Le gouvernement se dit prêt à négocier avec les élus locaux, avec en ligne de mire l’adoption de son projet de révision constitutionnelle.
Les partis de gauche peinent à s’entendre sur la portée du vote contre la privatisation, qui a débuté mercredi à minuit. Ils ont neuf mois pour recueillir 4,7 millions de signatures.
En dix ans, seules 6 % des usines fermées ont été reprises. En cause, notamment, un manque d’anticipation.
Tout comme le Rassemblement national, le parti centriste est visé par une enquête et soupçonné d’avoir rémunéré ses assistants avec des fonds alloués aux eurodéputés.
L’eurodéputé macroniste se félicite d’un « changement concret » du gouvernement sur l’écologie, et enjoint les Verts à se confronter aux contradictions de la société.
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