Le chef de l’État reprend presque l’intégralité des propositions de la Convention climat.
Le président du groupe Les Républicains au Sénat dénonce une «politisation inquiétante» de la justice.
Le Printemps marseillais, conduit par l'écologiste Michèle Rubirola, est arrivé en tête en nombre de voix dans la cité phocéenne, dimanche, au terme du second tour des municipales. Un résultat qui n’assure à la gauche qu’une majorité relative, en raison des résultats par secteurs. Alors que la droite, qui gouverne la ville depuis 1995, ne reconnait pas sa défaite, l’électron libre Samia Ghali (ex-PS) pourrait désigner le futur maire.
Le 28 juin, pour le second tour des municipales, moins d’un Français sur deux s’est rendu aux urnes. Une abstention historique. Pourtant, on peut au moins faire un constat : les écologistes arrivent en force aux commandes de grandes villes de France : Lyon, Marseille, Bordeaux, Strasbourg… C’est presque un grand chelem si l’on ajoute Paris, où la maire sortante Anne Hidalgo est très largement réélue après son alliance avec l’écologiste David Belliard.
À Lyon, un chef d’entreprise et un ancien cadre d’une ONG récemment engagé en politique ont largement remporté le scrutin.
Le résultat des municipales a levé les espoirs d’un bloc unitaire à gauche.
Selon le chef de l'État, la Turquie "ne respecte aucun de ses engagements de la conférence de Berlin" organisée en janvier, et a "accru sa présence militaire en Libye".
Aussitôt le jugement connu, plusieurs responsables des Républicains ont apporté publiquement leur «amitié» à François Fillon.
Loin d’une «grande victoire», ces élections municipales sont un revers pour le RN.
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