France

Quarante ans après l'élection de François Mitterrand, le Parti socialiste n'a pas su se réinventer entre gestionnaires et utopistes.

Le chef de l'Etat déposera ce mercredi après-midi une gerbe au pied de son tombeau, sous la majestueuse coupole des Invalides, à Paris. Juste avant, il prononcera un discours à l'Institut de France.

LR a obtenu l'assurance qu'il n'y aurait ni ministre, ni parlementaire LREM sur la liste de Renaud Muselier. En interne, certains restent méfiants.

Crise idéologique, sociologique, électorale : quarante ans après la victoire du 10 mai 1981, la gauche peine à retrouver le chemin qui la conduirait au pouvoir.

Mis en cause par LR pour son rapprochement avec LREM, Renaud Muselier a tenté ce mardi de ménager la chèvre et le chou. Au risque de perdre tout le monde.

L'Union nationale des lycéens (UNL) et le Mouvement national lycéen (MNL) ont appelé à des blocus dans les lycées depuis lundi pour demander un bac entièrement validé via le contrôle continu.

Commémorer, pour un président, vaut parfois mieux qu'un long discours.

Une liste LR pourrait être constituée en réponse à l'alliance entre Renaud Muselier et LREM. Au risque de favoriser la candidature du RN.

Le retrait de LREM au profit de Renaud Muselier (LR) dans la région Paca est un bouleversement. Or l'échiquier démocratique a besoin d'une majorité et d'une opposition.

Dans un entretien au Parisien, le ministre de la Justice présente différentes solutions afin de réduire les délais d'attente de jugement, notamment l'embauche de 1000 personnes.

Une dizaine de membres du gouvernement - pas les plus connus - tentent leurs chances aux élections locales. Le résultat de longs mois de tractations et de tergiversations.

Une enquête a été ouverte concernant des attaques sur des militants CGT à l'issue de la manifestation parisienne du 1er mai.

Jean Castex a annoncé le retrait de la liste LREM en région Paca, au profit du président sortant Renaud Muselier (LR). Ce dernier "ne pourra pas bénéficier de l'investiture LR", annonce le patron du parti, Christian Jacob.

La candidate à la présidentielle a tenu, lors de son discours annuel, à se présenter comme la candidate de "l'union nationale" face au "chaos" macronien.

Autrefois bienveillant, l'ancien président de l'UMP est "déçu" par l'évolution du quinquennat. Il se dit opposé à une primaire à droite. Entretien.

Le président a indiqué vouloir "reprendre son bâton de pélerin". Voici comment.

Rassembler des collectifs citoyens autour d'un avatar avant de choisir un candidat à la présidentielle : la proposition de la députée Paula Forteza pour unir la gauche.

Pour le politologue, la candidate à la présidentielle envoie "le signe qu'il y a de la radicalité derrière le processus de normalisation" du Rassemblement national.