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Updated: 2 months 6 days ago

Casting de l’humour « Makhber Comedia » en janvier à Oran

Tue, 03/01/2017 - 20:01

ORAN – La troisième édition du concours de jeunes humoristes « Makhber Comedia » se tiendra les 27 et 28 janvier prochains à Oran, a-t-on appris mardi des organisateurs.

« Une centaine de talents en herbe, évoluant dans différentes wilayas de la région Ouest du pays, ont déjà manifesté leur intérêt pour cette épreuve », a précisé à l’APS Mohamed Mihoubi, président de l’association culturelle  « El-Amel », initiatrice de ce rendez-vous artistique.

Les inscriptions demeurent ouvertes jusqu’à l’échéance indiquée pour les jeunes désirant prendre part au casting qui se déroulera sur la scène du « Petit Théâtre » de l’association « El-Amel », a fait savoir M. Mihoubi, également président du jury chargé de l’évaluation des concurrents.

Quarante lauréats seront sélectionnés à l’issue de cette épreuve consistant en la présentation d’un court monologue en stand-up, a-t-il signalé, ajoutant que les gagnants auront droit à un passage à l’émission télévisée « Makhber Comedia » programmée par la station régionale d’Oran de l’ENTV qui soutient cette action de promotion de jeunes talents.

L’association culturelle « El-Amel » boucle cette année le 40ème anniversaire de sa création qu’elle compte célébrer prochainement avec l’animation d’une manifestation artistique intitulée « Semaine théâtrale ».

Elle se distingue par son investissement continu dans la formation des jeunes talents qui a connu une nouvelle dynamique depuis 2015, suite à la création du « Petit Théâtre », structure légère de 70 places permettant l’organisation optimale de stages, de répétitions et de spectacles au siège-même de l’association.

Treize promotions, composées chacune d’une vingtaine de jeunes talents, ont été formées au niveau de cette association basée au Centre culturel « M’barek El-Mili » situé au centre-ville d’Oran.

Categories: Afrique

Alger: arrestation d’une femme en possession de plus de 500 comprimés psychotropes

Tue, 03/01/2017 - 19:53

ALGER – Les services de la sûreté de wilaya d’Alger ont arrêté récemment une femme en possession de plus de 500 comprimés psychotropes à Rouiba et démantelé une association de malfaiteurs spécialisée dans le cambriolage de maisons dans la capitale.

La mise en cause a été arrêtée dans la circonscription administrative de Rouiba suite à la fouille de son véhicule qui a permis de découvrir en sa possession 530 comprimés psychotropes et un montant de 7000 dinars algériens, ont précisé les services de la sûreté de wilaya d’Alger dans un communiqué publié mardi.

Après enquête, elle a reconnu sa consommation des comprimés psychotropes  à des fins thérapeutiques car souffrant de troubles psychologiques, niant tout usage à des fins commerciales.

Les services de la sûreté de wilaya d’Alger ont, par la suite, perquisitionné son domicile où ils ont retrouvé deux (2) plaquettes contenant sept (7) capsules, une (1) plaquette contenant quatre (4) comprimés et une (1) plaquette contenant cinq (5) capsules, après quoi ils ont décidé de la placer sous contrôle judiciaire.

Les mêmes services ont, par ailleurs, démantelé une association de malfaiteurs composée de deux individus pris en flagrant délit alors qu’ils étaient en possession d’objets volés dans la maison d’un citoyen.

L’association de malfaiteurs était spécialisée dans le cambriolage de maisons avec emploi d’une arme blanche prohibée.

Parmi les objets volés retrouvés chez les cambrioleurs, le communiqué a notamment cité un ordinateur portable, un appareil photo numérique, un démodulateur numérique, des montres, des bracelets et des bagues (métal jaune et blanc) et une bouteille de boisson alcoolisée.

Les services de la sûreté de wilaya d’Alger ont également récupéré les objets utilisés par les suspects pour commettre leur le vol, à savoir un arme blanche prohibée, des gants, des cordes et des masques noirs, a précisé le communiqué.

Categories: Afrique

Loi sur la circulation routière: permis à points et durcissement des sanctions

Tue, 03/01/2017 - 19:50

ALGER – Le texte de loi relative à l’organisation et la sécurité de la circulation routière, adopté mardi par l’Assemblée populaire nationale (APN), prévoit notamment l’instauration du système du permis à points et le durcissement des sanctions contre les contrevenants.

Modifiant et complétant la loi 01-14 de 2001, le texte vise principalement à endiguer le phénomène des accidents de la route qui a atteint un seuil alarmant ces dernières années: En 2015, 35.199 accidents de la route ont été enregistrés causant la mort de 4.610 personnes et 55.994 blessés. Les onze (11) premiers mois de 2016 ont enregistré 27.168 accidents ayant engendré la mort de 3.718 personnes tandis que 41.544 blessés ont été recensés.

Ainsi, le nouveau texte instaure le système du permis à points qui sera géré par le ministère de l’Intérieur à travers un fichier national des permis de conduire devant recenser toutes les infractions de la route au niveau national.

Dans ce système, le permis de conduire est doté d’un capital de 24 points qui sera réduit à chaque infraction commise par le titulaire du permis.

Le contrevenant sera également soumis à une amende forfaitaire et à des sanctions pénales selon les cas.

Durant la période probatoire de deux ans, le permis de conduire est affecté d’un capital de douze (12) points seulement, précise le texte qui note que lors de cette période, l’infraction commise entraîne l’annulation du permis de conduire.

Le retrait des points se fait selon un barème qui distingue quatre degrés de contraventions qui nécessitent un retrait de 1 à 6 points selon leur nature, mais dix (10) points seront retirés en cas de délits.

Après le retrait de tous les points, le permis de conduire devient invalide et son titulaire est tenu à le remettre aux services habilités du ministère de l’Intérieur.

Dans ce cas, l’intéressé ne peut postuler à l’obtention d’un nouveau permis de conduire, qui sera soumis à la période probatoire, qu’après six (6) mois de la date de remise de son permis.

« Ce délai est porté à un (1) an dans le cas où son permis a fait l’objet de deux (2) invalidations sur une période de cinq (5) ans », précise le texte.

Le permis de conduire peut également faire l’objet de suspension dans des cas de délits, et ce, en plus des sanctions pénales et des amendes, sachant que la durée de suspension du permis varie selon la nature de ces délits.

Durcissement des sanctions et révision à la hausse des amendes

Le texte prévoit aussi un durcissement des sanctions contre les contrevenants aux règles de la circulation routière.

Ainsi, les amendes forfaitaires pour chaque degré de contravention ont été revues à la hausse.

Pour les contraventions de 1er degré, qui concernent notamment la présentation de documents et l’usage d’un équipement de véhicule non conforme, cette amende est fixée à 2.000 DA.

Les contraventions du 2ème degré (empiètement d’une ligne continue, arrêt et stationnement abusifs…) sont punies d’une amende forfaitaire de 2.500 DA.

Est puni d’un emprisonnement de six mois à deux ans et d’une amende de 20.000 DA à 50.000 DA tout conducteur d’un véhicule de transport de marchandises dont le poids total autorisé en charge, ou le poids total roulant autorisé est supérieur à 3.500 kgs, ou d’un véhicule de transport de personnes de plus de 9 places, qui serait, suite au non-respect des prescriptions légales du temps de conduite et du temps de repos, à l’origine d’un accident de la circulation routière ayant entraîné un homicide involontaire.

Par ailleurs, est puni d’une amende allant entre 10.000 DA et 50.000 DA tout conducteur de véhicule qui a dépassé la vitesse limite autorisée de 30% et plus.

Le non-respect du port de la ceinture de sécurité, de l’obligation du casque pour les conducteurs et passagers des cyclomoteurs et motocyclettes, la défectuosité des dispositifs d’éclairage et de signalisation des véhicules automobiles, le transport des enfants de moins de dix (10) ans aux places avant ainsi que l’arrêt et le stationnement dangereux sont classés comme contraventions du 3ème degré et soumises à une amende forfaitaire de 3.000 DA.

Concernant les contraventions du 4ème degré, punies d’une amende de 5.000 DA, elles portent sur l’usage manuel du téléphone portable ou l’écoute par le casque d’écoute radiophonique durant la conduite et de la mise en marche à l’avant du véhicule d’appareils audiovisuels durant la conduite.

Le non-respect de la distance légale entre les véhicules en mouvement et la priorité de passage dans les intersections, les manœuvres interdites sur les autoroutes et les routes express, l’emprunt de certains tronçons interdits à la circulation et l’état et la conformité des pneumatique des véhicules à moteur aux normes sont également soumis à cette même amende.

Dans le cas de non-paiement de l’amende forfaitaire, relevant des contraventions, après un délai de 45 jours à partir de la date de la constatation de l’infraction, un procès-verbal de non-paiement est transmis au procureur de la République.

Comme conséquence, l’amende sera majorée à 3.000 DA pour les contraventions du 1er degré, à 4.000 DA pour les contraventions du 2ème degré, à 6.000 DA pour les contraventions du 3ème degré et à 7.000 DA pour les contraventions de 4ème degré.

En outre, un retrait de deux (2) points complémentaires du permis à points est effectué systématiquement dans ce cas.

Obligation d’installer le chrono tachygraphe dans les poids lourds

Le nouveau texte oblige les conducteurs des véhicules de transport de marchandises (plus de 3.500 kgs) et les véhicules de transport de personnes de plus de neuf (9) places d’équiper leur véhicule d’un chrono tachygraphe qui enregistre le temps de conduite, la vitesse et la distance parcourue.

Il sera aussi mis en place d’un Conseil intersectoriel auprès du Premier ministre, qui sera chargé de la définition de la politique et de la stratégie nationale de prévention et de sécurité routière et de la coordination institutionnelle entre l’ensemble des acteurs concernés.

Categories: Afrique

L’abandon de certaines décisions « n’est pas négatif »

Tue, 03/01/2017 - 19:43

ALGER – La ministre de l’Education nationale, Nouria Benghebrit, a affirmé mardi à Alger, que le fait d' »abandonner certaines décisions n’est pas une chose négative ».

Le fait d' »abandonner certaines décisions n’est pas une chose négative », a indiqué Mme Benghebrit dans une allocution à l’ouverture d’une rencontre avec les partenaires sociaux (syndicats, associations et parents d’élèves) au siège du ministère, rappelant que son département ministériel avait une « vision prospective » et non le contraire comme tentent de véhiculer certains discours.

Le ministère de l’Education nationale avait abandonné l’année écoulée l’agenda du baccalauréat qui se déroulera sur quatre jours au lieu de trois, la durée des vacances d’hiver qui sont passées de 10 à 18 jours selon le vœu des élèves.

Elle a estimé que « la société a le droit d’être informée sur tout ce qui a trait au secteur », soulignant que depuis sa nomination au ministère de l’Education en mai 2014, « le nombre de questions posés par les membres du parlement est de 205 questions ».

Evoquant l’agenda de la rencontre, Mme Benghebrit a précisé que ce dernier comportait plusieurs questions dont l’évaluation du premier trimestre, la préparation du deuxième et les préparatifs en prévision de l’année scolaire 2017-2018.

La situation des personnels et tous les aspects liés aux concours de recrutement et stages de formation notamment les programmes éducatifs et stratégiques nationaux pour le traitement pédagogique sont également au menu de cette rencontre.

A cette occasion, la ministre de l’Education nationale a insisté sur l’importance du dialogue tant avec les syndicats, les associations, les parents d’élèves qu’avec les élus du peuple.

Categories: Afrique

TaJ : Amar ghoul l’affirme : «nous n’allons faire alliance avec personne»

Tue, 03/01/2017 - 19:30

Le parti TAJ de l’ancien ministre Amar Ghoul écarte toute idée d’alliance en prévision des prochaines élections. C’est ce qu’a affirmé ce dernier, hier, au cours d’une conférence de presse par laquelle il a choisi d’entamer la nouvelle année 2017, animée au siège du parti à Dély-Ibrahim.
Kamel Amarni – Alger (Le Soir)
– Ce faisant, Ghoul se distingue ainsi, de plus en plus, de son ancien parti, le MSP de Abderrezak Mokri qui, lui, est très emballé par ce type de regroupements entre islamistes, en prévision des prochaines élections législatives et locales. Au même titre que Abdallah Djaballah qui a également conclu une alliance avec quelques sigles faisant office de partis islamistes. Or, Amar Ghoul ne se reconnaît même pas dans cette mouvance. «Nous saluons tout rapprochement entre Algériens, qu’ils soient islamistes ou d’autres obédiences. Nous sommes en revanche contre les alliances dont la seule finalité est de semer la zizanie et la déstabilisation dans le pays», dira Ghoul en réponse à une question à propos de ces alliances, avant d’ajouter, plus explicitement, pour mieux positionner son parti : «Nous concernant, à TAJ, nous sommes un parti nationaliste rassembleur. D’où notre décision, souveraine, de ne contracter aucune alliance avec quiconque avant les élections. En revanche, nous sommes prêts à aller vers des alliances après les élections, autour de programmes, de la constitution du gouvernement éventuellement, etc.» Plus clairement, Amar Ghoul se situe nettement dans le camp des partis nationalistes comme le FLN ou le RND que dans celui des islamistes.
Depuis sa création en 2012, TAJ s’est d’ailleurs toujours inscrit dans la mouvance présidentielle, même après le départ de Amar Ghoul du gouvernement en juin 2016. Sans surprise, du reste, il accueille favorablement la nouvelle initiative du FLN de Djamel Ould Abbès, celle de la constitution d’un «front interne solide», qui vient se substituer à la désormais défunte autre initiative de «rempart national» de Ammar Saâdani. «Toute initiative qui s’inscrit dans le cadre de l’intérêt du pays est la bienvenue», dira encore Ghoul à propos de l’initiative d’Ould Abbès. Et d’ajouter : «N’oubliez pas aussi que celle-ci s’inspire du dernier message de Son Excellence le président de la République.»
L’ancien ministre du Tourisme et des Travaux publics, qui a d’ailleurs été membre du directoire de la campagne électorale de Abdelaziz Bouteflika en 2014 ne peut, naturellement, que défendre l’actuel gouvernement. «Certains critiquent la loi de finances 2017, oubliant ou feignant d’oublier que celle-ci est une loi particulière et qui vient dans une conjoncture particulière.
Elle aura certes comme impact certaines difficultés pour les couches sociales les plus vulnérables. Mais d’un autre côté, il faut signaler que l’Etat a honoré tous ses engagements en matière de transferts sociaux.»
Le conférencier dénoncera, également, ces rumeurs persistantes qui ont pesé lourdement sur le vécu du citoyen en cette fin d’année 2016 et début 2017. «Certains veulent pousser, à travers la propagation de toutes ces rumeurs, à faire bouger la rue avec tout ce que cela comporte comme risque de dérives», notera Ghoul. «D’autres, selon le même orateur, en manque de popularité et de capacité de mobilisation, veulent pousser l’armée à faire un coup d’Etat ! Ils tentent de semer des rumeurs selon lesquelles l’armée serait divisée, ou encore que l’armée et la présidence sont en conflit, etc. Ils oublient que notre armée est une institution républicaine et constitutionnelle et que le Président est le ministre de la Défense et chef suprême des forces armées.»
Le patron de TAJ conclura que «tout ce qu’a fait le président Bouteflika au niveau de l’institution militaire n’est qu’un travail ordinaire, et consistant à faire adapter les forces armées avec les nouvelles réalités du terrain».
Enfin, Ghoul n’a pas manqué d’appeler le gouvernement à «frapper d’une main de fer tous les spéculateurs qui ont été derrière les augmentations de certains produits sur le marché avant même que la loi de finances ne soit signée par le Président».

Categories: Afrique

Naftal affiche ses ambitions Augmentation des capacités de stockage et développement du transport par canalisation

Tue, 03/01/2017 - 19:21

Deux projets névralgiques au centre du plan de développement 2030 de l’entreprise Naftal. Il s’agit de «l’augmentation des capacités de stockage et du développement du transport par canalisation».
Abder Bettache – Alger (Le Soir)
– L’annonce a été faite, hier, par le P-dg de l’entreprise
M. Rizou lors d’une rencontre avec les cadres de son entreprise en présence du P-dg du groupe Sonatrach, M. Mazouzi. Lors de la présentation du plan de développement et de modernisation de son entreprise à l’aube de 2030, M. Rizou a mis en évidence deux objectifs, qu’il a qualifiés «d’importants».
Il s’agit de «l’augmentation des capacités de stockage pour les porter à 30 jours, soit à 2,1 m2, alors qu’elles sont actuellement à 0,7 m2 pour 10 jours d’autonomie et du développement du transport par canalisation pour l’augmenter à 70%, en vue de permettre à Naftal d’engranger des gains substantiels, en réduisant les coûts».
D’autres objectifs qui font partie des priorités de l’entreprise Naftal ont été cités par le conférencier. Il s’agit du «réseau stations-service et des prestations hors fuel, et ce, dans le but de satisfaire la demande croissante du marché national».
Selon le premier responsable de l’entreprise Naftal, «ces décisions hautement stratégiques découlent de notre parfaite conscience à Naftal, qu’il faut impérativement réussir l’exercice de l’éternelle équation de la conciliation entre le caractère économique de l’entreprise qui exige de la performance et de la rentabilité avec la notion de service public que l’Etat lui a assignée à juste titre».
Devant le P-dg du groupe Sonatrach, dont Naftal fait partie, M. Rizou tente d’argumenter en indiquant, par ailleurs, que «la résolution de cette équation de service public et du caractère éminemment économique de notre entreprise qui vise la performance et la compétitivité, trouve sa réponse dans les axes stratégiques contenus dans ce projet de développement et de modernisation à l’horizon 2030». «Tous ces objectifs réunis nécessitent, bien entendu, des investissements conséquents, qui se feront d’une manière rationnelle et soigneusement planifiée. (…) Nous sommes parfaitement conscients du poids de la responsabilité qui nous incombe en tant qu’opérateur historique public, qui assume pleinement sa mission de service public, en tous lieux et en toutes circonstances, conformément aux orientations des pouvoirs publics», a-t-il ajouté.
Cela étant, selon un bilan présenté par un cadre de l’entreprise, il a été indiqué que Naftal a enregistré une stabilisation des volumes vendus en carburants en 2016 par rapport à l’année d’avant, accompagnée d’une hausse du chiffre d’affaires, selon un bilan présenté lundi à Alger par les responsables de cette entreprise. Selon la même source, le chiffre d’affaires a augmenté à 380 milliards de dinars en 2016 contre 333 milliards de dinars en 2015.
Pour le directeur de la planification, de la stratégie et de l’économie de Naftal, Mohamed Benchoubane, le volume des carburants et des autres produits pétroliers commercialisés par Naftal, s’est élevé à 17 millions de tonnes en 2016 dont 13,9 millions de tonnes de carburants ordinaires (essences et gasoil) et 1,5 million de tonnes de GPL, soit pratiquement le même niveau que celui réalisé en 2015. Dotée d’un capital social de 15,65 milliards de dinars, cette filiale du groupe Sonatrach emploie actuellement plus de 31 000 travailleurs.

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Sidi-bel-abbès l’incivisme fait crouler la ville sous 6 000 tonnes de déchets solides

Tue, 03/01/2017 - 19:17

La ville de Sidi-Bel-Abbès qui croulait sous 6 000 tonnes de déchets solides a interpellé des volontaires qui se sont mobilisés à la fin de la semaine écoulée pour évacuer les décharges sauvages qui enlaidissaient certains quartiers qualifiés de «noirs» en matière d’immondices.
Ces tonnes de déchets solides ne sont que les résultats de l’incivilité de certains habitants qui ne se gênent nullement pour lancer qui du balcon, qui d’une vitre de voiture, qui du trottoir d’en face où d’un autre moyen de transport, leurs ordures. Les sachets s’éventrent attirant rats, chiens errants et chats créant une situation lamentable et pestilentielle au grand dam d’autres habitants jaloux pour leur ville.
L’évacuation de ces 6 000 tonnes de déchets est une initiative louable du wali récemment installé. Le volontariat a répondu présent à cet appel pour ramasser ces ordures de toute nature éparses ici et là.
Quelque 100 camions, 10 Cases, 20 chargeurs, 18 camions-citernes, 5 balayeuses, des camions hydrocurseurs ont été réquisitionnés, des centaines de travailleurs des secteurs privé et public ont prêté leurs bras pour réussir cette opération de grande envergure pour dépolluer la cité et améliorer le cadre de vie des habitants malgré tous les efforts des services d’hygiène, auparavant pour le ramassage des ordures, l’incivisme a eu raison de la propreté de la ville générant des décharges sauvages à ciel ouvert qu’il est difficile d’enrayer du cadre de vie hélas. Maintenant que Sidi-Bel-Abbès affiche un autre décor plus propre, souhaitons qu’il y aura un déclic chez ces citoyens inconscients de l’impact des ordures sur la santé publique pour les amener à moins polluer et à moins salir leur environnement.

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Noureddine bedoui à guelma pour la participation des opérateurs économiques locaux

Tue, 03/01/2017 - 19:06

Hier, le président de l’APC de Guelma a accueilli Noureddine Bedoui, ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales, qui effectuait une visite de travail dans la wilaya de Guelma consacrée essentiellement au suivi des programmes relevant de son secteur.
Après une halte dans la commune d’Héliopolis pour inaugurer le nouveau siège de cette daïra et le centre de médecine de travail des employés de la wilaya, avant de s’enquérir des services de l’état civil, Noureddine Bedoui a rejoint le chef-lieu de la wilaya où il a inauguré la 6e Sûreté urbaine de Guelma. Il était entouré de madame le wali et les élus locaux, ainsi que les autorités militaires.
A l’issue d’une présentation de projets, le maire de Guelma a exprimé des besoins de financement pour la réalisation d’un marché de fruits et légumes et autres structures d’accompagnement. «C’est bien de penser à ce genre de projets, pour le développement économique de la ville, mais aujourd’hui cela doit impérativement se faire à travers l’accompagnement des opérateurs économiques locaux, et tout le monde trouve son compte», a déclaré le ministre de l’Intérieur. Et d’ajouter «il est temps de redéfinir les priorités de financement de l’Etat».
La visite du ministre de l’Intérieur et des Collectivités locales entamée hier à Guelma, se poursuivra jusqu’à aujourd’hui. Selon le programme communiqué par les services de la wilaya, il devrait prononcer, à la salle de conférences de la wilaya, une allocution devant les élus et les représentants de la société civile.

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Ahmer el ain (tipasa) l’agglomération «cinq chouhada» nettoyée

Tue, 03/01/2017 - 18:59

Située sur l’axe routier Tipasa-Ahmer el Aïn, l’agglomération rurale «Cinq Chouhada», anciennement dénommée Haouch Djermane, sise à cinq kilomètres de la ville de Ahmer el Aïn, a vécu récemment une journée de troubles.
A l’origine de ce mouvement de mécontentement, animé essentiellement par des jeunes, la réaction violente de plusieurs commerçants illicites, propriétaires de plus de 23 échoppes illégales, situées sur les trottoirs de l’avenue principale de cette agglomération.
Selon la cellule de communication de la wilaya, «la prolifération des commerçants illicites dans la localité des cinq martyrs, relevant administrativement de la commune d’Ahmer El Aïn, est devenue problématique. Faisant fi des règles de l’urbanisme, des personnes ont squatté les trottoirs et ont érigé des baraquements précaires et insalubres, offrant ainsi un visage hideux de cette agglomération», nous a déclaré M. Badjou, le chargé de communication, qui ajoute que «ce problématique commerce informel est devenu tentaculaire dans cette agglomération. Cela a incité les autorités locales à décider du démantèlement et de la démolition de 23 baraques faisant office de kiosques de fortune insalubres où s’exerçaient illicitement des activités commerciales échappant aux règles de contrôle des pouvoirs publics et défiant toutes les règles de l’urbanisme».
Selon des témoins oculaires, un important dispositif composé de moyens humains et matériels ainsi que des membres des forces de l’ordre se sont déployés pour assurer la sécurité et sévir à l’encontre des groupes de jeunes citoyens de la ville, qui se sont manifestés bruyamment et avec violence, à l’encontre des édifices publics, à l’instar de la maison de jeunes, qui fut en partie brûlée, ainsi que des mobiliers scolaires qui ont servi de foyers pour des feux où s’amoncelaient des pneus et des bois de récupération.
Nous avons été aussi informé que «des propositions ont été faites pour prendre en charge ces jeunes vendeurs, il leur a été donné la possibilité de s’installer dans le marché de proximité qui vient d’être réalisé à Ahmer El Aïn ou de postuler pour des locaux à usage commercial».
Selon quelques jeunes que nous avons pu contacter, le marché de proximité proposé se situe au cœur de Ahmer el Aïn et se trouverait à six kilomètres de l’agglomération «cinq chouhada».

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El hadj tahar boulenouar, président de l’ANCA la grève n’a pas connu un large suivi

Tue, 03/01/2017 - 18:48

Selon le président de l’association nationale des commerçants et artisans, El Hadj Tahar Boulenouar, l’appel au débrayage des commerçants, lancé via les réseaux sociaux, n’a pas été largement suivi, hier, au niveau national.

«Tous les marchés de détail et de gros poursuivent d’une manière normale leurs activités et assurent l’approvisionnement quotidiennement. La grève des commerçants n’a pas connu un large suivi au niveau national», a-t-il assuré. Ce dernier a estimé, dans ce contexte que, «certains commerçants à Bejaïa et Bouira ont reçu des menaces, de la part de personnes inconnues, de casser les façades de leurs locaux s’ils ne répondaient pas favorablement à l’appel de la grève», a-t-il martelé. Selon lui, cet appel au débrayage n’est qu’une rumeur lancée par «les barons de la spéculation et du business politique», a-t-il martelé. À travers ces «rumeurs infondées», a-t-il soutenu, «ces barons poussent à la hausse des prix de tous les produits, afin d’augmenter leur marge bénéficiaire, sous prétexte de la nouvelle loi de finances». Le même responsable a tenu à souligner que la protestation contre

la nouvelle loi de finance reste «inutile», du moment qu’elle a été adoptée par l’APN, signée par le président de la République et publiée au journal officiel. L’interlocuteur a, également, fait savoir que suite à l’appel à la grève des commerçants, la demande sur les produits alimentaires, notamment les légumes secs, a augmenté de 30%. «La rumeur a dévoilé un manque important de la production, un monopole et une manipulation dans l’approvisionnement et un déséquilibre au niveau de la distribution», a-t-il déploré.

Categories: Afrique

L’appel à la grève nationale des commerçants n’a pas été suivi Manifestations à Béjaïa et Constantine

Tue, 03/01/2017 - 18:38

La grève des commerçants annoncée sur les réseaux sociaux par des associations professionnelles locales notamment en Kabylie n’a été suivie qu’à Béjaïa d’où est issu ce mouvement de protestation. Des citoyens ont même battu le pavé pour protester contre la loi de finances 2017.
Les commerçants de Béjaïa ont baissé leurs rideaux en signe de protestation contre l’augmentation des taxes. «Les commerçants de plusieurs localités de la wilaya de Béjaïa ont répondu, ce lundi 2 janvier, à l’appel à la grève lancé sur les réseaux sociaux pour dénoncer la hausse des taxes contenues dans la loi de finances», a-t-on appris de sources locales. «Au centre-ville de Béjaïa, la quasi-totalité des commerces sont fermés», a rapporté hier notre confrère TSA.
Ainsi, l’appel à une grève nationale des commerçants du 2 au 7 janvier lancé en décembre sur les réseaux sociaux par des associations professionnelles locales dans les wilayas de Béjaïa et Tizi Ouzou pour protester contre les descentes punitives des services de contrôle avant d’être annulé, n’a pas pu mobiliser ailleurs que Béjaïa.
A Alger, les commerçants ont activé normalement hier. Même si cet appel a provoqué une vague de panique chez les consommateurs qui se sont rués sur les commerces pour s’approvisionner en denrées alimentaires.
Notre confrère El Khabar a rendu compte de cette panique à travers les wilayas. De Khenchela à Béjaïa, en passant par Constantine et Sétif, à Blida et à Tipasa, une frénésie s’était emparée des citoyens à la veille du Nouvel An, craignant une pénurie à cause de la grève annoncée. Mais, il n’en était rien du tout. Sauf à Béjaïa où des citoyens sont descendus dans la rue pour protester contre l’augmentation des taxes et son corollaire la hausse des prix.
Ils ont, en effet, revendiqué le retrait de la loi de finances 2017 qui vient d’être publiée au Journal Officiel.
Des photos relayées par les réseaux sociaux montrent des scènes d’émeutes avec des pneus brûlés et autres pierres et troncs d’arbres partout à Béjaïa mais aussi à Constantine où la RN5 a été bloquée du côté d’Aïn Smara par des riverains qui protestaient contre la loi de finances 2017. Idem à Bouira où des manifestations ont été enregistrées ici et là à travers le territoire de la wilaya.
R. N.

Béjaïa
La grève massivement suivie

Le mot d’ordre pour une grève des commerçants lancé sur les réseaux sociaux a été largement suivi, hier, à travers plusieurs municipalités de la wilaya de Béjaïa.
Les incessants appels des responsables de l’UGCAA affiliée à l’UGTA sur les ondes de la radio locale depuis quelques jours invitant les commerçants à ne pas suivre ce qu’ils qualifient «d’appels anonymes visant à déstabiliser la région» semblent avoir été ignorés dans la wilaya.
En effet, au niveau du chef-lieu de wilaya, les deux tiers des commerces n’ont pas ouvert dans la matinée en signe de protestation contre la hausse des taxes contenues dans la loi de finances 2017.
Le marché hebdomadaire de l’Edimco était pratiquement vide ce lundi. Le marché en question était déserté par les commerçants. Au niveau du commerce de gros situé dans la quartier Remla, quelques commerces seulement ont décidé de rouvrir après avoir baissé leurs rideaux dans la matinée. La consigne de grève a été massivement observée par les commerçants dans la haute vallée de la Soummam.
A Akbou, deuxième importante ville de la wilaya derrière le chef-lieu de wilaya, aucun commerce ni café n’a ouvert. A Tazmalt, une autre ville très importante de la wilaya, tout comme les localités d’Ighil-Ali, Allaghane, Ighzer Amokrane, l’ensemble des commerces étaient aussi fermés.
Dans la région du Sahel, à l’est du chef-lieu, la grève des commerçants a eu un franc succès. Dans les localités de Kherrata, Melbou, Souk-El-Tenine, Aokas, les commerces ont également suivi le mot d’ordre de grève.
En milieu journée, des scènes de heurts ont éclaté au niveau du chef-lieu de wilaya. Des groupes de jeunes ont dressé des barricades au niveau des 300 logements Ihaddaden à l’aide de pneus incendiés et différents objets avant que les mêmes images de désolation ne se déplacent du côté du centre-ville, dans le quartier CNS et Dawadji, à quelques mètres du siège de la Wilaya.
De violents affrontements entre les jeunes insurgés et les forces de l’ordre ont été observés. Les forces de l’ordre sont intervenues pour tenter de disperser la foule de jeunes à l’aide de tirs de grenades lacrymogènes. Un impressionnant dispositif policier a été déployé au niveau du chef-lieu de wilaya où les émeutiers ont incendié un bus de transport urbain de voyageurs appartenant à une entreprise publique.
La gare routière de Béjaïa a été également désertée par les transporteurs de voyageurs en milieu de journée. Après avoir assuré dans la matinée le transport de voyageurs, les transporteurs privés de voyageurs assurant la desserte entre le chef-lieu de wilaya et l’intérieur de la wilaya ont décidé de quitter la gare routière par crainte de représailles.
Dans la ville de Sidi-Aïch où les commerces ont pour la majorité ouvert dans la matinée, la situation s’est fortement dégradée en début d’après-midi. Des jeunes insurgés ont dressé des barricades avant d’arroser le commissariat de pierres. La police a riposté en usant de grenades lacrymogènes pour disperser la foule de jeunes en furie.
Dans l’après-midi, l’ensemble des commerçants ont décidé de baisser leurs rideaux à Sidi-Aïch. Dans la rue béjaouie, les citoyens s’interrogent sur les «tenants» de ce mouvement de grève et ces images de désolation qui n’ont touché, regrette-t-on, que cette région de la Basse-Kabylie.
Des citoyens ne comprennent pas que seule la wilaya de Béjaïa ait été ébranlée par ce mouvement de grève et de heurts contrairement aux autres régions du pays. «A qui profite toute cette confusion ? La hausse des prix et les différentes taxes annoncées dans la loi de finances 2017 ne concernent-elles pas l’ensemble des Algériens ?», déplorent des citoyens de Béjaïa.
A. Kersani

Bouira
Grève et émeutes dans plusieurs communes

La grève nationale à laquelle a appelé un groupe de jeunes via Facebook et partagée sur une plus grande échelle sur la Toile, pour dénoncer la politique d’austérité imposée par le pouvoir au peuple, a eu un écho favorable chez les commerçants, premiers touchés par ces mesures à travers la LFC 2017 et ses hausses d’impôts.
Ainsi, hier, dès les premières heures de la matinée, des centaines de commerces de la ville de Bouira ont maintenu leurs rideaux fermés alors que ceux qui ont osé ouvrir en faisant fi de cet appel ont fini par suivre progressivement durant la journée.
Dans l’après-midi, en voyant ces commerces qui fermaient un à un, c’était la panique chez les citoyens dont certains n’ont appris la nouvelle que durant la journée, en se voyant courir chez le dernier commerçant ouvert pour s’approvisionner en denrées alimentaires dont des produits de première nécessité.
Du côté des autres communes, l’on a appris qu’hormis la région berbérophone, toutes les autres communes des régions de Lakhdaria, Sour-El-Ghozlane et Aïn Bessem ont vécu un lundi normal, alors que dans les communes de M’chedallah et El-Adjiba, des émeutes ont même éclaté après les fermetures des routes à l’aide de pneus brûlés par des jeunes surexcités et prêts à en découdre avec les éléments antiémeutes comme nous l’avons constaté de visu au niveau de la bretelle d’El-Adjiba hier à 15 h.
Cela étant, hier, tard dans l’après-midi, des informations faisaient état du prolongement de ce mouvement de grève vers les autres daïras et communes de la wilaya à partir d’aujourd’hui.

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Sonatrach et la société turque Botas signent un accord de coopération

Tue, 20/12/2016 - 23:49

ALGER – Le groupe Sonatrach et la société turque Botas ont signé mardi à Alger un accord visant le renforcement de leurs relations existantes à moyen et long termes et à la mise en œuvre d’axes de coopération notamment pour développer leurs positions dans les marchés régionaux.

Cet accord a été paraphé par le P-dg de Sonatrach, Amine Mazouzi, et le P-dg de Botas, M. Burhan Ozcan.

Il prévoit également l’exploration d’opportunités de partenariat dans des domaines d’intérêts communs dans la chaîne des hydrocarbures aussi bien en Algérie qu’en Turquie et dans d’autres régions.

Lors de la cérémonie de signature, M. Mazouzi a souligné qu’à travers cet accord, « Sonatrach et Botas confirment leur volonté de renforcer et de développer leurs relations historiques et d’élargir leur coopération à de nouveaux axes pour le plus grand intérêt des deux compagnies ».

Pour rappel, Sonatrach et Botas (société turque publique de transport d’hydrocarbures) sont engagées depuis plus de 25 années à travers un contrat de vente et d’achat de GNL signé en 1988.

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L’Algérie consent des efforts pour trouver une solution politique qui préserve l’unité et l’intégrité de la Libye, selon Sellal

Tue, 20/12/2016 - 23:30

L’Algérie a consenti des efforts et continue de le faire, pour trouver une solution politique qui préserve l’unité et l’intégrité territoriale de la Libye par le biais d’un dialogue national et d’une réconciliation favorisant la mise en oeuvre de l’accord du 17 décembre 2015, selon le Premier ministre Abdelmalek Sellal.

Dans une allocution d’ouverture des travaux de la haute commission mixte algéro-mauritanienne, Sellal a évoqué aussi
le processus de règlement pacifique au Mali. Le Premier ministre a fait savoir qu’il passait par la mise en oeuvre de l’accord d’Alger, le respect de ses clauses par toutes les parties et l’accompagnement de la communauté internationale.

Le Maghreb arabe et l’Afrique connaissent des mutations rapides et à grande échelle qui ont donné naissance à des défis majeurs tels la migration, le terrorisme, la criminalité transfrontalière et l’extrémisme, a-t-il fait remarqué assurant que l’Algérie adoptait à cet égard une approche globale qui tienne compte des dimensions socio-économiques et culturelles, de la promotion des valeur de dialogue et de réconciliation nationale ».

« La sécurité et la stabilité sont deux conditions essentielles sécurité pour le développement de notre région, elles sont aussi une responsabilité commune qui nécessite une collaboration étroite et une coordination intensifiée », a insisté M. Sellal.

Le Premier ministre s’est enfin réjoui de la concordance des vues avec la Mauritanie sur différentes questions régionales et internationales formant le voeu que les accords bilatéraux qui seront conclus à la faveur de la présente session confortent la coopération et concrétisent « un saut de qualité » dans les relations entre les deux pays.

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Tassili Airlines: des annulations de vols entrainent la colère des passagers (vidéo)

Tue, 20/12/2016 - 21:31

Les passagers parisiens de Tassili Airlines ont dû attendre 32 heures avant de rejoindre le sol algérien, et ce sans aucune prise en charge, ni dédommagement.

Selon les témoignages de certains passagers, et d’après les informations fournis par le site FlightRadar24, le 17 décembre dernier, le vol SF3001 de la compagnie Tassili Airlines, qui devait relier l’aéroport de Paris-Charles de Gaulle à Alger a été annulé à cause des « conditions météorologiques » . En guise de « dédommagement » , les passagers dU SF3001 ont été transféré sur celui du lendemain. Malheureusement, le vol du 18 décembre est de nouveau annulé.

Capture du site Flightradar24 récapitulant les vols SF3001 des derniers jours, on remarque le vol annulé du 17 décembre, et celui du 18 décembre qui a été opéré par l’Airbus A330 d’Air Algérie

Sur place, aucune information n’a été transmise aux passagers, ce qui a provoqué leur colère. Pour parer à la situation, la compagnie finit par affréter un Airbus A330 à Air Algérie afin de jumeler les passagers des deux vols annulés. Résultats: un décollage à … 2h58 le 19 décembre!

Contacté par le site d’information TSA, la compagnie Tassili Airlines était injoignable.

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Algérie poste : 80 millions de dinars détournés

Tue, 20/12/2016 - 21:23

L’opération prévoit notamment la distribution, d’ici février 2017, de 10 millions de cartes. Environ 20 000 nouvelles demandes de cartes TPE enregistrées par jour.

(CIO Mag) – Selon Abdenacer Sayah, directeur général d’Algérie Poste, l’entreprise pour répondre à cette forte demande, introduit chaque jour plus d’un million de cartes Edahabia (la nouvelle carte de paiement électronique). « Cette dernière permet, notamment d’effectuer divers transactions financières en ligne par le biais d’un compte CCP. Ce nouveau mode de paiement permet d’effectuer à distance, via internent, en toute sécurité et rapidité des opérations d’achat de biens et de services auprès des sites marchands des entreprises qui acceptent le paiement en ligne par cartes interbancaires (CIB) », a expliqué M. Sayah. Pour un début, la majorité des transactions concernées porteront sur le paiement des factures d’eau, d’électricité et de téléphone, ainsi que l’achat de billets d’avion en attendant une généralisation vers d’autres web marchands.

600 distributeurs électroniques installés en 2016

Par ailleurs, le directeur général d’Algérie Poste confirme un chiffre de 900 distributeurs électriques opérationnels que compte l’entreprise au niveau du territoire national dont 600 ont été installés cette année.  Visiblement, le chiffre est dérisoire s’il est comparé au nombre global de bureaux de poste existants en Algérie estimé à 3600. M. Sayah, indique que ce nombre est appelé à être augmenter et assure avoir fixé l’objectif d’implanter, d’ici 2019, un distributeur électronique dans chaque Daïra.

80 millions DA détournés

Selon toujours les déclarations du  directeur d’Algérie poste, a signalé, qu’ « Algérie Poste accuse un déficit d’environs 5 millions de dinars en 2015. Afin d’y faire face, l’entreprise procédé », dit-il, à la réduction de ses dépenses et celle de la masse salariale. Ainsi, précise-t-il, « nous avons réduit le déficit de l’entreprise d’environs 4 à 5% en 2016». Pour terminer, le responsable d’Algérie Poste a évalué à environs de 80 millions de dinars le montant global de l’argent détourné de l’entreprise.

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L’ASSASSINAT DE L’AMBASSADEUR RUSSE EST DESTINÉ À DYNAMITER LES RELATIONS TURCO-RUSSES

Tue, 20/12/2016 - 21:12
Entretien avec Zine Cherfaoui, journaliste à El Watan, spécialiste de la région MENA et Sahel,

Le Jeune Indépendant : Qui est derrière l’assassinat de l’ambassadeur russe à Ankara ?


Zine Cherfaoui : Un certain nombre d’éléments laissent penser que l’assassinat de l’ambassadeur de Russie à Ankara a été préparé, commandité et mené par des éléments de Daech.


Avant de tirer au pistolet sur l’ambassadeur, l’élément de la police, ou du moins celui qui a exécuté l’acte, a parlé d’Alep la « martyre », etc. On peut donc penser qu’il s’agit d’un acte de vengeance. Si cette piste est retenue, il y a une autre piste qui suggère que l’acte est loin d’être inscrit à la seule responsabilité de la nébuleuse terroriste.


Dans un discours donné ce matin (ndlr : mardi 20 décembre), le président Vladimir Poutine se disait persuadé que « l’assassinat est une provocation ». Il a parlé clairement de « provocation ». Selon le chef du Kremlin, « l’acte est destiné à dynamiter les relations turco-russes ».


Peut-on estimer que les relations entre ces deux pays sont « bonnes » ?


Je préfère parler d’un ‘’réchauffement’’ dans les relations de ces deux pays, perceptible d’ailleurs depuis ces derniers mois. Poutine a parlé aujourd’hui de parties qui veulent coûte que coûte saper les efforts de règlement de la crise syrienne. En décodé qu’est ce que cela veut dire ? Moscou ne peut éviter de faire le lien de l’assassinat de son ambassadeur à Ankara avec la très importante rencontre prévue au lendemain de l’assassinat à Moscou.


Une rencontre devant réunir Turcs, Russes et Iraniens pour discuter de la crise syrienne. Aux yeux des Russes, il est possible que cet acte ait été commis pour saborder cette rencontre qui évince du conflit syrien les Occidentaux.


Est-ce un signe de lassitude si l’on se réfère aux nombreuses rencontres sur la Syrie en Occident, mais n’ayant rien apporté de concret sur le terrain ?


Il faut savoir que pour la première fois, dans une rencontre consacrée à la Syrie, on ne trouve plus d’acteurs occidentaux. On retrouve uniquement des acteurs régionaux. En filigrane, Vladimir Poutine a laissé entendre que l’acte d’assassinat d’Ankara a pu être commandité par des puissances extrarégionales, hostiles à la Russie.


Moscou, par le biais de l’agence officielle Sputnik, se pose la question : « A qui profite le crime » ? Les Russes ont-ils raison de se poser cette question ?


C’est la question que se pose n’importe quel enquêteur à chaque fois qu’il y a un crime. Il faut savoir que cet assassinat a lieu dans un contexte précis, qui suggère un nouveau rapport de forces sur le terrain. Celui de la Syrie, bien évidemment. Depuis ces derniers temps, l’armée gouvernementale syrienne a pu regagner plusieurs villes qui étaient aux mains des terroristes.


Les derniers évènements montrent aussi qu’il y a les prémices d’une victoire sur le terrorisme en Syrie. Effectivement, c’est une question très légitime. En assassinant l’ambassadeur de Russie à Ankara, les commanditaires ont essayé d’abord de casser le couple qui commençait à se créer entre la Russie et la Turquie.


Par la voie de son ministre des Affaires étrangères, l’Algérie a félicité la Syrie d’avoir vaincu le terrorisme à Alep. Quelle lecture en faites-vous ?


La déclaration a été faite par le ministre d’Etat, ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de la République algérienne, M. Ramtane Lamamra. L’Algérie est un pays qui a énormément souffert du terrorisme.


La population algérienne a enduré dans sa chair, durant plus de 15 ans. On a à peu près 87 000 morts. C’est lamentable. Au plan financier, le terrorisme a coûté à l’Algérie plus de 20 milliards de dollars. S’il existe un pays, aujourd’hui, qui comprend au mieux les Syriens, c’est bien l’Algérie.


La déclaration de M. Ramtane Lamamra, qui est motivée, qui est objective, s’inscrit dans la logique d’un pays (le nôtre) qui a souffert d’un terrorisme des plus sanguinaires. Je pense que, comme le dit Lamamra, les syriens gagneraient à discuter ensemble pour aller à la paix. Pour reconstruire leur pays.

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Cevital, Nomination d’un nouveau Directeur Général Exécutif

Tue, 20/12/2016 - 19:07

Dans un communiqué, relayé par le site d’information TSA, CEVITAL annonce la nomination de Monsieur Said Benikene au poste de Directeur Général Exécutif du Groupe.

« L’ensemble des pôles du groupe Cevital aussi bien en Algérie qu’à l’international et les fonctions transverses seront pilotés par Said Benikene. Il aura toute latitude pour faire évoluer les structures de management en intégrant de  nouvelles compétences et de nouveaux talents, internes et externes, afin de mettre en œuvre les objectifs et orientations stratégiques du groupe »

Par ailleurs, Issad Rebrab reste président du Conseil d’administration.

Le communiqué dresse le portrait du nouveau Directeur Général Exécutif de Cevital « Said Benikene est diplômé de l’école française Reims Mangement School. Il était jusqu’alors Associé au sein du cabinet PwC. Il était en charge du développement des activités Advisory de PwC en Algérie, spécialisé en amélioration de la performance et en transactions pour des clients algériens et internationaux », précise le groupe.

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Le projet de loi sur la santé à l’APN le 17 janvier prochain : sans Boudiaf sauf… Rahmat Rabbi!

Tue, 20/12/2016 - 17:46

Le projet de loi sur la santé sera examiné en commission à l’assemblée nationale algérienne (APN) le 17 janvier 2017. Abdelmalek Boudiaf n’est pas certain d’être le ministre qui la présentera. Il devra compter sur « Rahmat Rabbi. »

Le projet de la loi sur la santé sera soumis à la Commission de la Santé, du Travail et des Affaires sociales de l’Assemblée populaire nationale (APN), le 17 janvier prochain, a déclaré mardi à El Tarf, le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme Hospitalière, Abdelmalek Boudiaf.

« D’un commun accord avec les membres de la commission de la santé de l’APN, il a été convenu d’examiner le projet de la loi sur la santé, le 17 janvier prochain », rapporte l’agence APS.

Le report de l’examen du projet de la loi sur la santé, annoncé dans un premier temps pour décembre courant est dicté par « le souci de permettre aux membres de cette commission de mieux se consacrer à ce projet » a-t-il précisé.

Pour rappel, le projet de loi devait être examiné le lundi 19 décembre 2017 par la Commission de la santé de l’APN, la décision du report est survenue à la dernière minute sans explication probante.

L’effet RHB

L’information sur le retrait du projet par le gouvernement avait été annoncée par le député Lakhdar Benkhalef, chef du groupe parlementaire du parti El Adala, sur sa page Facebook.

« Des instructions ont été données au président de la commission de santé de ne pas l’examiner pour l’instant alors que le ministre devait le présenter ce lundi 19 décembre 2016 aux membres de la commission » a ajouté le député. « Il semble qu’il y a un remaniement ministériel imminent qui a été accéléré par Zaibet et son complément alimentaire, Rahmat Rabbi… » a ajouté le député.

L’affaire du « RHB » a choqué une grande partie de l’opinion publique en raison de l’implication personnelle du ministre dans le soutien à son promoteur, Toufik Zaibet.

Le président de l’UNOP (Union nationale des opérateurs de la pharmacie), M. Abdelouahed Kerrar, qui était ce mardi à l’émission « l’Invité du direct » de Radio M a souligné l’impact négatif de l’affaire RHB pour l’industrie pharmaceutique algérienne. « Ce que l’industrie pharmaceutique algérienne a patiemment bâti en vingt ans vole en éclat à cause de cette scabreuse affaire » a-t-il indiqué.

La commission de la santé de l’APN examinera le projet de la santé le 17 janvier prochain, mais Abdelmalek Boudiaf, dont l’implication personnelle dans la « scabreuse affaire » du complément alimentaire (présenté initialement comme un médicament pour le diabète) suscite une vive controverse, sera-t-il le ministre qui la présentera ? Abdelmalek Boudiaf restera-t-il «grâce à rahmat Rabbi?», les paris sont ouverts!

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Lancement de la télédéclaration et du télépaiment pour les grandes entreprises

Tue, 20/12/2016 - 16:33

Le nouveau système de télédéclaration et de télépaiement des impôts et des taxes « Jibayatic.dz » a été lancé officiellement dimanche à Alger, et concerne, dans une première étape 2.700 grandes entreprises, en attendant son élargissement à d’autres contribuables.

Le lancement de cette nouvelle procédure entre dans le cadre de la modernisation de l’administration fiscale et le développement des systèmes de paiement électroniques, a-t-on souligné lors de la cérémonie de lancement organisée en présence notamment du ministre des Finances, Hadji Babaammi, le ministre délégué chargé de l’Economie numérique et de la Modernisation des systèmes financiers, Mouatassim Boudiaf, la ministre des Technologies de l’information et de la communication (TIC), Imane-Houda Feraoun.

Deux portails sont mis à la disposition des grandes entreprises, un portail unique consacré à la télédeclaration des contribuables, et l’autre est variable destiné aux banques pour le télépaiement. Treize banques dont sept privées sont actuellement prêtes pour l’utilisation de ce nouveau système, en attendant l’adhésion d’autres banques, a souligné Mouatassim Boudiaf ajoutant que cette procédure est totalement sécurisée.

« Nous n’avons pas de problème en ce qui concerne la sécurisation des données », a-t-il rassuré en se félicitant du fait que ce projet ait été réalisé par des compétences algériennes.

Mouatassim Boudiaf a insisté aussi sur « l’importance de l’information et la vulgarisation de ce système moderne et efficace en direction de tous les intervenants dans le domaine de la fiscalité ».

S’exprimant à cette occasion, le ministre des Finances a indiqué qu’il s’agissait d’une première expérience qui devrait être généralisée à terme à d’autres catégories d’entreprises.

Il a ajouté que la création récente d’un comité had-hoc chargé de conduire la mise en place d’un système d’information intégré au profit du ministère des Finances, ainsi que le lancement du e-paiement témoignaient de la volonté de l’Etat d’aller de l’avant pour l’appropriation des technologies numériques.

Pour sa part, le directeur général des impôts (DGI), Abderrahmane Raouia, a souligné que l’objectif à travers ce système était de « moderniser les structures de la DGI basée sur la mise en place d’une nouvelle organisation et la réforme du système fiscal afin de l’adapter au nouveau contexte économique ».

Une amélioration de près de 6% des recettes fiscales

Pour leur part, les recettes fiscales ont atteint environ 1.600 milliards DA à fin septembre dernier, soit une progression de près de 6% par rapport à la même période de 2015, a indiqué le ministre des Finances, Hadji Baba Ammi.

« Nous avons enregistré une amélioration de près de 6% des recettes fiscales jusqu’à la fin du mois de septembre 2016 par rapport à la même période de l’année 2015 « , « Nous souhaitons que cette amélioration se poursuivra à la fin de l’année pour atteindre 10 ou 11% par rapport à l’année passée, comme objectif tracé dans la loi de finances (LF) 2016 « , a ajouté Hadji Baba Ammi.

Le ministre a précisé que la Direction générale des impôts (DGI) prend des mesures quotidiennes à l’adresse des récalcitrants pour améliorer progressivement les recouvrements fiscaux à travers un programme pour renforcer le contrôle.

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TIPASA: Une zone d’activité agroalimentaire pour Sidi Amar

Tue, 20/12/2016 - 16:28

Dans le cadre du périple d’inspection et de travail effectué par le wali de Tipasa, il a été révélé que la commune de Sidi Amar vient de bénéficier d’une zone d’activité agroalimentaire au lieudit Bekhdiche située dans la proximité ouest du chef-lieu de la daïra aux abords de la RN 42 et attenante à la voie express.


Selon nos sources, cette zone d’activité s’étend sur une superficie viabilisée de 31 ha et bénéficie d’un réseau d’assainissement, de l’AEP, de la réfection de la voirie et des voies d’accès. Il a été indiqué en outre que cette zone d’activité est constituée de 32 lots de terrain où déjà dix investisseurs ont été retenus et dont cinq ont retiré leur permis de construire, tandis que les dossiers de quatre autres promoteurs sont en cours d’étude au niveau de la DUC. Il a été indiqué par ailleurs que cette zone d’activité bénéficie d’une enveloppe budgétaire de 56,7 millions DA. Il est à noter cependant que sur ces 32 lots, un seul investisseur est opérationnel et que son usine de transformation de la pomme de terre est en cours de réalisation.


Toujours selon les indications fournies par la wilaya, il a été précisé que le wali a levé les contraintes qui bloquaient le lancement de cette zone d’activité à l’instar du raccordement de cette zone à l’énergie électrique et au gaz de ville en instruisant l’AGRFU afin que les bénéficiaires de cette zone entament les travaux dans les meilleurs délais, sous peine de résiliation des contrats de cession. S’agissant de l’extension de la station de traitement de l’eau du barrage de Boukourdane, la direction DRE a expliqué qu’il s’agissait de la réalisation d’un réservoir de 800mᵌ dédié à augmenter la capacité de la ressource en eau de 34 000m3 à  51 000mᵌ/j et permettra l’amélioration en eau potable de neuf communes, soit l’équivalent de 250 000 habitants pour une Autorisation de Programme de 668,9 millions DA.


Il a été révélé par ailleurs qu’en ce qui concerne la localité de Fadjana, il est prévu la réalisation d’un réservoir de 500 mᵌ, de deux stations de pompage et de cinq kilomètres de canalisation pour alimenter en eau potable 3 000 habitants permettant d’ augmenter la capacité actuelle de 1000 mᵌ/j, cela au vu de l’insuffisance du forage et du puits existant. Le coût de cet Investissement est évalué à 60 millions DA


La daïra de Sidi Amar, vient en outre de bénéficier d’un important projet routier, pour la réhabilitation de la RN 66 reliant la ville de Menaceur à la limite nord de la wilaya de Aïn Defla, située aux confins de Miliana sur un linéaire de 18 km, tronçon dédié au désenclavement des agglomérations rurales qui y sont desservies et qui constitue une jonction idéale avec l’autoroute Est-Ouest à travers El Affroun, et le taux d’avancement des travaux de cette route est de 70%.


Outre ces importantes réalisations, l’habitat connait un engouement, notamment dans la commune de Nador, ville en développement sachant qu’un programme de
100 logements (LPA) est en voie de réalisation, malgré l’aléa du taux physique de réalisation qui est de
10 %.
Il a été révélé par ailleurs que pour le chantier des 220 logements (LPL), le wali de Tipasa a mis l’accent sur l’impérieuse nécessité d’accélèrer la cadence des travaux des VRD et le respect du planning de livraison de ces logements , en insistant sur l’implantation des équipements d’accompagnement dans toute cette zone d’habitat.
Houari Larbi

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