Le mouvement de Jean-Luc Mélenchon a affronté de nombreuses dissensions internes avant d'être fixé sur sa tête de liste.
Affaibli par la crise des gilets jaunes, le chef de l'Etat pourrait revoir sa manière d'exercer le pouvoir. Et donner plus de poids aux corps intermédiaires.
La focalisation du ressentiment sur le chef de l'État lui-même apparaît comme le fil rouge de la crise des gilets jaunes.
Ce lundi soir à 20 heures, Emmanuel Macron est censé annoncer des mesures "concrètes" autour du pouvoir d'achat.
Le ministre de l'Économie a lié ce lundi le mouvement des gilets jaunes et la baisse de la croissance en France.
Le chef de l'État va présenter des "mesures concrètes et immédiates" selon sa ministre du Travail, Muriel Pénicaud.
Après la mobilisation des gilets jaunes, le chef de l'État va s'adresser "à la Nation", lundi 10 décembre à 20h.
Après les débordements de samedi, Alain Juppé demande au président de tenir un "discours d'autorité" et de "compréhension".
L'ancien président se tiendrait prêt en cas de crise majeure dans le pays, selon Le Parisien.
Le texte qui doit être adopté ce lundi alimente de nombreux débats, notamment au sein des gilets jaunes.
Jusqu'où l'intervention du président remettra-t-ellle en question la politique menée jusqu'alors par son gouvernement?
Emmanuel Macron rencontrera syndicats et organisations patronales, ainsi que Gérard Larcher et Richard Ferrand à 10h.
Les élus affirment avoir "sorti la machine à baffes" lors de leur rendez-vous avec le président.
Les mesures sur lesquelles le gouvernement a reculé faisaient partie du programme électoral d’Emmanuel Macron.
L’organisation du mouvement reste floue, comme à Bordeaux, où il « est tellement hétéroclite qu’il est difficile de faire une synthèse ».
Jusqu’à présent, le président de la République est resté en retrait et n’a fait que des déplacements discrets. Il prépare une prise de parole importante.
L’ancienne ministre présidente de la Sarre a été élue de justesse pour succéder à Angela Merkel à la tête du parti conservateur.
Pour la troisième fois en trois mois, le PS a renoncé à l’inauguration de ses nouveaux locaux, prévue le 15 décembre.
Pour Brice Teinturier, de l’Ipsos, le mouvement actuel trouve son origine dans un puissant sentiment d’injustice sociale.
Les milieux d’affaires transalpins accentuent la pression sur le gouvernement de Giuseppe Conte pour que les grands chantiers d’infrastructures se poursuivent.
Pages