Plusieurs journaux américains critiquent vivement la laïcité "à la française" depuis la vague d'attentats. Ces analyses témoignent d'une méconnaissance de notre modèle.
Petites phrases et coulisses de la semaine politique, par Carl Meeus.
Les Conseils de défense se multiplient depuis quelques mois, notamment en raison de la crise sanitaire causée par le coronavirus.
Choisi pour gouverner par temps plus calme, Castex connaît des turbulences. La majorité se divise déjà. Et s'il ne tenait pas jusqu'en 2022...
Emmanuel Macron a annoncé, jeudi, un doublement des forces de l'ordre qui contrôlent les frontières de la France, - passant de 2 400 à 4 800 policiers et gendarmes - pour lutter contre la menace terroriste, les trafics et l'immigration illégale.
La préfecture de police de Paris a interdit jeudi par arrêté la vente d'alcool et lesactivités de livraison et de vente à emporter des bars et restaurants de la capitale de 22 h à 6 h du matin, dans le cadre d'un durcissement des restrictions visant à lutter contre la propagation du coronavirus.
Les autorités françaises ont placé, jeudi, 46 départements en risque "élevé" d'être contaminé par la grippe aviaire, obligeant notamment les éleveurs à confiner les volailles ou à poser des filets de protection. Cette épizootie ne présente aucun danger pour l'homme.
Le chef de l'État a publié dans le quotidien britannique une tribune pour expliquer que "la France se bat contre le séparatisme islamiste, jamais contre l'islam".
Face à la progression constante de l'épidémie de Covid-19, le gouvernement pourrait être amené à durcir le confinement dénoncé comme trop léger par des médecins.
À la faveur d'une seconde délibération, l'Assemblée nationale a finalement validé mercredi la prolongation de l'état d'urgence sanitaire jusqu'à la mi-février, comme le souhaitait le gouvernement. Un désordre avait entouré, la veille au soir, le vote de deux textes. En cause, l'absence dans l'hémicycle d'un nombre suffisant de députés La République en marche (LREM).
Dans la nuit de mardi à mercredi, les députés n'ont pas pu prolonger l'état d'urgence sanitaire jusqu'au 16 février. Un "couac" réparé depuis.
Cerné par une double crise sécuritaire et sanitaire aiguë, le président de la République devra sans doute chambouler, une fois encore, la fin de son quinquennat.
Pour la politologue et journaliste Marie-Christine Bonzom, la campagne de Joe Biden, principalement axée sur la lutte contre le Covid-19, n'a pas joué en faveur du candidat démocrate.
Le PIB devrait finalement se contracter de 11% cette année, contre 10% anticipé dans la précédente prévision de septembre.
Emmanuel Macron s'inspire de l'ancien président pour préparer sa campagne. Il n'est pas le seul : de François Hollande à Jean-Luc Mélenchon, ils se passent tous le mot !
Comment François Mitterrand et Jacques Chirac ont raté deux moments clés : l'affaire du voile au collège de Creil et la publication des caricatures de Mahomet.
Des oppositions très remontées, des députés LREM trop peu nombreux : l'examen mardi soir du projet de loi clé sur la prolongation de l'état d'urgence sanitaire s'est enlisé, entre votes litigieux et suspensions de séance. Le ministre de la Santé Olivier Véran a violemment critiqué l'attitude des députés d'opposition dans l'hémicycle.
Comment en est-on arrivé à trier les rayons qui resteront ouverts ? L'ex-secrétaire d'Etat à la simplification décortique un processus de décision erratique.
Ce projet de loi, discuté en nouvelle lecture, prévoit une prorogation de l'état d'urgence face à l'épidémie de coronavirus jusqu'au 16 février.
Près de 3 900 malades du Covid-19 sont désormais hospitalisés en réanimation ou en soins intensifs. Le nombre de décès continue de progresser, dépassant dans les hôpitaux la barre des 420 morts en 24 heures, selon les chiffres de Santé Publique France publiés mardi.
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