrée, la Gambie, la Guinée-Bissau, l’Iran, la Corée du Nord, la Mauritanie, la Russie, le Sud-Soudan, la Syrie, le Venezuela et le Zimbabwe.

Le ministère des Affaires étrangères (MAE) a réagi, samedi, au contenu du 16e rapport du département d’Etat américain sur la traite des personnes, en relevant avec un « profond regret » que ce rapport classe, encore une fois, l’Algérie dans une « catégorie3 » regroupant des Etats qui, « ne se conforment pas pleinement aux normes minimales pour l’élimination de la traite et ne font pas d’efforts pour atteindre cet objectif ».

Il déplore cette appréciation qui, « loin de résulter d’une évaluation rigoureuse de la situation, continue de puiser surabondamment à des sources approximatives et manquant de crédibilité et de se fonder sur des informations erronées, voire fallacieuses ».

L’Algérie demeure engagée avec détermination dans la lutte contre la traite des personnes, un engagement qui s’est traduit par l’élevation prochaine du Comité interministériel chargé de coordonner les activités liées à la prévention et à la lutte contre ce phénomène en Comité national placé sous l’autorité directe du Premier ministre pour en rehausser les capacités et l’efficacité. APSLe ministère relève, encore, que cette note qui « ne prend pas l’exacte mesure des efforts significatifs consentis par notre pays en matière de prévention de la traite des personnes, ne rend certainement pas justice à la posture claire et active qui est celle de l’Etat algérien sur cette problématique dans son ensemble, le fléau de la traite des personnes étant un phénomène marginal en Algérie et étranger aux valeurs et coutumes de la société algérienne ».

Categories: Afrique

L’Algérie condamne énergiquement les deux attentats terroristes à Bagdad

Sun, 03/07/2016 - 20:50

L’Algérie a condamné « énergiquement », dimanche, les deux attentats terroristesqui ont frappé dans la nuit de samedi à dimanche la capitale irakienne Bagdad, exprimant sa solidarité avec le peuple et le gouvernement irakiens dans leur guerre contre le terrorisme.

Dans une déclaration à l’APS, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, Abdelaziz Benali Cherif a indiqué que « les deux attaques meurtrières qui ont visé la capitale irakienne Bagdad constituent des actes terroristes hideux que nous condamnons avec la plus grande vigueur. Il s’agit d’un autre maillon de la chaîne des attaques terroristes sanglantes qui ciblent les enfants du peuple irakien frère ».

« Par ces attaques sanglantes qui ciblent des personnes innocentes en ce mois sacré de Ramadhan, les terroristes ont porté atteinte de plein fouet aux valeurs humaines atteignant un degré d’égarement et de barbarie sans précédent », a ajouté le porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

« En cette douloureuse épreuve, nous présentons nos condoléances aux familles des victimes et exprimons notre solidarité avec le peuple irakien frère et son gouvernement dans sa guerre contre le terrorisme », a-t-il ajouté.

« L’Algérie qui a souffert des affres du terrorisme, est déterminée à apporter soutien et assistance à ses frères qui continuent à pâtir de ce fléau qui menace la cohésion des sociétés et la sécurité et la stabilité des peuples et des pays ».

Categories: Afrique

Traite des personnes: la CNCPPDH et le CRA désapprouvent le rapport du département d’Etat américain

Sun, 03/07/2016 - 20:44

La Commission nationale consultative de promotion et de protection des Droits de l’Homme (CNCPPDH) et le Croissant rouge algérien (CRA) ont exprimé dimanche à Alger leur désapprobation et leur opposition au contenu du rapport du département d’Etat américain sur la traite des personnes qui a classé l’Algérie dans la « catégorie 3 ».

Le rapport américain « ne correspond à aucune réalité », a déclaré à l’APS, le président de la Commission nationale consultative de promotion et de protection des Droits de l’Homme (CNCPPDH), Me Farouk Ksentini qui s’est dit « outré par un rapport fabriqué de toutes pièces (…) qui n’a pour seul objectif, que celui de tenter de nuire à la réputation de l’Algérie ».

« Je conteste catégoriquement les accusations et les allégations contenues dans ce rapport qui n’a absolument aucune valeur, ni juridique, ni documentaire », a-t-il expliqué.

Pour le président de la CNCPPDH, « le dit rapport discrédite ses auteurs qui ont commis de graves accusations à l’égard de l’Algérie sans prendre le soin de la vérification préalable ».

Pour sa part, la présidente du Croissant rouge algérien (CRA), Saida Benhabiles, a déclaré que le rapport en question constitue « une attaque gratuite, non seulement contre la politique de l’Algérie dans l’humanitaire mais aussi contre le CRA et les efforts qu’il consent pour accomplir dignement sa mission ».

Elle a estimé que le rapport est aussi « une insulte et une attaque contre le peuple algérien et sa culture qui puise ses racines dans des valeurs ancestrales faites de solidarité et de respect de la dignité humaine ».

Mme Benhabiles s’interroge, à cet effet, sur les visées de ce rapport qui intervient au moment où, dit-elle « se manifestent des reconnaissances de la part des concernés pour le travail accompli par l’Algérie » en faveur notamment des migrants de nationalités africaines.

Elle a cité, dans ce sens, la lettre de reconnaissance dont elle était destinataire de la part de la première dame du Niger suite à « l’opération de rapatriement des ressortissants nigériens vers leur pays ».

La présidente du CRA tient aussi à rappeler que « les représentants de la Communauté internationale humanitaire réunie à Alger le 16 mai dernier pour célébrer la Journée mondiale de la Croix rouge et du Croissant rouge ont déclaré « Alger, capitale de l’humanitaire ».

Elle a indiqué que les mêmes représentants « ont rendu un vibrant hommage au président Bouteflika comme cavalier de l’humanitaire », relevant que la rencontre s’est déroulée en présence des présidents de la croix rouge du Mali et du Niger, ainsi que des présidents du Croissant rouge de Mauritanie, Libye, Tunisie, Palestine et Sahara Occidental.

« C’est la raison pour laquelle nous nous demandons sur quelles bases et sur quelles sources d’information ont travaillé les rédacteurs de ce rapport, d’autant plus qu’un représentant de l’ambassade des USA à Alger a tenu une séance de travail au niveau du Centre d’accueil des migrants à Tamanrasset », a ajouté Mme Benhahabiles.

Ce représentant de l’ambassade US a lui-même constaté, relève la présidente du CRA, que « le centre dispose de toutes les structures nécessaires pour la prise en charge des ressortissants », ajoutant que « lui-même nous a félicités pour le travail accompli après avoir constaté et s’être informé de tous les détails relatifs à la prise en charge des concernés ».

S’agissant de la prise en charge sanitaire, Me Benhabiles a indiqué que le représentant de l’ambassade US a constaté à Tamanrasset qu’elle est assurée et de manière gratuite et que les malades qui présentaient des pathologies ne pouvant pas être traités dans les structures de santé du Sud sont transférés par avion vers Alger où ils bénéficient de tous les soins adéquats.

Pour Me Benhabiles, « ce rapport nous rappelle la période où l’Algérie faisait face au terrorisme et où, de l’autre côté de la Méditerranée, on pose la question de « qui tue qui? ». Manifestement, c’est le même scénario et nous nous demandons à qui profite cet amalgame ».

Le ministère des Affaires étrangères a relevé, samedi dans un communiqué, avec un « profond regret », que le 16e rapport du département d’Etat américain sur la traite des personnes classe, encore une fois, l’Algérie dans une « catégorie 3 » regroupant des Etats qui, selon le rapport, « ne se conforment pas pleinement aux normes minimales pour l’élimination de la traite et ne font pas d’efforts pour atteindre cet objectif ».

Le ministère a déploré cette appréciation qui, « loin de résulter d’une évaluation rigoureuse de la situation, continue de puiser surabondamment à des sources approximatives et manquant de crédibilité et de se fonder sur des informations erronées, voire fallacieuses ».

Categories: Afrique

«La chute du pétrole freine le développement»

Sun, 03/07/2016 - 20:27

Après plusieurs missions menées en Afrique, notamment au Maghreb (Algérie, Maroc et Tunisie), M. Arnault Villaret, chef de projet au Bureau de la coopération technique internationale (BCTI) de l’Institut de l’élevage de Paris, revient dans cet entretien sur les potentialités et les besoins de l’Algérie dans les secteurs laitiers et de viandes rouges. Il livre également sa vision sur la filière bovine à moyen terme à l’ombre des mutations économiques que connait le pays.

Quelles sont les missions du BCTI dans le développement de l’élevage ?

Le BCTI (bureau de coopération technique internationale) rassemble les compétences qui répondent à des besoins exprimés à l’international, que ce soit par voie d’appels d’offres émanant de bailleurs de fonds comme la Banque mondiale, la Banque africaine de développement ou l’AFD (Agence française de développement), ou des contrats de gré-à-gré avec, soit les services publics, ministères de l’agriculture de pays étrangers ou des opérateurs privés qui veulent investir dans l’élevage ou améliorer leur production.

Pour ce qui est de nos activités en Afrique, nous répondons à toutes les demandes solvables parce que, nous-mêmes, malheureusement nous n’apportons pas de financements sachant qu’il y a de moins en moins de financements publics français. Les missions d’assistance technique qu’on a menées jusqu’ici ont eu lieu en Afrique du nord, dont l’Algérie, l’Egypte, le Maroc ou la Tunisie. Le BCTI a mené également plusieurs actions dans des pays comme l’Ethiopie ou le Kenya avec des financements accordés par l’AFD.

Est ce que les bailleurs de fonds sont disposés à accompagner des programmes de cette nature ?

En tout cas, ce sont des bailleurs de fonds internationaux avec des lignes de financement sur le long terme qui se décident au niveau des gouvernements en amont. Ce n’est qu’une fois le financement mobilisé et l’appel d’offre lancé que notre bureau se manifeste. Il nous arrive aussi de monter des projets et de les présenter à des bailleurs potentiels, notamment français, comme les ministères de l’agriculture et de l’économie ou l’AFD mais, comme il y a de moins en moins de financements disponibles, il ne reste que la voie des appels d’offre lancés par les bailleurs de fonds internationaux.

Quel pourrait être votre apport pour des pays comme l’Algérie qui adoptent ces dernières années des politiques agricoles axées sur la production locale pour réduire les importations alimentaires ?

On intervient chaque fois il y a une demande locale. On a déjà réalisé des missions en Algérie dans le cadre des actions de jumelage financées par l’Union européenne et réalisées dans le cadre d’un partenariat entre les ministères de l’agriculture algérien et français. Ces actions, qui sont toujours en cours, portent en particulier sur l’identification et la traçabilité des bovins. Donc, nous sommes toujours prêts à répondre à des besoins exprimés et, pour être sincère, les besoins ne manquent pas mais la seule difficulté qui existe c’est au niveau des financements.

La situation économique actuelle de l’Algérie qui connait une baisse de ses revenus pétroliers ne risque-t-elle pas de freiner l’avancement de ces projets de coopération technique ?

C’est sûr, pour des pays comme l’Algérie, la chute des prix du pétrole impactent sur les finances publiques et aussi sur les actions de développement. Donc, la situation devient plus complexe lorsqu’il n’y a pas des offres de financements émanant de bailleurs de fonds internationaux. C’est-à-dire, la crise actuelle touche beaucoup plus les projets de coopération qui s’appuient sur les finances locales.

En Algérie, les éleveurs procèdent au renouvellement de leurs cheptels en important des vaches laitières à fort potentiel, notamment des races françaises, mais une fois arrivées sur place, les rendements de ces vaches baissent, compte tenu des conditions climatiques locales et le système alimentaire auquel elles sont soumises. De quelle manière pouvez-vous accompagner ces éleveurs dans le choix de races plus adaptées ?

En Europe et en France en particulier, il y a tout un panel de races, hautes productrices, moyennes productions et races rustiques. Mais, il faut savoir qu’il n’y a pas de meilleure race en soi, il y a juste des races qui sont plus ou moins adaptées au contexte et aux ressources. Même dans les pays du bassin méditerranéen, quels qu’ils soient, c’est selon le type d’exploitation et les ressources alimentaires auxquelles ces vaches peuvent accéder, en particulier les fourrages et l’eau. Donc, ce n’est pas forcément la même race qui va s’avérer la plus adaptée d’un pays à un autre. C’est comme pour une voiture, on préfère tous la plus puissante mais on ignore si elle sera adaptée aux routes et le climat dans le pays où elle va rouler. Malheureusement, c’est le même cas pour les éleveurs qui optent toujours pour les races hautes productrices mais sans avoir les moyens nécessaires pour répondre à leurs besoins, notamment en matière d’alimentation et d’eau. Certes, l’aspect génétique est important mais après, la conduite des élevages doit être à la hauteur pour que le potentiel de la vache puisse se valoriser. C’est donc pour ces raisons que, souvent, les bovins ne donnent pas autant de lait que ce qui a été imaginé.

Comment entrevoyez-vous l’avenir de cette coopération à moyen terme ?

Comme je viens de le dire, les besoins sont croissants mais, en plus des difficultés financières, il y a aussi la contrainte sécuritaire dans certaines régions. Le danger existe autant pour les acteurs locaux que pour les experts étrangers qui sont appelés à aller sur place pour réaliser les programmes de coopération tracés. En tout cas, l’instabilité sécuritaire ou sociale est un facteur limitant les possibilités de développement. Si l’Europe a atteint le niveau de développement actuel, parce qu’elle a eu après la deuxième guerre mondiale 40 à 50 ans de stabilité politique et sociale.

Categories: Afrique

L’agriculture se met au nouveau modèle de croissance

Sun, 03/07/2016 - 20:23

Annoncé il y a quelques mois par le Premier ministre, le nouveau modèle de croissance requis pour faire face à la conjoncture non moins facile que traverse actuellement l’économie nationale, mobilise de plus en plus les secteurs productifs stratégiques, à l’instar de l’agriculture et du développement rural.

Dans un état des lieux, intitulé « baisse drastique des ressources financières vers un nouveau modèle de croissance », que vient d’établir M. Chérif Omari, directeur central au ministère de tutelle, les grands axes d’un nouveau plan d’action centré sur une nouvelle approche viennent d’être arrêtés. Il s’agit, entre autres de « recours à l’investissement privé, national et étranger, dans le cadre, notamment, de partenariats public-privé et privé-privé, émergence d’exploitations agricoles à taille critique comme locomotive de la croissance agricole, développement plus soutenu des filières stratégiques (céréales, lait, fourrages, viandes, légumes secs), et substitution aux importations massives de certains produits agricoles et alimentaires, construction de filières agricoles et agroalimentaires dédiées à l’exportation et permettant à notre pays de diversifier ses ressources financières extérieures, enfin, développement de l’instrument national de régulation. »

Plus concrètement, l’analyse de M. Omari, s’appuie sur « cinq idées-forces qui constituent la matrice de ce nouveau modèle de croissance », à savoir, « l’investissement privé comme nouveau moteur de la croissance agricole, l’intégration pour une meilleure construction des chaînes de valeur, l’innovation comme clé de la modernisation et du développement agricole et de la pêche, l’irrigation pour un accroissement soutenu de la productivité ainsi que l’inclusivité comme garantie d’une participation efficiente des acteurs et d’un développement équilibré des territoires. »

A la faveur de cette nouvelle stratégie déployée au niveau de tous les compartiments du secteur agricole et de la pêche, les objectifs escomptés à moyen terme ne sont pas moins ambitieux. Il y est attendu en effet, selon M. Omar, une croissance moyenne de 5 %, une valeur de la production qui dépasserait les 4 000 milliards de dinars, soit plus d’un quart de plus qu’en 2015 où la production agricole a été de 2 900 milliards DA. Les autres objectifs attendus consistent en la création de 1,5 million d’emplois, réduction de 30 % de la facture des importations alimentaires, rationalisation des importations de 360 millions de dollars, (Laits et produits laitiers, viandes rouges, bovins, poissons, intrants avicoles, semences, plants fruitiers, produits phytosanitaires et légumes et fruits frais) et le doublement des exportations agricoles pour atteindre 1,1 milliard de dollars.

Mourad Allal

Categories: Afrique

Comment contourner la censure des réseaux sociaux en Algérie

Sun, 19/06/2016 - 04:37

Les réseaux sociaux notamment Facebook et Twitter sont inaccessibles pour les internautes algériens samedi soir depuis 20h00. Cette « coupure des réseaux sociaux a une relation directe avec les examens partiels du baccalauréat qui débuteront demain dimanche », a expliqué une source du secteur de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication.

Mais cette mesure s’avère inutile car il est simple voire un jeu d’enfant pour countrner le blocage des réseaux sociaux. il suffit de télécharger une application VPN sur son ordinateur ou smartphone. Une fois téléchargée, la configuration se fait automatiquement pour la plus des logiciels ou nécessite un simple paramétrage.

Liste des applications et logiciels gratuits :

Hotspot shield : Windows – IOS – Android.

Snap VPN : Android

Cloud VPN :  Windows – IOS – Android.

VPN pro : Android

VPN express : IOS

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les réseaux sociaux bloqués en Algérie !

Sat, 18/06/2016 - 23:12

Les réseaux sociaux Facebook, Twitter et Instagram ont été  bloqués, ce soir samedi soir à 20 heures. La coupure va durer jusqu’au 23 juin, date de la fin des examens.

D’après TSA : Le gouvernement a pris cette décision pour « protéger les candidats au bac partiel qui commence demain contre les faux sujets », a affirmé notre source. Malgré les dispositions prises pour éviter les fuites, les autorités semblant convaincues que « des parties » diffuseront de faux sujets pour perturber l’examen.

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Sécurité routière Les chauffards payeront plus cher

Sat, 18/06/2016 - 22:07

Certainement que le nombre d’accidents de la route et leurs corollaires ont chuté ces derniers mois, il n’empêche que la moyenne de 4 000 morts et de 60 000 blessés enregistrés, chaque année sur les routes, est inquiétante. D’où la nécessité de mesures plus strictes.

Les sinistres routiers engagent chaque année plus de 100 milliards de dinars du budget de l’Etat, a affirmé Ahmed Naït El Hocine, chargé des activités du Centre national de prévention et de sécurité routière.

Et pour éviter de solliciter ce dernier, il y a création «en cours» d’un Fonds de sécurité routière, qui est déjà assez creusé. Il sera, visiblement, alimenté par «les contraventions et amendes récoltées auprès des automobilistes contrevenants». Parallèlement, d’autres mesures vont être appliquées au paiement des amendes. A titre d’exemple, le non-acquittement d’une amende de 5 000 DA sur place, celle-ci sera majorée d’une somme de 2 000 DA supplémentaire au moment du paiement différé.

Du côté de la réglementation, l’interlocuteur a évoqué «un Brevet professionnel destiné aux conducteurs habilités pour le transport des marchandises ou des voyageurs» pour un meilleur encadrement de cette activité. Ceci si la délivrance de ce diplôme répond à un mérite et à une transparence. Evoquant le volet organisationnel, A. Nait El Hocine a parlé de l’établissement d’un Conseil intersectoriel de la sécurité routière, rattaché au Premier ministre. Et, encore une fois, d’une mise en place «en cours» d’un système de collecte de données afin de pouvoir comprendre et analyser certains phénomènes liés aux accidents routiers.

En effet, 34% des sinistres sont causés par des jeunes conducteurs ayant moins de 30 ans, et les propriétaires de véhicules neufs sont les plus concernés.

Il s’agit là de l’un des éléments qu’il faudrait étudier afin d’orienter davantage les campagnes de sensibilisation et de sécurité routière vers les jeunes automobilistes.
N. B.

Categories: Afrique

Un grand hypnotiseur à Alger: Pari réussi pour Barbereau

Sat, 18/06/2016 - 20:42

En ce mercredi soir, le public du chapiteau du Hilton a vécu des moments rares avec Hervé Barbereau, l’un des hypnotiseurs les plus rapides au monde.

Après le passage du groupe de danse Bollywood, dont les quatre danseurs et danseuses ont bien été applaudis, c’est au tour d’Hervé Barbereau de monter sur scène pour étonner le plus sceptique des spectateurs. Pour préparer ses victimes et les choisir, Barbereau a sa propre méthode.

Il se met derrière un pupitre, à la manière des grands conférenciers, et explique ce qu’est l’hypnose et la différence qu’il y a entre l’hypnotisme thérapeutique utile pour les médecins et les dentistes et celui du spectacle. Cette petite conférence permet à Hervé de mettre en confiance son public qui est déjà prêt pour le test de préselection.

L’hypnotiseur demande alors aux spectateurs de coller leurs mains en les levant haut. En quelques secondes, les personnes sélectionnées qui ne pouvaient plus les décoller montent en file indienne sur la scène du grand chapiteau. Très vite, le grand spectacle commence. L’hypnotiseur prouve sa rapidité en passant la main sur le visage de chaque personne et à tour de rôle, elles tombent par terre complètement endormies. Il leur demande de se lever, tout en restant endormies.

L’artiste élimine discrètement deux personnes qu’il n’a pu endormir en leur demandant de quitter la scène et le grand spectacle continue. On voit, sur la demande de l’hypnotiseur, les victimes se prendre pour des pilotes de formule 1 et croire rouler à très grande vitesse. On les voit se transformer en cavalier sautant les haies et caresser leurs chevaux. Ils vivent par la suite une scène de science fiction et voient des fantômes. Par la suite, ils sont invités à danser un slow et le plus beau est que chaque garçon danse avec un garçon et chaque fille enlace une autre fille sans le savoir.

L’un d’eux passe de bons moments à danser avec une chaise. Hervé Barbereau se met une colle imaginaire sur la joue et invite une spectatrice à y coller la sienne. C’est ainsi qu’elle le suivra sur la scène, bien collée à lui. A un jeune, il demandera de tenir une carte dans sa main et il ne pourra se détacher d’elle car elle y est également collée. L’un des plus beaux moments de la soirée est celui où l’hypnotiseur réussit à prendre la carte de crédit d’une dame qui lui donne son numéro de code.

Le clou de la soirée

Plus grave, cette dernière sera convaincue jusqu’à la fin de la soirée qu’elle a laissé sa carte dans sa cuisine. Cette scène est offerte par Hervé Barbereau pour avertir le public qu’il ne faut pas se faire endormir par n’importe quel hypnotiseur car ce dernier a bien les capacités de vous voler. Avant de réveiller ses «victimes», Hervé Barbereau a utilisé la suggestion post-hypnotique pour qu’elles se sentent à l’aise après le réveil et fières d’avoir participé au grand show. L’hypnotiseur a réussi son pari. On souhaiterait son retour en Algérie pour une grande tournée.

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Restitution des crânes de résistants algériens: Tayeb Zitouni : «C’est pris en charge»

Sat, 18/06/2016 - 20:24

Les restes de dizaines d’Algériens ayant résisté à la colonisation française au 19e siècle, «séquestrés» au Musée de l’homme de Paris, seront apparemment rapatriés prochainement en Algérie.

La promesse a été faite jeudi par le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, qui a affiché sa détermination quant à la prise en charge de ce dossier. Il a rassuré, à cet effet, que «le problème était pris en charge par l’Etat». S’exprimant en marge d’une conférence au Musée national du moudjahid, à l’occasion du 171e anniversaire de l’enfumade de la tribu de Ouled Riah, dans la chaîne montagneuse de Dahra (Mostaganem), il a précisé que son département œuvrait actuellement en collaboration avec le ministère des Affaires étrangères pour une «prise en charge optimale de cette question dont l’histoire remonte à plus d’un siècle».

Rappelons qu’une pétition a été déjà lancée en ligne par l’enseignant universitaire, Brahim Senouci, dans le but de restituer les restes de ces résistants. Ces restes de crânes secs pour la plupart appartiennent, entre autres, rappelle-t-on, à Mohamed Lamjad Ben Abdelmalek, dit Cherif «Boubaghla», Cheikh Bouziane, chef de la révolte des Zaâtcha (région de Biskra en 1849), Moussa El-Derkaoui et Si Mokhtar Ben Kouider Al-Titraoui. La tête momifiée d’Aïssa El-Hamadi, qui fut le lieutenant de Cherif Boubaghla, figure parmi ces restes mortuaires, de même que le moulage intégral de la tête de Mohamed Ben-Allel Ben Embarek, lieutenant de l’Emir Abdelkader.

Rappelant l’importance accrue accordée par la nouvelle Constitution amendée à la préservation de la mémoire, Zitouni a exhorté les chercheurs à persévérer et poursuivre leurs efforts en vue d’approfondir leurs actions à cet effet.

Il faut réfléchir à la «publication d’un ouvrage sur la guerre de Libération destiné aux élèves du cycle primaire avant de le généraliser aux cycles moyen, secondaire puis universitaire», a-t-il préconisé. L’horrible «enfumade» perpétrée par l’occupant français contre la tribu d’Ouled Riah dans la chaîne montagneuse de Dahra en 1845 n’est pas «la seule en son genre», a-t-il souligné, rappelant que des massacres similaires avaient été commis dans plusieurs régions du pays pour l’extermination du peuple algérien.

Categories: Afrique

Coupe de la CAF: le MO Béjaïa avec un effectif décimé face aux Young Africans

Sat, 18/06/2016 - 20:17

Le MO Béjaïa fera son baptême du feu en phase de poules de la Coupe de la Confédération africaine de football en recevant les Tanzaniens de Young Africans dimanche au stade de l’Unité maghrébine de Béjaïa (22h15) sur fond de turbulences secouant le club de Ligue 1 algérienne depuis la fin de l’exercice 2015-2016.

C’est avec un nouvel entraîneur (Nacer Sendjak) et un nouveau président (Zahir Attia), mais sans aucune nouvelle recrue que le MOB affrontera son premier adversaire dans le groupe A. Pis, l’équipe risque de se présenter au rendez-vous avec seulement 14 éléments.

En effet, de l’effectif de la saison passée disposant de licences africaines, beaucoup de joueurs ont choisi de changer d’air, dont le dernier en date, l’attaquant vedette de l’équipe Okacha Hamzaoui qui vient d’opter pour Nacional Madeira (Div. 1, Portugal).

Ces aléas risquent de freiner les Béjaouis dans leur élan, sachant qu’ils seront également privés des services de Zidane Mebarakou et Mohamed Waliou Ndoye, tous les deux suspendus pour cumul de cartons, alors que Fawzi Yaya, un élément clé du onze mobiste, sera lui aussi forfait pour blessure.

Ce n’est pas tout, puisque la reprise des entraînements de l’équipe a eu lieu il y a à peine quelques jours, ce qui devrait se répercuter négativement sur le rendement des joueurs sur le terrain et leur aptitude à résister au rythme de la rencontre.

Un test à haut risque donc auquel les poulains de l’ancien sélectionneur de l’équipe algérienne (1998) seront confrontés, eux qui participent pour la première fois de l’histoire du club à une compétition internationale.

L’autre rencontre de ce groupe opposera le TP Mazembe (RD Congo) à Medeama (Ghana).

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Ramadhan à Blida: des soirées fortes animées à la 2e semaine du jeûne

Sat, 18/06/2016 - 20:11

Une animation intense commence à caractériser les soirées de ramadhan à Blida, particulièrement avec l’entame de la deuxième semaine de ce mois sacré, durant laquelle les familles investissent rues et boulevards principaux de la ville, dès la fin des prières surérogatoires, contrairement au calme plat de la première semaine.

Les ruelles « ensommeillées » de la longue journée de jeûne sont en effet vite remplacées, dès le F’tour achevé, par des artères grouillantes d’une activité intense créée par une multitude de jeûneurs repus en quête, qui d’une soirée divertissante, qui d’une bonne affaire au marché, ou simplement d’une balade à l’air frais rafraîchissant de la nuit.

D’aucuns, par contre, choisissent les lieux de culte pour accomplir leurs prières surérogatoires dans une ambiance de ferveur religieuse qu’ils tentent de mettre à profit pour implorer la miséricorde et la bénédiction de Dieu.

Parallèlement, d’autres citoyens investissent cafés et salons de thé pour de longues heures à deviser autour d’un café, un thé, une glace, ou des boissons fraîches.

Pour attirer la clientèle, de nombreux cafetiers ont installé des climatiseurs à l’intérieur de leurs salles, tout en aménageant de jolies tables, à l’extérieur pour ceux qui le peuvent, dans une invite claire aux passants pour venir s’installer et passer de longs moments dans des discussions à bâtons rompus, axées dans la plupart des cas sur le football, Euro 2016 oblige.

D’autres jeunes préfèrent se constituer en groupes, au bord des rues pour des parties de dominos interminables, agrémentées de boissons fraîches ou de fruits.

Cherbet Blida, Samssa et Griweche pour les soirées en famille

Pour de nombreuses familles de Blida, les soirées de Ramadhan sont, aussi, synonyme de visites échangées entre voisins ou membres d’une même famille, pour des soirées chaleureuses qui les réuniront autour d’une table achalandée où Cherbet, Samsa, Griweche et Mhencha, petites douceurs chères aux Blidis, trônent en roi et sont dégustés dans un ambiance particulière faite pour consolider les rapports familiaux en ce mois de piété et de fraternité.

A l’opposé de ces familles casanières, d’autres préfèrent profiter de leurs soirées pour faire des emplettes pour l’Aïd El Fitr, d’où le nombre impressionnant de femmes accompagnées d’enfants, qui investissent les commerces de la ville, qui à la quête d’habits, qui à la recherche d’ingrédients nécessaires pour confectionner les gâteaux de l’Aïd.

Un trafic automobile intense accompagne parfois ces sorties nocturnes, notamment aux abords des mosquées, à la fin des prières surérogatoires (Tarawih).

Le Ramadhan 2016 ayant coïncidé cette année avec l’annonce des résultats des examens de fin de cycle primaire et moyen, dans l’attente de ceux de l’examen du baccalauréat, beaucoup de familles ont opté pour les soirées de ce mois béni pour fêter le succès de leur progéniture où famille et voisins sont réunis dans un ambiance festive pour déguster les gâteaux « Rois » du Ramadhan.

Si les familles algériennes ont l’habitude de fêter le succès scolaire de leurs enfants avec divers gâteaux faits maison, ceux-ci ont été détrônés, cette année, par les « indémodables » Zlabia et Kalbe Ellouz, dont la demande a enregistré une hausse vertigineuse, au grand bonheur des commerces spécialisés dans ces pâtisseries orientales.

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5 personnes tuées et 23 autres blessées en 48 heures dans des accidents de la route

Sat, 18/06/2016 - 20:09

Cinq (5) personnes ont été tuées et 23 autres blessées dans huit accidents de la circulation survenus au cours des dernières 48 heures au niveau national, indique samedi un communiqué de la Protection civile.

Le bilan le plus lourd a été enregistré dans la wilaya de Tipaza avec une personne décédée et cinq autres blessées suite à un accident provoqué par le renversement d’un véhicule léger sur l’axe autoroutier Tipaza-Bousmail, commune de Tipaza.

Les éléments de la Protection civile sont par ailleurs intervenus dans le cadre du dispositif de surveillance des plages autorisées à la baignade, où 8 personnes ont été sauvées de la noyade, et prodigué des soins à 26 autres, alors qu’une personne a péri, noyée hors des heures de surveillance, à la plage Kario-Sidi Fredj, à Staoueli, dans la wilaya d’Alger.

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SMA: ouverture de 34 restaurants à Alger durant le mois de Ramadhan

Sat, 18/06/2016 - 19:58

Le commissariat des Scouts musulmans algériens (SMA) de la wilaya d’Alger, supervise durant le mois de Ramadhan 34 restaurants pour les jeûneurs avec un total de 4 500 repas par jour, a indiqué samedi le commissaire des scouts musulmans de la wilaya d’Alger, Rachid Boudina.

34 restaurants ont été ouverts pour accueillir les jeûneurs durant le mois sacré de Ramadhan sous l’encadrement de 650 scouts en sus des volontaires, a déclaré à l’APS M. Rachid Boudina.

Il a précisé que 4 500 repas étaient assurés quotidiennement par ces restaurants outre les 1 000 autres repas distribués aux familles alors que le nombre des couffins était de 3000 avec la contribution des services de la wilaya d’Alger.

A l’approche de la fête de l’Aïd El Fitr, les scouts musulmans contribueront à la distribution de 500 tenues au profit d’enfants orphelins. Des soirées sont également prévues en faveur des bienfaiteurs et des volontaires qui ont pris part à ces initiatives de solidarité durant ce mois sacré.

D’autre part, les services de la wilaya d’Alger avaient alloué une enveloppe financière de 48 milliards de centimes qui seront distribués sous forme de couffins au profit des familles démunies.

La valeur du couffin est passée de 3 500 DA l’année dernière à 5 000 DA cette année.

Cette initiative concerne aussi les familles de personnes aux besoins spécifiques n’ayant pas de revenus hormis la pension du handicapé, les personnes âgées et les veuves.

Par ailleurs et concernant le programme de la saison estivale, M. Boudina a annoncé que « comme chaque année, des camps de vacances relevant du commissariat seront ouverts pour accueillir 3 200 enfants adhérents et non adhérents à travers les différentes régions côtières du pays ».

L’encadrement de ces camps de vacances qui dureront du 10 juillet à la fin août, sera confié à plus de 1 100 scouts ayant déjà reçu une formation spéciale en matière de supervision des enfants et d’organisation d’activités ludiques et éducatives.

Les bénéficiaires de ces camps prendront part également à des campagnes de sensibilisation à travers les plages qui s’articuleront sur la lutte contre les stupéfiants et les accidents de la circulation à travers la distribution de dépliants et l’organisation d’activités à l’adresse des estivants en collaboration avec les servies de la sûreté.

Le nombre des adhérents au commissariat des scouts musulmans de la wilaya d’Alger dépasse les 8 500 (plus de 2 300 louveteaux de 6-12 ans, a-t-il ajouté.

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Formation des imams: la France souhaite bénéficier de l’expérience algérienne

Sat, 18/06/2016 - 19:53

La sénatrice française, Corinne Féret, a exprimé samedi à Alger, le souhait de son pays de bénéficier de l’expérience algérienne en matière de formation des imams et de gestion des affaires liées à l’Islam.

Dans une déclaration à la presse à l’issue d’une rencontre avec le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa, Mme Féret a précisé que sa visite qu’elle effectue en Algérie à la tête d’une délégation de membres du Sénat français, s’inscrivait « dans le cadre de la Mission d’information sur l’organisation, la place et de le financement de l’Islam en France et de ses lieux de cultes ».

Elle a souligné, à cette occasion, la « qualité » des entretiens qu’elle a eus avec le ministre pour les explications et les précisions qu’il lui a apportés sur les différents points évoqués, en qualifiant cette rencontre d' »enrichissante » pour sa mission.

Mme Féret a exprimé, à cet effet, son souhait de « bénéficier de l’expérience algérienne » dans le cadre du partenariat signé entre l’Algérie et la France dans ce domaine.

« Les échanges que nous avons eus sont précieux, et nous nous en inspirerons dans le cadre du rapport que nous allons remettre dans quelques jours au sénat », a-t-elle affirmé.

Pour sa part, Mohamed Aïssa a précisé que sa rencontre avec la délégation française a porté, en particulier, sur « la formation des imams algériens qui seront envoyés en France pour encadrer les membres de la communauté nationale ».

« Il s’agit pour nous d’aider et accompagner ces imams pour qu’ils puissent exercer la religion musulmane dans le respect des lois de la République française et loin de toute récupération politique ou à exploitation à des fins contraires à l’Islam », a-t-il ajouté.

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Afrique: des avancées en matière de gestion durable des terres

Sat, 18/06/2016 - 19:50

L’amélioration des stratégies et technologies de gestion des terres utilisées en Afrique subsaharienne a contribué à protéger l’environnement, à améliorer la productivité agricole et à renforcer la sécurité alimentaire, selon une étude du Nouveau Partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) publiée sur le site web de la FAO.

Le document dresse le bilan des leçons apprises au cours des cinq ans du Programme d’investissement stratégique TerrAfrica (SIP) concernant la gestion durable des terres.

Le SIP est un programme de partenariat mondial africain visant à améliorer la gestion durable des terres et de l’eau en Afrique subsaharienne.

Elaborée par le NEPAD et ses partenaires de TerrAfrica dont la FAO, cette initiative s’est étendue de 2010 à 2015 et a facilité l’octroi via le Fonds de l’environnement mondial (FEM) d’un financement de 150 millions de dollars pour lutter contre la dégradation des terres et permettre de collecter 800 millions de dollars pour 36 projets dans 26 pays africains.

En termes des systèmes d’exploitation agricoles, le programme SIP contribue au développement de pratiques agricoles déjà testées, au renforcement des services consultatifs, à l’amélioration des cadres politiques et à la consolidation des connaissances.

A cet effet, de nouvelles pratiques de gestion durable des terres ont été développées sur 2,7 millions d’hectares et ont bénéficié à près de 4,8 millions de personnes.

Les exécutant principaux de ce programme, sont la Banque africaine de développement, la FAO, le Fonds international de développement agricole (FIDA), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD), le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE) et la Banque mondiale.

Dans son contenu, le rapport soulève des questions clés et s’adresse aux futurs programmes qui seront mis en place en leur offrant des recommandations ainsi qu’aux futurs investissements destinés à promouvoir la gestion durable des terres et des écosystèmes du continent africain.

Il met en lumière 18 conclusions clés issues des projets du programme SIP dans 26 pays et qui renseigneront les gouvernements et les organismes partenaires en matière de gestion durable des terres.

Les pays et les partenaires impliqués dans l’initiative SIP ont une meilleure compréhension du processus de dégradation des terres et de ses causes grâce à l’adoption d’approches multisectorielles et multipartites.

La rotation des cultures, l’agriculture de conservation, la plantation d’arbres, l’intégration culture-élevage pour la restauration de la fertilité des sols sont les techniques les plus utiles, selon les gestionnaires des projets et les bénéficiaires.

Lorsqu’elles sont adaptées au contexte local et mises en £uvre au sein d’exploitations agricoles sur de plus vastes territoires, elles contribuent à augmenter la production agricole, à améliorer la biodiversité et à générer de nombreux services écosystémiques, tels que le recyclage des nutriments, le stockage de carbone, la lutte contre les ravageurs, l’amélioration des flux d’eau et la résilience face au changement climatique.

Parmi les approches réussies figurent notamment la gestion participative des bassins versants et l’aménagement du territoire, l’amélioration du droit d’accès aux ressources et leur utilisation, les mécanismes de résolution des conflits, la règlementation et le renforcement des capacités des principaux acteurs et des institutions à tous les niveaux.

Le développement des écoles d’agriculture de terrain s’est révélé déterminant dans plusieurs projets et ces écoles sont devenues indispensables pour renforcer les compétences des agriculteurs et des agro-éleveurs et pour rendre plus accessible les technologies nécessaires, a précisé le rapport.

Durant la période citée, le programme SIP a permis aux pays concernés de tester des alternatives innovantes pour financer des systèmes de gestion durable des terres et des cadres stratégiques nationaux propices aux investissements.

Ces alternatives seront indispensables afin d’élaborer les futures planifications intersectorielles et d’harmoniser l’aide, selon le rapport.

Néanmoins, il est recommandé davantage d’efforts pour investir dans des organismes dotés d’une expertise dans les médias, dans la gestion des connaissances, dans l’apprentissage et la formation et dans les initiatives à long terme, indique le rapport.

Pour rappel, les projets menés dans le cadre du programme SIP ont permis de mieux faire connaitre le problème de la gestion durable des terres et de démontrer l’importance de développer ce type de gestion dans des systèmes de production et dans plusieurs régions afin d’améliorer la productivité, de rétablir les services écosystémiques et de renforcer la sécurité alimentaire en Afrique subsaharienne.

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Le robot Promobot s’échappe et crée des embouteillages

Sat, 18/06/2016 - 19:47

D’habitude, on entend parler d’un lion ou d’un chimpanzé qui s’échappent d’un zoo. Ici, l’histoire est beaucoup plus originale mais beaucoup moins dangereuse, c’est un robot qui a voulu prendre l’air !

Promobot est un robot Russe d’accueil et d’assistance créé pour des zones très peuplées. Il conseille, oriente et fait la promotion des produits. Il dispose d’une reconnaissance faciale, d’une identification par la voix et peut dialoguer en auto-apprentissage…

Oleg Kivokourtsev, co-fondateur de la société Promobot, explique que le prototype qui s’est échappé est « destiné à maîtriser des algorithmes de mouvements automatiques qui seront inclus dans la nouvelle version de Promobot. »

Le robot était dans une zone d’essais. L’ingénieur qui s’en occupait l’a laissé « actif et sans surveillance ». Promobot en a alors profité pour fignoler son auto-apprentissage en partant s’aventurer dans les rues de Perm ! Malheureusement, sa batterie n’était pas suffisamment chargée pour pouvoir achever ses objectifs, il s’est alors retrouvé en plein milieu de la route, gênant quelque peu la circulation ! C’est au bout de 45 minutes qu’il a été retrouvé et l’ingénieur a dû le bouger manuellement, sous les yeux ébahis du policier !

Promobot en est à sa troisième génération. Il devrait être plus actif et plus mobile. Une raison de plus pour déplacer la zone d’essais, loin des routes, de manière à ce qu’un nouveau robot ne s’échappe pas à nouveau !

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Production de blé: l’Etat a pris toutes les dispositions nécessaires pour satisfaire les besoins du pays

Sat, 18/06/2016 - 19:41

L’Etat a pris toutes les dispositions nécessaires pour satisfaire les besoins du pays en matière de blé en cas de régression de la production nationale, a assuré samedi le ministre de l’Agriculture, du développement rural et de la Pêche, Abdeslam Chelghoum lors de sa visite de travail dans la wilaya de Bouira.

« En cas de régression de la production nationale en matière de blé, l’Etat a pris les mesures nécessaires pour importer du blé de façon à satisfaire les besoins des citoyens », a affirmé M. Chelgoum lors d’un point de presse tenu en marge de sa visite à Dirah (sud de Bouira), où il a procédé au lancement d’une campagne de lutte contre les incendies.

Cette année, la production agricole et les céréales en particulier, a été affectée par le manque de la pluviométrie et la sécheresse dans certaines régions du pays, c’est pour cela que nous attendions à une légère baisse de la production en matière de céréales », a estimé le ministre qui a procédé au lancement de la campagne moisson-battage dans la commune d’Ain Bessam (ouest de Bouira).

« C’est sûr qu’i y ‘aurait une légère baisse de la production de céréales », a souligné le même responsable sans donner aucun chiffre sur cette question.

D’ailleurs, il a appelé les agriculteurs à multiplier leurs efforts en vue d’augmenter la production du blé à Bouira, où la production actuelle est estimée à 35 quintaux à l’hectare au niveau du plateau d’El-Asnam, où un système d’irrigation à partir du barrage de Tilesdit a été mis en service il y’a deux mois.

« 35 quintaux à l’hectare c’est très peu, il faut travailler davantage pour augmenter la production d’autant plus que le plateau d’El-Asnam et la wilaya de Bouira dispose de tous les moyens nécessaires notamment en matière d’eau grâce à trois importants barrages, à savoir celui de Koudiet Acerdoune, Tilesdit et Sed Lekhal à Ain Bessam ».

Selon les prévisions affichées par le ministère dans son rapport remis à la presse, la production céréalière pour cette année 2015-2016 sera de 1.24 million de quintaux, dont 739 361 quintaux blé dur et 214 043 quintaux blé tendre.

Le ministre a appelé les différents partenaires concernés pour qu’il œuvrent de façon à répondre aux aspirations des pouvoirs publics qui continuent de soutenir et d’octroyer des soutiens allant de 40 à 60 % au profit de tout investisseur intéressé par la réalisation des projets d’irrigation agricole d’appoint en vue de booster la production céréalière et réduite la facture des importations.

Au niveau de la ferme pilote Haichour Ali, où il a donné le coup d’envoi de la campagne moisson-battage 2015-2016, le ministre a demandé aux responsables locaux du secteur agricoles de transmettre au ministère de tutelle toutes les fiches des fermes pilotes de céréales que compte Bouira pour pouvoir revoir le mode leur gestion, tout en incitant les parties concernées à lui faire des propositions dans ce cadre.

En visitant les coopératives de céréales et légumes secs (CCLS) d’Ain Bessam et de Bouira, le ministre a mis l’accent sur l’importance de renforcer les structures de stockage de céréales à travers la wilaya de Bouira ainsi que tout le territoire nationale, tout en appelant les responsables des CCLS d’aller vers l’agriculteur pour la collecte des céréales.

Pomme de terre: appel à l’augmentation de la production et à une irrigation rationnelle

Le ministre de l’Agriculture, du Développement rural et de la Pêche, Abdeslam Chelghoum, a insisté samedi auprès des agriculteurs du plateau d’El-Asnam à Bouira pour augmenter la production de la pomme de terre et utiliser « rationnellement » le système d’irrigation mis en place il y a deux mois.

Actuellement, la production de la pomme de terre au niveau de ce plateau d’El-Asnam est évaluée à 300 quintaux à l’hectare. « Ce taux est très insuffisant et la production doit être à 500 qx/ha. Vous avez tous les moyens et les superficies nécessaires pour le faire », a lancé le ministre à l’adresse des agriculteurs et responsables du secteur à Bouira.

Au cours de sa visite, M. Chelghoum a plaidé pour la formation et l’encadrement permanents des agriculteurs en vue de fructifier les efforts consentis par l’Etat pour booster le secteur dans cette région à vocation agricole.

« Ce développement passe inévitablement par le renforcement des structures de stockage et de conditionnement, ainsi que par la hausse de la production en vue d’œuvrer par la suite à exporter les produits agricoles », a-t-il insisté.

Avec la mise en service du système d’irrigation, la production de la pomme de terre au périmètre d’El-Asnam devra connaître une augmentation durant les prochaines saisons agricoles, selon les prévisions des agriculteurs de cette région.

Le ministre a saisi cette occasion pour appeler ces derniers à une utilisation rationnelle du système d’irrigation en place notamment durant la période d’été, ainsi qu’à la généralisation du système goûte à goûte, signalant que « 60% des eaux d’irrigation utilisées durant la période de grande chaleur s’évaporent ».

« L’irrigation doit être très tôt le matin et pendant la nuit notamment en période des grande chaleurs en été pour éviter la perte d’eau », a-t-il recommandé.

Dans un rapport remis à la presse à l’occasion de cette visite, le ministère a réitéré l’engagement de son département à développer le système d’irrigation par le recours aux irrigations d’appoint. Dans ce cadre, l’Algérie ambitionne d’augmenter les superficies céréalières menées à l’irrigué. Ces dernières sont estimées actuellement à 200 000 hectares.

M. Chelgoum s’est, par la suite, rendu au complexe avicole centre (ORAC) d’El-Asnam où il a exhorté les responsables concernés de procéder d’ici à septembre prochain, à la modernisation et réhabilitation du complexe, dont une opération allant dans ce sens avait été inscrite depuis 2012.

Sur site, le ministre a interpellé les responsables de cette entreprise publique à propos des prix jugés élevés du poulet congelé dans certaines wilayas comme Alger, où le kilogramme de poulet congelé est, selon lui, cédé à 275 dinars.

Il a, sur place, instruit les parties concernées à œuvrer de façon à préserver le pouvoir d’achat du citoyen notamment en ce mois de Ramadan. « Vous êtes tenus de réguler les prix et de protéger le pouvoir d’achat du citoyen », a-t-il dit aux responsables de l’ORAC, ainsi qu’à ceux de l’Office national des aliments de bétail (ONAB).

Le ministre s’est également rendu à El-Hachimia où il a visité un projet de réalisation d’un complexe avicole de 455 000 poules pondeuses équipé d’un matériel moderne. M. Chelghoum a loué les efforts de l’investisseur privé qu’il a appelé à investir également dans d’autres créneaux comme la récupération de la fiente pour son utilisation dans les engrais.

L’entreprise Bali Groupe en charge du projet compte, selon ses responsables, réaliser quatre unité de récupération de la fiente à travers certaines wilayas du pays.

Selon des données communiquées à l’occasion de cette visite ministérielle, la wilaya de Bouira occuperait la deuxième place concernant la viande blanche avec une production de 499 000 quintaux, ce qui représente 10% de la production nationale, dont l’objectif est d’atteindre les 657 000 quintaux en 2019.

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Plan national stratégique anti-sida 2016-2020: la réduction de la mortalité et des infections, en priorité

Sat, 18/06/2016 - 19:33

Le plan national stratégique de lutte contre les IST/VIH/Sida (2016-2020), qui vient d’être rendu public, a inscrit comme priorité la réduction des taux de mortalité et de transmission mère-enfant ainsi que celui des nouvelles infections, a révélé samedi le directeur pays à l’Onusida, Adel Zeddam.

Présentant les principaux axes dudit plan dont l’APS a obtenu une copie, M. Zeddam a précisé que ce document se caractérise par trois résultats d’impacts clés que sont, la réduction, à hauteur de moins de 5%, du taux de mortalité et celui de la transmission mère-enfant. Il s’agit, à ce propos, de maintenir en vie 90% des mères séropositives et des enfants séropositifs.

L’autre priorité consiste à ramener à moins de 500 nouveaux cas d’infections, l’enjeu étant d’atteindre, à l’horizon 2030, l’objectif 3 du développement durable (ODD) prônant la « bonne santé et le bien-être pour tous », a-t-il explicité.

La mise en œuvre du plan anti-sida, lequel est une « extension » du précédant (2013-2015), nécessite une estimation financière de l’ordre de 157 millions de dollars, a-t-il fait savoir, précisant que l’Etat en endossera 95% tandis que le montant restant sera pris en charge par le système des Nations-Unies (Onusida), ainsi que des bailleurs de fonds internationaux.

Le secteur privé devra être impliqué, s’agissant de l’apport national, a ajouté M. Zeddam, précisant que sa contribution concernera notamment les actions de prévention et de sensibilisation contre la maladie.

Le représentant de l’Onusida a également noté que ce nouveau plan s’articule autour de cinq axes principaux: la prévention, le dépistage, le traitement, le suivi et enfin, l’évaluation de l’information stratégique.

Ceci, en sus d’un axe transversal se rapportant aux aspects de la coordination et de la gestion du programme, a-t-il poursuivi.

Il s’agit du quatrième plan élaboré par l’Algérie pour endiguer la propagation de cette pathologie, après ceux de 2002-2006, 2008-2012 et enfin celui de 2013-2015.

Ce nouveau plan « s’inscrit résolument dans les recommandations internationales, à savoir notamment les 90-90-90 de l’Onusida, ainsi que dans la Déclaration d’Alger sur l’accélération du dépistage du VIH dans la région Moyen-Orient et Afrique du nord (MENA), adoptée à l’issue de la rencontre régionale organisée en décembre 2015.

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