Le Figaro / Politique

À l'occasion du prix Charlemagne qui lui était remis ce jeudi, le président de la République a prononcé à Aix-la-Chapelle son quatrième discours européen. Décrivant longuement l'idéal européen, il a également pressé l'Allemagne d'accepter un budget de la zone euro et de sortir du «fétichisme» des excédents budgétaires.

Comme son aîné, le FNJ changera de nom au mois de juin et ambitionne de rassembler au-delà du parti de Marine Le Pen.

Le porte-à-porte de La République en marche, qui a débuté le 7 avril, se poursuit à travers toute la France jusqu'au 13 mai. Objectif : sensibiliser sur l'Europe.

Le président de la République reçoit ce jeudi à Aix-la-Chapelle le prix Charlemagne pour récompenser son engagement européen.

CONTRE-POINT - Le débat sur la réforme constitutionnelle semble s'opacifier à mesure qu'il avance.

Le président du Sénat ne veut pas soutenir le texte sans garanties sur les droits du Parlement et la représentation des territoires.

RÉCIT - Six jours non-stop à enchaîner les discours, les visites, les cérémonies en Australie, puis en Nouvelle-Calédonie. Six jours aussi à garder un œil sur la France qui, en ce mois de mai, voit ressurgir ses démons d'il y a cinquante ans. Le président est de retour à Paris, un an après son élection. Il se confie au Figaro.

Ils étaient plusieurs milliers, ce vendredi, à défiler dans la capitale calédonienne. L'enjeu de cette marche, à six mois du référendum d'autodétermination : montrer que les Calédoniens veulent rester dans la République française.

Lors de son discours en clôture de son déplacement en Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a affirmé que la France serait «moins belle sans la Nouvelle-Calédonie».

CONTRE-POINT- Par leurs outrances, les mélenchonistes cherchent systématiquement à susciter une réaction pour être érigés en adversaires privilégiés ; donc en seuls opposants.

VIDÉO - Lors de «La fête à Macron» samedi, le leader de la France insoumise a appelé à une marée populaire lors du rassemblement unitaire du 26 mai prochain. Associations, syndicats et partis politiques sont invités à se rassembler pour former une contestation forte contre Emmanuel Macron.

REPORTAGE - Très attendu dans le chaudron de l'indépendantisme kanak, le président de la République a pu rendre hommage sans incident aux Kanaks et gendarmes tués sur l'île il y a trente ans. Une poignée de manifestants avait été tenue à l'écart.

EXCLUSIF - Le Figaro s'est procuré les projets de loi organique et ordinaire de la réforme des institutions. Ces textes, qui ne seront pas examinés en Conseil des ministres mercredi prochain, précisent les modalités d'application de la réduction du nombre de parlementaires, de l'introduction d'une dose de 15 % de proportionnelle aux législatives et du non-cumul des mandats dans le temps.

VIDÉOS - Il y a un an, le président Emmanuel Macron était élu avec 66,1% des voix. Les journalistes du Figaro reviennent sur les temps forts de sa première année à la tête de l'État.

Discret au départ, Jean-Luc Mélenchon est en embuscade pour récupérer le mouvement en cas de succès.

GRAND RÉCIT - Élu il y a un an, le chef de l'État a choisi d'incarner la fonction en multipliant les symboles et en affichant sans complexe sa volonté de «transformation».

CONTRE-POINT - Réduction du nombre de parlementaires, introduction de la proportionnelle aux législatives et non-cumul des mandats, les grands principes de la réforme institutionnelle voulue par le chef de l'État n'ont pas bougé, à quelques détails près.

Au cours de la campagne présidentielle, Emmanuel Macron avait fait de nombreuses promesses. Retour sur la concrétisation de ses engagements douze mois après son élection.

Malgré les critiques, Emmanuel Macron conserve les équilibres de sa réforme. Le Figaro dévoile les textes ordinaire et organique.

Vingt-cinq ans après le drame, Emmanuel Macron se rend sur place ce samedi.