L’accès à l’aide pour les jeunes majeurs sortant de l’aide sociale à l’enfance (ASE) suscite des critiques. Cette solution, introduite par un amendement au projet de loi relatif à la protection des enfants, discuté début juillet à l’Assemblée, doit aider à résoudre le problème des sorties sèches : ces jeunes qui, à leur majorité, se retrouvent sans rien. Pourtant, « la systématisation de la garantie jeunes risque de se faire au détriment des contrats jeune majeur », alerte le Gisti (Groupe d’information et de soutien des immigrés) dans un communiqué du 23 juillet.
C’est samedi, dans le temple du Judo mais aussi du Rock, le Nippon Budokan où se produisirent notamment les Beatles, que le Français a ouvert le compteur des médailles tricolores. En battant le Coréen Kim Won-jin, il accroche le bronze dans la catégorie des -60 kg.
L’« Humanité Dimanche » vous fait découvrir les huit finalistes de cette troisième édition de notre prix dédié à la bande dessinée, dont le lauréat sera récompensé en septembre à la Fête de l’Humanité. À déguster tout l’été, les premières pages de chaque album... et plus si affinités.
Après « le Pas de la Manu » (Actes Sud/l'An 2), de Baptiste Deyrail, et « l'Attente » (Futuropolis), de Keum Suk Gendry-Kim, voici « Une vie d'huissier », de Dav Guedin (Actes Sud).
Selon « Syndilait », l’organisme regroupant les professionnels du lait liquide en France, son prix de revient a augmenté de 8 % ces derniers mois en raison de la hausse de 50 % du prix des emballages en plastique ; celui des cartons ayant augmenté de 20 %. Mais les distributeurs ne veulent pas prendre en compte cette hausse inattendue des coûts de mise en marché souvent supportés par des petites laiteries.
Deuxième volet de notre série consacrée aux danses résistantes. Dans les années 1970, le ghetto new-yorkais du Bronx est ravagé par les marchands de sommeil et la misère. Dans ce paysage de ruines, des gamins inventent un style qui conquerra le monde. Et substituent aux affrontements de gangs des rituels de danse.
Notre deuxième volet des oubliées du 7e art consacre Lotte Reiniger. Fascinée par le théâtre d’ombres, la cinéaste allemande provoque un coup d’éclat artistique avec la sortie des « Aventures du prince Ahmed », en 1926, premier film d’animation de l’histoire.
Tout l’été, l’« Humanité Dimanche » parcourt la saga des présidentielles. Et quelle histoire ! Une évidence, chaque fois, s’impose au scénario : rien ne se passe comme prévu. En témoigne ce troisième épisode de notre série : à la mort de Georges Pompidou, le maire de Bordeaux Jacques Chaban-Delmas, est le favori à sa succession. Mais, face à la menace de François Mitterrand, et l’Union de la gauche, un jeune loup fait capoter la candidature de l’ancien premier ministre.
Malgré des lames encore peu puissantes, le surfeur polynésien n’est pas venu à Tokyo pour figurer. Qualifié pour les quarts de finale qui se disputeront ce mardi, il compte bien aller au bout.
Tout l’été, Paris 2024, l’Agence nationale du sport et la Fédération française de natation initient à la natation quelque 2 000 enfants de quatre villes de Seine-Saint-Denis. Reportage à la piscine éphémère de Villetaneuse.
Que se cache-t-il sous la célèbre photo devenue emblème de la pop culture et image symbolique du savant non conformiste, créatif et rebelle ? à qui le physicien tire-t-il la langue le jour de son 72e anniversaire ?
Jacqueline Gelly s’est éteinte le 23 juillet, à 93 ans, à Vaison-la- Romaine (84). Militante communiste et féministe, née Darmont-Sarnette à Auxerre en 1928, elle vécut en Provence. Orpheline dès 15 ans, elle suit une formation de sténo-dactylo et débute à l’opéra de Toulon. En 1945, elle rejoint les Jeunesses communistes, milite à l’Union des jeunes filles de France et, dès 1946, à la CGT spectacle. À la Libération, Jacqueline « monte » à Paris, où elle travaille pour l’Avant-Garde, journal des JC.
Les contaminations et les décès liés au variant Delta connaissent une envolée vertigineuse. Des pays jusque-là relativement préservés voient leur système de santé submergé.
Avec ses baskets de toile rouge et sa jupe en tulle rose, la « Petite Fille », c’est son nom, « n’est pas méchante ». Pierre Notte, qui a écrit et mis en scène cet étonnant monologue, a choisi un garçon pour le rôle. Acteur, chanteur et danseur, Antonio Interlandi est donc cette petite fille qui tente de convaincre, et sa maman et le public, qu’elle n’a pas fait exprès de donner un grand coup de pied dans la coupelle de la mendiante déposée au bord du trottoir. À la maison, c’est le petit frère qui fait les frais d’une étrange colère.
Pete sait qu’il a une fille de 15 ans. Il ne l’a jamais vue. Il sort de prison après sept ans à l’ombre à la suite d’un homicide et se pointe chez Richard, son frère. Entre eux, « les fantômes du passé », non-dits et autres histoires incomplètes dressent des barrières. Mais cette aventure, écrite par Matt Hartley, n’a rien de sinistre, bien au contraire. Une bonne dose d’humour so british est là pour nous faire garder le moral.
C’est l’anniversaire des quarante ans de la photo la Jeune Fille au napalm.