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US Navy names new Virginia-class submarine as USS New Jersey

Naval Technology - Tue, 26/05/2015 - 01:00
The US Navy has christened its new Virginia-class attack submarine as USS New Jersey (SSN 796), in honour of the long-standing history its namesake state has had with the navy.

USS George Washington completes carrier qualifications

Naval Technology - Tue, 26/05/2015 - 01:00
The US Navy's Carrier Air Wing (CVW) 5 and the sixth Nimitz-class aircraft carrier USS George Washington (CVN 73) has successfully completed its carrier qualifications (CQ).

Thales to provide radar and mission system for UK Royal Navy

Naval Technology - Tue, 26/05/2015 - 01:00
The UK Ministry of Defence (MoD) and Lockheed Martin have selected Thales to deliver the radar and mission system for the UK Royal Navy.

Australian Navy launches first Hobart-class air warfare destroyer

Naval Technology - Tue, 26/05/2015 - 01:00
The Australian Royal Navy (RAN) has launched the first of three destroyers, Hobart, at the Port River wharf in Adelaide, marking a milestone in the Air Warfare Destroyer (AWD) programme.

Serge Barcellini : «Faire du Souvenir Français la grande association mémorielle du XXIème siècle»

Blog Secret Défense - Mon, 25/05/2015 - 15:11
Un entretien avec le nouveau président du Souvenir Français.

Serval 2013. Maudite découverte et bonnes surprises, kérosène algérien et hélicos belges

Bruxelles2 Blog - Mon, 25/05/2015 - 14:40

(B2) Le général Barrera est un peu une des figures de l’armée française. Après avoir servi dans les Balkans (Bosnie, Kosovo) et en Afrique (Tchad, Côte d’Ivoire), il est envoyé au Mali en 2013 pour prendre la tête de l’opération Serval au Mali alors qu’il vient de prendre la tête de la 3e Brigade mécanisée (3BM). Pour l’avoir rencontré, dans le cadre de l’IHEDN, on peut dire que l’homme dégage une certaine intensité et ses « Notes de guerre » sur l’opération, menée à partir de janvier 2013 au Mali par l’armée française, en prennent de la graine. Pour ceux qui s’intéressent aux opérations modernes, de celles qui se mènent en quelque sorte « sabre au clair », ce livre mérite le détour. J’en ai retenu quelques passages. L’un est particulièrement poignant, sur les enfants soldats. Les deux autres sont plus géopolitiques sur la coopération avec l’Algérie et l’assistance belge et danoise.

Une découverte maudite : l’enfant soldat utilisé par les djihadistes

« Les légionnaires trouvent un enfant soldat blessé par éclats. Réfugié près d’un muret de pierre, sous une couverture, il grelotte de fièvre, impuissant devant l’infection de ses plaies. Cela fait deux à trois jours qu’il attend la mort … Un enfant qui n’a sans doute pas 15 ans. Cette découverte et celle qui va suivre ont incontestablement marqué un tournant pour les combattants de la brigade. (…) Nous avons compris, ce jour-là, pour ceux qui en doutaient, que notre adversaire n’était pas valeureux.  » L’enfant sera pris en charge par l’équipe médicale du régiment et « sauvé ».

Un peu plus tard, les « légionnaires découvrent dans (une) cache deux enfants armés et un adulte noir, anglophone, qui avouera plus tard être nigérian et affilié à Boko Haram. Après avoir enlevé une dizaine d’enfants, principalement peuls, dans la région de Gao, il les emmenés dans ce sanctuaire pour les éduquer et en faire de bons djihadistes. (…) Dans les heures qui suivirent, sapeurs et fantassins découvrirent des cadavres d’enfants dans la vallée, certains chargés de gourdes vides et envoyés à  la mort par les djihadistes assoiffés. »

Quelques jours plus tard, deux autres enfants soldats seront capturés. « Comme un esclave, le premier portait des bouteilles vides et un sac pour un groupe de djihadistes armés, abattus à très courte portée. » Il fut sauvé et « surpris de s’en sortir ». Grâce au sang-froid et « à l’entraînement des légionnaires ». « Le second fut blessé par une sentinelle à quelques dizaines de mètres de son bivouac. (Il) cherchait à s’infiltrer dans le dispositif en profitant de la végétation. » Blessure superficielle, il fut soigné et évacué à Tessalit.

« Ces visions provoqueront des blessures invisibles chez mes soldats (…). Ils devaient de passer dix jours à se battre sous un soleil sahélien mais ces images les hantaient, certains se demandant même s’ils n’avaient pas tiré sans le savoir sur un gamin qui avait l’âge de leur fils. L’enfant soldat, la pire découverte de cette vallée maudite ! « Les yeux vitrés, comme drogués, ces gosses étaient utilisés comme porteurs, messagers ou éclaireurs. Kidnappés dans la boucle du Niger, enlevés pour certains à leurs familles de bergers plus au nord, il seront ensuite envoyés à Bamako pour suivre un programme de réinsertion conduit par l’ONU. »

Le kérosène algérien…

A plusieurs reprises, dans son ouvrage, le général évoque les besoins en matériel, le ravitaillement en eau qui s’effectue à flux tendus, les pièces détachées qui manquent, le carburant nécessaire. C’est l’Algérie voisine qui fournira à plusieurs reprises le carburant nécessaire, les hommes allant se ravitailler dans des missions baptisées « Septenkéro »  (kérosène septentrional). « Cette livraison, plusieurs fois répétée dans les semaines suivantes, est la conséquence d’un accord entre les deux pays, touchés par le même terrorisme ». Les moyens de transport (avions ou hélicoptères) sont comptés également.

… et les hélicos belges et moyens danois

Le 6 mars, c’est un (nouvel) accrochage avec une « katiba du Muajao », provoquant plusieurs blessés, maliens et français…  Il y a deux blessés graves (alpha), un Malien, un Français, le brigadier-chef Wilfried Pingaud (lire aussi : Un 4e soldat français tué au Mali à l’est de Gao).  Les hélicoptères, « un Puma et un Agusta belge foncent vers l’ouest pour récupérer les cinq blessés. (…) Nos amis belges ont été engagés aux côtés de leurs alliés français pour sauver des vies. Il existe une vraie fraternité d’armes avec l’armée belge. Leurs pilotes d’hélicoptères et d’avions de transport ont été des nôtres. Tout au long de la campagne, ils nous ont acheminé l’approvisionnement nécessaire à Gao et Tessalit, prenant parfois le relais de nos avions à bout de potentiels. Sur les pistes les plus éloignées, les cocardes françaises ont souvent côtoyé celles des royaumes de Belgique et du Danemark. (*) »

Commentaire : ces besoins illustrent également, même si le général ne le mentionne pas précisément, la nécessité qu’il y aurait sans doute eu d’un soutien plus affirmé des Européens, ne serait-ce qu’en moyens de transport ou d’évacuation. Cette question n’est toujours pas réglée. Et d’un point de vue politique, on peut se demander si une opération identique devait être réitérée demain, est-ce que la situation serait considérablement changé. Le commentaire élogieux du général sur l’allié belge, à juste titre, ne serait peut-être plus de mise. Au vu du positionnement de l’actuel gouvernement belge dirigé par le libéral Charles Michel et de son ministre de la Défense, Steven Vandeput (N-VA), beaucoup plus réticent à s’engager dans les opérations en « Européen » (cf. RCA, EUNAVFOR Med), on peut se demander si un tel engagement aurait lieu aujourd’hui, pour des raisons budgétaires mais aussi politiques.

(NGV)

• « Opération Serval. Notes de guerre, Mali 2013 » Bernard Barrera. Editions Seuil, collection Sciences Humaines et Documents, mai 2015, 448 pages, 21,50 €

Lire aussi :

Un nouveau service militaire pour «mille jeunes au maximum»

Blog Secret Défense - Mon, 25/05/2015 - 10:45
Grand succès outre-mer, le service militaire adapté est importé en métropole sous la forme du SMV. Une expérimentation très modeste

Damen OPV 2600 Second Generation Offshore Patrol Vessel

Naval Technology - Mon, 25/05/2015 - 01:00
OPV 2600 is the longest of four new second generation offshore patrol vessels designed by Damen Shipyards to support a wide variety of missions conducted by naval forces and coastguards.

Il y a un an, à Djibouti

Bruxelles2 Blog - Sun, 24/05/2015 - 22:45

(B2) Il y a un an, le 24 mai 2014, trois membres de la mission européenne de renforcement des capacités en Afrique de l’est (EUCAP Nestor) étaient gravement blessés lors d’un lâche attentat terroriste qui frappait le Restaurant La Chaumière en plein centre de Djibouti. Tous les trois venaient de rejoindre la mission et célébraient ce soir-là leur installation (lire : Attentat à Djibouti. Plusieurs membres des missions européennes PSDC blessés).

Un an plus tard, indique la mission EUCAP Nestor « deux d’entre eux luttent encore avec les terribles conséquences de l’attentat. Leur vie ne sera plus jamais la même. » Et le chef de la mission Etienne de Poncins d’ « exprimer tout le soutien, réconfort et meilleurs voeux de rétablissement complet ».

(NGV)

L’UE condamne l’assassinat d’un chef d’opposition au Burundi et demande aux autorités d’agir

Bruxelles2 Blog - Sun, 24/05/2015 - 17:57

(BRUXELLES2) L’Union européenne a tenu à condamner, par la voix d’un porte-parole de la Haute représentante « avec force l’attentat meurtrier d’hier contre un membre de l’opposition ainsi que l’attentat au marché central de la veille. La prolifération de la violence des derniers jours risque de mener le pays à la violence généralisée. » Un message qui traduit, de façon diplomatique, une certaine défiance envers le gouvernement au pouvoir.

Traduction en justice des coupables

C’est « aux autorités burundaises de traduire en justice les acteurs de ces crimes et de prendre les mesures nécessaires pour empêcher la violence politique de se propager. Cela doit se faire dans le respect des droits de l’homme de tous les Burundais, y compris la liberté de réunion, d’association et d’expression ».

Pas d’élections précipitées

Et l’Union européenne « appelle à la retenue et exhorte tous les acteurs à s’engager de bonne foi dans le dialogue politique engagé depuis quelques jours. Nous ne pouvons laisser le pays être pris en otage par ceux qui veulent aller précipitamment vers des élections sans mettre en place les conditions nécessaires pour des élections pacifiques, crédibles et inclusives au Burundi.

Tout faire pour désamorcer la crise

« Nous encourageons la région, l’Union africaine, la Communauté de l’Afrique de l’est, et la Conférence internationale de la région des Grands lacs à ne ménager aucun effort pour désamorcer la crise » conclut le message européen. L’UE soutient d’ailleurs « pleinement » les efforts de l’Envoyé spécial du secrétaire général de l’ONU, Said Djinnit.

En 1991, à 8h moins le quart, il n’y avait pas de presse en ligne. Il faut évoluer ! (Juncker)

Bruxelles2 Blog - Sat, 23/05/2015 - 13:43

JC Juncker devant la Bundesverband Deutscher Zeitungsverleger – BDZV le 6 mai (crédit : CE)

(B2) Lors d’une session avec l’association allemande des éditeurs presse (BDZV), début mai, le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker a commenté un revirement de taille dans la politique de l’exécutif européen : sur la TVA des médias en ligne. L’exécutif européen « va en effet présenter une proposition de taux réduits de TVA dans tous les États membres en 2016 ».

Une disposition contenue, assez discrètement, dans la communication sur l’Europe numérique présentée le jour même, le 6 mai. L’ancien Premier ministre luxembourgeois, fidèle à sa tradition d’ironie, n’a pu s’empêcher de piquer une ou deux bandelettes au passage sur ses prédécesseurs et leur position, qu’il a jugé un peu « retro ».

Un sujet sur lequel Juncker est à l’aise

« Je me sens vraiment à l’aise (sur ce sujet) parce que le Luxembourg a introduit le taux réduit de TVA pour les livres numériques. La Commission a (ensuite) engagé une action en justice contre le Luxembourg. (…) Et la Commission a obtenu gain de cause contre le Luxembourg. »

En 1991, à 8h moins le quart, il n’y avait pas de journal en ligne

« … Et Je suis un expert de la directive TVA » poursuit-il. « Elle a été adoptée, en 1991, le soir du 23 juin à 8 h moins le quart au conseil des ministres des finances européens. Pourquoi suis-je le seul qui sait cela ? Tout simplement car je présidais ce Conseil des ministres des finances. Et je sais très bien qu’il n’y avait pas de journal en ligne en 1991.» C’est tout simplement pour cette absence de technologie que la directive n’en fait pas mention.

Des règles fiscalement neutres

« Si la Commission – je dois dire la Commission précédente – n’a pas pris en compte ce qui peut être appelé une petite Révolution et s’en est tenue fermement à ses règles précédentes, cela va changer maintenant » annonce-t-il. « Je sais qu’il y a des journaux en ligne. Je ne les lis pas. (…) Mais je suis malgré tout convaincu que c’est la tâche de la Commission d’examiner cette question (avec un sens) politique et avec courage. Et cela va se faire. Nous avons besoin de règles fiscales technologiquement neutres. »

Un journal en ligne ou papier, c’est du contenu

« Un journal c’est du contenu. Que ce contenu soit sous la forme de papier ou sous la forme de services en ligne, cela n’a pas d’importance. » 

(NGV)

How the EU is supporting Ukraine

EEAS News - Fri, 22/05/2015 - 19:40

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