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Naval maritime forces commence UNITAS 2017 in Peru

Naval Technology - Thu, 20/07/2017 - 01:00
Naval maritime forces from 19 countries have joined forces to begin the 58th iteration of the annual multilateral exercise UNITAS 2017 in Lima, Peru.

François Lecointre, nouveau commandant des armées françaises

Bruxelles2 Blog - Wed, 19/07/2017 - 21:17
(B2) C'est un visage connu de quelques Européens qui devrait prendre la tête des armées françaises. Le général François Lecointre a été nommé ce mercredi (19 juillet, en Conseil des ministres, immédiatement après l'annonce de la démission de Pierre de Villiers. La prise de fonction sera tout aussi rapide, dès ce jeudi (20 juillet), le nouveau chef d'état-major […]

L’UE adapte son cadre juridique pour de nouvelles sanctions en RD Congo

Bruxelles2 Blog - Wed, 19/07/2017 - 17:50
(B2) Face aux attaques incessantes contre les casques bleus en RD Congo, la communauté internationale veut prendre des sanctions. C'est le sens de la décision prise par le Conseil des ministres des Affaires étrangères, lundi 17 juillet, modifiant le cadre juridique européen introduisant la possibilité d'adopter des mesures contre toute personne responsable de « planifier, diriger […]

iXblue: Open Software Developer for Tailored WECDIS Solutions

Naval Technology - Wed, 19/07/2017 - 17:38
iXBlue supplies a unique warship electronic chart display and information system (WECDIS) based on an open software design that allows it to meet the individual needs of its users.

Passation de commandement à EUTM Mali

Bruxelles2 Blog - Wed, 19/07/2017 - 16:58

(B2 à Bamako) Le QG de la mission européenne de formation de l’armée malienne (EUTM Mali), à Bamako, a été le scénario choisi pour la cérémonie de passation de commandement célébrée mercredi 12 juillet, entre les deux généraux belges, Peter Devogelaere et Bart Laurent. C’est la première fois que l’événement se fait dans la capitale malienne, et non au camp d’entrainement de Koulikoro. Les travaux de la cour ont d’ailleurs dû être terminés, in extremis, la veille.

La Belgique garde le commandement

Le général belge Peter Devogelaere a remis le flambeau à son compatriote Bart Laurent. « Avant tout, je me suis engagé à maintenir le bon cap pris par mes prédécesseurs. Nous continuerons à soutenir le Mali dans sa reconstruction et la formation de ses forces armées » a assuré le nouveau commandant de mission. Lire : EUTM Mali va mettre le focus sur le G5 Sahel (Bart Laurent)

La remise du drapeau européen au général « montant » Bart Laurent (Crédit : MOD Belgium)

Une cérémonie sous la présidence de la MPCC

Symboliquement, c’est le directeur de la capacité militaire de planification et de conduite (MPCC), le général Esa Pulkkinen, qui a présidé la cérémonie. Il a chaleureusement remercié Peter Devogelaere pour son travail. « Durant votre temps en tant que commandant, EUTM Mali a fait des progrès considérables. Vous avez été très actif (…) et vous vous êtes assuré que la mission soit impliquée dans tous les forums importants.  »

Pendant la cérémonie, le général Pulkkinen remet une médaille de la PSDC au général belge sortant (Crédit : MOD Belgium)

Hommage à l’officier portugais tué 

Si tous ont tenu à rendre hommage au soldat portugais tué lors de l’attaque terroriste sur Le Campement à Kangaba, près de Bamako, l’intervention du général Devogelaere a été la plus émotive. Tournant le dos au parterre politique venu assisté à la cérémonie, il s’est directement adressé à ses hommes, en anglais, avec des sanglots dans la voix. Lire : Attaque terroriste au Mali. Un rappel tragique de la réalité (Mogherini) et Attaque terroriste sur Le Campement, Européens (et Maliens) ont, bien, réagi (V10)

Remises de médailles aux Maliens 

Lors de cette cérémonie, des officiers de l’armée et des services de sécurités maliens, ont reçu – ce qui est très rare – la médaille du soutien à la Politique européenne de sécurité et de défense commune (PSDC) ainsi qu’un Certificat de recommandation.

Les FAMA en formation pendant la cérémonie (crédit : MOD Belgium)

(Leonor Hubaut)

Discipline budgétaire, oui. Coupes intempestives, non (Gén. Paloméros)

Bruxelles2 Blog - Wed, 19/07/2017 - 11:59

(B2) Alors que la démission du chef d’état-major des armées, Pierre de Villiers, a été présentée ce mercredi au président de la République, il est bon de dépassionner le débat et de revenir aux fondamentaux. Dans une tribune publiée dans Le Monde le 17 juillet – et quelques commentaires supplémentaires sur les réseaux sociaux – le général Paloméros a tenu, sans anathèmes ni accusations, à remettre les tensions budgétaires qui affectent les armées dans leur contexte, à la fois de discipline financière et de réalité opérationnelle. Au passage, il exprime son « admiration sincère » pour Pierre de Villiers, appelant à « ne pas jeter de l’huile sur le feu ». La parole de ce militaire qui a servi tant comme chef de l’armée de l’air (2009-2012) que comme commandant de la Transformation à l’OTAN (2012-2015), mérite le détour.

Des coupes budgétaires qui désorganisent

« Tous ceux qui connaissent mon attachement viscéral à la défense, comprendront combien je souhaite que les femmes et les hommes qui la servent se voient donner les moyens de leurs missions et la reconnaissance qu’ils méritent. Les coupes budgétaires constituent des pratiques de gestion contreproductives qui désorganisent l’action de l’état et lui font perdre de son efficacité.

Attention à la ‘bosse’ due aux retards

Pour notre défense, cela revient à pousser inexorablement une vague dite « la bosse » qui ne porte malheureusement chance à personne car elle traduit en fait les retards pris dans la modernisation forces armées et dans les investissements indispensables pour le maintien en condition opérationnel des hommes et des équipements. Il est plus que temps de changer ces pratiques, de reconstruire des budgets sincères fondés sur des choix politiques et stratégiques clairs et de les exécuter. Tout le monde y gagnera. Cela évitera aussi des polémiques détestables comme celle qui amène la vindicte du président, chef des armées contre leur chef d’état-major.

La question de la dette : à ne pas négliger

Enfin, je maintiens que pour notre pays la dette représente une menace certes moins tangible que le terrorisme mais, au niveau qu’elle atteint, c’est un cancer qui peut à terme détruire notre modèle social, les emplois de demain, et même nos valeurs. Cette question ne se règlera pas à coups de coupes budgétaires, c’est certain, mais par la croissance, et par une plus grande adaptation à un monde qui change à vitesse accélérée.

Notre pays a démocratiquement donné sa chance à un nouveau pouvoir pour affronter ces défis, pour transformer notre pays. Il lui appartient maintenant de faire des choix qu’il devra assumer devant les français. En tout cas la passivité n’est pas de mise. Elle nous a déjà coûté tellement cher.

Une nécessité : la politique de réinvestissement…

Les tensions créées par les récentes coupes budgétaires sont à l’échelle des efforts demandés aux différents ministères. Il est certain que notre nouveau Président et son gouvernement auraient préféré lancer rapidement une politique ambitieuse de réinvestissements à même de placer notre pays sur la voie d’une croissance soutenue et durable, mais l’état de nos finances publiques ne l’autorise pas, compte tenu de la dette abyssale qui ankylose notre pays et lui fait courir des risques graves si les taux d’intérêts repartaient à la hausse.

… une contrainte : la dette

Le budget de la défense n’échappe pas à ces réductions auxquelles il devrait cotiser pour environ 850 millions d’euros. Pour absorber cette ponction budgétaire les Armées ne peuvent réduire leur activité alors que leur niveau d’engagement opérationnel a rarement atteint un tel niveau d’intensité et de durée. Ainsi, la seule solution consiste à repousser des investissements qui portent sur la modernisation de leurs équipements, leur entretien, ou encore les indispensables efforts de recherche et de technologie qui conditionnent l’avenir.

Attention à la tentation du court terme..

Cette situation n’est malheureusement pas conjoncturelle. Les mêmes causes produisant les mêmes effets. Cette recette qui privilégie le court terme au long terme a été maintes fois appliquée avec les mêmes conséquences, impacts sur la disponibilité des équipements, sur la chaîne industrielle et sur des centaines de PME sous-traitantes et sur les coûts.

Des effets retard en cascade sur les programmes

Soyons clairs. Il n’y a pas de coupe indolore dans un budget tiré au trébuchet. Les retards d’investissements se paient un jour ou l’autre, tant en opérations que par les surcoûts qu’ils entraînent, ainsi, la cour des comptes a dénoncé à de nombreuses reprises les effet retards à hauteur de plusieurs milliards sur des programmes d’armement majeurs générés par des mesures d’économies de court terme. Pour sortir de cette spirale infernale, il n’existe pas de recette miracle mais il serait coupable de se résigner.

Agir sur tout le spectre des crises se paie

Lors de la présentation de son programme défense le 18 mars dernier le Président de la République, alors candidat, a clairement pris acte des difficultés rencontrées par nos armées pour accomplir les tâches exigeantes que leur confie l’exécutif, depuis lors il a d’ailleurs pu confronter cette vision avec la réalité lors de ses déplacements sur le terrain. Ainsi, confirmant sa volonté de conserver à la France un outil militaire moderne et performant, capable de dissuader tout adversaire d’attenter à nos intérêts vitaux, capable d’intervenir sur tout le spectre des crises, capable d’assurer dans la durée l’engagement de notre pays contre le terrorisme, il a décidé de fixer un objectif clair, consacrer en 2025 2% du PIB à l’effort de défense.

La remontée en puissance doit s’appuyer sur trois principes clés

Pour ce faire, il s’est engagé à soutenir une remontée en puissance progressive de celui-ci, confirmant le 13 juillet devant les forces armées une augmentation du budget de la défense pour le porter à 34,2 milliards € en 2018. Cependant, pour porter ses fruits, cet effort doit s’accompagner d’une véritable transformation des esprits et des habitudes. Cette nouvelle approche devrait s’appuyer sur trois principes clés, la sincérité budgétaire, la cohérence des choix stratégiques, le travail collaboratif.

Sortir des combats fratricides, dépensiers contre économes

Si l’on ne retient que ce dernier [le travail collaboratif], la Défense nationale est l’affaire de tous et la responsabilité de chacun. Il faut sortir des combats fratricides entre « ministères dépensiers et ministères économes » il faut construire ensemble, mettre en commun la grande expertise que recèle notre administration pour faire mieux, pour trouver des solutions viables qui préservent les intérêts de notre pays et en premier lieu la défense et la sécurité de nos concitoyens. Dans cet état d’esprit, nous pourrons réduire les tensions qui se manifestent aujourd’hui, et continuer à construire pour notre pays la défense qu’il mérite en alignant nos ambitions et les moyens que nous sommes prêts à y consacrer.

Les armées répondent et répondront « présent »

Le 13 juillet le Président de la République a réaffirmé, avec une fermeté certaine, l’engagement et la discipline qu’il attendait de tous pour réussir la transformation de notre pays. Dans cette perspective, il sait pouvoir compter sur des armées qui ont toujours répondu présentes à l’appel de leur chef, que se soit pour s’engager en opération sans délai et avec une efficacité qui fait la fierté de tout un pays et l’envie de beaucoup. Des armées qui ont systématiquement été à la pointe des réformes de l’état pour s’adapter, se moderniser mais qui ont dû en payer le prix. Face à un monde incertain, dangereux, il ne fait aucun doute que le chef des armées sait, dans son for intérieur, qu’il peut compter sur des hommes et des femmes d’excellence, d’honneur et de dévouement, et au premier rang de ceux-ci le chef d’état major des armées, le général d’armée Pierre de Villiers dont l’engagement n’a [eu] d’égal que sa passion pour notre pays et pour sa défense.

Général d’Armée Aérienne (2S) Jean-Paul Paloméros
Commandeur Suprême de l’OTAN pour la Transformation (2012-2015)
Chef d’Etat-Major de l’Armée de l’Air (2009-2012)

NB : Les commentaires (en introduction) et la tribune sont reproduits avec l’autorisation de l’auteur. Titres et intertitres de la rédaction

Armées : François Lecointre succède à Pierre de Villiers, démissionnaire

Blog Secret Défense - Wed, 19/07/2017 - 09:37
« Dans les circonstances actuelles, je considère ne plus être en mesure d’assurer la pérennité du modèle d’armée » déclare-t-il

Pierre de Villiers, chef d’état-major des armées, démissionne

Blog Secret Défense - Wed, 19/07/2017 - 09:37
« Dans les circonstances actuelles, je considère ne plus être en mesure d’assurer la pérennité du modèle d’armée » déclare-t-il

Le SEAE réorganise ses délégations et ouvre une ambassade en Mongolie

Bruxelles2 Blog - Wed, 19/07/2017 - 07:14
(B2) Le SEAE poursuit la réorganisation de ses délégations. La décision d'ouvrir une délégation de plein exercice en Mongolie, à Oulan-Bator a été confirmée par la Commission européenne fin juin. Jusqu'à présent, il n'y avait qu'un "office technique" dépendant de la délégation de l'Union européenne en Chine, l'ambassadeur de l'UE en Chine, Hans Dietmar Schweisgut, […]

UK maritime forces train alongside partner navies during practice assault mission

Naval Technology - Wed, 19/07/2017 - 01:00
British Royal Navy and Royal Marines personnel have trained alongside naval forces from several partner nations during deployment on-board a French warship.

US Navy test fires Tomahawk cruise missiles for first time

Naval Technology - Wed, 19/07/2017 - 01:00
The US Navy has test fired two Raytheon-built Tomahawk cruise missiles from new submarine payload tubes on the Virginia-class naval vessel USS North Dakota (SSN-784) in the Gulf of Mexico near Florida.

British Royal Navy's HMS Albion completes sea trials following £90m refit

Naval Technology - Wed, 19/07/2017 - 01:00
The British Royal Navy's assault ship HMS Albion has successfully completed four weeks of initial sea trials following the vessel's £90m mid-life technical upgrade programme.

L’avenir de la participation belge dans Sophia compromis ?

Bruxelles2 Blog - Tue, 18/07/2017 - 16:36
(B2) La menace de Rome de fermer ses ports aux navires fait des vagues. Même si elle ne concerne pas les navires militaires participant aux opérations de sauvetage en mer dans le cadre de l'opération Sophia, elle a suscité des réactions jusqu'en Belgique, où la frégate Louise-Marie est actuellement en mer. Le premier à réagir […]

Le combat très étrange de la télévision publique polonaise (V2)

Bruxelles2 Blog - Tue, 18/07/2017 - 13:31

(B2) La situation en Pologne tourne à l’aigre. Et les journalistes qui exercent leur métier sont désormais sommés de se ranger à l’aune du pouvoir. Notre collègue de la télévision privée polonaise, Dorota Bawołek vient d’en subir l’amère expérience.

Le questionnement sur l’indépendance de la justice polonaise

Tout commence jeudi dernier, lors du point de presse de la Commission européenne, la journaliste de Polsat demande à la Commission une réaction sur la nouvelle législation concernant les juges de la cour suprême en Pologne. Question fort logique. La réponse du porte-parole reste très prudente (1), s’attachant à rappeler la procédure déjà en cours sur l’état de droit. Plusieurs journalistes ont tenté d’obtenir une réponse. Le porte-parole, Alexander Winterstein, n’a pas démordu pas de cette ligne.

http://www.bruxelles2.eu/wp-content/uploads/2017/07/brief-ce-13juil2017-pologne.mp4

Plusieurs journalistes ne sont pas satisfaits de la réponse. Ils insistent donc. Dorota Bawołek tente donc une seconde tentative, également, « Vous ne commentez cette nouvelle alors que le Conseil de l’Europe ou le parlement européen [l’ont fait]. Vous semblez plus heureux de commenter sur un pays qui sort de l’UE qu’un pays qui est dans l’UE et qui, peut-être, si vous ne répondez pas, voudra suivre ce chemin ». Un procédé habituel, lors des points de presse dans la Commission, où les journalistes ont le droit de « réplique », et font une question plus « dure » au second passage (2).

La télévision publique met de l’huile sur le feu

L’affaire aurait pu en rester là. Mais la télévision polonaise publique a décidé de mettre de l’huile sur le feu. Elle a publié un extrait de la question, en qualifiant de «provocations» les questions de notre collègue polonaise de Bawołek, précisant que la Commission n’a « pas succombé à l’appât ». Puis un commentateur, Dominik Zdort, a déclaré que ces questions étaient purement politiques, que Bawołek a tenté de manipuler la Commission et que les normes professionnelles de Polsat étaient devenues « inadmissibles ». Une couverture qui a entraîné plusieurs dizaines de messages sur Twitter qualifiant notre collègue journaliste de « anti-polonaise », « néo-marxiste » et autres avanies de plus bas fond.

Une atteinte à l’essence du journalisme : le droit de poser une question

Ce type d’insultes est assez courante sur twitter où, derrière l’anonymat des réseaux sociaux, des personnes (même bien élevées) se défoulent dans une vulgarité assez notable. Ce qui est plus troublant est l’attitude d’un média, public, qui conteste même l’essence du journalisme. On peut ne pas être d’accord avec un article, un point de vue, on le contredit, on argumente… Mais contester le fait qu’un journaliste fasse son travail et pose des questions sur un sujet d’actualité est pour le moins troublant

Le droit, le devoir d’un journaliste

Le droit d’un journaliste, le devoir même, c’est de poser des questions, plus ou moins pointues, afin d’obtenir une réponse. Chacun a son style. Mais il est d’habitude dans les milieux européens quand on n’obtient pas une réponse au premier coup, d’avoir droit à une deuxième chance. C’est même un droit, respecté (quasi scrupuleusement) pas les instances européennes et qui n’est pas automatiquement pratiqué dans tous les pays européens. En général, on reformule la question ou on adopte un ton délibérément plus dur (2). C’est de « bonne guerre ». Et, en général, les portes-paroles, même s’ils ne crient pas leur joie à cette offensive, l’apprécient car ils leur permettent également d’être plus directs, plus offensifs à leur tour, de venir préciser un point (… ou non). C’est tout simplement l’exercice de la démocratie et le travail de la presse qu’a fait Dorota et qu’a remis en cause la télévision publique polonaise.

Nicolas Gros-Verheyde
vice-président de l’Association des journalistes européens AJE-France

Le fil twitter de Dorota Bawolek

Le vice-président de la Commission, Frans Timmermans, a condamné sur twitter ce procédé : « je condamne fortement les menaces que Dorota Bawolet a reçu juste en faisant son travail. C’est inacceptable ! ».

I strongly condemn the threats @DorotaBawolek received just for doing her job. Unacceptable! Un-EU!

— Frans Timmermans (@TimmermansEU) 17 juillet 2017

L’association de la presse internationale (API) a protesté contre cette attitude de voir des journalistes mis en cause juste parce qu’ils posent une question. « Le droit de poser des questions en salle de presse est quelque chose qui fait partie de notre culture de liberté des médias et a toujours prévalu dans la salle de presse. Nous encourageons tout le monde ici et en dehors à faire usage de ce droit et poser les questions qu’il juge nécessaire » a déclaré Michael Stabenow au nom de l’API. Ce qui a entraîné de larges applaudissements et la remarque de Margaritis Schinas, le porte-parole en chef de la Commission : « C’est une des salles de presses où tous les journalistes accrédités ont le droit plein et entier de passer (toutes) les questions qu’ils souhaitent. La Commission et le service du porte-parole feront en sorte que ce droit soit protégé. »

(1) Une habitude prise par la Commission européenne, en cas de question gênante, parfois pour avoir le temps politique de la réflexion.

(2) Pour avoir souvent pratiqué ce genre d’exercices, je peux témoigner que la double question de Dorota était on ne peut plus policée et justifiée. On a connu dans la salle de presse de la Commission des questions beaucoup plus tranchées ou apostrophantes.

Un ami de Poutine oblige l’UE à modifier son dispositif sanctions (V2)

Bruxelles2 Blog - Tue, 18/07/2017 - 13:30
(B2 - exclusif) Les avoirs du milliardaire russe Arkadi Rotenberg, lié de près au Kremlin, gelés depuis juillet 2014 suite à l'action militaire russe à l'Est de l'Ukraine et en Crimée, pourraient être prochainement dégelés. Le businessman, qui s'est vu attribué depuis mars 2014 de nombreux contrats par le pouvoir (pour une valeur de 7 […]

France. Le CEMA confirmé ou en partance ?

Bruxelles2 Blog - Tue, 18/07/2017 - 11:40
(B2)  Le président français doit rencontrer en tête-à-tête son chef d'état-major des armées (CEMA), Pierre de Villiers vendredi (21 juillet). Une rencontre haute d'enjeux après les propos très vifs qui ont opposé les deux hommes (Macron remet au pas l’armée. Un tir politique, à fragmentation). La démission du CEMA est dans la balance (1). Emmanuel Macron […]

EUTM Mali va mettre le focus sur le G5 Sahel (Bart Laurent)

Bruxelles2 Blog - Tue, 18/07/2017 - 10:30
(B2 - à Bamako) Le général belge Bart Laurent vient de prendre (12 juillet) le relais de son compatriote, le général Peter Devogelaere, à la tête de la mission européenne de formation de l'armée malienne (EUTM Mali). Entretien... Vous venez de prendre vos fonctions ce jeudi, quelle va être votre priorité ?  B.L. - « […]

Carnet (18.07.2017). CPCC (nomination). EUBAM Libya (chef de mission). IRISL (recours). Liste anti-terroriste (mise à jour). Matériels de défense (nouvelle liste). Allemagne (budget de défense). Belgique-Congo (blocage). Belgique (Gripen). Chypre ...

Bruxelles2 Blog - Tue, 18/07/2017 - 08:38
(B2) Parus récemment : L’UE appelle à la relance du processus politique en Libye L’UE soumet l’exportation des dhingis vers la Libye à autorisation La mission EUBAM Libya prolongée avec un focus sur la future mission SSR Qui représente l’Union européenne en Corée du Nord ? (blog) Lutte contre le terrorisme et migrations au cœur […]

US Navy and USMC prepare to deploy F-35B aircraft

Naval Technology - Tue, 18/07/2017 - 01:00
The US Navy and the US Marine Corps (USMC) are preparing for the deployment of the F-35B Lightning II Joint Strike Fighter, which is currently slated for next year.

Ireland to deploy defence forces for EUNAVFOR MED Operation Sophia

Naval Technology - Tue, 18/07/2017 - 01:00
Ireland's Minister of State at the Department of Defence Paul Kehoe has secured Dáil approval for the deployment of a contingent of the Permanent Defence Force to serve as part of the European Union (EU) naval mission in the Mediterranean, EUNAVFOR M…

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